Commentaires du 22 au 24 Octobre 2001

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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Admin (Admin) le jeudi 25 octobre 2001 - 12h43:

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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_tubiana (Emile_tubiana) le mercredi 24 octobre 2001 - 12h50:

Monsieur Eden, vous vous étonnez que l'administration française mette dans votre dossier comme vous le dites "que votre nationalité est tunisienne israëlite" ? Pourquoi vous vous étonnez? La politique française a toujours été double faces et hypocrite. En 1939-1941 à l'école lorsque la maîtresse de temps en temps faisait le relevé des élèves, il fallait se lever dire son nom avec la mention Israëlite, cela ne m'avait pas dérangé alors et ne doit pas me déranger aujourd'hui. C'était la même chose à l'armée on citait le nom et la religion. Moi je trouvais que c'était bien car dans le cas de mort on respecte la religion du soldat. A votre information cela se pratique même aujourd'hui en Allemagne pour la religion et au USA pour la race. Soyez fier de ce que vous êtes soit: Israëlite.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le mercredi 24 octobre 2001 - 12h37:

Les formes qui différencient les êtres importent peu si leurs esprits s'unissent pour bâtir un univers.

YASMYN

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le mercredi 24 octobre 2001 - 12h04:

C'est l'impossibilité de faire son deuil qui empêche tout investissement dans le présent et l'avenir et non la fixation à l'objet "perdu". La psychanalyse a démontré depuis longtemps le nécessaire "travail de deuil"...
M.G.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Omega (Omega) le mercredi 24 octobre 2001 - 12h56:

Bonjour,

Moi, Omega je suis contre le maire de Paris Bertrand Delanoe.
Monsieur Halfon, vous devriez retirer son nom de la liste des Tunes celebres et je vais vous dire pourquoi : depuis qu'il est maire, il n'a rien fait pour utiliser son passe Tune et l'injecter dans ses fonctions en organisant par exemple une "journee de la brik" ou encore en offrant des colliers de jasmin a tous les passagers qui arrivent dans les aeroports.
Au lieu de ca, il nous a mis des couloirs d'autobus tellement enormes que Paris on dirait maintenant une ville pour touristes belges.

Omega

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le mercredi 24 octobre 2001 - 12h51:

Monsieur Davideven
Je ne comprend pas pourquoi vous etes offusque que dans votre dossier scolaire au lycee carnot de Tunis il est mentionne que vous etes Israelite Tunisien, meme plusieurs annees apres vichy.

Pour moi cela me semble de plus en plus normal d'etre fiches, c'est devenu de plus en plus dans les meurs d'aujourdhui, et dans les democraties des plus modernes cela se fait quotidiennement, exemples:
USA dans chaque dossier administratif il est mentionne type hispanique, black, etc etc.

En Israel dans les Cartes d'identites il est mentionne juif pour les juifs, arabe pour les arabes, druze pour les druzes, catholique pour les catholiques etc, etc.

Je ne vois pas ou est le probleme la mention pour les administrations tel que le type ou la religion.
De toute les facons on est fiches de partout, en plus avec l'informatique tout est de plus en plus possible et facile pour les admistration, en fait je ne vois pas pourquoi cela serait il si mal?

Un exemple recent une jeune fille juive en Israel se faisant draguer par un nom juif, qui se faisait passer pour un juif, la jeune fille le sut immediatement que celui qui la draguait etait un non juif, car l'individu a refuser de montrer sa carte d'identitee.

Vu que la fille avait des principes de ne vouloir se marier qu'avec un juif, cette mention sur la carte d'identitee lui fut benefique.

Donc vous voyez cher davideven qu'il peut y avoir des avantages pour certains a ce genre de situation, et surtout de nos jours, de plus en plus incertains.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le mercredi 24 octobre 2001 - 12h30:

La Chambre de Commerce France-Israël et ses nombreux partenaires ont fait le pari de lancer cette opération à une heure où seuls les téméraires risquent leur nez dehors. Si vous pensez comme nous qu'il faut rester mobilisés et s'investir maintenant :

France-Israel 2001, Rencontres Economiques Et Technologiques

Madame, Monsieur,

Les premières Rencontres Économiques & Technologiques France-Israël se dérouleront le

mardi 6 novembre 2001 à Paris.

Elles ont pour but :

a.. de mettre en relation les acteurs français institutionnels et privés recherchant un contact, un financement, un marché, des brevets en rapport avec l'économie et la technologie israélienne.

b.. d'informer sur les opportunités d'affaires, d'investissement et de R&D bilatérales.

Initiées par la Chambre de commerce France-Israël, en partenariat avec la Chambre de Commerce et d'Industrie de Paris, les rencontres se tiendront au :

Palais Potocki, CCIP, 27, avenue Friedland 75008 Paris

La journée sera co-animée par Ivan Levaï et Alexandre Adler. Une quarantaine de spécialistes des nouvelles technologies, de la finance et du droit interviendront.

- Michel Bon, PDG de France Télécom a accepté de témoigner de sa "Stratégie Israël" au cours d'un déjeuner-débat.

- Ron Lubash, Managing director, Lehman Brothers Israël et Charles Reisman, Managing Director de BNP Paribas Israël viendront nous parler des opportunités d'investissements actuelles.

Vous trouverez ci joint le bulletin d'inscription a imprimer, et à envoyer accompagné de votre règlement à la CCFI, 64 avenue Marceau, 75 008 Paris.

Pour tout autre renseignement, voici nos coordonnées :

Chambre de commerce France-Israël
Coordination générale : Anne Baer
Inscriptions : Valérie Blume Socroun
64 avenue Marceau - 75008 Paris
Tel : 01 44 43 35 06/09 - Fax : 01 44 43 35 00
E-mail : ccfi@wanadoo.fr

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le mercredi 24 octobre 2001 - 12h27:

Les erreurs de l'Arabie Saoudite qui ont renforcé Bin Laden

par Howard Schneider, The Washington Post

Traduit de l'anglais par Daniel Ménard spécialement pour Reponses-Israel

RIAD, Arabie Saoudite -- En tant qu'agent principal de renseignements de l'Arabie Saoudite, le prince Turki al Faisal a contribué à alimenter le mouvement de résistance afghan ayant conduit les Talibans au pouvoir. Ainsi, l'impression de trahison ne pouvait être que vivement ressentie quand, la semaine dernière, il a publiquement attaqué Osama Bin Laden, un autre vétéran saoudien du conflit afghano-soviétique.

"Dieu nous a protégés de Satan" écrivait Faisal dans le journal Shark al-Awsat, cinq semaines après avoir quitté son poste, démission attribuable, selon des analystes à l'incapacité de l'Arabie Saoudite à mettre un frein à Bin Laden. "Tu es de la mauvaise herbes, comme le fils de Noé - qu'il repose en paix. Et le déluge t'emportera, comme il l'a emporté, conclut-il."

Mais les frustrations médiatisées de Faisal - c'est du moins ce qui a été largement ressenti parmi les dirigeants du Royaume - se sont avérées un suite de mauvais calculs de l'Arabie Saoudite, ce qui a contribué à assurer une légitimité aux Talibans au moment même où ceux-ci donnaient asile à Bin Laden, tout lui fournissant le temps et l'espace pour mettre sur pied l'organisation al Qaeda.

C'est après avoir forgé sa philosophie radicale en compagnie de cheiks saoudiens, tel Safar Hawal, et l'avoir propagée à l'étranger avec la bénédiction, en premier lieu, de l'establishment que Bin Laden arriva en 1996 en Afghanistan, un ennemi juré de la monarchie, dépouillé de sa citoyenneté, mais connecté à un réseau terroriste actif s'étendant depuis le Jourdain jusqu'en Algérie, en passant par l'Arabie Saoudite elle-même.

En dépit de cette situation, l'Arabie Saoudite a été l'un des trois pays à offrir aux Talibans une reconnaissance sur le plan diplomatique en 1997. L'aide de l'Arabie Saoudite s'est traduite par un assistance logistique et humanitaire au nouveau régime en plein ascension ainsi qu'un engagement soutenu par la suite. On estime à deux millions de dollars par année les sommes versées en dons caritatifs de la part de l'Arabie Saoudite, soutenant ainsi deux universités, six dispensaires et le bien-être de plus 4 000 orphelins; sans compter l'envoi du roi Fahd, chaque année, d'une cargaison de dattes en guise de cadeau.

Comme l'ont bien mis en lumière les attaques du 11 septembre dernier, les saoudiens n'avaient pas établi des liens qu'avec les Talibans mais aussi avec Bin Laden. On a compté jusqu'à huit saoudiens parmi les 19 terroristes impliqués dans les attaques. Plus de 50 hommes, vraisemblablement de nationalité saoudienne, apparaissent sur la liste des terroristes recherchés par le FBI.

Le Royaume a officiellement manifesté son appui envers les États-Unis dans sa guerre contre le terrorisme et des porte-parole saoudiens ont confirmé, la semaine dernière, qu'ils avaient interpellés un nombre indéterminé de citoyens dans le but de les interroger sur d'éventuelles attaques contre les États-Unis. Plutôt ce mois-ci, une attaque à la bombe dans la partie orientale de la ville de Khobar avait tué un Américain.

Dans un bilan des politiques du Royaume envers l'Afghanistan au cours des dernières années, les diplomates, analystes et porte-parole saoudiens prétendent que les dirigeants d'ici ont sous-estimé l'influence que Bin Laden allait avoir auprès des Talibans en leur offrant, dès son arrivée, des millions de dollars en espèce et une idéologie encourageant le djihad ou la guerre sainte. Cette idéologie a été cultivée, tout au moins en partie, par un courant de pensée théologique radicale en vogue dans les cercles cléricaux saoudiens.

"Mauvaise politique ou tout simplement un accident de l'histoire, à vous de choisir" c'est ce qu'a répondu dernièrement le ministre des Affaires Étrangères, le prince Saud Faisal, interrogé sur la question de la politique Saoudienne envers les Talibans au cours des années cruciales, entre 1995 et 1998 - lorsque l'appui de Bin Laden pour le terrorisme est devenue évident et que ses liens avec les Taliban allaient en s'approfondissant.

"La stabilité du l'Afghanistan semble être l'objet d'une plus grande préoccupation que la présence de Bin Laden" a déclaré le ministre des affaires étrangères. "Quand les Talibans l'ont accueilli, ils lui ont indiqué qu'ils l'empêcheraient certainement d'entreprendre quelque action que ce soit. Notre déclaration était sans équivoque."

Les analystes affirment à présent que les États-Unis et l'Arabie Saoudite se préoccupaient plus des effets de la révolution des Chiites iraniens dans la région que de Bin Laden et pourraient même en être venus à percevoir l'État islamique Sunnite comme un mal nécessaire pour le régime voisin de Téhéran. Les attaques terroristes de l'époque en Arabie Saoudite ont été attribuées au gouvernement iranien, malgré que les suspects interpellés dans le Royaume aient révélé leurs liens avec Bin Laden et avec la résistance afghane.

L'ébauche de la politique saoudienne remonte aux premiers jours de la résistance anti-soviétique en Afghanistan, après l'invasion de 1979. L'appel pour combattre avec les mujaheddin afghan a été fortement entendu dans les années 80, résonnant partout dans les mosquées, les bureaux administratifs ou les centres caritatifs, jusque dans les foyers des classes aisées et des villages ruraux, incitant environ 15 000 saoudiens à joindre la résistance contre l'occupation soviétique de l'Afghanistan musulman. Parmi ces derniers se trouvait Bin Laden, qui avait parrainé des activités de financement au Pakistan et qui allait combattre, plus tard, en Afghanistan.

L'argent coulait à flots des coffres du Royaume, riche en pétrole - jusqu'à un milliard selon certaines sources - en fourniture et en cueillette d'armes de combat sous la tutelle des États-Unis et des services de renseignements pakistanais. Les volontaires s'inscrivaient au "travail de secours", se rappelle un Saoudien, et obtenaient à des prix battant tout compétition des billets d'avion de la société Saudi Arabian Airlines. Même les membres de la garde nationale pouvait réclamer leur paie de départ pour aller se joindre au combat.

"Nous subvenions à tous leurs besoins" affirme un haut-fonctionnaire du service de renseignements saoudien. "Ils croyaient que c'était la guerre islamique, et les musulmans tenaient à apporter leur aide. "

Le départ des troupes soviétiques à la fin de la décennie n'a pas entraîné pour autant la disparition de l'envie du combat. À ce moment-là, les troupes américaines ont été invitées en Arabie Saoudite pour combattre l'invasion irakienne au Koweït - une étape que les religieux du courant dominant ont justifié sur la base de la religion en tant que principe d'autodéfense, mais que Bin Laden et d'autres ont vu comme une menace à la foi elle-même.

Ce sont les religieux saoudiens, dont notamment Hawali, qui ont tracé les contours de la position radicale. Dans un sermon diffusé depuis la Mecque, avant le déclenchement de la guerre du golfe Persique, il a déclaré : "Nous avons demandé l'aide de nos véritables ennemies pour nous défendre. Le fait est que nous avons besoin d'un changement interne. La première guerre, c'est contre les infidèles de l'intérieur qu'elle doit avoir lieu et ainsi, nous serons mieux armés pour faire face à l'ennemie venu de l'extérieur. Frères, vous avez un devoir à accomplir. La guerre sera longue. La confrontation s'en vient. "

Ce type de discours a été dénoncé autant que faire se peut par l'"Islam officiel" du Royaume. Hawali a été condamné à cinq de pénitencier dans les années 90, ainsi que deux autres dissidents cheikhs, de même que des restrictions ont été formulées à l'endroit de sa prédication depuis sa libération en 1999. La libération des cheikhs semblait indiquer que le Royaume se dirigeait vers un compromis entre l'aile fondamentaliste - habilitée à se prononcer sur des questions aussi profondes que le chemin du paradis et sur des questions aussi triviales que les cartes Pokémon - et ceux qui s'inquiètent de la chute des revenus de l'état par habitant, de l'explosion démographique et du manque de travailleurs qualifiés.

Toutefois, l'idée continue de circuler et les événements des cinq dernières semaines ont attiré l'attention sur les possibilités de renouvellement de la force militaire. Les analystes saoudiens soutiennent qu'une théologie exaltée susceptible d'attirer des recrues pour aller se battre à l'étranger se propage actuellement dans les écoles, les mosquées et les groupes religieux du Golfe, autant de terreaux fertiles qui alimentent la violence entre Israéliens et Palestiniens.

"Toute personne qui décide de se joindre à Bin Laden sera surveillée" a affirmé un représentant des forces de l'ordre saoudiennes. "Mais nous ne pouvons empêcher quiconque de se joindre à un groupe musulman... IIs partent pour la Tchétchénie, puis on les perd de vue."

Le ministre des Affaires Étrangères saoudien ainsi que des représentants confirment que le gouvernement a commencé à exercer des pressions en 1998 pour rapatrier Bin Laden depuis l'Afghanistan, dès le moment, en fait, où le gouvernement a devenu convaincu de l'implication de celui-ci dans les attaques terroristes locales. Il a également commencé à réduire ses relations avec les Talibans lorsque Mohammad Omar, chef du régime, a refusé de le livrer.

Les entrevues avec le service de renseignements saoudiens et avec divers représentants, ainsi que les articles de presse de l'époque prouvent que les relations du pays avec les Taliban se sont en fait amplifiées, même après le début des préoccupations du Proche-Orient au sujet de Bin Laden et même après la confirmation de sa participation au bombardement de Riad, en 1995, qui avait tué cinq américains.

Les responsables de la sécurité jordanienne affirment qu'ils ont alerté l'opinion publique sur les activités de Bin Laden dès 1992. L'Égypte s'inquiétait également de la violence entretenue, en partie, par le retour des "Arabes afghans", des alliés de Bin Laden. Les menaces envers la famille royale par la suite ont suffit pour que les Saoudiens retirent à Bin Laden sa citoyenneté, en 1994, au moment où le Soudan était devenu le centre de ses opérations.

Par ailleurs, les ressortissants saoudiens interpellés, vers la fin du premier semestre en 1996, en raison du bombardement de l'année précédente dans un centre d'activités de la garde nationale ont reconnu leurs liens avec Bin Laden.

"Nous avions d'abord pensé à une implication étrangère, mais cette hypothèse a été par la suite démentie" c'est ce que déclarait à l'époque Abdulazis Twaijry, un commandant-adjoint de la garde nationale, dans une entrevue. "C'étaient de jeunes individus qui avaient combattu en Afghanistan, qui sont revenus avec des idées étranges et qui ont commis un crime dénoncé par tous."

Au cours de ces années, ont affirmé les représentants saoudiens, ils ont essayé de mettre fin aux combats entre les factions tribales, religieuses ou ethniques en Afghanistan.

"Plusieurs réunions ont eu lieu en Arabie Saoudite ? à la Mecque et à Taif notamment ?pour les convaincre de cesser les combats" a rapporté un agent de renseignements saoudien.

Les Talibans s'imposant dorénavant comme un force potentiellement stabilisatrice, l'Arabie Saoudite supporta le mouvement - surtout en raison de leur capacité à maîtriser la situation et de leur apparente aptitude à faire cesser les hostilités que pour des motifs idéologiques ou religieux. Mais il est vite apparu, dit-on, que les Talibans avait emprunté un trajet , même du point de vue saoudien, austère au point de devenir étranger à l'Islam.

"Nous avions des problèmes avec leur compréhension de l'Islam" soutient Adnan Khalil Basha, secrétaire général du soutien de l'organisation charitable internationale basée à Jeddah Islamic Relief Organisation. L'impossibilité de séparer les hommes des femmes en ce qui concerne l'utilisation des locaux a obligé l'organisation, affirme Basha, à mettre un terme à sa participation au financement d'un école technique pour cause d'inefficacité.

"Nous leur avions signalé notre intention de mettre en bande vidéo notre projet mais il ont refusé, prétextant que c'était défendu par Dieu", ajoute Basha.

Pas plus que la stratégie saoudienne de reconnaître les Talibans n'a rapporté de dividendes politiques, laissant ainsi l'ex-ministre de la sécurité et les autres dirigeants sans aucune solution de rechange quand ils se sont tournés vers Omar pour implorer son aide vis-à-vis de Bin Laden.

En guise des premiers efforts diplomatiques pour résoudre le problème sans cesse grandissant de l'al Qaeda, les dirigeants saoudiens se sont rendus en Afghanistan en juin 1998 pour demander des compte aux Talibans, à la suite de leur promesse de livrer Bin Laden. Mais ces derniers ont manqué à leur parole. Selon des renseignements fournis récemment par la CIA au Président Bush, Bin Laden, peu après son arrivée, aurait offert trois millions de dollars aux Talibans pour les aider à consolider leur pouvoir et leur aurait fourni jusqu'à 100 M$ depuis qu'il avait été convenu que ceux-ci lui offrirait l'asile.

En août 1998, le groupe de Bin Laden a été tenu responsable du bombardement des ambassades américaines au Kenya et en Tanzanie; responsabilité qui a été aussi étendue au Djihad islamique égyptien, un noyau de combattants s'étant eux-mêmes déclaré en guerre contre les Juif et les Chrétiens et qui remonte aux attaques terroristes en Égypte au début des années 70.

La délégation saoudienne serait prétendument revenue en septembre 1998 et sa requête d'extradition à l'endroit de Bin Laden aurait été une fois de plus rejetée. Les responsables saoudiens ont prétendu qu'ils avait offert à l'époque de juger Bin Laden devant une cour islamique selon la loi islamique, un demande essentielle dans la réponse actuelle des Talibans à la requête américaine de leur livrer Bin Laden.

À ce jour, l'Arabie Saoudite a déprécié ses liens éphémères avec le régime militant en laissant son ambassade de Kaboul en fonction mais en rappelant ses haut-fonctionnaires.

Trois ans plus tard, alors que pèse la menace d'une guerre, le gouvernement saoudien a finalement ouvert une brèche en reconnaissant publiquement qu'un groupe provenant d'une même ferveur s'était développé depuis vingt ans bien au-delà de leur volonté.

Les Talibans "utilise leur terre pour abriter, armer et supporter...des criminels" a affirmé le gouvernement dans une déclaration pour rompre toute relation avec les Talibans. Les dirigeants politiques "diffament l'Islam et diffament la réputation des Musulmans du monde entier.

© The Washington Post, lundi 15 octobre 2001.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le mercredi 24 octobre 2001 - 12h23:

Deux habitués des commentaires, donnent leur avis sur le Maire de Paris et l'autre sur Le Lycee de Carthage. Si ces messieurs ont bien compris la dèmarche de monsieur Fitoussi, ils auront au moins compris que Mr Fitoussi ne fait pas l'èloge de mr Delanoe mais demande a la rédaction d'Harissa de changer son titre dans les personnages cèlébres où il est dit que le maire de Paris est encore candidat.Donc ,une simple rectification de bon aloi et non une ènumèration de ses faits dont nous convenons tous que Paris est devenu un merdier depuis qu'il a posé son cul sur sa chaise.
Quant au Lycée de Carthage, il a dit le plus beau et non le meilleur. Quant à l'autre monsieur qui s ' en fout complètement de Carnot et de Carthage , à juste raison il est de son droit de ne pas les aimer quant à celle ou à celui qui ne veut plus entendre parler des mèmoires sur la Tunisie, je lui rappellerai au moins s'il se souvient de sa mère ou de son père.. Il faut reconnaitre que certains èlévent des avis ou opinions bien plus hauts que le fond de la terre. Rien que pour se faire remarquer.

albertsimeoni@wanadoo.fr

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le mercredi 24 octobre 2001 - 12h21:

Le Beth Hamidrach du 8è Arrondissement

Centre d’Etudes Juives « Kiryath 'Hana David »

A le plaisir et l’honneur de vous inviter à passer une soirée d’Etude et de réflexion réservée au Public féminin (Dames et Jeunes Filles), au cours de laquelle une étude (limoud) sur texte sera proposée.

Thème de la Soirée :

« Aime les Créatures, et rapproche-les de la Thora »

L’Etude sera animée par le Rav Shélomo ZINI,

Rabbin de la Communauté Oranienne de Paris & du 8è Arrondissement,

Directeur du Beth Hamidrach « Kiryath Hana David ».

Le Mercredi 24 Octobre 2001,

De 20h15 à 21h45 .

A.I.O. / Synagogue du 8ème arrondissement

218-220 rue du Faubourg Saint-Honoré – 75008 PARIS - Tél. 01.45.61.20.25.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le mercredi 24 octobre 2001 - 12h12:

Michelle Karoubi
Artiste peintre Orientaliste

vous prie de bien vouloir honorer de votre presence

Le Vernissage du 212eme Salon de la Societe des Artistes Francais

sous le haut patronage de Madame Catherine Tasca, Ministre de la Culture et de la communication

Vernissage le Vendredi 2 Novembre

de 15 a 22 heures

"Andre Derain au Salon"

et

Les oeuvres du musee de l'Armee

Espace Auteuil Paris 16eme

métro Porte d'Auteuil - Michel Ange-Auteuil Bus 32/52/PC

Tous les jours de 11 a 20 heures.Nocturnes 2 et 7 Novembre jusqu'a 22 heures
http:/www.french-art.com
e-mail : lesalon.artistesfrancais@wanadoo.fr

email Michele Karoubi m_karoubi@hotmail.com

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le mercredi 24 octobre 2001 - 12h10:

Une majorité d'Israéliens favorable à un Etat palestinien
Après une année d'intifada, plus de la moitié de la population israélienne est favorable à la création d'un Etat palestinien, si l'on en croit deux sondages publiés vendredi 19 octobre par deux quotidiens israéliens.

Voici les résultats du sondage de Maariv, rapportés par Associated Press:

Soixante-et-un pour cent des personnes interrogées s'y disent favorables à condition que Jérusalem reste ''une et indivisible''. Car 58% refusent qu'aucun quartier de Jérusalem soit rattaché à cet éventuel nouvel Etat arabe.

Pendant très longtemps, l'immense majorité des Israéliens était opposée à la création d'un Etat palestinien, une position qui a commencé à évoluer après la signature des accords d'Oslo en 1993. Le nouveau soulèvement palestinien a toutefois rendu les Israéliens plus que méfiants. Ainsi 60% considèrent que Yasser Arafat est un ennemi de l'Etat juif tandis que seulement 30% le considèrent comme un partenaire valable dans des négociations.

En cas d'absence d'accord, les Israéliens sont divisés sur ce qu'il conviendrait de faire: 36% sont partisans d'un retrait unilatéral de la Cisjordanie et de Gaza, 22% proposent à l'inverse de réoccuper les zones autonomes palestiniennes tandis que 37% sont favorables au statu-quo actuel. A l'heure actuelle, l'Autorité palestinienne de Yasser Arafat contrôle à des degrés divers environ 40% de la Cisjordanie et les deux tiers de la bande de Gaza.

Ce sondage a été réalisé auprès d'un échantillon de 592 Israéliens avec une marge d'erreur de 4,5%.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le mercredi 24 octobre 2001 - 12h03:

APPEL URGENT
POUR LE SOUTIEN DU BETH LOUBAVITCH


Cher ami,

Depuis 35 ans, le BETH LOUBAVITCH, présent aux côtés de tous, nous donne accès à la pratique du judaïsme et se préoccupe avec le plus grand
dévouement de toute la communauté.

Le Beth Loubavitch a toujours déployé des efforts considérables dans les domaines aussi divers que l'action sociale, l'ouverture de centres
communautaires, l'organisation de grands événements, les nombreuses publications etc.

Récemment, le Beth Loubavitch a réalisé la construction d'un complexe scolaire rue Petit dans le 19ème arrondissement regroupant plus de 2000 élèves et dont le financement n'est toujours pas achevé.

Le Beth Loubavitch n'a jamais ralenti son activité et continue de la multiplier ce qui engendre des besoins financiers croissants.

Ainsi le Beth Loubavitch se trouve aujourd'hui dans une situation bancaire et financière très préoccupante et ne peut envisager la poursuite de son action sans la mobilisation de tous.

Dans ce contexte, un comité de soutien a été créé. Ce comité a décidé d'organiser un gala exceptionnel le 17 décembre 2001.

Nous vous demandons de vous mobiliser en urgence car l'existence même du Beth Loubavitch est en jeu aujourd'hui. Pour la première fois depuis 35 ans, nous sollicitons l'aide de l'ensemble de la communauté. Sachons témoigner notre reconnaissance au Beth Loubavitch.

Le Comité de Soutien
55 rue Servan - 75011 Paris
Tél: 01 47 00 12 13 Fax: 01 55 28 36 06
e-mail: experts@cafec.com

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Davideden (Davideden) le mardi 23 octobre 2001 - 12h50:

En reponse aux emails avec une multitude de questions que j'ai recu.
Je ne suis pas au courant a proprement parle de "listes" a l'ancien Lycee Carnot. Ce que je sais est simplement du au fait que jai obtenu mon dossier scolaire dit "confidentiel" et qu'il est ecrit que ma nationalite est "Tunisenne Israelite". Il est surprenant qu'une administration Francaise mentionne la religion sur un dossier scolaire. Cela ne s'est pas passe pendant Vichy mais bien plus de 15 apres le debut de la 5ieme republique.

Les questions sont donc: Est ce un cas isole? Pourquoi la religion d'un enfant de 6 ans (age d'enregistrement) est elle mentionnee sur un document officiel et "confidentiel"? Quelles autres informations "confidentielles" etaient maintenues a Carnot? Quels informations sont maintenus en France sur les eleves des ecoles publiques? etc

Je suis interresse a savoir si quelqu'un d'autre a obtenu son dossier scolaire et j'aimerais savoir si la religion fait parti de l'information mentionnee. J'aimerais aussi avoir des informations de personnes ayant eut acces a ces dossiers.

Merci pour votre aide et votre interet.

David Eden
justeden@hotmail.com

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le mardi 23 octobre 2001 - 12h20:

En reponse a Mr Cohen et a Anonyme de 22h14, ca n'est pas de la faute a Delanoe si Paris pue la pollution, si il y a des bouchons (qui ont aussi existe sous Chirac et Tiberi) et si les gens ne bossent plus que 35 heures et donc en profitent pr venir en ville!!! TOUT CA EXISTAIT AVANT et n'a pas pu etre resolu non plus!
Tout le monde reve de Paris ville verte mais entre les intentions et la possibilite de les mettre en application, il y a un fosse..
Le probleme c'est que les banlieusards en particulier sont indisciplines et irresponsables, utilisent leur voiture a tord et a travers (je suis nee Parisienne et j'y ai vecu 30 ans et je peux vous dire que les Parisiens execrent les bouchons et preferent utiliser les transports en commun qd pas en greve).
Peut-on etre que l'on devrait instituer le carpool comme a San Francisco et desormais NY (routage a plusieurs pr utiliser qu'une seule voiture).
Mais comme les Francais sont betes et indisciplines....
ITM

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bebel (Bebel) le mardi 23 octobre 2001 - 12h58:

Je recherche des idees-recettes rapides, tunes de preference,car chaque soir je me "casse" la tete a me demander quoi faire a diner aux enfants.

merci a tous ceux qui voudront bien repondre

Line

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le mardi 23 octobre 2001 - 12h46:

A M.G.

Qui s'embarrasse à regretter le passé, perd le présent et risque l'avenir...

par Drunkrat et Slim

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Ben Debba, Slim (Slim) le mardi 23 octobre 2001 - 12h33:

Drunkrat;

Yaatik Essahha. Que MG ne veille plus entendre de la Tunisie ou des souvenirs d'enfance est une chose qui le/la regarde entierement. Toutefois, s'il/elle ne veut pas entendre ou lire des commentaires sur ces lieux et ces souvenirs, il/elle n'a qu'a regarde ailleurs ou l'on ne parle pas de la Tunisie. D'ailleurs, il me semble qu'il y a une certaine schizophrenie a ne pas vouloir revire ces memoires et en meme temps a voir ce qui se passe sur Harissa. C'est bien le site des Juifs Tunes et meme par extension de tous les Tunisiens et non pas des Scandinaves!!

Moi aussi je suis de la nouvelle generation et j'ai toujours entendu parler de cette presence Juive en Tunisie.Je ne l'ai pas vecu comme mes encetres car la majorite des Tunes avaient deja emigres. Je suis conscient qu'au fur et a mesure que le temps passe, l'oublie s'installe et les generations a venir auront beaucoup de peine a comprendre la richesse de cette presence juive en Tunisie. Alors, si des Juifs, des Musulmans, des Chretiens, et hates Tunisiens veulent faire en sorte que cette memoire ne s'efface pas, laissez-leur la plasse pour s'exprimer. Si le peuple Juif est veritablement celui de la memoire, la Tunisie ne devra jamais etre oubliee. En Plus, si des Tunisiens Musulmans de la nouvelle generation veulent eveiller cette memoire et encourager le dialogue, laissez-leur la place d'avantage, ce sont vos allies, pas vos enemies. Nous devons nous estimer tres chanceux d'avoir un Medium de communication comme Harissa. C'est un Forum de dialogue et une veritable bibliotheque contenant une histoire d'une presence en Tunisie dont tous les Tunisiens (qu'ils soient en Tunisie ou ailleurs) doivent etres fiers.

N'harkom Mabrouk.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le mardi 23 octobre 2001 - 12h27:

M.G, DRUNKRAT, SALUT
NAPOLEON PASSAIT A PROXIMITE D,UNE SYNAGOGUE A "TECHA BE AB" ET AVAIT REMARQUE DES JUIFS ASSIS A TERRE PLEURANT. IL DEMANDA POURQUOI PLEURENT-ILS? ON LUI REPONDIT, C'EST A CAUSE DE LA DESTRUCTION DU TEMPLE. DE QUEL TEMPLE SAGIT-IL? MES SERVICES DE RENSEIGNEMENTS SONT AU COURANT DE TOUT CE QUI CE PASSE.ON LUI DIT CELA FAIT 2000 ANS QUE CELA S'EST PASSE. IL LEUR DIT UN PEUPLE QUI SE SOUVIENT SI LONGTEMPS DE CELA, MERITE TOUS MES ELOGES.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le mardi 23 octobre 2001 - 12h29:

Salut M.G.

Si tout le monde réagissait comme vous, c’est vraiment la que les jeunes générations ne sauraient plus que vous avez existé.
Je fais partie de cette jeune génération, je sais que vous avez existé et que vous existez toujours en partie grâce a ceux que j’ai connu, que je connais actuellement et beaucoup a ceux que je rencontre sur Harissa.
Et détrompez vous M.G. car beaucoup en ont énormément a foutre de leurs souvenirs et de leurs vécus. Et je croise ici (sur harissa) des gens qui, pour une raison ou pour aune autre, ne peuvent plus revenir en Tunisie et qui me demandent parfois simplement d’aller voir et leur décrire ensuite des lieux qui leur tiennent a cœur. Des lieux qu’ils ont souvent quitté très jeunes et dont ils veulent raviver le souvenir ne serait-ce qu’a travers le regard d’un autre.
Alors, de grâce, même si réellement c’est pas si évident pour nous, laissez nous, au moins virtuellement, entretenir nos mémoires.
N’oubliez pas non plus que si Israël existe aujourd’hui, c’est que ses enfants n’ont jamais oublié que chez eux c’était chez eux et que leurs terres étaient leurs terres.
M.G., c’est en baissant les bras comme ça que les nouvelles générations vous oublieront.

Drunkrat

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le mardi 23 octobre 2001 - 12h44:

Lycée de Carnot ou lycée de Carthage qu'est-ce qu'on en a à foutre maintenant ? Chez nous n'est plus chez nous, notre terre n'est plus notre terre, nos maisons ne sont plus nos maisons et nos lycées ne sont plus nos lycées. Et en plus les jeunes générations ne savent même pas que nous avons existé...
M.G.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le mardi 23 octobre 2001 - 12h01:

Savez vous ; qu'avant, dans les souks de Tunis, si un commerçant Juif ou Arabe avait réalisé sa première vente du matin "YESTEFTAH", il guidait toujours son second client au magasin du voisin pour que lui aussi réalise la sienne.
Et ce n'était qu'alors que « la guerre » concurrentielle était ouverte et que tous les coups étaient permis.

Bonne leçon de cohabitation et de partage, non ?

Drunkrat

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le mardi 23 octobre 2001 - 12h09:

A voir absolument. Va vous remettre les idees a l'endroit :

http://www.madblast.com/oska/humor_bin.swf

Romeo

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le mardi 23 octobre 2001 - 12h34:

Bonjour,

Je m'appelle Michèle Attal. je prépare une thèse de doctorat sur les "rites et le folklore de la naissance et de l'accouchement en Tunisie". Vos témoignages et vos histoires, mêmes les plus insolites seront précieux et les bienvenus. Ils contribueront à la sauvegarde de notre patrimoine. Si vous possédez des extraits d'actes de mohalim ou d'anciennes feuilles de protection de l'accouchée, je vous serais très reconnaissante de me les communiquer. Vos coordonnées seront bien sûr citées dans le mémoire. Merci pour votre aide.

micheleattal@aol.com

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le mardi 23 octobre 2001 - 12h09:

Je voudrai inscrire mon restaurant dans le guide de votre site :
RESTAURANT SNACK " YASMINA"
8-10, Rue Marché aux Fromages
1000 Bruxelles
Belgique
Tél: 003225128340 Le Patron : 0032476255150

Merci d'avance

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le mardi 23 octobre 2001 - 12h07:

Les erreurs de l'Arabie Saoudite qui ont renforcé Bin Laden

par Howard Schneider, The Washington Post

Traduit de l'anglais par Daniel Ménard spécialement pour Reponses-Israel

RIAD, Arabie Saoudite -- En tant qu'agent principal de renseignements de l'Arabie Saoudite, le prince Turki al Faisal a contribué à alimenter le mouvement de résistance afghan ayant conduit les Talibans au pouvoir. Ainsi, l'impression de trahison ne pouvait être que vivement ressentie quand, la semaine dernière, il a publiquement attaqué Osama Bin Laden, un autre vétéran saoudien du conflit afghano-soviétique.

"Dieu nous a protégés de Satan" écrivait Faisal dans le journal Shark al-Awsat, cinq semaines après avoir quitté son poste, démission attribuable, selon des analystes à l'incapacité de l'Arabie Saoudite à mettre un frein à Bin Laden. "Tu es de la mauvaise herbes, comme le fils de Noé - qu'il repose en paix. Et le déluge t'emportera, comme il l'a emporté, conclut-il."

Mais les frustrations médiatisées de Faisal - c'est du moins ce qui a été largement ressenti parmi les dirigeants du Royaume - se sont avérées un suite de mauvais calculs de l'Arabie Saoudite, ce qui a contribué à assurer une légitimité aux Talibans au moment même où ceux-ci donnaient asile à Bin Laden, tout lui fournissant le temps et l'espace pour mettre sur pied l'organisation al Qaeda.

C'est après avoir forgé sa philosophie radicale en compagnie de cheiks saoudiens, tel Safar Hawal, et l'avoir propagée à l'étranger avec la bénédiction, en premier lieu, de l'establishment que Bin Laden arriva en 1996 en Afghanistan, un ennemi juré de la monarchie, dépouillé de sa citoyenneté, mais connecté à un réseau terroriste actif s'étendant depuis le Jourdain jusqu'en Algérie, en passant par l'Arabie Saoudite elle-même.

En dépit de cette situation, l'Arabie Saoudite a été l'un des trois pays à offrir aux Talibans une reconnaissance sur le plan diplomatique en 1997. L'aide de l'Arabie Saoudite s'est traduite par un assistance logistique et humanitaire au nouveau régime en plein ascension ainsi qu'un engagement soutenu par la suite. On estime à deux millions de dollars par année les sommes versées en dons caritatifs de la part de l'Arabie Saoudite, soutenant ainsi deux universités, six dispensaires et le bien-être de plus 4 000 orphelins; sans compter l'envoi du roi Fahd, chaque année, d'une cargaison de dattes en guise de cadeau.

Comme l'ont bien mis en lumière les attaques du 11 septembre dernier, les saoudiens n'avaient pas établi des liens qu'avec les Talibans mais aussi avec Bin Laden. On a compté jusqu'à huit saoudiens parmi les 19 terroristes impliqués dans les attaques. Plus de 50 hommes, vraisemblablement de nationalité saoudienne, apparaissent sur la liste des terroristes recherchés par le FBI.

Le Royaume a officiellement manifesté son appui envers les États-Unis dans sa guerre contre le terrorisme et des porte-parole saoudiens ont confirmé, la semaine dernière, qu'ils avaient interpellés un nombre indéterminé de citoyens dans le but de les interroger sur d'éventuelles attaques contre les États-Unis. Plutôt ce mois-ci, une attaque à la bombe dans la partie orientale de la ville de Khobar avait tué un Américain.

Dans un bilan des politiques du Royaume envers l'Afghanistan au cours des dernières années, les diplomates, analystes et porte-parole saoudiens prétendent que les dirigeants d'ici ont sous-estimé l'influence que Bin Laden allait avoir auprès des Talibans en leur offrant, dès son arrivée, des millions de dollars en espèce et une idéologie encourageant le djihad ou la guerre sainte. Cette idéologie a été cultivée, tout au moins en partie, par un courant de pensée théologique radicale en vogue dans les cercles cléricaux saoudiens.

"Mauvaise politique ou tout simplement un accident de l'histoire, à vous de choisir" c'est ce qu'a répondu dernièrement le ministre des Affaires Étrangères, le prince Saud Faisal, interrogé sur la question de la politique Saoudienne envers les Talibans au cours des années cruciales, entre 1995 et 1998 - lorsque l'appui de Bin Laden pour le terrorisme est devenue évident et que ses liens avec les Taliban allaient en s'approfondissant.

"La stabilité du l'Afghanistan semble être l'objet d'une plus grande préoccupation que la présence de Bin Laden" a déclaré le ministre des affaires étrangères. "Quand les Talibans l'ont accueilli, ils lui ont indiqué qu'ils l'empêcheraient certainement d'entreprendre quelque action que ce soit. Notre déclaration était sans équivoque."

Les analystes affirment à présent que les États-Unis et l'Arabie Saoudite se préoccupaient plus des effets de la révolution des Chiites iraniens dans la région que de Bin Laden et pourraient même en être venus à percevoir l'État islamique Sunnite comme un mal nécessaire pour le régime voisin de Téhéran. Les attaques terroristes de l'époque en Arabie Saoudite ont été attribuées au gouvernement iranien, malgré que les suspects interpellés dans le Royaume aient révélé leurs liens avec Bin Laden et avec la résistance afghane.

L'ébauche de la politique saoudienne remonte aux premiers jours de la résistance anti-soviétique en Afghanistan, après l'invasion de 1979. L'appel pour combattre avec les mujaheddin afghan a été fortement entendu dans les années 80, résonnant partout dans les mosquées, les bureaux administratifs ou les centres caritatifs, jusque dans les foyers des classes aisées et des villages ruraux, incitant environ 15 000 saoudiens à joindre la résistance contre l'occupation soviétique de l'Afghanistan musulman. Parmi ces derniers se trouvait Bin Laden, qui avait parrainé des activités de financement au Pakistan et qui allait combattre, plus tard, en Afghanistan.

L'argent coulait à flots des coffres du Royaume, riche en pétrole - jusqu'à un milliard selon certaines sources - en fourniture et en cueillette d'armes de combat sous la tutelle des États-Unis et des services de renseignements pakistanais. Les volontaires s'inscrivaient au "travail de secours", se rappelle un Saoudien, et obtenaient à des prix battant tout compétition des billets d'avion de la société Saudi Arabian Airlines. Même les membres de la garde nationale pouvait réclamer leur paie de départ pour aller se joindre au combat.

"Nous subvenions à tous leurs besoins" affirme un haut-fonctionnaire du service de renseignements saoudien. "Ils croyaient que c'était la guerre islamique, et les musulmans tenaient à apporter leur aide. "

Le départ des troupes soviétiques à la fin de la décennie n'a pas entraîné pour autant la disparition de l'envie du combat. À ce moment-là, les troupes américaines ont été invitées en Arabie Saoudite pour combattre l'invasion irakienne au Koweït - une étape que les religieux du courant dominant ont justifié sur la base de la religion en tant que principe d'autodéfense, mais que Bin Laden et d'autres ont vu comme une menace à la foi elle-même.

Ce sont les religieux saoudiens, dont notamment Hawali, qui ont tracé les contours de la position radicale. Dans un sermon diffusé depuis la Mecque, avant le déclenchement de la guerre du golfe Persique, il a déclaré : "Nous avons demandé l'aide de nos véritables ennemies pour nous défendre. Le fait est que nous avons besoin d'un changement interne. La première guerre, c'est contre les infidèles de l'intérieur qu'elle doit avoir lieu et ainsi, nous serons mieux armés pour faire face à l'ennemie venu de l'extérieur. Frères, vous avez un devoir à accomplir. La guerre sera longue. La confrontation s'en vient. "

Ce type de discours a été dénoncé autant que faire se peut par l'"Islam officiel" du Royaume. Hawali a été condamné à cinq de pénitencier dans les années 90, ainsi que deux autres dissidents cheikhs, de même que des restrictions ont été formulées à l'endroit de sa prédication depuis sa libération en 1999. La libération des cheikhs semblait indiquer que le Royaume se dirigeait vers un compromis entre l'aile fondamentaliste - habilitée à se prononcer sur des questions aussi profondes que le chemin du paradis et sur des questions aussi triviales que les cartes Pokémon - et ceux qui s'inquiètent de la chute des revenus de l'état par habitant, de l'explosion démographique et du manque de travailleurs qualifiés.

Toutefois, l'idée continue de circuler et les événements des cinq dernières semaines ont attiré l'attention sur les possibilités de renouvellement de la force militaire. Les analystes saoudiens soutiennent qu'une théologie exaltée susceptible d'attirer des recrues pour aller se battre à l'étranger se propage actuellement dans les écoles, les mosquées et les groupes religieux du Golfe, autant de terreaux fertiles qui alimentent la violence entre Israéliens et Palestiniens.

"Toute personne qui décide de se joindre à Bin Laden sera surveillée" a affirmé un représentant des forces de l'ordre saoudiennes. "Mais nous ne pouvons empêcher quiconque de se joindre à un groupe musulman... IIs partent pour la Tchétchénie, puis on les perd de vue."

Le ministre des Affaires Étrangères saoudien ainsi que des représentants confirment que le gouvernement a commencé à exercer des pressions en 1998 pour rapatrier Bin Laden depuis l'Afghanistan, dès le moment, en fait, où le gouvernement a devenu convaincu de l'implication de celui-ci dans les attaques terroristes locales. Il a également commencé à réduire ses relations avec les Talibans lorsque Mohammad Omar, chef du régime, a refusé de le livrer.

Les entrevues avec le service de renseignements saoudiens et avec divers représentants, ainsi que les articles de presse de l'époque prouvent que les relations du pays avec les Taliban se sont en fait amplifiées, même après le début des préoccupations du Proche-Orient au sujet de Bin Laden et même après la confirmation de sa participation au bombardement de Riad, en 1995, qui avait tué cinq américains.

Les responsables de la sécurité jordanienne affirment qu'ils ont alerté l'opinion publique sur les activités de Bin Laden dès 1992. L'Égypte s'inquiétait également de la violence entretenue, en partie, par le retour des "Arabes afghans", des alliés de Bin Laden. Les menaces envers la famille royale par la suite ont suffit pour que les Saoudiens retirent à Bin Laden sa citoyenneté, en 1994, au moment où le Soudan était devenu le centre de ses opérations.

Par ailleurs, les ressortissants saoudiens interpellés, vers la fin du premier semestre en 1996, en raison du bombardement de l'année précédente dans un centre d'activités de la garde nationale ont reconnu leurs liens avec Bin Laden.

"Nous avions d'abord pensé à une implication étrangère, mais cette hypothèse a été par la suite démentie" c'est ce que déclarait à l'époque Abdulazis Twaijry, un commandant-adjoint de la garde nationale, dans une entrevue. "C'étaient de jeunes individus qui avaient combattu en Afghanistan, qui sont revenus avec des idées étranges et qui ont commis un crime dénoncé par tous."

Au cours de ces années, ont affirmé les représentants saoudiens, ils ont essayé de mettre fin aux combats entre les factions tribales, religieuses ou ethniques en Afghanistan.

"Plusieurs réunions ont eu lieu en Arabie Saoudite ? à la Mecque et à Taif notamment ?pour les convaincre de cesser les combats" a rapporté un agent de renseignements saoudien.

Les Talibans s'imposant dorénavant comme un force potentiellement stabilisatrice, l'Arabie Saoudite supporta le mouvement - surtout en raison de leur capacité à maîtriser la situation et de leur apparente aptitude à faire cesser les hostilités que pour des motifs idéologiques ou religieux. Mais il est vite apparu, dit-on, que les Talibans avait emprunté un trajet , même du point de vue saoudien, austère au point de devenir étranger à l'Islam.

"Nous avions des problèmes avec leur compréhension de l'Islam" soutient Adnan Khalil Basha, secrétaire général du soutien de l'organisation charitable internationale basée à Jeddah Islamic Relief Organisation. L'impossibilité de séparer les hommes des femmes en ce qui concerne l'utilisation des locaux a obligé l'organisation, affirme Basha, à mettre un terme à sa participation au financement d'un école technique pour cause d'inefficacité.

"Nous leur avions signalé notre intention de mettre en bande vidéo notre projet mais il ont refusé, prétextant que c'était défendu par Dieu", ajoute Basha.

Pas plus que la stratégie saoudienne de reconnaître les Talibans n'a rapporté de dividendes politiques, laissant ainsi l'ex-ministre de la sécurité et les autres dirigeants sans aucune solution de rechange quand ils se sont tournés vers Omar pour implorer son aide vis-à-vis de Bin Laden.

En guise des premiers efforts diplomatiques pour résoudre le problème sans cesse grandissant de l'al Qaeda, les dirigeants saoudiens se sont rendus en Afghanistan en juin 1998 pour demander des compte aux Talibans, à la suite de leur promesse de livrer Bin Laden. Mais ces derniers ont manqué à leur parole. Selon des renseignements fournis récemment par la CIA au Président Bush, Bin Laden, peu après son arrivée, aurait offert trois millions de dollars aux Talibans pour les aider à consolider leur pouvoir et leur aurait fourni jusqu'à 100 M$ depuis qu'il avait été convenu que ceux-ci lui offrirait l'asile.

En août 1998, le groupe de Bin Laden a été tenu responsable du bombardement des ambassades américaines au Kenya et en Tanzanie; responsabilité qui a été aussi étendue au Djihad islamique égyptien, un noyau de combattants s'étant eux-mêmes déclaré en guerre contre les Juif et les Chrétiens et qui remonte aux attaques terroristes en Égypte au début des années 70.

La délégation saoudienne serait prétendument revenue en septembre 1998 et sa requête d'extradition à l'endroit de Bin Laden aurait été une fois de plus rejetée. Les responsables saoudiens ont prétendu qu'ils avait offert à l'époque de juger Bin Laden devant une cour islamique selon la loi islamique, un demande essentielle dans la réponse actuelle des Talibans à la requête américaine de leur livrer Bin Laden.

À ce jour, l'Arabie Saoudite a déprécié ses liens éphémères avec le régime militant en laissant son ambassade de Kaboul en fonction mais en rappelant ses haut-fonctionnaires.

Trois ans plus tard, alors que pèse la menace d'une guerre, le gouvernement saoudien a finalement ouvert une brèche en reconnaissant publiquement qu'un groupe provenant d'une même ferveur s'était développé depuis vingt ans bien au-delà de leur volonté.

Les Talibans "utilisent leur terre pour abriter, armer et supporter...des criminels" a affirmé le gouvernement dans une déclaration pour rompre toute relation avec les Talibans. Les dirigeants politiques "diffament l'Islam et diffament la réputation des Musulmans du monde entier.

© The Washington Post, lundi 15 octobre 2001.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le mardi 23 octobre 2001 - 12h05:

Temoin de l'accroissement des actes d'antisemitisme dans le monde depuis un an, le gouvernement israelien a mit en service un observatoire sur le web a l'adresse http://www.antisemitism.org.il
Si vous etes temoin d'un action ou d'un ecrit, informez les par l'intermediaire de la page 'contact us'

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le mardi 23 octobre 2001 - 12h57:

Bonjour,

Je vis au Japon et ici il existe des feuilles de brick cacher que l'on trouve tres facilement en France pour environ 5 ou 6 francs le paquet de dix
feuilles, sauf qu'ici celles ci valent en 70Frs, oui je repete 70Frs les dix. Donc ma femme et moi, nous nous sommes abstenus de manger des briks, jusqu'au jour ou nous avons decouvert la pate a Gyosa qui est une pate a briks japonaise, et qui se trouve de partout au japon et aussi (France, Usa) qui s'achete dans le rayon frais d'un supermarche chinois ou japonais.
Ne pas confondre avec la feuille pour le nem, qui est une vrai cata pour les briks...
Tout ca pour vous dire que maintenant ma femme fait des briks a l'oeuf, aux pommes de terre et aussi aux amandes version douce....

Yossi

yossi.cohen@meitan-tradition.com

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le mardi 23 octobre 2001 - 12h54:

Communiqué du Ministre de la Défense Binyamin Ben Eliezer (20 octobre 2001)

Depuis le début des confrontations armées, Israël a demandé à l'Autorité Palestinienne et à son leader de faire cesser la violence et de combattre le terrorisme.
Mais jusqu'à présent il n'y a eu ni arrestations, ni cessez le feu, ni arrêt de l'incitation à la violence, et de toute évidence l'Autorité Palestinienne ne manifeste pas des intentions sincères d'agir en ce sens.

Compte tenu de cette situation, le cabinet a décidé de lancer des opérations sur le territoire de l'A.P., partout d'où émanent des activités terroristes et où des attentats sont préparés.

Cependant, le Ministre de la Défense, M. Ben Eliezer, a souligné qu'Israël n'a aucune intention de se maintenir sur le territoire de l'A.P., et que partout où cette dernière montrera des intentions sincères d'arrêter la violence et d'empêcher les attaques, les forces israéliennes se retireront des zones A (comme cela a été fait dans le passé à Beith Jalla et Hébron).

Israël maintient son engagement au Plan Mitchell et au Plan Tenet et continuera la recherche d'une solution diplomatique. C'est dans cet esprit,
effectivement, que le cabinet avait décidé dernièrement d'alléger les restrictions sur la population palestinienne. Toutefois, toutes les mesures nécessaires seront prises afin d'assurer la sécurité des citoyens d'Israël.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le mardi 23 octobre 2001 - 12h49:

Breaking news ! (info # 032210)
© Metula News Agency ­ En exclusivité 13:10 (Paris et Jérusalem) - Métula

Échanges d¹artillerie lourde, dans la région de Chabaa, par-dessus la frontière israélo-libanaise.

L¹artillerie israélienne est entrée en action contre des cibles situées au Liban, en tirant, durant la dernière heure, au moins une quarantaine d¹obus de gros calibre.

Ce bombardement fait suite à l¹attaque par le Hezbollah de la position israélienne de Gladiola, située sur la colline de l¹Ours (Har-dov). Depuis les bureaux de la Ména, nous pouvons distinguer, à l¹¦il nu, les impacts des missiles tirés par l¹organisation islamique, sur le flan nord de la base israélienne. A l¹heure où nous écrivons, les points d¹impact de ces missiles, dégagent encore une épaisse fumée blanche, qui souffle en direction de Gladiola (du nord-oeust au sud-est).

Les tirs de réponse israéliens, sont tombés à l¹est du village de Chabaa, à environ un kilomètre à vol d¹oiseau de cette agglomération. Les obus de Tsahal sont tombés dans le fond d¹une petite vallée transversale et il ne nous est pas possible de vous dire, si des cibles ont été atteintes. Nous pouvons cependant témoigner de visu, qu¹un important incendie se dégage de la dite vallée, qui est inhabitée, sans végétation et qui a reçu des salves de Tsahal en nombre important.

Durant la plus grande partie de la bataille, qui a duré une heure, des chasseurs-bombardiers israélien ont survolé la région.

A la Ména, nous sommes à nouveau surpris de l¹initiative du Hezbollah, qui a assurément obtenu l¹aval préalable de la présidence syrienne. Il nous semble, que le jeune Béchar Al-Assad entend poursuivre son attitude provocatrice à l¹égard de Washington et ce, deux jours après avoir reçu un avertissement très sec du département d¹Etat US, lui demandant de faire cesser, au contraire, toutes les activités des organisations terroristes !

Ici, nous nous disons, que soit il ne croit toujours pas au sérieux des menaces américaines, soit il n¹est pas très intelligent !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le mardi 23 octobre 2001 - 12h48:

Bonjour

Retrouvez l'éditorial du 22 octobre 2001
L'ANTI-AMERICANISME, MALADIE SENILE DU TIERS-MONDISME

Bonne Lecture.
A bientôt.

Jean-Luc Besset
Editeur
http://www.israel-palestine.com

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le mardi 23 octobre 2001 - 12h46:

Djihad Contre Croisade

Par Bernard Lewis
Traduit de l'anglais par Arnold Baer pour Reponses-Israel

L'utilisation par le Président Bush du terme "croisade" pour désigner un effort puissant et conjoint contre le terrorisme était peu heureuse. Dans le langage des occidentaux, ce terme a depuis longtemps perdu son sens originel de guerre pour la croix et nombreux sont ceux qui n'ont pas conscience de l'origine de ce mot. A présent, croisade ne signifie presque toujours que campagne vigoureuse pour une bonne cause. Ceci peut être politique ou militaire, bien que rarement; de manière plus habituelle ceci est social, morale ou environnemental. Dans l'usage occidental il est rarement sinon jamais religieux.

Cependant Croisade touche encore un nerf à vif au Moyen Orient, où les croisades sont considérées et présentées comme des précurseurs médiévaux de l'impérialisme européen -- agressif, expansionniste et prédateur. Je ne désire pas défendre ou excuser le comportement souvent atroce des croisés, à la fois dans leurs pays d'origine et dans les pays qu'ils ont envahis, mais le parallèle impérialiste est hautement trompeur. Les croisades pourraient être décrites plus précisément comme une réponse limitée, tardive et, en dernière analyse, inefficace au djihad -- une tentative ayant échoué de reprendre par une guerre sainte chrétienne ce qui a été perdu suite a une guerre sainte musulmane.

Terre sainte

Du temps des croisades, quand la Terre Sainte et quelques régions voisines en Syrie furent conquises et pour un temps gouvernées par les envahisseurs venant d'Europe, il semble qu'il n'y eut que peu de prise de conscience parmi des musulmans de la nature du mouvement qui a amené les Européens dans la région. Les croisés ont établis des principautés au Levant, qui se fondèrent bientôt dans le tableau politique régional et Levantin. Même la conquête par les croisés de Jérusalem ne suscita alors que peu d'attention, et des appels à plusieurs capitales musulmanes n'eurent aucune réponse.

La vraie contre-croisade commença lorsque les croisés -- de manière insensée -- commencèrent à harceler et attaquer les terre sacrées de l'Islam, à savoir le Hedjaz en Arabie, qui contenait les villes saintes de La Mecque et Médine où Mohamed est né, a œuvré et est mort. Dans la vaste historiographie arabe de la période des croisades il y a de fréquentes références à ces envahisseurs, qui sont toujours appelés "Francs" ou "infidèles". Les mots croisade et croisés n'y figurent pas absolument pas.

Ils ont commencé à être employés avec une fréquence en augmentation au dix-neuvième siècle, parmi des écrivains arabes modernisés, au fur et à mesure qu'ils prenaient connaissance de l'historiographie occidentale dans des langues occidentales. Maintenant ils sont d'un usage courant. Il est sûrement significatif que Osama bin Laden, dans sa déclaration de djihad contre les Etats-Unis, se réfère aux Américains en tant que Croisés et compte leur présence en Arabie comme leur agression première et originelle. Leur deuxième agression est l'emploi de l'Arabie en tant que base pour attaquer l'Iraq. Jérusalem et le soutien donné au " petit Etat des juifs" vient en troisième.

Le sens littéral du mot arabe djihad est effort, et son usage général vient de l'expression coranique "s'efforcer dans le sentier de D ieu". Quelques musulmans, particulièrement du temps moderne, ont interprété le devoir de djihad dans un sens spirituel et moral. L'interprétation plus commune, c'est celle de la majorité écrasante des juristes et commentateurs classiques, présente le djihad comme la lutte armée contre les infidèles et les apostats. Au contraire de "croisade", elle a conservé sa connotation religieuse et militaire jusqu'aux temps modernes.

En tant qu'obligation religieuse, le djihad est réglementé de manière détaillée dans la loi de la sharia, qui discute dans les moindres détails des sujets tels que l'ouverture, la conduite , l'interruption et la cessation des hostilités, le traitement des prisonniers et des non-combattants, l'usage d'armes, etc. Dans une guerre offensive le djihad est une obligation collective de la communauté entière, et elle peut donc être prise en charge par des volontaires et des professionnels. Dans une guerre défensive, c'est une obligation individuelle de chaque musulman valide.

Dans sa déclaration de 1998, Osama bin Laden invoque spécifiquement cette règle: "Depuis plus de sept ans les États-Unis occupent les terres de l'Islam dans le plus sacré de nos territoires, l'Arabie, pillant ses richesses, accablant ses dirigeants, humiliant son peuple, menaçant ses voisins, et employant ses bases dans la péninsule comme fer de lance pour lutter contre les peuples islamiques voisins." En vertu de quoi " tuer des américains et leurs alliés, et civils et militaires, est une obligation individuelle de tout musulman qui peut, dans tout pays où c'est possible, jusqu'à ce la mosquée Aqsa et la mosquée Haram soient délivrées de leur enserrement, et jusqu'à ce que leurs armées, fracassées et aux ailes brisées, quittent les pays d'Islam, incapables de menacer tout musulman."

Mohamed lui-même a dirigé le premier djihad, dans les guerres des musulmans contre les païens en Arabie. Le djihad a continué sous ses successeurs, avec une série de guerres qui ont conduit le Moyen Orient, y compris la Terre Sainte, sous la domination des Arabes musulmans et s'est ensuite poursuivi vers l'est en Asie, vers l'ouest en Afrique, et trois fois vers l'Europe - les Maures en Espagne, les Tatares en Russie, les Turcs dans les Balkans. Les croisades furent une partie de la contre attaque européenne. La reconquête chrétienne réussit en Espagne, en Russie et par la suite dans les Balkans; elle ne réussit pas à récupérer la Terre Sainte de la Chrétienté.

Selon l'usage islamique le terme martyre est normalement interprété dans le sens de mort dans un djihad, et la récompense est la béatitude éternelle , décrite avec quelques détails dans des textes religieux des débuts. Le suicide est un autre sujet.

L'Islam classique dans toutes ses différentes formes et versions n'a jamais permis le suicide. Ceci est considéré comme un péché mortel, et entraîne une punition éternelle sous la forme d'une répétition sans fin de l'acte par lequel le suicidé s'est tué. Les juristes classiques, quand ils débattent les lois de la guerre, distinguent clairement entre le soldat qui affronte la mort certaine des mains de l'ennemi, et celui qui se tue de ses propres mains. Le premier va au ciel, l'autre en enfer. Récemment certains juristes ont brouillé cette distinction, et promis les joies du paradis au poseur de bombe suicide. D'autres s'en tiennent à la vue plus traditionnelle que le suicide sous quelque forme que ce soit est totalement interdit.

Pas de massacre gratuit

De manière similaire les lois du djihad excluent catégoriquement le massacre gratuit et aveugle. Les combattants de la guerre sainte sont exhortés de ne pas faire de tort aux non-combattants, aux femmes et aux enfants, "à moins qu'ils n'attaquent en premier." Même les questions telles que les missiles et les armes chimiques sont traitées, les premiers à propos de mangonneaux et de catapultes, les autres à propos de l'utilisations de flèches à têtes empoisonnées, empoisonnant l'approvisionnement d'eau de l'ennemi. Là les juristes ont des avis différents -- certains permettent, certains font des restrictions, certains interdisent cette forme de guerre. Ils insistent sur un point, c'est la nécessité d'une déclaration de guerre claire avant de commencer les hostilités, et d'un avertissement approprié avant de reprendre les hostilités après une trêve.

Ce que les juristes classiques de l'Islam n'ont jamais envisagé c'est la sorte de massacre non provoqué de populations civiles non impliquées que nous avons vu à New York il y a deux semaines. Pour cela il n'y aucun précédent et pas d'autorité en Islam. En fait il est difficile de trouver des précédents même dans les riches annales de la perversité humaine.

© Bernard Lewis, Wall Street Journal, 2001.

M. Bernard Lewis est professeur émérite en Études Proche-Orientales à l'Université de Princeton. Son livre le plus récent, en Anglais, est: "A Middle East Mosaic: Fragments of Life, Letters, and History" (Random House).

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le lundi 22 octobre 2001 - 12h14:

N'ayant aucun parti pris ni pour les pours, ni pour les contres "Delanoe" (car je ne suis pas parisien), je tiens quand meme a preciser a Mr. Cohen Victor (Bekhor), que grand nombre des encombrements observes a Paris au meme titre que dans d'autres grandes villes de France, ne sont que le resultat et la cause a effet directe de l'application des 35h qui font que beaucoup plus d'actifs ayant des horaires amenages, quittent leur lieu de travail plus tot ou plus tard.
Il ne faut pas ommettre de signaler non plus que du fait que les transports en commun parisiens (en particulier le RER) sont de moins en moins bien frequentes (meme les lignes qui jusqu'a recemment pouvaient encore s'enorgueillir d'une certaine securite ne sont plus sures), et que Vigipirate fait regner une sorte de "peur diffuse" du terrorisme, les parisiens et banlieusards se sentent encourages a prendre leur vehicule prive au lieu des transports, faisant ainsi le lit des embouteillages et des ashtmes chroniques de plus en plus repandus en RP (surtout chez les jeunes enfants et les retraites).
Et je le repete, je n'ai aucun interet a prendre le parti de Mr. Delanoe; mon seul argument : je rentre tout juste d'un sejour a Paris ou je n'avais pas mis les pieds depuis presque un an (debut approximatif de la mise en application des 35h) et j'ai pu constater les degats sur la circulation, et surtout, sur les poumons des enfants et des personnes agees de la capitale : mon propre pere qui n'a jamais souffert de quelques problemes respiratoires quels qu'ils soient, souffre depuis deux mois de crises d'ashtme a repetition, dues a la pollution.
Il faut vraiment faire quelquechose au niveau de la qualite de l'air, et ca ne sert a rien ni d'incriminer Delanoe, ni d'incriminer la couche d'ozone....

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Davideden (Davideden) le lundi 22 octobre 2001 - 12h11:

Drunkat,

Merci pour l'info. Puisque vous mentionez le Lycee Carnot, Saviez vous que les juifs etaient repertories? Cette institution qui appartenait au ministere Francais des affaires etrangeres semblait garder un registre des juifs "Tunisiens".
J'aimerais bien savoir si quelqu'un d'autre a des documents a ce sujet.

David Eden
justeden@hotmail.com

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par cohen victor (Bekhor) le lundi 22 octobre 2001 - 12h29:

Monsieur Fitoussi,
Si vous voyez ce cher Bertrand Delanoe, qui malheureusement est devenu le nouveau maire de Paris et j'espere pas pour longtemps.
Car depuis sa venue Paris est devenu un vrai merdier embouteiller par les voitures. avec les couloirs a bus pris sur plus d'un tiers de la chaussee. Marechaux compris.
Quelle inteligenceeeeeeee.
Heureusement que tous les tunes ne sont pas betes comme ce cher maire.
Ce cher maire croyait faire de Paris une ville presque pietone, mais il n'a pas reussi, les rue sont devenue des vrais goulots, les klaxons se sont remis a siffler de plus belle. et les embouteillages de Paris sont j'usqu'a 23 heures et non plus jusqua 20 heures.
Alors nous les automobilistes vous savez votre Bertrand Delanoe Tune ou autre on s'en tape.
Qu'il remete Paris tel que nous l'avons connu et non pas tel qu'il croit que c'a doit etre.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le lundi 22 octobre 2001 - 12h00:

Bonjour a tous.

A plusieurs amis qui me demandent ce qu’est devenu le Lycée CARNOT.
Je les informe d’abord qu’il y-a un site des anciens lycéens de CARNOT:

http://www.assolyceecarnottunis.com/

Et sous la rubrique « Historique », on retrouve cet extrait :

"Le lycée Bourguiba aujourd’hui
A la remise du lycée par la France à la Tunisie en 1983, dans une démarche symbolique, le lycée prit le nom d’un ancien élève du lycée Carnot : le Président Bourguiba.
Le lycée Bourguiba est aujourd’hui le premier lycée-pilote en Tunisie. Il accueille les élèves les plus brillants de la région du grand Tunis. Ces élèves réussissent souvent les concours d’entrée aux grandes écoles françaises et étrangères".

Drunkrat

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le lundi 22 octobre 2001 - 12h09:

Quelqu’un sait-il pourquoi Ronny Brauman (médecins sans frontières), né en Israël, est animé d’une telle haine de soi ? Quels sombres comptes personnels règle – t- il sur notre dos par médias interposés ? il correspond certes à la figure classique du juif antisémite, mais le problème est qu’aujourd’hui il est exhibé par les médias français trop contents de trouver un juif allant dans leur sens (récemment FR3 et Paris Première). On n’a vraiment pas besoin de ça par-dessus le marché…
M.G.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le lundi 22 octobre 2001 - 12h37:

Reponse pour Mr Fitoussi qui pretend que le lycee de Carthage etait de tres loin le plus beau lycee de Tunisie.

Cher ami, vous revez.
Je crois que seuls les eleves du lycee de Carthage peuvent penser une chose pareille. Bon c'est vrai que vous etiez pres de la mer mais c'est le seul avantage (quoique en hiver...)
Tout le monde s'accordera a dire que le plus beau lycee etait sans conteste le lycee Carnot. De par sa location geographique au centre ville, la beaute de son architecture, la diversite extraordinaire de ses eleves et la proximite des meilleurs marchands de sandwiches tunes, Carnot est unique et ne peut etre compare a aucun autre lycee.

Nostalgia

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le lundi 22 octobre 2001 - 12h09:

Les législateurs américains sont divisés sur le double standard de "Bush" en matière de terrorisme.

Par Elise Labott, CNN Washington Bureau
Traduit de l'anglais par Gilbert Marciano spécialement pour Reponses-Israel.

WASHINGTON (CNN) -- Mercredi, les membres de la Commission pour les Relations Internationales de la Chambre des Représentants a critiqué l'administration Bush pour son langage inhabituellement sévère pour s'opposer à la politique d'Israël d'élimination ciblée tandis qu'il pourchasse, "Mort ou Vif" le chef terroriste suspecté Osama bin Laden

Le député Gary Ackerman, Démocrate de New York, démocrate désigné dans le sous-comité sur le proche orient et l'Asie, a dit qu'il était anormal pour les États-Unis de dénoncer Israël quand "ils poursuivent ces misérables fils de P..[SOBs] [qui lancent des attaques terroristes contre Israël] ... ils ont assez de preuves pour cela, autant que nous en avons pour les attaques terroristes du 11 septembre."

Ces commentaires sont venues lors d'une discussion avec William Burns, Secrétaire d'État Adjoint pour les affaires du proche Orient, en charge de la politique de l'administration Bush au Proche-Orient, d'une part relative au conflit israélo-palestinien et d'autre part à la guerre américaine contre le terrorisme.

"Si un pilote américain... réussissait par élimination ciblée à tuer Osama bin Laden, il recevrait la médaille d'Honneur du Congrès et une parade d'honneur sur la Cinquième Avenue," a dit le député Tom Lantos, Démocrate de Californie.

"Et je me demandais juste quel degré d'hypocrisie doit inciter un porte-parole du Département d'État pour critiquer un tireur d'élite israélien pour avoir réussi à éliminer un homme qui a planifié, organisé et réalisé l'assassinat de 22 adolescent(e)s israéliens."

Lantos se référait à l'exécution de Abed Rahman Hamad par des snipers israéliens ce Dimanche. Selon les Israéliens, Hamad a organisé l'attentat suicide de Juin dans une discothèque de Tel Aviv.

L'administration Bush a critiqué cette exécution, disant qu'il ne sont pas d'accord avec la pratique israélienne d'élimination ciblée de Palestiniens accusés d'être responsable pour des attaques terroristes.

Le Député Elliot Engel, Démocrate de New York, a dit qu'il était "furieux" avec ce qu'il appelle le "double standard" que l'administration Bush utilise pour distinguer avec ses propres efforts de combattre le terrorisme.

"Y-a-t-il quelqu'un pour avoir un doute si nous pouvions aujourd'hui débusquer Osama bin Laden -- comme le Président Bush l'a dit, 'Recherché Mort ou Vif' -- si nous pouvions débusquer Osama bin Laden, et si le seul moyen à notre disposition était de le tuer, avons nous un seul doute sur notre choix ?" demanda Engel. "Non," répondit Burns, alors pourquoi faire une distinction entre la cible U.S. de bin Laden et l'élimination de Palestiniens par Israël.

"Ce que nous essayons de faire est... de créer une situation propice à la fin de la violence," a dit Burns. "Dans le contexte de cette situation entre Israéliens et Palestiniens, il y a la possibilité de les ramener ensemble dans un processus politique."

Les remarques de Burns venait après que l'administration Bush ait condamné l'assassinat du Ministre israélien de droite Rechavam Zeevi ce mercredi.

Tandis que les États-Unis ont présenté leurs condoléances et appelé le chef Palestinien Yasser Arafat à arrêter les responsables, l'administration a dit que cet acte ne devait pas remettre en cause les pas positifs récents accomplis par les Israéliens et Palestiniens pour calmer la situation.

Le comité a aussi appelé l'administration Bush à poursuivre les groupes terroristes palestiniens dans sa guerre contre le terrorisme et de sévir contre la Syrie pour son support au Hezbollah.

"Il est certain que ces groupes menacent les intérêts de la politique étrangère américaine dans cette époque de crise. Et pourtant ils semblent avoir été délibérément négligés," a dit Ackerman. "Je ne comprend pas cette exception particulière."

© CNN, 17 octobre 2001.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le lundi 22 octobre 2001 - 12h06:

Cher Monsieur Halfon,

Il est très étonnant de voir que, 7 mois après son élection comme Maire de Paris, Bertrand Delanoe soit toujours répertorié, dans votre rubrique
"Tunes d'honneur", comme simple "candidat (!) à la Mairie de Paris.

Une mise à jour de vos informations s'impose, si vous voulez que vos lecteurs accordent à Harissa.com la crédibilité indispensable à un site de qualité.

Je crois vous avoir déjà signalé cette anomalie il y a plusieurs mois, mais sans résultat.

J'espère que vous allez enfin donner à Bertrand Delanoe le titre qui est le sien.

Merci d'avance,

Max Fitoussi

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le lundi 22 octobre 2001 - 12h04:

Memorandum Secret Au President George W. Bush

p.c.c. Michel Gurfinkiel

Peu après le 11 septembre, le président américain, George W. Bush a sollicité la coopération des meilleurs experts politiques et militaires occidentaux dans le cadre de la guerre contre Oussama Ben Laden et le terrorisme intégriste. Un groupe d'experts israéliens, généraux de Tsahal, officiers supérieurs des services de renseignement, députés à la Knesseth, professeurs aux universités de Jérusalem, Tel-Aviv, Haifa et Beersheva, diplomates, lui a fait parvenir un mémorandum. J'ai été en mesure de me procurer ce texte. Il m'a semblé utile de vous en communiquer le texte intégral, traduit par mes soins :

" A Monsieur George W. Bush,
Président des Etats-Unis d'Amérique,
La Maison Blanche,
Washington, District de Columbia,
USA.

" Cher Monsieur le président (Dear Mr President),

" Avant toute chose, nous tenons à rappeler un principe fondamental : il n'y a pas, face au terrorisme ou à toute forme de conflit impliquant un pays de la région arabo-islamique, de solution militaire. Il n'y a que des solutions politiques. Et la solution politique par excellence, comme votre Département d'Etat et les ministères des Affaires étrangères de beaucoup d'autres pays, notamment européens, n'ont cessé de le rappeler à propos du conflit israélo-arabe ou israélo-palestinien, consiste à négocier avec l'adversaire alors même qu'il poursuit les opérations armées, et quelle que soit l'intensité de ces opérations. Nous vous recommandons donc, cher Monsieur le président (Dear Mr President), d'engager immédiatement des négociations avec Oussama Ben Laden et avec toutes les autres organisations terroristes islamiques, sans préalable d'aucune sorte et surtout sans formuler une demande aussi irréaliste qu'un arrêt momentané des actions hostiles contre les Etats-Unis d'Amérique, leurs citoyens ou leurs intérêts économiques.

" Certains de vos conseillers pourront objecter qu'Oussama Ben Laden et les autres terroristes se réclamant d'un islam extrémiste ne sont pas des interlocuteurs légitimes. Ce n'est là qu'un sophisme, comme vous nous l'avez souvent expliqué à propos de l'OLP de Yasser Arafat, du Hamas, du Dijihad islamique ou du Hezbollah. La légitimité des terroristes découle du fait même qu'ils recourent à la terreur, point à la ligne. Et ce sont au contraire les Etats ou organisations arabes ou musulmanes se refusant de recourir à la terreur ou se déclarant pour la paix et la coopération avec les Etats-Unis qui doivent être tenues pour illégitimes. Nous ne saurions trop vous presser, cher Monsieur le président (Dear Mr President) d'accorder à Oussama Ben Laden tous les signes tangibles d'une reconnaissance en droit international et de lui transférer les prérogatives que vous accordiez jusqu'ici à vos soi-disant alliés et amis de la région. Instruits par notre propre expérience, nous vous suggérons d'organiser dès maintenant des pourparlers préliminaires avec Ben-Laden en terrain neutre, peut-être dans une capitale scandinave comme Oslo, de signer avec lui une déclaration de principes, peut-être sur le perron de la résidence présidentielle d'un pays tiers, et enfin de le recevoir à la Maison Blanche en visite d'Etat. Nous sommes sûrs que l'opinion américaine, profondément éprise de paix, vous soutiendra unanimement quand vous serrerez la main de l'inspirateur des vols suicides contre le World Trade Centre et le Pentagone. Si par hasard l'opinion américaine ne vous soutenait pas, persévérez pourtant dans le processus de paix. Nous avons eu nous-même du mal à le comprendre, mais nous savons désormais, notamment grâce aux conseils amicaux de votre prédécesseur Bill Clinton, que les négociations avec les organisations totalitaires doivent primer sur tout autre considération, y compris les protestations démocratiquement exprimées d'un peuple libre.

" Notre troisième recommandation, cher Monsieur le Président (Dear Mr President) est de vous montrer honnête dans vos négociations avec Oussama Ben Laden. Votre Département d'Etat et beaucoup d'autres ministères des Affaires étrangères en Europe et dans le reste du monde nous ont souvent expliqué qu'il était vain d'engager un processus de paix avec Yasser Arafat si nous n'avions pas l'intention d'accorder à ce dernier tout ce qu'il demandait, et peut-être même plus encore : la Cisjordanie, Gaza, la moitié ou les trois quarts de Jérusalem, l'entrée en Israël de trois quatre millions de prétendus réfugiés ou descendants de réfugiés. Vous devez appliquer ce raisonnement à Ben Laden et à ses comparses. Vous savez très bien que leur but n'est pas d'arrêter les hostilités, ni d'organiser une coexistence entre le monde libre et l'islam intégriste, mais de renverser tous les régimes arabes et musulmans existants, y compris l'Arabie saoudite, d'anéantir toutes les aspirations à la paix, à la démocratie et à la liberté dans le monde arabe et musulman, de s'emparer du pétrole du golfe Persique et de créer un nouveau califat capable de lancer un djihad planétaire contre les chrétiens, les juifs, les hindous, les sikhs et les bouddhistes. Ne trichez pas. Donnez-leur tout. Accordez-leur quelques satisfactions symboliques de plus, par exemple en leur cédant l'île de Manhattan.

" Enfin, cher Monsieur le président (Dear Mr President), nous vous recommandons instamment, dans l'hypothèse infiniment regrettable où vous devriez quand même procéder à des ripostes militaires, de faire preuve de retenue et de proportionnalité. N'engagez pas des opérations prolongées en territoire ennemi. Ne procédez pas à des bombardements massifs et aveugles. Ne détruisez pas l'infrastructure des territoires que vous attaquez. N'engagez aucune opération qui pourrait se traduire par la fuite de populations civiles. N'attaquez jamais l'adversaire s'il se dissimule derrière des populations civiles prises en otages, même si vous disposez d'armes intelligentes et ultra-précises.

" Nous sommes sûrs, cher Monsieur le président (Dear Mr President) que vous tiendrez compte de nos conseils désintéressés et vous souhaitons bon courage et bonne chance. "

Fin de citation. Ici s'arrête le mémorandum secret des experts israéliens à George W. Bush. Comme vous pouvez le constater en regardant votre télévision, l'administration américaine semble avoir du mal à mettre ce texte judicieux en application. Je vous avoue que cela ne me gêne pas trop. Mais ce qui me gênerait beaucoup, et gênerait pas mal d'hommes libres à travers le monde, ce serait qu'elle persiste à exiger d'Israël, sous l'influence du secrétaire d'Etat Colin Powell, ce dont elle se dispense elle-même.

Diffusé sur RCJ le 21 octobre 2001. © Michel Gurfinkiel, 2001.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le lundi 22 octobre 2001 - 12h02:

Shalom à tous,
je vous signale l'ouverture du nouveau forum "juifs francophones du monde" sur caramail
pour y accéder il faut aller sur www.caramail.com
ensuite vous inscrire et entrer dans forum publis, sujet actualité et débats.
Venez y nombreux et invitez vos amis.
A bientot.
eve

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le lundi 22 octobre 2001 - 12h59:

Bonjour

je suis un ancien catholique qui n'y croit plus, je me suis mis à lire la bible d'un couvercle à l'autre et en suis venu à la conclusion que le peuple juif est le peuple élu. Donc j'aimerais savoir ce que je peux lire et faire pour m'orienter dans ce dédale d'informations sans me faire jouer par de fausse doctrine. Éclairez-moi je vous prie ! écrivez moi merci

richgingras@aol.com

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le lundi 22 octobre 2001 - 12h58:

Pétition aux Parlementaires Européens : "Le Parlement Européen doit-il financer l'enseignement de la Haine ?"

La Loge francophone "Robert Gamzon" du Bnai Brith de Jérusalem a pris l'initiative d'une pétition destinée à tous les députés européens.

Cette pétition demande aux députés du Parlement Européen d'arrêter le financement des manuels scolaires palestiniens qui contiennent de nombreux passages d'un antisémitisme virulent.

Vous êtes invités à prendre connaissance de cette pétition en cliquant sur le site CJE :

http://www.chretiens-et-juifs.org/Israel_justifie/Petition_Gamzon.htm

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le lundi 22 octobre 2001 - 12h56:

‘….MA FEMME…..MON EPOUSE….’
(ACTE DE FOI ET D’AMOUR)

Jeune marié et encore sous la tutelle de ma mère, je querellais souvent ma jeune femme pour un oui ou un non, alors qu’elle tenait sa maison comme une professionnelle, une vraie femme de maison.
Seulement aveugle que je fus et croyant ‘aux vérités’ de ma génitrice, je lui cherchais la petite bête là où elle n’existait pas.
Les enfants sont arrivés et ma ‘vieillesse’ aussi. Disons plutôt le bon sens et la logique qui me firent défaut.
Et j’ai compris un peu tardivement que j’étais sans le vouloir un instrument dans les mains de ma chère mère.
Je souffrais moralement d’un état, d’une situation mi-querelle mi-paix, qui n’était pas conforme à mon jeune passé et surtout à mon caractère. Je me sens coupable de n’avoir pu mettre les choses en place dès le départ et d’abord comme l’aurais pu le faire sans m’attirer des foudres…. ? Mettre ‘hors d’état de nuire ‘ celle qui me ‘montait la tête’ m’étais quasiment impossible tant sa persuasion était forte. Je partais du principe que ma maman ne mentait jamais. Ma conscience en a pris un coup car les faits et ma gestuel ne correspondaient pas à mon état d’âme au risque de me répéter.
Aujourd’hui, et depuis pas mal de temps ma ‘maison intérieure’ ( mon for) a fait le ménage. J’ai renversé la vapeur. Mes yeux se sont désilés et mon cœur s’est apuré. Je vous confesse mes dires avec une pointe de mélancolie, de tristesse et demande à D.ieu de partir avant elle parce que je ne puis survivre après , si elle me précède. Elle est mon âme et ma structure. Je serai incapable avec toute ma bonne volonté de porter le flambeau. Certains hausseront les épaules et penseront qu’Albert va trop loin dans son acte de foi et de sincérité. Non….C’est ma conviction absolue n ‘en déplaise à ceux qui se pavanent d’être des hommes forts.
J’ai compris sa valeur et surtout sa sincérité qui défilent devant mes yeux.
OUI, je l’aime et plus je l’aime et plus mes yeux s’embuent tendrement quand je la regarde sommeiller en ronflant beaucoup moins que moi. Plus je la regarde et plus je la serre contre moi comme si je voulais qu’elle se fonde dans mon corps pour n’en faire qu’un. Je la regarde ma compagne, mon épouse qui m’aime autant que ce premier jour de notre rencontre sur le bord du trottoir en face du café vert à la Goulette. Elle avait ce soir là bien plus que les yeux de Chimène, Juliette et Roméo réunis. Je la regarde dans sa cuisine, vaquer à ses occupations comme un nouveau -né qui ausculte une mère gentille. Oui….L’homme, malgré son physique et sa force de quelque nature qu’ils soient , porte en lui ce gène de femme qui nous rend ‘maternelle’ à mesure que mes cheveux blanchissent et ma voix qui se dégrade.
Je n’ai rien perdu de mon autorité, je l’ai seulement mis en veilleuse avant qu’elle ne s’éteigne.
J’ai pris de la hauteur avec un parachute et laisse ma jeune famille gérer mes affaires sous mon toit.

‘Evelyne……Evelyne…..Avant que ma bouche ma langue et ma parole ne portent plus au loin….Ou si tu préfères avant que je ne chuchote des conneries inaudibles et insensées, …Toi qui ne me liras certainement pas immédiatement mais peux être un jour comme ça par hasard en feuilletant par distraction mes feuilles, saches qu’il n’y a pas une seule heure, une seule minute sans que je n’aie pensé à toi…saches que mon amour que je ne t’ai jamais avoué de vive voix était sincère et honnête malgré toutes les vicissitudes de notre jeune histoire…et si en certaines circonstances mon attitude t’on parues mal saines ceux là n’étaient pas de ma faute……Ton bibiche.

Albert Simeoni

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le lundi 22 octobre 2001 - 12h49:

L'association Connec'Sion - Informaticiens Juifs de France a le plaisir de vous convier à la conférence de :

Clément Weill-Raynal
Journaliste à France 3,
Président de l'Association des Journalistes Juifs de la Presse Française,

Sur le thème : « desinformation.israel.net, une autre bataille à livrer »

Nous vous accueillerons le lundi 29 Octobre 2001 à 20h30
Dans la salle BSC du Centre Rachi, 39 rue de Broca, 75005 Paris.

Participation aux frais : 50 F

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme le dimanche 21 octobre 2001 - 12h51:

Au début de l'année paraissait un livre d'une bonne vingtaine d'experts qui se prononçaient de façon +/- péremptoire sur la menace terroriste et
l'islamisme radical:

Philippe Moreau-Defarges
Chercheur à l'Institut Français de Relations Internationales
"....ni le terrorisme ne provoqueront en eux-mêmes une guerre..."

Michel Tatu
Chercheur à la Fondation pour la Recherche Stratégique
"...le terrorisme restera un coup d'épingle dans le flanc des
démocraties..."

Pascale Boniface
Directeur de l'Institut des Relations Internationales et Stratégiques
"...je ne crois guère au développement d'un terrorisme de masse......je ne
pense pas que nous verrons des actes terroristes entrainant des milliers de
victimes..."

Olivier Roy
Chercheur au CNRS
"...le terrorisme ne me parait pas être un problème stratégique et ne
s'ancrera jamais dans de grandes revendications identitaires ou
religieuses...il demeurera sur une petite échelle........"

Michel Wieviorka
Sociologue Directeur d'Etudes à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences
Sociales
"....le contexte particulier dans lequel est né l'islamisme radical a
disparu.......l'islamisme radical n'est plus aujourd'hui une menace
international......"

Gilles Kepel
Chercheur au CNRS, Professeur à l'Institut d'Etudes Politiques
"....l'islamisme radical n'est pas la grande menace qui pèse sur la paix du
monde..."

A mediter...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le dimanche 21 octobre 2001 - 12h38:

Breaking news ! (info # 022010)

© Metula News Agency, 21:30 (Paris et Jérusalem)
Il semble que les sujets de notre dernière analyse, sont bien au centre des préoccupations des uns et des autres !

A Métula, on apprend à l¹instant, que l¹Administration américaine a envoyé un message extrêmement ferme à Béchar Al-Assad, lui enjoignant de mettre immédiatement fin aux activités des organisations terroristes agissant depuis les territoires syrien et libanais !

Le message, acheminé par voie diplomatique, contiendrait des menaces relativement précises, à l¹encontre du régime alaouite de Damas, au cas où son Président déciderait de ne pas obtempérer. Le courrier diplomatique fait nommément référence au FPLP, au Hamas et au Jihad islamique.

A la Ména, on se dit, que pour être efficace, il n¹est pas mauvais de souffler le chaud et le froid. Pourtant, à notre avis, il est indiqué de ne pas exagérer l¹amplitude qu¹on met entre la carotte et le bâton, afin de ne pas envoyer un message général emprunt de confusion.

Le luxe, que confère la puissance des USA, c¹est de doter ses dirigeants d¹un relatif droit à l¹erreur, dont ne peuvent se prémunir, tous les autres États que nous connaissons. Au département d¹État, la charge de faire désormais respecter les options de l¹Amérique !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Admin (Admin) le lundi 22 octobre 2001 - 12h33:

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