Commentaires du 11-12 Juin 2002

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires de Juin 2002: Commentaires du 11-12 Juin 2002
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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Admin (Admin) le jeudi 13 juin 2002 - 07h06:

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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par William_Jexpire (William_Jexpire) le mercredi 12 juin 2002 - 08h13:

Fernand ,tu m'as contaminé !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le mercredi 12 juin 2002 - 07h44:

Bonjour,
Je recherche depuis plusieurs mois le livre épuisé de None MOATTI: "Mon enfant, ma mère" édité par STOCK en 1974...Pourriez vous m'apporter votre aide dans cette recherche difficile et éventuellement, lui faire transiter
mon mail, si c'est envisageable...
Merci infiniment.

b.pages@mail.groupe-emc.com

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le mercredi 12 juin 2002 - 00h42:

Cessation du financement du terrorisme palestinien avec votre argent ! (info # 021106/2)

Par Jean Tsadik © Metula News Agency


En réponse à l’action juridique engagée à Tel-Aviv par une victime du terrorisme palestinien, le Comité budgétaire du Parlement européen a pris la décision de suspendre provisoirement son assistance financière à l’Autorité palestinienne.

Le plaignant soutient que l’AP de Yasser Arafat a détourné les fonds de l’aide humanitaire versés par l’Union Européenne, en la ventilant sur des groupes terroristes impliqués dans les assassinats collectifs de civils israéliens. L’UE a annoncé qu’elle s’abstiendra de transférer des fonds additionnels "jusqu’à ce qu’elle reçoive le rapport d’une enquête visant à démontrer à quelles fins Yasser Arafat a utilisé son argent" (sur la base de ce que nous savons à Métula, si l’investigation est correctement menée et si les enseignements sont honnêtement implémentés, l’UE ne reprendra pas son soutien financier à Yasser Arafat ! Ndlr.)

Selon le plaignant, M. Steven Blumberg, qui est paralysé depuis que des "policiers" palestiniens ont ouvert le feu sur sa voiture à l’arme automatique, l’argent européen a été remis à ces éléments armés, qui se sont mués en groupements terroristes à part entière, depuis le début de l’Intifada. M. Blumberg a perdu son épouse, Tekhya lors de l’agression palestinienne et sa jeune fille Tehila a été grièvement blessée.

L’aide de l’UE à l’Autorité Palestinienne s’élevait à 10 millions de dollars par mois. Depuis 1994, c’est environ 1.5 milliards de dollars qui ont été versés à l’Autonomie par les Etats membres de l’Union Européenne. Nominalement, les fonds étaient destinés au traitement des fonctionnaires palestiniens, à celui des maîtres d’écoles, des responsables des services de santé, ainsi qu’aux officiers de la police palestinienne. Dans les faits, les documents saisis durant l’opération Rempart et présentés à la presse francophone par la Ména, notamment en direct sur les chaînes belges de télévision, démontrent à suffisance de preuves, que l’argent européen a été diligenté par Yasser Arafat, en personne, afin de financer les assassinats collectifs de civils israéliens. L’argent de l’AP a entre autres servi à financer la confection des ceintures d’explosifs dont sont dotés les terroristes-kamikazes qui se font sauter dans les cafés et dans les autobus d’Israël.

Le conseil de M. Blumberg, Maître Nitsana Darashan-Leitner, affirme que la décision européenne de suspendre son aide économique à Yasser Arafat est opérationnellement significative, en cela qu’elle réduira le nombre des futures attaques terroristes visant des civils israéliens.

Remarquons encore, que le gouvernement israélien a fourni par le passé aux Européens – et par tous les canaux à disposition - des centaines de documents, dont l’authenticité n’est pas sujette au doute, qui établissent l’utilisation terroriste qu’a fait l’AP de l’argent des contribuables européens. Jusqu’à maintenant, l’UE avait choisi d’ignorer ces évidences, préférant feindre de ne pas savoir que ses fonds aboutissaient aux Tanzim terroristes (individus armés qui s’attaquent systématiquement à des civils) et non à des policiers, dont le rôle est de prévenir les manifestations de violence !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Wnes (Wnes) le mercredi 12 juin 2002 - 00h30:

Chronique des Lotophages 5

Le visiteur d'aujourd'hui peut être surtout frappé par un sentiment saisissant, poignant, qui se dégage de tous ces hauts lieux historiques jalonnant l'île.

Avec le 7eme siècle, les Byzantins oppresseurs et champions des discussions interminables, aux prétextes les plus futiles, furent chassés et remplacés par les cavaliers arabes porteurs d'un nouveau message : l'Islam.

La nouvelle et brillante civilisation arabo-musulmane modifia complètement les structures existantes à Djerba. Dés lors, l'île, qui cessa d'être une plaque tournante, vit peu a peu l'importance de ses activités commerciales changer, voire même diminuer, alors qu'elle connut, en même temps, un important brassage de races.

Ainsi, l'arrivée massive au 10eme siècle des Kharejites-Ibadhites sur l'île, marqua-t-elle le début de querelles intestines au sein de la communauté, scindée à la suite d'une dispute d'ordre dogmatique, en deux factions : Wahabites et Nakkeriens, diamétralement opposés.

Leurs conflits furent suivis par des guerres ruineuses et continues. Evènements dramatiques pour l'île de Djerba qui, suivant toutes les fluctuations, fut, un millénaire durant soumise aux soldats que le sort des armes favorisait.

Pendant tous ces siècles, l'île fut harcelée par les attaques et les agressions permanentes d'assaillants et d'envahisseurs venus de l'extérieur : les Fatimides de Kairouan, les Bédouins de Beni Hilal, les Germains et les Normands de Sicile, les Aragonais, les Chevaliers de Malte, les Génois, les Espagnols en lutte contre les Turcs, les nomades voisins et, enfin, les corsaires, les Barbaresques dont les razzias balayèrent les côtes de l'île, à partir du 14eme jusqu'à la fin du 18eme siècle.

Cet épisode douloureux fut le plus meurtrier de toute l'histoire de Djerba, pourtant riche en évènements tragiques.

Pendant toute cette période, l'insécurité fut telle que la population abandonna toutes les fameuses cites antiques situées sur la côte. Ces célèbres agglomérations entrèrent désormais dans une irrémédiable décadence, puis dans l'oubli et, enfin, dans un silence absolu.

Propos Recueillis

Berdah

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le mardi 11 juin 2002 - 21h28:

Fernand vous etes tres doue pr les messages choc!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Fernand (Fernand) le mardi 11 juin 2002 - 21h04:

J'ai la nausée.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le mardi 11 juin 2002 - 20h34:

Jean Pierre,

Dans le meme ordre d'esprit que le message d'Emma et si ca peut vous faire rire, ma grand-mere agee de 95 ans a dit a propos de cet avion Egypt Air qui s'est ecrase pres de Tunis le mois dernier que c'etait la Ghriba qui s'etait vengee!
95 ans mais a toute sa tete!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le mardi 11 juin 2002 - 20h29:

Debat: Le delit de facies va t'il revenir a la mode? Pas impossible et pour cause.
Alors qu'il a ete grandement reprouve en France par la gauche et les ligues des droits de l'homme dans les annees 90, on se demande comment il va etre traite aux USA.
Ce delit (vulgairement appele "de sale gueule") va certainement faire l'objet d'un grand debat pr tout commentateur des droits civils.
Illustration du probleme? Des organisations arabes americaines ont recemment porte plainte contre des compagnies aeriennes (Delta, Continental et American Airlines)-deja au bord de la banqueroute- pour discrimination raciale au motif que certains passagers au facies juge suspect (car trop moyen-oriental) s'etaient vu refuser, depuis le 11/09, l'acces a bord de leurs avions.
Laissons de cote pr le moment le risque d'hemorragie de proces auxquels les tribunaux vont etre confrontes sur la base de ce tres facile argument qu'est la discrimination raciale!
Outre le fait que ces organisations vont faire leur chou gras en exigeant des dommages et interets exorbitants aux tribunaux (et quand on connait le systeme juridique americain fort genereux, il n'y a pas loin de penser que le tiroir caisse va se remplir rapidement), il ne serait pas etonnant que cette manne soit reinjectee ds des reseaux terroristes.
Si le delit de facies apparait en soi inequitable et xenophobe -les juifs n'en ont-ils pas souffert a toutes epoques?-, il est peut etre ds les circonstances presentes totalement justifiable. Ca peut paraitre choquant et il est clair que des abus de pouvoir sont a prevoir!
Mais qu'une categorie de gens soit screenee plus que d'autres en raison de leur nom ou appartenance ethnique au vu des circonstances ACTUELLES (recrudescence violente du terrorisme moyen-oriental), on ne voit pas pourquoi cela serait si scandaleux. Apres tout, ceux qui ont la conscience tranquille devraient se laisser screener et eventuellement rejeter sans en prendre ombrage!
Il y a a mon avis une grosse difference entre une selection basee purement sur la race et une autre basee sur un groupe d'individus consideres comme "a risque" au vu des circonstances. Comment la delimiter? La est toute la question.
Dans le fond, ca n'est ni la societe americaine connue pour ses capacites d'integration inter-raciales, ni le gouvernement americain qui a jete le discredit sur un groupe d'individus!!
Ceux qui sont a blamer sont Ben Laden et ses acolytes sans compter les nombreux terroristes issus des pays du golfe! Certains pays helas ne se distinguent pas par leur pacifisme et semblent avoir produits plus de terroristes que d'intellectuels et de scientifiques.
Aussi si le Departement de la Justice Americaine etablissait legitimement une liste de pays "a risques" (comme le fait d'ailleurs tout a fait legalement l'INS-les services d'immigration), il le ferait non pour des raisons xenophobes mais pour de pures raisons de securite nationale. Il y a fort a parier que c'est le desir de chaque americain moyen!

PS: J'assume l'integralite de mes propos et je m'attends a un dechainement de reponses! A vos plumes.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le mardi 11 juin 2002 - 19h45:

Demain mercredi duel Jean DANIEL et Alain FINKIELKRAUT sur RCJ 94.8 entre 13H et 14H. Entre un Juif renégat et un Juif à l'identité bien affirmée ça promet d'être houleux !... Je pense qu'il ne faut pas râter ça.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Jean-Pierre C. (Jpc) le mardi 11 juin 2002 - 19h32:

Bravo a Emma et a son oncle pour le commentaire genial de la semaine derniere :

"Bonjour,
Je vous livre directement ce que mon oncle Lalou qui habite Bat-Yam m'a demande d'ecrire sur Harissa :

"T.S.F - T.S.F - T.S.F - Tiekh Saad Franca. (je sais pas traduire ca mais c'est son expression favorite depuis Tunis).
Les Francais ont perdu en football (il a dit fotballe) et vont etre elimines de la coupe du monde a cause du mal qu'ils ont fait aux Juifs !!! Ecoute moi bien et dis leur qu'ils ont interet a changer."
Il dit que c'est dans la Torah et que les peuples du monde seront benis (ou non benis) par les Juifs.
Emma "

Maintenant je suis persuade que de faire du mal aux Juifs amene un mauvais karma a ceux qui laissent faire. Il n'y a qu'a voir pour s'en convaincre les regrets de l'Espagne apres l'inquisition ou meme aujourd'hui ceux de l'Allemagne qui fait tout pour attirer de nouveau les Juifs.

Jean-Pierre C.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lilo Sion (Pignouf) le mardi 11 juin 2002 - 19h00:

attentat a Hertsilya et ca continue

chalom lilo

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le mardi 11 juin 2002 - 17h40:

Europa, ouvre les yeux ! (info # 011106/2)

Par Albert Capino © Metula News Agency


Le 28 mai dernier, j’avais exprimé mes « raisons d’être inquiet ». J’avais notamment énuméré les indices opérationnels concordants qui rapprochent les mouvances terroristes musulmanes – les filiales du Fatah ne sont pas islamistes et les Iraniens et les Pakistanais ne sont pas Arabes - dans les attentats perpétrés ou avortés de par le monde depuis deux ans.

Le discours d’Arafat radiodiffusé avant-hier en Espagne lors d’une cérémonie honorant Miguel Morantinos, le Représentant de l'Union Européenne au Moyen-Orient, laisse peu de doutes quant à l’appartenance de l’Autorité palestinienne aux mouvements qui ont choisi la terreur comme moyen de lutte.

Je cite Arafat : « si Israël ne se retire pas immédiatement du territoire tenu par les Palestiniens, notre peuple sera autorisé à exercer ses droits légitimes d'établir un Etat palestinien indépendant avec Jérusalem comme capitale, la région entière sera témoin d'une explosion désastreuse qui aura un impact non seulement dans la région, mais sur la stabilité du monde entier. »

Au delà de la menace non masquée, du chantage qui transparaît de ces paroles fort peu pacifiques, nous assistons bien à une phase supplémentaire de l’escalade verbale du « Raïs ».

Seulement « verbale » ? A voir !

A Paris, pendant ce temps, un suspect lié à Moussaoui et à Al Qaïda vient d’être mis en examen.

Il s’agit d’un Franco-Algérien, soupçonné d'avoir participé à des projets d'attentats contre Strasbourg fin 2000. Présenté hier au juge antiterroriste Jean-François Ricard, il a été notifié des charges "d'association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste" qui pèsent sur lui. Il aurait connu le militant présumé d'Al Qaïda, Zacarias Moussaoui, détenu actuellement aux Etats-Unis et inculpé pour participation présumée aux préparatifs des attentats du 11 septembre contre le World Trade Center et le Pentagone.

L’arrestation de ce suspect constitue une piste supplémentaire qui aide à reconstituer le lien entre les projets d’attentats contre la synagogue de Strasbourg et l’organisation Al-Qaïda, dans les bases de laquelle il a séjourné en Afghanistan.

Deux autres Algériens sont détenus en France dans le cadre de la même affaire : Mohamed Bensakhria, 34 ans, arrêté en juin 2001 à Alicante, extradé et écroué le 12 juillet.

Yacine Akhnouche, Franco-Algérien de 27 ans, écroué le 8 février dernier à Paris. Ce dernier a un passé chargé : outre ses liens avec Zacarias Moussaoui, qu'il aurait rencontré en Afghanistan, il connaissait aussi Richard Reid, l’homme aux « chaussures explosives » qui avait tenté, en décembre dernier, de faire sauter un appareil d'American Airlines assurant la liaison Paris-Miami.

Les faux passeports d’origine thaïlandaise fournis par un autre Franco-Algérien de 27 ans, Ouassini Chérifi, orientent les enquêteurs français vers la piste d’Al Qaïda.

En effet : Djamel Beghal, chef présumé du commando qui préparait un attentat contre l’ambassade américaine à Paris - arrêté en juillet 2001 aux Emirats Arabes Unis – était en rapport avec Yacine Akhnouche.

De même, les enquêteurs ont-ils décelé des liens entre ce dernier et l'Algérien Ahmed Ressam, arrêté en décembre 1999 à la frontière canadienne en possession de 50 kilos d'explosifs.

L’araignée tisse sa toile sur l’Europe naïve et consentante. Sur l’Europe qui prodigue un traitement 5 étoiles aux associés de ceux qui essaient de la traîner dans la violence terroriste et qui ont été extradés de la basilique de la Nativité. C’est absurde. C’est à rien n’y comprendre !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Victoria (Victoria) le mardi 11 juin 2002 - 14h25:

2-0. Ca va leur fermer leur grande gueule ! Ils nous ont assez rebattu les oreilles avec "La France qui gagne"

En revanche pas le moindre mot, pas la moindre image de la "gay pride " de jerusalem; Des fois que çà aurait donné une image démocratique d'Israël ! (surtout comparé à l'Egypte et aux autres qui emprisonnent les homos)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Djlachem (Djlachem) le mardi 11 juin 2002 - 10h26:

La fête black-blanc-beur est terminée !!

On s'en fout: en 2002, on n'était pas invités

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert Simeoni (Albert) le mardi 11 juin 2002 - 09h53:

Emile merci YA BABA,

Que nous reste t'il après le balout et l'imagination.Le rêve mon ami...! le rêve yè baba...! Me donne cette imagination.
Tu sais bien que nos anciens adoraient affabuler pour se donner une contenance, pour amuser les amis en toutes circonstances.
Sans grand mal d'ailleurs. Tu sais bien que je rentre dans la vieillesse avec un bout de mouchoir accrochè quelque part.....pour la neffa...Alors khellini en nef elli mèjelli ...
Merci pour les paroles de la musique..
Oun challe èl farh i koun myak ou myenne.
AMIN.
ALBERT BREITOU.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 11 juin 2002 - 05h29:

Mon cher Albert tu dis:" Je suis très inspirè et mon imagination n'a pas de frontière.Et je compte qu'elle ne s'arreterra pas de si tôt." Tu es tres modeste, a partir de maintenant elle va s'arreter malgres toi. Crois-moi je te le dis parceque je t'aime beaucoup et je ne te veux pas du mal. Smallah Alik! Yezi Mel Balout, Hedi Kola Hadra Fargha. Yezi Menefkha Ouet Tfaznik.
Khouk Ya Sidi. Mabrouk Alik El Farh!
LA LAY LANA LA LAY LANA OUREBBI FRAJI IKOUN EMA"NA. ZAYLET EREBBI MCHAT OUBERKET OUASLET EL LEMZAZ OUBERKET JMIELQAHAL ALHA KHOLTOT,LA LAY LANA LA LAY LANA OUREBBI FRAJI IKOUN EMA"NA. .

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le mardi 11 juin 2002 - 02h23:

Pappé et Le Monde, phares de l’imposture scientifique militante ! (info # 011006/2)

Par Salomon Pardess © Metula News Agency



Sans règles il n’est pas de rigueur. Sans rigueur il n’est pas de science. Sans science il n’est pas de progrès et ceux qui pervertissent l’universalité des règles afin de servir un argument politique, n’importe quel argument politique, ne sont pas des personnes honnêtes et dignes de respect. (Yossi Goldberg en 1995, ancien maire de Métula durant 20 ans, ancien député, décédé samedi dernier)



Peut-on imaginer homme plus heureux que Ilan Pappé ? Jugez-en plutôt. Voilà un homme qui joue sur du velours, du fait de l’ambiguïté avec laquelle Elie Barnavi s’est immiscé dans le débat sur ce que j’ai appelé (dans mon info 012905/2) « l’affaire Katz-Pappé », puisque Barnavi est tout à la fois ambassadeur et historien et qu’il a beau avoir signé son article (dans Le Monde du 4 juin 2002) de sa plume d’ambassadeur, on ne peut s’empêcher de penser que c’est aussi comme historien qu’il se porte caution du Département « Histoire » de l’Université d’Haïfa. Ah ! Ce mal rongeur de l’homme politique qui consiste à être juge et partie au moment même où il faut prendre une décision sur une affaire scientifique !



Du même coup, cet historien – Ilan Pappé- se croit autorisé à s’ériger (dans son article Telle est l’affaire Katz, paru dans le même quotidien deux jours plus tard) en cette quadruple figure à laquelle cet ange tyrannique que fut notre Saint-Just national n’avait pas songé : celle d’un homme qui, fort de son savoir scientifique, peut mettre au banc des accusés l’Etat qui finance ses recherches, au moment même où celui-ci est confronté à une guerre qui lui est imposée à l’intérieur même de son territoire par des moyens (les attentats – suicides) sans précédent, tout en se parant des vertus de la victime et du « Saint Homme » qui, contrairement aux « terroristes », ne prônent pas la destruction de leurs ennemis, mais leur sanctification, puisqu’ils incitent cet Etat à demander pardon à l’ennemi qu’il aurait lui-même quarante fois massacré (ce que l’historien aurait justement prouvé).



Et, comme il doit être également fier, cet Ilan Pappé, d’avoir su trouver un quotidien, et non des moindres, qui, submergé de reportages sur le conflit israélo-palestinien tous plus « objectifs » les uns que les autres et n’ayant pas de place à offrir à nombre de ses doctes lecteurs qui ont pourtant des choses très importantes à dire sur le sujet, en trouve sans problème, du jour au lendemain, pour Pappé.



Comme si « l’affaire Katz-Pappé ». pouvait se poser et se résoudre en deux coups de cuiller à pot ! Et comme si c’était non seulement une priorité dans le contexte actuel que de faire savoir que cette affaire avait soi-disant été résolue, mais encore une urgence !



On ne peut reprocher aux médias leur autocensure et la censure des autres, me direz-vous, et critiquer la décision de ce quotidien de publier cet article aussi vite. Certes, et mon intention n’est pas de contester ce droit au Monde.



Pour autant, il y a opportunité et opportunisme, et là, Le Monde joue sur les deux tableaux. Caricaturant la position d’Albert Camus, Le Monde veut et croit faire l’histoire au présent, ce qui – La Ména l’a démontré maintes fois à propos de soi-disant « faits » rapportés dans ce quotidien comme dans d’autres médias- est impossible sans vérifier et croiser toutes ses sources. Ce qui prend du temps, beaucoup de temps. De ce fait, si, sans se donner cette peine, l’on soutient quand même que cet objectif est atteint, alors ce ne peut être qu’en vertu d’un idéalisme partisan qui, assez souvent, cache mal sa familiarité d’esprit avec celui qui préside à la désinformation.



C’est ce qui explique que Le Monde peut même aller jusqu’à tenter de faire passer pour des news objectives des articles qui prétendent affirmer l’existence d’événements passés, dont la réalité n’a pourtant pas encore été scientifiquement démontrée, au prétexte qu’un historien affirme l’avoir démontrée. Autant dire qu’alors ce quotidien abandonne son ambition d’écrire l’histoire au temps présent, et se soumet au joug de l’opinion.



Cela explique déjà, ami lecteur, pourquoi je passe tant de temps à écrire sur « l’affaire Katz-Pappé » et sur le rôle du Monde, que je critique -mais dont je ne conteste pas le droit qu’il le joue-. Mais, il est une autre raison de fond qui justifie un tel effort d’analyse.



De l’article de Pappé, il ressort, en effet, une « thèse » tout à la fois monstrueuse et dérisoire (en matière de recherche scientifique) sur le sionisme politique qui est la suivante : l’Etat d’Israël serait né des massacres de Palestiniens qu’il aurait perpétrés.



Monstrueuse (au sens propre), parce qu’elle prétendrait prouver la signification intrinsèque de ce sionisme, c’est-à-dire la « purification ethnique » (expression utilisée par Pappé dans son article Telle est l’affaire Katz) par la découverte d’un massacre caché –celui de Tantoura- qui en serait un parmi les quarante qui auraient été commis par Israël, alors que cette « thèse » révèle la monstruosité même de celui qui répand une rumeur.



Mais dérisoire (en matière scientifique), parce que Pappé fait croire que les historiens ont déjà démontré l’existence des trente-neuf autres, que ces massacres seraient connus, répertoriés et identifiés selon les critères de la recherche historique.



J’ajoute enfin que cette « thèse » n’est ni plus ni moins qu’une rumeur destinée à consolider celle qui est répandue par des intellectuels, comme Edgar Morin en France, dans un contexte où la presse arabo-musulmane cherche à installer ce même type de rumeur dans le monde, puisque Pappé sous-entend que, soit ces travaux existent, mais demeurent encore inconnus de tous, dans les tiroirs de leurs bureaux, à l’Université d’Haïfa et ailleurs, parce que l’Etat d’Israël refuse qu’ils soient connus de tous, soit que le monde entier sait déjà qu’Israël a commis ces trente-neuf autres massacres (plus celui de Tantoura probablement) pour imposer son existence, mais qu’il se tait.



Notre Saint Homme mérite alors d’être interpellé en ces termes : comment osez-vous tout à la fois accuser Israël de la sorte et croire que cet Etat peut être quitte d’une telle série de « crimes originaires » par un acte de repentance ? Croyez-vous qu’il suffise de demander pardon pour être absous de ses péchés ? Pourquoi n’exigez-vous pas que les auteurs de tous ces « massacres » soient traduits devant la Cour de Justice d’Israël, voire devant une Cour de Justice Internationale ?



Puisque vous avez prouvé l’existence de ces « massacres », vous en connaissez les programmateurs. Vous savez qui les a prémédités, planifiés, puis organisés ; vous savez qui en a surveillé le déroulement et même qui les a méthodiquement exécutés.



Lorsque la France a fait le procès de Maurice Papon, elle a voulu avant tout faire le procès d’une personne qui avait pris ses propres responsabilités dans l’exécution d’un crime contre l’humanité.



Mutatis mutandis, qui sont les personnes que vous accusez ? Pourquoi vous retranchez-vous derrière une façade d’accusation contre l’Etat seulement ? Avez-vous peur d’ester en justice ? Ou pensez-vous que ce n’est pas votre rôle, parce que vous êtes historien et non victime ? Et pourtant, vous qui êtes israélien, vous êtes bien aussi une victime (puisque vous ne vous percevez pas comme un bourreau) dans le système que vous dénoncez ! Mais, peut-être pensez-vous que ce serait plutôt en tant que procureur que vous devriez prendre parti dans un procès virtuel et que, comme vous êtes historien, vous pouvez occuper cette place. Et donc, comme vous êtes un être hautement moral et que vous pouvez occuper toutes ces places –l’historien, la victime, le procureur- vous devez même en rajouter une, que vous privilégiez, celle du Saint Homme qui appelle à la repentance.



Eh bien ! Non, Monsieur ! Il n’y a pas de repentance, tant qu’il n’y a pas de procès, et il n’y a pas de procès tant qu’il n’y a pas de preuve. Redevenez donc raisonnable et renoncez à occuper toutes les places. Renoncez à votre fantasme de toute-puissance que cache mal votre appel à la demande de pardon. Redevenez le chercheur qui construit des solidarités scientifiques autour de sujets difficiles plutôt que des ruptures et des appels politiques au boycott. Faites votre travail ! Bref, redevenez historien, c’est-à-dire un chercheur qui ne craint pas que la vérité n’ait plus d’avenir et qui accepte non seulement d’infirmer son hypothèse de travail, si la réalité lui démontre qu’elle est erronée, mais de faire amende honorable, s’il a érigé cette hypothèse en argument idéologique.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le lundi 10 juin 2002 - 18h57:

Qu'est-ce qui conduira à l'arrêt du massacre en Israël?

Par Davis Ignatius, journaliste pour l'International Herald Tribune et le Washington Post

Traduit par Albert Soued, écrivain, www.chez.com/soued , le site des Symboles dans la Bible.

Beyrouth, Le 8 juin 2002

En bas d'un allée poussiéreuse, au fond d'un labyrinthe de la banlieue shiite de cette ville, s'étend le quartier général de Sheikh Mohammed Hussein Fadlallah, que certains analystes considèrent comme l'inventeur de la moderne "bombe homicide". Cet homme lança semble-t-il la "fatwa" ou précepte religieux pour inciter les terroristes shiites à faire sauter un camion suicide à l'ambassade américaine, contre le baraquement des marines en 1983, tuant des centaines d'américains et inaugurant le processus qui allait éjecter les Etats-Unis hors du Liban. Ces attentats de 1983 ont été le prélude d'une guerre terroriste contre les Etats-Unis qui se poursuit sans doute jusqu'à ce jour.

Lors d'une visite à Beyrouth la semaine dernière, j'ai parlé à ce sheikh, car je voulais savoir ce qu'il pensait de l'évolution dans le monde depuis sa fameuse "fatwa" et de la vague d'attentats-suicide des palestiniens en Israël. J'étais venu avec un respect sincère pour son intelligence et sa passion, car il fait partie des quelques religieux musulmans qui reconnaissent l'urgence pour l'Islam de trouver un accommodement avec l'Occident.

Mais Fadlallah exprima une telle profonde et inflexible opposition à Israël – un état qu'il qualifia à un moment donné de "situation bizarre appelée Israël" – que j'ai quitté son quartier général plus pessimiste que jamais, sur les perspectives de ce qu'on peut appeler "paix".

Parmi les religieux shiites, Fadlallah a la réputation d'être une espèce de moderniste. Et il n'est pas un partisan automatique du terrorisme. Il était parmi les premiers éminents sheikhs à condamner sans équivoque les attaques-suicide du 11/9 contre les Etats-Unis.

La volonté de Fadlallah de défier le politiquement correct musulman était claire dans certains de ses propos. Il m'accueillit en observant que "le journalisme est plus une mission qu'un métier" – et pas par une des plaisanteries décousues qu'on entend dans le monde arabe. Et il continua en disant que le monde islamique pourrait mieux utiliser la passion de ce métier pour une plus grande objectivité. "L'émotivité est une plaie qui afflige l'Orient", dit-il, "et la réalité devient un mirage plutôt que de rester une réalité"

Mais lorsqu'on vint à parler d'Israël, Fadlallah perdit le ton enjoué. Il dit qu'il considérait cet état comme une implantation étrangère dans le monde arabe, une sorte "d'état colonial". "Il est inhumain et non civilisé de revendiquer une terre parce que vous y étiez 2 000 ans avant, et d'expulser les gens qui y vivent aujourd'hui". En d'autres termes, il n'acceptait pas le droit d'exister d'Israël, sur le plan moral (1).

J'ai demandé à Fadlallah s'il pouvait imaginer un accord de paix qui pourrait le mener à conseiller à ses adeptes qu'il était temps d'arrêter le massacre. "Oui" dit-il, "si Israël acceptait par exemple la proposition de paix saoudienne et reconnaissait un état palestinien, car la guerre n'est plus une option réaliste, ni un objectif à garder en tête".

Mais dans son for intérieur, Fadlallah pourrait-il accepter qu'Israël ait le droit moral à exister? Il semble clair que lui et des millions d'arabes continueraient de voir l'Etat juif comme immoral et injuste. Et c'est là le problème. Il n'y aura pas de paix, simplement une trêve.

Pour expliquer sa position, Fadlallah remarqua que les Etats-Unis ne partirent pas en guerre contre l'Union soviétique pendant toute la période de la guerre froide, pourtant ils n'avaient pas vraiment accepté de droit d'exister des soviétiques. "Les Américains ne partirent pas en guerre", dit-il, "mais ils n'acceptaient pas la légitimité de l'Union Soviétique"(2).

Quand je lui ai parlé des attentats-suicide contre des civils et demandé ce qu'il pouvait me dire si j'étais un père israélien qui avait perdu une de ses trois filles, qu'est-ce qu'il pouvait me conseiller? Fadlallah répondit que "la personne qui a tué votre fille est sous occupation et vous l'avez amené au désespoir; mon conseil est de vous joindre aux forces qui veulent la fin de l'occupation si vous souhaitez que vos deux autres filles soient sauves!"(3) En retour, Fadlallah me demanda ce que je pourrai dire aux parents d'un enfant mort à Nagasaki, ou aux parents d'un enfant mort lors d'un bombardement américain en Afghanistan. Il dit "en période de guerre, tout peut arriver, la guerre est la guerre!" (4)

Comme la plupart des Libanais que j'ai rencontré ici, Fadlallah exprima sa conviction que l'administration Bush pouvait imposer une solution au problème palestinien, si seulement elle voulait s'en donner la peine. "Ce que nous voulons, c'est que quand le président américain regarde la statue de la Liberté, il ne pense pas seulement à la liberté des américains", dit-il. La rue arabe croit qu'il n'y a pas de politique américaine, qu'il y a seulement un cachet "fabriqué en Israël"!

Ces propos démontrent clairement combien la route vers la paix est chaotique. La "paix n'a pas de sens dans un monde où les erreurs du passé ne peuvent être oubliées ni pardonnées. On peut espérer au mieux une "paix froide", dans laquelle aucun côté n'accepte la légitimité morale de l'autre, peut-être, mais qu'au moins le massacre cesse!(5)


Notes du traducteur

(1) Malgré l'opinion de l'auteur favorable à l'éthique de ce religieux, les allégations avancées par lui sont fallacieuses; il est de notoriété publique que le nombre de juifs au début du 20ème siècle en Palestine dépassait celui des arabes et qu'une grande partie de ceux qui partirent en 1948 le firent sous la pression des armées arabes qui ont envahi la Palestine. Les arabes en Palestine immigrèrent des pays voisins à partir de 1917 pour occuper des emplois offerts par les pionniers juifs.

(2) Cette comparaison est également fallacieuse et inadéquate pour un religieux intelligent et objectif, du fait que le communisme est un régime politique de la Russie tandis que l'état d'Israël est un pays ayant une terre, une langue, une religion, un peuple…

(3) Affirmation encore fallacieuse, car 97% de la population palestinienne est sous l'Autorité d'Arafat, l'occupation devenant alors un prétexte.

(4) L'armée israélienne ou américaine ne vise pas délibérément des civils, enfants, femmes ou vieillards, comme les bombes "homicides"

(5) Nous espérons que l'auteur a compris que la "trêve" ou "houdna" dans le jihad islamique s'applique à tous les infidèles, donc aussi bien aux israéliens qu'aux américains.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert Simeoni (Albert) le lundi 10 juin 2002 - 11h40:

Wnes,

Je te remercie de m'avoir dédiè ton texte tant il est vrai que cette ville, ce bout de quelque chose comprimè entre deux eaux nous a marquè par son empreinte indélibile.Tant est que nous avons tous étè ses fils à part entière.Que ce soit sur les ponts ou sous les ponts , nous avons passè une belle jeunesse et adolescence que beaucoup de jeunes de la french génèration n 'ont pas.
Nous sommes encore quelques uns à la mèmoire rassie mais vivante.J'ai dans mes archives plus de trois cents textes inédits sur cette ville à part ce que j'ai publiè.
Mes amis du site,férus d'histoires et d'anecdotes
en seront, je l'éspère, rassasiès.
Tant que l'on m'emmerde pas.
Je ne parle même pas des scénettes que je fabrique comme des spaghettis ou des petits pains faits chez Mme BARONNE, la boulangère.
Je suis très inspirè et mon imagination n'a pas de frontière.Et je compte qu'elle ne s'arreterra pas de si tôt.
Alors pour toi dans quelques jours, je te dédierai un texte sur le theatre en attendant de te rencontrer un jour.
MERCI ALBERT

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le lundi 10 juin 2002 - 03h28:

The Big Lie.
The arrival of the Egyptian president Hosni Mubarek in Washington is a joke, because it was the Egyptians who had prevented the Israelis and the UN from building houses for relocating the Arab refugees. The refugee problem was precisely created because of the arrogance of king Farouk first, then of General Najib and then of colonel Gamal Abdel Nasser, the Arab coalition attaked the young state of Israël, and their goal was Israel’s elimination.

In 1956 Egypt expelled the entire Jewish population who had lived there for centuries, forcing them to leave all their belongings and goods behind. These leaders advanced the idea of Pan-Arabism, through which Arabs would have hegemony over the entire region, and where Jews would have no place, nor right, and where Christians would be controlled by the law of Islam. The Arab leaders had always tied the religion to the state, so that the Arab mass could not go after the politically privileged.

Palestinian nationality is also a lie and an invention of Arafat, which dates back to 1964. As is the lie of Arafat’s own nationality and real name. He was born in Egypt. By telling the lie over and over, he starts believing himself that he is a real Palestinian. Let’s say it openly, Egypt which had lost three wars against Israel created Arafat to regain the territories lost to Israel, by using Arafat as a proxy. As Hosni Mubarek, the Egyptian president has just said today on channel 5, on television: “Arafat does not do anything without consulting me and other Arab leaders”. This is one of the reasons why the Arab leaders don’t want Arafat to be removed from his position by a leader elected by the local population. They have created Arafat and made him an idol. If someone else from the population will replace him, the Arab leaders will loose their grip.

Our president should know this by now. It is clear that what occurs in the territories, is a well orchestrated strategy of all the Arab countries and first and foremost of Egypt, of Saudi Arabia, Iraq and now of Iran as well. Those Arab states should first compensate the three million Jews that they expelled for no reason from their states. If I could advise Sharon, I would tell him: “Be aware of the game that’s being played and don’t give up anything, stay on your position.”

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Wnes (Wnes) le lundi 10 juin 2002 - 00h45:

Chronique d’un Pseudo-Goulettois :

Dédié sans ballouts à notre pote Bébert tellement il nous régale Zekch !

Il fût un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître,( Kalek l’autre ! )

Carthage en ce temps là ne faisait pas d’émules, tandis qu’au Lycée c’était plutôt école buissonière.

Avec mon pote Ferjani, et mon pote Edouardo, c’était la coulée douce, par cette après-midi de mai 1954. J’avais à peine douze ans et déjà, je Chtratait le lycée.

En lisant ces lignes : A peu que le cœur ne me fend,( Kalek François Villon ! ) : Malgré tout il en reste quelque chose.

Mes potes et moi, on s’entraînait au plongeon depuis l’arche du pont, de TGM qui enjambe le canaletto qui joint le grand canal, au bougaz du Chot Bahira, là ou Bébert avait surpris les poissons, qui faisaient la sieste le ventre en l’air, histoire de se bronzer quelque chose.

Tellement l’eau elle était bonne et elle était propre, Zech ! C’était les paris de celui qui allait sauter le plus haut.

Le père de notre pote Edouardo qui rentrait du travail, dans la Dyna familiale en compagnie du Tonton, disait passant à notre hauteur : « Si j’attrapais mon fils à faire ça gare à lui . «

Le Tonton lui dit « Mais c’est pas Edouardo tout en haut sur le pont ? ». Alors le père furieux arrêtant de la voiture cria : « Descends Disgratziato ! »

L’autre ne fit ni une ni deux disant : « Papa Papa guarda che facciu ! « et du haut de son perchoir, nous fit un de ces magnifiques Saut de l’Ange, il toucha l’eau du haut des dix mètres, et Style Tarzan en sortit, fier comme Artaban devant nos sifflements admiratifs.

Le père qui était un colosse, attrapa son rejeton et le secoua en lui disant : « Disgratziato che sei, vado lo dire a tua mama che a casa ti amazera, Testa facciato che sei «.

Le gamin prestement embarqué se mit à geindre,
et nous de rire aux éclats, alors le père exaspéré devant tant d'effronteries, nous dit : « Et vous disgratziati ché vous êtes, zé vais tout des suites, les dire à vos parents ! «

Là on était moins fiers, mais le brave type n’en fit rien.

Le lendemain au Lycée de Carthage, je demandais à mon pote, « Tiens ? ta mêre ne t’a pas assassiné ? «, « Penses-tu ! mon père n’a pas osé lui raconter, autrement, c’est lui qui se serait fait tuer. «

Heureusement pour moi car connaissant la drolesse, elle n'aurait pas hésité à se plaindre à mes parents.

Ciao a tutti, siamo anche figli della Luppa !

Berdah

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emma (Emma) le dimanche 09 juin 2002 - 19h59:

Ouvrez une fenêtre sur Israël

Chers amis,

En ces temps où l'alyah est plus que jamais une option d'actualité, l'Unifan (Union Nationale des israéliens originaires de France, de Belgique de Suisse et d'Afrique du Nord…) a le plaisir de vous annoncer la mise en ligne du Portail de l'Alyah et de la vie francophone en Israël à l'adresse http://www.unifan.org

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Admin (Admin) le mardi 11 juin 2002 - 07h23:

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