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Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2007: Commentaires Fevrier 2007: Archive jusqu'au 22/février/2007-2
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le jeudi 22 février 2007 - 12h32:

Comme nous le disons J.TUNE que depuis le 18° siecle l'Islam fondamentaliste ne s'applique pas aux Juifs de Tunisie
Les Tunisiens des deux religions anciennes dans le Pays ont toujours vecu en bonne intelligence et comme le dit mon ami AbdelWahab Meddeb vielle famille Tunisienne proche de la Zitouna dans son livre la Maladie de l'Islam les Juifs supportaient des conflits quand il y avait des crises
La Crise de la fin de l'Empire Otthoman de la Colonisation et la Decolonisation on entrainé le depart d'une grande partie de cette population meme de ceux qui etait tres engage dans le Destour .
La politique n'a malgre tout pas delie les liens anciens humains et personnel .Esperons que guerisse vite cette <Maladie Politique qui ronge la Liberte dans les pays ou il existe des extremistes qui revent d'une OUMMA politique qui comme toutes les Utopies entrainent des exces douloureux pour tous .
La societe evolue que si l'Homme evolue la societe ne peut inverser ce chemin que par la Force Sterile

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le jeudi 22 février 2007 - 12h16:

(l'image pour la Societe Civile Tunisienne)

Bravo

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 22 février 2007 - 12h11:

Ce qui touche Tounes el Khadra nous touche pronfondément et nous nous sentons solidaires de vos actions.Que notre cher pays continue à vivre dans l'harmonie et la paix civile. Amen.

'..Rabina i you'yed'na ou sââ'adnè...§§§§'

Albert et sa compagnie.

NB/ Mes amis, vous voulez une réunion de Mechoui??? Qu'à celà ne tienne, rien n'est impossible pour un directeur artistique.

Vous l'aurez ici même et en bas PTB,conjointement.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le jeudi 22 février 2007 - 11h13:

A l’associations de la société civile tunisienne.

Quel plaisir de lire sur le site Harissa, votre Déclaration contre le terrorisme et l’extrémisme.

Je suis sur que tous les natifs tunisiens qui vivent a l'etranger se joignent a moi en ce jour pour vous dire Bravo, courage et Merci.

bravo

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le jeudi 22 février 2007 - 08h42:

Déclaration d’associations de la société civile tunisienne contre le terrorisme et l’extrémisme


La mise hors d’état de nuire, le 3 janvier 2007, du groupe terroriste qui préparait des actions criminelles en Tunisie, a soulagé le peuple tunisien, qui apprécie à sa juste valeur, le climat de paix et de quiétude dont il jouit depuis près de deux décennies.

Nous, associations de la société civile tunisienne, joignons nos voix à celles de l’immense majorité de nos concitoyens, pour exprimer notre gratitude à nos vaillantes forces de sécurité, qui ont, avec courage, détermination et efficacité, neutralisé les éléments terroristes avant qu’ils ne passent à l’action, et qui plus est, sans aucun dommage pour les populations civiles.

Nous tenons, également, à apporter le témoignage de notre solidarité et de notre profonde affection aux familles des deux agents des forces de l’ordre qui ont trouvé la mort, en assurant notre sécurité menacée par les terroristes, ainsi qu’aux agents blessés lors des opérations de traque et de neutralisation des criminels.

Nous, associations de la société civile tunisienne, avons toujours condamné, de façon absolue, tout recours au terrorisme. Nous tenons aujourd’hui encore plus qu’hier à condamner fermement le terrorisme sous toutes ses formes. Rien ne peut justifier le recours à cette abjection qu’est le terrorisme. S’il est une lâcheté, un crime auquel nous ne devons jamais céder, et qui doit être combattu sans aucune faiblesse, c’est bien le terrorisme. Car, il porte atteinte à nos valeurs les plus chères, comme le droit à la vie et la jouissance de nos libertés individuelles.

Notre satisfaction est grande, de constater le large consensus social qui existe en Tunisie contre le terrorisme. Les derniers événements de décembre et janvier dernier ont enregistré une large condamnation des terroristes et une vaste mobilisation populaire des partis politiques, des syndicats et associations contre l’extrémisme et le terrorisme. Nous tenons à féliciter l’ensemble de ces initiatives qui traduisent l’attachement de la Tunisie et de son peuple aux valeurs de tolérance et de modération qui le caractérisent, à travers les âges.

Par contre, ceux qui se sont auto-proclamés en tant que défenseurs des valeurs de liberté à l’occasion de ces faits criminels, se sont en fait démasqués pour dévoiler à visage découvert leur opportunisme et le mercantilisme qu’ils font de ces valeurs à des fins de politique politicienne, se limitant à la recherche de causes et de prétextes justifiant à la fois le terrorisme et ceux qui le prônent et le propagent.

Il est désormais impératif que les Organisations Non Gouvernementales Internationales, auprès de qui ces pseudo-défenseurs trouvent un soutien et une protection indus, prennent conscience de leurs responsabilités pour mettre un terme à la couverture injustifiée qu’elles leur ont assuré pendant des années, alors que ceux-ci légitiment la violence et le terrorisme par la vengeance contre des régimes.

Faire l’apologie du terrorisme et/ou le légitimer ne sert en aucune manière les principes et les valeurs devant guider la défense proprement dite des droits de l’homme et des libertés. Ces attitudes radicales, marginales et irresponsables ne peuvent se justifier sous aucun prétexte. Bien plus, elles sont contraires aux valeurs et principes universels des droits de l’homme que la société civile internationale se doit de préserver et de défendre en rang uni contre toute atteinte.

Nous, associations de la société civile tunisienne, dénonçons fermement ces amalgames qui constituent une tentative de glorification et d’instrumentalisation démagogique du terrorisme, et une violation grave des droits des victimes du terrorisme.

Nous rejetons tout projet de recyclage de l’extrémisme et du terrorisme, que nous considérons comme une violation des droits de l’homme. Le terrorisme vise directement la démocratie et porte atteinte à nos libertés et aux fondements de la République.

Notre devoir de défenseurs de la démocratie et des libertés, doit être de combattre sans équivoque ni faux-fuyant le terrorisme par essence liberticide et anti-démocratique. Le calcul consistant à penser pouvoir tirer un profit politique quelconque sur le dos des extrémistes salafistes est une grossière erreur, et constitue un acte tant immoral qu’anti-patriotique. Les faiseurs de tels calculs ne doivent pas être surpris si, au lieu de l’accroissement de l’audience escomptée, ils sont davantage rejetés par l’ensemble de la population.

Il est cependant regrettable et malheureux de constater que certains de ces soi-disant militants ont eu du mal à cacher leur délectation, à l’idée que les agissements des terroristes aient perturbé la paix et la sérénité du pays, en se réjouissant de l’éventualité que la tentative terroriste avortée puisse ternir l’image du pays. Des tels comportements anti-patriotiques sont inacceptables.

Il est aussi urgent que les membres de la société civile fassent preuve d’une conscience claire et aiguisée des impératifs de sécurité nationale face aux dangers terroristes, et qu’ils s’emploient à rechercher les voies et moyens d’éviter l’embrigadement des jeunes par les courants fanatiques et extrémistes.

Il apparaît, également, indispensable pour les entités de la société civile de sensibiliser davantage la société civile internationale, en vue de lutter contre l’exploitation des médias et des technologies de l’information et de la communication pour véhiculer des messages de haine et inciter à la violence et au terrorisme.

Face aux dangers du terrorisme et du fanatisme, une convergence de volontés privées et publiques, nationales et internationales s’impose. Ensuite, disons non au terrorisme destructeur de la démocratie et des libertés ; et oeuvrons de concert pour le triomphe des valeurs de paix, de dialogue, et de tolérance.

Fait à Tunis, le 21/02/2007

Liste préliminaire des signataires :

1-Association Tunisienne d’Internet et de Multimédia
2-Association Tunisienne d’Aide à l’Insertion des Jeunes
3-Association Tunisienne de la Communication
4-Association Tunisienne des Droits de l’Enfant
5-Association Tunisienne de l’Equilibre Familial
6-Association des Jeunes Médecins Sans Frontières – Tunisie
7-Association Tunisienne pour le Développement de la Technologie Numérique et des Ressources Humaines
8-Association Tunisienne de Lutte contre les Maladies Chroniques
9-Association Tunisienne des Mères
10-Association Tunisie Numérique
11-Association de Développement Siliana
12-Association Tunisienne des Auberges et Tourisme des Jeunes
13-Association Tunisienne des Jeunes Médecins sans Frontières
14-Association Tunisienne des Loisirs
15-La voix de l’Enfant
16-Association Tunisienne des Diabétiques
17-Association Tunisienne des Services Universels des Télécommunications
18-Union National des Aveugles
19-Association Forum des Educateurs
20-Association Tunisienne des promoteurs financés par la Banque Tunisienne de Solidarité
21-Jeunesses Féminines
22-Association Tunisienne d’Aide à la Recherche Scientifique sur le

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le jeudi 22 février 2007 - 07h26:

L’accord de la Mecque : un accord qui ne sert (presque) à rien (info # 012002/7) [Analyse]

Sami El Soudi © Metula News Agency

Le plus serein des trois participants à la rencontre d’hier à Jérusalem, c’était Mahmoud Abbas. Il avait, pour l’occasion, renfilé son complet d’agent immobilier qui s’efforce de vendre les propriétés de tiers. Le costume de l’intermédiaire avec lequel vous signez le contrat et qui vous jure qu’il n’y est pour rien lorsque vous ne recevez pas la maison que vous avez payée. Hier, face à la Secrétaire d’Etat Condoleezza Rice et au premier ministre Olmert, visiblement irrités par sa conduite, Abbas a répété la même litanie : j’ai fait ce que je pouvais faire de mieux, c’est ainsi qu’il faut considérer l’accord de la Mecque.

Après avoir rappelé à ses hôtes que la situation militaire du Fath dans la bande de Gaza n’est pas des meilleures contre les miliciens intégristes et que cela ne le dérangeait pas de gagner du temps qui lui sert à renforcer son potentiel sécuritaire, le président de l’Autorité Palestinienne est revenu sur son idée force.

C’est la même idée que celle qu’il avait présentée au souverain saoudien puis martelée aux oreilles des dirigeants du Hamas : "Ils ne marcheront pas ! Je vous invite à accepter les trois conditions du Quartet, sans cela, personne ne nous renouvellera son aide économique".

Et Abou Mazen, depuis la signature, de jouer le mort, comme au bridge. Ils ont proposé un gouvernement à nouveau dirigé par Hanya et le Hamas, appelé gouvernement d’"union nationale", ainsi soit-il ! Abbas, à la Mecque, avait toutefois mis ses hôtes en garde sur le fait que ce qui empêche la communauté internationale de lever son boycott, ce n’est pas la composition d’un cabinet palestinien quel qu’il soit mais sa reconnaissance des trois principes clés : reconnaissance des accords déjà signés entre l’AP et Israël, reconnaissance du droit de l’Etat hébreu à l’existence et abandon de la violence et de la terreur.

Le successeur d’Arafat avait énoncé un principe valide, puisque Ehoud Olmert n’a nullement contesté le droit du Hamas de siéger dans un gouvernement, voire de le diriger. Le premier ministre israélien a simplement dit que son pays n’entretiendrait aucun contact avec un gouvernement palestinien qui n’accepterait pas les conditions du Quartet. Il a précisé que sa décision incluait la mise en quarantaine des membres mesurés d’un tel cabinet, comme Salam Fayad, pressenti aux finances.

La position de l’Amérique est similaire à celle de Jérusalem. Ainsi, dimanche soir, Madame Rice a expliqué à des journalistes que si un Etat palestinien devait voir le jour, les principes du Quartet devaient être endossés, parce qu’ils constituent les fondations de la paix. Donc pas de rejet, a priori, en tant que telle, d’une participation intégriste.

Mais la Secrétaire d’Etat a ensuite fait état de ses craintes en remarquant "je n’ai rien aperçu à ce jour qui puisse suggérer qu’il s’agirait d’un gouvernement qui va adopter les principes du Quartet", complétant, pragmatique et patiente, "mais nous allons bien voir lorsque le gouvernement sera formé !".

Alors, comme l’a averti Abbas, le gouvernement en voie de constitution ne résoudra pas le problème des Palestiniens, puisque les dirigeants du Hamas clament à qui veut bien les écouter que leur organisation n’a aucunement l’intention de reconnaître Israël. Alors l’argent, vital pour faire régner l’ordre, pour nourrir le peuple et pour éviter la guerre civile ne viendra pas.

Et gare à tous les ferments de ces maux qui se sont seulement auto-anesthésiés en attendant la suite. Lorsqu’ils constateront que la création du gouvernement d’union nationale n’aura servi à rien, que les traitements des 140 000 fonctionnaires demeureront impayés, le processus de désintégration de la Palestine reprendra de plus belle.

Mais la faute ne sera pas imputable à Abou Mazen ni au Fatah, qui ont honnêtement adopté l’initiative de Khaled Mashal, sur proposition d’Abdallah d’Arabie. Mieux encore, Mahmoud Abbas va entreprendre, dès aujourd’hui, un road show européen, destiné à vendre aux Allemands, aux Anglais et aux Français les aspects positifs de l’accord de la Mecque.

Cela se fera sans enthousiasme toutefois. Même Saëb Erekat – le diplomate de l’OLP – reconnaissait, réaliste, que "Rice et Olmert avaient réitéré les "conditions" à Abbas", commentant, à propos d’un possible compromis autour des dispositions de la Mecque, qu’"il ne pensait pas que nous disposons de la moindre marge de manoeuvre".

Dans un mois, deux au grand maximum, Mahmoud Abbas – devant les robinets à sec de l’aide internationale – demandera à Mashal : "Et maintenant, que fait-on ?". Le chef de la résistance islamique aura alors le choix entre trois réponses :

On modifie les concepts du Hamas : ce qui signifierait, indirectement, la fin de cette organisation, qui perdrait sa raison d’être : le refus d’une cohabitation avec Israël.

On convoque des élections anticipées, qui ne changeraient quelque chose que si le Fatah les remportait. Il faudrait donc que le Hamas espère une victoire de son adversaire, ce qui est pour le moins incongru.

On se renferme sur soi-même et sur le déraisonnable, Mashal imputant les raisons de son échec aux rapaces américains, aux sionistes et aux traîtres palestiniens, entendez Abbas et le Fath’, et là, on retombe dans la guerre civile, mais à la puissance 10.

En fait, Mahmoud Abbas, depuis qu’il a signé le traité de la Mecque, mise sur l’alternative 2 tout en se préparant à la 3. Car la perduration du gouvernement d’union nationale ne créerait pas uniquement une impossibilité de parvenir à la paix : elle impliquerait également le renoncement à la création d’un Etat palestinien dans le cadre de l’option des deux Etats pour deux peuples distincts. Puisque le seul Etat palestinien que le Hamas est prêt à envisager, c’est celui – dramatiquement utopique – que nous construirions sur les cendres d’Israël et de ses 6 millions d’habitants juifs.

Et puis, ce qui est tout aussi suicidaire pour le Fatah : le succès du gouvernement d’union serait synonyme de l’abandon par Abbas et ses amis de leur mainmise absolue sur les finances de la cause palestinienne, ainsi que leur accord à l’intégration des miliciens islamiques dans les forces de sécurité nationales. On irait également – c’est une autre exigence des intégristes – vers leur entrée à la "Commission exécutive de l’OLP", c’est-à-dire, dans l’instance suprême régissant la cause palestinienne.

Or il va de soi, pour quiconque est un brin familier des arcanes de l’OLP, qu’aucune de ces perspectives n’est envisageable pour ses membres, et qu’il s’agit de sujets à ce point cruciaux que la survie du Fatah en dépend. Et, en corollaire de cette survivance, la continuation même de l’existence d’une "cause nationale palestinienne".

Pour ne rien arranger, puisque c’est le Hamas qui a enlevé le caporal israélien Gilad Shalit et qui le maintient en détention ; puisque c’est le Hamas qui creuse la majorité des trous de contrebande sous la frontière avec l’Egypte, et puisque le Hamas dirigera le nouveaux gouvernement palestinien, Jérusalem exige dudit gouvernement, avant même sa formation, qu’il libère "immédiatement" son soldat et qu’il mette un terme aux activités de contrebande à Rafah contraires aux traités signés.

L’ordre du jour de la réunion d’hier avait été revu à la baisse par les Américains. Il ne fut plus du tout question de "relancer le processus de paix", mais d’échanger des vues de manière informelle. Ce qui n’a pas empêché Mme Rice et messieurs Abbas et Olmert, de se tenir par les mains et de confirmer, un franc sourire aux lèvres, "leur engagement pour la solution des deux Etats" ainsi que leur "compréhension commune de ce qu’un Etat palestinien ne pouvait pas voir le jour dans la violence et la terreur".

Qui a lu cet article comprendra que, loin d’être une formule de diplomatie ou un message passe-partout, dans la situation qui prévaut, ces deux phrases constituent au moins une déclaration de politique commune, si ne n’est la moitié d’une déclaration de guerre différée au Hamas.

La Secrétaire d’Etat a aussi confié, lors de son séjour dans notre région et au vu des événements, que "l’Etat palestinien ne verrait peut-être pas le jour avant la fin du mandat de George W. Bush". Lorsqu’une femme dit "peut-être", c’est souvent bon signe pour l’homme qui la courtise, mais lorsqu’un secrétaire d’Etat le dit, si séduisante soit-elle, cela signifie que notre émancipation n’est toujours pas pour demain.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le jeudi 22 février 2007 - 07h17:

c:/

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le jeudi 22 février 2007 - 06h31:

Enfin avec la présence de Beber et de Douda l'harissa retrouve sa couleur originale. Restons des bons tunes et arrêtons la boulitique.

Brahem fais-nous un plat de Mechoui comme celui de Baïza, j'apporterai la Boukha. Namlou lila tounsia. (Nous ferons une nuit à la tunisienne.)

Je souhaite la bienvenue à notre frère égaré Douda.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Toufiq (Toufiq) le jeudi 22 février 2007 - 00h18:

wilkomen zuruck herr douda .cela fait plaisir de te retrouver.
en parlant des patisseries de chez nous notons que les ingredients d'antan sont tout a fait bons et naturels. ,miel pates de dattes, semoule ,noix et amandes .
malheureusement de nos jour certains remplacent le miel par du sirop de sucre ou mais. bonjour les degats.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Victor (Victor) le mercredi 21 février 2007 - 22h54:

Une alliance Le Pen, Dieudonné, Tribu Ka
21/02/07

- - Thème: Extrémisme

Charlie Hebdo du 21 février relève dans un article intitulé « Les candidats veulent voir la couleur » qu’à deux mois du premier tour, « c’est la course effrénée à droite comme à gauche, aux électeurs antillais, réunionnais et d’origine africaine. » L’hebdomadaire constate « un Le Pen très offensif, porté aux nues par un Dieudonné qui voit en lui le « candidat naturel des afro-européens » ». Charlie Hebdo précise que la tribu Ka, groupuscule noir raciste, a assisté aux déclarations de Dieudonné sur Le Pen sans rien y trouver à redire : « le porte parole de la Tribu Ka a même eu quelques mots agréables pour le « Menhir » poursuit l’hebdomadaire.

http://www.crif.org/index.php?page=articles_display/detail&aid=8378&artyd=5