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Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2005: Commentaires Mai 2005: Archive jusqu'au 21/mai/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 19 mai 2005 - 19h22:

'...Et on viendra nous dire que c'est la faute DES JUIFS SI LE NON EST PASSE...!'

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le jeudi 19 mai 2005 - 19h54:

Voici un texte qui va sans aucun doute intéresser les lecteurs d'Harissa

Pour ceux qui n'ont pas encore compris. L'union Européenne est un système qui fonctionnne de la même façon que fonctionnait l'Urss et ses pays satellites.

Raison de plus de voter NON.

On chasse les communistes, ils reviennent par une autre porte. En fait, le communisme n'est jamais mort. Il n'y a qu'à observer comment cette idéologie est partout présente et à tous les niveaux de notre société (enseignement, justice, medias, politique etc...).

N'oublions pas que De Gaulle a gouverné avec les communistes après-guerre et leur a offert un magnifique boulevard où ils se sont installés durablement.



http://www.upjf.org/documents/showthread.php?threadid=9383

'EurUrss': Un air de famille effrayant, D. Pryce-Jones

Bukovsky voit se développer sous ses yeux une 'EurURSS'

National Review

11 avril 2005

Original anglais : An awfull familiarity.

Traduction française : Menahem Macina pour upjf.org.


Les dernières pierres de l'Union Européenne se mettent en place, et c'est aussi un processus étrange et insondable. Sur les 25 pays concernés, une dizaine vont organiser des référendums pour ratifier la constitution d'ampleur continentale, déjà approuvée par leurs dirigeants ; les autres font passer en force la question par voie exécutive ou législative. En d'autres termes, la majorité des gouvernements européens, y compris le 'très important' gouvernement allemand, ont trouvé un moyen d'éviter l'épreuve de l'opinion publique, dans le but de finaliser l'empire fédéral désormais clairement visible. L'opinion publique a néanmoins contraint le Président Jacques Chirac à accepter qu'un référendum ait lieu, le 29 mai. Les sondages attestent que le rejet de la constitution par les Français est possible, voire probable, précipitant Dieu sait quel genre de crise.

Que se passe-t-il ? Pourquoi agir à la dérobée ? La réponse la plus convaincante est fournie par l'ouvrage de Christopher Booker et Richard North, The Great Deception [La grande tromperie], une histoire récente et magistrale de l'Union Européenne. Les auteurs montrent comment, décennie après décennie, une petite clique auto-promue de politiciens a oeuvré naïvement à la création d'une Europe supranationale. Ces politiciens se considèrent comme des visionnaires, mais ils ont toujours su qu'ils ne parviendraient jamais à entraîner l'adhésion des électeurs, c'est pourquoi il leur a fallu cacher leur but : selon Booker et North, la tromperie était implicite, et même inhérente au projet. L'intention était de mettre les gens devant un fait accompli auquel ils seraient incapables de s'opposer, et c'est ce que la Constitution d'aujourd'hui a pour but de rendre irrévocable.

Les années de la Guerre Froide ont divisé l'Europe en deux parties, l'une sous la domination soviétique, et l'autre sous la protection des Etats-Unis. L'ambition logique des Soviétiques, et des nombreux partis communistes qui leur sont asservis, ainsi que celle des "compagnons de route" socialistes, était de réduire la présence américaine et, si possible, de l'évincer totalement du continent. D'une manière ou d'une autre, l'Union Européenne a repris les choses là où les Soviétiques les avaient laissées, et il s'avère qu'elle a mieux réussi. A preuve, l'avenir incertain de l'OTAN, la croissance de l'armée européenne, la relocalisation des troupes américaines et de ses bases hors d'Allemagne, les efforts franco-allemands pour paralyser les Etats-Unis à propos de l'Irak, la levée de l'embargo sur les ventes d'armes à la Chine, le soutien sans discernement de l'OLP, et beaucoup d'autres choses encore.

Vladimir Bukovsky entre maintenant en force dans le débat [1]. Aujourd'hui âgé de 62 ans, il a été l'un des dissidents publics soviétiques les plus courageux, ce qui lui a valu de passer douze ans au Goulag et d'être traité pour folie dans une des unités psychiatriques spécialisées dans l'art de briser des gens comme lui. Échangé contre un communiste chilien, en 1976, il s'est installé à Cambridge, en Angleterre, où il est biologiste et écrivain politique. To Build a Castle [Construire un château], le récit autobiographique de son épreuve au Goulag, est un classique. (Une remarque personnelle : quand j'ai rencontré Bukovsky, en 1981, il avait prévu que, dans dix ans, l'Union soviétique s'effondrerait. Ce qui s'est avéré exact.) Il aurait pu être un Premier ministre démocratique de Russie.

Durant le bref laps de temps où c'était encore possible, Bukovsky a fait des recherches dans les archives soviétiques [2], publié des livres comme Reckoning with Moscow [Avoir affaire à Moscou], qui traite des vraies réalités internes du système soviétique. Maintenant, en collaboration avec Pavel Stroilov, un auteur russe, il vient d'écrire un opuscule intitulé "EUSSR: The Soviet Roots of European Integration" ["EurURSS: Les racines soviétiques de l'intégration européenne"] [3], une paraphrase fascinante de la thèse de Booker et North sur la tromperie inhérente au projet de l'Union Européenne [4].

Mikhail Gorbachev a créé une fondation à Moscou pour abriter les documents afférents à l'époque où il était au pouvoir lorsque le Parti Communiste, l'Union Soviétique, ainsi que la Guerre Froide ont pris fin dans un gémissement et non dans le fracas que l'on prévoyait généralement. Étudiant ces documents personnels, Bukovsky et Stroilov ne s'étonnent pas de ce que l'Union Européenne ait repris les choses là où les Soviétiques les avaient laissées. Au contraire, ils estiment que c'est le résultat normal de décennies de socialisme et de compagnonnage de route en Europe.

Comme il seyait au despote du Kremlin, Gorbachev avait l'habitude de recevoir des visiteurs d'Europe de l'Ouest, qui étaient ministres et présidents dans leur pays mais faisaient tous preuve d'une attitude humble comme il convenait à quiconque était autorisé à s'approcher aussi intimement d'un pouvoir absolu. Tous autant qu'ils étaient, ces visiteurs flattaient Gorbachev. La Gauche, ils en convenaient, était partout en crise, parce que l'expérience visant à établir le socialisme avait évidemment échoué et avait besoin d'être réanimée.

«Les solutions progressistes dans le domaine social doivent correspondre au cadre européen», déclarait Alessandro Natta, l'insaisissable secrétaire général du parti communiste italien, en 1986. Gorbachev partageait ses idées sur la manière de procéder. L'un de ses slogans préférés énonçait : "Une Maison Européenne Commune", et son grand but était d'évincer les Etats-Unis de l'Europe et de les remplacer par l'Union Soviétique. La tâche, comme Gorbachev l'expliqua à Natta, consistait à «enrichir le mouvement de gauche, pour gagner de nouveaux alliés». «L'érosion des frontières nationales — géographiques, fiscales, économiques», répondit Natta, a donné à la gauche «une chance de succès».

Peut-être était-ce là le langage convenu d'un communiste. Mais qu'en est-il, alors, de Francisco Fernández Ordóñez, à l'époque ministre des affaires étrangères espagnol, et Socialiste, qui disait à Gorbachev, en 1989 : «Le succès des idées du socialisme dans la communauté mondiale d'aujourd'hui dépend du succès de la perestroïka [les efforts de réforme de Gorbachev]» ? Les Allemands n'étaient pas mieux lotis. Cette même année, l'ancien chancelier, Willy Brandt, assurait à Gorbachev qu'ils étaient témoins d'«une nouvelle qualité de socialisme dans une très grande partie du monde». Pour faire bonne mesure, il offrit de faire ce qu'il pourrait pour étouffer la démocratie qui montait, alors, dans les républiques baltes.

Mais aucun d'eux ne donne autant la chair de poule que les visiteurs français. En novembre 1988, le Président Mitterrand assura à Gorbachev que «l'édification d'une Maison Européenne Commune était une grande idée», et que sa réalisation serait sa principale priorité. Bukovsky et Stroilov citent des petits fragments similaires de conciliation et d'accompagnement amical, dus à Valéry Giscard d'Estaing, autre président français, devenu, depuis, l'auteur de la constitution de l'Union Européenne : «De nos jours, l'Europe de l'Ouest fait l'expérience d'une perestroïka, et change sa structure […] l'URSS devrait être préparée à communiquer avec un grand Etat unique d'Europe de l'Ouest.» Des politiciens et des officiels français de premier plan, tels Chirac et Jacques Delors, confirmaient une telle conception. Le premier ministre socialiste, Pierre Mauroy, se fit servile : «Je suis convaincu que votre société démocratique entrera dans le cadre du mouvement socialiste qui se développe en Europe.»

En écoutant cette clique étonnante, on n'est pas surpris que Gorbachev ait été victime d'une illusion. Il doit en être venu à croire que sa Maison Européenne Commune avait les mêmes valeurs et le même fonctionnement politique que ceux de l'Union Européenne, et que les ressemblances entre l'URSS et l'UE étaient davantage que de simples coïncidences. Booker et North ont raison de penser que les antécédents de l'Union Européenne remontent à bien avant Gorbatchev, mais Bukovsky et Stroilov ont également raison d'estimer que l'Union Européenne est une construction socialiste, une collectivité étatique comparable à l'ancienne URSS, complétée par une nomenklatura et une idéologie ayant des visées hostiles aux Etats-Unis, et qu'il faut absolument 'protéger' l'ensemble de la population d'exprimer sa véritable opinion sur tout cela.

Avec clairvoyance, Bukovsky a jadis prévu la mort de l'Union Soviétique. Mais sept des 24 commissaires européens d'aujourd'hui sont d'anciens apparatchiks communistes, et, selon l'avertissement de Bukovsky, «il reste à voir quel genre de Goulag créera l'Union Européenne». Mais le destin de toutes les utopies est le même, conclut-il, et «l'Union Européenne s'effondrera, exactement comme son prototype», même si, «ce faisant, elle nous ensevelit tous sous les décombres». Néanmoins, il espère, bien sûr, alerter l'opinion publique afin d'empêcher le pire.

La folie se répète, mais elle ne peut écraser la dissidence de l'esprit.

David Pryce Jones

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le jeudi 19 mai 2005 - 19h22:

c:/

Je serais reconnaissant à tous de bien vouloir vous joindre aux condoléances algériennes auprès de " La Famille" du Pape Jean Paul II

Jean Yves

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Claudia (Claudia) le jeudi 19 mai 2005 - 18h39:

L'Allemagne va dédommager les 4.000 juifs originaires d'Afrique du Nord, qui furent détenus dans des camps d'internement sous Vichy
Par Haaretz


L'Allemagne a décidé d'accorder des dédommagements aux juifs nord-africains qui ont été détenus dans des camps d'internement durant la Seconde Guerre mondiale, en Algérie, au Maroc et en Tunisie. Cette décision a été prise hier a Berlin à l'issue d'une rencontre entre des représentants du Trésor allemand et des délégués de la « Claims Conference », chargée des restitutions de biens juifs. Les Allemands ont également annoncé qu'ils étaient prêts à augmenter les allocations aux rescapés de la Shoah qui ont besoin de traitements médicaux particuliers.

« Haaretz » explique qu'il y avait en Afrique du Nord, en particulier au Maroc et en Algérie, des camps d'internement. Créés par le régime de Vichy, ils étaient de facto de véritables camps de concentration. Ils ont fonctionné en 1941 et 1942 jusqu'au débarquement américain et plus de 4.000 juifs y furent internés. Sur décision du gouvernement allemand, tout juif nord-africain qui a séjourné plus de six mois dans l'un de ces camps peut réclamer des indemnités mensuelles aux autorités allemandes. Le montant de cette allocation mensuelle serait de 270 euros. En revanche, les rescapés ne pourront réclamer de dédommagements rétroactifs. Le président de l'organisation des rescapés de la Shoah en Israël, Noah Plog, a déclaré que le geste des Allemands était surtout symbolique, car, pour la première fois, l'Allemagne reconnaît que la Shoah a également touché les communautés juives d'Afrique du Nord.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le jeudi 19 mai 2005 - 18h05:

Moi je suis d'accord avec Henri.
Alors que le Oui a une SEULE signification qui est la creation d'une Europe politique pour faire contre-poids a l'Amerique, a l'oppose ce NON a mille facettes et exprime bien plus qu'un alignement sur les positions de Bove ou de Krivine (qui eux trouvent cette constitution trop liberale et pas assez sociale).
Perso je vote comme eux mais je me sens TRES loin de ces 2 margoulins!
De voir les choses de cette maniere, c'est un raccourci reducteur!
Pour moi voter NON c'est refuser que l'Europe politique se batisse car Israel en fera encore les frais. Je prefere que l'Europe reste une zome de libre echange commercial.

Allez lire le texte de Rene Serror sur guysen.com. Il reflete bien la pensee de nombreux Juifs Francais.
http://www.guysen.com/articles.php?sid=3376

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Henri (Henri) le jeudi 19 mai 2005 - 15h43:

Henri peut voter non ou s'abstenir,il fera ce qu'il voudra.
les contorsions de Chirac ne lui inspirent pas confiance, avant d'essayer de regler les problemes des voisins,qu'il regle dabord ses problemes interieurs dans les banlieux ou les francais ne se sentent plus en securite.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le jeudi 19 mai 2005 - 15h14:

" Henri (Henri) le jeudi 19 mai 2005 - 13h06:

Il est interdit de voter oui tant q'on ne sait pas de quoi il sagit exactement. "

Comment Henri pense-t-il faire appliquer cette proposition ? Il pense nous aider en pensant pour nous ?

Les régimes où un seul vote est possible sont les dictatures.

En France l'électeur est libre de déterminer son vote en fonction de ce qu'il lit ou entend à droite et à gauche.

Pour le degré de compréhension de la question posée, cela relève de la personnalité de chacun.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maxiton (Maxiton) le jeudi 19 mai 2005 - 13h33:

Cela ne vous gêne pas de voter avec Le Pen Besancenot, Krivine et de Villiers etc.. ???

Moi la photo de Fabius faisant la " manche " pour le non aux côtés de josé bové, m'a donné envie de vomir

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maxiton (Maxiton) le jeudi 19 mai 2005 - 13h25:

Ouahch


monimage

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maxiton (Maxiton) le jeudi 19 mai 2005 - 13h23:

Souvenirs

monimage

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Henri (Henri) le jeudi 19 mai 2005 - 13h06:

Le brouillard
Un cammarade qui apprenait le droit me racontait, qu'il avait prepare un travail et l'avait presente a son prof, qui lui dit " il ne faut pas ecrire de cette facon, simple et claire, il faut ecrire de facon compliquee pour que l'on ne comprenne pas.
Cette constitution ne nous permet pas de comprendre ou sont les pieges qui nous sont tendus.
Rafarin disait on sera un bloc de 500 millions d'europeen qui poura contrer les chinois.
En attendant la France n'a pas ete capable de gerer une simple canicule du mois d'aout et l'on connait le resultat.
Il sera par la suite plus facile de dire ce n'est pas nous les responsables c'est les voisins.
Il est interdit de voter oui tant q'on ne sait pas de quoi il sagit exactement.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bekhor (Bekhor) le jeudi 19 mai 2005 - 12h22:

SOLEIL ET SA CLIQUE.

MOI JE DIS NON A LA CONSTITUTION EUROPEENNE.

LES TEXTES PROPOSES SONT REDIGES EXPRES, DANS PLUS GRAND DES BROUILLARDS.

SI LE OUI L'EMPORTE CELA SERVIRA DE BLANC SEIN AUX OLIGARQUES DE BRUXELLES POUR MIEUX NOUS CUISINER A LEURS MANIERES.

SIGNER OUI? C'EST ACCEPTER DE SE FAIRE PLUMER SANS CONDITION.

POUR LE SIEUR KHANN ET SON PARTI SOCIALISTE!! QU'ONT T'IL FAIT POUR DEFENDRE LE SEUL DEPUTE JUIF EUROPEEN ZIMERAY QUI AVAIT LE COURAGE DE DEFENDRE LA POLITIQUE D'ISRAEL ET QUE TOUT LE PARTI SOCIALISTE A SACRIFIE?

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Sarel (Sarel) le jeudi 19 mai 2005 - 11h01:

REFLEXIONS GENERALES
Bonjour on essaye de refechir a haute voix
J'ai pose hier quelques questions bizarres pour nous rappeller a tous qu'on ne sait rien encore et qu'on ne comprend pas plus
Au sujet de la derniere question L
ELECTRICITE j'ai recu une reponse de MrDaniel Bueno expliquant le resultat de la formation !!!
Je comprends mais savoir ""qu'est ce que"" ??
On ne sait pas et on ne le saura jamais
Je m'excuse mais je n'ai pas recu de message le 14 mai Mr Daniel pardon
J'emets en bref encore quelques idees avant
d'entreprendre le sujet principal la prochaine fois
Quand je recois un coup dans le bras Qui a mal?Le bras? le corps? ou autre chose?
Peut etre le cerveau qui recoit les messages electro-chimiques Et pourtant on sent le mal au bras !!!
Comme le sujet"le mal"' ou se situent les sentiments en general dans le corps?
ESt ce que le corps c'est moi ?
Les sentiments sont ils a moi ?
Cette double appartenance est interressante car
elle detient une des bases de la vie
On se trouve en discussion permanente interieure et on est malheureusement rarement
d accord Si on arrive a maintenir une paix on devient une entite
Etant donne que tout est en eternel mouvement
la tache n'est pas facile de garder un calme aquis apres tant d'effort
J'arrete la et j'espere continuer plus tard
Merci pour votre attention
sar-el