Archive jusqu'au 15/avril/2007

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2007: Commentaires Avril 2007: Archive jusqu'au 15/avril/2007
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Girelle (Girelle) le dimanche 15 avril 2007 - 20h26:

Jean-Marie Le Pen renoue avec les provocationslefigaro.fr (avec AFP).
Publié le 15 avril 2007
Actualisé le 15 avril 2007 : 17h27
AFP/Mori

Dans la dernière ligne droite, Jean-Marie Le Pen redouble d’énergie. Dans ses attaques contre Nicolas Sarkozy, tout d’abord. En meeting au Palais des sports de Paris, dimanche, le candidat d'extrême droite s'en est pris avec virulence à son adversaire, l'un "des chefs de la racaille politicienne".

"Non, monsieur Sarkozy, le monde ne tourne pas autour de votre petite personne. Bien avant que vos parents ne viennent de Hongrie, de Grèce il y a toujours eu, au sein du peuple français, un courant national plus préoccupé de l'avenir et de l'intérêt du pays que de la personne des dirigeants", a martelé Jean-Marie Le Pen devant près de 5.000 sympathisants.

Des attaques également relayées par le numéro 2 du Front National, Bruno Gollnisch. Dimanche, ce dernier a estimé que l’ancien ministre de l’Intérieur avait "une part de responsabilité" dans la mort de Sophie Gravaud à Nantes, notamment par "l'abolition de la double peine" qu'il a mise en œuvre.

"Je le regrette"

Jean-Marie Le Pen a également renoué avec l’ambigüité qui est la sienne sur la Shoah, dans un entretien avec des lecteurs du Parisien/Aujourd’hui en France, dimanche. Le candidat du Front National répond à l'interpellation d'un lecteur qui s'adresse à lui en ces termes: "Le président joue un rôle dans la façon dont on présente la mémoire nationale. Ainsi Jacques Chirac avait reconnu la responsabilité de l'Etat français dans la déportation des juifs...". Réponse de Jean-Marie Le Pen : "Je le regrette. Il a été le seul président à le faire. Même François Mitterrand ne l'avait pas fait".

Au même lecteur qui lui demande s'il regrette la façon dont la Shoah est enseignée, le leader frontiste répond : "C'est un sujet que je n'aborderai pas. Quand je me suis exprimé dans des termes pourtant modérés, ça m'a coûté 150 millions d'anciens francs. Ces débats ne sont pas dans le domaine de la liberté d'expression. Je me garde bien d'y toucher. On ne peut pas exprimer une autre opinion que celle dictée par la pensée unique".

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Viviane (Viviane) le dimanche 15 avril 2007 - 19h52:

Au sujet de l'analyse effectuée par cet étrange docteur Fatti. J'ai bien peur que le thérapeute se soit identifié à son patient, ce qui semble être le cas. Celà me rappelle une histoire qui est sûrement plus drôle que le délire de ce psychiatre qui est, probablement, en recherche d'analyse personnelle.
Voici l'histoire: Les Directeurs des hopitaux psychiatriques de Paris, de Liège, d'Amsterdam, de Laval, de Saint-Egrève, de Rouffach et d'Osnabruck ont été invités à l'inauguration, en province, d'un nouveau centre pour malades mentaux.
On leur fit visiter l'aire d'accueil, la salle de restauration, de l'ergothérapie; puis on leur fit découvrir les étages. Le Ministre de la Santé compléta la visite de la façon suivante: "Au premier étage ce sont des malades légers, au deuxième étage les agités dangereux pour leurs proches, au troisième étage les incurables etl'appareillage de soins intensifs: camisoles de force etc. L'un des visiteurs posa une dernière question: "et le dernier étage? C'est le bureau du Directeur." Viviane

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le dimanche 15 avril 2007 - 19h08:

Ce soir veille de la commemoration de la Shoa veHagvoura (de l'Holocauste et de l'Heroisme )
Israel renait de ses cendres.

Renaissance

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Shira (Shira) le dimanche 15 avril 2007 - 15h24:

Amit vous invite, aujourd'hui, a la ceremonie de la commemoration de la Shoah dans sa synagogue au 24, Rue Mc Donald, a Natanya a partir de 19:45. Nous nous recueillerons ensemble pendant la sirene nationale.

A ce soir

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 15 avril 2007 - 12h36:

BONJOUR,

AURIEZ-VOUS LA GENTILLESSE DE FAIRE SUIVRE CE MAIL A TOUTES VOS LISTES D'ENVOIS ?

MERCI DE VOTRE IMPLICATION.

SI VOUS CONNAISSEZ UNE PERSONNE DE GROUPE A RHESUS NEGATIF (TRES RARE), ET SI CETTE PERSONNE EST DE PREFERENCE DE SEXE MASCULIN ET AGEE DE MOINS DE 25 ANS, ALORS ELLE POURRA PEUT-ETRE AIDER NOELIE, 1 AN, ATTEINTE D'UNE LEUCEMIE RARE A BENEFICIER D'UNE GREFFE.

LE DELAI EST TRES COURT : 2 MOIS

CONTACTER L'ETABLISSEMENT FRANCAIS DU SANG DE BOIS GUILLAUME AU 02.35.60.50.50

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le dimanche 15 avril 2007 - 14h32:

- Chacun(e) a le droit absolu de se prendre pour un oiseau : oie, poule, caille, perdrix, dinde ou paon.
Il est cependant totalement erroné scientifiquement de vouloir transposer les résultats d’une étude sur des poules à l’espèce humaine, sauf à prendre les électeurs pour des pigeons.

- Le « docteur » Fatty, malgré toutes les précautions préalables, a dérogé à toutes les règles déontologiques de sa profession en publiant ainsi la soi-disant « analyse » d’une candidate dans un but des plus partisans. On remarquera qu’il n’y figure aucun argument politique sur le programme de la personne « analysée ». Cette méthode consistant à délégitimer une personne à partir de sa personnalité supposée relève des pratiques staliniennes que l’on croyait révolues.

Ces deux commentaires ne préjugent en rien mon choix politique.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le dimanche 15 avril 2007 - 11h59:

evolution


Analyse psychiatrique de Ségolène Royal vue sur le site : http://www.desertdavenir.com/archives/359-Marie-Segolene-vue-par-Marie-Claire.html


En temps que psychiatre (25 ans de spécialité en psychiatrie à mon expérience) je suis obligé de remettre un diagnostic le plus impartial possible : en médecine, le premier devoir du soignant l'impose pour le bon suivi du patient, il faut aussi assurer sa sécurité et celui de son entourage, surtout si on a à faire à une délirante aux réactions imprévisibles, n'est-ce pas...

En bref, pas de diagnostic à distance, c'est-à-dire SANS avoir eu d'entretien avec la principale intéressée...

Mais je vais quant même tâcher de satisfaire à votre demande :

Il me semble, d'après ce qui m'a été donné d'appercevoir du cas Ségolène Royal, être en face d'un cas de cyclothymie à un stade déjà avancé avec tendances maniaco-dépressives voir même des tendances à la paranoïa...

Je m'explique :

- cyclothymie : change d'opinions au gré de ses humeurs, je ne vous ferais pas un exposé sur les différents stades de la campagne où le cas Royal s'est à mainte et mainte fois contredit... Donc incapacité à construire des raisonnements responsables et cohérents, et là vous avouerez que cela est un sérieux handicap pour exercer un poste impliquant la fonction de commandement.

- Maniaco-dépression : là les éléphants du Ps seraient les meilleurs témoins au sujet de ce que j'avance concernant la présence de ce trouble chez le sujet concerné : en effet, il n'y qu'a remarquer l'attitude du cas Royal envers ses proches collaborateurs : si ceux-là lui sont utiles à satisfaire son égocentrisme ainsi que son arrivisme, elle les veut autour d'elle, mais si ceux-ci dans un soucis "d'honnêteté" lui sortiraient certaines vérités, elle n'hésite pas à les éliminer symboliquement, à défaut de pouvoir le faire physiquement, voyez l'épisode Besson. "Qui connait Monsieur Besson ?"...

- Paranoïa : constatez son discours parfois plein de menaces innaceptables pour un candidat, ces menaces qui sont du genre : "Si je ne suis pas élue, les jeunes viendront tout casser dans vos rues !"

Je pourrais voux exposer d'autres exemples manifestes de crises paranoïdes chez le cas Royal, mais n'oubliez pas que la paranoïa est la plus grâve des maladies mentales (avec la schizophrénie). C'est ce trouble qui à des stades avancés, parce que non contrôlés, est responsable des comportements déviants, pour ne pas dire dangereux, de certains individus dans le genre Charles Manson, Jim Jones, etc.

Et n'oublions pas, que ces individus sont dangereux parce que totalement incontrôlables, en effet, ils ne veulent JAMAIS admettre leur maladie : pour eux, ils sont les SEULS à détenir LA VÉRITÉ ! Certains iront même jusqu'à vous affirmer que C'EST LA SOCIÉTÉ QUI EST MALADE ET PAS EUX !!!

Voyez un peu ce qui ce passe avec le cas qui nous intéresse, lorsque celle-ci prétend que lorsqu'elle a de mauvais sondages c'est parce que les éléphants ne la soutiennent pas suffisement. Ou encore, ce qu'il lui arrive de répondre, sur un ton d'agression, aux journalistes plus pointilleux que d'autres parce que curieux d'en savoir plus sur son programme (c'est normal après tout ils ne font que leur travail de renseignants) : "Vous osez me parler comme ça parce que je suis une femme !!!"

En résumé, je constate une instabilité caractérielle accompagné de troubles du raisonnement, d'où incapacité d'agir de manière constructive notament en s'ouvrant aux opinions des autres. Une fuite des responsabilités : rejet de celles-ci sur les autres, un sentiment de persécution : "c'est pas ma faute, c'est les autres qui ne veulent pas m'aimer..."

Ces troubles ne seraient pas si grâves, si ils concernaient une gamine trop gâtée de 14-16 ans, c'est tout simplement la crise d'adolescence, mes confrères ont écrits moult récits à ce sujet...
Moi, j'appelle cela le "trouble de la pauvre petite gamine riche" ou encore "petite princesse trop livrée à elle-même"...
cela peut s'arranger si les tuteurs de cette gamine acceptent de prendre leur responsabilité tout simplement en reprenant l'éducation du sujet à la base : une bonne fessée (pas forcement physique) est parfois plus salutaire qu'une cure de tranquilisants genre "prozac" qui peuvent vous rendre votre gamine pharmaco dépendante à vie telle une M. Monroe. Et l'on sait comment cela peut finir...

Évidement, lorsque cette série de troubles concerne une femme de 52 ans, c'est bien plus grâve !!! Je crois que vous vous en doutiez déjà... Pour la bonne et simple raison que, à cet âge là C'EST INCURABLE !!!

Et comme pour tous maux incurables, le temps ne fera qu'agraver les choses : le sujet s'enfoncera dans son délire, de plus en plus au fil des années qui passeront, et, en deviendra donc de moins en moins contrôlable pour l'entourage...

D'où necessité d'internement, pour des séjours plus où moins longs en milieu spécialisé, afin de suivre, sous contrôle médical serré une chimiothérapie lourde, à base d'insulinothérapie, qui permettra de maîtriser au maximum les bouffées délirantes du sujet (sérieux risques d'agressions physiques du sujet envers lui-même ou les autres)...

et pour tenter d'atténuer les stades dépressifs : électrochocs...

Évidement, je ne vous cacherais pas, par honnêteté, mon profond pessimisme en ce qui concerne l'évolution de la maladie : en 25 ans d'expérience en clinique psychiatrique, je n'ai JAMAIS pu constater une seule guérison complète : un tel sujet atteint d'un pareil panel de troubles mentaux complémentaires, et à évolution régressive, sans doute parce que ceux-ci n'ont pas été détectés à temps durant l'adolescence voir la petite enfance, restera paranoïde à tendance maniaco-dépressive toute sa vie...

Un peu à la manière de l'alcoolique qui lui, restera l'esclave à jamais de sa boisson, d'où l'obligation de le maintenir EN PERMANENCE hors de celle-ci...

En conclusion pour le cas Ségolène Royal : son entourage devra la maintenir AU MAXIMUM hors de TOUTES RESPONSABILITÉS SÉRIEUSES, donc il est évidemment inutile d'envisager une Présidence de la République...

Je préconise, en tant que médecin, le repos absolu, l'absence de toutes responsabilités (une mise sous curatelle du sujet serait éventuellement à envisager). Sans oublier une bonne cure de sommeil dans un établissement spécialisé (je ne peux pas vous parler de la clinique où j'exerce, le droit médical interdit aux médecins toutes démarches publicitaires) pour madame Ségolène Royal dès le lendemain de sa future défaite aux Présidentielle.
#7.2.1.1 Docteur Fatty sur 03.04.2007 15:11 (Répondre)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Moshébé (Moshébé) le dimanche 15 avril 2007 - 07h23:

bVoisinage

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par A_Soued (A_Soued) le dimanche 15 avril 2007 - 06h00:

LA MAURITANIE, DU COLONIALISME A LA DICTATURE ET A LA DEMOCRATIE

Par SHABTAI GOLD, diplomate

Paru dans le Jerusalem Post du 5 Avril 2007
Traduit par Stéphane Teicher pour www.nuitdorient.com

A la périphérie du monde Arabe, une révolution tranquille se déroule, et elle fait des vagues à travers toute l’Afrique du Nord. Les citoyens de Mauritanie sont allés aux urnes le mois dernier pour élire leurs dirigeants, dans ce qui est considéré comme une élection libre et honnête, et le président élu, Sidi Ould Cheikh Abdallahi, doit prendre ses fonctions ce mois-ci

Le chemin pris par cette transition, de la dictature à la démocratie, est surprenant. En 2005, lorsque le président d’alors s’est rendu en Arabie Saoudite pour assister aux obsèques du Roi Fahd, l’Armée, dirigée par le Colonel Ely Ould Muhammad Vall, a fomenté un coup d’Etat et pris le pouvoir dans le pays. Le leader autoritaire déposé, le Colonel Maaouiya Ould Sid Ahmed Taya, avait lui même pris le pouvoir par un coup d’Etat en 1984.

Normalement, dans le monde Arabe, et d’ailleurs dans le reste du monde aussi, les régimes militaires n’abandonnent pas le pouvoir, en dépit des déclarations populistes et des promesses qu’ils annoncent allègrement à cet effet. Le Général Pervez Musharaf, au Pakistan, par exemple, n’a fait que renforcer son emprise sur le pays, ses institutions, et son peuple, depuis son coup d’Etat militaire de 1999.

Et pourtant, en Mauritanie, le gouvernement militaire a été un vrai gouvernement de transition, qui a travaillé avec diligence au processus de démocratisation qu’il a mis en place pour le pays. Si rapidement, en fait, qu’il remet effectivement le pouvoir avec plusieurs mois d’avance.

Ce qui se passe en Mauritanie, un pays géographiquement étendu qui n’a que trois millions d’habitants et qui reste une entité politique plutôt insignifiante – bien que cela puisse aussi changer avec le début d’une production de pétrole offshore en 2006- est en train d’avoir un impact sur tous ceux qui soutiennent des élections libres et honnêtes en Afrique du Nord.

Le mois dernier, des manifestants du mouvement libéral égyptien Kifaya se sont rassemblés dans un square du centre du Caire pour demander que Hosni Moubarak, le président de la Grande République Egyptienne, messager de l’Arabisme et de la Révolution, rende son régime plus ressemblant à celui de la Mauritanie, un pays dont probablement beaucoup d’Egyptiens ne savent même pas qu’il fait partie de la Ligue Arabe.

Crs manifestants protestaient contre les changements constitutionnels que Moubarak a fait passer depuis, des changements qui, selon l’opposition, vont aider Moubarak et son parti, le NDP, à resserrer leur emprise sur le pouvoir, et préparent la voie à Gamal Moubarak, le fils prodigue, pour prendre la suite dans un proche avenir.

L’Egypte, qui a été libérée de sa monarchie par un coup d’Etat militaire mené par Gamal Abdl Nasser et son mouvement des Officiers Libres, va donc devenir maintenant une nouvelle dynastie familiale, ce que craignent beaucoup d’Egyptiens de tous bords. Bien entendu, Nasser et l’Armée n’ont jamais abandonné le pouvoir, et le pays reste plus ou moins un état policier. Que la Mauritanie soit un modèle de démocratisation n’est pas seulement surprenant, mais a aussi une vertu éducative. Aux confins du monde, sans intervention étrangère, sans agitation et sans violence, un coup d’Etat militaire a mené à des élections réelles et à un changement du système.

La Mauritanie, qui a gagné son indépendance de la France en 1960, est loin d’être la société libérale modèle, d’où jaillissent les vraies révolutions populaires. Ce n’est qu’en 1981 que l’esclavage y est devenu illégal, et on dit qu’il est toujours pratiqué dans certaines parties du pays. Les problèmes raciaux entre Africains noirs et Arabes dominent toujours. Le pays s’est développé tardivement, et ainsi, il n’a rejoint la Ligue Arabe qu’au milieu des années 1970. Malgré cela, si c’est la course du lièvre et de la tortue, le vainqueur est bien celui de la fable.

D’un point de vue Israélien, le dictateur renversé, le Colonel Taya, était un allié, puisqu’il a établi des relations diplomatiques complètes avec l’Etat Juif en 1999, malgré les froncements de sourcils de la Ligue Arabe et des principaux pays Arabes.

Ces relations se sont plus ou moins maintenues stablement, même durant les années turbulentes de le seconde Intifada. Les nouveaux dirigeants n’ont pas rompu ces liens, et bien que restant dans le vague, ils n’ont pas dit pendant leur campagne qu’ils couperaient les liens avec Tel Aviv.

Le numéro deux dans les élections, Ahmad Ould Daddah, longtemps un leader de l’opposition, a par contraste, vivement critiqué son gouvernement pour avoir établi des relations complètes avec Israël en 1999.

La Mauritanie est le seul pays Arabe, avec l’Egypte et la Jordanie, à avoir des relations diplomatiques complètes avec Israël. Il n’est toujours pas clair si le président élu, Abdallahi, changera la position de son pays sur ce sujet une fois qu’il aura pris ses fonctions.

Reste aussi à voir quel effet – si effet il y a –les élections vont avoir sur la situation critique du Polisario au Sahara Occidental, qui lutte toujours pour l’autodétermination et l’indépendance. De toute façon, le changement de régime est un évènement à noter. Pour les analystes, le mieux serait que l’Occident laisse le nouveau régime se stabiliser, sans intervention, tout en s’assurant que d’autres états, en particulier certains voisins de la Mauritanie, n’essaient pas de détruire le processus démocratique. Dans le passé, certains de ces voisins ont clairement été engagés dans de précédents coups d’Etat ou tentatives de prise de pouvoir

Abdallahi, qui va prendre ses fonctions d’ici à la fin du mois, et le peuple Mauritanien ont de formidables défis devant eux. Ce n’est pas une démocratie ou un régime parfaits, notent les experts, et il y a beaucoup à faire pour s’assurer que ce n’est pas le même ancien système sous un autre nom. Pourtant une chance de changement existe maintenant – un changement pour le peuple et par le peuple.

Mauritania: Colonialism to dictatorship to democracy
By SHABTAI GOLD- jp - Apr. 5, 2007

On the periphery of the Arab world, a quiet revolution is taking place, one that is making waves across North Africa. Mauritania's citizens went to the polls late last month to vote for their leaders in what is being considered a free and fair election, and the president-elect, Sidi Ould Cheikh Abdallahi, is set to take office later this month.

The path to this transition, from dictatorship to democracy, is surprising.

In 2005, while the then-president went to Saudi Arabia to attend the funeral of King Fahd, the military, headed by Colonel Ely Ould Muhammad Vall, staged a coup and took the country over. The ousted authoritarian leader, Colonel Maaouiya Ould Sid Ahmed Taya, had himself taken power in coup in 1984.

Normally, in the Arab world and the rest of the world alike, military regimes do not give up power, in spite of the populist statements and promises they freely issue to that effect. General Pervez Musharaf, in Pakistan, for example, has only tightened his grip over the country, its institutions and its people since his 1999 military coup.

However, in Mauritania, the military government was a genuine transitional government, which worked diligently on the democratization process it set up for the country. So diligently, in fact, that it is actually handing over power several months early.

This process in Mauritania, a geographically large country that has only three million citizens and remains a mostly politically insignificant entity - although this also may change due to the start of offshore oil production in 2006 - is having an impact on all those who support free and fair elections in North Africa.

Last month, protesters from the liberal Egyptian Kifaya movement went to a central square in Cairo and demanded that Hosni Mubarak, the president of the great Egyptian Republic which is the messenger of Arabism and revolution, liken the regime more to that of Mauritania, a country many Egyptians most likely do not even know belongs to the Arab League.

Those demonstrators were protesting the constitutional changes Mubarak has since implemented, changes the opposition claims will help Mubarak and his party, the NDP, tighten their grip on power, and set the stage for Gamal Mubarak, the prodigal son, to take over sometime in the near future.

Egypt, which was liberated from its monarchy by a military coup led Gamal Abdl Nasser and his Free Officers movement, will now become another family dynasty, many Egyptians from all ends of the political spectrum fear. Of course, Nasser and the military never relinquished power and the country remains something of a police state.

That Mauritania is the model for democratization is not only surprising, but may also be educational. On the outskirts of the world, without foreign intervention, without a fuss and without violence, a military coup has led to proper elections and a changing of the system.

Mauritania, which gained independence from France in 1960, is hardly the model liberal society from which real people's revolutions spring forward. Slavery only officially became illegal in 1981 and the practice is still said to exist in some parts of the country. Race problems between black Africans and Arabs are still prevalent. The country in general was a late bloomer and, for example, only joined the Arab League in the mid-1970s.

However, if this is the race of the tortoise and the hare, the winner is just like in the children's story.

From an Israeli perspective, the ousted dictator, Colonel Taya, was an ally, as he established full relations with the Jewish state in 1999, even as the Arab League and major Arab states frowned.

Those relations have remained steady, more or less, even during the turbulent years of the second intifada. The new leaders have not broken those ties, and while remaining vague did not say, as part of their campaign, that they would break contact with Tel Aviv.

The runner-up in the election, Ahmad Ould Daddah, for many years an opposition leader, by contrast, harshly criticized his government for establishing full relations with Israel in 1999.

Mauritania is the only Arab country, besides Egypt and Jordan, to have full diplomatic relations with Israel. It is still unclear whether the president-elect, Abdallahi, will change his country's stance on this issue after taking office.

It also remains to be seen what effect, if any, the elections will have on the plight of the Polisario in the Western Sahara, who are still struggling for self-determination and independence.

In all, the regime change is an event worth noticing. Analysts say it will be best if the West lets the new regime stabilize, without intervention, while simultaneously ensuring that other states, particularly some of Mauritania's neighbors, do not try to undo the democratic process. In the past, some of those neighbors have allegedly been involved in previous coups or attempted takeovers.

Abdallahi, who is set to take office later this month, and the people of Mauritania have formidable challenges ahead. This is not yet a perfect democracy or regime, analysts note, and much work is still needed to make sure this is not the same old system under a different name. However, a chance for change now exists - a change for the people and by the people.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Viviane (Viviane) le dimanche 15 avril 2007 - 00h27:

A propos de l'exposition Rembrandt, voici une gravure à la pointe sèche du grand Maître :
"Abraham parlant à son fils Isaac"

http://expositions.bnf.fr/rembrandt/grand/024.htm

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le samedi 14 avril 2007 - 23h19:

Analyse du livre de Philippe Chenaux "Pie XII - Diplomate et Pasteur - 2003 par Eric Alary

"Pie XII a été considéré par les diplomates occidentaux comme «le meilleur diplomate», du moins jusqu’à son élection au mois de mars 1939. Après une introduction historiographique et problématique remarquable, Philippe Chenaux retrace en deux grandes parties la vie du pontife, d’abord celle du diplomate jusqu’en 1939, puis celle du «pasteur», entre 1939 et 1958. Dès le début, on comprend facilement que Monseigneur Pacelli est un personnage ambigu, souvent aveuglé par un anti-judaïsme fréquent à l’époque dans les milieux catholiques. Parfait élève de la Curie romaine, Pacelli a passé de nombreuses années en Allemagne où il a vécu avec une très grande angoisse la montée en puissance spartakiste avant son écrasement. Cela a renforcé sans conteste son anticommunisme. Un monde athée était inconcevable pour lui ; le compromis avec les communistes était donc impossible. D’ailleurs, il fit reproche à Roosevelt de l’alliance occidentale avec Staline, à partir de 1941. Mgr Pacelli a aussi contribué à la condamnation du nazisme lorsqu’il était secrétaire d’État de Pie XI, au moment de la promulgation de l’encyclique Mit brennender Sorge, le 14 mars 1937. Le Vatican était très occupé par ses relations avec l’Allemagne nazie, qu’il condamnait comme État totalitaire. En fait, la question est posée dans tout le livre : Pie XII était-il suffisamment armé pour faire face aux défis des totalitarismes et de la guerre ? Obsédé par le sort qu’Hitler pouvait réserver aux millions de catholiques allemands, tributaire d’une défiance anti-juive bien ancrée, il a préféré se murer dans le silence, alors que de toute l’Europe des dépêches alarmistes le tenaient au courant du génocide en cours. Sa «compassion» a posteriori pour les victimes du génocide hitlérien ne doit pas être rangée au rang des actes d’engagement courageux."

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le samedi 14 avril 2007 - 22h57:

Le Vatican boycottera dimanche le ''Yom Hashoah'' à Yad Vashem. Suite

"choquee et decue", l' Institution Yad Vashem affirme : "Le musée présente la vérité historique sur Pie XII telle qu'elle est connue par les chercheurs aujourd'hui." Pour la premiere fois, la commemoration de la Shoah est "boycottee" par l'ambassadeur d'un pays ayant des relations en Israel.
En parcourant Internet, on peut constater que les historiens proches du Vatican contestent les critiques envers Pie XII et pretendent que "Pie XII a sauvé plus de juifs en agissant diplomatiquement, de manière discrète, qu'il ne l'aurait fait s'il avait émis des protestations publiques. Et ils rappellent les rafles antijuives qui, comme aux Pays-Bas en 1942, ont suivi des dénonciations par l'Eglise locale du sort fait aux juifs."

On sait qu'a ce jour, le Vatican s'est toujours refuse a ouvrir aux chercheurs ses archives de la periode recouvrant la periode de la deuxieme Guerre Mondiale et de ses relations "ambigues" avec le Regime Nazi.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Claudia (Claudia) le samedi 14 avril 2007 - 22h49:

CHERS AMIS

LA SOIREE DES ANCIENS DE MUTU SE DEROULE A MARSEILLE 13 MAI AVEC DANSEUSE ORIENTALE IL RESTE QUELQUES PLACES. SI VS HABITIEZ ISRAEL ECRIVEZ MOI NOMBREUX ET NOMBREUSES POUR PREPARER UNE RENCONTRE A NATANYA JE RECHERCHE MON AMIE D ENFANCE SABRINA QUI ETAIT A L ECOLE SCIPION ET MILKO MON VOISIN UZAN

claudia555@hotmail.fr