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Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2007: Commentaires Avril 2007: Archive jusqu'au 18/avril/2007
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Girelle (Girelle) le mercredi 18 avril 2007 - 11h13:

Sur le site de la droite libre du même auteur:

Jeudi, 2 novembre 2006
Islam de France- Frères Musulmans-UOIF : Quelles propositions pour le candidat Sarkozy en 2007 ?
Par Alexandre del Valle dans Société à 21:53
Pour nombre de Musulmans modérés, issus de « la base » comme de l’élite intellectuelle, avant de créer une institution représentative de l’islam en France (mais il n’est jamais trop tard pour bien faire) il eut été utile d’engager un débat en profondeur sur l’Islam avec la majorité silencieuse de Musulmans éclairés, seuls capables d’engager une réforme visant à intégrer cette religion au sein de la République laïque et de lui faire épouser son époque.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Girelle (Girelle) le mercredi 18 avril 2007 - 10h15:

u début des années 1980, l'Union des organisations islamiques de France (UOIF) était un petit cercle d'étudiants et d'activistes islamistes en exil. Depuis 2003, cette fédération d'associations est devenue un interlocuteur privilégié de l'Etat français pour la gestion de l'islam en France. L'UOIF occupe actuellement un tiers des sièges au Conseil français du culte musulman (CFCM), l'instance officielle mise en place en 2003 par Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'Intérieur. Comment expliquer une telle ascension en deux décennies? Quelles sont les véritables intentions de l'UOIF et de sa «maison mère», l'Union des organisations islamiques en Europe, basée à Londres? Quel est le poids réel de cette mouvance qui puise ses références dans la doctrine des Frères musulmans? Dans une enquête très fouillée, publiée chez Calmann-Lévy - OPA sur l'islam de France. Les ambitions secrètes de l'UOIF - Fiammetta Venner, politologue et cofondatrice de la revue ProChoix, met en lumière la face cachée de cette organisation et ses liaisons dangereuses.

© DR


«L'UOIF est porteuse d'une radicalité politique, l'intégrisme et en cela elle est dangereuse»
Fiammetta Venner, politologue
En exhumant l'ensemble des documents publics émanant de l'UOIF, en décortiquant les déclarations officielles et les prises de position plus discrètes de ses principaux dirigeants, en confrontant leur discours de façade aux archives et aux racines historico-politiques de la frange djihadiste de l'islam, elle dénonce la tentation hégémonique d'un mouvement qui, en réalité, ne représente qu'une infime partie des musulmans de France. Instrumentalisation de la religion à des fins politiques, hostilité à la laïcité et à l'intégration, relents d'antisémitisme, fatwas belliqueuses, financements douteux: la matrice idéologique de l'UOIF est inquiétante. Alors que l'élection pour le renouvellement du Conseil français du culte musulman est prévue au mois de juin prochain, Fiammetta Venner livre en exclusivité pour L'Express les points forts de son enquête. Contactés à plusieurs reprises pour donner leur point de vue, les dirigeants de l'UOIF n'ont pas souhaité s'exprimer.

Pourquoi accorder une telle importance à une organisation comme l'UOIF? Pèse- t-elle si dangereusement sur la société française?
Depuis qu'en 2003 il a fait de l'UOIF un interlocuteur de l'Etat au sein du Conseil français du culte musulman (CFCM), Nicolas Sarkozy prétend qu'il vaut mieux intégrer cette mouvance plutôt que la rejeter. Ma question de départ est la suivante: qui sort gagnant du processus, la République ou l'UOIF? Quand Sarkozy appelle les cadres de l'UOIF des musulmans «orthodoxes», il nous fait un peu le même cadeau empoisonné que celui de Mitterrand avec le Front national. Il ouvre les micros et confie à la société civile le soin de créer des contre-pouvoirs. L'UOIF représente non pas la mouvance «orthodoxe», mais la mouvance intégriste de l'islam. Il y a une différence entre la radicalité cultuelle - les traditionalistes chez les catholiques, les fondamentalistes chez les protestants, les orthodoxes pour les juifs - et la radicalité politique: l'intégrisme. La radicalité cultuelle est une option personnelle, une pratique privée sur laquelle personne n'a à se prononcer. La radicalité politique, en revanche, doit être source de débat. Nous avons tendance à confondre les deux, surtout quand il s'agit de l'islam. L'UOIF est porteuse d'une radicalité politique, l'intégrisme, et elle est en cela une organisation dangereuse, d'autant plus dangereuse qu'elle prétend incarner un islam majoritaire en France et en Europe. Si elle représentait vraiment un tiers des musulmans de France, comme son poids au CFCM le laisse croire, cela signifierait que, sur 3,5 millions de personnes potentiellement musulmanes en France, au moins 1 million seraient intégristes: c'est absurde! Il n'y a pas 1 million de sympathisants de l'UOIF en France.

... Tout cela a des conséquences: quand Dominique de Villepin annonce sa volonté d'instaurer une formation complémentaire pour les 1 500 imams de France, il entend confier la moitié de cet enseignement à la Mosquée de Paris - en fait peu active - et l'autre moitié à l'UOIF, le troisième partenaire majeur du CFCM, la Fédération nationale des musulmans de France, n'ayant pas d'école. Cela implique qu'au moins 750 imams français vont passer entre les mains de l'UOIF, qui, jusqu'ici, n'en a jamais formé plus de 15 par an! On frise l'absurdité. Je préfère mille fois un imam arabophone qui s'est battu contre les islamistes algériens à un imam francophone formé par l'UOIF. D'abord, l'UOIF bloque toute discussion théologique en se référant uniquement à la doctrine des Frères musulmans. Elle a également une mainmise totale sur le Conseil européen de la fatwa - l'exécutif religieux de l'Union des organisations islamiques en Europe (UOIE), sorte de maison mère basée à Londres - qui émet des avis sur la manière dont les musulmans d'Europe doivent se comporter, des fatwas niant le droit des femmes, rejetant l'avortement, justifiant les attentats kamikazes.

http://www.lexpress.fr/info/societe/dossier/mosquees/dossier.asp?ida=432856

http://www.communautarisme.net/L-UOIF,-ou-l-islamisme-tentaculaire_a40.html

etc, etc....

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Viviane (Viviane) le mercredi 18 avril 2007 - 10h15:

Jodenbreestraat N°4 ? Qu'est-ce à dire? Grande rue des Juifs. Voilà où résidait Rembrandt et où devait lui rendre visite le Docteur Bueno et d'autres notables de la communauté juive portugaise.
Carpentras, Cavaillon ou Bayonne ont su accueillir des Juifs avec la consigne que leurs lieux de culte ne dépassent pas les toits des petites chapelles (voir Carpentras), encore moins des cathédrales. Cela fut surtout imposé à la grande synagogue de Lyon qui fait face à la Basilique de Fourvière. A savoir elle ne devait pas avoir pignon sur rue. Elle fut construite en retrait. Il faut beaucoup d'imagination pour un touriste pour deviner que derrière ce grand portail se cache une magnifique synagogue. Je n'insisterai pas sur les noms accolés aux rues qui habritaient des Juifs en Europe et plus particulièrement en France: rue des Juifs, rue de la juiverie, le quartier juif etc. Quelle différence de classe avec Amsterdam!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Girelle (Girelle) le mercredi 18 avril 2007 - 10h08:

Quand Bayrou parle des humiliés juifs d'hier, il ne parle à l'evidence pas de la Shoa, mais des humiliations du peuple juif à travers les ages, parce que la Shoa n'a pas "humilié" les juifs, elle les a massacrés.

Pour l'existence d'Israel il dit cela:

"nous considerons que, depuis la Shoah, la decision qui s'est forgee dans le peuple juif de retrouver une terre, est une decision dont l'humanite est solidaire."

Pour le reste, il est évident que s'il n'y avait pas eu d'habitants à cet endroit, il n'y aurait pas de problème.

Ne pas comprendre la totalité de la question posée est, pour un éventuel chef d'état, se couper à priori de tout poids diplomatique dans l'aide qui pourrait être apportée dans la résolution du conflit.

Pour le reste, votez comme vous voulez, depuis le départ votre choix est fait, le mien aussi.

Quelque soit le président élu, il sera le mien, parceque j'ai le plus grand respect pour la démocratie et que j'ai toujours accueilli tous les résultats électoraux, même quand ils me touchaient de très près, avec le sourire.

Je fais ce que je peux avant, et après...libre aux électeurs...

En vérité, c'est le racisme qui est mon combat.
C'est ce qui m'a poussé à penser que la place accordée à l'UOIF était dangereuse et là aussi je partage l'avis de Bayrou.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le mercredi 18 avril 2007 - 11h16:

Tout sauf Bayrou et Hajkloufette vient de confirmer l'aversion que j'avais déjà et je serais de l'avis de Lapid, je voterais pour le candidat le moins pire c'est à dire Nicolas Sarkozy au premier et second tour.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le mercredi 18 avril 2007 - 11h05:

Sur le site la Droite Libre

Pourquoi faut-il voter pour Nicolas Sarkozy ?

Par Alexandre del Valle

Depuis sa création, la Droite Libre, que nous avions fondée dans le cadre de la candidature de Rachid Kaci à la présidence de l’UMP, a toujours conservé sa liberté de ton, son indépendance intellectuelle, sa ligne républicaine, patriotique, laïque et libérale.
Qu’elles proviennent de nous deux ou d’autres membres de notre courant, les critiques n’ont pas manqué à l’encontre des postures communautaristes qui apparaissaient ici ou là au sein de l’UMP et qui ont même parfois semblé avoir été adoptées par Nicolas Sarkozy. Qu’il s’agisse du danger que représente l’Islamisme radical subversif, du rôle ambigu joué par l’UOIF lorsque les banlieues brûlaient (La « Pax islamica »), qu’il s’agisse de la double peine ou encore de l’idée de donner le droit de vote aux immigrés, sans oublier la réforme éventuelle de la Loi de 1905 sur la Laïcité, la Droite Libre n’a jamais ménagé ses critiques et n’a jamais cessé de faire systématiquement connaître ses positions auprès des intéressés et jusqu’au Président de l’UMP lui-même.

Ceci étant dit, le discours de campagne inaugural de Nicolas Sarkozy ainsi que son programme, fondé sur des thèmes forts et des engagements extrêmement clairs, ont levé toute ambiguïté et remis les pendules à l’heure. Parallèlement, le courant islamiste que nous combattons et qui menace gravement, selon nous la République - les Frères Musulmans -, représentés par l’UOIF notamment, a nettement reculé depuis les dernières élections du CFCM, cependant que Nicolas Sarkozy a répondu une fois pour toutes à ceux qui l’accusaient de favoriser le communautarisme et les intégristes islamistes : ceux qui menacent les valeurs de la République, de la démocratie, de l’Occident, des Droits de l’Homme et de notre Civilisation judéo-chrétienne (M. Sarkozy est le seul candidat à avoir osé rappelé la dette de la France laïque et de l’Europe démocratique envers ses « 2000 ans de Chrétienté »), ceux qui prônent la barbarie, la polygamie, l’infériorité des femmes, la violence religieuse, l’anti-occidentalisme, l’antisémitisme, etc, ne « sont pas les bienvenus chez nous ». Tandis que ceux qui se conforment à nos us et coutumes, acceptent notre Histoire ainsi que l’Identité de la France, « sont les bienvenus », ceci dans le cadre d’une « immigration choisie » et non « subie ». Les choses sont claires. On ne peut plus claires. Et continuer à accuser Nicolas Sarkozy de faire le jeu des islamistes - comme le fait la Gauche immigrationniste et islamophile – sous prétexte qu’il a su neutraliser l’UOIF ou qu’il donne toute leur chance à des personnalités issues de l’immigration musulmane comme Rachida Dati ou Linda Asmani participe d’autant plus de la mauvaise foi que c’est justement la « Gauche laïcarde » donneuse de leçons de morale anti-intégriste qui a associé, bien avant l’arrivée de Nicolas Sarkozy à la tête du Ministère de l’Intérieur et des Cultes, les Intégristes islamistes au sein des instances de représentation de l’Islam et de la République. Une Gauche laïque et « anti-communautariste » qui est responsable de l’immigration incontrôlée et qui a surfé pendant toute l’ère mitterrandienne sur un communautarisme destiné à saper à terme les fondements de « l’Ordre bourgeois et républicain »… Quant à l’autre nouveau donneur de leçon « laïque » François Bayrou, on se souvient de l’extrême inefficacité et de la frilosité de la circulaire portant son nom face au problème du Voile islamique dans les écoles…

Pour ce qui est des domaines sociaux-économiques et du gravissime problème que constitue la croissance indéfinie de l’Etat-Providence-Assistanat, puis son corollaire le fiscalisme, responsable de la faillite et de la fuite des entreprises françaises, le Candidat Sarkozy dénote largement par rapport au « ni-ni » de François Bayrou, qui promet la France à l’ingouvernabilité et à l’immobilisme, ou encore au socialisme à peine voilé d’une Ségolène Royal pas plus à même d’exposer un programme que son nouveau concurrent redoutable Bayrou.

Car à la différence de ses deux derniers, Nicolas Sarkozy est le seul candidat qui ose mettre en avant la valeur essentielle de l’effort, du travail, dans la plus pure tradition républicaine méritocratique. Et non pas en vertu d’un soi-disant « ultra-libéralisme » qui n’a jamais été le sien. Nicolas Sarkozy est non seulement le seul des 3 grands candidats capable de défendre point par point un programme complet et précis, mais il est le seul candidat qui ose parler clairement aux Français à propos des retraites, des 35 heures, des contrats d’embauches, des successions, quitte à s’aliéner les assistés chroniques et les professions « protégées ». En outre, les dernières mises au point ainsi que la publication du programme officiel de Campagne ont permis à M. Sarkozy de démontrer aux Français qui prennent la peine de juger sur pièce - et non à travers les accusations infondées -, que l’on pouvait concilier humanisme et éthique de la réussite, méritocratie et compassion envers les moins favorisés ; recherche de la compétence et discrimination positive, bref égalité et liberté. Ce qui est aux antipodes et de l’égalitarisme marxisant et du libertarianisme des « ultra-libéraux ».

Terminons par cette épineuse question à l’origine de tant de débats passionnés mais aussi de si mauvais procès : la discrimination positive, idée que la Droite Libre a toujours combattue lorsqu’elle est attribuée en fonctions de critères ethno-religieux anti-républicains. Certes, notre position n’a pas changé, mais nous ne pouvons sur ce point que nous incliner devant le fait que Nicolas Sarkozy a réellement évolué dans le bon sens depuis plus d’un an déjà. Le fond de sa pensée était déjà probablement le même, mais les choses allant bien mieux en les exprimant clairement, le candidat de l’UMP a à maintes reprises dénoncé avec énergie toute dérive communautariste. Quant à ladite « discrimination positive », il est clair que celle prônée aujourd’hui par Nicolas Sarkozy est tout-à-fait légitime et conforme à nos valeurs républicaines : elle n’est aucunement basée sur une prétendue ethnie ou encore moins sur une appartenance religieuse, mais sur un indicateur social et géographique de pauvreté ou de difficulté objective. Or les « quartiers » et autres banlieues difficiles ne sont pas composés que de personnes issues de l’immigration afro-musulmane mais aussi de Français de toutes origines ou dits « de souche ». Et ces Français des banlieues issues de familles pauvres méritent bel et bien un traitement particulier de la part de la République. Non pas des passes-droits ou des faveurs, mais une aide matérielle leur permettant – une fois dépassées les injustices sociales matérielles - de s’élever par leur seul mérite au sein de l’Ecole, de l’Université, de l’Entreprise et de l’Etat.

La récente proposition on ne peut plus courageuse de Nicolas Sarkozy visant à créer un grand « Ministère de l’Immigration et de l’Identité Nationale » constitue une preuve de plus du courage politique et du sens du Bien Commun hors pairs de M. Sarkozy, lequel n’a pas peur de braver les interdits, de défier le Politiquement Correct et de s’aliéner durablement toute la Bien-pensance, de la Gauche-Caviar aux « clans Trotsko-staliniens » du CNRS, du Monde, de Libération, des Ligues de Vertus (MRAP, DAL, Ligue des Droits de l’Homme, etc), sans oublier les autres « Media » au sens étymologique du terme qui tentent de confisquer depuis des années l’Opinion Publique via l’instauration d’un climat de Terreur intellectuelle et d’une mise à l’index de toute Opinion dissidente. Comme l’a bien dit Sarkozy lors de récents discours à propos des réactions violentes à sa proposition de Ministère de l’Immigration et de l’Identité Nationale, il est devenu proprement insupportable et indécent de se voir taxer de « fascisme », « vichysme » ou autre « reductio ad Hitlerum » dès que l’on est surpris en flagrant-délit de patriotisme ou dès que l’on dit quelque chose que Lepen aurait pu dire ou penser. Il est tout simplement en effet dangereux et intolérable de laisser au seul Front National le thèmes si chers aux Français et à tout homme que sont l’Identité, la Patrie, la Sécurité, le contrôle des flux migratoires, etc.

Félicitons donc Nicolas Sarkozy pour la qualité première qui doit être celle d’un Chef, d’un dirigeant suprême et de tout responsable politique : le courage de dire, phase préalable avant celui de faire.

Car l’Histoire de l’Humanité est façonnée par les Mots, le Verbe. At Principio erat Verbum. En Arché Logos. Or Nicolas Sarkozy est doté de ces deux formes de courage : le courage physique, dont il a fait preuve lors d’une désormais mémorable prise d’otage à Neuilly, mais aussi plus récemment lors de ses 50 déplacements dans les banlieues difficiles et face aux graves incidents des banlieues en flamme durant l’automne 2005. Puis surtout le courage verbal, si rare en ces temps de lâcheté généralisée et de règne du Politiquement Correct.

Il est clair que la Révolution socio-économique dont la France a besoin - pour non pas redémarrer mais simplement survivre - passe nécessairement et préalablement par une révolution verbale, sémantique. Une Libération du Verbe et des Mots, confisqués depuis des années de dictature intellectuelle par une Bien-pensance collaboratrice des idéologies totalitaires tournées contre les valeurs du Monde Libre et de l’Occident démocratique.

Des idéologies totalitaires incarnées notamment en cette période électorale par des candidats « verts-rouges » trotsko-écologisto-No Global que l’excellentissime essai de notre ami Rachid Kaci (son troisième et très attendu essai politique) vient de publier aux Editions des Syrtes: Qui se cache derrière les moustaches de José Bové. A lire absolument !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le mercredi 18 avril 2007 - 09h02:

Tu as raison, Hajkloufette.

Mes doutes sur les intentions politiques de Francois Bayrou au Proche-Orient ne font que se renforcer.

Au sujet de Segolene Royal et des autres candidats, il vaut mieux ne pas en parler.

Quant a Nicolas Sarkozi, apres l'avoir ecoute a ce sujet hier sur TV5, je commence aussi a avoir aussi des doutes sur ses veritables intentions !

Malheureusement, je crois, une fois de plus, qu'il n'y a rien a esperer de tous les candidats a la Presidence.

Mais s'il faut finalement se resoudre a voter, je choisirais le "moins pire".

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hajkloufette (Hajkloufette) le mercredi 18 avril 2007 - 08h22:

Bayrou ??? vous en pensez quoi ??? apres ca !!! Recu par mail ce matin

Citation:
Pour Francois Bayrou, la France qui a un lien fort tant avec Israel, qu'avec le peuple palestinien et le Liban :« nous considerons que, depuis la Shoah, la decision qui s'est forgee dans le peuple juif de retrouver une terre, est une decision dont l'humanite est solidaire. Et, de ce meme mouvement, nous savons qu'il y avait sur cette terre des hommes, le peuple de Palestine, que cette decision a fait souffrir et qui sont aussi des victimes. C'est pourquoi l'equilibre nouveau a trouver entre l'Etat qu'ont forme les humilies juifs d'hier et l'Etat que doivent former les humilies palestiniens d'aujourd'hui, cet equilibre importe a l'ensemble de l'humanite. »

Bayrou , met sur le meme plan victimes de le Shoah et palestiniens «que la creation d'Israel a fait souffrir».

Il alimente ainsi le mythe fondateur de l'antisionisme et va meme plus loin que certains pays arabes qui ont, depuis longtemps, laisse tomber ce mythe dangereux.

On voit que Bayrou, draguant le vote musulman, n'hesite pas un instant à brocarder les juifs, la securite d'Israel, pire, a alimenter le pire des antisionismes antisemitismes.

Que les juifs qui pensaient voter Bayrou soient ainsi edifies!!!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Djlachem (Djlachem) le mercredi 18 avril 2007 - 00h01:

En effet, Victor, j'ai confondu Ilan et Laurent. Je me disais aussi: Ilan est habituellement très clairvoyant. Il a notamment une grande justesse d'analyse concernant la gauche française.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Girelle (Girelle) le mardi 17 avril 2007 - 20h57:

Merci Lapid d'avoir pris le temps de rechercher et de nous communiquer cela, c'est effectivement très intéressant.

Je ne partage pas votre pessimisme quant au sort des juifs de France, mais il est vrai que la crise économique que traverse la France et que ni l'UMP, ni le PS n'ont réussi à juguler est inquiétante.

Voyez vous ce bipartisme éternel, et le carriérisme qui l'accompagne gêne terriblement l'avancement des réformes indispensables.

Pour les français le message européen n'est pas clair, ils n'y voient que tracasseries administratives "pondues" par des fonctionnaires tatillons, et pourtant cette Europe a un rôle politique à jouer, un rôle qui devrait être très important.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Girelle (Girelle) le mardi 17 avril 2007 - 20h39:

Félicitations, Michka, pour la finesse de votre analyse politique, le poids de votre argumentaire, j'ai bien ri, en vérité!!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Victor (Victor) le mardi 17 avril 2007 - 20h43:

Djlachem (Djlachem) le mardi 17 avril 2007 - 02h07:
"J'aime beaucoup Ilan Greilsamer, homme de gauche israélien qui a su éviter de tomber dans l'angélisme de beaucoup de ses collègues.
Je comprends son désir de s'opposer à la vindicte, à l'effet de meute, etc. "

L'auteur de l'article
Mais pourquoi tant de haine ?, par Laurent Greilsamer
LE MONDE | 16.04.07 |
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-896558,0.html
a pour prénom LAURENT et pas ILAN.