Archive jusqu'au 03/juin/2005

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2005: Commentaires Juin 2005: Archive jusqu'au 03/juin/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le jeudi 02 juin 2005 - 19h23:

Voila un article interessant deniché par Michka et qui conforte mes vues:

Le "Non" au référendum sur l´Europe est une bonne nouvelle pour Israël
Robert Cotta / israël-diaspora.info
31 Mai 2005

Le non français à la Constitution européenne est une bonne nouvelle pour Israël, car cette Constitution avait pour ambition de transformer une Europe, essentiellement économique en une force politique avec, en particulier, une politique étrangère commune et forte. Or sur le plan politique, l'Europe n'a cessé de jouer un rôle négatif, voire nuisible, dans le conflit israélo-arabe ;

Le non français à la Constitution européenne doit être analysé comme une bonne nouvelle par Israël. Il y a à cela une raison simple : cette Constitution avait pour ambition de transformer une Europe, essentiellement économique jusqu'à ce jour, en une force politique avec les symboles d'un Etat européen, un Président, un gouvernement, et un Ministre des affaires étrangères parlant au nom de toute l'Europe, en particulier dans le conflit israélo-arabe. Or sur le plan politique, l'Europe n'a cessé de jouer un rôle négatif, on peut même dire nuisible, dans le conflit israélo-arabe ; elle a joué un rôle majeur dans la promotion de la cause palestinienne, elle est le foyer, dans pratiquement tous les pays, d'un renouveau marqué et inquiétant de l'antisémitisme. Le renforcement politique de l'Europe est donc un danger grave pour l'avenir d'Israël et la paix au Moyen Orient. Son antisionisme et son parti pris pro-arabe en seraient très fortement accrus.

Cet antisionisme est trop ancré pour qu'on puisse penser à un changement de politique. Pourquoi ?

- D'abord parce que l'Europe en son entier est le foyer premier et permanent de l'antisémitisme et ce depuis près de 1500 ans. L'Europe est imprégnée et nourrie par l'ancien antijudaïsme chrétien. La liste des pays européens constitue un inventaire géographique de toutes les pages noires de l'histoire juive : l'Espagne et l'Inquisition, la France des Croisades à Vichy en passant par l'affaire Dreyfus, l'Angleterre, de l'expulsion des Juifs à la trahison après la très brève embellie de la déclaration Balfour, l'Allemagne et la Shoah, les pays de l'Est et leurs pogroms à répétition etc. L'Europe est le plus grand cimetière des Juifs.
Elle est aujourd'hui le fer de lance de l'antisionisme et un sondage a révélé que 59% des Européens sont hostiles à Israël. Elle connaît un renouveau inquiétant de l'antisémitisme actif.

- Ensuite l'Europe est imprégnée de l'idée fausse, héritée de la révolution française, que les Juifs sont seulement les tenants d'une confession et non AUSSI un peuple. Elle croit assez stupidement qu'Israël est un Etat confessionnel ce qui est incompatible avec la vision laïque européenne. Elle n'a encore rien compris à la volonté de libération nationale d'un peuple lassé de vivre depuis des siècles "chez les autres" dont "l'hospitalité" est en dent de scie et se paye à très haut prix, un peuple ne disposant d'aucun "chez lui" où il soit maître de son destin et de son histoire, un peuple dont on a voulu hériter de son vivant tant de son patrimoine spirituel que de sa terre.

- Enfin l'Europe est une cause perdue pour les Juifs parce qu'elle a choisi, pour faire face à l'émergence d'Etats-continents comme la Russie, les USA, la Chine, l'Inde, le Brésil etc., de s'allier au monde arabe dans l'Eurabia.
Or le monde arabe a très clairement exigé comme condition que l'Europe se range à ses côtés contre Israël.

Le rejet de la Constitution ne met nullement un terme à ces menaces, certes, mais il les retarde très fortement, les minimise donnant ainsi un répit à Israël.

C'est également une bonne chose que Chirac en sorte affaibli, car son action a été particulièrement nocive pour Israël.

Enfin, il est excellent que les Israéliens qui se bercent d'illusions en "rêvant" d'une entrée d'Israël dans l'Europe, ce qui serait le début de sa fin, soient amenés à réfléchir.

En revanche, le bilan pour les Juifs de France est plus mitigé. Il est en effet inquiétant de voir que l'alliance de l'extrême gauche et de l'exrême droite a fait l'élection. Il s'agit d'un rassemblement des anti-sémites de droite et des anti-sionistes de gauche. Mais il n'y a pas lieu de s'en inquiéter outre mesure : ils ne peuvent former une majorité de gouvernement, et, de plus, leurs lignes idéologiques sont ultra minoritaires dans le reste de l'Europe.
La volonté de l'extrême gauche de tenter d'imposer une Europe plus "sociale", en réalité plus interventionniste et étatiste, n'a pas non plus de chance de convaincre les Européens qui dans leur grande majorité réclament plutôt plus de libéralisme. Ce ne sont sûrement pas les pays de l'Est qui ont souffert du communisme bureaucratique et autoritaire qui les soutiendront. La "révolte" française, loin de se répandre comme les idées de la Révolution française, risque fort de marginaliser encore plus la France dans l'Europe. Enfin le désir de la France de créer une Europe contre les U.S.A. se révèlera également tout aussi irréaliste.

Israël doit continuer à se méfier de l'Europe et surtout de la France. Il doit se libérer des contraintes économiques à son égard en élargissant de plus en plus son cercle d'action vers l'Asie.

A long terme, l'Europe va s'étioler par sa dénatalité qui lui fera perdre en une cinquantaine d'année autant d'habitants que l'adhésion des dix derniers pays lui en a apporté. Elle va totalement perdre son identité par l'obligation qu'elle aura de recourir à l'immigration pour faire face à la dénatalité et à la nécessité d'encaisser des cotisations pour payer leur retraite aux personnes âgées, bientôt majoritaires dans la "vieille" Europe.

Cessons d'avoir les yeux tournés vers l'Europe sous prétexte qu'elle compte 450 millions d'habitants. Ce n'est rien en comparaison de 7 milliards d'habitants. C'est à peine un tiers des Chinois et moins de la moitié de l'Inde.

On dira que l'Europe reste néanmoins un géant par son savoir scientifique et technologique. Il ne fait pas de doute que la civilisation européenne est la plus grande des civilisations de l'histoire dans ces deux domaines précis.
Néanmoins elle a accompli sa mission historique en donnant en héritage ces valeurs au reste du monde. Aujourd'hui, les ex pays sous développés ont acquis ce savoir, ont rattrapé leur handicap et sont en passe de surclasser les Européens sur leur propre terrain.

Il est infiniment probable, car rien n'est jamais certain en Histoire, que l'Europe a fait son temps et qu'elle amorce son déclin définitif.

Ironie de l'Histoire : il se pourrait que dans la suite des temps, Israël et les Juifs restent les seuls vrais authentiques témoins d'une Europe révolue.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Francois (Francois) le jeudi 02 juin 2005 - 19h05:

Sharon ressent une profonde solitude

Ariel Sharon a fait allusion lundi aux propos que George Bush a tenu durant sa rencontre le 26 mai à la Maison Blanche avec le dirigeant de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas. Il a confié aux parlementaires américains que les Palestiniens ont eu l’impression que les Etats-Unis n’avaient pas l’intention d’exercer sur eux des pressions sérieuses afin qu'ils luttent contre le terrorisme. Sharon a également indiqué que la non-intervention de Bush a eu un impact négatif sur l’opinion publique israélienne.

Selon certains analystes, le président Bush aurait voulu prouver à son hôte palestinien que désormais il accorderait sa confiance au nouveau leadership palestinien pour ainsi effacer le souvenir d’un mauvais climat qui avait régné du temps d’Arafat entre l’AP et les Etats-Unis. «Les Etats-Unis applaudissent le fait que vous ayez condamné le terrorisme», avait affirmé le président américain, alors que Sharon presse Abbas d’agir contre les terroristes depuis des mois.

Ariel Sharon a évoqué les conséquences désastreuses qu’a eu sur les Israéliens l’attitude conciliante de Bush vis-à-vis du dirigeant palestinien. Dès lors, il estime légitime que ceux-ci se posent des questions et regardent le plan de retrait de la bande de Gaza comme une supercherie. Les Israéliens sont tout à fait convaincus à présent que les terroristes se réarment, qu’ils recrutent de nouveaux éléments, qu’ils les entraînent dans l’objectif de déclencher une nouvelle vague de terreur.

Toutefois, cette mésentente entre l’administration américaine et Israël n’est pas le seul souci de Sharon. En effet, Mohammed Ibrahim, l'ambassadeur d'Egypte à Tel-Aviv, a déclaré mardi qu’il était hors de question que les troupes égyptiennes, qui contrôleront la frontière entre la bande de Gaza et son pays, empêchent les attaques terroristes après le retrait israélien de la région. Alors que c’est précisément pour assumer ce rôle que le Premier ministre avait impliqué les Egyptiens dans le plan de retrait.

Plusieurs commentateurs n’hésitent pas à évoquer dans leurs éditoriaux la solitude de Sharon, lâché par les Américains, leurré par les Egyptiens et progressivement désavoué par une opinion publique israélienne qui craint les conséquences d’un plan de retrait sans contrepartie. I.S

Source: http://www.a7fr.com/news.php?id=57202

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le jeudi 02 juin 2005 - 18h50:

Allons-nous faire cesser ce scandale ?

Au-delà du ministère français des Affaires Etrangères, nous vons entendu beaucoup de discours émouvants fin janvier pour la commémoration de la libération du camp d'"extermination d'Auschwitz, sur le thème "Plus jamais ça".
Or cela se reproduit à nos portes, et seules des ONG interviennent avec les faibles effectifs de l'Union Africaine.

J'écoutais hier après-midi à l'UNESCO M. Bruno Joubert, diplomate au quai d'Orsay, Directeur Afrique - Océan Indien au MAE (mail = bruno.joubert@diplomatie.gouv.fr ), justifier la stricte limitation de l'intervention de la France au niveau des Etats par UE interposée, après que je l'ai interpellé sur le devoir de l'Europe de mettre fin au génocide qui se perpétue au Darfour depuis au moins 30 mois.:

Il est temps de dénoncer la collusion entre l'Etat français et l'Etat génocidaire du Soudan.
Le gouvernement de Khartoum est membre de la Ligue Arabe, et apparemment Paris ne saurait lui déplaire.
Le Soudan recèle de ressources énergétiques fossiles, et la France veut y préserver son pré carré, en faisant barrage aux "Anglo-saxons" sous couvert de "défense des Droits de l'Homme".

Un génocide s'est produit il y a onze ans au Rwanda, avec la complicité active de la France et de la Belgique.
Ce n'est qu'aujourd'hui qu'une part du voile ce soulève.

Les citoyens français et l'UE ont des responsablités à faire valoir.
Ils nt su se faire entendre lors du référendum, malgré le matraquage officiel de la bien pensance unique.

Les Affaires Etrangères seraient le "domaine réservé" du Président de la République ?
Faisons en sorte que Jacques Chirac ne déshonore pas la France en Afrique en général, et au Soudan en particulier.

Mobilisons-nous contre le génocide au Soudan.
Merci e faire passer le message à tous vos amis, et sur vos sites.

Simon Pilczer

Soudan : « Khartoum en guerre contre les «French doctors» »

Le Figaro daté du 2 juin 2005

Le Figaro remarque sous sa rubrique « international » qu’« en deux jours, deux responsables de la branche hollandaise de MSF ont été arrêtés au Soudan. […] Les deux hommes ont finalement été libérés contre une caution d'un million de dinars soudanais (3 200 €). Mais ils restent tous deux poursuivis pour «crime contre l'État», accusation passible de 3 ans de prison, et ont encore été longuement interrogés hier », note le journal.
Le Figaro explique que « l'ONG est accusée par le gouvernement de Khartoum de «publication de faux rapports, d'attaques contre la société soudanaise et d'espionnage». L'objet de l'ire des Soudanais est un compte rendu sur «les violences sexuelles au Darfour» publié par l'organisation. Cette enquête, qui s'appuie sur des observations médicales effectuées sur des centaines de victimes, assure qu'au moins 500 femmes auraient subi des viols «dans une période de 4 à 5 mois». L'ONG met directement en cause les troupes soudanaises, la police mais surtout les Djandjawids, ces milices arabes alliées au régime. […] Mais les autorités locales estiment que le rapport de MSF est «erroné». Elles semblent décidées à obtenir son retrait », remarque le quotidien.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le jeudi 02 juin 2005 - 18h54:

Un vieil Arabe vit depuis plus de 40 ans à Chicago. Il aimerait bien planter des pommes de terre dans son jardin mais il est tout seul, vieux et trop faible.

Il envoie alors un E-mail à son fils qui étudie à Paris pour lui faire part de son problème. "Cher Ahmed, je suis très triste car je ne peux pas planter des pommes de terre dans mon jardin. Je suis sûr que si tu étais ici avec moi tu aurais pu m'aider à retourner la terre. Je t'aime, ton Père"

Le lendemain, le vieil homme reçoit un E-mail : "Cher Père, s'il te plaît, ne touche surtout pas au jardin ! J'y ai caché la "chose". Moi aussi je t'aime. Ahmed"

A 4 heures du matin arrivent chez le vieillard la US Army, les Marines, FBI, la CIA et même une unité d'élite des Rangers. Ils fouillent tout le jardin, millimètre par millimètre et repartent déçus car ils n'ont rien trouvé.

Le lendemain, le vieil homme reçoit un nouveau E-mail de la part de son fils : "Cher Père, je suis certain que la terre de tout le jardin est désormais retourné et que tu peux planter tes pommes de terre. Je ne pouvais pas faire plus pour toi. Je t'aime, Ahmed"

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emma (Emma) le jeudi 02 juin 2005 - 18h40:

ISRAËL Ce choix signale une évolution stratégique

Un pilote de chasse aux commandes de Tsahal

Jérusalem : de notre correspondant Patrick Saint-Paul
[02 juin 2005]


Pour la première fois, un officier issu de l'armée de l'air a pris les commandes de Tsahal. En nommant hier au poste de chef d'état-major le général Dan Haalutz, ancien chef de l'armée de l'air, Israël entérine le rôle prééminent pris par la force aérienne au sein de l'armée israélienne depuis la seconde intifada. Ce changement correspond à une évolution stratégique. Il doit permettre à Israël de faire face à de nouvelles menaces, comme le péril nucléaire iranien.


Dans le passé, Tsahal avait besoin d'officiers expérimentés issus des forces terrestres pour préparer et diriger les ripostes contre les attaques de chars et d'infanterie lancées par les pays arabes voisins. Depuis la première intifada, en 1987, la menace a changé de nature. Israël fait face à des actions de guérilla et des opérations terroristes, plus difficiles à combattre avec des moyens classiques. Cette tendance s'est accentuée avec l'explosion de la seconde intifada en septembre 2000.


L'armée de l'air, qui utilise des technologies pointues, a joué un rôle croissant ces dernières années, notamment dans la bande de Gaza, pour contrer les actions palestiniennes, tout en limitant les pertes humaines israéliennes. Des drones et des ballons télécommandés, équipés de systèmes de détection, quadrillent le ciel à Gaza et en Cisjordanie, pour repérer les activités des militants palestiniens. Combinés avec des forces d'élite terrestres, ces moyens ont permis de déjouer bon nombre d'opérations palestiniennes. Les hélicoptères d'attaque ainsi que les drones capables de tirer des roquettes ont été utilisés pour mener des assassinats ciblés et décapiter les réseaux d'activistes palestiniens.


Le général Haalutz, alors commandant de la force aérienne, s'est forgé une réputation de dur sans états d'âme en ordonnant le largage d'une bombe d'une tonne sur un immeuble pour éliminer un dirigeant du Hamas, Salah Chéhadé, en juillet 2002. Quinze civils dont neuf enfants avaient aussi été tués dans l'opération, s'ensuivant de vives protestations à propos desquelles Haalutz déclarera qu'elles ne l'empêchaient pas de dormir. A la question de savoir ce qu'il avait ressenti après le largage de cette bombe, «une légère secousse dans l'appareil, qui a disparu en l'espace d'une seconde», avait-il répondu.


Sa nomination est aussi un message très clair à l'Iran. L'Iran dispose de missiles sol-sol d'une portée de 1 500 km, capables d'atteindre Israël, et serait en mesure, selon les experts militaires israéliens, de produire une bombe atomique d'ici à 2008. Si l'Europe et les États-Unis conjuguent leurs efforts pour lever cette menace par la voie diplomatique, Israël entend se doter des moyens de l'éradiquer lui-même, comme il l'avait fait en bombardant la centrale nucléaire irakienne d'Osirak en 1981.


Dans l'immédiat, le nouveau chef d'état-major aura pour mission de mener à bien l'évacuation des colons de la bande de Gaza et des implantations du nord de la Cisjordanie, prévue en août. C'est une mission sensible. La société israélienne reste profondément divisée sur la question de ce désengagement et les éléments les plus extrémistes chez les colons se disent prêts à tout pour l'empêcher.


L'ancien chef d'état-major, le général Moshé Yaalon, brandit le spectre d'une nouvelle intifada après le désengagement de Gaza. «Si, après le retrait, Israël ne s'engage pas à mener d'autres initiatives, il y aura une explosion de violence, a-t-il mis en garde. Il existe une forte chance pour qu'il y ait une deuxième guerre terroriste. Il y aura des attentats de toutes sortes, des tirs, des bombes, des kamikazes, des mortiers et des Qassam.» Le général Yaalon estime que la zone de confrontation ne se trouvera plus dans la bande de Gaza ou à sa lisière, mais à Tel-Aviv, Jérusalem ou Kfar Saba.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le jeudi 02 juin 2005 - 17h03:

Environnement - Sciences du globe

De l'huile de Mélaleuca à feuilles alternes pour une agriculture saine

BE Israël 36 >> 31/05/2005

http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/28157.htm

L'huile extraite du Mélaleuca à feuilles alternes est connue pour être un antiseptique, un fongicide et un bactéricide naturel et efficace. Cette huile est l'ingrédient clé de deux nouveaux produits, Timor et Timorex, élaborés par la compagnie israélienne Biomor. Les premiers succès de ces produits ont permis à la compagnie de remporter récemment le prix du meilleur projet sélectionné parmi les nouvelles entreprises israéliennes qui font actuellement partie du Programme des Incubateurs Technologiques du gouvernement.

Contrairement aux traitements à base de fer et de souffre, les produits dérivés de l'huile de Mélaleuca n'affectent pas les insectes bénéfiques des plantes et ils ont la propriété de s'évaporer complètement et de ne laisser aucun résidus sur les fruits, les légumes ou les herbes aromatiques. Ils sont aussi efficaces contre un grand nombre de maladies des plantes, des légumes, des herbes, des vignes et des arbres fruitiers, tenant également à l'écart le mildiou et les champignons.

Aux États-Unis, les deux produits ont été reconnus aux par l'Agence de Protection de l'Environnement comme biofongicide

source : Israel21c, 08/05/2005

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 02 juin 2005 - 15h26:

 DEPARDIEU I



Image de ma correspondante sur place MAMILI. pOUR HARISSA.COM. Merci le reste en bas au PTB.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Suggest1 (Suggest1) le jeudi 02 juin 2005 - 11h47:

SOIREE. DEBAT

PROCHE-ORIENT: LA NOUVELLE DONNE

La situation actuelle ou Proche-Orient est, à bien des égards, exceptionnelle.
Pour la première fois on a le sentiment que les Palestiniens ont des dirigeants réalistes et responsables.
Que le gouvernement israélien, bien que dirigé par la droite, semble s’inscrire lentement dans un processus de désengagement des territoires.
Mais, tomme toujours, les extrémistes de tout bord font tout pour que les chances de paix soient torpillées dès que possible.
Quelle est ta nouvelle donne au Proche-Orient et quelles sont les résistances et les forces an présence dans le processus engagé?

C’est à ces questions que David Chemla,

Président de Shalom Arshav Fronce, à accepté de répondre le :

VENDREDI 3 JUIN 2005 À 20 H 30

Au :
…………………………14 rue de Paradis 75010 Paris, escalier C, fond de la cour 1er étage.

Lors de cette soirée I ‘Association des Amis de la CCE proposera un texte de soutien au processus de paix. Venez tous participer à ce débat…………………………………( PAF)


Suggest1.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maxiton (Maxiton) le jeudi 02 juin 2005 - 10h08:

Parce qu'on pourait voir son trois pièces

On l'avait dit aussi de Golda Meïer

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le jeudi 02 juin 2005 - 09h47:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Thatcher,,,

Question pour un Champion,,,

Devinez donc pourquoi la mère Thatcher ne peut pas porter de mini jupe ?

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maxiton (Maxiton) le jeudi 02 juin 2005 - 00h33:

En définitive les Français voudraient avoir une Madame Thatcher.

Souhaitable mais irréalisable du fait de l'existence de ce qu'on appeler pesanteurs sociologiques

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 01 juin 2005 - 22h01:

'...On ne soigne pas la France avec un CATAPLASME ( on arabe lebkha)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le mercredi 01 juin 2005 - 19h20:

Ce que les français ont dit le 29 mai
Jean-Pierre Bensimon Le 31 mai 2005

http://www.objectif-info.com/Europe_etats-unis/29mai.htm

En se prononçant massivement pour le « non » à la question posée par le président de la République, les Français dressé une liste d’exigences parfaitement claires :

1 - le retour de l’emploi, non pas des faux emplois construits de bric et de broc par la politique sociale, ce cimetière de la dignité et de la liberté, mais des emplois véritables, pleinement justifiés par leur utilité économique. Le retour de l’emploi est pour les Français, le fondement de leur sécurité individuelle, de celle des leurs, et pour chacun, de l’estime de soi.

2 - le retour de l’État à ses fonctions premières : qu’il assure l’autorité de la loi, la sécurité et la tranquillité publique, le fonctionnement de la Justice, aujourd’hui ridiculisée par sa crise morale, l’insignifiance de ses moyens et les défis de la délinquance ;

3 - le recouvrement d’un territoire national à nouveau maîtrisé, alors qu’il est aujourd’hui investi par des flux migratoires incontrôlés, qui remettent en cause les principes de vie en commun de la collectivité nationale, compromettent les régimes sociaux, font peser une menace persistante sur l’ordre public, et mettent en question la souveraineté nationale dans le pays comme en matière de politique étrangère ;

4 - le retour à la croissance économique, la libération de l’initiative individuelle et du travail, le dégagement de l’horizon et de l’avenir des prescriptions asphyxiantes des Traités européens ;

5 - la maîtrise puis le recul de l’énorme bureaucratie d’État et du niveau des prélèvements obligatoires qui en sont la conséquence ;

6 - davantage de justice, c'est-à-dire une prise en compte plus effective des aptitudes, du mérite et de l’effort, dans la distribution des revenus personnels comme dans l’accès aux responsabilités ;

7 - la fin des manifestations d’arrogance des élites d’État, à tous les échelons où elles s’expriment.

Les Français ne se sont pas trompés en votant « non » à la Constitution européenne, car celle-ci ne faisait que consacrer les Traités et les politiques qui ont autorisé depuis des décennies, les élites du pouvoir français à délaisser la cause du peuple, sa prospérité et son avenir, pour s’accrocher à des utopies de grandeur aussi nuisibles que vaines.

Les partisans officiels du « non » ont été reconnus comme tels par les média parce qu’il pouvaient avancer la preuve d’une participation à des élections antérieures et un certain volume de suffrages, comme la loi le prévoit. Ils ont alors donné au mouvement de fond de la société française qui s’est exprimé dimanche dernier, la signification que leur dictait leur doctrine. C’est ainsi qu’on a dit que le vote était une protestation contre le libéralisme honni, alors que les gouvernement socialistes et chiraquiens ont pratiqué le contraire des recommandations de cette école de pensée. On a dit aussi que ce vote était un rejet de l’union des pays européens, alors qu’il était le refus d’une certaine façon de construire cette unité, celle de politiciens et de bureaucrates arrogants et doctrinaires.

Les Français veulent des emplois, un horizon, un avenir, la préservation de leur culture, une vraie démocratie, et un État qui se consacre aux tâches pour lesquelles il a été conçu. Peu leur importe que les solutions relèvent de telle ou telle école de pensée, ou de tel ou tel postulat. Ce qu’ils veulent, ce sont des résultats.

Or, depuis des décennies, les gouvernants successifs ont appliqué des politiques extrêmement proches. Ils ont marié certains préceptes monétaristes avec une inflation de la bureaucratie publique et territoriale, et un « modèle social » qui est une véritable monstruosité, la matrice d’un chômage massif et permanent, des emplois précaires et artificiels et du plus vaste système de charité publique de l’Histoire.

C’est du coté des modèles qui réussissent qu’il faut se tourner, du coté du modèle anglo-saxon qui associe le triomphe sur le chômage, le dynamisme économique et technologique, la liberté et la dignité retrouvées pour le plus grand nombre.

Les méthodes dérivées d’une certaine vision du socialisme européen ou « rhénan » ont été appliquées en France jusqu’à plus soif, et elles ont conduit le pays dans une situation pré révolutionnaire, où les groupes et les intérêts particulier ne reconnaissent plus l’autorité de l’intérêt national. Il faut donc opérer une révolution copernicienne dans la conduite des affaires publiques. Les instances politiques n’ont plus le choix. L’alternative, c’est le chaos, l’implosion de la France, ou l’explosion, si l’on préfère cette image.