Archive jusqu'au 10/janvier/2005

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2005: Commentaires de Janvier 2005: Archive jusqu'au 10/janvier/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le lundi 10 janvier 2005 - 20h28:

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Rencontrez le nouveau RAIS

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Signalé : Janvier 10, 2005
1:00 heure du matin. Oriental


© 2005 WorldNetDaily.com


Dans les résultats d'élection qui sont une surprise pour personne, on s'attend à ce qu'aujourd'hui Mahmoud Abbas soit le gagnant avoué de l'élection présidentielle dans l'autorité palestinienne.

Certains sont pleins d'espoir ce "modéré" peuvent être la clef à la paix avec l'Israel. Je ne partage pas cet optimisme.


La clef à une paix négociée serait conduite arabe voulant faire ce qui suit :


arrêtez ceux ouvrir qui pratiquent et commis au terrorisme contre l'Israel ;

arrêtez l'éducation et la propagande anti-sémitiques dominantes dans les écoles palestiniennes d'autorité et les médias officiels ;

acceptez de vivre dans la paix avec les voisins juifs en Israel et extérieur ;

Abbas, un associé à long terme dans le crime de terroriste avec Yasser en retard Arafat, ne semble préparé pour faire aucune de ces trois choses.

Abbas s'est uniformément opposé à l'idée d'employer les forces palestiniennes de sécurité pour arrêter le terrorisme. Quoique ce soit une condition absolue de la carte routière mal orientée de paix des ETATS-UNIS, Abbas a indiqué qu'il n'a aucune intention de confirmer l'engagement.

Pendant un discours au Conseil législatif palestinien en automne de 2003, Abbas expliqué en arabe que la carte routière réclame "frapper et déraciner [ les organismes de terroriste ]." Il l'a dit avec succès "surmonté" ce problème - signification qu'il l'a ignoré.

En d'autres termes, tout à fait clair, quel Abbas indique en anglais aux assistances occidentales est en désaccord avec ce qu'il dit en arabe à ses constituants. ce familier de bruit ? Est exactement il de ce que nous étions témoin avec Arafat pendant plus de 40 années.

Rien Abbas, ou Arafat avant lui, parole n'est signicatif. Nous devons observer leurs actions à la place. Et leurs actions montrent seulement une chose : Elles continuent à travailler vers toute la destruction de l'état de l'Israel et du meurtre d'autant de juifs comme possible.

Abbas, ou Abu Mazen car il est également connu, n'est pas l'espoir modéré pour la paix car il a été souvent dépeint.

Beaucoup ont entendu l'histoire comment Abbas, en tant que candidat doctoral à l'université orientale de Moscou en 1982, a écrit une thèse suggérant de loin moins de 6 millions de juifs ont été tués dans Holocauste. Mais, Abbas a fait beaucoup plus que cela. Il accuse réellement les juifs de la conspiration avec Adolph Hitler pour annihiler Jewry européen. Il accuse les juifs de gonfler délibérément les nombres de ceux tués dans des camps de concentration pour préparer le terrain pour un état juif. Il a pu avoir été un du premier pour égaliser le sionisme avec le nazisme.

"le pieu du mouvement sioniste en gonflant le nombre de assassiné dans la guerre a été visé en assurant de grands gains," il a écrit, ajoutant que "ceci a mené à confirmer le nombre [ 6 millions ] pour l'établir dans l'opinion du monde, et, en faisant ainsi, pour réveiller plus de douleurs de conscience et de sympathie pour le sionisme en général."

Dans la version de son papier doctoral plus tard a édité sous le titre, "l'autre côté : Le rapport secret entre le nazisme et le mouvement sioniste, "Abbas a nié l'utilisation allemande des chambres de gaz et l'a suggéré que tout le nombre de juifs tués ait été moins de 1 million.

Mais peut-être horrifier et la charge de révolte par Abbas est que les Sionistes étaient complicit avec les Nazis dans le meurtre des juifs.

"le mouvement sioniste a mené une large campagne de stimulant contre les juifs vivant selon la règle Nazie, afin de réveiller la haine du gouvernement d'eux, à la vengeance de carburant contre eux, et pour augmenter l'extermination de masse," Abbas a écrit.

Abbas a dansé autour de ce traité pendant beaucoup d'années. Il a essayé de le mettre dans la perspective. Il a essayé d'expliquer ce qu'a vraiment voulu dire il quand il a nié 6 millions de juifs ont été assassinés. Mais il a jamais publiquement rétracté son accusation que les Sionistes ont collaboré avec les Nazis dans l'extermination des juifs.

Abbas était l'un des principaux planificateurs de l'attaque de terroriste de Jeux Olympiques de Munich. Il était le type qui a écrit les chèques et a embrassé les employés comme ils se dirigent au loin à une des attaques de terroriste les plus sensationnelles de son temps en 1972. Plus récemment il a dit que l'"Intifada" - le soulèvement violent par Arabs contre l'Israel qui a fait rage puisque la chute de 2000 - "doit continuer." Il n'a jamais renoncé à la lutte armée en tant que des moyens légitimes de réaliser son état palestinien précieux.

Rencontrez le nouveau patron... mêmes que le vieux patron.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Shalom (Shalom) le lundi 10 janvier 2005 - 19h02:

Article sur le Figaro d'aujourd'hui.


La Palestine, le conflit avec l'État hébreu et les déchirures franco-israéliennes
La brute et l'opprimé

Par NISSIM ZVILI *
[10 janvier 2005]


Je me souviens, lors d'une rencontre franco-israélienne entre journalistes, cette année à Paris, des échanges entre deux reporters de télévision : l'une Française, l'autre Israélienne, chacune filmant dans les territoires palestiniens et en Israël les mêmes choses, mais avec un récit si différent ! Car selon que l'objectif «zoome» sur une zone ou fait un grand angle sur l'ensemble, selon que l'on tend le micro à une partie ou à plusieurs, selon que l'on cherche ce qu'il y a derrière ou non, la réalité présente des facettes bien différentes. La réalité est multiple et complexe.

Ces dernières années, on nous a servi un récit figé dans lequel les figurants ne se départaient pas du costume dont on les affublait. La brute et l'opprimé. Tout ce qui ne rentrait pas dans ce cadre était évacué : l'éducation palestinienne à la haine, au djihad et au «martyr» ; le rôle de l'Autorité palestinienne (AP) dans les violences et le terrorisme et les véritables causes du déclenchement de l'intifada ; le détournement des fonds spoliant les Palestiniens ; le mépris de l'AP à l'égard des ins titutions ; tous les trafics d'armes offensives coûtant des millions qui, détournés, ne rempliront pas les caisses du ministère palestinien de la Santé...


Conflit surexposé, omniprésent, suscitant passions et vocations, mais dont la surmédiatisation n'a en rien aidé à régler quoi que ce soit là-bas, créant même en France des ruptures. Au bout du compte, pendant que le conflit perdurait entre Israéliens et Palestiniens, chacun ici se radicalisait et l'incompréhension a érigé un mur entre l'opinion française et la société israélienne. Les bonnes intentions ne manquèrent pas, mais elles ont souvent pavé le chemin de l'enfer. La bonne volonté de nombreux militants a été prise en otage et instrumentalisée non au profit de la paix, mais d'une terrible simplification. Un demi-savoir est toujours un faux savoir, disait Charles Péguy. Or le préalable à la paix, à toute paix, hormis, bien sûr, la volonté de la faire, c'est la justice. Et la justice demande la vérité. Les demi-vérités ne servent que les prêcheurs de haine et les bâtisseurs d'impasses. Le mensonge est destructeur.


Il y a aujourd'hui une chose sinon détruite, en tout cas abîmée profondément : l'amitié qui liait les peuples français et israélien, l'estime qu'ils se portaient. C'est une histoire d'amour déçue, de part et d'autre. Ce n'est pas seulement anecdotique, il y a des conséquences – mesurables notamment sur le plan diplomatique – qui interfèrent directement au niveau du conflit israélo-palestinien. La France, et l'Europe derrière elle, aurait pu jouer un rôle au Proche-Orient pour peu qu'elle écoute aussi les souffrances israéliennes, qu'elle cesse de distribuer les rôles de victimes et de bourreaux, qu'elle saisisse le désarroi profond qui s'est emparé de la société israélienne dans son ensemble face au sentiment de la trahison d'Oslo et face au déchaînement terroriste qui fauche horriblement les civils.


Il n'en a pas toujours été ainsi. Il n'y a pas si longtemps, la France idéalisait ces pionniers juifs, réfugiés de la Shoah ou du monde arabe, qui créèrent une patrie à force de courage et de détermination, qui inventèrent les kibboutz, arrachèrent les pierres et déposèrent des graines à la place. Les sociétés civiles française et israélienne nouèrent alors des relations profondes et tissèrent des liens de solidarité, au-delà du politique. Puis vint le tournant de 1967, et passés les premiers effrois dus à son encerclement et sa menace sans nuance de destruction par les armées arabes, Israël ne fut plus perçu que comme un Etat occupant. Aujourd'hui, les jeunes générations gavées de discours idéologiques ne connaissent plus que cela, et les autres ont bien vite oublié ce qui a mené à la guerre de 1967. Au fil des ans, les raccourcis historiques sont devenus des autoroutes, les occultations ont masqué les faits et les mensonges se sont mués en vérité.


Ce n'est un secret pour personne que, depuis septembre 2000, les relations France-Israël se sont profondément dégradées. De nombreux Français considèrent Israël comme un Etat oppresseur, injuste, surpuissant. Beaucoup perçoivent le conflit israélo-palestinien comme un conflit colonial – il est tellement plus commode de plaquer un schéma connu pour appréhender le monde, les Israéliens comme des voleurs de terre, et ne comprennent même pas qu'il puisse en être autrement. Dans l'opinion, il se trouvait toujours des gens pour comprendre le terrorisme, l'appeler résistance et faire comme si des civils tués délibérément par des groupes armés, de façon massive et systématique, ça ne s'appelait pas crime contre l'humanité en droit international. Il y avait toujours des bonnes consciences pour accepter le terrorisme du fait de l'occupation et balayer d'un trait toute la profondeur du conflit. Et comme, de toute façon, ils oubliaient que le meurtre délibéré de civils israéliens est bien antérieur à 1967, antérieur à 1948 même, ils étaient tout disposés à pardonner les actes du Hamas réalisés avec la bénédiction de l'Autorité palestinienne.


Les Israéliens se sont sentis dès le début totalement lâchés par l'opinion française. Ils pouvaient mourir déchiquetés dans un bus, ça ne comptait pas, ou si peu. Toute initiative politique israélienne était décrédibilisée. Les menaces réelles étaient minimisées quand elles n'étaient pas tout simplement méprisées. Les Israéliens ont été choqués par la partialité des médias français et les demi-vérités (qui allaient bien au-delà de ce qu'il est convenu d'appeler une «critique légitime de la politique israélienne») qui ont déformé ce qu'est réellement la société israélienne, sa classe politique, et ont pénétré l'opinion publique en France.

Les Israéliens ont perdu confiance, et l'ampleur de la vague d'antisémitisme en France, déniée puis minimisée de longs mois durant, a encore éloigné les deux sociétés. L'angoisse israélienne, due à la violence terroriste quotidienne, venait se doubler d'une angoisse vis-à-vis des frères juifs en diaspora. Les sensibilités de part et d'autre étaient exacerbées.

Israël ressent en fait ce sentiment d'abandon depuis la fameuse déclaration de De Gaulle, quand la France l'a laissé tomber dans les moments les plus durs. Avec l'irruption de l'intifada, les Israéliens ont ressenti la position de la France comme étant pour le moins ambiguë, voire injuste et incompréhensible.


Malgré tout, les liens entre la France et Israël sont à ce point forts qu'il est toujours resté un noyau dur autour duquel la relation pouvait se reconstruire. Avec la volonté réelle de briser la glace, fut ainsi créé en 2002, à l'initiative de Dominique de Villepin, un «Groupe de haut niveau pour la relance des relations franco-israéliennes». Ces efforts conjoints au niveau des deux gouvernements ont permis d'éviter une véritable cassure. Plusieurs rencontres ont eu lieu depuis, entre in tellectuels, entre villes jumelées, entre journalistes, entre scientifiques, entre jeunes. On cherche à se parler, à se comprendre peut-être. Il y a au moins une prise de conscience de la déchirure entre les deux sociétés, une amorce de déverrouillage du débat, mais force est de constater que nous menons encore un dialogue de sourds. On s'écoute poliment, mais chacun campe sur ses positions.


Comment sortir de l'ornière ? La prise de conscience des dérives entre Français et Israéliens a permis de renouer un dialogue plus ouvert entre les représentants politiques des deux pays. Cette approche plus saine et plus équilibrée des relations est encore favorisée aujourd'hui par l'évolution de l'actualité au Proche-Orient. Il semble que les événements internationaux offrent naturellement une voie de sortie. La mort d'Arafat bien sûr, dont on est bien obligé de constater en creux qu'il bloquait de son vivant bien des choses, recouvrant d'une chape de plomb toute avancée possible. Et par ricochet, cette reprise des liens israélo-arabes, parfois au grand étonnement des Occidentaux qui ne pouvaient s'imaginer que tout aille si vite désormais. Bien sûr, plus de dix ans après l'euphorie d'Oslo, nous modérons notre enthousiasme pour réserver aux négociations une chance de réussite...

Ce qui prévaut aujourd'hui entre Français et Israéliens, c'est la volonté des deux gouvernements de sortir de cette relation tendue qui nuit à tous. Nos sociétés ont beaucoup de valeurs communes, dont celle de croire que les choses se réparent. La marche vers la paix israélo-palestinienne pourra éga lement contribuer à un rapprochement franco-israélien. Aujourd'hui, le climat est plus propice à l'optimisme. Avec une appréhension plus lucide de nos différends, la volonté de se mieux comprendre et de se percevoir plus finement les uns les autres, Israël et la France ont une chance de renouer l'amitié et le soutien qu'ils se portaient.

* Ambassadeur d'Israël en France.

Shalom

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le lundi 10 janvier 2005 - 18h02:

L'autre côté de la piece.

The Problem with Mahmoud Abbas
By Jeff Jacoby
Boston Globe | January 10, 2005


The outcome of today's election for president of the Palestinian Authority was never in doubt. Mahmoud Abbas, Yasser Arafat's longtime accomplice -- the two men co-founded Fatah, the largest terrorist faction within the PLO, in 1965 -- was always going to win in a landslide. The three other candidates were never going to get more than a sliver of the vote. That they got any votes at all was impressive, given the virtual news blackout on their campaigns by the Fatah-controlled Palestinian media and the bullying of anyone tempted to support them. The New York Sun described some of the arm-twisting on Dec. 31:

"One of the reasons none of the three candidates has received much support is intimidation by the PA [Palestinian Authority]. 'People are afraid to be seen even reading their campaign literature,' says one Palestinian. . . . The message that the people have received from various leaders of the PA is that if they vote for a candidate other than Mr. Abbas, they will either lose jobs they already have in the PA or will not be hired by the PA in the future. Since the PA is the largest employer in the West Bank and Gaza, the threat carries a great deal of weight.

"Physical intimidation has also played a role. . . . On Wednesday, shots were fired at [candidate Bassam el] Salhi's offices in Ramallah . . . ."

Surely this isn't what President Bush had in mind when he said, in his seminal June 2002 address on the Arab-Israeli war, that the United States would support the creation of a Palestinian state if the Palestinians would first "build a practicing democracy, based on tolerance and liberty." Nor can Abbas, who spent decades at Arafat's side and who has been unyielding in his refusal to crack down on Palestinian gunmen and bombers, be what Bush meant when he insisted that Palestinians "elect new leaders, leaders not compromised by terror." So why has the administration bent over backward to support the election and give its blessing to Abbas?

On Dec. 29, the State Department transferred $23.5 million to the Palestinian Authority -- a mark, said assistant Secretary of State William Burns, of American "confidence in the direction of the PA's reform program." The absurdity of such confidence was made clear one day later, when Abbas brazenly campaigned with members of the al-Aksa Martyrs Brigade in Jenin. A picture of Abbas riding on the shoulders of Zakaria Zubeidi -- a notorious terrorist and one of Israel's most wanted men -- was published around the globe.

Yet when Colin Powell was asked about it, he shrugged. The photo is "disturbing," he conceded, but "I don't think it reflects Mr. Abbas's overall approach to governing."

Please. The embrace of Zubeidi was no anomaly. Abbas is sometimes described as a "moderate" opposed to terrorism, but his opposition is purely tactical. He has no *moral* problem with blowing up buses and cafes, he simply thinks such methods are, for now, counterproductive. Last week, Abbas hailed Palestinian gunmen in Gaza, but urged them to stop firing rockets at Israeli towns. Because deliberately targeting civilians is wrong? No. "Because this is not the proper time for such actions." Hardly the words of a moderate.

Again and again, Abbas has expressed his solidarity with violent extremists. Last month he traveled to Damascus to meet with some of the region's most implacable terror groups, including Hamas, Islamic Jihad, and the Popular Front For the Liberation of Palestine-General Command. Afterward, Abbas's "foreign minister," Nabil Sha'ath, declared that between the Palestinian Authority and the other groups, "there are no differences over the objectives."

And what are those objectives? About that, Abbas has been explicit. In recent weeks he has promised to shelter terrorists from Israeli arrest and vowed that there will be no PA crackdown on Palestinian terrorism. He hews unswervingly to Yasser Arafat's hardline positions -- an Israeli retreat to the 1949 armistice lines, Jerusalem as the Palestinian capital, the elimination of every Jewish settlement, the dismantling of Israel's security fence, and no limit on the "right of return" -- code for the abolition of Israel as a Jewish state.

Abbas is no moderate. His election is not a step toward peace. What was true in Afghanistan and Iraq is true in the Palestinian Authority as well: Without regime change, freedom and democracy are impossible. Just as the defeat of the Taliban and Ba'athists were a prerequisite to elections, so the dismantling of the corrupt Fatah autocracy is essential to Palestinian reform. President Bush got it right in 2002: The Palestinians need "new leaders . . . not compromised by terror." They still do.

Jeff Jacoby is a columnist for The Boston Globe.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Suggest1 (Suggest1) le lundi 10 janvier 2005 - 15h31:

A propos du film ! « La chute »

En dehors de ce que ce film voudrait démonter, que Hitler et son entourage étaient des psychopathes ;

Mais pas seulement :

Que cette folie s’arrêtait aux portes du bunker, alors que c’est tout le peuple allemand qui était devenu FOU :

C'est sûr qu''' ILS' allaient nous 'LA' jouer !
A la fin, tout à la fin du film pour nous laisser sur cette impression !

Nous jouer ?

La rangaine ! La rangaine ! Bien connue du'''

‘’mais j’ne savais pas''!
''si j'aurais su j'n’aurais pas v'nu''

C'est le langage de la petite secrétaire ;…………………………………(traudl junge)
Et derrière elle celle du peuple allemand:………(puisque c'est une petite secrétaire)
Et qu'est ce qu'ils ont souffert ces allemands! Oubliés ceux qu'ils ont fait souffrir! Oubliées les victimes;
A la fin du film ? On va même jusqu'à laisser à penser que les barbares ce sont les russes !
C’est vrai que c’est avec des yeux bien concupiscents qu’ils regardent les pauvres femmes allemandes :
Les russes ne vont en faire qu’une bouchée :

Ce qu’il faut en retirer ?

C'est qu'aucun peuple aussi civilisé soit-il? N’est à l'abri d'une folie collective;

C'est à nous, dans un combat quotidien en tant que 'juifs’, loin de tout culte des idoles, qui génère le culte de la personnalité de veiller :

Fascisme ! 'vertprairie' 'vertbouteille' 'rouge' ou 'noir' même combat:

suggest1

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nonette (Nonette) le lundi 10 janvier 2005 - 10h33:

Oui,hélas hitler a réussi son coup et le poison de l'antisémitisme agit toujours plus vivace encore;visitez le site:
http://users.skynet.be/fa1050/polonaise.htm

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le lundi 10 janvier 2005 - 10h03:

Yitro Amit Nathanya

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le lundi 10 janvier 2005 - 02h22:

Je me fais l'intermédiare pour vous transmettre ce message venant de Tunisie :

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Je recherche une dame dont le nom est Frida (fille ou mariée à Cohen ...?), et qui habitait la Goulette dont elle est native. Elle serait née aux environs de 1920 ou 25. Ses parents habitaient la Goulette Neuve, du côté de la rue Doumer et le Ciné-Rex; et avaient des proches à la rue des Maltais à Tunis. Elle habiterait Naharia Chicoun d'où elle m'avait écrit vers 1955 pour me donner de ses nouvelles et celle de ma demi-soeur, sa fille, qui a quitté la Tunisie avec elle pour Paris puis pour Naharia où elles s'étaient installées.
Depuis assez longtemps que je cherche, en vain, sa lettre, seule source qui m'aiderait à me souvenir de son nom de famille, ceux du mari et de ma soeur qui je n'en doute pas a été changé depuis. Papa était un Prince, fin amateur de musique orientale et andalouse et fréquentait le milieu des chanteurs et musiciens juifs goulettois. Il habitait le Kram (commune de la Goulette) où il est décédé dans les années 60; le seul qui pouvait m'éclairer. Si Mam Frida ou ma soeur se reconnaissent à travers cette annonce relayée par votre efficace réseau de recherche, je les prie de me faire signe à travers cet émail : azizbey@lycos.com

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le lundi 10 janvier 2005 - 00h37:

Les tsunamis : C’était Israël ?


Par André Nahum pour Guysen Israël News

Ca y est. Ne cherchez pas plus longtemps.
On a “probablement” trouvé la cause et les responsables du terrible séisme qui a ravagé avec ses tsunamis l’Asie du sud.

Devinez ?


Qui peut-être responsable d’un tel massacre de masse ?
Vous n’avez pas trouvé ?
Facile pourtant.

Eh bien c’est “probablement” Israël et les USA, allègue l’hebdomadaire égyptien « Al-Usbu' ».

Normal.

On savait que ces deux pays et surtout le tandem honni Bush-Sharon étaient responsables de tous les malheurs de la planète, mais comment diable peut-on se demander ont-ils pu déclancher un pareil tremblement de terre ?

On les savait capables de tout, mais quand même !

Très simple.
Si l’on en croit l’hebdomadaire en question, ce serait une expérience nucléaire indienne à laquelle ont participé les experts nucléaires américains et israéliens qui est la cause de tout.
La complicité du grand et du petit Satan n’a rien pour nous étonner puisque leur but, si l’on a bien compris l’article en question, n’est autre que d’exterminer l’Humanité. Mais ce qui est nouveau, c’est que l’Inde, avec son milliard et quelque d’habitants, participe aussi à ce Club des “Satan », grand et petit.

Vous trouvez cela débile ?
Moi aussi.
Aussi débile et aussi ignoble que les accusations portées contre Israël et le Mossad au lendemain des attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis.
Mais il n’empêche qu’il y a des gens qui lisent ces inepties et qui y croient.

Peu importe à ces fanatiques aveuglés par leurs coupables certitudes que les Américains déploient des moyens considérables en matériel, en hommes et en dollars pour venir en aide à l’Asie du sud sinistrée.

Peu leur importe qu’Israël, pays minuscule, en butte à d’innombrables problèmes, ait été un des tout premiers à envoyer là-bas des secouristes et du matériel.

Tout cela ne compte pas.

Seule importe la haine aveugle.

C’est bien triste.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Shalom (Shalom) le lundi 10 janvier 2005 - 00h01:

selon Reuters et ASP.
Sur Internet.
"Large victoire pour Mahmoud Abbas, selon les sondages à la sortie des urnes --par Mohammed Daragmeh--
[09/01/2005 22:35]


de Mahmoud Abbas qui proclame sa victoire; AP Photos

RAMALLAH, Cisjordanie (AP) -- Les Palestiniens, qui se rendaient aux urnes dimanche pour leur première élection présidentielle depuis neuf ans, ont semble-t-il offert une large victoire à Mahmoud Abbas. Selon les sondages à la sortie des urnes, le candidat du Fatah l'emporte avec entre 65% et 70% des voix.

Si ces résultats sont confirmés, Mahmoud Abbas, de son nom de guerre Abou Mazen pourra bénéficier de la légitimité nécessaire et d'un mandat clair pour reprendre les négociations de paix avec Israël, contrôler les groupes armés et lutter contre la corruption au sein de l'Autorité palestinienne.

«J'offre cette victoire à l'âme de Yasser Arafat et je la dédie à notre peuple, à nos martyrs et aux 11.000 prisonniers» incarcérés en Israël, a déclaré Mahmoud Abbas dimanche soir devant plusieurs centaines de militants en liesse, deux heures après la fermeture des bureaux de vote. «Une mission difficile s'annonce pour construire notre Etat, assurer la sécurité de notre peuple, apporter une bonne vie à notre peuple, donner la liberté à nos prisonniers (...) et atteindre notre objectif d'un Etat indépendant», a-t-il ajouté.

D'après un sondage sortie des urnes réalisé par le Centre palestinien d'études politiques, le chef de l'OLP et candidat du Fatah l'a emporté avec 66% des suffrages, contre 19,7% pour son principal rival, Mustafa Barghouti. Un deuxième sondage réalisé par l'université An Najah à Naplouse en Cisjordanie accordait 69,5% des voix à Mahmoud Abbas et 24,5% à Barghouti. Un troisième réalisé par l'université Bir Zeit de Ramallah en Cisjordanie donnait Abbas vainqueur avec 70% des voix.

Les résultats officiels du scrutin devaient être connus lundi matin. Mais dès la diffusion des sondages, les partisans de Mahmoud Abbas sont descendus dans les rues pour fêter sa victoire annoncée. A Hébron en Cisjordanie, les automobilistes klaxonnaient et agitaient des portraits d'Abou Mazen. A Ramallah, des coups de feu ont été tirés en l'air.

Le Premier ministre israélien Ariel Sharon, dont le nouveau gouvernement formé avec les travaillistes devait être investi lundi par le Parlement israélien, compte rencontrer Mahmoud Abbas après l'élection, a fait savoir son conseiller Raanan Gissin.

«Je crois que ce vote montre un changement dans la rue palestinienne car les positions d'Abou Mazen sont connues, son opposition au soulèvement armé et au tort qu'il a fait à la cause palestinienne», a estimé Ranaan Gissin. «Nous saluons certainement cela et espérons qu'avec ce mandat, Abou Mazen conduira le peuple palestinien sur le chemin de la réconciliation». Israël propose de libérer des prisonnier palestiniens s'il peut faire cesser les tirs de roquettes.

Abbas, qui fête cette année ses 70 ans, a assuré qu'il resterait dans la ligne d'Arafat, mort le 11 novembre dernier à Paris. Considéré comme pragmatique et modéré, il rejette la lutte armée, la jugeant contre-productive pour parvenir à l'objectif d'un Etat palestinien indépendant. Il refuse toutefois de réprimer les groupes armés, comme le réclame Israël, préférant miser sur la conclusion d'une trêve. Le mouvement islamiste Hamas boycotte le scrutin.

A 20h (18h GMT), soit une heure avant la fermeture des bureaux de vote, le taux de participation atteignait 66% des électeurs inscrits, selon les responsables électoraux. Le chiffre devait encore augmenter, des électeurs non inscrits ayant pu participer à l'élection.

Les bureaux, qui avaient ouvert à 7h locales (5h GMT), ont fermé à 21h (19h GMT), au lieu de 19h (17h GMT). Un délai nécessaire, selon la commission électorale, pour faire face au nombre croissant d'électeurs affluant en fin de journée. Et aussi pour résorber les retards accumulés à Jérusalem-Est, en raison d'un cafouillage résolu par l'un des patrons des observateurs internationaux, l'ancien président américain Jimmy Carter: nombre d'électeurs ne figurant pas sur les listes du principal bureau ont finalement pu voter dans n'importe lequel des six bureaux de Jérusalem-Est.

Hormis cela, aucun incident majeur n'a marqué la journée. On a certes constaté l'irruption de cinq Palestiniens, membres présumés du Hamas, qui ont tiré en l'air dans un bureau de vote de Ramallah, sans blesser personne. Et la police israélienne est intervenue pour empêcher un groupe de manifestants juifs de perturber le scrutin à Jérusalem-Est.

Dans l'ensemble, la commission électorale se disait satisfaite, aucune fraude n'étant signalée. L'armée israélienne avait allégé les restrictions à la circulation pour faciliter le vote, supervisé par des centaines d'observateurs internationaux, dont l'ancien Premier ministre français Michel Rocard.

Quelque 1,8 million de Palestiniens de Cisjordanie, Gaza et Jérusalem-Est étaient inscrits pour cette première présidentielle depuis l'élection d'Arafat en 1996.

A Gaza, le policier Mohammed Jouma a été l'un des premiers à voter, dans une école. Après avoir laissé son arme à l'entrée, il a choisi celui qui, à ses yeux, peut le mieux répondre aux attentes du peuple palestinien: Abou Mazen.

«J'ai fait le déplacement parce que je veux contribuer à construire notre avenir», a-t-il expliqué. «Je vais voter pour Abou Mazen non seulement parce que je suis employé par l'Autorité palestinienne mais aussi parce que je crois qu'il le seul capable de nous amener du bon côté de cet océan de conflit».

A Jérusalem-Est, Joumana Khoury, 19 ans, expliquait, elle, avoir voulu, en mettant son bulletin dans l'urne, «participer à la résistance contre l'occupation. Reste qu'elle admet que voter dans un bureau de poste israélien était «intimidant»...

Pendant ce temps, dans les camps, les réfugiés palestiniens, privés de scrutin, ont remâché leur amertume en suivant cette journée historique à la télévision, entre espoir et critiques. «Mahmoud Abbas n'est que l'épice du repas préparé par les Israéliens dans la cuisine américaine», dénonçait ainsi la militante féministe Nadia al-Joundi dans le camp de Baqaa (Jordanie). AP

Shalom

nc/div/mw/sb


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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le dimanche 09 janvier 2005 - 23h29:

23:20
Exit polls give Abbas 66-70% of vote; 65% voter turnout in poll.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 09 janvier 2005 - 22h53:

c:/

ISRATIM 102 Avenue des Champs Elysées 75008 PARIS   http://www.isratim.co.il
Tél. : 01.44.83.85.00 Fax : 01.44.83.85.04

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maxiton (Maxiton) le dimanche 09 janvier 2005 - 21h05:

entièrement d'accord avec suggest1.

Hitler a gagné au delà de ses espérances.

Il n'y a presque plus de juifs en Europe.

la culture yiddish, si riche, si généreuse a disparu.

Un fascisme vert remplace celui que nous avons connu, et quoi qu'on dise ou pense , est en train de contaminer les esprits;

Essayez, comme je l'ai fait , de faire à vos amis non juifs le test du coiffeur

vous savez:

Hitler a déporté les juifs et les coiffeurs.

Résultats effarants garantis.

allez, bonne soirée


Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le lundi 10 janvier 2005 - 00h33:

Breaking : bombardement du Hezbollah sur les contreforts du Golan (info # 010901/5) [scoop]
© Metula News Agency


Metula 12h 25, heure de Jérusalem, 11h 25 à Paris



Entre 12h 10 et 12h 20, heure locale, le Hezbollah libanais a tiré 6 salves de mortiers et ou de missiles anti-chars en direction des positions israéliennes dans le nord du Golan. La provenance des tirs se situe entre le village libanais de Kfar Shuba et la région dite des "fermes de Shabaa", à une vingtaine de kilomètres, à vol d’oiseau, des bureaux de la Ména.



Pendant que nous écrivons ces lignes, 4 détonations supplémentaires viennent de retentir. Jusqu’à maintenant, nous n’avons pas observé de réaction israélienne.



L’aspect inquiétant de cette agression se situe dans le fait que la station de ski israélienne dans le Hermon est désormais ouverte et qu’elle fait peser un risque significatif sur les nombreux skieurs se trouvant dans la région.



En cas de dégradation de la situation, de l’annonce de victimes ou de dégâts matériels, nous publierons des mises à jour sur le site de notre agence, à l’adresse www.menapress.com. En cas d’événements plus importants, nous publierons d’autres breaking news.