Archive jusqu'au 13/janvier/2005

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2005: Commentaires de Janvier 2005: Archive jusqu'au 13/janvier/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Francois (Francois) le jeudi 13 janvier 2005 - 08h06:

Les Renseignements militaires : Arafat, Abou Mazen, même combat

Le commandant des Renseignements militaires, Aaron Zeevi Farkash, ne semble pas influencé par l’optimisme ambiant concernant le nouveau Président de l’Autorité palestinienne, Abou Mazen.
Selon lui, «il ne combattra pas le terrorisme et ne recueillera pas les armes appartenant aux factions armées», comme Israël et les Etats-Unis l’exigent.
«Sa stratégie est copiée sur celle de Yasser Arafat : 100% des territoires, Jérusalem comme capitale de l’Etat palestinien, et une solution pour les réfugiés». Farkash souligne que même la terminologie est la même.

Cependant, pour les Renseignements militaires, Abou Mazen semble à vue d’œil moins ‘’dangereux’’ que son prédécesseur : il semble qu’il tentera de convaincre son peuple de renoncer au terrorisme pour obtenir ses revendications. La table des négociations portera bien plus de fruits…

Se prononçant ensuite sur les conséquences du plan de retrait unilatéral, le général Farkash a estimé que dès le départ de Tsahal de la bande de Gaza, le terrorisme se concentrerait sur la Samarie.
Il a par ailleurs mis en garde face à une hausse de la motivation terroriste, suite au plan de retrait, les factions armées comparant le repli de Tsahal de la bande de Gaza à celui réalisé au Sud-Liban : pour elles, ce sont les attentats qui ont poussé Israël à quitter le Sud-Liban, c’est donc par le biais d’autres attentats qu’Israël quittera toute la Judée Samarie.

Enfin, le chef des Renseignements militaires a accusé l’Iran d’être le principal soutien des organisations terroristes. Le danger iranien réside également dans la quasi-certitude que, d’ici six mois, le pays chiite pourra enrichir de l’uranium et obtenir une bombe nucléaire jusqu’en 2008.
«Sauf si l’Occident arrive à l’arrêter…» conclut Farkash. LD

Source: http://www.a7fr.com/news.php?id=50074

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le jeudi 13 janvier 2005 - 08h09:

Rien ne va plus à la Ligue Arabe : bizarre autant qu'étrange.

Quand les relations israélo-palestiniennes, et plus généralement égypto-israéliennes se réchauffent, la Ligue Arabe, pilotée par l'Egypte, et qui n'a pas d'autre vocation que la destruction de l'Etat d'Israël, se débobine.

A vrai dire, c'est une bonne nouvelle ! La vraie bonne nouvelle suivant l'élection de Mahmoud Abbas.

C'est une nouvelle fois la preuve que les Etats qui participent à la Ligue Arabe, une fois extirpée la haine fédératrice et viscérale qu'ils ont d'Israël, n'ont pas grand chose en commun, si ce n'est l'usage de la langue arabe, d'ailleurs fort différente du Machrek au Maghreb, et de l'Arabie à l'Egypte.
Un jeune arabisant marocain m'a appris que l'Arabe parlé dans ces contrées est à l'Arabe classique (utilisé dans le Coran) , ce que les langues romanes sont au Latin en Europe : autant dire qu'un Tunisien est aussi incapable de comprendre un Syrien, qu'un Français un Roumain, ou un Saoudien parlant à un Egyptien ne se fait mieux comprendre qu'un Catalan parlant à un italien.

Voilà pourquoi tout ce petit monde se parle en "penguish" pour se faire comprendre.
Salauds de Yankees, dont la langue s'impose comme une évidente nécessité de la globalisation, comme un tsunami culturel !
A bas l'impérialisme américain !
Vive l'exception culturelle française !
Vive les combats d'arrière-garde en dentelles !
Quel panache, ces français ! Ah la "furia francese", surtout au lit !
Les chefs de la diplomatie arabes évitent une crise avant leur réunion de jeudi
[ mercredi 12 janvier 2005, 17h36 - AFP ]
Les ministres arabes des Affaires étrangères tiendront jeudi au Caire une réunion extraordinaire, après avoir évité une crise sur la réforme du secrétariat général de la Ligue arabe.

Cependant cette réunion se tiendra en l'absence de cinq ministres parmi les plus importants de l'organisation panarabe, dont celui de l'Arabie saoudite Saoud al-Fayçal.

Selon des sources arabes, le chef de la diplomatie saoudienne veut ainsi éviter de croiser son homologue libyen Abdel Rahman Chalgham.

Le torchon brûle depuis plusieurs semaines entre les deux pays après la décision de Ryad de retirer son ambassadeur de Tripoli, accusant la Libye d'être impliquée dans un complot d'assassinat contre le prince héritier saoudien Abdallah Ben Abdel Aziz.

Tripoli a récusé les accusations saoudiennes. L'Egypte est intervenue au plus haut niveau par l'intermédiaire du président Hosni Moubarak et son chef des services de renseignement Omar Souleimane pour contenir la crise.

Outre Saoud al-Fayçal, les ministres des Affaires étrangères de Syrie, du Koweït, des Emirats arabes unis et du Liban ont informé la Ligue qu'ils ne prendraient pas part personnellement à la réunion.

Les raisons de leur absence n'ont pas été précisées. Leurs pays seront représentés par les délégués permanents auprès de la Ligue, a-t-on précisé de même source.

L'Algérie a finalement retiré son projet controversé d'un secrétariat général tournant de la Ligue arabe, dans le cadre des réformes de cette institution qui doivent être discutées en mars au prochain sommet arabe d'Alger.

"Le dossier du secrétariat général tournant est clos et il ne sera pas rouvert", a indiqué le secrétaire général de la Ligue Amr Moussa après un entretien avec le ministre algérien des Affaires étrangères Abdelaziz Belkhadem.

L'Algérie s'en tient aux dispositions actuelles de la Charte, a expliqué M. Belkhadem, à condition que le secrétaire général soit élu par tous les membres de la Ligue et qu'un consensus préalable soit établi sur le candidat.

M. Belkhadem a également affirmé que l'Algérie n'avait pas de candidat pour le poste de secrétaire général de la Ligue et que le projet algérien "n'était pas dirigé contre le secrétaire général" actuel.

La Ligue doit élire un nouveau secrétaire général en 2006. Ancien ministre des Affaires étrangères de l'Egypte, Amr Moussa, élu la première fois en 2001, est candidat à sa propre succession.

Tous les secrétaires généraux de l'organisation panarabe depuis sa création en 1945 étaient des Egyptiens, sauf pendant les onze années (1979-1990) où son siège avait été transféré du Caire à Tunis après la signature du traité de paix israélo-égyptien.

La proposition algérienne, qui avait été précédée par des critiques sur des liens supposées entre le secrétaire général et le ministère égyptien des Affaires étrangères, avait fait l'effet d'un pavé dans la mare. Plusieurs diplomates arabes l'avaient critiquée, la qualifiant d'"inopportune".

Les ministres doivent par ailleurs discuter du projet de création d'un Parlement, d'une Cour de justice et d'un Conseil de sécurité et de paix arabes.

Tous ces projets avaient été préparés pour le sommet de Tunis en 2004 qui n'avait finalement pas pu les examiner, faute de consensus.

Mercredi s'est réuni le "comité de suivi" des sommets arabes, créé en mai 2004 par le sommet de Tunis. Composé de la Jordanie, de Bahreïn, de la Tunisie, de l'Algérie, de l'Arabie saoudite, du Soudan, de la Syrie, du Qatar, du Koweït, du Liban, de la Libye, de l'Egypte, du Maroc et du délégué palestinien, il est chargé de veiller à l'application des résolutions prises par les chefs d'Etat.
© 2005 AFP

2 - Gageons que les résolutions anti-israéliennes vont diminuer drastiquement à l'ONU,

qui va pouvoir se livrer à ses vraies missions, par exemple le secours durable aux victimes asiatiques du Tsunami : voilà de vrais réfugiés, et musulmans qui plus est.

Mais l'association des Médecins Arabes (équivalent du Conseil National de l'Ordre des Médecins en France, ndt), possède un sens de l'Ethique qui ne correspond pas à nos critières occidentaux.

Voilà ce qu'on peut lire dans un hebdomadaire égyptien gouvernemental (en anglais, suivi de la traduction):
Editor of Egyptian Government Weekly :
Arab Doctors' Association is Aiding Jihad Warriors -
but Not Tsunami Victims


In an article in Egyptian government weekly Akhbar Al-Yawm, editor Ibrahim Sa'dah criticized the double standard of the Arab Doctors' Association, which is aiding Jihad warriors in Chechnya, Afghanistan, Iraq, and Bosnia, but refrains from helping victims of the recent tsunami in Asia because the tsunami is "punishment from Allah." The following are excerpts from the article:(1)
Rédacteur d'un hebdomadaire égyptien gouvernemental :

L'association des Médecins Arabes vient en aide aux combattants de la guerre sainte - mais pas aux victimes du Tsunami.

Dans un article de l'hebdomadaire gouvernemental égyptien Akhbar Al-Yawn, le rédacteur Ibrajhim Sa'dah a cririqué le "deux poids - deux mesures" de l'Association des Médecins Arabes qui vient en aide aux combattants de la guerre sainte en Tchétchénie, en Afghanistan, en Irak, et en Bosnie, mais s'abstient d'aider les victimes du récent Tsunami en Asie, parce que le tsunami est "une punition d'Allah". suivent des extraits de l'article. (1)

(1) Akhbar Al-Yawm (Egypt), January 1, 2005.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le jeudi 13 janvier 2005 - 08h01:

FRANCE-ISRAËL
Alliance Général Kœnig

Cycle de conférences-débats "Israël aujourd'hui"


ISRAËL ENTRE ISLAM,EUROPE ET ÉTATS-UNIS

Conférence-débat de

Guy MILLIÈRE
Philosophe, Économiste, Professeur d’histoire des idées et des cultures à Paris VIII

qui présentera et dédicacera ses ouvrages
Qui a peur de l’islam ; Ce que veut Bush ; etc …

jeudi 13 janvier 2005 à 20h15

Maison France-Israël
Salon Chagall
64 avenue Marceau - 75008 PARIS

PAF : 12 €
PAF par couple : 20 €
Entrée libre pour les étudiants

64 Avenue Marceau 75008 Paris Association selon la loi de 1901 http://www.france-israel.org
Tél. : 01 47 20 79 50 Fax : 01 47 20 79 52 e-mail : contact@france-israel.org

france-israel@wanadoo.fr


Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Toufiq (Toufiq) le jeudi 13 janvier 2005 - 07h57:

langues mortes:mon cher meyer je pensais aussi que l'arameen etait une langue morte.
ce n'est pas du tout le cas,l'arameen ainsi que le syriaque sont tres vivantes et parlees par les chretiens chaldeen et assyriens (mais oui!)de l'iraq,iran et autres pays du moyen orient. ici en armorique il y a une communaute enorme de chaldeens a detroit (michigan) et aussi a san diego.
en arameen:
-comment ca va? "dakhiwet"
reponse: "tawa" (bien)
shlam alloukh (salam/shalom)
bien: "tawa" (tov/taieb)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le mercredi 12 janvier 2005 - 22h53:

" le mardi 11 janvier 2005 - 02h13:

Conclusion : Le Yiddish c’est un peu comme le Tune, il a tellement phagocyté ( pas fakoussité !autrement on va encore se faire tirer les oreilles ) de langues et de civilisations, qu’en tant que langue dite morte, il fera toujours de l’ombre aux langues dites vivantes ! "

Cette phrase dénote une ignorance totale, à la fois de la linguistique des judéolangues, et de la situation actuelle du yiddish.

Les judéolangues, du point de vue linguistique, ont une structure dominée par la langue du pays dans lequel chacune d’elle s’est développée. Le judéo-espagnol ou giudesmo (à ne pas confondre avec le ladino, langue réservée à la traduction de la Thorah et des textes sacrés) possède la structure du castillan et non de l'hébreu. Chaque judéo-arabe a la structure de l'arabe dialectal local. Le judéo-comtadin a la structure du provencal.

Une langue morte est une langue qui n’est plus parlée, qui n’a plus de locuteurs. C’est le cas du latin, du grec classique, de l’araméen, mais aussi de dizaines de langues de l’Afrique et de l’Amérique pré-colombienne.

Le yiddish, a un substrat roman qui précède l’apparition du français. Il s’est par la suite développé dans des pays germanophones ; c’est pourquoi il a la structure de l’allemand. Il a intégré des mots des différents pays où il était parlé. Il n’a pour autant "phagocyté" aucune langue ni aucune civilisation, et n’en a jamais menacé aucune.

Le yiddish n’est absolument pas une langue morte : il suffit de se promener en Israël (Bne Brak, Jérusalem,…), aux Etats-Unis (New York, Boston, communautés du New Jersey, Miami,…), à Anvers pour rencontrer des enfants qui parlent entre eux en yiddish qui est leur langue maternelle. Ils vont dans des écoles où l’enseignement est en partie donné en yiddish, même s’ils y apprennent certaines matières dans la langue du pays (hébreu, américain, flamand, français). A Paris il est enseigné à l’Université-Paris VIII, à l’INALCO, au Centre Communautaire, au Centre Medem, à l’AEDCY.

Après la catastrophe de la Shoah le nombre de locuteurs du yiddish a très fortement diminué et l’avenir de cette langue reste incertain.

Sources :

- Claude Hagège, Professeur au Collège de France, Séminaire de Linguistique Générale à l’EPHE-Sorbonne

- Cyril Aslanov, Professeur à l’Université Hébraïque de Jérusalem et Directeur du Centre Français. Conférence donnée à l’INALCO le 4 février 2004 sur "L’Hébreu dans les langues juives d’Europe"

- Revue "Pour la Science" - N° 325 - novembre 2004 - p.38 - Les langues menacées.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par A_Soued (A_Soued) le mercredi 12 janvier 2005 - 19h11:

Chers amis,

Nous vous proposons une soirée EXCEPTIONNELLE pour mercredi 26 janvier à deux titres :

1. soutenir l’association Beit Ham qui, en Israël, s’occupe quotidiennement de plus de 1000 enfants de toutes religions (chrétiens, juifs et musulmans) en créant des lieux de vie, des clubs d’activités sportives et artistiques afin de les aider à agir ensemble

2. assister à un match de basket de coupe d’Europe opposant parmi les meilleures équipes du moment. Pour ceux qui n’ont jamais assisté à de tels matchs, c’est l’occasion de découvrir une ambiance totalement différente de celle des matchs de foot bal : c’est en salle, c’est très rapide, c’est une ambiance sportive de tous les instants. Et nous vous proposons des loges avec cocktail casher ….

Le mercredi 26 janvier 2005, à 20h30.

Au stade Coubertin 82 avenue George Laffont, 75016 Paris, métro Porte de Saint Cloud

Hapoel Tel Aviv rencontre Paris Racing Basket

Match de Coupe d'Europe

Au profit de BEIT HAM

En présence d'enfants israéliens JUIFS, MUSULMANS et CHRETIENS

Et à la mi-temps

"Le match de l'espoir"

un match d’exhibition opposera des équipes multiconfessionnelles sous l’arbitrage de Richard Dacoury, l’un des basketteurs français les plus titrés de tous les temps !

Prix des places

Fauteuils club VIP avec cocktail(19h-20h30) 100€

Sièges premiers privatifs et cocktail (19h0020h30)55€

Gradin tribune centrale 10€

Reçu CERFA délivré sur demande

Réservation OBLIGATOIRE

Adresser vos chèques à l'ordre B'nai B'rith Daniel Pearl, à l'adresse suivante :

B'nai B'rith Daniel Pearl (chez Thierry Lachkar)

18, rue Pierre et Marie Curie. 75005 Paris

PRENEZ DES PLACES , VENEZ ET OFFREZ-EN !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 12 janvier 2005 - 19h29:

Emma,
merci d'aider a "entretenir" notre memoire en publiant cet article sur les ceremonies du 60e anniversaire de la liberation du camp d'Auschwitz, qui auront lieu le 27 janvier, car, et ce n'est surement une coincidence, c'est justement le moment que choisit Le Pen pour essayer de nous faire prendre des vessies pour des lanternes (au sujet de la Gestapo) et "oublier" la deportation des juifs de France.

Lire ci-dessous:

Pour M. Le Pen, "l'occupation allemande n'a pas été particulièrement inhumaine"

LE MONDE | 12.01.05 | 14h10

Dans un entretien à l'hebdomadaire négationniste "Rivarol", il présente la Gestapo comme une police protectrice de la population.
On savait que, pour le président du Front national, les chambres à gaz n'étaient qu'un "détail" dans l'histoire de la seconde guerre mondiale. Cette fois, Jean-Marie Le Pen explique que l'occupation allemande, en France, n'a été accompagnée que de quelques "bavures". Il présente en outre la Gestapo - police politique qui fait partie des organisations jugées criminelles par le tribunal de Nuremberg - comme une police protectrice de la population.

Interrogé sur les "commémorations de la fin de la seconde guerre mondiale" par Rivarol, hebdomadaire antisémite et négationniste, M. Le Pen n'hésite pas à affirmer qu'"en France du moins, l'occupation allemande n'a pas été particulièrement inhumaine, même, ajoute-t-il, s'il y eut des bavures, inévitables dans un pays de 550 000 kilomètres carrés".

Pour illustrer ses dires, le président du FN raconte, dans cet entretien publié le 7 janvier, l'histoire d'un lieutenant allemand qui, "fou de douleur que son train de permissionnaires ait déraillé dans un attentat, causant ainsi la mort de ses jeunes soldats, voulait fusiller tout le village". C'est, explique M. Le Pen, "la Gestapo de Lille (...) qui arriva aussitôt pour arrêter le massacre".

Oubliés les fusillés de Châteaubriant (Loire-Atlantique) ou les pendus de Tulle (Corrèze), pour ne citer qu'eux. A moins que M. Le Pen ne classe leur exécution parmi les "bavures". A Châteaubriant, 27 prisonniers politiques internés dans un camp de la ville ont été fusillés le 22 octobre 1941, en représailles au meurtre d'un Allemand à Nantes. A Tulle, 99 habitants ont été pendus par les Allemands, le 9 juin 1944, le lendemain de la libération de la ville par le maquis de Corrèze.

Oubliée aussi la déportation des juifs de France planifiée à partir de juin 1942 par la section de la Gestapo chargée des questions juives et mise en œuvre avec la complicité de l'Etat français de Vichy. Sur 75 000 juifs ainsi déportés, moins de 2 500 ont survécu.

Evoquant le "drame d'Oradour-sur-Glane", Jean-Marie Le Pen laisse entendre que la vérité n'est pas celle que l'on croit et déclare qu'"il y aurait beaucoup à dire". Il fait ainsi écho, sans s'y référer explicitement, à une thèse révisionniste bien connue des lecteurs de Rivarol : selon cette thèse, des explosifs auraient été dissimulés par les résistants dans l'église où le 10 juin 1944 la division SS Das Reich avait enfermé 642 civils (parmi eux, 245 femmes et 207 enfants) avant de mettre le feu au bâtiment. Cette thèse justifie le massacre en parlant de mesure de représailles aux activités des maquis. Ces affirmations, proférées notamment dans une cassette vidéo par Vincent Reynouard, un néonazi reconnu coupable à plusieurs reprises de négationnisme, ont valu à leur auteur d'être condamné, le 4 juin 2004, à vingt-quatre mois de prison, dont six mois ferme, par la cour d'appel de Limoges, pour "apologie de crime de guerre".

M. Le Pen explique enfin, toujours dans cet entretien, que "si les Allemands avaient multiplié les exécutions massives dans tous les coins comme l'affirme la vulgate, il n'y aurait pas eu besoin de camps de concentration pour les déportés politiques". Et le président du FN conclut : "Ce n'est pas seulement de l'Union européenne et du mondialisme que nous devons délivrer notre pays, c'est aussi des mensonges sur son histoire, mensonges protégés par des mesures d'exception. D'où notre volonté constante d'abroger toutes les lois liberticides Pleven, Gayssot, Lellouche, Perben II." Des lois qui condamnent notamment le racisme et l'antisémitisme.

Christiane Chombeau

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le mercredi 12 janvier 2005 - 19h13:

Bonjour,
Voici mon billet de ce matin sur radio Judaiques FM
Amities
André Nahum

Le nouveau président palestinien, Mahmoud Abbas élu démocratiquement au suffrage universel, exception remarquable au sein du monde arabe, qu’il convient de saluer , jouit d’un préjugé favorable, même en Israel.

Il a de plus sur son predecesseur Yasser Arafat,l’avantage d’être vêtu d’un complet-veston et non d’un battle-dress et apparemment du moins, il ne porte pas de revolver à la ceinture.

C’est un changement de taille qui peut autoriser un certain optimisme.

Mais Mahmoud Abbas, alias Abou Mazen, fut tout de même, ne l’oublions pas, l’un des organisateurs de l’assassinat des athlètes israéliens aux jeux olympiques de Munich en 1972.

Il est l’auteur d’une thèse de doctorat à Moscou en 1982 dans laquelle il reprend à son compte les élucubrations des négationistes concernant le nombre de victimes juives de la Shoa.

Et dans cette même thèse, il “dénonce” une prétendue collusion entre les “sionistes” et les nazis pour persécuter les Juifs d’Europe afin de les inciter à émigrer en Palestine. Ce qui est proprement immonde.

Malgré un passé aussi chargé, deux arguments plaident cependant en sa faveur : un pragmatisme supposé et un désir exprimé de mettre un terme à l’intifada armée, que l’on ne peut pas mettre un doute, mais dont on peut se demander :

1) S’il s’agit d’une prise de position stratégique en vue de regler le conflit avec Israel ou simplement d’une manoeuvre tactique.

2) S’il peut réussir la mission qu’il s’est assignée sans s’opposer par la force aux milices terroristes, ce qu’il se refuse d’envisager .

A ceux qui, emportés par leur enthousiasme , imaginent que la paix est pour demain, il faut rappeler que même s’il désire vraiment mettre un terme à la violence, “Abou Mazen” n’en sera pas pour autant un partenaire facile pour Israel.
Ses déclarations durant sa campagne électorale concernant Jérusalem, le retrait total de Tsahal de Judée et Samarie, la fin des implantations et le droit au retour des réfugiés ne sont pas de simples arguments démagogiques de campagne.

Il faut les prendre au sérieux, car on ne voit pas comment il pourrait sans crainte pour sa popularité, sa crédibilité et même sa vie se montrer moins exigeant que Yasser Arafat sur ces questions.

Tout mort qu’il soit, le défunt raïs tient encore son successeur en ôtage comme il le faisait de son vivant.

Ce que l’on peut esperer pour l’instant, c’est qu’un climat plus serein s’instaure entre Israéliens et Palestiniens, que la violence à défaut de s’arreter completement, descende à un niveau “supportable”, et que l’on arrive à un état de “non-guerre”.

Cette notable avancée permettrait de laisser au temps, le temps d’entreprendre son oeuvre de paix.

A.N.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emma (Emma) le mercredi 12 janvier 2005 - 19h09:

De grâce, pas de discours à Auschwitz !



Rappelons l'inscription qui figure au fronton du Mémorial du Martyr Juif Inconnu, rue Geoffroy L'Asnier à Paris IVème :



"Devant le Martyr Juif Inconnu Incline ton respect ta piété pour tous les Martyrs

Chemine en pensée avec eux le long de leur voie douloureuse

Elle te conduira au plus haut sommet de Justice et de Vérité"



(Justin Godart, ancien président d'honneur du comité mondial du Martyr Juif Inconnu)

Information sur Guysen.Israël.News ce matin :



Une quarantaine de chefs d'États, parmi lesquels le roi des Belges et les présidents français, russe, allemand et israélien participeront le 27 Janvier 2005 aux cérémonies marquant le soixantième anniversaire de la libération du camp d'Auschwitz-Birkenau.

Près de 2 800 policiers assureront la protection de cette manifestation en Pologne.



D'aucuns déclarent aujourd'hui sur tous les tons qu'Auschwitz serait devenu un lieu de "mémoire de l'humanité".



Ce qui permet à certains jeunes mal préparés de s'affranchir de tout respect pour ce "lieu de mémoire universelle", et d'y montrer un comportement de profanation, comme ces collégiens de Montreuil, emmenés en novembre 2004 pour un "voyage pédagogique", et qui tinrent des propos inqualifiables et parfois obscènes, récemment rapportés par le BVCA, et la LICRA.



Auschwitz est d'abord et avant tout le plus grand cimetière juif au monde : entre 1940 et 1945, 1.100.000 Juifs de toute l'Europe y furent gazés, puis brûlés, après avoir pour certains été épuisés au travail, dans le silence glacial de cette région méridionale de la Pologne, proche de Cracovie, où la vie continuait comme si de rien n'était. Dans le silence glacial de l'ensemble de l'Europe, qui se terrait effrayée sous la botte nazie. Dans le silence complice de nombreux "collaborateurs", et profiteurs de guerre, qui voyaient sans déplaisir partir "leurs Juifs", comme Jean-Claude Milner l'a analysé avec profondeur dans son livre récent "les penchants criminels de l'Europe démocratique" .



Auschwitz est désormais classé au patrimoine mondial de l'humanité, sans doute pour préserver ce qu'il reste des fours et des baraquements détruits par les Allemands, avant sa libération par les troupes soviétiques le 27 janvier 1945, pour faire disparaître toute trace, pour que le crime soit parfait : les nazis ouvraient déjà la voie aux négationnistes du futur.



Et le temps passant sur les mémoires, le crime va devenir presque parfait.



Suggérons à l'UNESCO, qui attribue le classement au "Patrimoine mondial de l'Humanité", de créer une autre catégorie : classons Auschwitz au patrimoine mondial de l'inhumanité, pour interdire l'oubli.



Les Allemands, et leurs complices européens, font leur possible pour s'affranchir de leurs responsabilités. Certes, la génération des enfants, et aujourd'hui des petits enfants, ne doit pas, et ne peut pas porter la culpabilité des crimes de leurs pères.

Mais la mémoire de ce crime contre l'humanité, de ce génocide opéré par tout un Peuple allemand dévoyé, ne doit pas s'altérer.



Le passé tout récent, au Rwanda, au Darfour, après le Cambodge de Pol Pot, prouve que si l'on s'affranchit de cette mémoire de l'horreur, on est condamné à la revivre.

Ce serait d'autant plus indécent que la France, la Belgique et l'Allemagne ont laissé prospéré sur leur territoire un antisémitisme nouveau, renommé antisionisme. Nombre de "parenthésistes" élyséens ou au quai d'Orsay, tous passés par l'ENA, verraient sans déplaisir, disparaître l'Etat d'Israël, le "Juif des nations", comme leurs précurseurs du Quai d'Orsay (dont Jean Giraudoux) virent sans déplaisir les nazis faire de l'Europe une contrée "Judenrein".

Citez d'ailleurs un seul responsable politique français aux affaires étrangères depuis trente-cinq ans, et la fameuse petite phrase de de Gaulle ("les Juifs, un peuple d'élite, sûr de lui-même et dominateur"), qui aurait tenu un autre discours ? Repassez vous le film : il n'y en n'a pas !

Quel bonheur, s'ils pouvaient s'enlacer sans remords avec leurs partenaires de la Ligue Arabe, dans le cadre d'Eurabia, fomentée dans la diplomatie discrète ou secrète de la CEE, puis de l'UE, en dehors de toute consultation populaire, sous la guidance de la France, accouplée avec l'Allemagne, pour opposer "l'Europe puissance" à "l'hyperpuissance 'unilatéraliste' des USA" !

Aussi, Mesdames et Messieurs les chefs d'état, jamais avares de beaux discours, de grâce, pas de discours à Auschwitz !



Seuls le silence et le recueillement sont convenables dans le plus grand cimetière juif du monde, comme dans le plus petit cimetière de province où vous vous rendez le premier novembre pour honorer vos morts.



Dès le 3 janvier, cet avertissement (extrait) paraissait sur Desinfos.com :

.../ Selon le plus récent numéro [n° 871, nda] de l'hebdomadaire "Actualité Juive" (information transmise par mon ami Alex F.), la chaîne nationale France 2 s'apprête à programmer une nouvelle projection du film "la Porte du Soleil" ("Bab el Shams"). Un faux de l'Égyptien Yousry Nasrallah, d'après "l'oeuvre" du Libanais Elias Khoury, déjà projetée par ARTE à la fin de 2004, ce film de fiction assimile la création de l'état d'Israël à une entreprise nazie, et a déjà soulevé une tempête d'indignation dans la communauté juive de France.

La date retenue par France 2 serait le 30 janvier 2005, soit 3 jours après la commémoration du 60ème anniversaire de la libération du camp d'extermination d'Auschwitz-Birkenau : moultes officiels européens comptent s'y rendre, pour célébrer sans doute la grande "réconciliation des Européens"... Sur le dos des Juifs ? ? ? /...

Concernant la première partie de cet avertissement, nous n'avons pas encore d'éclaircissement, ni d'assurance de la part de la direction des programmes de France 2 : quelques uns parmi nous se sont mobilisés pour éviter cette infamie. Vous serez évidemment tenus informés pour apporter votre soutien à toutes actions jugées utiles dans ce sens.

Par ailleurs, nous avons donc confirmation de la deuxième partie de cette prévision : nombre de chefs d'état participeront, accompagnés de flonflons, de discours, et pourquoi pas de gerbes de fleurs !

Mais qui sait que les Juifs ne déposent pas des fleurs sur les tombes, mais de petits cailloux, pour témoigner de leur passage, et de leur affliction ?

Et pourquoi pas la sonnerie aux morts, n'est-ce pas, M. Chirac ?

Vous avez bien fait retentir la Marseillaise, avec trois bataillons de la Garde Républicaine en grande tenue et gants blancs, pour accompagner la dépouille du plus grand assassin de Juifs depuis l'après-guerre, le chef terroriste Yasser Arafat : sur le tarmac de l'aéroport militaire de Villacoublay, vous lui avez fait rendre les "plus hauts honneurs militaires", alors que des actions judiciaires sont en cours contre cet assassin de plusieurs citoyens français, avec ce petit défaut d'être juifs, tués dans des attentats en Israël.

Et vous allez nous faire un grand discours sur le thème du "plus jamais ça" à Auschwitz ?

Soyez décent, M. Chirac, ne vous moquez pas des vivants en bafouant les morts. Ne faites aucun discours !

Après le 17 juillet 1995, et votre discours sur la responsabilité de l'état de Vichy dans la déportation des Juifs de France, après votre discours de Chambon sur Lignon, le 9 juillet 2004, sur la lutte contre l'antisémitisme et tous les racismes, mais votre refus de reconnaître la négation de l'état d'Israël et la responsabilité de "l'antisionisme radical" comme sources de l'antisémitisme virulent qui renaît en France, jamais l'antisémitisme ne s'est si bien porté en France depuis 60 ans.

Jamais depuis 60 ans la Justice en France n'a été aussi laxiste pour des actes antisémites qu'elle refuse de qualifier ainsi malgré l'arsenal législatif le plus avancé d'Europe dans la répression des actes à caractère raciste, et antisémite. Souvenons-nous par comparaison que du temps de Staline, l'Union soviétique disposait de la constitution la plus avancée du monde : était-elle une garantie de protection des citoyens russes, qui noyaient leur communisme dans l'alcool ?

Jamais depuis 60 ans les responsables scolaires - Brunoy en 2002, Montaigne l'an passé, Montreuil récemment pour les cas les plus flagrants - n'ont été aussi complaisants, ou aveugles et sourds, avec un antisémitisme ouvert qu'il préfèrent ne pas voir, ne pas entendre, ne pas reconnaître : il s'agirait de "plaisanteries entre jeunes"... Les plaintes, quand elles ont été instruites, ont abouti à ce paradoxe infâme de jugements plaçant les coupables dans la peau de victimes, ce qui décourage toute poursuite.

J'apprends que le chef de l'état va inaugurer à l'occasion de cette commémoration, "un monument des déportés Français".

De qui se moque-t-on ? Les Juifs Français ou apatrides résidant en France à l'époque furent-ils protégés par l'Etat Français, ou bien traqués, et impitoyablement livrés aux nazis, par des gendarmes français, et la milice, et des dénonciateurs intéressés ?

Le chef de l'état voudrait-il mystifier l'avenir, en réécrivant l'histoire avec son grand ami Schröeder, et mentir aux générations futures, en prétendant que les 75.000 Juifs originaires de France, qui furent assassinés à Auschwitz, étaient des citoyens ou réfugiés que la République pleurerait avec retard, pour pouvoir s'affranchir du respect qu'elle doit aux vivants ? La France voudrait-elle procéder à des décomptes substitutifs, comptant les Français, et pas les Juifs, comme l'état polonais, qui revendiqua 6 millions de morts polonais après la seconde guerre mondiale, en intégrant dans ce décompte les trois millions de Juifs polonais qu'elle avait laissés aux mains des nazis ?

Le chef de l'état allemand, comme Gerhard Schröeder l'osa le 6 juin 2004 sur les plages de Normandie, va pouvoir nous faire le coup d'un discours sur le thème "Plus que de culpabilité, il faut parler de responsabilité [du peuple allemand]". Après quoi il nous expliquera que les responsables n'étaient pas coupables, le Peuple allemand ayant été "victime des nazis", petite caste minoritaire, comme le suggère le récent film "la chute", et la farce sera jouée.

Comme les Autrichiens ont su si bien le faire après guerre, se déclarant "victimes de l'Anschluss des nazis", qu'ils accueillirent dans des transes énamourées de leurs natifs bien aimés Adolf (Hitler et Eichmann).

Et l'Europe pourra reprendre sa marche assassine contre Israël, et l'Allemagne s'affichant en parangon de vertu pacificatrice, pourra revendiquer un siège permanent au Conseil de Sécurité de l'ONU ?

C'est de cette Europe là que vous voulez ?

Lire aussi à ce sujet l'excellent article de Guy Millière : Les coupables, ces victimes….
à l'URL : http://www.menapress.com/article.php?sid=1000

Il faut classer Auschwitz au patrimoine mondial de l'inhumanité, pour interdire l'oubli.

Auschwitz est un lieu de mémoire, de recueillement, de silence, de repentance et de solitude : ne le profanons pas !

Simon Pilczer

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le mercredi 12 janvier 2005 - 19h06:

Activités du Centre Alberto Benveniste pour les études et la culture sépharades
(Ecole Pratique des Hautes Etudes, Sorbonne, Paris)


La quatrième conférence Alberto Benveniste sera donnée cette année par Ron Barkai, professeur à l'Université de Tel-Aviv, sur «Juifs, chrétiens et musulmans en Espagne médiévale », le mardi 25 janvier 2005, à 17h, en Sorbonne, salle Liard (accès 17 rue de la Sorbonne, 75005 Paris). À l'issue de la conférence, seront solennellement décernés les prix Alberto Benveniste ainsi que la Bourse Sara Marcos de Benveniste en études juives 2005. Suivra un concert en exclusivité du groupe Sefarad, spécialement venu de Turquie. Cet ensemble de jeunes chanteurs, révélation de l'année, décline sur des rythmes modernes une musique ethnique judéo-hispano-turque. Entrée libre.

Les Prix Alberto Benveniste 2005 ont été attribués pour la création à Caroline Bongrand pour son roman L'Enfant du Bosphore (Robert Laffont), et pour la recherche à Daniel Lindenberg pour Destins marranes (Hachette/Pluriel) et à Marie-Christine Varol pour son enseignement et son Manuel de judéo-espagnol (L'Asiathèque).

http://www.ephe.sorbonne.fr/5portailabenveniste.htm

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le mercredi 12 janvier 2005 - 18h49:

Bonjour,

J AI PERDU LA KETOUBA DE MON MARIAGE ET J AI BESOIN D AVOIR AU MOINS UN DUPLICATA POUR MARIER MA FILLE JE ME SUIS MARIée en tunisie dans la banlieue de tunis au kram LE 21 mars 1961 par le rabbin DAVID CHELLI ET SI JE POUVAIS AVOIR L ADRESSE DU CONSISTOIRE A TUNIS

MERCI

POUR TOUTES INFORMATIONS ADRESSE SIHALIMI@MSN.COM

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le mercredi 12 janvier 2005 - 11h46:

La revue américaine Nature, une des plus respectées dans le milieu scientifique international, a distingué les quatre chercheurs le plus prometteurs dans le domaine de la physique théorique mondiale.

Ce choix commémore l’année 1905 durant laquelle Einstein a publié, à 26 ans, trois articles théoriques fondamentaux, dont celui sur la relativité générale.

Dorit Aharonov fait partie des quatre scientifiques choisis. Agée de 34 ans, née à Haifa (rue Einstein !), elle travaille à l’Ecole des Techniques et des Sciences de l’Informatique de l’Université Hebraique. Ses recherches sur le calcul quantique sont très prometteuses dans le domaine de la théorie des sciences de l’informatique et des ordinateurs quantiques. Il est prévu que ce type d’ordinateurs pourrait travailler à des vitesses bien plus élevées que celles des appareils actuels.

D’après un article du site Haaretz en anglais :

http://www.haaretz.com/hasen/spages/525473.html
Tue., January 11, 2005 Shvat 1, 5765

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Edmond (Edmond) le mercredi 12 janvier 2005 - 08h08:

Avez-vous manqué l’émission LA PART DES CHOSES?

Vous pouvez encore vous rattraper et faire part de vos commentaires.



Pour voir l’émission et entendre ces excès de mauvaise foi, allez sur le site de Radio Canada et cliquez sur la date du 10 Janvier

http://radio-canada.ca/rdi/lapartdeschoses/



lapartdeschoses@radio-canada.ca

Adresse postale : La part des choses Société Radio-Canada Bureau A-58-1 Case postale 6000 Montréal, QC H3C 3A8



L'émission La part des choses du 10 janvier 2005,

Sujet : L'élection de Mahmud Abbas redonne t-elle une nouvelle chance à la paix au Proche-Orient ? Les invités de Bernard Drainville sont David Ben Soussan, porte-parole Comité Québec-Israël et Rezek Faraj, co-président Palestiniens et Juifs Unis

Rezek Faraj nous certifie que:

· Abbas passe le test, Mahmoud Abbas ne tient pas de double langage.

· Il n’y a pas d’incitation à la haine chez les Arabes Palestiniens « C’EST PAS VRAI, TOUT CELA N’EST JUSTE QU’UNE FORME DE PROPAGANDE »

· En parlant de 1948 et des réfugiés « Israël a fait du tort aux Palestiniens » comme si c’était Israël qui avait déclaré la guerre.

Donnez lui l’adresse du site de PMW avec toutes les vidéo http://www.pmw.org.il/ ou bien de MEMRI http://memri.org/video/

Donnez lui aussi l’adresse de l’article de Charles Krauthammer (c’est le premier communiqué de la page)

http://www.isranet.org/isranetbriefings/Communique%20Isranet.htm L’héritier d’Arafat par Charles Krauthammer Vendredi 7 janvier 2005, Washington Post Personne n’a-t-il appris quelque chose?



En Anglais: http://www.washingtonpost.com/ac2/wp-dyn/A54851-2005Jan6?language=printer




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Le Point après le téléjournal à Radio Canada émission du 10 Janvier 2005

-L'élection de Mahmoud Abbas : un espoir pour le processus de paix ?
-Un backgrounder sur Mahmoud Abbas, suivi
-D'une entrevue avec Leila Shahid, déléguée de Palestine en France
-D'une entrevue avec Marc Attali, consul général d'Israel à Montréal.

http://radio-canada.ca/actualite/lepoint/ et cliquez sur la date du 10 Janvier

L’émission dure environ une heure et le Point commence à environ la 28ème minute