Archive jusqu'au 27/janvier/2007

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2007: Commentaires Janvier 2007: Archive jusqu'au 27/janvier/2007
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le jeudi 25 janvier 2007 - 23h43:

Une voiture volante étudiée en Israël.

http://www.lefigaro.fr/
Dans la rubrique Vidéos : International
La voiture volante : bientôt une réalité.

Voir aussi
http://pisani.blog.lemonde.fr/
http://terrafugia.com/landing.html

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par A_Soued (A_Soued) le jeudi 25 janvier 2007 - 19h00:

COMBATTRE L'IDEE QUE L'ETAT JUIF NE SERAIT PAS LEGITIME ET GAGNER LA BATAILLE DE L'OPINION PUBLIQUE



Par le sénateur John Mac Cain, Républicain de l'Arizona- Etats-Unis

7ème Conférence d'Hertzlyah pour la Politique et la Stratégie- 23/01/07–session du soir

Traduit par Albert Soued, www.chez.com/soued/conf.htm pour www.nuitdorient.com



Merci de m'avoir invité à parler devant vous à cette conférence. Ce "nouveau sommet" est d'une importance majeure et, de mémoire récente, il est difficile de trouver une époque où Israël a fait face à autant de défis pour sa sécurité. Dans le passé l'état d'Israël a subi des temps difficiles, ce qui était pour lui la norme plutôt que l'exception. Souvenons-nous, depuis son indépendance, Israël a subi l'invasion de 1948, la Guerre des 6 Jours, la guerre du Kippour, la 1ère guerre du Liban, 2 intifadas et récemment la 2ème guerre du Liban. Il n'y a aucun pays au monde qui ait subi en si peu de temps autant de défis à son existence. Survivre dans ces conditions est déjà impressionnant, prospérer serait hors de question pour un autre pays.

Et Israël est florissant. Je voudrais néanmoins préciser que l'Amérique y a contribué, puisque ce pays est son allié et son partenaire naturel.

Or les épreuves continuent avec le Hamas, le Hezbollah et l'antisémitisme envahissant des médias arabes, la dure violence en Irak et ailleurs et les viles menaces émises régulièrement par le président Iranien. Mais Israël survivra, comme il a prospéré face aux armées et aux terroristes; comme il a prospéré avec les voisins les plus dangereux au monde, il réussira à écarter les menaces d'aujourd'hui. Et comme il y aura toujours un Israël fort et fier, il y aura toujours des relations étroites et durables entre Israël et les Etats-Unis. Je voudrais consacrer quelques minutes pour préciser ce que seront ces liens futurs entre les deux pays, selon moi.

Je commencerai par l'évidence: il n'y aura jamais de compromission quant à la défense d'Israël. Je sais qu'à cette Conférence on a discuté de la possibilité d'une plus grande coopération avec l'Otan. Je soutiens ces aspirations. Une démocratie amie sous siège devrait même appartenir à l'organisation de défense la plus efficace du monde.

En même temps, je voudrais qu'il n'y ait pas de doute quant à la position américaine, même en dehors de l'Otan. Devant l'accroissement des menaces sur la sécurité d'Israël, le soutien américain devrait s'intensifier, par la fourniture de l'équipement militaire et de la technologie nécessaires, afin d'assurer à Israël la supériorité qualitative sur le plan des armes.

Les ennemis d'Israël sont trop nombreux, la marge d'erreur possible trop faible et les intérêts communs et les valeurs partagées trop importants pour qu'il en soit autrement.

La puissance israélienne sera mise à l'épreuve. L'état parrain du terrorisme international, l'Iran se définit par son hostilité à l'égard des Etats-Unis et d'Israël. Il est tragique que des millénaires d'une Perse digne et fière se terminent dans un pouvoir qui enlève toute qualité de civilisé à ce pays. Quand le président Iranien appelle à l'effacement d'Israël de la carte du monde et demande un univers sans sionisme, ou suggère que la population juive retourne en Europe, ou assimile l'holocauste à un mythe, il est clair que nous sommes face au Mal personnifié et devant un régime dangereux.

La poursuite par l'Iran du projet nucléaire est un risque que nous ne pouvons accepter. Protégé par un arsenal nucléaire, l'Iran intensifiera sans frein son parrainage de la terreur dans le monde, pour éliminer ses ennemis. Son mépris envers le traité de non prolifération nucléaire qu'il a signé rend ce traité obsolète et induit des pays comme la Turquie, l'Egypte, l'Arabie et d'autres à revoir leur situation de défense. Les pays modérés du Golfe devraient s'adapter à cette nouvelle réalité et le monde vivrait indéfiniment avec la menace que Téhéran pourrait transférer des armes nucléaires à des organisations terroristes. Couplé avec son arsenal balistique, un Iran nucléaire serait une menace immédiate et mortelle pour l'état d'Israël.

Le Conseil de Sécurité de l'Onu doit imposer des sanctions politiques et économiques plus sévères. S'il continue à trainer les pieds, les Etats-Unis devraient mener un groupe de pays ayant les mêmes intérêts à imposer des sanctions multilatérales, en dehors de l'Onu. Iran doit importer du pétrole raffiné, ce qui le rend très vulnérable. Des pays tels que la Chine ou la Malaisie qui ont signé des contrats pour développer le pétrole iranien et la Russie qui fournit des systèmes d'armements à Téhéran devaient comprendre que la menace iranienne sera un sujet critique dans leurs relations bilatérales avec l'Amérique. Entre temps, les Etats-Unis devraient vérifier si ces contrats ne violent pas les clauses de l'"Iran Freedom Support Act" de l'an dernier (loi pour le soutien de la liberté en Iran votée par le Congrès).

Les Etats-Unis devraient appeler le secteur privé à désinvestir en Iran, comme cela a déjà été suggéré dans cette Conférence. On peut persuader les individus, les fonds de pension, les institutions financières à désinvestir des sociétés travaillant avec l'Iran. On peut isoler et rendre illégitime un gouvernement hostile. Et comme nous l'avons fait pour l'Afrique du Sud, on peut mener une campagne au sein du pays, pour savoir si les investissements sont utiles au peuple iranien ou servent seulement à enrichir l'élite au pouvoir. On devrait aussi rassurer les millions d'Iraniens qui aspirent à l'auto-détermination en soutenant leur désir de liberté et de démocratie. On devrait de même transformer ce soutien en action concrète.

Et toutes les options doivent être examinées, l'action militaire n'étant qu'un dernier recours, après avoir épuisé la voie diplomatique. Mais soyons réaliste, il y a une seule option pire que la solution militaire, c'est mes amis, un Iran nucléarisé. Ce régime Iranien doit comprendre qu'il ne peut pas sortir gagnant d'une confrontation avec le monde.



De même les dirigeants du Hamas doivent être isolés. Le peuple palestinien n'est pas bien servi par un gouvernement terroriste qui refuse de reconnaître à Israël le droit d'exister, refuse de dénoncer la violence et refuse de reconnaître les accords de paix déjà signés. Les Etats-Unis ne peuvent avoir des relations normales avec un tel gouvernement, qui délibérément incite à tuer des civils innocents, afin de terroriser toute la population juive. Les derniers pourparlers entre le 1er ministre Ehoud Olmert et le président Abbas sont encourageants et nous devons soutenir ces efforts. Mais d'un autre côté, nous devons être sûr que le peuple Israélien puisse vivre en paix, en attendant que les chefs Palestiniens s'engagent réellement dans la voie de la paix. Aucune nation civilisée – ni Israël, ni les Etats-Unis -- ne peut permettre à des terroristes de définir l'avenir politique de son peuple. Et nous ne pouvons pas aider le peuple palestinien, si cela signifie que nous devons accepter une bande de terroristes qui a réussi à prendre le pouvoir à cause du désespoir d'un peuple.

Pour continuer dans la terreur, il faut parler du Hezbollah. Les chances d'Israël d'avoir une paix durable avec le Liban, c'est qu'il y ait un seul pouvoir dans ce pays. Sans milices privées, sans combattants du Hezbollah, sans armes ni équipements parvenant de Syrie pour alimenter le Hezbollah. Pourtant ni l'armée Libanaise, ni les forces de l'Onu ne sont prêtes, ni ne veulent désarmer le Hezbollah. Tant que cette situation durera, la trêve actuelle ne peut servit qu'à réarmer le Hezbollah. Mais il n'y a qu'une solution, à brève ou longue échéance, le Hezbollah doit être désarmé.

Maintenant un mot de l'Irak. Nous avons fait beaucoup d'erreurs dans cette guerre, et Washington et Bagdad ne sont pas d'accord sur les mesures de correction à faire. La situation est chaotique et la tentation est de nous en laver les mains. Mais si nous le faisons, nous allons à la catastrophe, nous, l'Irak et Israël. Un départ précipité mènera à une guerre civile et l'émergence d'un état raté au sein du Moyen Orient. Il entraînerait l'intervention d'états voisins et une guerre régionale de grande envergure. Nous devons empêcher cela à tout prix, c'est-à-dire renforcer nos troupes à Bagdad et dans la province d'Anbar, tenir responsable le gouvernement Al Maliki de tous les objectifs politiques et économiques convenus, et demander des comptes aux voisins de l'Irak qui y attisent le feu. C'est notre dernière chance ou espoir de sauver la situation dans ce pays.



Je conclurai en notant qu'il y a eu récemment de longs débats non seulement autour de la promotion de la démocratie dans notre politique étrangère, mais aussi sur la sagesse de l'orientation pro-israélienne de l'Amérique. On n'a rien compris. Le lien entre Israël et l'Amérique n'est pas seulement stratégique. En fait nos liens profonds sont d'ordre moral, deux démocraties dont l'alliance est forgée de valeurs communes; il n'y a pas un conflit de loyauté à être profondément pro-israélien ou pro-américain. Il s'agit de défendre des principes qui sont chers aux 2 pays. C'est pourquoi aujourd'hui, nous tous, nous sommes fièrement pro-Américains et fièrement pro-Israéliens.



Combating the De-legitimization of the Jewish State and Winning the Battle of Public Opinion



By Senator John McCain, Rep. Arizona-Usa

The 7th Hertzlyah Conference for Policy and Strategy

January 23rd, 2007- evening session



Thank you for the honour of speaking before the 2007 Herzliya Conference. This year’s “grand summit” is of momentous importance, as it is harder to think of a time in recent memory when Israel’s national security has faced so many varied challenges.

The Jewish state has, of course, experienced tough times before – indeed, they have perhaps been the norm rather than the exception. When one thinks back over the conflicts – 1948, the Six Day War, Yom Kippur, Lebanon, the first Gulf War, two intifadas and Lebanon again – it is clear that Israel has been challenged more, in less time, than any nation on earth. Survival in the face of such trials would be impressive; flourishing would seem out of the question.

Yet Israel has thrived. I would like to believe that Israel’s success has been aided by America, Israel’s natural partner and ally. The tests continue today, however, in Hamas and Hezbollah, in the anti-Semitism so pervasive in the Arab press, in the restive violence in Iraq and elsewhere, and in the vile threats issued routinely by the Iranian president.

But Israel will survive. Just as it has thrived in the face of armies and terrorists, just as it has prospered in the most dangerous neighbourhood on earth, so will it succeed in the face of today’s threats. There will always, always be an Israel.

And just as their will always be a proud, strong Israel, so too will there always be a close and enduring U.S.-Israel relationship. I would like to take just a few minutes to outline what I believe the future holds for the vital ties between our countries.

Let me begin by stating the obvious: When it comes to the defense of Israel, we simply cannot compromise. I know that discussions at this conference have touched on the possibility of closer cooperation between NATO and Israel, and I support these aspirations. A friendly democracy under siege should be an ever closer partner of the world’s most successful security alliance.

At the same time, let there also be no doubt about where America stands, even outside NATO. In view of the increased threats to Israeli security, American support for Israel should intensify – to include providing needed military equipment and technology and ensuring that Israel maintains its qualitative military edge. Israel’s enemies are too numerous, its’ margin of error too small, and our shared interests and values too great for any other position.

Israel’s strength will be put to the test. The world’s chief state sponsor of international terrorism, Iran defines itself by hostility to Israel and the United States. It is simply tragic that millennia of proud Persian history have culminated in a government today that cannot be counted among those of the world’s civilized nations. When the president of Iran calls for Israel to be wiped off the map, or asks for a world without Zionism, or suggests that Israel’s Jewish population return to Europe, or calls the Holocaust a myth, it is clear that we are dealing with an evil man and a very dangerous regime.

Tehran’s continued pursuit of nuclear weapons clearly poses an unacceptable risk. Protected by a nuclear arsenal, Iran would feel unconstrained to sponsor terrorist attacks against any perceived enemy. Its flouting of the Nuclear Nonproliferation Treaty would render that regime obsolete, and could induce Turkey, Egypt, Saudi Arabia and others to reassess their defense posture. Moderate Gulf states would have to accommodate the new reality, and the world would live, indefinitely, with the possibility that Tehran might pass nuclear materials or weapons to one of its allied terrorist networks. Coupled with its ballistic missile arsenal, an Iranian nuclear capability would pose an immediate and existential threat to the State of Israel.

UN Security Council action is required to impose progressively tougher political and economic sanctions. Should the Security Council continue to drag its feet, the U.S. must lead a group of like-minded countries in imposing multilateral sanctions outside the UN framework. Iran’s need to import refined gasoline, to cite one example, suggests an important vulnerability. And countries such as China and Malaysia, which have signed deals to develop Iranian gas fields, and Russia, which provides weapons systems to Tehran, should know that Iran will be a critical element in American’s bilateral relations with each nation. In the meantime, the U.S. should immediately investigate whether any of these deals violate the terms of last year’s Iran Freedom Support Act.

The U.S. should also privatize the sanctions effort by launching a disinvestment campaign, as has been suggested at this conference. By persuading individuals, pension funds, and financial institutions to divest from companies doing business with Iran, we can isolate and delegitimize a hostile government. We will also, as we did with the South Africa disinvestment campaign, increase the debate inside the country about whether the present course serves the interests of the Iranian people or merely those of a misguided elite. Americans and all proponents of freedom need to reassure the millions of Iranians who aspire to self-determination that we support their longing for freedom and democracy. There is much more we can and should do to translate such support into concrete action.

And every option must remain on the table. Military action isn’t our preference. It remains, as it always must, the last option. We have some way to go diplomatically before we need to contemplate other measures. But it is a simple observation of reality that there is only one thing worse than a military solution, and that, my friends, is a nuclear armed Iran. The regime must understand that it cannot win a showdown with the world.

Similarly, the leadership of Hamas must be isolated. The Palestinian people are ill-served by a terrorist-led government that refuses to recognize Israel’s right to exist, refuses to denounce violence, and refuses to acknowledge prior peace commitments. The United States cannot have normal relations with such a government, one that deliberately targets innocent Israeli civilians in an attempt to terrorize the Jewish population.

The recent talks conducted by Prime Minister Olmert and President Abbas are encouraging, and the United States should support this effort. But we also must ensure that Israel’s people can live in safety until a Palestinian leadership truly committed to peace emerges. No moral nation – neither Israel nor American – can allow terrorists to chart the political course of its people. Nor would we aid the Palestinian people if we were to confer our acquiescence or approval upon a terrorist syndicate that has won power among a population desperate for change.

And to speak of terrorism is to speak of Hezbollah. Israel’s chance for enduring peace with Lebanon resides in a government that has a monopoly of authority within its country. That means no independent militias, no Hezbollah fighters, no weapons and equipment flowing to Hezbollah. Yet neither the Lebanese Army nor the international force is prepared or willing to take on Hezbollah. So long as that is the case, the current pause is likely to enable Hezbollah to regroup, reconstitute, and ream. There is one bottom line: to achieve lasting peace, sooner or later, one way or another, Hezbollah must be disarmed.

Now let me turn briefly to Iraq. We have made a great many mistakes in this war, and both Baghdad and Washington remain divided about how to correct them. The situation is dire, and the temptation is to wash our hands of a messy situation. To follow this impulse, however, portends catastrophe, for Iraq, Israel, and the United States.

Because a precipitous American withdrawal risks all-out civil war and the emergence of a failed state in the heart of the Middle East, inviting intervention from Iraq’s neighbors and the potential for region-wide conflict, we must do all in our power to prevail. This means surging troops to Baghdad and Anbar Province, holding the al-Maliki government responsible for the fulfillment of various political and economic benchmarks, and holding Iraq’s neighbors to account for their sins of commission or omission there. If we are to have any hope of salvaging the situation in Iraq, this is likely our last chance.

I would close by noting that there has been an extensive debate in recent months not simply about the role of democracy promotion in our foreign policy, but even about the wisdom of America’s pro-Israel orientation. This debate, I submit, misses the point. The bond between America and Israel is not just a strategic one, though that is important. The more profound tie between our two countries is a moral one. We are two democracies whose alliance is forged in our common values. To be profoundly pro-American and pro-Israeli is not to hold conflicting loyalties. It is about defending the principles that both countries hold dear. That is why today I stand as I believe so many of you do: proudly pro-American and proudly pro-Israel

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le jeudi 25 janvier 2007 - 18h27:

Rime, Crime, Brime…

‘…La RIME se plaint.
A qui ???
A moi, son auteur… !

D’être tordue, triturée, malmenée
Non respectée….Mal grimée
Par qui… ? Par moi.

De subir un calvaire.
Au quotidien.

Elle est désespérée me dit t’elle
Pour motif que je ne la compte pas
Ni par les pieds ni par les mains ;
Et son corps s’en trouve mutilé.

Elle veut que j’assure les syllabes
Que je les ordonne en bons alexandrins,
Moi le désordonné, j’ l’veux libre.
Je n’vais quand même pas mettre un frein
A mes vers ou à mes proses,
J’en fais ma cause.
Because…

Libre ok me dit t’elle … !
Mais pas à n’importe quel prix… !

La RIME libre se plaint, hurle crie, étouffe

Est-ce un CRIME d’en faire ce que j’en veux ??
De ma rime qui s’arrime par devant ou par derrière
Dans ma prose que je pose à tors et à travers.

Dois-je composer pour lui plaire
Consacrer plus de temps pour se faire. ????
Elle m’interdit que je rimaille avec MARMAILLE…PAPAYE…
Et même BAGAÏ*.. ;!!!!!

Et l’autre qui m’accuse
De bloquer l’espace.
D’avoir recours
Au grand marcassin… ?
Pour lui dire ASSASSIN…. ?

A qui ??? A qui veut l’entendre… ! Moi qui n’entends plus rien
Lorsque je suis en compagnie de ma RIME qui ME BRIME
De l’embrasser à fond perdu… ???
On bise bien les femmes éconduites ou pas ???
Alors de quoi se plaint t’elle cette organe… ?
Qui parle de délit… !
De crime à qui veut l’entendre … !
Mais qui l’entend ???
Lorsqu’elle est en ma compagnie et qu’elle me FRIME.

Je préfère me taire mon ami.
M’occuper de ma RIME qui me donne du bien.


*Toute chose en créole.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 25 janvier 2007 - 17h04:

'..Il assurait le S.A.V Tawfiq...! Avec bcp de S.E.V.!'

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Toufiq (Toufiq) le jeudi 25 janvier 2007 - 16h40:

au bout de quatre salves katsav savait que ca va pas,donc sav qui peut..

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Cacouboulou (Cacouboulou) le jeudi 25 janvier 2007 - 11h39:

Yéh Biber,

Kess tu attends pour poster la photo en masque de cire dans la dérnière page du Figaro de ce matin.

Zama un vrai régal des yeux ?

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le jeudi 25 janvier 2007 - 09h54:

secretaires

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Toufiq (Toufiq) le jeudi 25 janvier 2007 - 02h53:

sommes nous tous plus ou moins berberes ?
ce qui est certain au pitibi c'est que nous sommes tous des bebers.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mercredi 24 janvier 2007 - 22h38:

'...Merci Mr Chemla d'avoir enlevè une épine du pied de CACOUBOULOU....! Vous lui sauvez la vie....! Il se sentait si BERBER..TTTT...!
Qu'il s'est fait reprèsenter dans la ville de Khmiss en Algèrie à la mascarade du nouvel an BERBERE....! Y'a même sa photo en masque de cire dans la dérnière page du Figaro de ce matin.

Un vrai régal des yeux.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Cacouboulou (Cacouboulou) le mercredi 24 janvier 2007 - 16h26:

Merci Mr. Chemla de glorifier la Tétralogie :

"Liberté, Egalité, Fraternité, Laïcité", qui pour l'instant n’est proclamée que dans les Lieux Couverts de la République, avant d'avoir enfin sa place, au Grand Jour et en la Grande Lumière de Midi Plein !

Merci également de vous déclarer faire partie de ces: “Juifs agnostiques qui se sentent cependant porteurs des valeurs essentielles d’un peuple ancestral.”

Merci enfin de reconnaitre que : "Dans ce cas précis, beaucoup d'entre eux voire la plupart, en réalité, sont d'origine berbère.", une vérité qui devrait plaire à nous tous.

A bientôt,