Archive jusqu'au 11/janvier/2005

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2005: Commentaires de Janvier 2005: Archive jusqu'au 11/janvier/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le mardi 11 janvier 2005 - 15h01:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Suggestion et statistiques,,,

Selon la suggestion de Suggest1, la statistique voudrait que 60% des Israélites vivant en Europe
résideraient en France ! D’où tient il cette information? Nous serions heureux d’en connaître les sources, car la question demeure à savoir ce qui fait courir tant de d’Israélites, de préférer vivre dans une France, si souvent vitupérée sur Adra et présentée comme une nation “antisémites”, plutôt qu’ailleurs ?

Si quelqu’Harissien connaît la réponse à ce grand mystère, nulle doute qu’il emportera notre
reconnaissance.

Bonne journée,

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Djerbien (Djerbien) le mardi 11 janvier 2005 - 14h51:

svp est ce que quelqu'un pourrait m'expliquer pourquoi ces ultras orthodoxes juifs n'ont pas la nationalite israelienne


Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le mardi 11 janvier 2005 - 11h57:

Colloque à l'Alliance Israélite Universelle

description

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le mardi 11 janvier 2005 - 11h55:

Colloque à l'Alliance Israélite Universelle.

description

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le mardi 11 janvier 2005 - 11h52:

Colloque à l'Alliance Israélite Universelle.

C:Mes DocumentsHARISSAAIU-JacoConf-170105-3comp.jpeg

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 11 janvier 2005 - 10h02:

Maintenant que les palestiniens on réussi à élire un président démocratiquement et malgré tous les soupçons, il est temps de fermer un oeil et aider Abbass, même si certains croient qu’il est lui même un terroriste. C’est une chance pour Sharon et Israël de pouvoir signer un accord et même une coopération étroite avec les palestiniens. Avec ces élections les palestiniens ont démontré qu’il sont aussi capable écouter la voix de la raison. Ils ont aussi démontré aux arabes de partout qu’ils sont d’un niveau plus élevé qu’eux, malgré les années de dictature et d’oppression qu’ils avaient eux avec Arafat. Il ne faut pas oublier qu’eux aussi avaient eu des morts et des blessés tout comme les israéliens. Il faut absolument serrer la main de abbass qui est tendu à la négociation et à la paix.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emma (Emma) le mardi 11 janvier 2005 - 09h16:

Seule une minorité imprégnée de nationalisme religieux fait pression pour maintenir le rêve.


Le grand Israël, fin d'un mythe

Par Marius SCHATTNER



Le Grand Israël se meurt. Non tant sur le terrain que dans les esprits. Le rêve se dissipe d'un Etat englobant Israël, la Cisjordanie et la bande de Gaza, «Eretz Israël Ha'Shlema», littéralement, la terre d'Israël complète.

Le concept d'Eretz Israël remonte à la Bible, et ses frontières ont fait l'objet d'interprétations multiples. Mais l'idée que ce territoire imaginaire revienne, dans son intégralité, au peuple juif, dans le présent, au nom de l'Histoire, de Dieu ou d'impératifs de sécurité, est tout à fait moderne.

Ce mythe, dont le pendant palestinien est la revendication d'un Etat sur toute la Palestine «min al bahar ila al-nahr», de la mer (Méditerranée) au fleuve (Jourdain), a été oublié entre 1948 et 1967, pour resurgir au lendemain de la guerre des Six Jours, dans l'ivresse d'une victoire éclair sur les armées arabes. Le Grand Israël désigne alors tous les territoires conquis durant la guerre. Pour de nombreux Israéliens, il ne saurait être question de se retirer de ces territoires «libérés».

En 1982, le retrait du Sinaï égyptien et un premier démantèlement de colonies portera un premier coup à ce mythe, coup d'autant plus sévère que c'est un gouvernement de droite, avec Sharon à la Défense, qui l'assène, après avoir conclu un accord de paix avec l'Egypte. A présent, le plan Sharon de retrait de la bande de Gaza en 2005 pourrait bien lui porter le coup de grâce. Mais la fin du mirage ne veut pas dire fin de la colonisation. Le même gouvernement qui entend évacuer 8 000 colons de Gaza et 4 implantations de la Cisjordanie, dans le cadre de son «plan de désengagement», construit des milliers de logements pour colons en Cisjordanie.

A Gaza, l'objectif est de sortir d'un bourbier, l'Etat juif n'ayant rien à gagner au maintien d'une poignée de colons, au sein d'1,3 million de Palestiniens, dont ils occupent un bon cinquième de leur territoire exigu. En Cisjordanie, le but est de renforcer les blocs de colonisation existant, où plus de deux cent mille Israéliens se sont installés, attirés par les prix de logement défiant toute concurrence. Sharon ne s'en cache pas : le retrait vise à préserver l'essentiel, garder 40 % à 50 % de la Cisjordanie, le reste étant destiné à constituer un Etat croupion palestinien.

Ironie de l'Histoire : c'est Ariel Sharon, le champion de la colonisation juive, qui plus que tout autre a remodelé la géographie des territoires occupés en tissant la trame des colonies, qui défait aujourd'hui, encore une fois et en partie, son ouvrage. «Tout retrait ou séparation unilatérale provoquerait une catastrophe pour Israël», avertissait encore Sharon, en décembre 2002. Deux ans après, le Premier ministre de droite fait, ou du moins promet de faire, ce qu'il dénonçait alors.

Qui plus est, les justifications qu'il fournit puisent dans l'arsenal idéologique travailliste. C'est ainsi, qu'il proclame sans cesse qu'Israël ne peut préserver son caractère «juif et démocratique» en gardant la bande de Gaza ou d'autres zones à forte population palestinienne. D'abord pour des raisons démographiques : dans cinq ans voire moins, les juifs seront une minorité dans le Grand Israël. Les Palestiniens ont beaucoup d'enfants, et les immigrants juifs sont de moins en moins nombreux : 22 000 à peine pour 2004. Que faire ? Les tenants du Grand Israël misaient sur une immigration massive : celle venue d'ex-URSS n'a rien changé, et désormais le flot s'est tari. Ils tablaient sur un départ, censé volontaire, de millions de Palestiniens : il ne s'est pas réalisé. Les plus extrémistes continuent à prôner un «transfert» forcé des Palestiniens vers les pays arabes. Mais pour réaliser un tel projet d'épuration ethnique, il faudrait une guerre généralisée au Proche-Orient, que rien, heureusement, ne laisse entrevoir.

Reste la séparation. C'est le retour à la conception classique du partage du territoire, celle que le créateur de l'Etat, David Ben Gourion, avait fini par imposer à l'ensemble du mouvement sioniste. Cette séparation, Sharon la conçoit comme un acte unilatéral. Il compte en dessiner les frontières, jouant de l'appui américain, de la victoire militaire sur l'Intifada, face aux Palestiniens à bout de souffle.

Le problème, c'est que la logique qui aujourd'hui conduit à sortir de Gaza peut mener demain à quitter la Cisjordanie. Les Palestiniens l'espèrent un peu, sans trop y croire. Les colons y croient et s'en désespèrent. Pour eux, Sharon a mis le doigt dans un engrenage qui, tôt ou tard, qu'il le veuille ou non, ramènera Israël à ses frontières de juin 1967, à quelques rectifications près.

Ont-ils tort de jouer les Cassandre ? La suite le dira. Mais on peut comprendre qu'ils se sentent floués, abandonnés, trahis même. Ressentiment d'autant plus vif qu'ils ne parviennent pas à mobiliser la population. «Ce ne sont pas des pionniers, mais des colons que l'Etat a gâtés depuis trente-sept ans en leur donnant des terrains et de l'aide financière, en construisant les infrastructures des colonies, en déployant des bataillons et des divisions entières pour les protéger. Nos meilleurs fils sont tombés pour poursuivre une politique qui au fil du temps nous a transformés en occupants cruels, à nos yeux et aux yeux du monde entier», a écrit Yoël Marcus le 24 décembre dans le quotidien Haaretz.

Le contraste est frappant entre ce réquisitoire et le ton dithyrambique des médias, pour relater les premières actions de colonisation, après la guerre des Six Jours. Ainsi le journal à grand tirage Yediot Aharonot titrait-il, le 27 septembre 1967 : «Les fils des vétérans du Goush Etzion sont revenus à leur terre libérée», pour la création de la première colonie de peuplement, sur le site de villages conquis par les forces arabes durant la guerre de 1948, dans le sud de la Cisjordanie. En ce même septembre 1967, les plus grands écrivains israéliens, dont Nathan Alterman, le poète emblématique du mouvement travailliste, et Shaï Agnon, prix Nobel de littérature 1966, publient un manifeste «Pour le Grand Israël», proclamant qu'à la suite de la victoire de l'armée israélienne «aucun gouvernement n'a le droit de renoncer à l'intégralité d'Eretz Israël». Le chef historique du Likoud, Menachem Begin, appelle, lui, à une colonisation massive en «Judée-Samarie (Cisjordanie), dans la bande de Gaza, sur le plateau du Golan et dans le Sinaï». Aujourd'hui, le mouvement pour le Grand Israël, issu de l'aile droite travailliste a disparu et le Likoud tient le langage de ses rivaux travaillistes.

Reste un seul des trois piliers du Grand Israël : le nationalisme religieux. Encore n'est-il pas homogène. A côté d'un noyau dur, il y a tous ceux qui sont prêts à accepter le plan Sharon, craignant d'être isolés par des actes d'extrémistes. Les autres font entendre bien haut leur voix. Ils constituent un puissant groupe de pression, disposant de relais jusqu'au sommet d'un pouvoir qui leur fut si longtemps acquis. Mais rien d'étonnant à ce que des ministres nourris de l'idéologie du Grand Israël donnent un écho complaisant à la lutte des colons, ne serait-ce que pour prouver que le retrait de Gaza est une telle «déchirure» qu'elle ne peut constituer un précédent. Les jusqu'au-boutistes ne sont pas moins une minorité. Ils se marginalisent par leurs menaces de «guerre fratricide», par leurs provocations ou leur mysticisme, si éloigné du vécu des Israéliens. Leur bataille est un combat d'arrière-garde.

L'idée de séparation d'avec les Palestiniens se hisse ainsi au rang de «pensée unique» en Israël. Dans l'absolu, elle relève, elle aussi, du mythe, vu l'imbrication des deux populations. Elle n'a rien de sympathique, rien d'exaltant puisqu'il s'agit d'un divorce. Mais on peut négocier un divorce, pas une fausse coexistence, sous occupation, dans le Grand Israël.

Marius Schattner, journaliste. Dernier ouvrage paru : Histoire de la droite israélienne
(éditions Complexe).

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme (Anonyme) le mardi 11 janvier 2005 - 08h37:

Thèse de chimie


Ci dessous est la version d'une soi-disant question de chimie donnée à l'université de Montpellier. La réponse d'un étudiant a été si profonde que le professeur l'a partagée avec ses collègues, via internet, et c'est pourquoi nous avons le plaisir de la lire.


Question bonus: L'enfer est il exothermique (évacue de la chaleur) ou endothermique ( absorbe de la chaleur) ? La plupart des étudiants ont exprimé leur croyance en utilisant la loi de Boyle (si un gaz se dilate il se refroidit et inversement) ou ses variantes. Cependant un étudiant eut la réponse suivante:


Premièrement, nous avons besoin de connaître comment varie la masse de l'enfer avec le temps. Nous avons donc besoin de connaître à quel taux les âmes entrent et sortent de l'enfer. Je pense que nous pouvons sans risque assumer qu'une fois entrée en enfer, l'âme n'y ressortira plus.



Du coup, aucune âme ne sort. De même pour le calcul du nombre d'entrée des âmes en enfer, nous devons regarder le fonctionnement des différentes religions qui existent de par le monde aujourd'hui. La plupart de ces religions affirment que si vous n'êtes pas un membre de leur religion alors vous irez en enfer.

Comme il existe plus d'une religion exprimant cette règle et comme les gens n'appartiennent pas a plus d'une religion, nous pouvons projeter que toutes les âmes vont en enfer.



Maintenant regardons la vitesse de changement de volume de l'enfer parce que la loi de Boyle spécifie que pour que la pression et la température reste identique en enfer, le volume de l'enfer doit se dilater proportionnellement à l'entrée des âmes.


Cela donne deux possibilités :
1 Si l'enfer se dilate à une vitesse moindre que l'entrée des âmes en enfer, alors la température et la pression en enfer augmenteront indéfiniment jusqu'à ce que l'enfer éclate.
2 Si l'enfer se dilate à une vitesse supérieure à la vitesse d'entrée des âmes en enfer, alors la température diminuera jusqu'à ce que l'enfer gèle.


Laquelle choisir ?


Si nous acceptons le postulat que Teresa m'a répondu durant ma première année d'étudiant qu' "Il fera froid en enfer avant que je couche avec toi" et en tenant compte du fait que j'ai couché avec elle la nuit dernière alors l'hypothèse doit être vraie et alors je suis sûr que l'enfer est exothermique et a déjà gelé. Le corollaire de cette théorie c'est que comme l'enfer a déjà gelé, il s'en suit qu'il n'accepte plus aucune âme et du coup qu'il n'existe plus... Laissant ainsi seul le paradis, ainsi prouvant l'existence d'un être divin ce qui explique pourquoi, la nuit dernière, Teresa n'arrêtait pas de crier " oh mon dieu"


(C'EST LE SEUL ETUDIANT A AVOIR RECU LA NOTE 20)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le mardi 11 janvier 2005 - 06h00:

c:/
Dessin malicieux pour ceux qui préfèrent attendre de se prononcer sur Mahmoud Abbas, « colombe sans keffieh, et sans pistolet »

(N.B. : ce dessin n'était pas joint à l'article ci-dessous)



« Moët Hennessy », comme disent les Anglais !

Simon Pilczer






Bush applaudit au vote réussi comme une clé du Futur palestinien



Par Michael A. Fletcher

Rédacteur au Washington Post, Lundi 10 janvier 2005

Original en Anglais à l'URL : http://www.washingtonpost.com/wp-dyn/articles/A61710-2005Jan9.html?



Traduction française de Simon Pilczer, volontaire de l’IHC.

Le Président Bush a applaudi le résultat de la première élection présidentielle en neuf ans hier, appelant le bon taux de participation et le processus de vote relativement dénué de troubles « une étape clé vers la construction d’un avenir démocratique ».

« C’est un jour historique pour le peuple palestinien et pour les peuples du Moyen-Orient », a dit Bush dans sa déclaration.

Les sondages à la sortie des urnes ont pointé une écrasante victoire de Mahmoud Abbas, qui fut Premier Ministre du précédent leader Yasser Arafat. Abba a appelé à des pourparlers de paix avec Israël, et il est très généralement considéré comme un modéré, même si sa campagne rhétorique a inclus parfois des dénonciations explosives d’Israël.

L’administration a considéré l’élection comme un test clé de la vision de Bush pour la démocratie au Moyen-Orient. aussi, beaucoup d’observateurs espèrent que l’élection créera une opportunité pour raviver le processus de paix entre les Israéliens et les Palestiniens, qui ont été engagés dans le dernier de leur conflit sanglant depuis bientôt cinq ans.

“L’Amérique et toutes les nations libres soutiennent fortement les efforts du peuple palestinien pour créer des institutions démocratiques durables », a déclaré Bush. « Ces efforts… sont essentiels pour l’établissement d’un état palestinien souverain, indépendant, viable, démocratique et pacifique, qui puisse vivre aux côtés d’Israël de manière sûre et en sécurité ».

L’administration Bush fait face à de rudes défis pour aider à promouvoir un accord entre Abbas et le Premier Ministre israélien Ariel Sharon du fait du fait des conflits profondément enracinés séparant les deux bords. Cependant, beaucoup d’observateurs disent que l’élection constitue une opportunité mûre pour la paix.

« Je crois vraiment que la possibilité d’un progrès majeur est plus grande qu’elle n’a jamais été depuis environ une décennie », a déclaré Henry Kissinger, qui servit comme ministre des Affaires Etrangères sous les présidents Richard M. Nixon, et Gerald R. Ford sur l’émission de CNN «Late Edition ».

Parlant sur le même programme, Richard C. Holbrooke, qui fut l’ambassadeur à l’ONU de l’administration Clinton, fut prudemment optimiste. « Il y a des partisans du refus, là-bas – le Hamas et le Hezbollah – qui vont continuer la violence », a dit Holbrooke, « ce sera la responsabilité de la nouvelle direction de contrôler cela, et ce sera un projet très difficile ».

Dans sa déclaration, Bush a aussi appelé Israël à suivre son plan de retrait des territoires occupés a Gaza, et dans une partie de la rive occidentale. Il a aussi rappelé que les pays arabes doivent prendre des « mesures concrètes » pour empêcher l’assistance aux militants attaquant Israël.

Le président a aussi promis de soutenir Abbas par le transfert d’une aide financière, aussi longtemps qu’il conduira l’Autorité Palestinienne vers la paix avec Israël.

« Les Etats-Unis se tiennent prêts à aider le peuple palestinien à réaliser ses aspirations », a dit Bush. Le nouveau président palestinien et son gouvernement font face à des taches critiques dans le futur, y compris la lutte contre le terrorisme, le combat contre la corruption, l’édification d’institutions réformées et démocratiques, et la reviviscence de l’économie palestinienne ». Le Ministre des affaires Etrangères sur le départ, Colin L. Powell, parlant à l’émission d’ABC « This Week », a pressé Israël de libérer davantage de prisonniers palestiniens pour montrer leur bonne foi dans le démarrage des pourparlers de paix.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Francois (Francois) le mardi 11 janvier 2005 - 05h52:

Abou Mazen le modéré, enfin la preuve

La nuit dernière, Abou Mazen a annoncé à ses troupes: "Le petit jihad est terminé et maintenant le grand jihad commence".

Maintenant que la formalité électorale est accomplie, personne ne peut plus dire que les excès verbaux d'Abou Mazen sont de la démagogie électorale.
Source: http://www.israelnationalnews.com/news.php3?id=75030

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Edmond (Edmond) le mardi 11 janvier 2005 - 04h07:

Le flash du Jerusalem Post - Lundi 10/01/05 soir

Trois Netourei Karta ont demandé à participer au scrutin palestinien

Trois membres de la secte juive ultraorthodoxe Netourei Karta désireux de participer au scrutin présidentiel palestinien sont arrivés dimanche 9 janvier à Ramallah. Ces ultraorthodoxes, qui pour des raisons idéologiques ne possèdent pas la nationalité israélienne, ont été reçus à coups de pierres dans le camp de réfugiés d'al Amari. Deux membres des Services de Sécurité Préventive palestiniens les ont reconduits à la sortie de la ville, via le point de contrôle de Sourda.
© Jerusalem Post Edition Française - 2005

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le mardi 11 janvier 2005 - 02h13:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : La culture yiddish,,,

Mr. Maxiton doit peut être faire une petite erreur, car pour se rendre compte du nombre de corélégionnaires qui vivent en Europe, rien de plus facile, il suffit de les compter sur les annuaires téléphoniques !

Le moustachu s’est lui même envoyé en enfer, et le coiffeur serait sans doute celui du film de Chaplin “Le Dictateur”.

Vous connaissez sans nulle doute, la réponse faite par Isaac Singer Prix Nobel 1978, aux questions de Begin et Shamir qui lui demandaient: “Mais pourquoi avoir écrit tant de livres en Yiddish alors que selon les deux compères, le Yiddish était une langue presque morte ?”

Isaac répondit : C’est par pure charité, afin que le jour de la résurrection, les Yiddish puissent trouver des bouquins écrits dans une langue que eux seuls puissent comprendre !

Isaac contre attaquant ajouta : “Mais alors comment vous les pères fondateurs d’Israël, pouvez vous expliquer que vous ayez choisi l’Hébreux plutôt que le Yiddish, alors que le Yiddish est votre langue maternelle ?”

Begin le rusé répondit à la question par une autre question : “ Dites donc Isaac ! Comment feriez vous pour donner des ordres en Yiddish, et pour faire marcher des soldats qui ne comprennent pas un traître mot de cette langue ?”.

Et sans se démonter Isaac répondit : “ C’est très facile ! Il suffit de gueuler les ordres suffisamment fort pour que toute l’armée comprenne !”

Conclusion : Le Yiddish c’est un peu comme le Tune, il a tellement phagocyté ( pas fakoussité !
autrement on va encore se faire tirer les oreilles ) de langues et de civilisations, qu’en tant que langue dite morte, il fera toujours de l’ombre aux langues dites vivantes !

Bonne journée,

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Soleil (Soleil) le mardi 11 janvier 2005 - 01h29:

You Cannot Erase History

by David Wilder

The Jewish Community of Hebron

January 10, 2005



Wow aren't you excited? Everyone seems to be jumping up and down. Some, really happy. Others – not so much.



After all, it looks like we have two innovative, democratically elected governments, new horizons, fresh out of the bag. Who could ask for more? I mean, who could be upset?



Well, why don't you ask Yishai Maimon? Presently mayor of Tzfat in the hills of the western Galil, Maimon is not overjoyed with the newly elected Arab chieftain. Thirty years ago Abu Mazen initiated one of the deadliest massacres in Israeli history. Mazen-terrorists attacked a school in Ma'alot, in northern Israel. Sleeping in the school, at the time, were dozens of schoolchildren from Tzfat. Twenty-two children were murdered, after having been taken hostage by the blood-thirsty savages. Yishai Maimon was there, in the school, and will never forget the cries of pain and anguish. Speaking of Abu Mazen, Maimon said, “I will never forget his part in the attack. The man is a murderer with the blood of Jews on his hands disguised as a peace merchant…It is important for the People of Israel to know with whom we are seeking to make peace. He is worse than Arafat.” [http://www.israelnationalnews.com/news.php3?id=74895]



The facts about Abu Mazen are widely known. He is a holocaust denier. Last week he called Israel 'the Zionist enemy.' He hugged and kissed armed Hamas terrorists in front of the cameras and declared never to disarm them. Last night he announced that 'the little Jihad has ended and the big Jihad has begun.' The facts speak for themselves: Abu Mazen is a terrorist, was a terrorist and always will be a terrorist. He might not adorn his head with a kafiya, preferring a suit and tie. But his dress and bright-white smile shouldn't confuse the facts.



But, unfortunately, in Israel, facts are irrelevant. It makes no difference what was. Only pertinent is what will be. Nothing can be, or is to be, learned from the past.



Every once in a while I'm asked why I keep writing. In truth, sometimes I ask myself the same question. At times, looking back at articles written weeks, months and years ago, it seems that nothing has changed and the messages remain the same. So why keep writing them, albeit using different themes and words, again and again?



For instance, I found the following in an article called 'Question Mark' written in July, 1995, almost ten years ago. I think it quite appropriate to reprint the story, narrated numerous times by Adir Zik on his Arutz 7 radio program, "Zikukim shel Adir" (Sparks from Adir):

During the days of the Roman Emperor Caesar Caliguila, in 32CE, before the destruction of the 2nd Temple, Jews lived together with Greeks in the small city of Yavneh. The Greeks wanted to construct a large statue to be placed in a public place and used for idol worship in honor of the Emperor.

The Jews of Yavneh strenuously objected, causing the foreigners to complain to Caliguila, stating that the Jews didn't accept his supreme rule. Caliguila reacted by ordering construction of a large statue, to be stationed in the Temple in Jerusalem. Knowing that the Jews would resist, he ordered his general Petronus to go to Israel with half of the Roman army, to take charge of the operation and to enforce the decree. Eight years later the statue was ready and Petronus arrived, with his army, at Acre, in Israel.

The Israel's, aware of the impending crisis, were upset beyond description. A statue, for idol worship, in the holy Temple, was unthinkable. All the people of Israel, tens of thousands of citizens, men, women, children, and babies, arrived in Acre. They stationed themselves before Petronus' camp, and refused to leave. When Petronus appeared before them, the entire crowd fell on the ground before him. He ordered them to rise, and when they did, they covered their heads with dust from the ground, a sign of mourning. He asked, "Do you rebel against the Emperor?" They replied that they would not fight the Emperor's army, but they would die before they would allow a statue to be placed in the Temple. Petronus was overwhelmed with the demonstration and was unable to reply. Instead, he moved his camp to the city of Tiberia.

The Jews wouldn't give up. They came in droves, from all over the country. It was planting season - they should all have been in the fields. But instead they gathered in Tiberia, thousands upon thousands. The stood by Petronus' camp for 40 days, without moving, paying no attention to weather, hunger, or the economic devastation they were bringing on themselves, by not planting in their fields. After 40 days, Petronus, overcome, asked them again, if they were rebelling against the Emperor. They replied in the negative, repeating that if he planned to fulfill the Emperor's orders they would first commit mass suicide.

Petronus, a general who had mercy on no soul, was dumbfounded. He sent a message to Caliguila in Rome, asking him to rescind the order. Caliguila responded by ordering Petronus to commit suicide. However, this order was delayed in arriving because of weather conditions. In the meantime, Caliguila was murdered in Rome and his orders were canceled.

Of course, you're aware of the difference between then and today. Petronus and Caliguila were Romans. The Petronus and Caliguila of today are Israeli Jews.

We might expect that Arik and Shimon would have learned, but no, the past no longer exists. Arafat is gone, and the great Arab hope has surfaced. History starts today.

So why write: Simply to make sure that people never forget, and they shouldn't have any excuses. We have to keep saying it, time and time again, like a mantra: Eretz Yisrael belongs to Am Yisrael, only to Am Yisrael!

This afternoon, as this commentary is being aired, tens of thousands of people will be lining the streets of Jerusalem, outside the Knesset, across from the Prime Minister's office. The scene won't differ much from the above-told story. Thousands and thousands, beseeching the L-rd our G-d to bring about an end to the nightmare plaguing His people.

In January of 1996, on the eve of the signing of the Hebron Accords, I wrote, "Tonight not only is Hebron on the chopping block. Tonight almost all of the land area of Judea, Samaria and Gaza is up for grabs… Netanyahu is not only beheading

The Jewish Community of Hebron. He is castrating the Land of Israel… abandonment of land in Israel is contrary to our very existence. We came back to Eretz Yisrael to settle the land, to live on the land - not to divide it and hand it over to our enemies, to terrorists. The direction of the present `moment of truth' is clearly negative. But eventually, this will change and the crossroads we are turning down now will reach a dead-end, and we won't have any choice but to turn around, come back, and turn the other way. Whatever the cost, we must know this, and live accordingly.”



The same thing, then and today. You may ask, how are we 'living accordingly?' In a couple of the days Hebron's Yahalom family with celebrate the Brit Milah of their fifth child. Their oldest child, a girl, is almost five years old. The Yahalom family lives in a two bedroom caravan, next to Yeshivat Shavei Hevron, where Moshe Yahalom studies. Moshe and his wife Tehilla decided that at present, 'living accordingly' does not mean performing the Brit ceremony at Ma'arat HaMachpela, the Tomb of the Patriarchs and Matriarchs, as is traditional here in Hebron. Rather, they decided to conduct the ceremony elsewhere, specifically, at Netzarim, in Gush Katif.



This community, which is, according to media reports, slated to be the first to be deleted from the map, G-d forbid, was, in the past, highly praised by Ariel Sharon, being of major security importance to the state of Israel. Arik may have changed, but Netzarim hasn't. Neither have the people of Israel, people like Moshe and Tehilla Yahalom, who understand the value of our land. Their singular act of courage should be a lesson to all those who have decided to change history, to rewrite the books, to obliterate fifteen hundred dead, to forget Ma'alot, to start from today. The Yahaloms, together with multitudes on the streets of Jerusalem, will proclaim: You cannot erase history, we will not forgive your abandonment of our land, we will not forget our land, we will not surrender our essence. Abu-Mazens, Shimons and Ariks will come and go, but Eretz Yisrael will remain ours forever.



With blessings from Hebron.







The Jewish Community of Hebron
POB 105 , Kiryat Arba-Hebron 90100 hebron@hebron.org.il
Tour Hebron: Tel 972-64-371257 or write: simcha@hebron.org.il
The Hebron Fund
1760 Ocean Ave., Brooklyn, NY 11230
hebronfund@aol.com
718-677-6886

Web: www.hebron.org.il Ma'arat HaMachpela: www.machpela.com
Visit Hebron: www.visit.hebron.org.il