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Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2007: Commentaires Fevrier 2007: Archive jusqu'au 27/février/2007-1
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Atsafon (Atsafon) le lundi 26 février 2007 - 23h34:

Message :
une affaire grave de déménagement!!!!

nous sommes 11 familles à avoir confiées nos effets afin de les transporter de Marseille à Ashdod pour notre alya à la société ADEM!
hors il se trouve que cette société dirigée par un escroc et doublée de la compagnie maritime "FERON" à Marseille dont Mr Levy est le directeur s'amusent avec la bénédiction de l'agence Juive à faire de l'extorsion de fond sur les holims.

Nos containers sont au port d' Ashdod depuis le mois de décembre 2006 et nous ne pouvons récuperer nos biens.

Mr Levy de la sté Féron se fait avec des méthodes mafieuses le receleur de nos biens du fait qu'il a un problème financier à régler avec ADEM, le transport de nos effets a été entièrement payé avant enlévement, aujourd'hui et depuis le mois de décembre on nous annonce que si nous voulons récuperer nos biens il nous faut d'une part repayer le transport, et d'autre part payer les frais de garde au port alors que nous attendons depuis cette date d'être livrés.

L'agence Juive fait la sourde oreille et de fait se fait complice de cette exceptionnelle escroqurie!!!

En conclusion! si vous faites votre alya évitez ADM et surtout et c'est trés IMPORTANT prenez des garanties quand à la compagnie maritime qui acheminerat vos biens, surtout évitez la compagnie FERON dont le directeur levy devrait se retrouver plutot derrière les verrous que derrière un siège de direction.

Ce message est aussi un SOS pour trouver qui peut nous aider à trouver une solution, car des familles sont dans l'angoisse et l'agence juive n'existe plus dans une telle situation.

Merci à toutes personnes, associations, ou employés dans les ministères Israëlien qui nous viendraient en Aides.

Atsafon.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 27 février 2007 - 00h45:

Mes félicitations à Rachel Samoul pour son premier livre "Un Bouquet de Coriandre".
Dans l'attente de le lire je lui souhaite un bon succes.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le lundi 26 février 2007 - 19h25:

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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Viviane (Viviane) le lundi 26 février 2007 - 19h16:

Le Monde, Le Monde diplomatique avec Alain Gresh: c'est "blanc bonnet et bonnet blanc".

En Cisjordanie, les "colonies sauvages" israéliennes occupent colline après colline

LE MONDE | 26.02.07

NOFEI PRAT (CISJORDANIE) ENVOYÉ SPÉCIAL

Pour le moment, il n'y a encore que cinq mobile homes. L'endroit n'a pas encore de nom. On l'appelle la colline 468, chiffre qui correspond à l'altitude. Quelques familles y habitent. Au total, une quinzaine de personnes qui vivent dans un confort rudimentaire. Toutefois, il y a l'eau courante et l'électricité, branchées directement sur la colonie voisine, à un bon kilomètre, Nofei Prat. Une route macadamisée permet d'y accéder. De là, on domine toutes les collines de la Judée, verdoyantes en cette saison. Au loin, on aperçoit Jérusalem et le mont Scopus. Nous ne sommes qu'à 25 km à l'est de la Ville sainte.

"Il me faut une demi-heure pour m'y rendre", explique Pini, guide professionnel. Avec des laïques et des religieux, il a choisi de vivre ici parce qu'il aime le soleil, la nature et parce qu'à ses pieds "il y a deux mille ans d'histoire" et des sites mentionnés dans la Bible.

La colline 468 est une "colonie sauvage", comme les 101 autres répertoriées par l'organisation non gouvernementale Peace Now (La Paix maintenant) et que le gouvernement israélien promet perpétuellement de démanteler sans que rien ne se produise. Ce jour-là, la police interdit l'accès au site et demande aux militants de La Paix maintenant de repartir, car il s'agit d'un "rassemblement illégal". Pour Dror Etkes, dénonciateur infatigable de la progression de la colonisation en Cisjordanie, la colline 468 est la parfaite illustration des projets gouvernementaux d'étendre, petit à petit, colline par colline, la trame des implantations qui, au bout du compte, va permettre de créer un fait accompli et d'accaparer une autre portion de territoire.

Pour le moment, les Bédouins, qui vivent plutôt dans les vallées et au bord des routes, dans des constructions de fortune, sont toujours là. Mais en haut des montagnes de Judée, les zones de peuplement sont innombrables. Toujours situées au sommet des collines, elles sont reliées entre elles par des routes, dont certaines sont en construction.

Le maillage se constitue. De Kefar Adumim, l'extension des colonies se prolonge à l'est par Alon et à l'ouest par Nofei Prat puis Almon. Bientôt, ce sera un nouveau tissu urbain qui, au nord, fera le pendant de l'immense bloc de Maale Adumim au sud, avec, au centre, la zone industrielle de Mishor Adumim. Maale Adumim compte déjà 32 000 habitants, et les travaux d'extension en cours sont nettement visibles.

A l'ouest, au milieu de nulle part, surgi au sommet d'une colline, un immense bâtiment est terminé. Ce sera le commissariat de police de toute la zone. Pour le moment, il n'y a aucune construction à la périphérie, mais il est prévu d'aménager une route à quatre voies pour accéder à cet immeuble.

Nul doute que cet ensemble est destiné à faire partie, un jour, du "Grand Jérusalem". Aucune décision n'a encore été prise de construire autour de cette protubérance un mur qui compléterait celui, pratiquement terminé, qui encercle désormais la Ville sainte. Cette "bulle", comme elle est souvent désignée, serait rattachée aux contreforts de la partie orientale de Jérusalem par une zone appelée "E1" qui, pour le moment, est vierge de toute habitation, en raison du veto des Etats-Unis.

Cette zone permettrait d'assurer une continuité territoriale entre le nord et le sud et de consolider une large ceinture dans les territoires conquis par Israël en 1967 et toujours occupés. "Les autorités rendent de plus en plus difficile la création d'un Etat palestinien ayant une continuité puisque, si ce projet se réalise, la Cisjordanie sera pratiquement coupée en deux", fait remarquer Dror Etkes.

Selon les chiffres communiqués par le ministère de l'intérieur, le nombre de colons installés en Cisjordanie a progressé de 5,8 % en 2006, pour atteindre le chiffre de 268 000, c'est-à-dire un pourcentage triple de la croissance démographique en Israël. La Paix maintenant souligne que, actuellement, plus de 3 000 constructions sont en cours, même si le nombre de colonies (121) et celui des colonies sauvages (102 et 2 000 "habitants") n'ont pas augmenté. Une seule colonie sauvage a été démolie en 2006. Depuis le début de l'année, selon La Paix maintenant, 90 caravanes sont venues s'ajouter aux autres dans les colonies sauvages et dans 30 d'entre elles, des constructions en dur ont commencé. Ce qui fait dire à Dror Etkes que, "malgré la volonté affichée de vouloir mettre en place la "feuille de route" (le plan de paix international), la colonisation se poursuit, et plus elle se poursuivra, plus ce sera difficile de donner un Etat aux Palestiniens".

A cela, le premier ministre, Ehoud Olmert, réplique qu'"il s'agit d'une croissance naturelle dans les implantations déjà existantes". Au mois d'octobre, La Paix maintenant avait constaté que les colons avaient profité de la guerre au Liban pour agrandir 31 colonies sauvages. Le gouvernement avait alors promis d'en démanteler et de prendre des mesures. Rien ne s'est produit. Le temps gagné est le meilleur atout pour créer l'irréversible.
Michel Bôle-Richard

"Le Monde" Article paru dans l'édition du 27.02.07.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le lundi 26 février 2007 - 19h01:

c:/

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Victor (Victor) le lundi 26 février 2007 - 15h33:

Bilan et analyse des actes antisémites en 2006

Le Service de Protection de la Communauté Juive opère un recensement des actes antisémites sur la base des appels téléphonique passés sur le numéro vert, complétée par un échange d’informations avec le Ministère de l’Intérieur.

Le SPCJ a enregistré en 2006 :

- 213 actions (contre 134 en 2005) soit une hausse de 40%
- 158 menaces (contre 148 en 2005) soit une hausse de7%
- 371 actes (contre 300 en 2005) soit une hausse globale de 24 %

Dans ce recensement, la forte augmentation des violences est relativement compensée par une certaine stabilité des menaces qui permet de maintenir le taux global d’augmentation à 24%. Nous ne pouvons nous limiter à ce constat car un tag antisémite et une agression physique ne sauraient être tenus pour équivalents en termes de gravité. Il faut aller plus avant dans le détail des chiffres pour dégager une grille de lecture.

Le début de l’année 2006 a été dramatiquement marqué par l’assassinat d’Ilan Halimi. Mois après mois, la courbe annuelle a fait apparaître une hausse très nette des violences durant les mois de février et mars que nous interprétons comme des répercussions par sorte de mimétisme de cette affaire. Les semaines de guerre entre Israël et le Hezbollah ont provoqué pendant l’été une augmentation des menaces qui s’est poursuivie pour se fondre dans une augmentation générale des actes en septembre et en octobre, mois de fêtes pendant lesquels la communauté juive est plus visible et le cas échéant ciblée. La tension n’est redescendue qu’en décembre, comme c’est d’ailleurs le cas chaque année. Les actes antisémites sont commis parfois avec une réelle détermination, parfois par simple opportunité. On observe donc que la courbe est aléatoire et que des mois sans actualité particulière peuvent rester chargés en termes de violence antisémite et dénotent ainsi d’une sorte de « bruit de fond » constant.

L’aspect essentiel et le plus inquiétant qui se dégage des chiffres concerne ceux des actes, actions et menaces, contre les personnes qui sont à l’évidence les cibles premières de l’antisémitisme. On observe une augmentation de 45 % des agressions physiques qui passent entre 2005 et 2006 de 77 à 112 et une hausse de 71 % des insultes qui passent quant à elles de 48 à 82. Cette tendance s’inscrit d’ailleurs dans celle de la hausse des violences contre les personnes, évoquée à propos des statistiques générales de la délinquance. La liste des agressions physiques indique une importante quantité de faits violents à l’encontre de mineurs ou de jeunes. Le mobile antisémite ne fait aucun doute dans la quasi-totalité des cas. Lors de certaines agressions, il aggrave le mobile crapuleux. Les violences physiques occasionnent généralement de nombreux jours d’ITT, parfois jusqu’à 30. Des agressions antisémites sont aussi commises comme telles contre des personnes qui ne sont pas juives, simplement parce qu’on a pu supposer qu’elles le sont. Les insultes sont souvent accompagnées de références à l’extermination des Juifs pendant la seconde guerre mondiale. D’autres propos dénotent des tensions qui se manifestent sur le plan des identités. Il apparaît enfin que les auteurs des violences agissant pour des motivations mal définies sont de plus en plus nombreux.

Depuis la résurgence des actes antisémites en France, concomitante au déclenchement de la seconde Intifada en octobre 2000, il était apparu à l’examen des courbes annuelles de ces actes que leur survenance était étroitement liée à l’actualité du Proche-Orient. En 2004, le constat avait changé. Les actes antisémites - 974 dans le recensement du Ministère de l’Intérieur, 592 dans celui du SPCJ - étaient survenus de manière aléatoire et apparemment déconnectée du contexte international. Nous avions alors observé que, passé d’une apparence conjoncturelle, l’antisémitisme s’ancrait de manière structurelle, observation que nous avons maintenue en 2005. En 2006, ces deux analyses semblent se rejoindre dans une situation qui puise à la fois dans des causes structurelles et conjoncturelles, alors que les chiffres restent toutefois inférieurs à ceux de 2004. Le dernier trimestre de l’année 2006 indique une baisse de 21% des actes. Cette tendance à la baisse s’est maintenue en janvier 2007. Les aléas qui pèsent sur l’actualité rendent l’avenir incertain et la vigilance doit demeurer entière.

Elisabeth Cohen-Tannoudji
Chargée de mission au CRIF

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le lundi 26 février 2007 - 01h07:

La longue enquête du photographe devenu rabbin

Article publié le 17 Février 2007
Par Jean-Pierre Langellier
Source : LE MONDE


Extrait : "Avant de devenir rabbin, Frank Dabba Smith était photographe. Il l'est resté. Sa passion pour la photo, associée à sa vive curiosité, l'a poussé à tenter de percer l'énigme que représentait l'action clandestine d'Ernst Leitz en faveur des juifs allemands. Dans son bureau de la « synagogue progressiste » d'Harrow et Wembley, au nord-ouest de Londres, cet homme affable de 51 ans évoque, d'une voix douce, ses premières émotions photographiques dans sa Californie natale. Elève à San Diego, il achète, à 15 ans, son premier Leica. Etudiant à Berkeley, il découvre une allusion à Leitz, au détour d'un article consacré à Norman Lipton, alors directeur du magazine Popular Photography."

Je m'excuse, le lien indique precedemment ne fonctionne pas, essayez l'url de l'article "Au bout de l'objectif,la liberte" :

http://www.lemonde.fr/web/article/0%2C1-0,http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0}@2-3214,36-868216,0.html

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le lundi 26 février 2007 - 00h31:

Reaction a la publication dans le journal le Monde de l'article suivant :

Enquête
Au bout de l'objectif, la liberté

LE MONDE | 16.02.07 | 15h50
Jean-Pierre Langellier LONDRES CORRESPONDANT

"Le 12 février 1938, à 5 heures du matin, Kurt Rosenberg grimpe, quatre à quatre, vers le pont du "Hansa", un paquebot de ligne parti de Hambourg, et qui s'apprête à accoster sur les quais de l'Hudson. Il a 22 ans. Il est juif allemand. Avec son appareil Leica, il veut immortaliser les gratte-ciel de Manhattan qui l'émerveillent, en cette aube pour lui si prometteuse. Il a fui le nazisme, il commence une nouvelle vie.".......

Suite de l'article dans Lemonde.fr


1-0@2-3214,36-868216,0.html.,Au bout de l'objectif la liberté

Suite a la publication de cet article, j'ai recu par l'intermediaire d'un de mes correspondants la reaction de Jean Boulakia a ce sujet:

La face cachée de Ernst LEITZ, Protestant et héritier de l'inventeur du Leica !

".......Mon père, Raoul Boulakia, possédait un appareil de photo Leica, quand les Allemands sont arrivés à Tunis. Le lendemain de leur arrivée, un officier nazi accompagné d'un interprète est venu confisquer le Leica de mon père. Ils avaient le numéro, savaient que mon père était Juif, etc.Je me souviens encore de la couleur de l'uniforme de l'Allemand (j'avais 9 ans).
En 1969, à la Nouvelle Orléans, Louisiane, à une soirée mondaine, j'ai rencontré le représentant de Leitz pour le sud ouest des États-Unis. Nous nous sommes mis à discuter photographie. Il me déclara que je devais acheter un Leica. Je lui répondis Non, merci, j'aurais trop peur que Leitz me le reprenne. Je lui racontais l'histoire.Il me traita de menteur et me tourna le dos. On a oublié les Leica Luftwaffe, Léni l'ancienne cinéaste du nazisme, publiant des photos de tourisme prises avec Leica dans Modern Photography (une lettre que j'ai envoyée à l'éditeur de la revue a occasionné une réponse d'insultes.
Apparemment, je devrais oublier et travailler à la réconciliation. Peut-être, mais je vous en prie, plus de non-sens. Leitz a collaboré avec les nazis comme les autres...."

"Les Allemands en Tunisie ont suivi toutes les étapes à l'égard des Juifs que dans les autres pays. Interdiction d'avoir une radio (toutes les radios ont été apportées par leur propriétaire à la Grande Synagogue de l'avenue de Paris le premier samedi qui a suivi l'arrivée des Allemands. Interdiction d'avoir un bon appareil de photo (on se souvient que les rares photos des
ghettos européens ont été prises soit par des allemands, soit en cachette au risque de la vie du photographe. Il reste quelques photos prises avec un Rolleiflex, mais les Juifs n'avaient pas le droit d'avoir des Leica.
En 5 ans de guerre, le nombre de photos des camps, ou des ghettos, ou même de la vie des Juifs sont rarissimes.
Un détail important. Les allemands avaient construit un camp de concentration à Djebel Djelloud, à une quinzaine de kilomètres de Tunis,avec crématoires, mais les Hussards de la 8eme armée britannique sont entrés le vendredi 7 mai 1943 vers 4 heures de l'après-midi. Il pleuvait.Les ordres de déportation étaient datés de la deuxième quinzaine de mai. Ils allaient nous faire marcher jusqu'à la solution finale. Si tu peux trouver le bouquin de Morehead , la Trilogie africaine, tu trouveras des détails sur les armées britanniques. Il était correspondant je crois du Manchester Guardian en
Afrique pendant la campagne.
Un détail, au musée de Jerusalem, il y a une erreur de date. Les anglais sont entrés le 7 mai. Je l'ai signalée il y a deux ou trois ans à l'un des employés, qui a pris mon nom, et mon adresse courriel, mais je n'ai jamais rien reçu du musée. Je suis donc obligé de conclure que l'erreur figure toujours sur le mur. Ils ont confondu les Juifs de Tunisie avec les Juifs de Tripolitaine, la campagne de Lybie avec celle de Tunisie!
J'ai maintenant comme toi 73 ans, et nous, les enfants du miracle, disparaissons un à un. Il faut conserver le souvenir, et ne pas être dupes de campagnes de presse éhontées. Avec un appareil en cadeau, on peut faire dire à un journaliste ce qu'on veut.
Le fait que quelques employés de Leitz ont pu sortir d'Allemagne avant la guerre ne veut pas dire que Leitz n'ait pas collaboré avec les nazis. Le fait qu'ils aient attendu tout ce temps pour mettre en branle leur incroyable machine publicitaire signifie qu'ils attendaient que tout le monde soit mort.
Moi, je me souviens encore de la couleur de l'uniforme de l'officier allemand et de la rage de mon père obligé de lui donner son Leica modèle IIa avec objectif summar, dont il était tellement fier...."

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par P_Nina (P_Nina) le dimanche 25 février 2007 - 19h32:

Miz Enfants, vous vous rendez pas compte comment que ce cacouboulou, il vous a ftilés, ce type que ji connais ni d’Eve ni d’Adam, c’est une vrai embrouille tellement il est escroc, il raconte n’importe quoi pour que vous croyez que lui c’est man fils Douda ! Il vous prépare un mauvais coup !

Zama il écrit en bon français, mais c’est pas vrai, il parle petit N,,,,, d’ailleurs il a embauché un nègre, un pauvre étudiant en lettre complètement fauché, et même il le paye pas ou si peu tellement ce cacouboulou il est esclavagiste, il a fait le trafic d’ esclaves, d’ armes, des devises, et même organisé
l’évasion fiscale, en montrant une fausse carte d’agent diz impôts etc...

Ce cacouboulou il ment comme il respire, un grand guedeb ! Même pas à Marseille on voit ça !
il est recherché par les boulices, et les impôts, mais ils l’ont pas attrapés tellement c’est une anguille, ouala khout khnech, ci type là !

Pourtant j’avais averti man fils Douda, zama le fisc il lui courre après dans le paradis fiscale, mais man fils Douda, naïf k'il est, il a pas crue sa mère, il a fait des mauvaises affaires avec cet escroc di cacouboulou !

Voila ya Douda ya brel, ce qui arrive quand un fils chéri il écoute pas sa mère, et qu’il préfère écouter le chant des sirènes.

Alors méfiez vous, rod balek ! Car il raconte n’importe quoi, tout il est bon pour lui ce roule !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 25 février 2007 - 19h10:

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L ALBUM PHOTOS

PIECE EN UN ACTE AVEC

MAMILI ET ELSA et leurs deux petits-enfants
DAVID ET ARON...



Au PTB.