Archive jusqu'au 15/mars/2005

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2005: Commentaires Mars 2005: Archive jusqu'au 15/mars/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Davideden (Davideden) le lundi 14 mars 2005 - 18h52:

Djerbien,

je suis bien content de na pas vivre en Tunisie et donc de pouvoir m'exprimer. Ce site est le site des Juifs de Tunisie. ............. Ce site nous permet de nous exprimer.

Si ce que j'ecris vous ennuye ne le lisait pas. Si l'idee d'un Juif de plus de Tunisie s'exprimant librement vous ennuye j'en suis desole. Ayait la satisfaction de savoir que sur leur terre natale ils ne peuvent pas le faire.

Quand aux efforts fait par les Tunisies de quoi parlez vous? De l'hospitalite et tolerance ou de ...........la presence Juive de Tunisie.

Les Juifs sont si contents et nombreux en Tunisie que meme quand la Synagogue de Djerba a ete attaquee par votre compatriote il n'y avait meme pas un Juif parmis les victimes.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mounia (Mounia) le lundi 14 mars 2005 - 18h39:

Journée internationale de la femme – MEMRI TV sur le statut des femmes dans le monde arabo-musulman

Le 8 mars a eu lieu la "Journée internationale de la femme", journée qui consacre les progrès sociaux, économiques et politiques accomplis par les femmes. La situation des femmes dans le monde arabo-musulman, qui représente l'un des centres d'intérêt de MEMRI TV, a été largement documentée sur notre site. Pour consulter une page spéciale de clips relatifs aux problèmes des femmes, visiter: http://memritv.org/Search.asp?ACT=S5&P1=121.

Les femmes dans la société

Cette sélection de clips porte sur une multitude de sujets relatifs au statut de la femme, allant du traitement de la femme dans la société à sa participation à la vie politique. Le débat sur l'excision n'a pas été omis. Dernièrement, à Djibouti (le 4 février 2005), une convention s'est transformée en champ de bataille entre oulémas et activistes des droits de la Femme au sein du gouvernement somalien, en raison d'une clause établissant que l'excision, telle que pratiquée aujourd'hui, est une violation des droits de l'Homme ; cette clause contrevenait en effet à des accords antérieurs conclus entre les parties, autorisant l'excision en présence d'un médecin spécialiste. Les activistes, avec le soutien d'Emma Bonino, membre du Parlement européen, ont été filmées fêtant ce qu'elles considèrent comme une victoire: http://memritv.org/Search.asp?ACT=S9&P1=546.


Pour visionner une compilation de neuf minutes d'extraits relatifs au statut de la femme dans le monde arabe, consulter:
http://memritv.org/Search.asp?ACT=S9&P1=589.
Les femmes battues

A l'occasion de la Journée internationale de la femme, MEMRI met à l'honneur le débat télévisé sur le problème des femmes battues. Ce problème fait l'objet de fréquents débats sur les chaînes arabes, où s'affrontent activistes des droits de la femme, oulémas et intellectuels. Pour visionner une compilation de 13 minutes d'extraits de débats et d'interviews sur le thème, diffusés à partir de mars 2004, voir http://memritv.org/Search.asp?ACT=S9&P1=590.

Voici des extraits distincts d'émissions diffusées sur les chaînes arabes, relatifs au problème des femmes battues:


Clip N° 556 - Farhat Al-Munji, cheikh d'Al-Azhar, explique ce que dit l'Islam à propos des violences contre les femmes
http://memritv.org/Search.asp?ACT=S9&P1=556

Clip N° 509 - Débat sur le problème des femmes battues: Dix coups administrés au moyen d'un cure-dents ne font pas bien mal
http://memritv.org/Search.asp?ACT=S9&P1=509

Clip N° 455 - Débat sur les femmes battues dans l'islam
http://memritv.org/Search.asp?ACT=S9&P1=455

Clip N° 440 - Débat sur les femmes battues - télévision égyptienne
http://memritv.org/Search.asp?ACT=S9&P1=440

Clip N° 392 - Cheikh Al-Qaradhawi: Les femmes battues oui, l'homosexualité non
http://memritv.org/Search.asp?ACT=S9&P1=392

Clip N° 287 - Débat sur les femmes battues - télévision qatarie
http://memritv.org/Search.asp?ACT=S9&P1=287

Clip N° 265 - L'ouléma égyptien Youssuf Al-Badri sur les femmes battues et le rôle de la femme dans l'islam
http://memritv.org/Search.asp?ACT=S9&P1=265

Clip N° 264 - Sabri Abd Al-Rauf, professeur égyptien à Al-Azhar, explique la notion de femme battue dans l'islam
http://memritv.org/Search.asp?ACT=S9&P1=264

Clip N° 226 - Sermon sur Qatar TV: Avec certaines femmes, la vie est impossible sans baguette
http://memritv.org/Search.asp?ACT=S9&P1=226

Clip N° 184 - Interviews télévisées d'une animatrice télé saoudienne battue et de son mari
http://memritv.org/Search.asp?ACT=S9&P1=184

Clip N° 173 - Le cheikh Abd El-Hamid Al-Muhajir explique la notion de femme battue dans l'islam
http://memritv.org/Search.asp?ACT=S9&P1=173

Clip N° 102 - Muhammad Al-Mussayyer, cheikh d'Al-Azhar, sur la notion de femme battues dans l'islam
http://memritv.org/Search.asp?ACT=S9&P1=102

Clip N° 443 - Sliman Al-Odeh, ouléma saoudien: pourquoi et comment le prophète Mahomet battait sa femme.
http://memritv.org/Search.asp?ACT=S9&P1=443

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le lundi 14 mars 2005 - 17h32:

Quel bonheur de voir le peuple Libanais (et surtout ses jeunes), prendre son destin entre ses mains !

La vérité sur Hariri est à trouver chez les services de renseignement (Hamadé)
AFP | 14.03.05 | 15h33


Le député libanais Marwan Hamadé a accusé les services de renseignement libano-syriens de dissimuler la vérité sur l'assassinat de Rafic Hariri, devant plus de 800.000 Libanais rassemblés lundi au coeur de Beyrouth.
"Vous voulez la vérité sur l'asssassinat (de Hariri)? Elle croupit dans les chambres obscures des services de renseignement qui nous gouvernent et que vous êtes en train de balayer", a-t-il lancé à la foule.
M. Hamadé, lui-même grièvement blessé dans un attentat en octobre 2004, a ainsi ouvert officiellement la cérémonie organisée par l'opposition libanaise à la mémoire de l'ex-Premier ministre assassiné quatre semaines plus tôt dans un attentat à l'explosif au coeur de Beyrouth. "Ils ont tué Abou Baha (surnom de Hariri) car il gênait leur plan de soumission du Liban. Ils l'ont tué parce qu'ils sont les ennemis de la démocratie et de l'arabité", a ajouté le député. "Mais ayez confiance. Par votre force et votre détermination, nous allons balayer les Lahoudiens (les partisans du président libanais Emile Lahoud, et les Addoumiens (en allusion au procureur général Adnane Addoum), qui tentent de cacher la vérité. Je promets que les auteurs du crime seront traînés en justice et recevront leur châtiment", a-t-il ajouté.
L'opposition exige le limogeage du procureur Addoum et des chefs de six services de sécurité libanais qu'ils considèrent comme les instruments d'une pérennisation de la tutelle syrienne, en dépit du retrait des troupes syriennes du Liban annoncé par Damas.
A la fin du discours, des centaines de milliers de voix ont crié "Nous voulons la vérité", un cri répercuté sur des kilomètres à la ronde. Les manifestants débordaient largement de la place des Martyrs, rebaptisée "place de la Liberté" par les protestataires, sur les autres places du centre rénové de Beyrouth et les artères qui le desservent. De longues files de véhicules aux entrées de la capitale tentaient toujours de parvenir jusqu'au rassemblement, plus important en nombre que celui organisé mardi dernier par les mouvements pro-syriens à Beyrouth.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le lundi 14 mars 2005 - 11h19:

plus de dix ans. Symbole de la lutte pour la libération de la femme, l'écrivain bangladaise a reçu le 16 novembre dernier le prix Unesco-Singh 2004, doté de 100 000 dollars, pour la promotion de la tolérance et de la non-violence. Elle a fait du combat contre l'obscurantisme religieux et l'oppression des femmes sa raison de vivre. Entretien avec une femme rebelle.

Propos recueillis par Julien Nessi

[12 mars 2005]

Pour Taslima Nasreen, le Coran, comme toutes les autres écritures sacrées, est complètement dépassé. Car aujourd'hui, la vie en société ne peut être organisée que par un Etat et non par des versets écrits il y a mille quatre cents ans.

Le Figaro Magazine - Quelle est la condition de la femme dans votre pays ?

Taslima Nasreen - Le Bangladesh est un pays de plus de 130 millions d'habitants, l'un des plus peuplés au monde. 70% de la population vit en dessous du seuil de pauvreté. 40% de femmes n'ont pas d'accès à l'éducation et aux soins et 80% d'entre elles sont toujours analphabètes ! Même si plus de femmes vont à l'école ou travaillent qu'auparavant, elles souffrent toujours du fondamentalisme islamiste. Les intégristes décrètent des fatwas contre elles, les terrorisent et les empêchent d'avoir accès à l'éducation. Les femmes qui travaillent sont menacées de représailles. Pour les fondamentalistes, la place de la femme est à la maison. Pire encore, le gouvernement bangladais soutient ce fondamentalisme. Il utilise l'islam pour obtenir des suffrages et récolter des voix auprès des personnes analphabètes manipulées par la religion.

Vous ne cessez de dénoncer la condition des femmes musulmanes partout dans le monde. En quoi l'islam serait-il une religion nuisible pour les femmes ?

Les femmes sont oppressées par toutes les religions, y compris l'islam. Les traditions culturelles et les coutumes les asservissent aussi. Je m'attaque à l'islam en particulier, parce que je suis née dans une famille musulmane et que j'ai vécu dans un pays qui applique la charia. J'ai donc personnellement vécu cette oppression et j'ai compris très jeune que l'islam était un outil pour faire perdurer un système patriarcal. Dans le Coran, les femmes ne sont pas traitées comme des êtres humains mais comme des êtres inférieurs et des objets sexuels, condamnés à la servilité. Elles sont réduites à l'esclavage dans un texte qui est vieux de 1 400 ans ! Elles n'ont pas les mêmes droits que les hommes : elles doivent porter le voile, peuvent être battues, n'ont aucun droit sur l'héritage ou encore subissent la polygamie et la répudiation. Si les femmes ne suivent pas les ordres de leurs maris, de leurs frères ou de leurs fils, elles peuvent être battues, lapidées ou rejetées par la société. Le Coran est un livre sacré, mais uniquement pour les hommes ! Il est dit, par exemple, que Dieu donne l'autorité aux hommes sur les femmes. Si les femmes n'obéissent pas à leurs maris, ils sont autorisés à les frapper ! Ce texte est une source d'injustice et de discrimination pour toutes les femmes.

Pensez-vous qu'il faille moderniser le Coran afin de donner plus de droits aux femmes ?

Vous ne pouvez pas réécrire un livre établi en l'an 651 de notre ère ! Les versets du Coran ne peuvent être reformulés, c'est ainsi... Par contre, ce livre doit être considéré comme un simple document historique, écrit il y a mille quatre cents ans. Je pense que le Coran, comme toutes les écritures sacrées, est complètement dépassé aujourd'hui. Nous n'en avons plus besoin pour vivre. A l'époque, ce texte servait de guide pour l'organisation de la société. Mais, aujourd'hui, dans une société moderne, c'est à l'Etat et non à l'Eglise de définir l'organisation de la vie en société. Le Coran doit rester du domaine privé et personnel. C'est pourquoi je me bats pour la sécularisation de la société et la séparation entre l'Eglise et l'Etat dans les pays où le Coran régit encore la vie quotidienne et les affaires personnelles. Le Coran est inutile dans le monde moderne.

Ne pensez-vous pas que la majorité des musulmans sont modérés et tolérants alors que les extrémistes ne représentent qu'une minorité ? Et que l'Islam peut être un mode de vie comme un autre ?

Je ne crois pas que les extrémistes soient une minorité. Au contraire, le fondamentalisme est en plein essor dans les pays islamistes. Les guerres menées en Afghanistan et en Irak sont en train de produire de nouveaux intégristes. Des musulmans qui étaient modérés hier basculent aujourd'hui dans le fondamentalisme en réaction à ce qui est perçu comme une guerre entre l'Occident et l'Orient. L'Ouest doit faire très attention dans sa manière de lutter contre le fondamentalisme. Les guerres ne font qu'amplifier les haines et les fondamentalismes. Pour sortir de l'obscurantisme, c'est de civilisation et d'éducation dont nous avons besoin. Le conflit aujourd'hui n'est pas un conflit entre l'Occident et l'Orient, mais entre le laïcisme et le fondamentalisme, entre l'innovation et la tradition, entre un monde moderne et rationnel et un monde de foi aveugle et irrationnel.

Que pensez-vous de la lutte contre le terrorisme conduite par l'actuelle administration américaine ?

Les Etats-Unis pratiquent aujourd'hui un terrorisme d'Etat. Selon moi, le terrorisme d'Etat est toujours la forme la plus dangereuse de terrorisme. La politique étrangère qu'ils mènent en Afghanistan ou en Irak ressemble à celle qu'ils ont pratiquée dans le passé au Nicaragua, au Chili ou encore aux Philippines.

L'avocate iranienne Shirin Ebadi a reçu le prix Nobel de la paix 2003 pour son action en faveur des droits de l'homme. Selon elle, l'islam est compatible avec les droits de l'homme. Que pensez-vous de sa position ?

Je respecte son opinion et son engagement humaniste. Notre objectif est le même : obtenir l'égalité et la justice pour les femmes. Simplement, nos moyens d'y parvenir sont différents. Pour moi, l'islam est incompatible avec les droits de l'homme et de la femme. Ce n'est pas de l'islam dont nous avons besoin pour lutter contre l'ignorance, mais d'un code civil basé sur l'égalité des sexes et d'une éducation laïque pour tous.

Vous prônez la sécularisation et la séparation de l'Eglise et de l'Etat pour sortir les femmes de la servitude. Seriez-vous favorable à une révolution laïque dans les pays musulmans ?

La grande tragédie de l'humanité, c'est le fait que la moralité ait été récupérée par la religion. Avant la création des religions, la moralité existait déjà. Nous n'avons pas besoin des religions pour être moral. Ma conscience est suffisante pour faire de moi une bonne personne. C'est pourquoi je milite pour une révolution laïque dans mon pays. Je me bats aussi pour toutes les femmes qui sont oppressées partout dans le monde.

Comment ressentez-vous la menace permanente de la mort et l'exil forcé ?

Je me sens en sécurité aujourd'hui. Je voyage beaucoup, entre Stockholm, Calcutta, New York et l'Europe. Quand je me rends dans l'Etat du Bengale-Occidental, en Inde, je bénéficie d'une protection policière. Cela fait maintenant plus de dix ans que je vis en exil. L'isolement, le déracinement culturel et la séparation familiale sont difficiles à vivre. Avec cet exil, j'ai tout perdu : ma famille, ma culture, ma langue, ma société... Je me sens comme une étrangère en Occident, et comme une étrangère dans mon propre pays. Je voudrais pouvoir m'engager dans mon pays pour faire avancer les choses, mais je suis complètement coupée du Bangladesh. J'ai alors réalisé que je devais continuer à écrire pour ne pas laisser les fondamentalistes me faire taire. Je poursuis aujourd'hui mon oeuvre autobiographique, j'écris des tribunes dans les journaux et je soutiens des mouvements pour les droits des femmes partout dans le monde. Mon prochain roman, qui sortira en octobre 2005 en France, portera justement sur les déchirements de l'exil.

Qu'allez-vous faire de votre prix ?

Ce prix redouble mon engagement et ma détermination. Je compte aider les organisations non gouvernementales qui défendent les droits des femmes en Asie. L'espoir réside dans le combat de ces ONG pour donner une vie meilleure aux femmes et les sortir de la servitude. Seule l'éducation pourra changer la vie des femmes.

MAURICE : Israel a eu besoin de la culture conservée par la religion mais devra lui aussi ne pas s'y enkyster

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le lundi 14 mars 2005 - 09h39:

Maurice,

Moi, faire le tri des mails ?? !!!

Sorry, ici y'a pas marque La Poste ! ;-)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le lundi 14 mars 2005 - 04h17:

L’amitié est impossible dans un tel environnement (info # 011303/5) [analyse]

Par Ilan Tsadik © Metula News Agency

Que quelqu’un envoie, s’il vous plaît, le couple infernal Paris-Le Bars à Papeete, pour observer la différence qu’il existe entre l’application des principes colonialistes à Israël du sémiologue de l’AFP Marius Schattner – qui se déclinent : un colon, une maman-colon, un bébé-colon tués – aux implantations, et une bonne vieille, indiscutable et authentique colonie à la française. Il est vrai qu’au Monde, comme nulle part dans le reste de l’entente médiatique française, chiraquienne et unanime, on ne s’étend trop précisément sur les vrais combats indépendantistes de ceux qui espèrent supplanter les Français-colons qui contrôlent leurs territoires au-delà des océans. Et si la Polynésie c’est trop loin, trop cher, pour un journal en perte d’audience, on pourrait envoyer les Paris-Le Bars sur l’Ile de beauté, ils y trouveraient déjà un aperçu édifiant de la gestion à la française des territoires périphériques : huit jours de coupures incessantes d’électricité, en plein hiver, parce qu’il avait neigé en montagne et qu’EDF n’avait pas réussi à renouveler les réserves de pétrole. En prime, le couple, ante-Perestroïka, pourrait continuer à exécrer les Juifs en public, car, à en croire l’association Corse-Israël, un bon quart des habitants de l’île serait d’origine hébraïque [accéder au site de Corse-Israël].

On sait à Métula que tout ce petit monde de journalistes-activistes a bien lu la série de Stéphane Juffa [lire la première partie de "l’Explication"], qui exclut par la démonstration l’applicabilité des normes des guerres de décolonisation aux implantations juives en territoires palestiniens [1]. Mais peu leur en importe, comme si l’inculte théorie de Schattner, à force d’être ressassée par l’ensemble des journalistes français, pouvait devenir réalité… Une idée de répétitivité faisant école, dont Goebbels était en tous cas un adepte persuadé.

On a retrouvé cette idée, hier matin, dans un article de Gilles Paris dans Le Monde : [Le rapprochement israélo-palestinien tarde à se concrétiser]. Dans le résumé de l’article proposé par le quotidien, le lecteur apprend que "la colonisation se poursuit", cependant que dans l’article, il n’est aucunement fait mention de "colonisation". C’est assez atypique des règles journalistiques et typique, par contre, des méthodes du journalisme de propagande, pour mériter que je le mentionne. Mais ce qui a fait tiquer ma bonne amie Germaine, c’est le second paragraphe de Gilles Paris dans Le Monde ; et comme on la comprend ! Le mari de Stéphanie s’y livre à une juxtaposition des événements ayant rompu la trêve israélo-palestinienne. C’est informatif… d’un état d’esprit. Selon Paris, il y a, d’un côté, "l’attentat" du 25 février à Tel-Aviv. C’est assez sommaire comme définition… On aurait pu s’attendre à voir préciser que cet attentat était en fait un assassinat collectif, dont les auteurs ont choisi leurs victimes en fonction de leur nationalité israélienne et de leur religion israélite supposée, c'est-à-dire en fonction de leur race, faisant de cet acte, au sens des lois internationales, un crime contre l’humanité et un acte de génocide. Pas uniquement un "attentat", subséquemment. Paris aurait pu donner au moins un élément de référence pour qu’on pige son énumération, et rappeler que 5 personnes, totalement innocentes, était décédées des suites de cet assassinat collectif et que 53 autres avaient été blessées.

On aurait cependant admis que Paris et Le Monde ne fassent état que d’un "attentat", s’il s’agissait juste de procéder à une énumération rapide des événements ayant rompu le cessez-le-feu. Mais la juxtaposition de ce rappel ascétique de l’"attentat" avec ce qui suit dénote d’une retranscription assurément mal intentionnée de la situation. Je vous cite le contexte : "En dépit de l'attentat perpétré le 25 février à Tel-Aviv par un membre du Djihad islamique et de l'assassinat par l'armée israélienne, le 10 mars, d'un membre de ce même mouvement accusé d'avoir été mêlé à la préparation de cet attentat (…)".

Massacrer 5 innocents et en estropier 53 autres c’est, pour Gilles Paris, un attentat, alors qu’éliminer l’un des commanditaires principaux de ce massacre, c’est un "assassinat"… Allez donc expliquer pareille logique à des lecteurs équilibrés ! Il n’y a en effet qu’en France, et que lorsque l’on décrit l’élimination de terroristes ayant tué des Israéliens, que l’on se risque à employer le verbe assassiner. Dans tous les autres cas de figures, l’élimination d’un chef terroriste, appartenant à une organisation classée terroriste – rien à voir avec un "mouvement" anodin bien entendu – par l’UE, ne sera jamais décrite comme un assassinat. Encore que pour que l’on puisse parler d’assassinat, il fallût, en tout cas, que l’on soit en présence d’un "meurtre prémédité".

Pour l’avoir suivi d’assez près, je vais faire à mes belles cousines qui me lisent, et aux troglodytes racistes, qui me lisent également, le récit de l’"assassinat" rapporté dans Le Monde :

Abed Altif Hasin Halil était un membre actif de l’organisation terroriste du Djihad islamique. Un terroriste, donc. Il était recherché par les services de sécurité israéliens depuis plus de deux ans, pour avoir participé à, voire organisé, de nombreuses activités sanglantes. Le 25 février dernier, sur les ordres du commandement du Djihad islamique à Damas, Halil avait envoyé l’assassin-suicide se faire exploser à l’entrée da la discothèque "The Stage", engendrant le carnage dont j’ai parlé. Trois jours plus tard, il avait directement contribué à bourrer une voiture de 350 kilos d’explosifs, soit la plus grande charge jamais préparée dans la région pour un attentat à la voiture-suicide. Par chance, le véhicule avait été intercepté aux alentours du village d’Arrabeh, en Cisjordanie, avant de générer un nouveau massacre.

Lundi dernier, nos services de renseignement ont obtenu des informations concrètes faisant état de la présence du terroriste dans une maison située dans le village de Nazlat A-Awasta, au sud de Jénine. Un commando de parachutistes et des membres de l’unité de maîtres-chiens "Oketz" (le dard) encercla rapidement le bâtiment indiqué afin de procéder à l’arrestation d’Abed Halil. Pendant plus de 20 minutes, les soldats ont appelé tous les occupants de la demeure à en sortir les mains sur la tête, suite à quoi de nombreuses personnes en sont effectivement sorties. A ce moment, afin de s’assurer que le suspect ne se trouvait plus à l’intérieur de la maison, on fit appel aux services du berger belge Arkus, qui effectua une première fouille des lieux, sans rien trouver. Oded, le dresseur d’Arkus, renvoya l’animal procéder à une seconde investigation qui ne donna rien non plus. A la troisième tentative, le Malinois découvrit la planque du terroriste, qui se cachait dans le grenier. Lorsqu’il vit le chien s’approcher de lui, Halil l’exécuta d’une balle de revolver, avant d’ouvrir le feu en direction des militaires qui entouraient la maison. Ceux-ci répliquèrent par un feu nourri et des jets de grenades, dans l’intention, toujours, de faire sortir le forcené et de l’arrêter. Une fois de plus, le chef du Djihad refusa d’obtempérer ; on fit alors appel à un bulldozer blindé, qui, sous la couverture des tirs des parachutistes, entreprit de démolir la maison pan après pan. Plus tard, dans les débris, on retrouva les corps sans vie du terroriste et du fidèle auxiliaire de Tsahal à quatre pattes.

Voilà ce que le journal de référence des Français appelle un meurtre prémédité d’un "membre" du "mouvement" du Djihad islamique, que rien, dans l’article de Gilles Paris, n’identifie à une organisation terroriste. Ilan laisse le soin aux lecteurs doués d’intelligence de mesurer la distorsion existant entre le compte-rendu du Monde et les faits, ainsi que l’influence que de semblables écarts peuvent avoir sur un public déjà largement et longuement soumis par les medias tricolores à des distorsions du même type.

Arkus a été porté en terre dans le cimetière canin situé dans l’enceinte de la base de l’unité Oketz. Le brave chien a sans doute, par son sacrifice, épargné la vie de plusieurs jeunes Israéliens.

Durant la semaine qui s’ouvre, nous allons recevoir Jean-Pierre Raffarin, qui vient participer, en compagnie de nombreux autres responsables politiques internationaux, à l’inauguration du nouveau musée de la Shoah à Jérusalem. Il est le chef d’un gouvernement qui prétend combattre le terrorisme, mais qui, dans les faits, tolère son expression lorsque qu’il s’attaque à des civils israéliens, ainsi que ses medias nationaux, qui font bien plus – comme on vient une nouvelle fois de le montrer - que s’en accommoder. Pourtant, ce qui avait permis le déchaînement nazi, ce fut lorsque la démocratie sociale européenne permit que l’on traitât les Israélites selon des normes différentes de celles que l’on appliquait aux autres citoyens. Sans respect. Sans réserve. Sans leur appliquer les principes de la justice universelle, admettant que l’on imputât aux Juifs des fautes extraordinaires, qu’ils n’avaient, bien sûr, déjà jamais commises. C’est exactement, Monsieur Jean-Pierre Raffarin, la situation qui prévaut aujourd’hui dans les medias français, étatiques comme privés, lorsqu’ils parlent d’Israël.

Quant aux "perspectives d’une relance du processus de paix", qui "se font toujours attendre" selon le quotidien généraliste le plus arafatien d’Europe, je crains pour sa réputation déjà malmenée que les Israéliens ne transfèrent aux Palestiniens, cette semaine encore, le contrôle absolu des villes de Tulkarem et Jéricho. Dur dur d’être, par vocation, des oiseaux de mauvais augures. Ca fausse forcément les perspectives…

Notes :

[1] L’avenir des implantations constitue un problème israélo-palestinien à régler dans le cadre d’une solution définitive au différend, tandis que l’assimilation des implantations aux colonies participe de la démonisation d’Israël par les medias français et à la légitimation de l’idée de la "parenthèse", autrement dit, la légitimation – en France - de l’usage du terrorisme par les Palestiniens extrémistes et de leur but d’éradication d’Israël.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le lundi 14 mars 2005 - 03h39:

Heureusement que nous avons des différentes opinions sur chaque sujet. Je connais certaines opinions de David Eden sur certains sujets. Je ne suis pas toujours d'accord avec sa façon s'aborder les choses, mais malgré tout nous n'avons pas le droit de lui interdire de s'exprimer et nous devrions a mon avis respecter son opinion et le laisser dire ouvertement ce qu'il pense. C'est le droit d'expression de chaque être humain.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lalla (Lalla) le lundi 14 mars 2005 - 01h47:

mille fois merci,Sybille;
tres interessante la premiere explication;quant a la seconde ,pourquoi pas?nous les Juifs ,nous ne manquons pas d'imagination et la,cest tres sympa;

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lalla (Lalla) le lundi 14 mars 2005 - 01h38:

un grand merci a Braham
je me souviens tres bien;il s'agit de la grande synagogue,n'est-ce pas?comment avez-vous ces photos?etes vous aussi nabeulien?
mon coeur a fait :tilt!!!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le dimanche 13 mars 2005 - 23h15:

kadil

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Francois (Francois) le dimanche 13 mars 2005 - 20h48:

Corse-Israel

Le site Corse-Israël publie une intéressante histoire des relations entre les juifs et les corses:


L'histoire des Juifs en Corse remonte a plusieurs centaines d'annees. Les premieres traces d'une presence juive dans l'ile se situent aux alentours de l'an 800. A cette epoque, une importante immigration venue d'Egypte s'est installee dans le Sud de la Corse ; une grande partie de ces femmes et hommes juifs parlaient et ecrivaient l'hebreu. La majorite d'entre eux s'est implantee a proximite d'un village denomme Levie (la bien nommee), situe a l'interieur des terres a 20 km environ de Porto-Vecchio . Par la suite, les membres de la communaute se sont disperses un peu partout dans l'ile en devenant partie integrante de la population autochtone et dans certains villages de montagne, des eglises gardent encore la trace de documents rediges en hebreu a cote de ceux rediges en latin. Bien des siecles plus tard, dans les annees 1500-1530, environ 1000 Juifs de la region de Naples trouverent refuge en Corse,fuyant tres certainement une persecution locale, et ils s'installerent dans les regions montagneuses du centre de l'ile. En l'an 1684, la ville de Padoue, situee en Italie, qui etait peuplee en grande partie par des Juifs qui habitaient un ghetto edifie en 1516, fut le theatre de violences dirigees contre ses citoyens juifs, dont une partie faillit se faire lyncher. Une rumeur malveillante selon laquelle leurs coreligionnaires de Buda, avaient commis des actes de cruaute contre les Chretiens de la ville hongroise, declencha cette flambee de brutalite dirigee contre la communaute juive de la ville. C'est grace a l'intervention d'un pere Franciscain nomme Pere Marco qui ecrivit une lettre afin de denoncer cette mystification, que la communaute juive echappa au massacre annonce. Une grande partie de la communaute juive de Padoue decida a la suite de ces evenements d'emigrer sous d'autres cieux plus clements. Certains arriverent en Corse, et les habitants les nommerent Padovani, ce qui signifie : venu de Padoue. Le nom de famille Padovani est un nom tres repandu de nos jours en Corse.

Les Rois de France expulsent les Juifs, les Corses les invitent pour regenerer l'ile

Mais la plus importante vague d'immigration juive qu'ait connue la Corse se situe entre les annees 1750 et 1769. La premiere republique constitutionnelle et democratique d'Europe venant de naitre, le leader de l'epoque Pascal Paoli fit venir en Corse entre 5000 et 10000 Juifs du nord de l'Italie, ( les chiffres varient selon les sources) de Milan, de Turin ainsi que de Genes pour revitaliser l'ile suite a 400 ans d'occupation genoise. Afin de les rassurer sur leur integration et sur la volonte du peuple corse de les considerer comme leurs egaux, ce meme Paoli fit une declaration destinee aux nouveaux venus : "Les Juifs ont les memes droits que les Corses puisqu'ils partagent le meme sort". Cela fit comprendre aux Juifs qu'ils etaient des citoyens a part entiere et qu'ils beneficiaient d'une totale liberte de culte, ce qui n'etait pas le cas dans bon nombre de pays.

En realite, c'est plus de 25% de la population corse qui aurait des origines juives.

Ces immigrants portaient pour la plupart des noms a consonance ashkenaze, qui etaient tres difficilement prononcables par la population locale. Une partie d'entre eux etant roux, ils se virent affubles du surnom de Rossu qui signifie rouge et designe les rouquins ce qui donne au pluriel Rossi, nom extremement repandu en Corse. En realite, c'est plus de 25% de la population corse qui aurait des origines juives. En lisant les etats civils, on peut facilement s'en rendre compte : les noms tels que Giacobbi, Zuccarelli, Costantini, Simeoni... tres communs dans l'ile de Beaute, ne laissent planer aucun doute quant a leur origine.

Le nombre peu important des membres de la communaute juive, ajoute au fait que les Corses n'ont fait aucune difference entre les originaires de l'ile et ces nouveaux venus, est tres certainement a l'origine d'un grand nombre de mariages mixtes qui declencherent une assimilation quasi-totale. Malgre cela, les signes sur l'ile de beaute d'une ancienne presence juive y sont tres nombreux ; un exemple probant en est le nom d'un village Cazalabriva qui selon plusieurs sources concordantes viendrait de: casa di l'ebreo, litteralement la maison de l'hebreu (le mot juif n'existant pas en Corse). Ou bien encore, de nos jours dans certaines regions, il subsiste une tradition tres ancienne de donner aux nouveaux-nes des prenoms d'origine hebraique tel que Mouse (Moise) etc. ...

Plus proche de nous, durant la seconde guerre mondiale, alors que la Corse etait occupee par les fascistes italiens, les habitants de l'ile se mobiliserent pour aider les Juifs a se cacher. Avec les moyens du bord, ils aiderent hommes,femmes et enfants a se refugier dans les villages de montagne. Un haut fonctionnaire francais accomplit un travail admirable et, au mepris de sa vie, sauva a lui seul, plusieurs dizaines de Juifs. Il s'agit du sous pr?fet de Sartene Pierre-Joseph Jean Jacques Ravail. Il travaillait avec le reseau mis en place par les partisans de Paul Giacobbi, grand pere de l'actuel prefet de Haute-Corse qui refusait d'opter pour la voie de la collaboration.

la Corse apporta sa contribution a la creation de l'Etat d'Israel.

La Corse eut donc une attitude plus qu'honorable envers les Juifs persecutes, et pas seulement pendant la Seconde guerre mondiale. En effet, c'est le seul endroit en Europe ou l'on n'eut jamais a deplorer des actes antisemites, et cela merite d'etre dit. En 1947, la Corse apporta sa contribution a la creation de l'Etat d'Israel. Des Corses d'alors deciderent de secourir les combattants juifs luttant pour leur independance et pour former leur Etat. Leur mission: accueillir des avions qui vont etre bourres d'armes pour s'envoler vers des lieux gardes par la Haganah. Ajaccio est alors choisie comme piste d'atterrissage. Des hommes,parmi eux des policiers mais aussi des voyous, rendent visite au prefet de l'epoque; il a pour nom ... Maurice Papon.

L'homme a un passe confus, trois Corses lui expliquent que l'aeroport d'Ajaccio sera reserve a ces transports d'armes. Les Corses beneficient de l'accord du gouvernement socialiste qui ne peut agir ouvertement. Maurice Papon ferme donc les yeux et il laissera filer parait-il le bebe. Les armes transiteront par la Corse pour s'evaporer vers le futur Etat juif. Il ne faut pas oublier de souligner qu'hormis toutes les vagues d'immigration juive qu'ait pu connaitre la Corse , des individus isoles sont venus s'y installer, provenant notamment des communautes juives d'Afrique du nord. De nos jours, la communaute juive de l'ile, tres peu nombreuse, se concentre essentiellement a Bastia. Son president Mr Ninio, natif de Tiberiade, ouvre deux fois dans l'annee la synagogue qui possede deux Rouleaux de la Torah en parfait etat: pour Roch Hachana, le jour de l'an Juif et Yom Kipour. Les jeunes, pour la plupart, quittent l'ile pour aller etudier sur le continent et bien souvent ils y rencontrent leur moitie et s'y installent d?finitivement. Il existe en Corse de tres nombreuses personnes soutenant l'Etat d'Israel dans la periode difficile qu'il traverse actuellement. Parmi ces amis d'Israel, certains sont alles jusqu'a ecrire des missives au president francais Jaques Chirac, a la Haute Cour internationale de La Haye ainsi qu'aux medias francais, afin de denoncer la politique europeenne et francaise, en particulier, toujours pro palestinienne. Ce soutien inconditionnel s'explique en partie par le fait que beaucoup de corses ont le sentiment qu' il y a un gouffre entre ce qui se passe reellement et ce qui se dit dans les medias Francais au sujet de ces deux communautes. Du reste , une association Corse - Israel s'est cree afin de rapprocher les deux communautes et de developper le dialogue entre elles .

Source: http://www.corse-israel.com/histoire-frere.php

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le dimanche 13 mars 2005 - 20h34:

Bazooka excusez je pensais que vous faisiez le tri des mails

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bekhor (Bekhor) le dimanche 13 mars 2005 - 20h12:

DAVIDEDEN A ECRIT:
"Moi aussi je suis redevable a la Tunisie pour ses positions.
Et si Abbas et ses 40 voleurs s'installaient a Tunis plutot."

Davideden je pense que tu devrais faire des efforts et t'abstenir d'afficher des propos qui ne mènent a rien, qui sont pleins de préjugés et qui incitent a la haine.

J’ai souvent remarqué que tes propos sont souvent hostiles pleins de fiel et débordent de rancune.

Sois plutôt constructif, et tout le monde se portera mieux.

Quand a Djerbien, c’est bien d’avoir relevé ce que vous pensez au sujet de Davideden, mais pourquoi aussi,déversé votre haine vis-à-vis de Sharon, c’est un homme qui va de l’avant, malgré que dans sa propre famille politique il trouve des hostilités pour quitter la région de la bande de Gaza, et ce pour avancer vers la paix.
De plus c’est un premier ministre qui a été élu démocratiquement, « LUI ».

Donc je vous le dis a vous aussi soyez si vous voulez etre constructif, donc arrêtez de déverser votre haine, vis avis de qui que soit.