Archive jusqu'au 11/mai/2005

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2005: Commentaires Mai 2005: Archive jusqu'au 11/mai/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Shalom (Shalom) le mercredi 11 mai 2005 - 12h53:

Le message precedent s adresse of course a BRAHAM

Sorry, Shalom

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Shalom (Shalom) le mercredi 11 mai 2005 - 12h21:

Shalom le koulam

Je me suis jure de ne plus ecrire sur ADRA, mais ton message ,nous a beaucoup emus.
Je t ecris d Israel, a bientot a Haifa.

shalom et S.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 11 mai 2005 - 12h00:

Quand Gege debarque a Jeru ...

Monsieur Depardieu goes to Israel

French actor Gerard Depardieu will go to Israel to promote his latest film.
Depardieu will visit Israel in late May to promote his latest film, “I Prefer That We Remain Friends,” during a French film festival slated for May 26-June 6. Depardieu recently made headlines in his home country when, apparently drunk during an appearance on a talk show to promote his new cookbook, he insulted a fellow guest.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 11 mai 2005 - 11h39:

flag

Hag HaAtsmaut Sameah !

Israel population at 6.9 million.

According to Central Bureau of Statistics figures, published Tuesday before
Independence Day, 5.5 million Israelis are listed as Jews and the rest 20% of the population as Arabs.
The first category includes around 300,000 immigrants from the Soviet Union who are not Jewish under rabbinical law.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hajkloufette (Hajkloufette) le mercredi 11 mai 2005 - 08h17:

Voici une image : mon image

Iye zikhram Baroukh ou nichmatam Eden

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le mercredi 11 mai 2005 - 08h06:

Lezikhram

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le mercredi 11 mai 2005 - 00h22:

Recueillons nous aujourd’hui,
avec tout Israël qui pleure ses Martyres et avec leurs familles qui rien ne peut consoler.

Ces quelques lignes sont dédiées
- à la mémoire d’un bébé, né à Tunis, qui débarqua à Haïfa quand il n’avait que 6 mois,
- à la mémoire du premier petit-fils de ma mère,
- à la mémoire d’un enfant qui a passé toute sa courte vie entre les dunes de Dimona et qui venait au Nord durant les grandes vacances, pour respirer un peu l’Odeur de la Mer et le Vert du Carmel,
- à la mémoire d’un athlète au cœur d’or,
- à la mémoire d’un soldat parachutiste qui ne lui restait que quelques semaines pour finir son service militaire,
- à la mémoire de ses 53 amis, parmi les meilleurs enfants que cette terre a vus grandir et qui périrent un jour de mai 77 quand leurs hélicoptères s’écrasèrent contre les collines non loin de Jéricho,
- à la mémoire d’un jeune homme qui n’aura jamais 20 ans même s’il aurait du en avoir 48 aujourd’hui.

C’est un malaise qui n’a pu guérir même après 28 ans.
C’est en quelques lignes l’histoire de Yéhouda-Alain Habib qui restera toujours dans nos mémoires.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le mardi 10 mai 2005 - 22h50:

TUNES CELEBRES EN ISRAEL

Bonjour

je vous ajoute le nom de Moshe Dayan qui est né a Moknine au sahel

Maher

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Richard_S (Richard_S) le mardi 10 mai 2005 - 22h09:

Reponse a Mr Sarel sur son message sur les 613 commandements

Merci de nous avoir rappelle un des poncifs de la version officielle du Judaisme rabbinique. Les Juifs Tunisiens, dans leur ensemble n'ont jamais accorde trop d'importance aux rabbins comme c'etait le cas en Europe de l'est ou meme au Maroc. Et d'ailleurs quand on lit l'article de la Mena ci-dessous sur les deux grands rabbins d'Israel, on comprend pourquoi.

Alors quand on parle de ces 613 commandements, je crois qu'il faut faire la part des choses.

Tout d'abord je dois dire que sur ces 613 commandements, plus de 500 se referent aux sacrifices et au service du temple par les Cohanims et donc a moins que vous ne pensiez que la reconstruction de temple arrivera bientot et que nous allons reprendre les sacrifices, ces commandements n'ont plus lieu d'etre.

Les commandements qui restent en vigueur, si vous les etudiez, tournent autour des 10 commandements qui sont tres simples a comprendre et pour lesquels a mon avis, nous n'avons pas besoin de rabbins.

Richard

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le mardi 10 mai 2005 - 20h59:

Am Israel Haii

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le mardi 10 mai 2005 - 20h06:

Torture d’un étudiant religieux chez le grand rabbin d’Israël (info # 011005/5) [analyse]

Par Stéphane Juffa © Metula News Agency

Ils s’étaient rencontrés dans un chat sur Internet, comme tant d’adolescents issus de milieux radicalement pieux, chez les musulmans, les juifs et les catholiques. Comme des millions de jeunes gens dans leur cas, contraints à vivre leurs passions par correspondance. Elle, s’appelle Ayala, elle a dix-huit ans, et lui est un jeune étudiant hilkhatique [1], d’un an son cadet, vivant dans la banlieue de juifs très pratiquants de Bneï Brak, près de Tel Aviv.

Au fil de leurs discussions d’internautes, ils ont connu l’attirance et ont fini par se rencontrer. Elle est descendue de Jérusalem et ils se sont vus. A ce point d’avancement d’une relation prénuptiale, dans notre région et dans ces milieux, les jeunes filles catholiques risquent d’habitude l’exclusion du domicile familial, les juives la séquestration dans icelui et les jeunes musulmanes d’être exécutées par leur proches. C’est ce que l’on appelle, dans de vastes portions de notre planète, les crimes d’honneur.

D’ordinaire, les garçons ne sont pas inquiétés. La femme, dans les religions mosaïques, continue de représenter l’appel de la chair, l’invitation permanente à la débauche. L’homme est faible et ne peut résister à cette tentation, il n’est donc pas coupable lorsqu’il succombe au "vice". Car la tentation est "naturelle" et "nécessaire", puisqu’elle mène, en fin de compte, à la procréation. Mais on ne peut se soumettre librement à la tentation qu’après l’union nuptiale, et encore, en suivant des codes restrictifs terriblement étroits, conçus afin d’orienter la copulation vers la procréation et de limiter le plaisir.

Lors d’un fameux sermon hebdomadaire, diffusé par satellite dans des centaines de synagogues, le grand rabbin du courant sépharade religieux Sha’as, Ovadia Yossef, avait d’ailleurs mis les hommes en garde contre le danger représenté par la proximité des dames dans la vie courante, en proposant l’hyperbole suivante : "passer entre deux femmes équivaut à passer entre deux ânes". Etait-ce l’interprétation du rabbin du droit d’ânesse ? Je ne suis pas assez érudit en ces choses pour le dire.

Toujours est-il que, pour la plus grande déveine de notre Roméo de Bneï Brak, Ayala n’est pas une fille tout à fait comme les autres : elle est la fille du grand rabbin sépharade d’Israël Shlomo Amar, un membre de la cour de Maître Ovadia, justement. Mazal, la femme de Shlomo Amar, eut vent de la liaison interdite de sa fille et fit tout ce qui était en son pouvoir de mère pour l’en détourner. Mais les petits étaient épris – était-ce l’un de l’autre ou d’avoir découvert les douceurs des jeux de l’amour, ou peut-être était-ce un peu des deux ? – aussi refusèrent-ils de casser leur liaison. Mazal, devant ce refus borné, fit alors appel à l’un de ses fils, Meïr, lui-même un repris de justice au fichier long comme mon avant-bras, pour faire lâcher prise à sa sœur.

Lors de son premier interrogatoire, Meïr Amar affirmera à la police qu’il avait l’intention de "refaire l’éducation de sa sœur et de son soupirant" et "qu’il n’est pas envisageable que des religieux se rencontrent avant le mariage !". Ce qui démontre que l’on peut être un voyou et conserver tout à la fois ses valeurs essentielles… Meïr qui rassura son rabbin de père, d’après le témoignage de l’ami d’Ayala, lui disant : "ne t’en fais pas, il n’en ressortira pas entier !"

Cela, c’était une vraie prophétie, puisque le 26 avril dernier, Meïr, accompagné des frères Ahmed et Abdallah Souelma, se rendent en voiture au domicile du soupirant. Là, à deux heures du matin, ils enjoignent Ayala d’appeler son amant de son portable et de l’inviter à descendre dans la rue, puis, sous la menace d’un couteau, ils l’enlèvent et démarrent vers le village arabe-israélien de Kallensoua. Dans ce village, situé dans le Meshoulash, une région dont les habitants sont traditionnellement très antisionistes, le jeune homme va revivre à ses dépens les sévices imaginés par Stanley Kubrick dans "Orange mécanique". Quatre heures de brutalités et d’humiliations diverses, de coups de pieds dans le ventre et dans les parties intimes, en présence d’Ayala. Ses tortionnaires coupent les papillotes de leur victime, lui déchirent sa kippa et ses habits, coupent les franges de son Talit [2]. Mais la "leçon" n’est pas suffisante, la troupe repart avec sa proie : direction Jérusalem et la maison du rabbin. Shlomo Amar et sa femme prétendent n’avoir rien entendu des bruits de la punition qui fut alors infligée dans leur maison, en leur présence, à l’ami de leur fille. Quoi qu’il en soit, à l’issue de cette seconde séance de tortures, dans la maison du Rishon Letzion [3], l’étudiant est jeté à la rue. Sérieusement blessé, il parviendra finalement, en stop, chez lui, puis à l’hôpital Bellinzone, à soixante-dix kilomètres de là, où il sera soigné et entendu par la police.

Entre-temps, Shlomo Amar est parti en voyage en Thaïlande. Sa femme, sa fille, son fils et ses deux amis ont été arrêtés. Après avoir été entendues, Mazal et Ayala ont été relâchées et assignées à résidence. Le courant Sha’as ne s’est épargné aucun effort afin de tenter d’étouffer l’affaire, mais la police et le ministère public tiennent bon : hier soir, le procureur général Eran Shendar et le conseiller juridique du gouvernement, Menahem (Méni) Mazuz, ont pris la décision d’autoriser la police à interroger le rabbin en qualité de prévenu. L’interrogatoire aura lieu, eu égard pour la fonction d’Amar, au domicile de l’intéressé après son retour d’Extrême-Orient aujourd’hui.

Lors d’une brève déclaration effectuée à distance, le rabbin a déclaré "avoir de la peine pour le jeune homme qui a été battu, pour sa fille dont la vie est détruite mais", affirme Shlomo Amar, "ce qui me fait le plus mal, c’est l’offense divine générée par la publication de cette affaire. C’est ce qu’il y a de pire à mon sens", a conclu l’homme de foi.

Dans son entourage, on est nettement plus disert. On prétend que le grand rabbin n’a aucune intention de démissionner de son poste de président de la haute cour rabbinique. Et puis, on tient à préciser que "cette affaire n’est qu’un incident de l’importance d’une grosse faute de circulation". Rien de comparable, affirme-t-on, "à l’enquête diligentée contre le grand rabbin ashkénaze du pays, Yona Metzger, qui touche aux standards éthiques".

Ce à quoi les gens de Sha’as font si délicatement allusion, ce sont les accusations de harcèlements homosexuels et de fausses signatures sur des contrats de mariage, qui poursuivent "l’autre" grand rabbin suprême d’Israël jusqu’à la haute cour de justice laïque. En ce qui concerne la deuxième accusation, selon des dizaines de témoignages semblables, Metzger aurait imité la signature de témoins sur des ktouba (des contrats de mariage) afin d’en accumuler le plus grand nombre possible, et de multiplier ainsi ses revenus, sans être présent aux cérémonies.

Pour l’instant, les nombreuses plaintes formulées contre le grand rabbin ashkénaze n’ont pas abouti, de par la décision des juges et de l’ancien conseiller juridique du gouvernement, Elyakim Rubinstein, stipulant qu’aux yeux de la loi, ce qui lui est reproché n’est pas constitutif de dols punissables.

Il ne nous appartient pas, dans ces affaires pas plus que dans les autres que nous commentons, de nous substituer à la justice et de déterminer pour elle, si le grand rabbin sépharade d’Israël a commandité le passage à tabac de l’ami de sa fille ou si le grand rabbin ashkénaze cède parfois à des penchants sexuels punis de mort selon la loi hilkhatique qu’il représente. Par contre, c’est assurément notre tâche de constater, que ces deux plus grands docteurs en religion d’Israël, élus pour dix ans, occupent alternativement les postes de président de la cour suprême religieuse et de chef du Conseil religieux suprême. Qu’à ces titres, ces hommes déterminent souvent, par leurs sentences, leurs décisions ou leurs avis, l’avenir individuel de leurs ouailles dans des considérations ayant trait aux mœurs ou à l’ontologie de nos concitoyens.

Malheureusement, ces affaires concernant le monde hilkhatique ne sont pas exceptionnelles. Les cas de pédérastie, d’harcèlement sexuel de rabbins, contre des élèves ou contre des jeunes femmes venues les consulter, se comptent, selon la police israélienne et les associations luttant contre ces fléaux, par centaines annuellement [voir à ce propos le site de la Conscience, du Centre juif contre les abus et les agressions sexuelles]. Un des problèmes principaux des victimes de ces actes réside dans les règles de silence et le jeu des pressions, qui sont très courants et efficaces dans la société hilkhatique, fermée et machiste. Souvent même, des délinquants sexuels connus continuent d’y remplir des fonctions d’enseignants et de conseillers.

Il y a peut-être une raison, après tout, pour que le peuple d’Israël ait vécu les deux tiers les plus spirituellement remarquables de son histoire en se passant de rabbins. Aucun poète n’a jamais dit d’eux, en tous cas, qu’ils étaient l’avenir de l’homme…

Notes :

[1] hilkhatique, se rapportant à la Halakha (v. Lalekhet = marcher) système de lois enseignant "la voie que doit suivre le peuple juif". Au sens plus restreint, c’est une décision rabbinique transmise par les autorités rabbiniques. Désigne les parties juridiques de la tradition juive. La Halakha définit la façon dont les 613 commandements doivent être observés ainsi que les peines encourues lorsqu’on les transgresse.

[2] Talit (talit katan ou petit talit dans le cas qui nous intéresse): châle de prières que les juifs pratiquants portent notamment en dessous de leurs vêtements.

[3] Ha-Rishon Letzion (littéralement, Le premier à Sion-Jérusalem), titre utilisé en Israël afin de définir le grand rabbin sépharade du pays.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le mardi 10 mai 2005 - 11h41:

Un article interessant sur un sondage (et ce n'est pas si courant) qui porte sur les enfants issus de mariages mixtes (un parent Juif, l'autre pas).

Ou l'on se rend compte de la portee que peuvent avoir dans notre heritage culturel/identitaire transmis aux generations futures, les themes abordes par les productions hollywoodiennes...

http://www.jta.org/page_view_story.asp?intarticleid=15382&intcategoryid=4

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le mardi 10 mai 2005 - 11h28:

Soleil,

Pourriez-vous developper un peu plus s'il vous plait ?
Qu'entendez-vous par interet de tous ?

Qu'est ce que l'Europe a a nous proposer de plus qu'elle ne nous propose deja (sur les plans politique, economique, social, emvironnemental, etc ?

Moi je trouve particulierement eloquent et interpellant que ce referendum sur le traite de la Constitution soit programme juste apres l'avenement de l'Europe des 25, et peu avant l'entree de la Turquie.

A Bruxelles et a Strasbourg, ou l'on tire les ficelles, rien n'est le fait du hasard ....