Archive jusqu'au 06/février/2007

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2007: Commentaires Fevrier 2007: Archive jusqu'au 06/février/2007
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le mardi 06 février 2007 - 13h54:

on ne vote pas pour ceux qui soutiennent DUMAS
CE SONT DES CARRIERISTES

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le mardi 06 février 2007 - 13h21:

Pour rester dans notre sujet brulant...

Assis sur le seant de sa notoriete acquise grace aux bons et loyaux services prestes pour Tonton, et apres avoir observe une traversee du desert toute tactique afin eviter un retour de manivelle dans l'Affaire Elf, Roland Dumas ne rate pas la perche qui lui est tendue pour faire savoir, une fois de plus, et toujours indirectement, a quel point l'Etat d'Israel et les Juifs l'insupportent.

Mais comme tout diplomate francaoui qui se respecte:
" - Tout est dans la nuance et le bon ton !"
(A prononcer le cul pince et le petit doigt en l'air du cote de la main qui tient la coupe de Dom Perignon, l'autre main etant reservee exclusivement aux petits fours et aux suchis de chez Dalloyau).

Pour moi ca pue autant que Dieudonne, dont il a d'ailleurs recemment applaudi le spectacle des deux mains.*
(Sachant qu'il n'y avait ni champagne ni petits fours chez Dieudonne, on pourrait d'ailleurs a juste titre se demander ce qu'il est alle faire dans cette galere ?!)

Ce n'est en tout cas pas par hasard, je subodore, que cette boule puante paraisse dans le Nouvel Obs (Merci, O Maitre ! Jean Daniel...).

A lire avec une pince a linge sur le nez, donc.

*de source bien informee, exclusif A.B. (Agence Bazooka).

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Roland Dumas favorable a la bombe iranienne

NOUVELOBS.COM | 05.02.2007 | 19:10

Roland Dumas, ancien ministre socialiste des Affaires etrangeres, a estime lundi 5 fevrier que la detention par l'Iran de la bombe atomique serait "un element d'equilibre dans la region".
"D'avoir la bombe atomique, pour l'Iran par exemple, ce serait un element d'equilibre dans la region. Mais cela suppose un accord, des controles, un climat autre que celui qui existe actuellement, qui est un climat de menaces", a declare Roland Dumas, interroge sur France Inter.


"Facteur d'equilibre"
Pour l'ancien ministre de Francois Mitterrand, "avoir la bombe atomique n'est pas forcement un facteur aggravant". "C'est un facteur de retablissement de l'equilibre et qui dit l'equilibre, dit maintien de la paix", a-t-il ajoute.
"A l'inverse, si dans une region du monde, un pays puissant, surarme, dispose de la bombe atomique, c'est lui qui fait la loi", a explique Roland Dumas.
Il a souhaite que s'ouvre "tres rapidement une negociation generale avec l'Iran".
La semaine derniere, un entretien de Jacques Chirac au Nouvel Observateur, au New York Times et a l'International Herald Tribune a provoque une vive polemique. Avant de revenir sur ses propos, le president avait envisage ouvertement que Teheran puisse devenir une puissance nucleaire.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le mardi 06 février 2007 - 07h42:

Frapper l’Iran ? (info # 010502/7) [Analyse]

Par Laurent Murawiec à Washington © Metula News Agency

Les Etats-Unis en font beaucoup. Envoi d’une vingtaine de milliers de soldats en Irak, pression plutôt réussie sur le premier ministre bagdadi al-Maliki pour qu’il cesse de n’être que le pantin des extrémistes chiites. Attaques menées contre les nids urbains de miliciens chiites de Muqtada al-Sadr, nomination de l’audacieux général David Petraeus à la tête des forces américaines et coalisées en ce qui concerne l’Irak. Envoi d’un porte-avion de plus vers le Golfe persique, avec toute son armada accompagnatrice dotée d’une force de frappe considérable, sous la houlette de l’amiral Fallon, un as de l’aéronavale aux talents certains de coordination de frappes aériennes lourdes. Dénonciations appuyées et multiples du rôle offensif de l’Iran et de ses services dans les rebellions irakiennes, arrestations en Irak d’agents iraniens, officiers de la « Force al-Quds », forces spéciales iraniennes…

Va-t-on, la question est dans tous les esprits, vers une intervention américaine contre l’Iran ? Avant de répondre, examinons le paysage…

Dans la région, voit graduellement le jour un Axe sunnite, qu’on pourrait baptiser coalition des effrayés : les despotes arabes, saoudiens, égyptiens et autres, que la montée du danger perso-chiite fait trembler. Il ne s’agit plus du simple désir, chez eux, de fouler aux pieds les hérétiques, comme leur compère Saddam l’avait si bien fait, mais d’échapper aux ambitions hégémoniques de l’Iran ayatollesque.

L’acquisition d’un arsenal nucléaire et balistique par les ayatollahs, la montée en puissance du Hezbollah au Liban, qui prépare sans se cacher le coup d’Etat, ou, s’il échoue, la guerre civile, la prise de contrôle du Hamas par l’Iran et la Syrie : c’est la grand’ peur pour les pétromonarchies sunnites du Golfe ; c’est elle qui a motivée les gestes remarqués et renouvelés contre l’Iran, sous formes de fatwas saoudiennes contre Téhéran et le Hezbollah, de rencontres à peine secrètes entre responsables israéliens et saoudiens, du soutien apporté à Abou Mazen contre le Hamas. Ils ont très peur de l’apocalypse chiite et de l’implantation durable et agressive des agents de la puissance iranienne sur les rives de la Méditerranée.

En Arabie, autant que l’on puisse déchiffrer les signes ésotériques qui émanent, comme des signaux de fumée de Peaux-rouges à travers la prairie, de l’opaque dynastie des Al-Saoud, un clash sévère a opposé ceux qui – tel l’ancien patron des services secrets Turki, qui vient d’abandonner, après 18 mois seulement, ses fonctions de « Ministre des Affaires Américaines » (ambassadeur à Washington) – voulaient flirter avec un Iran ascendant, et ceux qui – tel son prédécesseur et directeur du Conseil national de sécurité, Bandar, soutenu par le roi Abdallah – ont plus peur de Téhéran que de Washington, ou même d’Israël (ou qui plutôt voient pour l’heure plus de bénéfices à rameuter le voisinage contre l’Iran que contre Israël).

Riyad, soutenu par le pétro-potentat koweitien, a mis en œuvre un nouveau cours pétrolier destiné à étouffer économiquement un Iran totalement dépendant du revenu pétrolier. La chute libre du prix du baril, passé de plus de 75 dollars à 50 en l’espace de quelques mois, reflète un accroissement des pompages dans le Golfe arabe. Sur un marché saturé, le prix du brut a donc chuté d’un tiers. La perte de revenu est absorbable par les pétroliers du Golfe, mais pas par l’Iran populeux. Les Saoudiens affaiblissent par la même occasion leur autre grand ennemi : les investissements américains en formes alternatives d’énergie. Le budget prévisionnel koweitien de l’an prochain se fonde sur un prix de 26 dollars le baril ! A 50 dollars et moins, les caisses iraniennes se vident, et la marge de manœuvre du régime s’étrécit.

On rapporte ici et là, surtout depuis les récentes « élections » en Iran, que les « modérés » y auraient repris la main, que le Guide suprême Khamenei, appuyé par l’ex-président Hachémi Rafsandjani, voudrait reprendre les rênes, de peur que l’extrémisme illimité manifesté par Ahmadinejad ne finisse, à coup de provocations inutiles, par amener la formation d’une grande et agressive coalition contre l’Iran, prélude à un assaut contre son programme nucléaire.

Il est vrai que certains ayatollahs milliardaires tiennent à leurs privilèges, alors qu’Ahmadinejad-le-maigre ne tient qu’à ses ferveurs mystico-assassines. N’oublions pas, néanmoins, que les ayatollahs sont passés maîtres dans la science de la manipulation politique, celle qu’ils ont apprise des Soviétiques : remuer bien haut la marionnette « modérée » pour entortiller les gogos (qui se pressent en masse navrante du côté occidental : il n’est pire sourd…) et gagner du temps pour les pas-modérés-du tout qui utilisent les faux-modérés comme écran de fumée.

Depuis de nombreuses années, en Iran, l’accident d’hélicoptère est le moyen favori de la purge politique, surtout envers les dirigeants militaires ou des Pasdaran. C’est un progrès considérable par rapport à la pendaison, et cela évite les frais de torture. Donc, à l’annonce qu’Ahmadinejad a été victime d’un regrettable désastre aérien, nous saurons que Khamenei et les pseudo-modérés sont sérieux – mais pas avant. Avant cela, ils continueront de jouer sur les deux tableaux, et d’utiliser l’épouvantail mystico-assassin pour effrayer les gobe-mouches tout en secouant les plumes de la coiffe modérée pour appâter les mêmes.

Mais leur Iran est perclus de trous et de vulnérabilités : le pays à l’économie nationalisée et bureaucratisée est à demi en ruine. Pour financer le programme nucléaire, les investissements lourds, les achats de matériels sensibles, pour maintenir un niveau d’armement suffisant, acheter une partie de la population pauvre à coup de distributions populistes et de prébendes, et subventionner la révolution islamique, il faut des fonds considérables – Téhéran comptait sur le pétrole. Par ailleurs, l’Iran ne possède aucune capacité de raffiner le pétrole en essence, et dépend donc totalement des importations, ce qui a poussé Ahmadinejad à lancer un lourd programme de conversion au gaz naturel du parc automobile. Le programme était viable à un niveau élevé de revenu pétrolier, mais devient un terrible fardeau au prix actuel.

Autre vulnérabilité iranienne, les flux financiers. En la matière, les Américains ont lancé discrètement une campagne visant à affaiblir l’Iran en l’isolant financièrement : on fait savoir aux établissements financiers internationaux qui travaillent avec les banques iraniennes qu’ils seront mis sur liste noire par les autorités fédérales américaines s’ils continuent. La gêne et même la pénurie causée à Téhéran sont sérieuses, et prometteuses, même si l’Iran tend à utiliser l’euro plus que le dollar pour se prémunir. Washington essaie également de coopérer avec l’Union européenne. Mais décider à 27 est une affaire lente et difficile, d’autant que l’UE ne s’est pas dotée des instruments indispensables à l’identification et au ciblage des établissements financiers délictueux : Washington doit parler à 27 Etats plutôt qu’à une seule instance. Les Américains ont donc été forcés de travailler plutôt avec les banques européennes. Téhéran a besoin de crédit, et peut de moins en moins en obtenir.

Finalement, la vulnérabilité technologique concerne non seulement les techniques du nucléaire et de la missilerie, mais également l’extraction pétrolière et gazière. Il y a besoin en la demeure d’une vaste coopération internationale pour limiter au maximum les fuites technologiques en direction de l’Iran. Plus il sera difficile et coûteux pour l’Iran de se procurer ces technologies de pointe, plus difficile deviendra sa situation économique.

On ne manque donc pas de moyens de serrer la vis au régime des ayatollahs. Une certaine volonté se manifeste à Washington à cet égard, mais c’est bien peu et c’est bien tard : découvrir aujourd’hui que l’Iran est l’un des grands soutiens des insurrections irakiennes, c’est faire preuve d’une étrange cécité, ou de vision différée, puisque le soutien a commencé dès la chute de Saddam. Pourquoi avoir perdu trois ans ? Découvrir et dénoncer, de même, les interférences syriennes, après avoir passé trois ans à faire semblant de ne rien voir afin de ne pas avoir à intervenir, c’est faire preuve d’une extraordinaire pusillanimité. De même, il y a plus de deux ans, le magazine Time, se basant entre autres sur des rapports du renseignement militaire américain, dressait le portrait de la stratégie iranienne en Irak : les Gardes révolutionnaires iraniens (Pasdaran) y avaient créé un réseau de près de 300 tueurs opérant en Irak, divisés en 17 groupes de fabricants de bombes et d’escadrons de la mort, formés par le Hezbollah et les Pasdaran, abrités à Sadr City, le bastion de Muqtada al-Sadr, et dirigés par Abou Moustafa al-Sheibani (Time, 14 août 2005, « La guerre secrète de l’Iran pour conquérir l’Irak »). On en savait bien plus – qu’a t-on fait ? Ali al-Dabbagh, porte-parole du gouvernement irakien, vient de déclarer à la BBC que les terroristes basés en Syrie étaient responsable de la moitié des attentats commis à Bagdad ; rien de neuf à cela : pourquoi n’avoir pas fait payer Damas plus tôt ?

Bush a cru pouvoir faire la « guerre au terrorisme » en isolant les fronts, en choisissant une cible puis l’autre, sans comprendre un instant que le « front » de la guerre n’est pas territorial. On ne pouvait mener la guerre en Irak sans traiter d’une manière ou d’une autre les trois grands voisins de l’Irak qui soutiennent les insurrections chiites ou sunnites ou les deux : Iran, Syrie, Arabie saoudite. Mais encore aurait-il fallu que Bush ôte ses œillères et refuse d’écouter les propos lénifiants de ses conseillers chéris, Condi Rice, George Tenet à la CIA, et bien d’autres. Les ennemis sur l’action desquels on faisait l’impasse se sentaient d’autant plus encouragés, par cette insolite immunité, à s’attaquer aux forces américaines en Irak. L’Arabie saoudite continua de plus belle à y exporter ses jihadis et à les financer, pas trop afin de ne pas provoquer une riposte, assez pour affaiblir les Américains ; l’Iran fournissait les insurgés en armements, les formait à la guérilla façon Hezbollah, et appliquait sa stratégie « à la libanaise », tout en éliminant les dirigeants chiites qui lui déplaisaient et en promouvant ses propres pions ; la Syrie ouvrait toutes les portes aux jihadis désireux d’entrer en Irak. Les insurrections faisaient rage grâce à leurs sanctuaires, et les sanctuaires étaient protégés par l’auto-aveuglement diplomatique de l’administration Bush !

Ce dernier aura donc, depuis 2001, mené de front plusieurs politiques contradictoires. L’Amérique a été plongée, en dépit d’elle-même, dans un nouveau conflit mondial dont elle n’a pas fini d’apprendre les règles. L’administration Bush reflète l’état d’esprit composite de l’Amérique, engluée dans le « politiquement correct » d’avant le 11 septembre, « l’esprit du 10 septembre » comme l’ont nommé certains, et d’une Amérique qui veut contre-attaquer, sans savoir forcément comment procéder. Les règles du jeu « du 12 septembre » sont à inventer. Mais le président s’est entouré d’une coalition « du 10 » et « du 12 » sans opter fermement pour l’une ou l’autre date. La confusion règne à Washington. L’électorat – qui le lui reprochera – veut des directions claires. Il avait donné beaucoup de crédit à Bush, mais pas un chèque en blanc. Il a repris ses billes en novembre dernier, tant il est vrai que ce sont les Républicains qui ont perdu, et non les Démocrates qui ont gagné.

Les media, ivres de leur puissance depuis la fin de la guerre du Vietnam et le Watergate, forts d’une impunité absolue et d’une puissance de manipulation formidable, ont mené une guerre implacable contre Bush. Les élus de l’exécutif et du législatif sont soumis au suffrage universel ; les sociétés cotées en bourse à la censure de leurs actionnaires et aux décisions des acheteurs ; les media sont incontrôlés, et, idéologiquement, très à gauche : neuf journalistes sur dix se définissent eux-mêmes ainsi. Leur hypercritique malveillante étend un parapluie protecteur au-dessus de tous les ennemis des Etats-Unis. L’incapacité de l’administration à bien concevoir sa stratégie et à l’énoncer clairement a laissé le champ libre à l’aristocratie médiatique dont le fiel se répand quotidiennement. La confusion qui règne au sein de la population américaine tient en grande partie à ce double mouvement.

Bush est, nul ne l’ignore, un canard plutôt boiteux : il cessera formellement d’être président le 20 janvier 2009, mais cèdera son pouvoir de décision à son successeur élu dès le premier mercredi de novembre 2008. Privé de majorités favorables dans les deux chambres du Congrès, contesté dans son propre parti, Bush aura-t-il la marge de manœuvre, et, au fond, l’esprit de décision et la sagesse stratégique voulus pour faire face à l’Iran ?

Ahmadinejad et ses séides sont convaincus de la grande faiblesse du « tigre de papier » américain. Le marasme irakien, l’échec israélien au Liban, la situation politique aux Etats-Unis, le désarroi au sein de la coalition occidentale, le soutien inconditionnel de Chirac et de Poutine à toutes les turpitudes de l’Iran, ont parachevé le sentiment d’impunité qui isole encore plus le président iranien de la réalité : il se pense invincible. On peut prévoir une aggravation des attaques anti-américaines (et anti-israéliennes). En Afghanistan comme en Irak, l’Iran met la pression. C’est dans ce cadre qu’il commettra des erreurs stratégiques fatales, le genre d’erreur de calcul qui force la main des hésitants. Une provocation de plus, et Bush, qui n’est jamais aussi bon que quand il est piqué au vif, repassera à l’action au lieu de n’être que passif-agressif. La région le soutiendra – elle le lui demande. Le jeu est jouable, à condition d’être joué !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Soleil (Soleil) le mardi 06 février 2007 - 00h35:

Inequality and Discrimination in Hebron

In contrast to the false, anti-Jewish, and anti-Israeli propaganda,
here are the real facts:

* Hebron , a Jewish City

From the standpoint of some of the Israeli and international
public, Hebron is an ÒArab city.Ó This view is occasioned by
HebronÕs location over the ÒGreen Line,Ó its current demographic
situation (tens of thousands of Arabs alongside only around
1,000 Jews in the inner city, plus 7,000 or so in adjacent Kiryat
Arba), and incessant propaganda by the Left. History, however,
did not begin in 1967. No cultured person who has studied Bible
and ancient and modern history can deny the facts: Hebron is
the first Jewish city in history. It is the place where the Jewish
national patriarchs lived and were buried. Their burial plotÑ
Ma'arat HaMachpela, the Tomb of the PatriarchsÑwas the first
Jewish property purchased in the Land of Israel, and one of the
Jewish peopleÕs most impressive monuments was built atop it.
Hebron is an object of yearning for Jews throughout the
Diaspora and is numbered among the four holy cities (along with
Jerusalem , Tiberias, and Safed). The Jewish community in
Hebron existed for thousands of years until it was brutally
displaced in 1929Ñafter Arab marauders murdered, raped, and
burned to death scores of Jews and dispossessed the community
of properties that included hundreds of acres of real estate.

If the Jewish people has undeniable rights anywhere on earth, it
is in Hebron . The Jewish community of Hebron today resides on
a relatively small fraction of the Jewish property that had been
plundered in the 1929 pogrom. This community constitutes the
basis and the beginning of the return of Jews to the worldÕs
oldest Jewish city.

* Jews are allowed to enter only 3 percent of the municipal
area.

The city limits of Hebron encompass eighteen square kilometers.
Of this area, fifteen square kilometers are defined as H1, the
area that was surrendered to the Palestinian Authority; this area
is off-limits to Jews. Nearly all of the remaining area, H2, is open
to unrestricted Arab traffic and presence. The presence of Jews
is also forbidden in most of this area. In fact, Jews are allowed in
only six tenths of a square kilometer, 3 percent of the municipal
area!

Thousands of Arabs continue to live in the Israeli zone. The
Palestinian Authority deliberately operates and is establishing
institutions in this area for the express (written!) purpose of
ÒstranglingÓ the Jewish community by attracting masses of
Arabs. Across from Beit Hadassah, for example, Cordoba School
continues to operate even though most of its students come
there from other parts of town. Next to Tel Rumeida and the
Jewish cemetery, another school is under construction todayÑ
not to meet any urban need but rather solely to crowd out the
Jews in this area.

Due to long-term geo-economic processes (that have nothing to
do with the Jewish community), the townÕs central business
district has moved to the western side of town. The area where
the Jews live has not been the central business district of Hebron
for quite some time. On the west side, opulent multistory
commercial and office buildings are being put up. Nevertheless,
the Palestinian Authority has instructed merchants who have
shops near the Jewish community to keep them going even
though there is no economic justification for doing so. In
contrast, Jews are not allowed to engage in any activity
whatsoever in the areas that are off-limits to them, including
access to properties that they own. For example, Jews are barred
from Parcel 37 (adjacent to the cemetery), the street that runs
past Beit Hadassah, the bottom floor of Beit Hadassah, and
Jewish-owned houses deep in the ÒPalestinianÓ zone. A Jew who
dares to enter these areas risks his or her life, not to mention
arrest and prosecution for Òviolation of orders.Ó

* Jewish traffic is confined to a minuscule area and to one
street.

The Oslo War (beginning in September 2000) brought on a string
of terror attacks and murders against the Jewish community of
Hebron that claimed dozens of casualties, including some at
short range within the communityÕs cramped area. In response,
the defense system was forced to restrict and inspect Arab
traffic in the Israeli part of the city. The area where the Jews
dwellÑonly 3 percent of the townÕs territory, as statedÑis not
totally off-limits to Arab movement; instead, vehicular traffic is
restricted and pedestrians are checked (per the conventional
Israeli practice at entrances to public places). Thousands of
Arabs continue to live and circulate in the Israeli zone; the area
totally forbidden to Arab movement adds up to only a few
hundred meters. Importantly, over the years the defense system
has attempted to ease the movement restrictions. These
attempts, however, have repeatedly failed, as each leniency was
exploited for provocations and attacks that claimed a toll in
blood.

Concurrently, the movement of Jews in 97 percent of the town
area, the part that was handed over to the Palestinian Authority
under the 1997 ÒHebron Accord,Ó is totally forbidden even
though the accord stipulates total freedom of movement. The
prohibition was imposed after "Palestinian police" and terrorists
threatened to murder any Jews who entered. The sweeping
injunction includes revocation of the right to visit and worship at
shrines such as Elonei Mamre and the Tomb of Otniel b. Kenaz,
even though the Hebron Accord entitles Jews to free access and
worship at these locations. Even within the Israeli zone (H2),
Jews are denied access to various holy places such as the Tomb
of Avner b. Ner and the kabbalistic yeshiva in the casbah.

The most significant difference between the movement
restrictions imposed on Arabs in Hebron and those imposed on
Jews is neither the size of the restricted area nor the motives for
the restriction. The Israel High Court of Justice recently ruled
that movement restrictions should be applied against the side
that threatens violence and lawbreaking and not against the
threatened side. ÒAs a rule, the military commander should
discharge his duty to defend the safety of the inhabitants ... in
some other way and not by closing off the areasÓ (Justice
Beinish). ÒThe military commander should refrain from declaring
areas off-limits É for the purpose of protecting the inhabitants
themselvesÓ (Justice Rivlin). ÒThe upholding of public order and
the inhabitantsÕ safety É should be accomplished by taking
appropriate measures against the factors that perpetrate riots
and not by imposing further restrictions on the casualties of the
violenceÓ (Justice Joubran; all quotations are from Ruling
9593/04). The restrictions on Arab movement correspond to the
rule established by the High Court of Justice because they are
meant to prevent attacks, acts of violence, and lawbreaking by
those whose movements have been restricted. In contrast, the
restrictions imposed on JewsÕ movement clash with this basic
rule: they were imposed on the casualties of the violence.

* The Jews are almost totally deprived of their property rights.

The Arabs of Hebron enjoy the natural and basic right of
possession and ownership of real estateÑa right that is almost
totally denied to the Jewish population.

The houses, shops, and lands that the Jews of Hebron left
behind when they were banished from the city after the 1929
program were expropriated after the Jordanian occupation in
1948 by the Jordanian Administrator of Enemy Properties, even
though these Jews had never been anyoneÕs enemy and had
been murdered and expelled for no reason whatsoever and in no
context of belligerency. These properties have never been
returned. The Government of Israel decided to let the injustice
stand and to transfer the plundered properties from the
Jordanian administrator to the Israeli one. In practice, this
decision means the continued leasing of these properties to
Arabs, who often treat them with contempt. To this day, for
example, a building next to the Avraham Avinu quarter had once
housed a kabbalistic yeshiva is being used as a cattle barn, until
recently a flea market operated on the ruins of the Chabad
synagogue, and so on. Even when the original owners of these
properties submit official applications for possession or for the
right to allow Jews to settle in them, they are answered in the
negative. For example, the Government rescinded its decision to
lease to Jews the dwelling units in the Hebron Òmarketplace,Ó in
disregard and repudiation of the request of the owners of the
property.

Furthermore, Jews are being denied the natural right to purchase
houses and enjoy the right of ownership that all human beings
share. The withholding of this right from Jews only is a blatant
act of racist discrimination. Jordanian and "Palestinian law"
establishes the death penalty for any Arab who sells his home to
a Jew, and this stricture has in fact been carried out. The State of
Israel takes no action whatsoever against these racial laws.

To deny the Jews their right to possess real property, the Israel
Civil Administration staff has been instructed to adopt a strict
enforcement policy toward Jews and a lenient one toward Arabs.
The planning and building laws are totally unenforced when it
comes to Arabs, resulting in Arab illegal construction on a
massive scale. Sometimes laws are even invented for the sole
purpose of thwarting the purchase of property by Jews. An
internal document written by a senior official at the military
prosecutorÕs office, revealed in the press, states that in any legal
dispute between Jews and Arabs over property, the Army, the
Civil Administration, and the police are to side with the Arab
party even when the latterÕs claim is groundless. This means that
Jews will find it virtually impossible to register title to land. The
directive is tantamount to racist discrimination against Jews, in
contravention of the international law stating that no population
group shall be given summary preference over another.

* While the Arabs build massively in Hebron, the right to build
is almost totally denied to Jews.

Everyone in the world has the right to engage in construction
and development in accordance with accepted local rules and
regulations, irrespective of religion and race. The Palestinian
Authority exploits this entitlement cynically by initiating wide-
scale construction and development. On the western, Arab, side
of Hebron, multistory buildings, malls, and high-tech buildings
are going up on an immense scale, with funding from foreign
governments and international organizations. On the ÒIsraeliÓ
side, tooÑthe H1 areaÑa building, development, and housing
project is moving ahead under the sponsorship of the
"Palestinian government" (today, the Hamas government). The
Palestinian Authority has declared Hebron a Class A
Development Area: it has established a lavishly budgeted special
office for the declared purpose of Òstrangling the Jewish
communityÓ by surrounding it with dense Arab building. Arabs
who move into the Jewish area are exempted from taxes and
municipal duties and receive free water, free electricity, and a
monthly stipend of NIS 1000 in return for their participation in a
project that is being carried out to Òstrangle the Jewish
community.Ó Other Arabs, who lawfully possess buildings near
the Jewish community but are not interested in living in them,
are forced to transfer their properties to the Palestinian
Authority.

In contrast, the Jews of Hebron are virtually deprived of the right
to build, even on property that is unquestionably Jewish-owned,
including the core of the minuscule Jewish community area, and
even when the plans comply with all regulations and
professional requirements. In the past twenty years, building
permits have been issued for only three buildings. Offspring of
the Jewish community who marry and wish to live in their
community cannot do soÑdue to the racist Jews-only building
restrictions. The Government of Israel, unlike the "Palestinian
municipality," withholds building permits from Jews and busies
itself with evicting Jews from lawfully purchased homes.

* Law enforcementÑzealous against Jews, lax against Arabs

There are two de facto levels of law enforcement in HebronÑone
for the Jewish population, another for the Arab population.

For the Jewish population, enforcement is applied zealously,
anchored in tough procedures under guidelines from the State
AttorneyÕs Office. These procedures, which were secret until
revealed in a 1997 investigation by a committee of the Hebron
Jewish community, stirred fierce public criticism due to the odor
of crude discrimination that they exuded. The Òspecial
proceduresÓ were ostensibly amended in 1998, but the main
sections that instructed police to apply excessive enforcement
against Jews remained on the books and obligatory. The
procedures require the police to invest unprecedented resources
in personnel, funds, and motor vehicles. High-ranking officials
at the State AttorneyÕs Office watch closely for any violation of
the lawÑeven the most trivialÑon the part of Jews. The direct
results of this over-enforcement are the wholesale opening of
investigation files for trifling offenses and inconsequential acts,
and the submission of indictments and holding of trials that
often end with acquittals or closure of files on technical
grounds. The direct result is a grievous ongoing blow to the
personal freedoms of the Jewish inhabitants of Hebron, coupled
with cumulative damage in the form of files that besmirch the
inhabitants with criminal recordsÑfiles that would not have been
opened anywhere else in Israel.

For the Arab population, in contrast, the law is chronically
under-enforced and applied for show. Usually, lawbreaking by
Arabs is dealt with only if it reaches the level of terrorism. Thus,
dozens of daily attacks by Arabs against the Jewish inhabitants
of HebronÑphysical attacks, stone-throwing, sexual
harassment, property damage, etcÑare ignored. This is the
outcome of written procedures from the military prosecutorÕs
office, exacerbated by a shortage of police personnel because
nearly all such personnel are pledged to enforcing the law
against the Jewish inhabitants. The direct result of this under-
enforcement is the denial of the Jewish inhabitantsÕ right to
police protection against waylaying, harassment, and
miscellaneous attacks.

* Activities of leftist organizations

Various international and anti-national organizations have
targeted Hebron for hostile activities.

Most of these organizations are funded by anti-Israel
foundations, enemy states, and European governments. They
disseminate falsehoods and conduct propagandistic field trips,
media shows, tendentious visits with VIPs, and sundry
provocations in order to substantiate what they call
Òdiscrimination against the Arabs.Ó

For example, the International Solidarity Movement (ISM), a
blatantly pro-Palestinian-Arab organization, floods Hebron with
ÒanarchistsÓ from all over the world to harass the security forces
that are charged with protecting the Jews in the tiny Israeli zone.
Organizations such as Ecumenical Escorters and the Christian
Peacekeeping Team, among others, engage in constant
provocations and incitement. Groups of antisemitic Christians
encourage terrorism and endanger the lives of soldiers and
civilians alike. Israeli leftist organizations such as BÕtselem,
Machsom Watch, Sons of Avraham, and Breaking the Silence love
to tour the city with groups of Israelis, non-Israelis, and
diplomats, inciting against the Jews of Hebron by giving false,
warped presentations.

Especially grave is the fact that these organizations act in full
cooperation with the observers of the Temporary International
Presence in Hebron (TIPH), even though TIPH is supposed to be
objective and to refrain from provocations. Furthermore, these
organizations act with the cooperation of Palestinian disrupters
of order and marauders to undermine the operations of the
Israel Defence Forces.

The Association for Civil Rights in Israel (ACRI) recently joined
the activities of the Left in Hebron, acting continually by legal
means to breach and trample the Jewish citizensÕ rights to life
and safety.

In fact, the activities at issue, cynically huddling under the
umbrella of Òhuman rights,Ó are racist actions that aim to bring
about the ethnic cleansing of Hebron and restore the situation
there to that following the 1929 programÑa Hebron that is
Judenrein.

* Jewish worshippers are confined to only one-fourth of the
Tomb of the Patriarchs area.

The Tomb of the Patriarchs is the oldest Jewish-owned property
in the Land of Israel and the burial place of the nationÕs
patriarchs. The building atop the burial cave was constructed by
the Jewish people during the Second Temple era, about two
thousand years ago. For generations, it has been a magnet for
Jews from all over the world. After the Muslim Mameluks
occupied the Land of Israel, they forbade Jews and Christians to
enter the building and required Jews to stand outside, next to
the seventh step. This injunction lasted for 700 years, until the
State of Israel struck it down.

However, Jews face grave discrimination at the Tomb of the
Patriarchs todayÑin the apportionment of floor space inside the
shrine, forced separation, and the ability to develop and enhance
the site.

Apportionment of floor space:

At first glance, the tomb appears to be divided between the
worshipers of the two faiths. In fact, however, the area available
to Jews is only one-fourth of that handed to the Muslims, and
most of this area is an open courtyard exposed to cold, rain, and
other ravages of weather.

Forced separation:

The ironclad rule of ÒseparatingÓ the adherents of the two faiths,
established by the Shamgar Commission, is implemented only
against Jews for all intents and purposes. Representatives of the
Muslim Waqf and the muezzin are allowed to enter the Jewish
area; the muezzin continues to cross the Jewish area and play
raucous cries over the loudspeaker during the JewsÕ worship
services. In contrast, Jews are unconditionally enjoined against
entering the areas reserved for Muslim worship.

Permission to develop and enhance the site:

Jews are deprived of the basic right to enhance and improve
their shrine because the Muslim Waqf is allowed to veto the
JewsÕ enhancement and development plans. The Arabs, in
contrast, are not limited in any way; lavish budgets are reserved
for the halls allocated to them and are used relentlessly.
Obviously, these plans are not presented for the approval of, or
even for consultation with, the Jewish authorities in charge of
the tomb. Consequently, the Isaac Hall, the main and largest hall
in the building, is being enhanced with the help of mammoth
investments in paint, decorations, and Muslim ritual objects, in
total insensitivity to the Jewish nature of the place.

The Jewish community of Hebron demands:

Stop the discrimination!

* Assure the right of free and safe movement for Jews in all
parts of Hebron.

* Assure the right of Jews to possess, purchase, and dwell in
properties throughout Hebron.

* Stop the hostile and racist propaganda against the Jews of
Hebron.

* Banish inciteful, antisemitic, racist, and anti-Israeli players
from Hebron.

* End the discrimination in law enforcement and religious and
civil rights.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Cacouboulou (Cacouboulou) le lundi 05 février 2007 - 23h43:

Dhimmitude :

En 1856, le cocher juif du « caïd » Samama, Bathou Sfez, accusé d’avoir blasphémé la religion musulmane, est décapité. L’émotion est grande et, sous la pression des consuls de France et d’Angleterre, le bey Mohammed finit par édicter une charte, le «Pacte fondamental», qui fait des Juifs tunisiens des citoyens à part entière et abolit dans les faits la pratique de la « dhimma ».

Avec l’établissement du protectorat français sur la Régence en 1881, c’est une ère nouvelle qui s’ouvre pour le judaïsme tunisien qui accueille avec chaleur et reconnaissance les principes démocratiques introduits par la France. Le judaïsme connaît un essor remarquable et le sionisme se développe sans crainte.

La communauté organisée se constitue en 1921 avec la création d’un Conseil qui décide la construction d’une synagogue monumentale à Tunis, en centre ville.

La Grande Synagogue de l’avenue de Paris voit le jour en 1931.

Le fait divers cité plus haut, ne ressort pas de la dhimmitude, mais d'un acte parfaitement barbare, il n'en restera que le crime commis par un souverain parfaitement inhumain et pervers, et que les pressions insistantes de la France et de l'Angleterre mirent une fin définitive en Tunisie, à ce qui est appelé Dhimmitude.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Toufiq (Toufiq) le lundi 05 février 2007 - 23h13:

biber motus et bouche cousue , je dirai meme plus,
botus et mouche cousue, rien ne sera devoile, meme pas les roues de bicyclette.
le hindi pouse ici en etat sauvage, j'en ai recolte l'an dernier au dessus de pasadena .
les feuilles de cactus sont tres prisees des mexicains .pas pour s'assoir.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le lundi 05 février 2007 - 22h44:

Spectacle de Rue.
Avant.

Paris le 5/02/2007.


Le marchand de HINDI. (Ou de Guergueb)
Figues de Barbarie.


‘…Je vous parle d’un temps…Que nos jeunes n’ont pas connu.

Je m’en souviens encore.
De sa charrette ( qorita) à bras pour les mieux lotis ou de la brouette ( bariuta) pour les vendeurs d’occasion.
Des vendeurs ambulants au même faciès, presque toujours les même qui changeaient de métier au grès des saisons.

Automne/hiver hiver, ces charretiers patentes proposaient pommes, poires, mandarines, oranges, dattes le plus souvent.
Cependant un coin de leur fond de commerce était réservé aux légumes en tout genre mais en petites quantités, faute de place.

A l’approche du printemps, la belle saison, les fruits rouges s’amoncelaient. Prunes rouges et jaunes, ( a’ouine) cerises, fraises, ainsi que nèfles ( Boussa yatic boussa ye Cacouboulou) , amandes (louz yeram fi…..Ye Cacouboulou ) , abricots ( meches-mèches), mûres (Toutes), citrons doux ( lim ahlou).

Je cite les plus connus bien sur. Point de fruits exotiques par contre.

Bizarre, il n’y avait pas de bananes non plus. Elles sont arrivées sur le marché, beaucoup plus tard.

En été pastèques et melons occupaient les places vacantes.

Le vendeur de Hindi sillonnaient nos ruelles avec son bien connu ‘…HARRA BDOUROU’
Les quatre à 5 millimes.
La bouffe des ânes n’était pas chère. A cette époque.

Dés qu’il se pointait au coin de la rue Maman me chargeait d’en acheter une bonne douzaine épluchée surtout à cause des petites épines sournoises et invisibles qui venaient se coller bien souvent entre les doigts.

Je le voyais choisir sa marchandise, une à une en prenant bien soin de me fourguer ce qu’il lui plaisait, c'est-à-dire les plus menues.

Au rythme des années, j’imposais mon choix. Enfin.

Il coupait ma friandise avec son canif bien aiguisé, en commençant en premier lieu, par entailler finement le centre de la peau, sans toucher à la matière. Ensuite, les deux extrémités. Sans que l’une des eux parties en soient décollées. Il y méttait beaucoup de professionnalisme dans sa découpe.

Une fois débarrassé de sa pelure en un seul morceau, les deux extrémités étant pendantes, il soulevait avec habilité et délicatement le fruit pour en décoller le fruit qu’il posait dans mon assiette.

La carcasse flétrie et ridée allait rejoindre un coin de sa charrette.

J’avais une prédilection pour les figues couleur sanguine.

Une fois la commande terminée, il comptait les pelures et m’annonçait le prix.

Mises au frigo, nous attendions l’après sieste pour nous en régaler.
Un petit hic cependant. Il ne fallait pas trop en abuser sinon la constipation faisait son œuvre.


BREITOU


Breitou à l’époque de sa jeunesse.
Photo prise devant la plage de Kherredine. Il y a 62 ans. Bientôt.
Tawfiq attention de dévoiler quoique se soit. Merci.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Richard_S (Richard_S) le lundi 05 février 2007 - 21h33:

La dhimmitude et le depart des Juifs de Tunisie

Oui, je pretends que la peur de la dhimmitude nous a ete transmise genetiquement. A ceux qui doutent, croyez vous vraiment que l'oppression de la dhimmitude durant des siecles (statut de citoyen de seconde zone sans aucune securite) n'ait pas laisse de blessures profondes qui se soient transmises de generation en generation ?

Oui, je pretends aussi que la peur ancestrale des Juifs en Tunisie etait reelle et a ete transmise aussi de facon directe. Ma grand-mere, dont le frere avait ete assassine par un Arabe, nous a toujours dit qu'il fallait de mefier des Arabes, surtout une fois qu'ils auraient eu l'independance.

Il est vrai que les generations qui sont nees a l'abri de la colonisation Francaise n'ont pas ete soumises a ce genre de brimades et de ce fait, ne comprenaient pas souvent l'angoisse des anciens.

Ceci dit, pour repondre a ceux qui questionnent les raisons du depart des Juifs de Tunisie, je veux essayer de retracer le climat de l'epoque qui nous a tous fait fuir :
1 - Les mouvements pour l'independance ont eu lieu juste quelques annees apres la shoah.
2 - Les nationalistes Arabes vociferaient en permanence des menaces contre les Juifs (ce site et d'autres sont pleins de discours de l'epoque)
3 - Pogrom meurtrier contre les Juifs de Baghdad
4 - Expulsion des Juifs Egyptiens avec perte de tous leurs biens
5 - Lois economiques contre les commercants Juifs
6 - Surenchere d'attaques verbales contre Israel et contre les Juifs qui supportent Israel
7 - Elimination des instances de la Communaute representative des Juifs de Tunisie
8 - Confiscation du cimetierre Juif de Tunis et eventration des tombes

Qnand on ajoute la transmission de la peur d'un retour a la dhimmitude a ces conditions sur le terrain (j'ai surement oublie beaucoup d'autres), il ne fait aucun doute que les Juifs Tunisiens ont bien fait de partir.
Surtout en voyant ce que l'Islam radical a fait et se prepare a faire.

Richard

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Pauline (Pauline) le lundi 05 février 2007 - 19h11:

Visite d'un synagogue : surprises au non-initié

Jean-Christophe Laurence

La Presse


On mange, on boit, on rencontre les copains. Mais surtout, on prie. La synagogue, pour les juifs, c'est un lieu multifonctionnel bien différent de ce à quoi les chrétiens sont habitués. Visite du temple de la rue Durocher.

«Tu veux assister aux prières? Ça va te prendre une kippa.»

M. Fisher, le libraire de la rue Saint-Viateur, me trouve un peu bizarre. Mais il a l'air flatté par mon intérêt. Il va dans un coin de sa boutique et me sort une petite calotte de velours noir. «C'est cinq dollars. Sans ça, tu n'entres pas. Il faut couvrir sa tête à la synagogue.»


Des synagogues, il y en a des dizaines et des dizaines à Montréal. Mais pour le plaisir, j'ai choisi la plus «célèbre» : la synagogue de la communauté Satmar, rue Durocher, située juste en arrière du YMCA de l'avenue du Parc.

Il est 9 h, un vendredi matin. On est loin de l'effervescence du samedi, jour de sabbat. Mais il y a quand même beaucoup d'allées et venues devant la grosse bâtisse beige. Je suis sur le trottoir avec ma kippa sur la tête, je me sens vaguement idiot et je me demande dans quoi je me suis embarqué.

M. Werzberger, de la COHO (Coalition d'organisations hassidiques d'Outremont), apparaît tout à coup. Enfin un visage connu.

Dites-moi, M. Werzberger. Si j'entre, est-ce qu'on me jettera dehors?

(En faisant la moue) Allons. Nous sommes des gens civilisés...

Profitant d'une accalmie au portillon, je pénètre dans le lieu du culte. Première réflexion : le vestiaire à l'entrée. Il y a une centaine de manteaux noirs identiques. Comment font-ils pour s'y retrouver? Apparemment, les échanges involontaires sont fréquents. D'où l'importance de bien identifier sa pelure, me dira plus tard M. Werzberger.

Ces considérations mises de côté, je pousse l'exploration. À ma gauche, des escaliers menant au sous-sol et au deuxième. À ma droite, deux petites salles de prières. La grande salle est juste devant moi, au bout du couloir, les portes grandes ouvertes. J'enfonce bien ma kippa et j'entre.


Dieu arrangera ça

Ce qui frappe, c'est la sobriété des lieux. Pas de décor ostentatoire. Pas de dorures. Rien que des gros néons laids au plafond. Les bancs pour la prière sont à droite. Pour l'instant, ils sont vides. Le prochain office aura lieu dans une trentaine de minutes. L'heure de pointe matinale est passée et le gros de la communauté est allé faire sa vie. Mais il y a encore de l'activité. On sort, on rentre, on se serre la main.

Du côté gauche, le long des fenêtres (givrées) il y a des longues tables tout usage avec des chaises. C'est là que je m'assieds, tout petit, essayant de passer inaperçu. Aucun regard vers moi, mais je sais qu'ils m'ont tous vu. La kippa est trop petite pour me cacher tout entier.

À la table d'à côté, une demi-douzaine d'hommes mangent des pâtisseries en buvant du whisky. Un shooter, deux shooters, trois shooters Si j'ai bien compris, on célèbre une naissance. Ou une bar-mitsvah. Ou un mariage à venir. Dans tous les cas, je commence à trouver cette religion fort sympathique.

Un des types se lève et vient se poster devant moi. Il m'adresse la parole en français.

Vous voulez des pâtisseries? Qu'est-ce qui vous amène ici?

Après avoir tenté un petit mensonge, je lui avoue la vérité. Ben oui. Un autre journaliste. L'homme a un geste de recul, mais se rapproche pour engager la conversation. Il s'appelle Éric. C'est un juif séfarade, d'origine marocaine. D'où son français parfait. Étrange de le voir dans une synagogue Satmar, d'allégeance ashkénaze (est-européenne). En général, les deux groupes ne se mélangent pas.

Je vis à Côte-Saint-Luc, mais je viens souvent ici pour prier.

Pourquoi faire tout ce chemin?

Parce qu'ici, ils prient mieux.

Vous voulez dire avec du coeur?

Non, avec les tripes.

Jusqu'à l'an dernier, Éric enseignait dans une école juive. Mais cette année, il est sans emploi. Ce qui lui laisse plus de temps pour fréquenter la synagogue d'Outremont. Les temps sont durs, reconnaît-il. Mais il a la foi.

Dieu se chargera d'arranger ça.

Après m'avoir demandé ma carte, il me salue cordialement et quitte la synagogue. Un homme plus jeune s'avance vers moi en me tendant la main. " Take it easy " me dit-il, avant d'aller se préparer pour la prière.


Indispensable lanière

La salle se remplit. Le prochain office est imminent. (Il faut au moins 10 personnes pour que les prières de groupe aient lieu. Sinon, on prie seul dans son coin.) Des hommes enroulent le tefilin le long de leur bras gauche. Cette lanière de cuir, sur laquelle sont écrits des passages de la Torah, est indispensable à la pratique du culte. Un adolescent, encore malhabile, a serré la sienne avec tellement de passion que son sang ne circule plus. Il a la main bleue, mais ne semble pas s'en apercevoir.

Mis en confiance par mes deux conversations précédentes, je lui fais signe qu'il s'est garrotté un peu serré. Il m'ignore royalement avant de plonger dans son livre. Plus loin, un homme se fouette symboliquement avec les cordons de son talit, (le châle de prière de couleur blanche) avant de le rabattre sur sa tête et ses épaules.

Le leader de la séance (jamais la même personne) s'installe devant un grand livre de prières et se met à psalmodier. De ma place au fond, je vois une vingtaine de formes qui chantent en hébreu, se balançant de l'avant à l'arrière. Des supplications s'élèvent vers les néons.

Il est 10 h, la prière a commencé.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Cacouboulou (Cacouboulou) le lundi 05 février 2007 - 13h31:

Voici le coupable :

Abdul Qadeer Khan a exporté deux choses différentes : d’une part, du savoir-faire (y compris pour ce qui concerne la militarisation des charges), et, d’autre part, de la technologie (notamment celle de l’enrichissement de l’uranium par centrifugation). Ses clients ont été l’Iran, la Corée du Nord, la Libye, et sans doute au moins un autre. Le réseau de Khan comportait trois relais principaux : les Émirats arabes unis, la Malaisie et l’Afrique du Sud.

A. Q. Khan n’a pas ouvert un « supermarché » de la technologie nucléaire, comme le dit Mohammed El-Baradei, mais une " maison d’import-export en matière de savoir faire ", pour ce qui est de l'enrichissement en U235, par la filière des Micro-Centrifugeuses, méthode plus rapide que la filière Plutonium, mais qui ne mène pas la fabrication d'une arme de champ de bataille, car pour des raisons de sécurité et d'efficacité, aucune nation nucléarisée, n'utiliserait une arme à U235, trop dangereuse pour celui qui la lance.

Par contre si ce type d'arme n'est pas valable dans le cadre d'une force de frappe, il peut être utilisé dans le cadre d'un jihad nucléaire, aux mains de terroristes, qui le ferait exploser à bord d'un navire de commerce, dans un port de l'occident,,, et c'est là que réside le vrai danger !

En effet, l'attaquant étant alors anonyme, personne ne serait en mesure de prouver vers qui, la représaille devrait être dirigée.

Mais de cela l'occident en est largement informé, et les navires de commerce sont bien tenus à l'oeil.

A. Q. Khan, est à présent mais un peu tard, assigné à résidence au Pakistan, mais le mal est fait.

Quand au Mahmoud de l'Iran, c'est un pervers mais pas au point de se suicider, en tirant le premier, d'autant plus qu'il n'est pas prés, de mettre au point une vrai bombe militarisée.

Cela l'occident le sait aussi, et ce jour là, la frappe préventive sera organisée en fonction.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hajkloufette (Hajkloufette) le lundi 05 février 2007 - 12h56:

Any maamina be emouna chlema :)

Scuds Irakiens ... Katiouchot sur le Nord du pays ... Kassamim dans le sud ... Bombe Iranienne ... Qu Hachem protege Israel ... Tout le reste n est que de l adra ;)