Archive jusqu'au 28/mars/2005

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2005: Commentaires Mars 2005: Archive jusqu'au 28/mars/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Henri (Henri) le lundi 28 mars 2005 - 10h14:

La Douda chalom,

Je pense quand meme que qqun qui par erreur,perd le controle de sa voiture et provoque la mort d'une personne, et un autre qui "assassine" de sang froid des enfants dans leur lit, ces deux actes ne peuvent etre mis dans le meme sac et etres juges de la meme façon meme si le resultat final est le meme.

Il est evident que laisser cette femme mourir de faim est inhumain apres l'avoir maintenue en vie si longtemps.

On a vu des gens sortir du coma apres des annees.
Terrible dilemne pour celui qui doit juger .

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le lundi 28 mars 2005 - 00h49:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Maxiton : “TU N'ASSASSINERAS PAS”

Assassiner, ou tuer, ou occire, ou zigouiller, ou...etc..., le résultat n’est il pas le même et la traîtrise ne résidant que dans la nuance des intentions.

D’ailleurs le terme même d’assassiner parait plutôt impropre, par rapport à l’époque à laquelle le décalogue fut révélé, devine donc pourquoi ?

Si tu ne trouves pas, on se fera un plaisir que de te le révéler,

Bonnes fêtes,

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bekhor (Bekhor) le lundi 28 mars 2005 - 00h45:

A PROPOS DES BIENS IMMOBILIERS EN TUNISIE.

Jean-Serge PAPARONE de TOULON (FRANCE)
A dit:

« Si vous avez laissé un bien immeuble en TUNISIE, autre que terrain agricole, sachez que vous en êtes toujours propriétaires et que depuis peu le loi tunisienne vous autorise à vendre dans des conditions décentes...
Je suis à votre disposition pour donner la marche à suivre. »


Moi je répond que jusqu'à preuve du contraire rien n'a changé dans la loi tunisienne a ce sujet.

Si ce monsieur est de bonne foi, qu'il donne des précisions sur les nouveaux textes de loi.

Par contre il y a beaucoup d’oiseaux de mauvais augures en Tunisie, qui essaient par tous les moyens de trouver des propriétaires dégoûtés d'une situation inextricable, pour leurs soutirer a coût dérisoire si ce n’est pratiquement gratuit des biens immobiliers.

Donc attention ou vous mettez les pieds, ne donnez surtout pas des procurations, quelles quelles soit, ne signez jamais de promesse de vente sans passer par des notaires français ayants des correspondants en Tunisie, exigez comme avec la loi française les 10% a la signature, et surtout une date de trois mois d’exécution finale de la vente, sans donner de possibilité de crédit bancaire au futur acheteur. (il doit montrer une évidence de fond avant la promesse)

Assurez vous du paiement en EUROS et une garantie de transfert de fond.

Ne donnez pas les noms et les adresses des propriétaires a qui que se soit.

Car il y a eu des faux actes de vente et j’ai des preuves a fournir a qui voudrait me contredire, avec obtention du titre bleu. (Titre de propriété en Tunisie qui a remplacé le titre arabe, il est pratiquement incontestable)

Il y à eu des fausses promesses de ventes, sans délais butoir de vente définitive. (ce qui fait que le vendeur est lié a vie avec un futur acheteur qui n'achète pas)
Il y a eu des achats partiels de quelques pourcentages d'héritage, par ce truchement l'acheteur de ces quelques parts dérisoires devient le propriétaire de fait malgré qu'il est minoritaire.

Parce que lui est la bas, et vous vous êtes ici.

Ne nommez surtout pas un mandataire sur place pour vous représenter en Tunisie, a moins que vous étés très confiant envers lui.

Dans ce domaine le terrain est très glissant, ne vous fiez a personne que vous ne connaissez pas.

La meilleures des choses à faire, c’est a vous déplacer vous même, sans en aviser qui que soit et de régler vos affaire par vos propres moyens.

Vous savez comment qu’on appelle les biens immobiliers qui appartiennent aux non musulmans en Tunisie ? « EROSK LI MET MELLI » « les biens que les propriétaires sont morts »

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Francois (Francois) le dimanche 27 mars 2005 - 19h33:

République dattière

François Fillon qui prétendait que les "attaques" de Roger Cukierman contre la politique étrangère de la France n'étaient pas républicaines reste étonnament silencieux sur un sujet qui lui n'est pas franchement républicain: la série de conférence "sur la paix" au Proche-Orient menée dans les lycées français par le trio Leila Shahid, Michel Warshawski et Dominique Vidal.

Fillon ne semble pas très ému par ce détournement flagrant de la nature républicaine d'un établissement scolaire d'Etat qui est censé être un lieu d'éducation, politiquement neutre, dans lequel on enseigne la vérité et non pas un lieu dans lequel on falsifie l'esprit malléable de gamins par une propagande grotesque, mensongère et incitant à l'antisémitisme.

Il est clair que Fillon comme les autres sortent à tout bout de champ le mot République pour essayer de couper court au débat démocratique et donc voiler leurs turpitudes. Ceci étant, si Fillon considère que l'antisionisme virulent fait partie du pacte républicain, ce qui était d'ailleurs le sens de sa réponse à Cukierman, il faudrait envisager de changer les principes de cette République pour les rendre plus compatibles avec la morale.

Quoiqu'il en soit, le trio de choc, Shahid et les deux juifs prétendument représentatifs essayent de justifier par une propagande ridicule leur entreprise grotesque en la dissimulant dans les habituels atours de la paix. Pour couper court à toute accusation, d'ailleurs justifiée, de propagation de l'antisémitisme, ces racailles prétendent en plus oeuvrer de manière antiraciste alors que le monde arabe et les institutions dites palestiniennes sont les principaux propagateurs de l'antisémitisme au niveau mondial, en compagnie des lepenistes de gauche.

Source: http://www.lefigaro.fr/debats/20050326.FIG0112.html

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le dimanche 27 mars 2005 - 12h57:

Albert

"Yeta'lem lah'jama a'la riouss ellitama"

Dans le temps on envoyait les apprentis coiffeurs dans les orphelinats pour se faire de la pratique, sans etre payés.
Tous y gagnaient, sauf le petit orphelin.

On dit cela à toute personne qui veut avoir de la pratique sans devoir payer pour l'apprentissage, ni etre responsable du resultat de ses echecs de débutant.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 27 mars 2005 - 11h26:

Mes chers harissiens, grands amateurs d'oeufs en tout genre, en chocolat, je vous informe qu'à l'occasion de la fête pascale chrétienne, une série illimitèe 'D'ovaux' portant le sigle '...PARTEZ ( comprenez Bartez) LEROUX...' sont mises à votre disposition gratuitement dans toutes les patisseries '..BEC FIN..' et dans certaines officines Cahers, ayant PIGNON ( sans thè) sur rue de la capitale.

Demandez l'échantillon avant de gouter.

-Monsieur Guy Roux, le kââwen,l'ancien entraineur des bleus,incapable de quoi que ce soit à part de faire de la pub en gesticulant dans un lit, vient de nous pondre un oeuf, pas de Pâques bien sur, mais un oeuf brouillè comme lui.
Il a déclarè avec beaucoup de sérieux...'

'...Je me demande pourquoi Israël joue dans le groupe Europe alors qu'elle n'en fait pas partie et on refuse à la Turquie de ne pas en faire partie....'

Bien...! Que Mr Guy( l'an neuf ) Roux nous dise avec sagesse dans quelle partie du continent faut t'il le mettre???? Sachant que le moyen-orient dominè par les pays arabes, ne veut pas le confronter même avec un ballon entre les pieds...?

Souhaitons que l'autre, à la tête d'oeuf, illuminè, plus inspirè en politique pourra t'il venir à son secours...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maxiton (Maxiton) le dimanche 27 mars 2005 - 11h15:

La DOUDA,

Danc ce qu'on appelle les 10 Commandements il est écrit en hébreu :

LO TIRTSAH:

traduit habituellement par

TU NE TUERAS POINT

En Hébreu TIRTSAH signifie assassiner de la racine RECH - TSADI - HÈT = assassiner.

Il convient donc de traduire ce commandement par

TU N'ASSASSINERAS PAS.

Ce qui est a une toute autre signification et une autre portée et permet au soldat de tuer pour défendre son pays.

Est en revanche interdit l'assassinat.

D'ailleurs les anglais traduisent LO TIRTSAH par:

THOU SHALT NOT MURDER

IL faut lire la Bible en version originale, car on sait que Traduttore, Traditore.

Bonne semaine

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 27 mars 2005 - 11h11:

Que veut dire cette expréssion...

'....Tââ'lem lah'jama ââla rass litama...?'
Il a appris la coiffure sur la tête des orphelins...?'

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le dimanche 27 mars 2005 - 09h48:

pecheurs a Tiberias

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 27 mars 2005 - 06h42:

A la différence des demeures de la médina qui étaient jalouses de leur intimité, les maisons de La Goulette étaient complètement ouvertes à la rue. La rue était le prolongement de la maison. Pour les beldis que nous étions, nous avons découvert la liberté à La Goulette. Mes parents ont fait sauter les cloisons pour ouvrir notre maison à l’autre. Point de porte fermée ni de fenêtre close. Tout doit être ouvert pour marquer notre adhésion totale à la rue. Après avoir lavé à grande eau le trottoir, on y installait table, chaises et matelas et nos voisins faisaient de même. Nous formions une seule famille avec nos délicieux voisins : les Cattan, les Yaïche, les Bessis, les Sitbon, les Nataf, les Zibi, les Zagdoun, les Hayoun, les Ben Soussan, les Hadria, les Bellaïche… Nos voisins sont devenus nos parents.

Le soir, nous dormions à la belle étoile tant il faisait chaud, en écoutant Farid Latrache, Ali Riahi et Raoul Journo. Les étoiles scintillaient de bonheur de voir juifs et arabes rassemblés autour d’une aussi belle fraternité. Nos fêtes étaient animées par les mêmes musiques et les même taalilats. Nous avions les mêmes danses, mijotions les mêmes plats et portions la même joie de vivre.

De toute évidence, les juifs les plus extraordinaires sont nés à La Goulette. Imbibés de boukha, nourris de poisson et d’harissa de Nabeul, les juifs tunisiens ont une saveur à nulle autre pareille . Et que dire de la beauté juive tunisienne ! Les juifs de Tunis sont tellement beaux qu’on surnommait telle jeune fille Claudia Cardinal et tel autre garçon Johny. La kémia est née à La Goulette. C’est aussi à La Goulette qu’on trouve les meilleurs couscous, briks, casse-crôute, nikitouche, bsal loubbia, osbanes et pâtisseries de toutes sortes.

Depuis ma plus tendre enfance, j’ai aimé les juifs de tout mon cœur car ils m’ont offert une Tunisie qui a échappé à la connaissance de beaucoup de gens. Le patrimoine juif de Tunisie, qu’il soit culinaire, musical ou vestimentaire, est un bien national qu’il faut protéger et sauvegarder. La mémoire culturelle tunisienne est l’addition de la mémoire musulmane à la mémoire juive. A La Goulette, personne ne cherchait à abolir la différence de l’autre ; bien au contraire, le juif allait vers l’arabe et l’arabe allait vers le juif pour s’enrichir mutuellement. De cette confrontation jaillissait un plaisir qui illuminait la terre entière. Le génie d’un peuple ne se réveille vraiment que lorsqu’il se frotte à un autre peuple. Nous avons fait de La Goulette une Andalousie(pour le cosmopolitisme) et aussi une Californie (pour la liberté).

Je pense que c’est le mélange réussi des cultures qui a favorisé l’émergence de ce

climat de liberté que l’on ne trouvait pas ailleurs. A Tunis, on était prisonnier des conventions ;

à La Goulette, on avait enfin le droit de revendiquer la joie de vivre sans craindre la foudre de la Tradition.

Les juifs de Tunisie ont un charme unique, à nul autre pareil, sans doute parce qu’il y a en eux un mélange délicieux de juifs berbères (autochtones) de très vielle souche, de juifs espagnols (fuyant l’Inquisition), de juifs italien (Livournais) et de juifs français. Au fur et à mesure que remontent les souvenirs, je me sens fier d’être goulettois, de La Goulette de l’âge d’or. On buvait au lait maternel de La Goulette toute la sagesse du monde. Dieu a vraiment créé La Goulette à un moment de grâce que nous avons ressenti comme un privilège. A La Goulette j’ai découvert ma dimension d’homme au milieu des juifs, des chrétiens et des musulmans. Aux côtés de mes très chers amis Richard et Rudy Bessis, David et Claude Cardozo, Gérard Calvo, Marcel Gallardo, Samy Taïeb, Jules Tartour, Alain Bellaïche, Raphaël Cohen,René et gilbert marzouk,Max et Hubert Journo, Sylvain Saal, Henry Tibi, Sidney Lelou! che et beaucoup d’autres amis, j’ai reçu avec sérénité la mémoire juive de Tunisie. La Goulette m’a communiqué le sentiment d’appartenir à un souffle universel. C’est ce souffle tendre et puissant qui m’accompagne toute ma vie.

Extrait du livre « Ya Hasra, La Goulette » de Mustapha Chelbi

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le dimanche 27 mars 2005 - 06h41:

Israël – Irlande 1 à 1 à Ramat-Gan (info # 012703/5) [analyse sportive]

Par Ilan Tsadik © Metula News Agency

On en avait parlé, ce soir à Ramat-Gan, c’était la rencontre de deux footballs. Rarement le public israélien a-t-il pu observer une équipe aussi typiquement "British" que les sacrés "Irish" qui nous donnaient la réplique. Au commencement, il y eut une sélection israélienne qui entama la partie avec une certaine superbe. Mais le commencement fut de courte durée, la superbe aussi. Très courte. Sur la première balle des insulaires, juste après trois minutes de jeu, Demion Duff débordait sur son aile gauche Omri Ofek, parvenait à centrer un envoi qui était dévié par Tal Ben Haïm, et Shimon Gershon arrivait en retard sur Clinton Morrisson. Il n’en fallait pas plus à l’avant de Birmingham et de l’équipe d’Irlande pour tromper Doudou Awat dans un angle qui paraissait mathématiquement impossible.

Coup de grisou sur le stade national, où les 43'000 spectateurs qui n’avaient cessé d’encourager leurs favoris, se prirent à se regarder les uns les autres, pensant, sans doute comme moi, à la déculottée de 5 à 0 que nous avions essuyée contre le Danemark et qui avait débuté de la même manière.

Mais les bleu et blanc avaient de la technique et de la volonté à revendre et ils retroussèrent bravement les manches. Dès la sixième minute, Yaniv Katan manquait de peu l’égalisation sur une belle remise de la tête. Deux minutes plus tard, les Israéliens, piqués au vif, forcèrent, sur un coup de coin, un défenseur visiteur à sauver sur sa ligne. Ne croyez cependant pas que nous ayons pressé les Grands Bretons sur leurs seize mètres, car il n’en fut rien. Ces Irlandais sont absolument incompressibles…

La rencontre se développa de façon étrange ; tactique ! La différence de jeu des deux formations, 4-4-2 pour les verts et 5-3-2 pour les bleus, aménageait de larges espaces de liberté en milieu de terrain. Les Irlandais faisaient circuler la balle, faisant montre d’une maîtrise du jeu supérieure. Par moments, les joueurs de la Nivkheret semblaient littéralement jouer au chat et à la souris avec leurs invités. Et ils n’étaient pas les chats… Ceci dit, les hôtes ne parvenaient strictement pas à inquiéter à nouveau Doudou Awat, qui passa une soirée mémorablement tranquille. Les footballeurs à la Ménora se montraient quant à eux dangereux dès qu’ils parvenaient à mettre le pied sur la balle, mais il se passait de longues minutes, durant lesquelles la virtuose prudence de l’adversaire les transformait en spectateurs virtuels. Au fil du temps qui s’égrenait, comme il a décidément l’habitude de le faire, le scénario devenait carrément crispant…

Un scénario troublé uniquement par les assauts des bleus, qui venaient, vague après vague, s’écraser contre le brise-lames Shay Given, qui mérite amplement la réputation de forteresse qu’il s’est forgée à Newcastle. A la 19ème minute, l’arbitre russe, M. Ivanov venait, à son tour, prêter main forte aux protégés de l’entraîneur Brian Kerr : Yaniv Katan était victime d’une faute de la défense verte ; une faute qui se situait indiscutablement à l’intérieur de la surface de réparation des amis de la Guinness. Ivanov attribua cependant un coup franc mais à la lisière des seize des amis de Dublin. Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, Idan Tal envoyait un missile dans le coin droit de Given, mais l’extraordinaire gardien de but parvenait à dévier le cuir en corner, au prix d’une détente époustouflante.

Et à la 39ème, Katan déroba la balle à un défenseur et se retrouva seul face au brise-lames, encore manqua-t-il complètement son tir, qui dut aller se perdre quelque part dans une ruelle adjacente au stade.

En première période, on ne vit pas la moindre action de goal des Irlandais. Ceux-ci menaient quand même à la marque et c’était dur à admettre… A l’entame de la deuxième mi-temps, le coach Avraham Grant garda les mêmes joueurs mais il modifia la méthode. De 5-3-2, l’on passa à un 4-5-1 (quatre arrières, trois demis et un attaquant, Germaine). C’eut le mérite d’étoffer quelque peu la présence des Hébreux aux abords des bois adverses. Mais ce n’étaient pas les Hébreux que l’on voulait voir dans les filets des verts, c’était le ballon !

Après un occasion loupée d’Omer Golan à la 57ème, on a bien cru que ça y était : à la 63ème minute, une passe lumineuse de Katan démarquait notre acrobate de service Yossi Benayoun, à son tour seul devant Given. Mais en suivant le ballon qui s’envolait loin au-dessus de la barre transversale, des millions d’yeux furent pris d’une soudaine envie de verser une larme.

68ème. Tal Ben Haïm, le seul Anglais des bleus, qui évolue, à Bolton, fend la défense des visiteurs et transmet à Adoram Keissi face au cadre, mais celui-là, en position idéale, décoche un pétard mouillé, directement dans les mains de l’inévitable Given.

72ème, première occasion irlandaise du match : Steve Finnan, l’arrière vert qui joue à Liverpool, adresse un tir violent des vingt mètres, obligeant Doudou à une superbe détente.

A ce moment de la rencontre, on se dit que les carottes sont presque cuites et qu’à force de manquer tant d’occasions et à force d’à force de regarder les Irlandais faire circuler la pelote, en gagnant (ou perdant, c’est selon) un temps considérable, Israël va connaître sa première défaite de la campagne en vue du Mondial allemand. Les vieux démons habiteraient-ils toujours Ramat-Gan ?

Le match se poursuit. Sur le même canevas. A un quart d’heure de la fin, Roy Keane, le meilleur homme sur le terrain, écope d’un carton jaune : il ne participera pas au match retour à Dublin, en juin prochain. Au même moment, Grant fait entrer Abas Suan, le capitaine de l’équipe arabe israélienne de Sakhnine, en lieu et place d’Omer Golan.

Et il fait bien… Quinze minutes plus tard, alors qu’on entre dans les arrêts de jeu, Yaniv Katan, dans la surface irlandaise, dos tourné aux buts, remet en retrait pour Abas Suan, qui foudroie Given d’un bolide imparable. La digue a rompu. Une clameur de soulagement s’échappe des cœurs ; elle est à la mesure des 88 minutes de rongements d’ongles et de l’intensité du shoot de la délivrance.

Le monde est à nouveau beau ! On reste dans le coup, plus que jamais et avec des arguments bien réels. Et puisque Français et Suisses ont partagé les points au Stade de France – je viens de l’entendre – on est toujours tous à égalité en tête du groupe 4. Une victoire sur les bleus foncés mercredi et on leur coupe pratiquement la route de Berlin. Comme en 1993. Mais cette fois-ci, en prenant une grosse option de se qualifier à leur place. Rien n’est fait, bien sûr, mais ce soir, nous avons gagné le droit absolu de continuer à rêver.

Ça fait un bien… Ça soude. Ça fait oublier les tracas, les différences. Comme Abas Suan, qui a dit, sitôt qu’il eut quitté la pelouse, qu’il remerciait "tous ceux qui ont encouragé la Nivkheret et qui ne font pas la différence entre les Arabes et les Juifs". Il y a des matchs nuls qui valent les plus belles victoires, non ?

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le dimanche 27 mars 2005 - 06h31:

Plus Juive ou plus Tunisienne? Monsieur Samy de Toulouse, vous êtes un brave monsieur. Quel piège vous tendez-nous encore? Votre question montre que vous n'êtes ni innocent ni curieux, vous manquez de respect envers tous les Tunisiens, qu'ils soient juifs ou musulmans. C'est kif kif. Et je vais vous répondre en tunisien: " Ohchem Ya Rajel" Ayez honte, Monsieur. Une mère est d'abord une mère et mérite tous nos respects.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le dimanche 27 mars 2005 - 06h06:

Bonjour,

N'ayant rien trouve sur Internet ni dans Actualite Juive, je me permets de vous poser la question suivante:

Ma mere et moi etant seules pour Pessach, nous nous demandions si vous pouvez nous diriger sur un organisme qui organise un seder communautaire sur Paris?

Merci par avance et Chag Sameach pour Pourim,

Rena