Commentaires du 13 Juin 2002

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires de Juin 2002: Commentaires du 13 Juin 2002
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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Admin (Admin) le vendredi 14 juin 2002 - 07h18:

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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Victoria (Victoria) le jeudi 13 juin 2002 - 12h59:

Quand on pense que le grand rabbin Sitruk a demandé de voter pour Chirac !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Victoria (Victoria) le jeudi 13 juin 2002 - 12h55:

Information parue sur desinfos.com : une pétition à l'adresse du parlement européen :
HALTE A L'ENSEIGNEMENT DE LA HAINE.
voir le site :
http://www.kh-uia.org.il/petition/frame_fr.htm

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Djlachem (Djlachem) le jeudi 13 juin 2002 - 12h35:

Envoyé à la redac d'europe 1

Nulle de fiel


Après s’être déjà distinguée par un éditorial où elle démontrait que le petit enfant qui levait les bras dans le ghetto de Varsovie était le même que le petit palestinien dans les décombres de son camp de réfugiés, Catherine Nay récidive en ce 13 juin 2002 avec une chronique matinale ayant pour titre : « l’autre devoir de mémoire ». Il y est question des supposés massacres commis par l’armée israélienne entre 1937 et 1948 (on se demande bien de quelle armée il est question !), où, alors que la Shoah n’avait pas encore terminé son œuvre destructrice, des juifs, en Palestine, étaient responsables de boucheries, carnages et même viols sur des populations arabes. A l’origine de ces affirmations, le travail de néo-historiens israéliens dont, bien sûr, l’inévitable Ilan Pappé.

Il est remarquable de constater avec quelle virtuosité et persévérance, ceux qui voudraient voir Israël disparaître du paysage géopolitique mondial, parviennent à faire les poubelles pour sortir au bon moment le bon document, l’article opportun qui permettent d’étayer la thèse de l’Etat juif en trop. Même quand on omet de parler de l’affaire Katz étroitement liée à celle de Pappé, et où l’on découvre les bienfaits du faux témoignage pour prouver la véracité d’un massacre, le mal est fait et l’auditeur encore endormi part au boulot, le cerveau encore embrumé par le message subliminal de Mme Nay : « décidément, salauds de juifs ! ».

Au delà de la médiocrité du travail de recherche (il ne s’agit que de la compilation facile à trouver de nos jours sur Internet de tout ce qui peut nuire à Israël), se posent d’autres questions : tout le monde sait que Catherine Nay représente la tête de pont du chiraquisme à Europe1 et que donc, nous avions droit ce matin à « la voix de son maître ». Il ne faut pas oublier que notre cher président est l’auteur surprenant de la thèse de la Parenthèse qui dit donc qu’Israël ne représente qu’une parenthèse de l’Histoire (dixit J.M Colombani, dont on n’a aucune raison de croire qu’il a pu inventer une telle histoire). Or la France est devenu le nain politique que l’on sait et Jacques Chirac encore plus, et là je pense qu’il faut faire très attention à la colère de l’exclu frustré. Il ne serait pas étonnant de voir Chirac, impatient d’avoir pour une fois raison, enfoncer le clou et tout faire pour faire infléchir le destin d’Israël.

Le chef de l’Etat, atteint de myopie politique, qui se soigne elle aussi si on le souhaite, n’arrive pas à comprendre les correspondances qui existent entre la lutte contre l’insécurité qui lui est chère, et le terrorisme international contre lequel Israël représente, qu’on le veuille ou non, un rempart. Georges Bush, aussi simplet qu’on veut bien le décrire, l’a, lui au moins, compris.

Puisse la cécité de notre cher président guérir demain et Mme Nay cessera comme par enchantement de déverser son fiel matinal.

Jean-Pierre CHEMLA

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par David (David) le jeudi 13 juin 2002 - 10h52:

C’est une petite fille dont les parents divorcent. Le juge lui demande :

« Avec qui tu veux vivre…ta mere ?»

« Non elle me bat »

« Alors avec ton pere ?»

« Non il me bat aussi>>

« Avec qui dans ce cas ? »

« Avec les BLEUS. Se sont les seuls qui ne battent personne »

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Charlotte (Charlotte) le jeudi 13 juin 2002 - 10h41:

yit zidane yit barthez yahhchem candela !!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le jeudi 13 juin 2002 - 07h09:

Les renforts de la garde de la pensée haineuse ! (info # 011206/2)

Par Stéphane Juffa © Metula News Agency



La désinformation anti-israélienne a ses martingales. Elles sont désormais bien au point. Elles permettent surtout d’accréditer n’importe quelle ineptie et de normaliser n’importe quelle hérésie intellectuelle.



Que l’ambassadeur français à Londres parle d’Israël en termes "de petit pays merdeux" et qu’il la considère, à voix haute, comme le ferment de la prochaine guerre mondiale et le Quai d’Orsay nie immédiatement les évidences de cette agression raciste sans précédent. Mieux encore, le Quai accuse instantanément ceux qui observent et commentent l’incident, de déformer les paroles de S.E Daniel Bernard dans le but d’atteindre à l’image de la France.



Dans le même temps, pendant que François Rivasseau multiplie ses dénégations des évidences, à la manière du ministère syrien de l’information, la presse nationale française supporte l’infamie. D’abord en escamotant les témoignages encombrants des convives de la table de Bernard, ensuite en les diabolisant par des attaques personnelles, d’une violence et d’un parti pris atypiques sous un régime démocratique.



Troisième phase, les mêmes journaux – surtout le Monde et Libé, les autres regardent généralement ailleurs – publient en nombre les articles des "renforts de la garde", qui participent, dans un flot de mal-information, à redresser les faits au service de la politique anti-israélienne de l’Elysée.



Leurs articles sont alors sans fondements factuels. Ils procèdent, par la force des choses, toujours par des arguments généralistes, toujours en stigmatisant et les "efforts" des Israéliens afin de dénigrer la France et la "paranoïa" des juifs français. Mais leur marge de manœuvre est sans limite, comme dans le cas de Bernard, ils n’hésitent pas un instant à ressortir des caves profondes les sentiments anti-français de la Perfide Albion, lorsque ce n’est pas, dans d’autres occasions, le simplisme politique des dirigeants américains !



En fait, et c’est le sujet de cet article, la presse et les télévisions nationales françaises accréditent l’inqualifiable par la quantité de leurs messages de désinformation. On est désormais en présence d’une info "au poids" par opposition à une info pertinente.



Y a-t-il connivence, complot, me demanderez-vous encore ? Je persiste à penser que non, que les clivages entre les auteurs de ces vagues d’articles, de journaux télévisés, d’interviews et de reportages sont désormais suffisamment graissés, pour qu’il soit inutile qu’ils se réunissent, chaque fois, dans les caves de Paris afin de synchroniser leur prochain mauvais coup. Cela dit, je ne doute pas non plus qu’ils se parlent abondamment et qu’ils s’entre félicitent de leur mainmise sur l’information factuelle relative aux événements du Moyen Orient et aux juifs.



Dans le même exemple, le renfort de la garde Bertrand Labévière, accessoirement responsable de l’info internationale sur la radio étatique RFI, qui s’est fendu d’un article-bouclier peu reluisant pour la défense de Bernard, est l’un de ses amis intimes. Il l’a fréquenté assidûment, dans la coterie du porte-parole des Affaires Etrangeres Rivasseau, alors qu’ils étaient tous les trois en poste à Genève !



C’est d’un schéma (Israël ?) similaire dont nous gratifie Gilles Paris dans son article apologétique du livre de Charles Enderlin, sur les pages du Monde-la-passoire d’hier. Et peu lui importe, à Paris, que les accusations s’amoncellent contre le Messin, sujet au traitement qu’il a fait de la pellicule relatant l’assassinat du petit Mohammed Dura ! Peu importe, qu’il n’existe aucune justification plausible et professionnellement défendable, afin de ne pas passer sur FR2 le film incriminé dans son entièreté ! Suite à l’émission de Madame Shapira et aux enquêtes balistiques effectuées au sujet de ce meurtre, il n’existe pourtant plus de doute raisonnable, quant au fait que le petit garçon a très vraisemblablement été abattu par des balles palestiniennes. Circonstances aggravantes pour Enderlin, il a éliminé les éléments du doute dans son choix des images et il fait, depuis, des pieds et des mains pour empêcher le grand public français de connaître des hypothèses contradictoires à la sienne.



Mais pour Gilles Paris, Charles c’est un ami avant tout. Non seulement un compagnon d’exil israélien mais un camarade de la mouvance intestinalement anti-israélienne, au même titre qu’Alexandra Schwartzbrod et que les fonctionnaires marrons de l’AFP dans les Jerusalem Studios. Alors, entre amis de ce genre, on ne s’étouffe pas de savoir que la photo de Mohammed est devenue l’emblème mondial de "l’inhumanité" atavique israélienne. Entre amis, on sert d’abord de renfort de la garde ! Alors, Gilles Paris n’hésite pas, lui, un instant à prétendre que "le cours des accords d’Oslo hésite (…) après l’assassinat du Premier ministre Itzhak Rabin" et qu’un "fragile équilibre est remis en cause."



Même si ces deux affirmations sont ineptes à dégoûter tout être sensé et que le cours des accords d’Oslo n’a pas plus été remis en cause par l’assassinat de Rabin, dont la photo d’un mètre sur un mètre cinquante trône sur le mur principal de mon bureau, qu’aucun équilibre, même fragile, n’a existé dans la région avant l’acte du criminel Igal Amir, la recherche de la vérité n’encombre jamais les renforts de la garde !



Et dans le même genre intempestif : "Le rappel à grand pas du fiasco de l'intérim exercé par Shimon Pérès, puis du blocage des années Nétanyahou, dit bien la corrosion des ressorts de la paix, rongés par la méfiance." Comme si l’élection d’Ehud Barak, en septembre 1999 ne représentait pas une opportunité idéale – tant du point de vue de la personnalité de Barak, que de la détermination de la société israélienne en faveur de la paix – afin de parvenir à un règlement final de ce conflit ! Enderlin et Paris usent d’une causalité inexistante, indéfendable, échue, caduque, afin de justifier la méfiance – élément non quantifiable, insondable de l’âme d’Arafat et surtout insuffisant afin d’étayer un comportement politique sanguinaire – du leader palestinien !



Ca n’est pas sérieux ! C’est de l’activisme, ni du journalisme, ni de l’investigation historique. C’est de l’argumentation au poids, à la quantité, de la musique de haine !



"L'attelage qui se présente aux négociations de Camp David en juillet 2000 (…) est brinquebalant et fourbu", Gilles Paris veut parler d’Arafat et d’Ehud Barak. Métaphore et comparaison infondées par excellence, sans plus d’attache avec la réalité, que la volonté d’exposer par la suite des thèses incompréhensibles autrement !



"Les très nombreux et très riches témoignages rassemblés par Charles Enderlin qui font du Rêve brisé un ouvrage de référence (…)". Ben voilà, accroche-toi Gillou, bien magouillé Edwy (Plenel, le directeur de la rédaction du Monde Ndlr.) on n’a pas tout oublié de la méthode trotskiste du noyautage de l’opinion ! Allez, après cela, écrire dans le Monde ce qui est vrai, à savoir que l’ouvrage d’Enderlin constitue une imposture historique, un innommable mélange d’opinions et d’affirmations cousues de fil blanc, dans le seul but d’accréditer une histoire de dupes ! D’habitude, quand même, pour qu’un livre devienne "un ouvrage de référence" il faut que les protagonistes de l’événement s’accordent tous, de même que la communauté scientifique, pour en reconnaître le bien fondé. Lors, Clinton et Barak prétendent le contraire absolu d’Enderlin et mon article expose, humblement, certains des doutes techniques de la communauté scientifique face au Rêve brisé, à son auteur et à leurs méthodes de marketing !



Encore et du tac au tac, à propos de l’article-bouclier de Paris :



"Elu triomphalement un an plus tôt, et devenu en douze mois le champion de la colonisation,"

- Il s’agit d’une affirmation contraire à la vérité. Sharon, Netanyahu, Shamir et Bégin on créé bien plus d’implantations que Barak !



"Ehoud Barak, qui vient de s'égarer sur la "piste syrienne","

- Paris veut dire que Barak et Clinton ont tenté de parvenir à un accord de paix avec la Syrie. Sa remarque est aussi militante que son intention est grossière. Si Barak n’avait pas tenté de débloquer la situation avec Assad, le Monde l’aurait sans doute taxé de bellicisme, d’obstructionnisme et d’expansionnisme !



"se présente aux Etats-Unis politiquement usé."

- Ah bon ? Clinton décrit pourtant Barak comme "un leader courageux portant l’espérance de son peuple et décidé à faire la paix !"



"Seul un accord pourra lui assurer un sursis."

- Encore faux. Il lui aurait par exemple suffi de renoncer au sommet de Camp David, ou même de repousser la négociation à propos de Jérusalem, pour retrouver instantanément une majorité parlementaire. Le pari de la paix de Camp David est bel et bien le choix prémédité d’Ehud Barak.



"Pour l'obtenir, il ira d'ailleurs plus loin qu'aucun autre responsable politique israélien avant lui. Trop loin pour une coalition en capilotade,"

- Quelques lignes plus haut, Paris prétendait que la disparition de Rabin avait hypothéqué les chances d’un règlement pacifique…



"mais pas assez pour un partenaire palestinien excédé par un an de tergiversations et de promesses non tenues."

- C’est vraiment se moquer du monde (et des lecteurs du Monde) que d’essayer d’imaginer les sentiments d’Arafat (excédé) et de leur présenter l’échec de Camp David comme un échec émotif, faisant croire que les Palestiniens sont dénués de planification stratégique ! Il n’existe pas non plus de relation causale possible, entre un élément relatif à la quantité (à nouveau, c’est chez ces gens une affaire de poids !) de concessions – pas assez – que Barak était prêt à faire et l’état d’esprit d’Arafat – excédé -.



"Car Yasser Arafat est sur la défensive. Il juge le sommet précipité. Un accord bâclé peut être mortel."

- Mortel ? C’est bien vrai, ça, deux ans et demi d’Intifada à la place de la paix, on s’éclate !



"Mais il craint aussi le piège : qu'on lui fasse des propositions difficilement acceptables pour ensuite lui reprocher l'échec."

- Arafat connaissait pourtant l’agenda des discussions de Camp David bien avant juillet 2000. Ca faisait seulement dix ans qu’il négociait les mêmes sujets avec les Israéliens !



"Yasser Arafat reste figé entre ces deux hantises."

- La désinformation à la Paris-Enderlin, est-ce de la métaphore pure ? De la psychanalyse à distance ? (L’usage intempestif de la métaphore et du sondage des intentions d’Arafat est sans cesse employé à la place de faits vérifiables. Ce stratagème permet de construire n’importe quelle théorie mais il n’est jamais utilisé par les investigateurs sérieux) Que signifie, en langage politique, diplomatique, au regard des morts et de la misère inutiles reste figé ? Ca veut dire plus simplement, selon la Ména, mais aussi, selon Bill Clinton et Ehud Barak, que Yasser Arafat a refusé de faire la paix pour lui préférer l’Intifada !



Ca veut dire surtout, à 180 degrés de l’imposture d’Enderlin, qu’Arafat a refusé de mettre un termes à l’état de belligérance au Proche Orient et qu’il a ainsi anéanti les chances de paix, posant, pour le surplus, l’ultimatum du retour des descendants de tous les réfugiés palestiniens de 48 et que cette condition signifie en clair la destruction à terme de l’Etat d’Israël.



"Un Etat avec Jérusalem comme capitale, rien de moins, et c'est précisément à propos de la souveraineté sur l'esplanade des Mosquées, le mont du Temple pour les juifs, que vont se fracasser les négociations."

- Quelle relation Paris peut-il bien trouver entre la demande des Palestiniens d’établir leur capitale dans la partie arabe de Jérusalem et la question de la souveraineté sur le Mont du Temple ? Peut-être, le correspondant du Monde pense-t-il que les Palestiniens entendaient construire leur parlement à la place de la Mosquée du Roc ?



"Camp David a pourtant permis de lever des tabous. C'est un premier pas important, mais peut-il encore y en avoir d'autres ?"

- Oh ! Arafat y est resté figé, incapable de prendre les risques politiques nécessaires à l’instauration de la paix, plongeant par choix stratégique la région dans une guerre sans fin, utilisant ses administrés comme autant de bombes humaines contre les civils israéliens. Arafat, ce faisant, a convaincu l’opinion publique israélienne, acquise un an plus tôt au principe des "lourdes concessions en échange de la paix", qu’il entendait éradiquer leur présence physique au Proche Orient. Il les a ainsi poussés à élire un Premier ministre prudent et conservateur, et c’est ce que Paris considère comme une avancée ? Une avancée qui a permis de lever des tabous ! Une avancée, qui constitue un premier pas important !



A Métula, nous considérons que la conclusion de l’article-bouclier de Gilles Paris tient d’un raisonnement anormal, tout comme beaucoup d’éléments du livre et de la démarche d’Enderlin. Le seul premier pas remarquable dans l’activisme affiché du correspondant du Monde en Israël, mais aussi du quotidien parisien, qui lui permet de propager de pareilles inepties, après celles de Cypel au sujet du formidable réseau d’espionnage israélien en Amérique (à propos comment va-t-il, les espions ont-ils été appréhendés ?), celles concernant la réécriture de l’Histoire moderne par Ilan Pappé, celles affirmant l’inanité historique globale de la bible, l’appel à la violence ethnique d’Edgar Morin, c’est un premier pas dans la direction de la fermeture de la Parenthèse chère au Président de la République française.



Il s’agit d’un entonnoir de haine gratuite, qui entend, par l’entretien du flux discontinu d’une propagande unidirectionnelle dirigée contre un peuple – le mien – son histoire, ses droits, sa terre, sa foi, ses universités, son patrimoine et son avenir, favoriser sa dé-émancipation et son retour à la dépendance politique.



J’ai lu que le directeur du Monde, Jean-Marie Colombani, trouvait cette entreprise de la Parenthèse scandaleuse. Se pourrait-il qu’il n’ait pas relu son propre livre ? Ou y aurait-il des vérités qui ne soient que préélectorales ? En tout état de cause, l’asservissement des règles de la pensée au profit de la Parenthèse par les intellectuels et les politiciens français est maintenant totalement préoccupante !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Davideden (Davideden) le jeudi 13 juin 2002 - 05h19:

Elle est belle la Tunisie Judenfree

En Tunisie, police et justice contre le plus célèbre des cyber-résistants
PLUS CONNU sous le pseudonyme d'Ettounsi (le Tunisien), Zouhair Yahyaoui, 34 ans, fondateur du magazine en ligne TUNeZINE, pourrait bien être la première victime recensée de la police informatique du président Zine Ben Ali.
PLUS CONNU sous le pseudonyme d'Ettounsi (le Tunisien), Zouhair Yahyaoui, 34 ans, fondateur du magazine en ligne TUNeZINE, pourrait bien être la première victime recensée de la police informatique du président Zine Ben Ali.





Le plus connu des webmasters tunisiens est tombé à Tunis, le 4 juin, entre les mains des forces de sécurité, après des mois de traque cybernétique sophistiquée. Arrêté en même temps que son site était fermé et son matériel saisi, le cyber-dissident devrait comparaître, jeudi 13 juin, devant la 4e chambre du tribunal de première instance de Tunis pour "diffusion de fausses nouvelles".

Zouhair Yahyaoui s'était fait connaître en juillet 2001 en diffusant, le premier, sur Internet, la Lettre ouverte qu'un "petit juge" aujourd'hui persécuté par le régime - Mokhtar Yahyaoui, son oncle - venait d'adresser au président Ben Ali pour dénoncer l'absence totale d'indépendance du pouvoir judiciaire en Tunisie. Déjouant la censure exercée par l'Agence tunisienne de l'Internet, le site tunezine.com (un magazine électronique, deux forums de discussion, une lettre d'information quotidienne) rencontrait depuis un an un succès grandissant en Tunisie et à l'étranger, en particulier auprès des jeunes séduits par le ton insolent et le talent de ses cinq principaux animateurs.

Rédigés le plus souvent en arabe dialectal, d'un humour mordant, les écrits de l'équipe Zouhair Yahyaoui étaient de plus en plus dérangeants pour le pouvoir. L'information, la politique-fiction, la satire, mais aussi la réflexion y trouvaient leur place, sur un mode iconoclaste, rappelant le site pionnier du genre, Takriz (ras-le-bol), démantelé l'an dernier après deux années d'existence et de succès. Lors du référendum constitutionnel du 26 mai autorisant Zine Ben Ali à briguer un quatrième mandat en 2004 et lui assurant une totale impunité "pour tous les actes accomplis" durant sa présidence, TUNeZINE avait, par exemple, proposé son propre référendum, portant sur la nature du régime en place à Tunis : "La Tunisie est-elle une République, un royaume, un zoo, ou une prison?"

"Après les islamistes, les communistes et les défenseurs des libertés, voilà que Ben Ali s'attaque au symbole d'une nouvelle génération qui a inventé de nouveaux moyens de résistance et a beaucoup plus d'impact sur la jeunesse tunisienne que toutes les grandes figures de l'opposition", déclare un étudiant. Reporters sans frontières souligne que, deux semaines à peine après le changement constitutionnel supposé assurer une promotion des droits de l'homme en Tunisie, le président Ben Ali montre "le véritable visage de son régime : un Etat policier qui étouffe tout discours opposé au sien". Dans un rapport, le premier publié depuis 1994, la Ligue tunisienne des droits de l'homme estime que l'année 2001 restera celle de la répression de ceux qui militent pour les libertés.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Wnes (Wnes) le jeudi 13 juin 2002 - 00h28:

Chronique des Lotophages 6

Comme pour toutes les îles de la Méditerranée, la mer a joué le rôle d'élément répulsif. Les Djerbiens ont reflué vers l'intérieur, se groupant dans leurs "châteaux", dans leurs menzels fortifiés, afin de pouvoir mieux résister à la horde des envahisseurs venant de la terre ou de la mer.

Vigilants, ces insulaires ont crée, à l'instar des Carthaginois, une ceinture de tours de guet et d'observation, le long du littoral. Remarquons que la transmission de l'information se faisait, à cette époque, par signaux lumineux. Ainsi, le sémaphore, la fumée dans la journée et le feu la nuit étaient-ils le seul moyen efficace, rapide et signifiant.

Symbole de la perpétuelle menace, ces petites tours à couples blanches, séparées de 2 à 5 km, ont survécu. Leur conservation vient du fait que ces petits édifices sont devenus, curieusement, en temps de paix, des lieux de culte. Toutes ces petites constructions très caractéristiques, auxquelles la population a donne un nom de saint, sont encore très nombreuses sur les rivages tels Sidi Slimane, Sidi Bakkour, Sidi Mahrez, Sidi Saad, Sidi Salem, Sidi J'mour, Sidi Slim, Sidi Garous, Lella El Hadhria, et j'en oublie.

Signalons que "sidi" signifie saint. Bref, tous ces lieux de culte sont animés chaque année par la présence de maintes familles venant à dates fixes, en été, pour accomplir le pèlerinage rituel : ezziara.

A cette occasion, des manifestations collectives sont organisées autour des mausolées. Les pratiques rituelles, sacrifice du mouton, repas en commun... rappelant les cérémonies de fêtes païennes du solstice ou d'Aoussou en août, seul mois de l'année qui était, jadis, consacré au bain de mer traditionnel.

Cependant, nombreux sont à Djerba les sites archéologiques vides et pourtant vivants, comme celui de la célèbre cité de Meninx, reparti sur 5 ha. Avec tant d'autres, ces monuments historiques charment ceux qui veulent retrouver le cadre quotidien de la vie antique de notre île.

Rien de plus intéressant et de plus enrichissant, de ce point de vue, qu'une promenade à travers des ruines dévastées, certes, mais qui présentent les vestiges de toutes les civilisations anciennes juxtaposées à savoir: punique, romaine, byzantine et islamique. Parmi les vestiges, on remarquera, près du rivage, jonchant le sol, les colonnes et les chapiteaux en marbre blanc, granit rouge ou gris et porphyre vert, et les débris du fort beau fronton d'un gigantesque temple.

D'autres détails rappellent ce que fut, à l'époque, le luxe et la prospérité de la cité Meninx: des énormes citernes, des thermes, des basiliques et des demeures somptueuses, dont le sol est revêtu de très belles mosaïques portant signes et symboles de toutes les croyances d'alors.

Propos Recueillis

Berdah

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Fernand (Fernand) le mercredi 12 juin 2002 - 22h52:

Où est l'art?

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le mercredi 12 juin 2002 - 21h43:

http://www.IsraelInfoCenter.com
un nouveau site en anglais a consulter.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le mercredi 12 juin 2002 - 21h38:

Profiling- Enfin un peu de concret:
Les services americains d'Immigration (INS) ont demande a leurs agents de proceder a des fouilles completes des bagages des citoyens yemenites en provenance ou a destination des USA. Des ressortissants du Yemen sont suspectes d'etre associes a des activites terroristes.
Ramzi Bin al-Shibh, un yemenite ayant habite le meme appartement que Mohammed Atta, n'avait pu se joindre aux attaques du 11 Septembre car ses demandes de visas ont ete rejettees par 4 fois par les autorites americaines.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le mercredi 12 juin 2002 - 21h21:

Certains devraient avoir le courage de leurs opinions et nous dire ce qui les a contamines.
"La critique est aisee mais l'art est difficile" comme disait un auteur celebre.
Les interesses se reconnaitront.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Davideden (Davideden) le mercredi 12 juin 2002 - 20h54:

Monder Sfar, le portrait de la Tunisie a la pointe de l'antisemite Arabe.


Un pamphlet antisémite circule dans les milieux propalestiniens radicaux
Le premier ministre israélien, Ariel Sharon, y est faussement désigné comme l'auteur d'une "véritable profession de foi nazie".
Sur la couverture , une vieille femme palestinienne exprime sa douleur en levant les bras au ciel. Ce petit opuscule de 64 pages a pour titre Le Manifeste judéo-nazi d'Ariel Sharon. Il prétend dénoncer " les origines du génocide actuel des Palestiniens" et s'en prend violemment au premier ministre israélien, qualifié de " nazi".

Le texte se présente comme un long entretien avec le général Sharon, réalisé en 1982 par l'écrivain israélien Amos Oz, repris dans un livre paru en français en 1983, sous le titre Les Voix d'Israël (Calmann-Lévy).





On le trouve dans une librairie islamique de la rue Jean-Pierre-Timbaud, à Paris. Il était largement diffusé sur les stands de livres au cours de la rencontre annuelle des musulmans de France au Bourget, début mai.

Le contenu en est terrible. Le personnage interrogé par Amos Oz, dans le contexte de l'opération "Paix en Galilée" menée par l'armée israélienne au Liban en 1982, se définit lui-même comme un "judéo-nazi" et se dit prêt à appliquer aux Arabes les mêmes méthodes qu'Hitler a utilisées contre les juifs : " Moi, aujourd'hui encore, je suis prêt pour le peuple juif à me charger d'exécuter le sale travail, de tuer les Arabes selon le besoin, de chasser, brûler, exiler, tout ce qu'il faut pour nous faire détester. Prêt à chauffer le sol sous les pieds des "yids" de la diaspora jusqu'à ce qu'ils soient obligés de se précipiter ici en hurlant. Même s'il me faut pour cela faire sauter quelques synagogues. Cela me serait égal." Pour les éditeurs de cet opuscule, il ne fait aucun doute qu'Ariel Sharon est l'auteur de ce qu'ils considèrent comme " une véritable profession de foi nazie", qui " résume l'idéologie sioniste".

Amos Oz n'a jamais révélé l'identité de son interlocuteur, qu'il désigne seulement par la lettre T. Il s'en explique dans Les Voix d'Israël : "Comme T. refuse toujours de "se découvrir", je suis contraint de respecter la promesse que je lui ai faite de conserver son anonymat." Mais l'écrivain israélien, militant de longue date du camp de la paix, interrogé par Le Monde diplomatique, a affirmé de façon formelle que le personnage qui s'était confié à lui - aujourd'hui décédé - n'était pas Ariel Sharon. Un élément du texte vient confirmer cette assertion : dans l'entretien reproduit dans Les Voix d'Israël, T. affirme être prêt à assumer les violences contre les Arabes " avec Sharon, Begin et Rafoul -Eytan-". On voit mal Ariel Sharon se citer lui-même... De manière significative, dans le petit libelle diffusé dans les milieux islamistes, la citation a été tronquée et le nom de Sharon a disparu.

PUBLIÉ PAR DES ASSOCIATIONS

Depuis longtemps, cette " vraie-fausse interview"circulait sur Internet. Un personnage pour le moins ambigu est à l'origine de sa publication : Mondher Sfar est un universitaire tunisien au passé marxiste, opposant au régime du président Ben Ali, qui vit en France depuis 1974. Au début des années 1990, il a publié trois articles négationnistes dans la Revue d'histoire révisionniste.Il s'y livrait à une dénonciation forcenée du " mythe des chambres à gaz", des "prêtres de l'Holocauste qui ont élevé la mémoire d'Auschwitz au rang d'une religion". Dès cette époque, il s'en prenait aussi au " fascisme juif contemporain". Mondher Sfar dirige aujourd'hui le Collectif de la communauté tunisienne en Europe. Interrogé par Le Monde, il persiste à se dire " convaincu que Sharon est l'auteur du Manifeste". "Et même si ce n'est pas lui, ajoute-t-il aussitôt, l'auteur de ce texte doit être dénoncé comme antisémite !"

Les autres associations à l'origine de la publication du Manifeste sont le Parti des musulmans de France, le Parti de la France plurielle, l'Arab Commission of Human Rights et La Pierre et l'olivier. Créé en 1997 par Mohamed-Nasser Latreche, le Parti des musulmans de France est un groupuscule à l'origine de plusieurs manifestations propalestiniennes, dont l'une, à Strasbourg le 7 octobre 2000, s'est accompagnée des cris de " Mort aux juifs !" (Le Monde du 7 novembre 2000).

La Pierre et l'olivier est une association propalestinienne radicale présidée par Ginette Skandrani. Cette ancienne militante écologiste, qui a appartenu un temps à la direction nationale des Verts, est très active dans les milieux tiers-mondistes. Selon Jean-Yves Camus, collaborateur de l'hebdomadaire Actualité juive, Mme Skandrani a également noué des contacts avec la droite radicale : en 1999, elle signe, au nom du mouvement de gauche Alternatives 21, un appel hostile aux frappes de l'OTAN contre la Serbie, lancé par les cadres de la Nouvelle droite. La présidente de La Pierre et l'olivier a rédigé récemment pour le site geostrategie.com un article sur la situation à Jénine, titré "Au secours, les nazis sont de retour". Elle y compare le camp de réfugiés à un " camp de concentration" et évoque " la fumée et l'odeur de mort" qui y régneraient...

Le Manifeste judéo-nazi s'ajoute à une longue liste de pamphlets contre les juifs, comparable au tristement célèbre Protocole des sages de Sion. Il illustre comment certains milieux propalestiniens radicaux sont passés insensiblement de l'antisionisme à l'antisémitisme.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le mercredi 12 juin 2002 - 19h58:

L’extension et le peuplement des implantations, des crimes de guerre ! (info # 031106/2)

Par Jean Tsadik © Metula News Agency


Grande effervescence en Israël à la veille de l’entrée en fonction du nouveau Tribunal international à La Haye, le 1er juillet, et de la nouvelle législation qui lui est affectée. On craint fort, à Jérusalem, que des éléments ennemis ne mettent à profit cette instance afin d’intenter des actions contre le gouvernement israélien mais aussi, contre des personnalités politiques et contre des officiers de l’armée ou des divers services de sécurité.

Le conseiller juridique du gouvernement, M. Elyakim Rubinstein, est intervenu à ce sujet devant les membres du Comité "Constitution – Lois - Justice" de la Knesset afin de les avertir de la signification des changements induits par la prise de fonctions du Tribunal de la Haye. M. Rubinstein a notamment déclaré que quiconque construirait dans les territoires occupés à partir du 1er juillet prendra le risque d’être poursuivi pour crime de guerre.

Selon la nouvelle loi, en effet, le transfert de populations – par n’importe quel moyen et dans n’importe quelles circonstances – depuis le territoire d’un pays souverain occupant, vers des territoires occupés, constitue un crime de guerre. Ainsi, toute nouvelle construction dans la bande de Gaza, en Cisjordanie, mais aussi dans les nouveaux quartiers de Jérusalem, conquis sur l’armée jordanienne en 1967, sera assimilable à un crime de guerre !

Le Procureur général de l’Etat d’Israël, Madame Edna Arbel, a annoncé qu’Israël n’avait pas encore ratifié son adhésion aux nouvelles instances internationales mais que, de toutes façons, les citoyens israéliens pourront être poursuivis à La Haye, même si Israël décidait de ne pas se soumettre à cette législation. Nous ajoutons ainsi, que dans les faits, Israël ne subirait que des inconvénients à ne pas participer à la nouvelle instance.

Madame Arbel de poursuivre, qu’il sera possible de lancer des mandats d’arrêt internationaux contre les citoyens israéliens soupçonnés de fautes aux termes de la loi internationale. En d’autres mots et du point de vue pratique, les contrevenants pourront être arrêtés lors de voyages à l’étranger, leurs intérêts gelés et leurs biens saisis, entre autres mesures conservatoires. Reste à voir de quelle manière et avec quels moyens le Tribunal international pourra et voudra faire respecter sa loi, ceci dit, bien qu’à Métula, on ne s’attende à aucune indulgence vis-à-vis des habitants des implantations juives dans les territoires.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 12 juin 2002 - 17h18:

Je ne voudrai pas citer un nom, mais je constate que certains mettent des nouvelles informations,
qui ont ete donne le jour avant dans tous les medias.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 12 juin 2002 - 14h47:

Conception : INFO'SION (Jerusalem)
MERCREDI 12 JUIN 2002


6h16 - Arrestation du n° 2 du FPLP

Au cours des operations de Tsahal cette nuit, Abdel Marani, le numero deux du Front Populaire de Liberation de la Palestine (FPLP) a ete arrete a Ramallah. Son superieur se trouve actuellement dans une prison de Jericho ou il purge une peine pour avoir commandite l'assassinat de Rehavam
Zeevi, le ministre israelien du tourisme.

Une deuxieme arrestation a eu lieu, il s'agit de Youssef Tarifi, le fils du ministre palestinien des affaires civiles. Youssef Tarifi est le procureur de la region de Ramallah.

Quatre palestiniens ont ete abattus cette nuit alors qu'ils tentaient de s'infiltrer dans la localite juive de Netzarim dans la bande de Gaza.


6h13 - Propagande palestinienne

La television officielle de l'Autorite palestinienne vient de diffuser un nouveau clip qui montre Ariel Sharon en costume nazi, arme d'une hache et attaquant un jeune garcon palestinien.

Ce clip long de cinq minutes est en grande partie consacre a glorifier Yasser Arafat pour sa victoire sur Israel, il comprend des scenes ou l'on voit des soldats israeliens blesses lors des combats.

Cette nouvelle a ete annoncee par Palestinian Media Watch, un organisme qui observe les emissions radio et TV palestiniennes. Son directeur, Itamar Marcus, declare que "Ce clip est un signe de la faiblesse d'Arafat."

Le nombre croissant de clips de propagande montrant Arafat en heros de la cause palestinienne sont dus a la necessite de redorer son blason en reaction a l'augmentation de l'opposition interne.


6h15 - Shara annule son voyage a Washington

Le ministre syrien des affaires etrangeres a annule son voyage prevu cette semaine a Washington.
Farouk Shara a sans doute compris que dans le contexte actuel, les responsables americains risquaient de lui poser des questions embarrassantes.
En effet, le recent attentat de Meguido a ete revendique par le Djihad Islamique qui est soutenu par Damas. Dans ces circonstances, il valait mieux remettre a plus tard l'offensive diplomatique syrienne.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Henri Bueno (Henri) le mercredi 12 juin 2002 - 09h55:

Victoria
Dans le monde du mensonge ou l'on vit aujourdh'ui,
ces gens malades apellent leur defile a Jerusalem, le defile de la "fierte", mais pour le peuple d'Israel, cela serait plutot le defile de la honte a Jerusalem.
Les trois religions monotheiste condamnent ces actes contre-nature,je pourais comprendre et tolerer ces deviations maladives, mais en etre fiere je pense que notre societe aussi est bien malade.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le mercredi 12 juin 2002 - 08h25:

Cabinet Zidane Associés

Maître Aurélien Zidane

17 Rue de Malte

63009 Beaufort-Azur sur Roue


Monsieur le Président ,

Il est des situations où un homme de loi , quel que soit son renom , se doit , par simple souci déontologique d’alerter son client , même si celui-ci , du fait d’une modestie qui frôle parfois la paranoïa , hésite à entreprendre une quelconque action en justice .
Parfois la raison d’Etat , l’intérêt national , se trouvant devant la menace de ce qui paraît n’être qu’un fait divers , obligent alors l’homme de Loi que je suis à passer outre à ses aspirations pécuniaires et à prendre d’emblée la ou les décisions qui s’imposent au risque de se retrouver dans une situation devant laquelle toute autre attitude semblerait vaine .

Vous ignorez peut-être que devant la prolifération d’informations diffusées sur la Toile , notre cabinet s’est peu à peu spécialisé en matière de grand banditisme et , depuis bientôt un an , a ajouté à ses fonctions de base celle d’une lutte incessante contre ce nouveau fléau qu’est le Terrorisme International . Ne connaissant pas votre lieu de résidence ( France , Etats-Unis , Suisse ? ) je voudrais vous informer que , sous couvert d’une appellation ô combien anonyme , nous sommes ainsi chargés par des instances internationales ( je ne nommerai que le Federal Bureau of Investigation et Interpol , laissant de côté les services de Renseignements Généraux français et tunisiens dont l’incompétence semble aujourd’hui définitivement reconnue ) de rechercher toute apparente coïncidence entre 2 événements dont le lien initial est éloigné de toute évidence .

Ainsi , lors de la lecture de votre page de nouveautés parue ce jour sur votre site
« Harissa.com » , un de nos correspondants nous a aussitôt informé du fait qu’Henri Tibi( alias Henri Tibismuth ) avait été ( ENFIN ! ) retrouvé dans un village de la France profonde , entouré de ses animaux favoris et de sa cohorte d’amateurs de chansonnettes de rue qui lui ont permis , sous des « couvertures diverses » de mener – et ce depuis de nombreuses années- toutes sortes d’actions dont il me semble prématuré , pour l’instant , de les énumérer , soucieux que je suis lors d’un futur Grand Coup de Filet , de compromettre l’homme lui-même et aussi et surtout le réseau dont il ne semble pas être un des moindres membres .

Savez-vous , Monsieur le Président , que dès le début des années 50 , Monsieur Tibi avait entrepris , toujours par le biais de la « chansonnette » , de fomenter une de ses plus grosses actions subversives en interprétant lors du « concours annuel de la chanson » qui se déroulait alors au Casino du Belvédère ( Tunisie , déjà un pays arabe sous occupation beylicale ! ) la chanson de Georges Brassens intitulée « P….. de toi » ? A cette époque , Monsieur , certains mots ne s’écrivaient pas , c’était un autre monde dans lequel nous vivions et la simple évocation de l’initiale de ce mot alors « honteux » mettait nos jeunes adolescents dans un état d’excitation et d’agitation dont aujourd’hui aucun mot d’aucune langue ne pourrait en supporter la comparaison devant l’ampleur des discussions qui s’ensuivaient .
« Ne manque-t-il pas un point » entendait-on dire dans les rues de la Capitale ?
« Dit-on Putaine ou Putain » ?
« Il s’agit bien d’un mot féminin , non ? »
Et ainsi , jour après jour la polémique enflait entre les partisans du féminin et ceux du masculin : une mini affaire Dreyfus semblait sournoisement s’installer dans la Ville poussant même l’un de ces jeunes à affirmer qu’aucune des 2 formulations n’était la bonne , qu’il y avait eu – volontairement ou involontairement – une faute d’orthographe , qu’il manquait deux points et non un seul puisqu’en réalité on devait prononcer « putaigne » : il fut immédiatement exclu du groupe et ce durant de nombreuses semaines !
C’est dire le climat qui régnait alors , c’est dire comment Monsieur Tibi candidement , comme cela était dans sa manière , avait su faire naître un incendie dont les dernières flammes ne s’éteignirent que lorsqu’une compagnie théâtrale du cru décida de créer sous le Haut Patronat de Jean-Paul Sartre lui-même « La Putain Respectueuse » , laissant un goût bizarre dans l’esprit de nos jeunes adolescents dont seule une visite dans les quartiers interdits permit d’apaiser momentanément les semaines et les mois de tourment qui vinrent perturber
( à cet âge si fragile ) leur maturité naissante .

Monsieur Tibi , Monsieur Tibi ……

Il existe je crois dans vos textes sacrés ( Talmud ) un terme qui s’il devait être traduit , exprimerait la notion d’analogie ( Hequech en hébreu talmudique ) ; c’est sur ce terme que , suite à notre dernière réunion , nous envisageons de nous appuyer lors de ce qui pourrait être le future plaidoirie que nous , Maître Aurélien Zidane , envisagerions de formuler au cas où nous obtiendrions l’agrément de notre plaignant discret , Bernard Sberro .
Celui-ci avait en effet accepté , compte tenu de votre insistance , de laisser publier dans une de vos précédentes éditions , la preuve formelle de la présence du mollah omar qui , si la nuit n’avait fait en sorte qu’il bénéficiât d’un certain incognito , aurait permis à notre pays , la France , de compenser son échec au Mondial par une initiative d’arrestation qui lui aurait
valu , une fois de plus , de manifester son aversion pour un terrorisme souterrain dont elle se fait le chantre quant à son souci de l’éradiquer aussi souterrainement qu’il se manifeste par ailleurs . Ainsi n’en a pas voulu le sort qui , toujours du côté de la haine et de la violence , et ce , malgré le poteau inexpliqué , a permis à monsieur homard de se fondre dans la nuit , laissant ainsi notre client perplexe , avec comme dernière voire unique ressource , la présence de ses carnets de route lui ayant permis d’en immortaliser la trace …………..
Monsieur Tibi ne se servait-il pas lui-même d’une canne lorsque , déambulant dans les rues de Paris , il proposait aux touristes égarés et curieux ces photographies de la Grande Synagogue de Tunis , celle qui connut tant d’heureux événements , tant de moments de joie , d’exultation , de bonheur ; réfléchissez Monsieur le Président , prenez du recul , la canne de Monsieur Tibi , le poteau de Monsieur homard ; réfléchissez Monsieur le Président car il y va d’une hypothèse pour l’instant, mais qui pourrait bien vite se traduire en une sombre réalité………………

Monsieur Tibi est un homme de Bien , nous , c’est-à-dire moi-même , en sommes persuadé .
monsieur homard est un homme de mal .


Monsieur Tibi est un bon Juif
monsieur homard sûrement pas .

Monsieur Tibi portait une canne .
monsieur homard un poteau .

Monsieur Tibi vit dans un village retiré de la France profonde .
monsieur homard ( peut-être ) aussi .

Monsieur Tibi à l’origine n’était pas rouge .
monsieur homard l’était .

La liste pourrait être longue quant à l’analogie entre ces deux personnages :

On avait ( presque ) retrouvé le mollahomard
Henri Tibi retrouvé !!!!!

Quel tribunal , si inadéquat qu’il soit à juger une telle affaire , ne considèrerait –il pas qu’il s’agit d’un seul et même personnage ?
Quel tribunal , ici ou ailleurs , plus Haut , bien plus Haut pourrait contester notre hypothèse ?

Une interrogation pourtant , et non des moindres :

Monsieur Tibi se déguise-t-il en mollahomard ou n’est-ce pas plutôt le Mollah Omar que les cousines et les tantes viennent de retrouver , DEGUISE EN MONSIEUR TIBI ???


Je vous laisse juge , Monsieur le Président !


Votre dévoué ,


Maître Aurélien Zidane

Cabinet Zidane Associés
etc…etc…….

Envoye par Bernard Sberro

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Admin (Admin) le jeudi 13 juin 2002 - 07h07:

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