Archive jusqu'au 06/juin/2005

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2005: Commentaires Juin 2005: Archive jusqu'au 06/juin/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le vendredi 03 juin 2005 - 23h18:

ShabbatShalom 030605

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le vendredi 03 juin 2005 - 20h42:

Et maintenant, Que vais-je faire ? Entre ces deux qui me pourrissent la vieeeeeeeeeee...


http://politiquearabedelafrance.blogspot.com/


Wednesday, June 01, 2005
Entre deux Marocains
Cela aura-t-il un impact sur la politique arabe de la France?

Les deux hommes qui pourrissent la vie de Sarkozy, Villepin et Attias, sont tous deux nés au Maroc.

Bon, c'est l'heure d'aller se coucher...

posted by Emmanuel @ 10:30 PM

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le vendredi 03 juin 2005 - 20h37:

Hahahahaha !!!

http://balagan.blog-city.com/

Les 100 jours

Villepin a eu des résultats encore plus rapides que prévus. En effet, d'après un sondage l'Immonde/Fange 2 paru aujourd'hui, 57% des français ont confiance dans le fait que le Premier Blablateur ne redonnera pas confiance aux français.

Du coup certains paranoïaques imaginent à tort que le nouvel élan de Chirak n'existe pas et est un babillage supplémentaire de Chirak. Et bien pourtant, l'élan existe, Balagan l'a d'ailleurs retrouvé et même pris en photo:

Elan

Le Rais Abou Chirak est un peu déçu puisqu'il s'attendait à recevoir un couple d'élans mais il a du se contenter du seul Yasser. En effet, la mousmé élan, Souha, s'est barrée avec les dollars quand elle a appris que son Yasser la trompait avec 72 élanes vierges.

Le peu d'audace de Chirak dans la nomination du nouveau gouvernement s'explique sans doute par cette légère déception. Nul doute que si le Rais avait eu meilleur moral, il aurait osé bâtir un gouvernement plus en accord avec ses racines réelles.

Il aurait mit Mollah Omar en ministre du droit des fatmas, Ben Laden à la Défense et au Jihad, Nasrallah à la Coopération avec le terrorisme arabe et à la Francarabophonie, Khatami à l'énergie atomique, Abou Mazen aux anciens combattants martyrs négationnistes, Moussab al-Zarkaoui au désaménagement du territoire, Omar el-Béchir du Soudan aux DOM-TOM et aux droits des noirs, Kadhafi à la Santé mentale, Bouteflika à la destruction de l'économie et aux pots de vin, Leila Shahid à l'éducation nationale antisioniste, Mouloud Aounit à la "jeunesse" et aux sports, Bachar el-Assad au tourisme au Liban, ...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le vendredi 03 juin 2005 - 20h29:

De Villepin, Direction Sainte-Hélène !!!


http://balagan.blog-city.com/


Un nouvel élan

Abou Chirak l'avait promis, Abou Chirak l'a fait, il a donné un nouvel élan et a compris que les français avaient une exigence de résultats. D'où la nomination de Villepin au poste de Premier Vizir.

Et effectivement, il va y avoir un nouvel élan vers plus de pipeau mais en alexandrins, d'où le résultat. Pour y parvenir, Villepin vient de s'engager à rendre confiance en 100 jours. Cet admirateur de Napoléon devrait pourtant savoir qu'après les 100 jours, il y a eu Sainte Hélène. Et effectivement, à écouter ses discours lyriques, il est clair qu'il ne dépassera pas le stade du blabla, d'où la question que l'on doit légitimement se poser, pour gagner du temps, pourquoi ne pas l'envoyer directement à Sainte Hélène sans passer par la case Matignon.

Comme Villepin est un homme de discours grandiloquents plutôt que d'action concrète, il est clair que ce cher Dominique doit mener une politique de lutte contre le chômage qui exploite ses talents particuliers. Pourquoi ne pas dissoudre les chômeurs? Comme dit Villepin: "Il va falloir imaginer, il va falloir penser, il va falloir vouloir".

Au passage, DdV fait remarquer à ces petits camarades que depuis 30 ans, ils n'ont fait preuve d'aucune imagination, qu'ils n'ont pas du tout réfléchi et qu'ils ont autant de volonté qu'un mollusque. Et en plus, il ne l'a pas dit en alexandrins.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le vendredi 03 juin 2005 - 20h23:

On l'a échappé belle !!!


http://www.upjf.org/documents/showthread.php?threadid=9383


'EurUrss': Un air de famille effrayant, D. Pryce-Jones

Je regrette de n'avoir pas eu connaissance plus tôt de ce remarquable article de D. Pryce-Jones. Dans ce texte tout en nuances - qui ne sont pas toujours perceptibles à des lecteurs non familiers de l'histoire de l'Union soviétique, de celle du Socialisme, et de celle de la construction de l'Union Européenne -, l'auteur fait allusion, trop brièvement, hélas, à une thèse presque inconnue en France. La version du dissident soviétique apparaîtra à beaucoup comme audacieuse, voire insoutenable. Il reste que l'idée d'une collusion, au moins idéologique - consciente ou non -, entre des politiciens socialistes et des militants communistes, dans la genèse et la mise en oeuvre de l'Union Européenne, mérite d'être étudiée avec sérieux. Il est malheureusement trop tard, à une dizaine de jours du référendum sur la Constitution européenne, pour qu'un tel article ait des chances d'influer sur le vote des citoyens. D'autant que ce n'est pas le genre de thèse qui a la faveur de la presse française, sauf glorieuses exceptions. Menahem Macina.

Bukovsky voit se développer sous ses yeux une 'EurURSS'

National Review

11 avril 2005

Original anglais : An awfull familiarity.

Traduction française : Menahem Macina pour upjf.org.


Les dernières pierres de l'Union Européenne se mettent en place, et c'est aussi un processus étrange et insondable. Sur les 25 pays concernés, une dizaine vont organiser des référendums pour ratifier la constitution d'ampleur continentale, déjà approuvée par leurs dirigeants ; les autres font passer en force la question par voie exécutive ou législative. En d'autres termes, la majorité des gouvernements européens, y compris le 'très important' gouvernement allemand, ont trouvé un moyen d'éviter l'épreuve de l'opinion publique, dans le but de finaliser l'empire fédéral désormais clairement visible. L'opinion publique a néanmoins contraint le Président Jacques Chirac à accepter qu'un référendum ait lieu, le 29 mai. Les sondages attestent que le rejet de la constitution par les Français est possible, voire probable, précipitant Dieu sait quel genre de crise.

Que se passe-t-il ? Pourquoi agir à la dérobée ? La réponse la plus convaincante est fournie par l'ouvrage de Christopher Booker et Richard North, The Great Deception [La grande tromperie], une histoire récente et magistrale de l'Union Européenne. Les auteurs montrent comment, décennie après décennie, une petite clique auto-promue de politiciens a oeuvré naïvement à la création d'une Europe supranationale. Ces politiciens se considèrent comme des visionnaires, mais ils ont toujours su qu'ils ne parviendraient jamais à entraîner l'adhésion des électeurs, c'est pourquoi il leur a fallu cacher leur but : selon Booker et North, la tromperie était implicite, et même inhérente au projet. L'intention était de mettre les gens devant un fait accompli auquel ils seraient incapables de s'opposer, et c'est ce que la Constitution d'aujourd'hui a pour but de rendre irrévocable.

Les années de la Guerre Froide ont divisé l'Europe en deux parties, l'une sous la domination soviétique, et l'autre sous la protection des Etats-Unis. L'ambition logique des Soviétiques, et des nombreux partis communistes qui leur sont asservis, ainsi que celle des "compagnons de route" socialistes, était de réduire la présence américaine et, si possible, de l'évincer totalement du continent. D'une manière ou d'une autre, l'Union Européenne a repris les choses là où les Soviétiques les avaient laissées, et il s'avère qu'elle a mieux réussi. A preuve, l'avenir incertain de l'OTAN, la croissance de l'armée européenne, la relocalisation des troupes américaines et de ses bases hors d'Allemagne, les efforts franco-allemands pour paralyser les Etats-Unis à propos de l'Irak, la levée de l'embargo sur les ventes d'armes à la Chine, le soutien sans discernement de l'OLP, et beaucoup d'autres choses encore.

Vladimir Bukovsky entre maintenant en force dans le débat [1]. Aujourd'hui âgé de 62 ans, il a été l'un des dissidents publics soviétiques les plus courageux, ce qui lui a valu de passer douze ans au Goulag et d'être traité pour folie dans une des unités psychiatriques spécialisées dans l'art de briser des gens comme lui. Échangé contre un communiste chilien, en 1976, il s'est installé à Cambridge, en Angleterre, où il est biologiste et écrivain politique. To Build a Castle [Construire un château], le récit autobiographique de son épreuve au Goulag, est un classique. (Une remarque personnelle : quand j'ai rencontré Bukovsky, en 1981, il avait prévu que, dans dix ans, l'Union soviétique s'effondrerait. Ce qui s'est avéré exact.) Il aurait pu être un Premier ministre démocratique de Russie.

Durant le bref laps de temps où c'était encore possible, Bukovsky a fait des recherches dans les archives soviétiques [2], publié des livres comme Reckoning with Moscow [Avoir affaire à Moscou], qui traite des vraies réalités internes du système soviétique. Maintenant, en collaboration avec Pavel Stroilov, un auteur russe, il vient d'écrire un opuscule intitulé "EUSSR: The Soviet Roots of European Integration" ["EurURSS: Les racines soviétiques de l'intégration européenne"] [3], une paraphrase fascinante de la thèse de Booker et North sur la tromperie inhérente au projet de l'Union Européenne [4].

Mikhail Gorbachev a créé une fondation à Moscou pour abriter les documents afférents à l'époque où il était au pouvoir lorsque le Parti Communiste, l'Union Soviétique, ainsi que la Guerre Froide ont pris fin dans un gémissement et non dans le fracas que l'on prévoyait généralement. Étudiant ces documents personnels, Bukovsky et Stroilov ne s'étonnent pas de ce que l'Union Européenne ait repris les choses là où les Soviétiques les avaient laissées. Au contraire, ils estiment que c'est le résultat normal de décennies de socialisme et de compagnonnage de route en Europe.

Comme il seyait au despote du Kremlin, Gorbachev avait l'habitude de recevoir des visiteurs d'Europe de l'Ouest, qui étaient ministres et présidents dans leur pays mais faisaient tous preuve d'une attitude humble comme il convenait à quiconque était autorisé à s'approcher aussi intimement d'un pouvoir absolu. Tous autant qu'ils étaient, ces visiteurs flattaient Gorbachev. La Gauche, ils en convenaient, était partout en crise, parce que l'expérience visant à établir le socialisme avait évidemment échoué et avait besoin d'être réanimée.

«Les solutions progressistes dans le domaine social doivent correspondre au cadre européen», déclarait Alessandro Natta, l'insaisissable secrétaire général du parti communiste italien, en 1986. Gorbachev partageait ses idées sur la manière de procéder. L'un de ses slogans préférés énonçait : "Une Maison Européenne Commune", et son grand but était d'évincer les Etats-Unis de l'Europe et de les remplacer par l'Union Soviétique. La tâche, comme Gorbachev l'expliqua à Natta, consistait à «enrichir le mouvement de gauche, pour gagner de nouveaux alliés». «L'érosion des frontières nationales — géographiques, fiscales, économiques», répondit Natta, a donné à la gauche «une chance de succès».

Peut-être était-ce là le langage convenu d'un communiste. Mais qu'en est-il, alors, de Francisco Fernández Ordóñez, à l'époque ministre des affaires étrangères espagnol, et Socialiste, qui disait à Gorbachev, en 1989 : «Le succès des idées du socialisme dans la communauté mondiale d'aujourd'hui dépend du succès de la perestroïka [les efforts de réforme de Gorbachev]» ? Les Allemands n'étaient pas mieux lotis. Cette même année, l'ancien chancelier, Willy Brandt, assurait à Gorbachev qu'ils étaient témoins d'«une nouvelle qualité de socialisme dans une très grande partie du monde». Pour faire bonne mesure, il offrit de faire ce qu'il pourrait pour étouffer la démocratie qui montait, alors, dans les républiques baltes.

Mais aucun d'eux ne donne autant la chair de poule que les visiteurs français. En novembre 1988, le Président Mitterrand assura à Gorbachev que «l'édification d'une Maison Européenne Commune était une grande idée», et que sa réalisation serait sa principale priorité. Bukovsky et Stroilov citent des petits fragments similaires de conciliation et d'accompagnement amical, dus à Valéry Giscard d'Estaing, autre président français, devenu, depuis, l'auteur de la constitution de l'Union Européenne : «De nos jours, l'Europe de l'Ouest fait l'expérience d'une perestroïka, et change sa structure […] l'URSS devrait être préparée à communiquer avec un grand Etat unique d'Europe de l'Ouest.» Des politiciens et des officiels français de premier plan, tels Chirac et Jacques Delors, confirmaient une telle conception. Le premier ministre socialiste, Pierre Mauroy, se fit servile : «Je suis convaincu que votre société démocratique entrera dans le cadre du mouvement socialiste qui se développe en Europe.»

En écoutant cette clique étonnante, on n'est pas surpris que Gorbachev ait été victime d'une illusion. Il doit en être venu à croire que sa Maison Européenne Commune avait les mêmes valeurs et le même fonctionnement politique que ceux de l'Union Européenne, et que les ressemblances entre l'URSS et l'UE étaient davantage que de simples coïncidences. Booker et North ont raison de penser que les antécédents de l'Union Européenne remontent à bien avant Gorbatchev, mais Bukovsky et Stroilov ont également raison d'estimer que l'Union Européenne est une construction socialiste, une collectivité étatique comparable à l'ancienne URSS, complétée par une nomenklatura et une idéologie ayant des visées hostiles aux Etats-Unis, et qu'il faut absolument 'protéger' l'ensemble de la population d'exprimer sa véritable opinion sur tout cela.

Avec clairvoyance, Bukovsky a jadis prévu la mort de l'Union Soviétique. Mais sept des 24 commissaires européens d'aujourd'hui sont d'anciens apparatchiks communistes, et, selon l'avertissement de Bukovsky, «il reste à voir quel genre de Goulag créera l'Union Européenne». Mais le destin de toutes les utopies est le même, conclut-il, et «l'Union Européenne s'effondrera, exactement comme son prototype», même si, «ce faisant, elle nous ensevelit tous sous les décombres». Néanmoins, il espère, bien sûr, alerter l'opinion publique afin d'empêcher le pire.

La folie se répète, mais elle ne peut écraser la dissidence de l'esprit.

David Pryce Jones


© National Review, pour l'original anglais, et upjf.org pour la version française.

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Notes du Traducteur

[1] Bukovsky est un écrivain assez prolifique. Pour consulter la liste de ses livres et de ses articles, cliquer sur Bibliographie de V. Bukovsky. De très nombreux articles lui ont été consacrés. Voir, entre autres : "A Conversation With Vladimir Bukovsky" , by Jamie Glazov, FrontPageMagazine.com, May 30, 2003.
[2] Sur la manière dont Bukovsky parvint à rassembler les preuves documentaires de ce qu'il avance, voir mon Annexe, ci-après, en fin de document.
[3] Vladimir Bukovsky and Pavel Stroilov, EUSSR, The Soviet roots of European integration, Sovereignty Publications, December 2004. 44 pages. ISBN 0-9540231-1-0.
[4] The Great Deception: A Secret History of the European Union, diffusé, entre autres, sur Amazon.

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Annexe *


* ajoutée par M. Macina. Source : Michael Nield, «The Police State Road Map», mars 2005, p. 29. Traduction française de M. Macina.

"…Le premier ministre Yeltsin proscrivit le parti communiste en 1991, mais quand il dut s'expliquer devant les tribunaux, il lui fallut des preuves de son passé criminel. Il s'adressa à Vladimir Bukovsky pour qu'il l'aide à trouver des preuves dans les archives secrètes du Politburo. En 1992, Bukovsky se vit accorder l'accès aux archives durant six mois, et copia autant de documents qu'il le put à l'aide d'un scanner portable et d'un ordinateur. Si limitée que fût la quantité des documents reproduits, ils se révélèrent embarrassants, tant pour les dirigeants occidentaux que pour ceux de l'Union Soviétique. En conséquence, ces archives - y compris les documents que M. Bukovsky a toujours sur son ordinateur - furent à nouveau classés secrets ! Les 44 pages de sa brochure intitulée E.U.S.S.R [EurURSS], publiée en décembre 2004, révèlent quelques faits vraiment étonnants à propos de l'effondrement de l'Union Soviétique...

En 1987, Gorbachev avait décidé que la perestroïka incluait la convergence de l'URSS et de l'Europe dans une "Maison Européenne Commune". Cette idée était soutenue par les socio-démocrates de l'Europe dont les dirigeants politiques s'étaient rendus en secret à Moscou, avant la dissolution de l'Union Soviétique, pour confirmer que la Communauté Européenne inclurait la plupart des Etats soviétiques. Mais, derrière ces dirigeants politiques, il y avait l'élite financière, en particulier les membres de la Commission Tripartite. Un des documents du Politburo rend compte d'une réunion qui eut lieu le 18 janvier 1989 entre Gorbachev et les principaux membres de La Commission Tripartite - Rockefeller, Kissinger, Nakasone et Giscard d'Estaing. Ils encouragèrent les Soviétiques à s'intégrer dans les institutions économiques et financières (GATT, FMI) et également dans la Communauté Européenne. Giscard annonça qu'il y aurait un Etat européen d'ici à vingt ans et demanda à Gorbachev quels pays de l'Europe de l'Est seraient autorisés à en faire partie. Kissinger demanda alors ce que les Soviétiques pensaient de l'idée d'une «Europe de l'Océan atlantique à l'Oural».

Le 19 juillet 1990, Jacques Delors, président de la Commission Européenne Moscou fit une visite à Moscou et confirma sous le sceau du secret qu'il voulait que l'Union soviétique fasse partie du futur Etat européen. Cependant, trois mois auparavant, Georges Berthoin, son ami intime et co-Président européen de la Commission Tripartite, avait rencontré le conseiller de Gorbachev pour les affaires européennes, Vadim Zagladin. Berthoin fut l'ambassadeur qui exposa par avance les vues de Delors. Une des possibilités que Delors lui demanda de discuter était de savoir si les Etats-Unis et le Japon devraient également être intégrés avec l'Europe et l'Union soviétique. Cette idée reflétait l'adhésion intercontinentale de la Commission Tripartite.

Alors que nous nous approchons de notre destination finale d'un gouvernement mondial et du Nouvel Ordre Mondial, il est très important de réaliser qui a projeté ce 'voyage'. Pourquoi les hommes les plus riches et les plus puissants du monde ont-ils fait tout leur possible pour cacher ce qu'ils ont fait? Si nous sommes en route pour l'utopie, pourquoi le secret est-il nécessaire ?"


Mis en ligne le 18 mai 2005, par M. Macina, sur le site http://www.upjf.org.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Claudia (Claudia) le vendredi 03 juin 2005 - 20h13:

J'ai vous adresse cet important article de Tom Gross, paru dans le "Wall Street Journal", sur le jugement condamnant le journal "Le Monde", Edgar Morin, Danièle Sallenave et Sami Naïr pour "diffamation à caractère raciste".

Bon WE...

Simon Pilczer



J'Accuse


Antisémitisme au journal “Le Monde” et au-delà.


Par TOM GROSS

Wall Street Journal, 2 Juin 2005


Adaptation française de Simon Pilczer ©



Une cour française la semaine dernière a déclaré trois rédacteurs du journal Le Monde, ainsi que le Directeur de la publication, coupables de « diffamation raciste » à l’encontre d’Israël et du Peuple juif. Lors d’une décision fracassante, la Cour d’Appel de Versailles a jugé qu’un article d’opinion publié dans Le Monde en 2002, « Israël – Palestine : le Cancer », avait attisé une opinion antisémite.

Les rédacteurs de cet article, Edgar Morin (un sociologue renommé), Danièle Sallenave (conférencière à l’Université de Nanterre) et Sami Naïr (membre du Parlement européen), ainsi que le Directeur de la publication du journal Le Monde, Jean-Marie Colombani, ont été condamnés à payer l’Euro symbolique à titre de dommages à un groupe de défense des Droits de l’Homme [la LICRA, ndt] et à l’Association France-Israël. Le Monde a aussi été condamné à publier cet article de condamnation, ce qui lui reste à faire.

Il est encourageant de voir une Cour française décider que l’antisémitisme ne doit avoir aucune place dans les médias – même quand il est masqué en tant qu’analyse du conflit israélo-palestinien. La décision dit aussi clairement que la loi sous cet aspect s’applique aussi aux extrémistes juifs (M. Morin est juif) aussi bien qu’aux non-juifs.

La liberté de la presse est une valeur qu’il faut chérir, sans l’exploiter ni en abuser. En général, les pays européens ont des lois strictes contre un tel abus et les principaux médias en Europe exercent en tous les cas une autocensure valable. Des journalistes responsables évitent avec vigueur des descriptions diffamatoires de groupes entiers, religieux, nationaux ou ethniques. Ils font leur maximum par exemple, pour éviter de suggérer que les massacres au Darfour, qui sont exécutés par des milices arabes, représentent en quelque manière une caractéristique arabe.



L’exception à cela semble être la couverture des Juifs, en particulier les Israéliens. Cela est parfaitement ironique étant donné que les lois sur la liberté d’expression relativement strictes en Europe (comparées à celles des USA) ont été dans une large mesure inspirées en réaction à l’occupation du continent par les nazis. Et pourtant, d’Oslo à Athènes, de Londres à Madrid, la saison a été virtuellement ouverte contre eux dans les années passées, spécialement dans les médias supposés libéraux.



« Israël – Palestine : le Cancer » a été a été une œuvre pleine de méchanceté, de mensonges, de calomnies et de mythes concernant le « Peuple élu », « le massacre de Jénine », décrivant les Juifs comme un « Peuple méprisant, prenant plaisir à humilier les autres », « imposant leur loi sans pitié », et ainsi de suite.


Pourtant, ce n’était pas pire que des milliers d’autres reportages de nouvelles, d’éditoriaux, de commentaires, de lettres, de dessins ‘humoristiques’, et de titres publiés à travers l’Europe au cours des années récentes, sous couvert d’une discussion légitime et raisonnée de la politique israélienne.



Les diffamations et les distorsions au sujet d’Israël dans certains médias anglais sont désormais assez bien connues : l’équation du ‘Guardian’ d’Israël et al-Qaïda ; l’équation de ‘l’Evening standard’ d’Israël et des Talibans ; le reportage de la correspondante de la BBC au Moyen-Orient, Orla Guerin, sur “Comment les Israéliens ont volé Noël”. Le plus célèbre d’entre eux est le correspondent indépendant au Moyen-Orient, Robert Fisk, qui se spécialise dans des observations telles que son commentaire “Si jamais une épée était plantée dans une alliance militaire entre l’Orient et l’Occident, les Israéliens brandiraient cette dague”, ce qui implique que la Maison Blanche est tombée dans les mains des Juifs : « Les ‘Perle’ et les ‘Wolfowitz’ et les ‘Cohen’… Les très sinistres personnages voletant autour de Bush”.

Les invectives contre Israël ailleurs en Europe sont moins bien connues. En Espagne par exemple, le 4 juin 2001 (trois jours après qu’un démocide à la bombe palestinien ait tué 21 jeunes Israéliens près d’une discothèque, et en ait blessé plus de 100 autres, le tout au beau milieu d’un cessez-le-feu israélien unilatéral), le quotidien libéral ‘Cambio 16’ publia un dessin du Premier Ministre israélien Ariel Sharon (avec un nez crochu qu’il n’a pas), avec un casque (qu’il ne porte généralement pas), arborant une svastika à l’intérieur d’une étoile de David sur sa poitrine, et proclamant : « Au moins Hitler m’a appris à envahir un pays et à détruire chaque insecte vivant ».


La semaine précédente, le 23 mai, ‘El Pais’ (le ‘New York Times d’Espagne’), publia un dessin d’un personnage allégorique portant un une petite moustache noire de forme rectangulaire, volant dans les airs vers la lèvre supérieure de Sharon. La légende disait : « Clio, la muse de l’histoire, place la moustache d’Hitler sur Ariel Sharon ».


Deux jours plus tard, le 25 mai, le quotidien catalan ‘la Vanguardia’ publia un dessin montrant un imposant immeuble, avec un signe extérieur indiquant « Musée de l’Holocauste juif », et à côté un autre immeuble en construction, avec un grand signe indiquant « Futur Musée de l’Holocauste palestinien »).


Le plus grand journal grec, le quotidien de gauche ‘Eleftherotypia’, a utilisé plusieurs dessins de ce type. En avril 2002, sur sa page de garde, sous le titre « Holocauste II », un soldat israélien était dépeint comme un officier nazi et un civil palestinien comme un prisonnier dans un camp de la mort juif. En septembre 2002, un autre dessin dans ‘Eleftherotypia’ montrait un soldat israélien avec une étoile juive déclarant à un officier nazi à côté de lui « Arafat n’est plus quelqu’un à qui le Reich peut encore parler ». L’officier nazi répondait « Pourquoi ? Il est juif ? ».





En Italie, en Octobre 2001, le site Internet de l’un des journaux les plus respectés du pays, ‘la Reppublica’, publia le faux notoirement antisémite « les Protocoles des Sages de Sion », dans leur totalité, sans apporter la moindre explication historique. Il suggérait, cependant, que l’œuvre aiderait les lecteurs à comprendre pourquoi les USA avaient entrepris une action militaire contre l’Afghanistan.



En avril 2002, le quotidien libéral italien ‘la Stampa’ mit en page de couverture un dessin montrant un tank israélien, blasonné avec une étoile juive, pointant un large canon sur un Jésus bébé dans une mangeoire, tandis que le bébé plaidait, « Sûrement, ils ne veulent pas me tuer de nouveau, n’est-ce pas ? ».



Dans le ‘Corriere Della Serra’, un autre dessin montrait Jésus piégé dans sa tombe, incapable de se lever, parce qu’Ariel Sharon, pistolet en main, est assis sur le sépulcre.



Le plus grand journal suédois du matin, ‘Dagens Nybeter’, plaça la caricature d’un Juif hassidique, accusant quiconque critiquant Israël, d’antisémitisme. Un autre journal suédois important, ‘Aftonbladet’, utilisa le titre « la crucifixion d’Arafat ».


Si le reportage biaisé, et les préjugés étaient limités à un ou à deux journaux ou programmes de télévision dans chaque pays, il serait possible de les ignorer. Mais ce n’est pas le cas. Dénigrer Israël s’étend même à des journaux locaux qui ne couvrent pas généralement les Affaires Etrangères, tels que les titres étalés sur une double page « Juifs dans des bottes militaires » dans ‘Luton on Sunday’. (Luton est une ville industrielle du sud de l’Angleterre). Ou bien l’article du principal journal régional de Norvège, ‘Stavanger Aftenblad’, mettant à égalité les actions d’Israël contre les terroristes à Ramallah avec les attaques sur le World Trade Center.



Des comparaisons grotesques et complètement fausses comme celles-là ne devraient pas trouver place dans les reportages ou les commentaires sur le Moyen-orient. Pourtant, bien que la décision de la Cour française – la première de son espèce en Europe – soit une étape majeure, personne en France ne semble s’en soucier. Le journal le plus distingué du pays, le journal de réputation, a été déclaré coupable d’antisémitisme. On aurait pu penser qu’un tel verdict aurait provoqué une large couverture et conduit à un examen de conscience en profondeur, et à un débat public. Au lieu de cela, il y a eu un silence quasi-complet, et pratiquement aucune couverture dans la presse française .


Et peu de gens ailleurs en auront entendu parler. Reuters et l’Agence France Presse (Agences qui se sont montrées particulièrement pleines de préjugés à l’encontre d’Israël) ont émis de brèves dépêches dans leurs télégrammes en Français la semaine dernière, mais ont choisi de ne pas en faire état dans leurs services de nouvelles en Anglais. L’agence Associated Press ne l’a pas du tout diffusée. Au lieu de déclencher la longue réévaluation qui aurait déjà due être entreprise de l’attitude de l’Europe à l’égard d’Israël, les médias ont choisi de l’ignorer.



(M. Gross est ancien correspondant à Jérusalem du ‘Sunday Telegraph’ et du ‘New York Daily News’).

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par A_Soued (A_Soued) le vendredi 03 juin 2005 - 18h58:

ESPOIRS ET MENACES

Par Albert SOUED, www.chez.com/soued/conf.htm

L'été est bientôt là avec des échéances dramatiques. Je ne parle pas des élections dans de nombreux pays d'Islam, mais du désengagement unilatéral de Gara et de la Samarie du Nord décidée par Ariel Sharon, lors de la conférence d'Hertzlyah en 2003.

Nous espérons tous que cette décision historique s'avérera pertinente, qu'elle ne laissera pas une trop grande blessure dans la société israélienne et qu'elle aura des suites bénéfiques pour l'ensemble du Moyen Orient.

Pourtant les menaces sont plus nombreuses que les signes de paix. Ainsi presque tous les jours Tsahal prévient un ou plusieurs attentats meurtriers contre des objectifs civils. Des missiles sont envoyés sur la ville israélienne de Sdérot, voisine de Gaza, où les habitants sont obligés de se réfugier dans des "cubes" en béton. Le Hamas rassemble un véritable arsenal de guerre et forme une armée (1). En ce qui concerne l'Autorité Palestinienne, je ne citerai que le sheikh Ibrahim Mdairis de Gaza qui le 13 mai a débité un sermon terrible, relayé par satellite dans le monde entier, où il demande l'élimination des Juifs, une "solution finale" arabe (2). Le ministre palestinien de l'Information Nabil Shaath a demandé sa révocation par l'Autorité Palestinienne. Mais le sheikh est toujours là, prêt à récidiver. Et au lieu d'être désarmé le Hamas est réarmé d'armes sophistiquées sous l'égide de l'Egypte.

Malgré les injonctions de l'Onu, l'armée islamiste du sheikh Nasrallah occupe toujours le Liban du Sud et le gouvernement libanais n'est pas pressé de désarmer ce Hezbollah, le "parti de Dieu" qui pointe au moins 13 000 missiles sur le Nord d'Israël. Pourtant il n'y a plus de contentieux sérieux entre le Liban et Israël, en dehors d'un lopin de terre, "les fermes de Sheba", qui est considéré comme syrien et non libanais par l'Onu. Alors il faut chercher ailleurs les motivations de ce chef charismatique shiite qui n'hésite pas à défier les Etats-Unis dans un rallye à Beyrouth "Nous disons aux Américains: il n'est pas possible, il est interdit de désarmer le H'ezbollah, seule résistance contre Israël…Ce qu'il leur reste à faire c'est de venir nous désarmer…nous les attendons et nous souhaitons qu'ils viennent…." Nasrallah cherche à étendre son pouvoir au Liban et le prétexte d'Israël lui sert de faire valoir. Pour assouvir ses ambitions, il est prêt à déstabiliser le Moyen Orient par ses provocations.

Les velléités nucléaires de l'Iran ne peuvent s'expliquer que par le désir de posséder l'arme suprême, qui garantirait la pérennité d'un pouvoir honni par la majorité de la population. L'intégrisme islamique a eu raison de la société iranienne plutôt ouverte et avide de modernité. Le bouc émissaire des ambitions des mollahs et ayatollahs en place est encore une fois Israël, qui n'a aucun litige objectif avec l'Iran. Le porte parole du Ministre des affaires Etrangères, Reza Assefi déclare que "l'Iran ne reconnaîtra jamais Israël, même si celui-ci s'entend avec les Palestiniens pour faire la paix, même si les Palestiniens avaient leur propre État; en aucun cas l'Iran ne reconnaîtra le régime sioniste…"

L'Iran menace également d'effacer Israël de la surface de la terre par une seule bombe nucléaire…Pour contrecarrer cette menace, l'Europe négocie avec des interlocuteurs soufflant alternativement le chaud et le froid et cherchant à gagner du temps. Par ailleurs les Etats-Unis agitent plutôt la carotte que le bâton, en ouvrant à l'Iran la porte de l'Organisation Mondiale du Commerce.

Dans les pays arabes les rares voix de la démocratie et de la paix avec Israël sont muselées, arrêtées et souvent assassinées (3). A contrario les voix des semeurs de haine sont amplifiées par les médias. Les forces antidémocratiques s'agitent. Trois signes qui ne trompent pas. Ces derniers jours, Samit Qassir, un journaliste libanais anti-syrien et homme libre écrivant dans Al Nahar, saute avec sa voiture en mettant la clé de contact. Un journaliste palestinien avocat de la non violence et de la démocratie, Samir Rantissi est tué de deux balles dans la tête, chez lui, devant sa femme. Ali Salem, un des rares journalistes égyptiens pro-israélien est empêché à Taba, de passer en territoire israélien pour recevoir une distinction honorifique.

C'est pourquoi il faut écouter la voix de la sagesse allemande, Joshka Fisher, ministre des affaires étrangères, qui dit "La majeure partie des voisins d'Israël ne reconnaissent pas son existence, c'est pourquoi Israël doit veiller à garder sa supériorité militaire".

En tout cas Israël ne peut pas baisser sa garde devant tant de menaces et malgré beaucoup d'espoir.

Notes

(1) Le chef du bureau politique du Hamas, Abou Marzouk déclare "Notre position à l’heure actuelle, comme demain et dans un futur proche ou éloigné, est claire: nous refusons tout dialogue avec l’ennemi sioniste et exigeons que l’Autorité palestinienne considère que notre opposition est le seul moyen de libérer notre terre".

Par ailleurs un nouveau groupe terroriste lié à al Qaeda commence à opérer à Gaza sous l'égide de certaines franges du Hamas. Il porte le nom de Jundallah, "les soldats de Dieu". Son porte parole Abou Abdallah el Khattab déclare "Nous n'attachons aucune importance au cessez-le-feu…."

(2) Voici quelques extraits du sermon du vendredi 13 mai diffusé sur la télévision de l’Autorité palestinienne, sermon prononcé par le Sheikh Ibrahim Mdairis, employé rémunéré par l’Autorité palestinienne. Voir Memri n°908 et visionner le sermon (clip n°669) sur www.memritv.org.

"Allah nous a torturés au moyen du peuple le plus hostile aux croyants, les Juifs. Vous découvrirez que ceux qui haïssent le plus les croyants sont les Juifs et les polythéistes. Allah a mis en garde son prophète bien-aimé Mahomet contre les Juifs qui ont tué leurs prophètes, falsifié leur Torah et semé la corruption tout au long de leur histoire.

Avec la création de l’Etat d’Israël, toute la nation islamique a été perdue, car Israël est un cancer qui se répand dans le corps de la nation islamique et parce que les Juifs sont un virus semblable au SIDA dont le monde entier souffre.

Vous découvrirez que les Juifs sont derrière toutes les guerres civiles de ce monde. Les Juifs sont derrière la souffrance des nations.

Demandez à la Grande-Bretagne ce qu’elle a fait aux Juifs au début du VIe siècle. Qu’a-t-elle fait aux Juifs ? Elle les a expulsés, torturés, les empêchant de pénétrer en Grande-Bretagne pendant plus de 300 ans. Tout cela en raison des agissements des Juifs en Grande-Bretagne. Demandez à la France ce qu’elle a fait aux Juifs. Elle les a torturés, expulsés ; elle a brûlé leur Talmud en raison de la guerre civile que les Juifs cherchaient à initier en France, à l’époque de Louis XIX. Demandez au Portugal ce qu’il a fait aux Juifs. Demandez à la Russie tsariste, qui a accueilli les Juifs, qui c’est qui complotait pour tuer le Tsar – lequel les a donc massacrés. Mais ne demandez pas à l’Allemagne ce qu’elle a fait aux Juifs. Ce sont les Juifs qui ont provoqué le nazisme pour faire la guerre au monde entier quand, à l’aide du mouvement sioniste, ils ont incité d’autres pays à mener une guerre économique contre l’Allemagne et à boycotter les produits allemands. Ils ont provoqué la Russie, la Grande-Bretagne, la France et l’Italie. Ils ont rendu les Allemands furieux, ce qui a conduit aux événements de l’époque, que les Juifs ont commémorés aujourd’hui.

Mais leurs actions sont pires que celles qu’ils ont subies pendant la guerre nazie. Certes, certains parmi eux ont peut-être bien été tués, et certains autres brûlés, mais ils grossissent les faits pour rallier les médias et le monde à leur cause. Les pires crimes de l'histoire ont été commis contre les Juifs, mais ces crimes ne sont pas pires que ceux que commettent les Juifs en Palestine. Ce qui a été fait aux Juifs était un crime, mais ce que font les Juifs aujourd'hui en terre de Palestine n'est-il donc pas un crime ?

Regardez l'histoire moderne. Que sont devenues la Grande-Bretagne, la Russie tsariste, la France – la France qui dominait presque la totalité du monde ? Où est l'Allemagne nazie qui a massacré des millions de personnes et dominé le monde ? Où sont passées toutes ces superpuissances ? Celui qui les a fait disparaître fera aussi disparaître l'Amérique, si Dieu le veut. Celui qui a fait disparaître la Russie en une nuit est capable de faire disparaître et s’effondrer l’Amérique aussi, si Dieu le veut.
Nous avons autrefois dominé le monde, et par Allah, le jour viendra où nous le dominerons à nouveau. Le jour viendra où nous dirigerons l'Amérique. Le jour viendra où nous dirigerons la Grande-Bretagne et le monde entier – sauf les Juifs. Sous notre domination, les Juifs n'auront pas une vie tranquille, parce qu'ils sont des traîtres par nature, et ils l'ont toujours été tout au long de l'histoire. Le jour viendra où tous seront soulagés des Juifs, même les arbres et les pierres qui ont été leurs victimes. Ecoutez le prophète Mahomet, qui vous parle de la triste fin qui attend les Juifs. Chaque arbre et chaque pierre voudront que les musulmans viennent à bout de tous les Juifs".

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le vendredi 03 juin 2005 - 17h08:

Court reportage sur TF1 hier soir:

On nous montre le tribunal de Haifa ou lors d'un delibere pour crime s'en est suivi une bataille monstre entre gardiens de police et le public. On voyait les chaises voler et les gens se taper dessus.. Belle image de respect des institutions judiciaires.

Evidemment pour le franchouillard moyen qui regarde le JT, tribunal israelien = jugement d'israeliens = brutes.

PPDA n'a pas juge utile de preciser que les casseurs etaient des arabes israeliens.

Un message subliminal qui transpire la desinfo..

PS a l'attention de .. ..... : Oui je sais ce message est encore un enieme message de propagande - zeuktch fatiguant a la fin !!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le vendredi 03 juin 2005 - 12h25:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Cher Sarel, quand vous annoncez :

“J’ai remarque que chacun presentait ses idees a un lecteur eventuel .Comme si on se trouvait dans le marche du village et la marchandise est etalee.C'est normal qu'elle soit differente mais il n'y a pas de transaction entre les gens. Ce qui fait qu'on a l'impression qu'on est seul. Et c'est cela que j'aurais voulu changer .Il faudrait qu'on se parle et qu'on essaye de persuader ou dissuader .Il faudrait savoir si le champ magnetique a influe .Car c'est cela au fait le but de ces ecritures . Chacun connait des propres idees et a besoin de les echanger .C'est ce qui fait fructifier les discussions.J'ai l'impression que chacun érit pour lui meme et c'est dommage .”

On peut dire que vous avez mis dans le Mille !

A sa création ADRA avait pour devise : “Vous aimez parler, partager, exprimer, critiquer, analyser, décortiquer, impressionner, informer”.

Il est de constater qu’on en est bien loin, tant on est noyés sous un flot continu de copiés-collés, que par ailleurs, l’on reçoit les mêmes par mail, depuis des sources multiples, qui finissent par fatiguer le lecteur, tant ces messages peuvent s’apparenter à du matraquage de propagande.

Tout se passe comme si les ADRASSIENS ne seraient que les portes paroles de sois disant “Lumières”, à qui ils délèguent leur propre droit de penser et de s’exprimer, bannissant ainsi leurs propre opinion, peut-être par une peur irraisonnée du regard des autres intervenants.

Remarquez que ce n’est que le reflet de la société dans laquelle nous vivons.

Bien à Vous,

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Sarel (Sarel) le vendredi 03 juin 2005 - 09h58:

PRESENTATION
Bonjour a tous
CEla fait deux semaines que j'ecris dans ces
commentaires .J'ai remarque que chacun presentait ses idees a un lecteur eventuel
Comme si on se trouvait dans le marche du village et la marchandise est etalee.C'est normal qu'elle soit differente mais il n'y a pas de transaction entre les gens.
Ce qui fait qu'on a l'impression qu'on est seul.
Et c'est cela que j'aurais voulu changer .Il faudrait qu'on se parle et qu'on essaye de persuader ou dissuader .Il faudrait savoir si le champ magnetique a influe .Car c'est cela au fait le but de ces ecritures .
Chacun connait des propres idees et a besoin de les echanger .C'est ce qui fait fructifier
les discussions.J'ai l'impression que chacun ecrit pour lui meme et c'est dommage .Par exemple le traite sur "LeVINAS"est tres important
L'actualite qui occupe pas mal de personnes devrait interresser les lecteurs.
Essayez de connaitre un peu plus ISRAEL
C'est un roman dont les pages d'aujourd'hui
dependent uniquement de celles d/antant
Je vous quitte et a la prochaine fois
sarel

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le vendredi 03 juin 2005 - 09h23:

POUR INSTRUIRE LES JEUNES MAGREBINS IGNORANTS DE LEUR VRAIE HISTOIRE Pourquoi parle t'on d'Etats arabes et non Arabophones par la force du nombre des armes et des conversions forcés:::::
"Cette semaine, un évènement grave a failli avoir lieu en Israël et a retenu l’attention de la rédaction. A Jérusalem, deux terroristes du Jihad islamique ont été arrêtés avant de commetre leur forfait. Cet évènement est passé presque inaperçu du grand public et cela nous semble déplorable.
Notre comité de rédaction nous demande également d’attirer votre attention, à travers cet éditorial, sur l’isolement de la communauté berbère qui, en Algérie, est victime de violences et dont l'identité est niée, le tout dans une indifférence quasi générale…

Jérusalem, mardi 31 mai 2005. Une information nous parvient par une de nos sources sur place, ce qui entraîne la publication de cette news on ne peut plus laconique :

14:59 Les forces de sécurité ont été mises en état d'alerte avancée dans la région de Jérusalem où l'on redoute apparemment un attentat. Aucune autre précision n'est disponible pour le moment. (Guysen Israël News)

Nous sommes malheureusement presque les seuls à annoncer cette nouvelle. Ce jour-là, à Jérusalem, rien ne pouvait laisser penser que les forces de sécurité étaient en alerte. Vous pouviez penser que Guysen avait commis une erreur en publiant cette news. Mais, nous, nous savions notre source fiable. Nous savions aussi qu’un terroriste devait se faire exploser à Ramot et l’autre dans une discothèque d’un autre quartier de la capitale. Afin de ne pas être trop alarmistes, nous avions préféré ne pas révéler toutes nos informations. Ce fut une erreur de notre part.

Le lendemain, 1er juin 2005, nous apprenions :

20:17 Un double attentat évité à Jérusalem : la police a arrêté lundi plusieurs membres d'un réseau du Jihad islamique qui préparaient un double attentat suicide à Jérusalem. Les deux terroristes qui devaient se faire exploser n'ont pas encore été retrouvés. (Guysen Israël News)

Heureusement, depuis cette annonce, les deux terroristes ont été arrêtés…

Ce récapitulatif vient nous démontrer que la terreur est toujours à nos portes. Il faut rester vigilants. Et quant à nous, organes de presse, au risque de nous tromper, nous devons continuer à alerter la population lorsqu’un danger sécuritaire est pressenti.

Vous êtes nombreux, de toutes religions ou athées, d’Europe, d’Amérique, d’Afrique ou d’Asie, à nous écrire pour exprimer votre attachement à l’Etat d’Israël et à votre agence de presse ainsi que votre refus de l’antisémitisme et du terrorisme. Le 17 avril, lors de la journée « Israël je t’aime », Guysen a accueilli dans son stand des amis de tous horizons. Nous nous souvenons avec joie de cette mère de famille chrétienne si sympathique venue exprès du canton de Vaud pour témoigner de sa solidarité avec l’Etat juif, évoquer ses voyages en Israël et nous offrir un cadeau. Et ce jeune homme originaire du Cameroun, fidèle lecteur de Guysen, déplorant la montée de l’islamisme dans son pays natal, nous racontait ses efforts pour sensibiliser des politiciens français à la menace islamiste...

Tous vos messages nous touchent.

Guysen a décidé d’ouvrir davantage ses colonnes à ceux dont l’histoire présente des points communs avec le peuple juif ou l’Etat d’Israël. C’est le cas notamment des Arméniens, des Rwandais, des habitants du Darfour (Soudan) et des Berbères en Afrique du Nord.

Sait-on que nombre de Berbères, dont la célèbre la reine Kahena, étaient juifs ? Sait-on que Juifs et Berbères - la langue berbère est d'ailleurs une langue sémite - se sont mutuellement influencés : dans les pratiques religieuses, dans le folklore, dans les mets, etc. ?

Ainsi s’explique l’interpellation de Me Mustapha Saadi, président de la Coordination des Berbères de France (CBF), lors du colloque '' Juifs et Berbères dans la République '' le 22 mai à Paris : '' Pourquoi des Juifs originaires d'Afrique du Nord, israéliens ou français, se déclarent-ils Juifs arabes, et non Juifs berbères ? Pour l'essentiel, ils sont berbères ! Pourquoi ne parle-t-on pas des Judéo-Berbères dans l'histoire des Juifs sépharades ? ''

Alors que les Juifs, en Israël ou ailleurs, se sentent si isolés, agressés et traités en parias, nous saluons les Musulmans qui condamnent l’antisémitisme ou l’antisionisme, tel l’écrivain Morad El Hattab, ou qui s’opposent au boycott de l’Etat d’Israël, tel le Mouvement des maghrébins laïcs de France.

Ecoutons encore Ferhat Mehenni, chanteur et porte-parole du Mouvement pour l'autonomie de la Kabylie, déclarer à Paris, le 27 mai : '' En cultivant la haine du Juif en Algérie, l'Etat est parvenu à y instaurer un terrorisme politique et intellectuel qu'il est encore très dangereux de braver. La Kabylie, opprimée au nom de l'arabo-islamisme, espérait en vain depuis longtemps un regard, une compassion de la part de la communauté internationale, Israël compris, pour défendre ses droits démocratiques. Elle n'hésite pas à exprimer dans la rue son soutien à l'Etat hébreu. En manipulant leur opinion publique à travers la condamnation quotidienne du '' sionisme '', les dictatures arabes se re-légitiment et repoussent chez elles l'échéance d'une ouverture démocratique. En Algérie, il est courant de faire diversion à l'intérieur du pays en associant Israël à la Kabylie pour légitimer la répression contre l'émancipation du peuple kabyle ''.

Désormais, des douleurs, sur lesquelles trop de médias restent silencieux, feront l'objet d'un plus large écho sur Guysen.

Nous remercions tous ceux qui ont exprimé leurs émotions lors du décès de André Soussan (z’’l). Nous transmettrons leurs messages à la famille d'André.

Pour terminer, nous assurons les familles victimes du terrorisme et de la violence que nous pensons toujours à elles et que nous partageons leur douleur.

Véronique Chemla et Guy Senbel


***

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le vendredi 03 juin 2005 - 06h59:

L’Iran et la Syrie s’envoient en l’air (info # 010206/5) [analyse]

Par Jean Tsadik © Metula News Agency



Voici quelques jours l’Iran et la Syrie ont procédé, séparément, à des tirs d’essai de leurs missiles respectifs. La République Islamique a procédé au test de son Shihab-3 (Météore), dérivé du missile nord-coréen de moyenne portée, le Nodong-1, alors que la Syrie a lancé trois de ses Scud de différentes versions.



Le ministre de la Défense du gouvernement de Téhéran, Ali Shamkani, a qualifié auprès de l’agence IRNA la tentative de succès, précisant que "toutes les cibles prédéterminées avaient été atteintes lors du test".



Dans un autre communiqué, les mêmes sources nient les allégations israéliennes et américaines selon lesquelles l’Iran chercherait à développer des ogives nucléaires qui pourraient être transportées par le Shihab-3. A en croire Ali Shamkani, le programme iranien de développement de missiles serait mené dans un but dissuasif, afin de faire face à l’essor des moyens israéliens anti-missiles. D’après le ministre, son pays "travaillerait à améliorer la portée et la précision du Shihab-3" pour contrer lesdites avancées israéliennes.



Les déclarations de Shamkani – contre-amiral de réserve – sont toutes à prendre avec précaution. Le 21 septembre 2000, suite à un essai précédent du Shihab-3, cet officiel n’avait-il pas déclaré sur la radio de la Voix de la République Islamique que cet autre tir avait été couronné de succès et que l’Iran disposait alors de la technologie nécessaire pour passer au stade de "la production de systèmes de guidage pour satellites", soulignant que "le missile n’avait pas de vocation militaire et qu’il était destiné à compléter la première phase d’opérations non militaires".



Il s’agissait en fait du troisième essai du Shihab-3D. Quelques jours plus tard, on apprenait des services de renseignement américains que l’annonce de la réussite du tir était tout aussi apocryphe que le communiqué annonçant le caractère scientifique et spatial du programme des ayatollahs. Le Shihab avait explosé lors de son décollage, tenté non loin de la ville de Semnan. Les experts en déduisaient que l’heure n’était pas non plus venue pour les islamistes de se lancer dans la production en série de cet objet volant apparemment pas encore au point.



La dernière tentative a été, tout comme les précédentes, remarquée par le système de surveillance et d’alerte par satellites à disposition de l’armée américaine. On ne peut dire, à l’heure d’écrire cet article, si le nouveau dérivé du système israélien Pin Vert, de détection et de direction de tir du Khetz II, spécialement développé afin de faire échec au Shihab-3, a également acquis la signature du dernier test iranien. Le saurait-on, que je ne l’écrirais pas, tant la lutte que se livrent à distance les développeurs du Shihab et ceux de l’anti-Shihab est vive, tant il est essentiel pour Israël et l’Occident de parvenir à rendre le Khetz opérationnel contre cette menace, et tant, enfin, il n’est pas dans notre vocation d’informer les exciseurs de Téhéran sur l’état des recherches menées par leurs adversaires.



Ce que l’on peut dire cependant, c’est qu’il est trop tôt pour évaluer le degré de succès de l’essai effectué par les Perses mais que les informations ont été enregistrées et que, dans un laps de deux mois tout au plus, les Américains communiqueront à leurs alliés tous les détails importants relatifs à ce dernier tir. Sans vouloir prophétiser, selon des informations très fragmentaires en notre possession, il semblerait que les successeurs de Khomeiny ne seraient pas au bout de leurs peines et que l’affirmation selon laquelle les cibles désignées auraient été atteintes dénote d’une certaine dose de donquichottisme. A Métula, nous ne sommes même pas sûrs que des cibles aient été désignées dans le cadre de ce dernier exercice.



Quoi qu’il en soit, le département d’Etat à Washington a réagi énergiquement à l’annonce de l’essai iranien, son porte-parole, Adam Ereli, déclarant notamment que "les tentatives iraniennes afin d’améliorer la capacité de leurs missiles représentaient une menace pour la région ainsi que pour les intérêts américains. (…) Nous allons continuer à prendre des mesures relativement aux efforts de l’Iran dans le domaine des missiles", a poursuivi Ereli," et à travailler étroitement avec d’autres pays partageant nos préoccupations".



La Ména, de rappeler à nos lecteurs que le Shihab-3 possède une portée théorique de 1'350 à 1’500 kilomètres – de quoi atteindre le territoire israélien – ainsi qu’une charge utile de l’ordre de 1'100 kilos, largement suffisante pour transporter une bombe atomique ou d’autres charges non conventionnelles. Sa probabilité d’erreur circulaire (CEP) se situerait aux alentours de 3 kilomètres. Rappelons aussi qu’en septembre dernier, le Khetz II avait échoué, lors d’un test mené aux Etats-Unis, dans sa tentative d’interception d’un missile figurant les caractéristiques du Shihab-3 ou 4 [lire "Le double échec spatial israélien et ses conséquences, 1ère partie"].



Pendant que les Perses s’entêtent à vouloir modifier le Nodong, par l’entremise de leurs bureaux de recherche Shahid Hemat Industrial Group (SHIG) et Shahid Bagheri Industrial Group (SBIG), de sociétés chinoises, comme la China Great Wall Industries et de partenaires russes, d’autres pays, tel le Pakistan pour son missile Ghauri-II, ont simplement copié l’émulation dessinée par Pyongyang du Scud soviétique. Et ça marche beaucoup mieux.



Quant au régime syrien de Béchar al-Assad, il a tenté de se refaire une beauté suite à son expulsion du Liban, aux remous domestiques qui le secouent, à sa situation économique déplorable et aux menaces, de plus en plus précises, formulées à son encontre pas l’Administration U.S pour son aide aux terroristes iraquiens. Sa réponse : l’envoi dans l’éther de trois missiles Scud de diverses versions.



Là nous pouvons le dire, le Pin Vert a précisément détecté l’exercice des Alaouites, identifiant de plus, que l’un des missiles avait explosé quelques secondes après son décollage. Le Scud est l’ancêtre des missiles balistiques, il est un peu au missile ce que le Kalachnikov est au fusil d’assaut. Mis au point par des scientifiques nazis capturés par l’armée rouge, il est la déclinaison directe de la fusée V-2, de triste mémoire pour les habitants du Royaume-Uni. Entré en service en 1955, le Scud A – le R-11 pour les Soviétiques – constituait, avec sa portée de 190 km, le "missile idéal" pour les combats qui risquaient de se déclarer en Europe par-dessus le rideau de fer. Malgré sa précision plus que discutable – plus de 3 kilomètres autour du point visé – il pouvait transporter une charge nucléaire de 50 kilotonnes, de quoi faire des dégâts apocalyptiques parmi les soldats de l’OTAN.



Le Scud A fut rapidement remplacé par le B, qui présente l’avantage d’être transportable sur des camions de type MAZ-543, par exemple. En 1973, l’Egypte envoya quelques exemplaires de Scud B sur les Israéliens qui n’influèrent guère sur le déroulement des combats. Le Scud est sans aucun doute le missile qui fut le plus utilisé lors des conflits modernes. On le vit à l’œuvre lors de la guerre Iran-Irak (700 unités furent tirées), en Afghanistan (2'000), durant la première guerre du Golfe, etc. Plus de 7'000 Scud B ont été produits en URSS-Russie ainsi que, sous des variantes et en quantités diverses, en Egypte, Irak, Iran, Corée du Nord et Syrie.



Le Scud B possède une portée de 300 km et dispose d’un CEP d’environ 450 mètres. Les variantes successives du V-2 soviétique, les modèles C et D, peuvent parcourir des distances supérieures et sont, en principe, plus précis que leurs prédécesseurs. La Syrie, quant à elle, a reçu au cours des années près de 550 Scud B, C et D. Elle produit elle-même des Scud aux portées de 300, 500 et 700 km, soit de quoi couvrir tout le territoire israélien. Depuis 2001, l’industrie de guerre des al-Assad produit des têtes chimiques et biologiques pour les Scud B qu’elle fabrique. Cela se passe principalement sur le site d’Al Saphir, et avec le concours dévoué d’experts venus de Pyongyang et de Téhéran.




Parfois le projet syrien connaît des avatars meurtriers et destructeurs [lire "Immense explosion dans une fabrique syrienne !"] ou des accidents ; on les dénombre par dizaines. Aujourd’hui, après bien des péripéties, il semblerait que Béchar dispose d’une cinquantaine de missiles en état opérationnel. Mais son activité autour des Scud et des armes chimiques et biologiques fait courir à la région des risques terribles. Pour peu que l’un des missiles tirés l’autre jour ait pris un cap le dirigeant vers Israël, il aurait certainement été abattu par un Khetz. Puis on aurait vu, en l’espace d’une poignée de minutes, les missiles balistiques et les missiles de croisière ultrasophistiqués de l’Etat hébreu fondre sur tout ce qui constitue un risque quelconque pour sa survie dans la népotie tyrannique de la tribu al-Assad, sans compter les avions frappés de l’étoile de David bleue. En cas d’attaque balistique syrienne sur Israël, les destructions, en Syrie, ainsi que les pertes humaines seraient considérables ; sans oublier que l’armée de Béchar se situe à des années lumières de posséder la moindre parade contre l’armada israélienne.


Alors, que cherche le rejeton pas très réussi des al-Assad ? N’a-t-il pas appris de ses récentes déconvenues que, dans cette région, certains bluffs se terminent en tragédies ? S’il croit impressionner les Américains ou les Israéliens avec sa verroterie issue d’une technologie datant de la seconde guerre mondiale, il se trompe. Il ne fait que les irriter et leur montrer à quel point il manque de logique et il est, en conséquence, régionalement de plus en plus superfétatoire. En cas de confrontation, personne n’aurait le temps d’entendre parler des Scud d’al-Assad, ni d’ailleurs des usines de mort, type Al Saphir, que sa dynastie de voyous a construites en saignant à blanc les chances de bien-être des citoyens syriens.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le jeudi 02 juin 2005 - 19h50:

Lu sur le forum de discussion maghrebin mejliss el kalam

http://www.mejliss.com/showthread.php?t=197648
Un certain cherif-69 annonce qu'il quitte la France pour le Maroc (bon vent!).

Lisez donc les réponses de ses correlegionnaires..
les petites parentheses sont de mon cru..

Mme Rodriguez et Mme Fernandez parlaient muy mal le francais mais eux par contre ils ne savent meme pas ecrire.. matez les fotes d'orthographe! Integration reussie for sure... Pauvres Voltaire et Montesquieu!

Oui je sais je sais je suis raciste!!!

*************************************************
marwan5

Re: Je me casse!!!!!!!!!!!!!! (eh ben casses toi..)

salam aleykoum,

Je conteste pas le faite que tu part t'installer dans ton pays le Maroc,mais moi personellement je suis Algérien né en france et comptemps malgré tout de vivre en FRANCE .
> mais je trouve un peu lache la façon dont tu t'exprime,pour moi le combat continu ici nous sommes officiellement 6 000 000 de musulmans
officiellement,car la réalité est tout autre dans ce pays ,donc je suis francais de confession musulmane est j'en suis fiér car convaincu de la veritée et croit moit sur parole " chui pas pret de bougé ! !"
France terre d'Islam

(Dommage celui la merite aussi d'etre vire!)

Al Qassam

Re : Je me casse !!!!!!!!!!!!!!
Selem a'leykom

macha Allah akhi ca fait plaisir de voir que l' on peut monter des projets et ainsi en quelque sorte faire Hijra, avec de la volonté et l' aide d'Allah on y arrive.Tu es un bel exemple pour les Muslimins qui veulent quitter ce pays, qu' est-ce que je ne ferais pas pour avoir un travail dans un pays Musulman et ainsi pouvoir vivre ma foi pleinement en accord avec la
Parole d' Allah (personne ne te retient coco!!)

Personnellement je ne me suis jamais senti francais et ne me le sentirais probablement jamais malgré le fait que je sois né et que j' ai grandi ici.

qu' Allah sobhana wa taala nous donne la possibilité de réaliser la même chose que tu as fais, amine.

(Nous aussi on dit Amine!)

UPSILONNE
> Re : Je me casse !!!!!!!!!!!!!!
Assalam AlaikooooooOum

La KESTION à mon avis c pas de dire chui français chui pas français ça ne rime à rien si tu pars au bled sans rien vaut mieux rester içi ..........

Si tu n'as pas de diplÔme et que tu pars poooooOOur grooOssir les rangs de la misère la bas mon pauvre tu n'as rien coooOmpris...
> Mais par contre avc un projet clée en main mieux vaut partir là-bas en
plus avec la double nationalité c béton

(Et voila comment ils seduisent les Francaises pr l'obtenir cette double nationalite!!)

marwan5
c'est ou ta ville ?
vient dans le 93 tu verra ya une autre france (oui ca c'est sur...)
est d'ailleur tu n'a pas besoin de t'intégrée jte repete que t'est chez toi ici !

(ben voyons..)