Archive jusqu'au 29/décembre/2004

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2004: Commentaires de Decembre 2004: Archive jusqu'au 29/décembre/2004
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par A_Soued (A_Soued) le mercredi 29 décembre 2004 - 21h04:

LOGE TSEDEK du B’NAI B’RITH de Paris

Présidente : Renée SOUED - 27 ave du 11 Novembre - 92190Meudon

Tél : 01 45 34 36 17 • Port : 06 84 22 87 08 • e-mail : smrenee@club-internet.fr




"Une définition de la foi, c'est la confiance dans la vie, la certitude qu'il y a en nous, plus grand que nous, plus intelligent que nous, plus aimant que nous" Grégoire de Nice (-4ème s.)



Chère soeur, cher frère,

Nous avons le plaisir de te convier à notre prochaine tenue ouverte:

Le lundi 17 janvier 2005 à 20h30 précises

Adresse : Alliance Israëlite Universelle- 45 rue la Bruyère- Paris 75009



Dans le cadre d'une réflexion sur les relations entre les trois monothéismes, François Célier, rédacteur en chef du journal "People and Gotha" s'entretiendra avec nous de son livre "le choc des religions" (Presses de la Renaissance).

Cette tenue ouverte est l'occasion d'inviter et de recevoir nos amis.



Prochains rendez-vous

- Dimanche 9 janvier 2005 à 20 h , chez Jean et Michèle Rotman

Cours de Qabalah par Albert Soued - sujet Bilaa'm et Amalek

- Jeudi 13 janvier 2005 à 20 h, chez Lydie Bénichou, 33 rue de Berri (code 2857A).

Café Philo: sujet "le temps" avec Régine Emmanuel

- Samedi 15 janvier 2005- Soirée Bridge

Renseignements chez Betty Le Bihan 01 42 66 09 63

- Lundi 24 janvier 2005 à 20h, chez Lydie Bénichou, 33 rue de Berri (code 2857A).

Cours de pensée juive par Goldman

- Lundi 21 février 2005 à 20h - Tenue fermée – Intervention de nouveaux membres.

- Mercredi 23 février 2005 à 20h, chez les Teicher, 9 av. Jean Monnet, Issy-les-Mlx.

Commission CROC. Thème: la kémia



Les frères et soeurs retardataires pourront contacter notre trésorier Benny Mayer pour se mettre à jour de leur cotisation. Merci à vous tous.



En vous souhaitant une bonne fin d'année civile, un grand Shalom



Renée Soued

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 29 décembre 2004 - 19h34:

Happy Birthday to our Webmaster.
A'D Mea Vesrim (120 ANS)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Claudia (Claudia) le mercredi 29 décembre 2004 - 19h33:

Projetée à Tel-Aviv, "La Passion du Christ" déclenche fous rires et colères
LE MONDE |

Jérusalem de notre correspondante

C'est avec indifférence, et parfois dégoût face à ses outrancières effusions d'hémoglobine, que les spectateurs israéliens ont accueilli le film de Mel Gibson La Passion du Christ. Ce même film avait pourtant été dénoncé par de nombreuses organisations juives comme antisémite, car il rend les juifs, plutôt que le Romain Ponce Pilate, responsables de la crucifixion de Jésus-Christ. La Passion du Christ a été projetée à Tel-Aviv la veille de Noël, vendredi 24 décembre, soit presque un an après sa sortie aux Etats-Unis, sur DVD. Le film n'est en effet pas distribué en Israël, non pas pour cause de censure mais parce qu'il n'y a pas suscité d'intérêt commercial.

"Nous tenions à ce que les spectateurs israéliens puissent voir ce film, bien qu'il ait été l'objet d'une controverse, en particulier pour ses aspects antisémites, car nous croyons en la liberté d'expression", a déclaré au Monde Alon Garbuz, le directeur de la Cinémathèque, un complexe de salles public qui a organisé une projection unique et à but non lucratif.

Visiblement révulsée par plus de deux heures de scènes de torture du Christ, la salle s'est aussi esclaffée lorsque Maia Morgenstern (Marie) et Monica Bellucci (Marie- Madeleine) priaient en hébreu, qui, à en croire les fous rires, n'est pas la langue maternelle des deux actrices. Le reste du dialogue, en araméen et en latin, a laissé les spectateurs de marbre.


"UN "SNUFF MOVIE", NI PLUS NI MOINS"

"J'ai trouvé ce film complètement idiot et répugnant. L'utilisation de l'araméen ne m'a pas du tout incitée à entrer dans le film", a estimé Miri Magnus, une retraitée. "Je pense aussi que c'est un film dangereux qui peut influencer les âmes sensibles. Même si les juifs avaient tué Jésus, ce qui en soit n'est pas si important car les juifs peuvent se tuer entre eux, j'ai bien peur que certains chrétiens fondamentalistes voient en ce film la vérité absolue", a-t-elle continué. Pour Amnon Schwartz, un jeune cinéaste, le film de M. Gibson "n'est ni plus ni moins qu'un snuff movie", un film illégal d'un viol ou d'un meurtre réel.

Le film a été suivi par un débat portant davantage sur son manque de rigueur théologique que sur sa représentation des juifs comme déicides. "M. Gibson a fait de la Crucifixion un thème central alors qu'elle n'est mentionnée qu'une seule fois dans le Nouveau Testament. Et quel être humain peut porter une croix qui pèse plus de 150 kilos ?", a remarqué Joe Zias, un anthropologue.

"Aucune source théologique ne décrit de tels actes de torture. Je n'ai reconnu dans ce film ni Jésus l'homme ni Jésus le croyant, mais bien un hamburger", a noté Evyatar Marinberg, un spécialiste en théologie à l'université de Tel-Aviv.

David Satran, qui enseigne l'histoire des religions à l'Université hébraïque de Jérusalem, s'est inquiété de l'impact de ce film sur les non-chrétiens. "Je pense que ce film est tout aussi antichrétien qu'il est antisémite. Comment mes étudiants pourraient-ils éprouver quelque empathie pour Jésus, dont le message n'est absolument pas exposé dans ce film ? Le film de M. Gibson semble ne cautionner que la violence et le martyre." - (Intérim.)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le mercredi 29 décembre 2004 - 19h17:

Mercredi 29 Decembre 2005
Bonjour,
Voici mon billet de ce matin sur radio Judaiques FM
Amities
André Nahum


Des “tsunamis”, voilà comment on appelle ces raz-de-marée titanesques provoqués par un tremblement de terre de magnitude maximum survenu en plein milieu de l’Ocean indien, dont les effets se sont fait sentir jusqu’aux côtes de l’Afrique.

Une catastrophe sans précédent.

On parle de 60.000 morts et de 30.000 disparus.
Des familles entières d’humbles pécheurs, des paysans, des employés d’hotels, des artisans, des commerçants, mais aussi des touristes européens, américains, israéliens venus oublier leurs préoccupations quotidiennes sur les plages enchanteresses des Maldives de Thailande et d’ailleurs.
.
Des images insoutenables de villages inondés, de batiments effondrées, de cadavres de tous âges, de toutes races, de toutes religions et de toutes conditions alignés dans des temples ou des mosquées, de femmes serrant leur bébé mort dans les bras, qui nous incitent à ramener à leurs justes proportions nos propres petits ennuis et nous enseignent qu’à tout moment la nature vengeresse peut rappeler aux hommes leur fragilité et les limites de leur puissance.

Elles rappelent aussi l’égalité devant la mort de ces humains tentés de se cloitrer leur vie durant, dans leurs différences, de se fermer à la tolérance, de rester sourds et aveugles à la souffrance des autres dans un monde devenu un vaste village.

N’est-ce pas l’unicité de la condition humaine que nous proclamons nous, Juifs, lorsque nous invoquons dans la prière
“ Nechmat kol haï”; (âmes de tous les vivants) que nous recitons dans certaines circonstances à la synagogue, “Héloua Kol Haberiot, Adon Kol toladoth”.
Le Dieu de toutes les créatures, le maitre de toutes les
génerations ?

Face à ce desastre, l’aide internationale est aussi sans précédent. l’ONU, les USA, l’Europe accourent à l’aide des pays sinistrés. Israel pour sa part organise un véritable pont aérien avec le continent asiatique pour acheminer des équipes de
secouristes de la défense passive et des médecins militaires dans les sites les plus touchés. Ils emportent de nombreux médicaments et des vêtements comme l’ont fait les autres délégations d’associations humanitaires déjà en route.

Il est regrettable cependant de noter que le gouvernment du Sri-Lanka ait accepté le matériel que lui proposait Israel, mais pas le personnel humain.

Et tandis que des hommes dans l’Asie du sud-est ne ménagent pas leurs efforts pour venir en aide à d’autres hommes et attenuer leurs souffrances, la violence aveugle continue son oeuvre de mort. Le terrorisme continue ses massacres en Irak, on continue à fabriquer de la haine en Iran pour susciter de nouvelles vocations de meurtre et empecher toute tentative de réconciliation.

Comme si l’homme n’avait rien appris., rien compris.

Jusqu’à quand ?

La nouvelle année civile qui s’annonce a-t-elle une petite chance d’être celle du début de la sagesse des peuples et surtout de leurs dirigeants ?

Inch’Allah !

Bonne année à tous

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le mercredi 29 décembre 2004 - 18h55:

La poutargue, "caviar provençal" aux vertus dites aphrodisiaques

c:/


MARSEILLE (AFP) - En apéritif, accompagnée d'un pastis, rapée sur des tagliatelles ou en sauce mariée à de la baudroie, la poutargue, spécialité provençale à base d'oeufs de mulet salés et séchés, continue depuis le XVIè siècle à aiguiser l'appétit et à se vendre à prix d'or.

Pour les fêtes, les épiceries fines de Marseille sont prêtes et le précieux mets occupera encore une place de choix sur les étals. A environ 140 euros le kilo, la maison Bataille en vendra ainsi quelque 50 kilos, soit le tiers de son débit annuel.

"C'est une tradition en Provence, la poutargue figure au menu des fêtes, explique Jean-Claude Dejuli, l'un de ses responsables. Mais on la consomme toute l'année et nous fournissons de nombreux grands restaurants de la région".

Ainsi Pierre Gleize, chef de La Bonne Etape, relais gourmand à Château-Arnoux (Alpes-de-Haute-Provence), la sert à ses convives "de janvier à décembre, en apéritif, avec du pastis ou du whisky, mais surtout pour accommoder nombre de plats".

Sa carte propose donc une "baudroie gratinée à la poutargue, sur un lit de duxelle de champignons, jus au romarin" ou un "loup à la crème de poutargue".

Se présentant sous la forme d'une saucisse plate recouverte de cire, la poutargue est la poche qui contient les oeufs du mulet argenté, un poisson qu'on appelle aussi le muge à Martigues, où elle est produite de façon artisanale par une poignée de pêcheurs.

Extraite du mulet lors de sa pêche en juillet et août, la poche est salée et séchée et ensuite recouverte d'une couche de parafine, qui permettra de la conserver plusieurs mois.

Produite en quantité confidentielle et cédée à prix d'or, jusqu'à plus de 200 euros le kilo, d'où son surnom de "caviar martégal", la poutargue de Martigues est aujourd'hui remplacée par des productions en provenance de Mauritanie, du Brésil ou de Tunisie.

"Il n'y a pas de différence de goût, seulement de prix", assure David Bandikian, patron de l'épicerie Arax, installée au coeur du vieux Marseille depuis 1929, "époque où nous étions les seuls à en vendre".

Ses clients lui en commandent de "toute la France, car on n'en trouve pas ailleurs, sauf en Corse où elle est encore produite à Bastia", explique-t-il.

S'il la préfère "nature", l'épicier alerte de 77 ans doit au "caviar provençal" une santé "inoxydable". Et surtout, assure-t-il, si les Méridionaux ne peuvent s'en passer, "c'est que la poutargue est aphrodisiaque".

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mounia (Mounia) le mercredi 29 décembre 2004 - 18h39:

Tunisia to ease travel restrictions on Israelis

By Amiram Barkat, Haaretz Correspondent


Tunisia recently decided to ease travel restrictions on Israelis entering the north African nation, France's chief rabbi Joseph Sitruk and businessman Pierre Besnainou said after meeting with Tunisian president Zine El Abidine Ben Ali last week.




Besnainou said the Tunisian president told him that Israelis would no longer be required to deposit their passports upon entering the country.

There are at present no diplomatic relations between Israel and Tunisia, and no direct air links between the two countries. Therefore, Israelis interested in travel to Tunisia must apply for a visa in an embassy in a third country.

Following the meeting, the Tunisian president ordered the renovation of the old Jewish cemetery in the capital Tunis. Ben Ali also said he hoped to invite Foreign Minister Silvan Shalom and Labor leader Shimon Peres for visits in Tunisia.

Both Sitruk and Besnainou are Tunisian natives, now living in France.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emma (Emma) le mercredi 29 décembre 2004 - 18h43:

Fausses reliques bibliques: quatre inculpations en Israël

JERUSALEM (AP) - Un collectionneur israélien et trois antiquaires ont été inculpés mercredi par la police israélienne qui les soupçonne d'avoir dirigé un réseau sophistiqué de contrefaçons de reliques bibliques, dont les productions avaient fait grand bruit dans le monde de l'archéologie, avant qu'on ne découvre qu'il s'agissait de faux.

Parmi les "oeuvres" du réseau figuraient des objets qui avaient suscité une vive controverse, comme un pommeau d'ivoire, présenté comme la seule relique existante du Temple de Salomon, un ossuaire portant l'inscription "Jacques, fils de Joseph et frère de Jésus", ou encore "l'inscription de Yoash", une tablette comportant quinze lignes en hébreu ancien, censée donner les instructions pour conserver le Temple juif de Jérusalem.

Le collectionneur privé Oded Golan et les antiquaires Robert Deutsch, Shlomo Cohen et Faiz al-Amaleh, ont été inculpés de 18 chefs, dont contrefaçon, recels de contrefaçon et altération d'antiquités. Selon l'acte d'inculpation de 27 pages, le réseau prenait de réelles antiquités et ajoutait des inscriptions de manière à accroître leur importance et gonfler leur valeur. Les inscriptions étaient recouvertes d'un enduit conçu pour reproduire la patine qui se serait accumulé au cours des ans.

Nombre d'experts s'y étaient laissés prendre et certains faux avaient pu se vendre pour plusieurs centaines de milliers de dollars.


© La Presse Canadienne, 2004

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bekhor (Bekhor) le mercredi 29 décembre 2004 - 18h27:

« LE MUSEE DE LA GRIBA. »

Nous étions naïfs.

En 1996 nous avons constaté, que la Tunisie, riche d’un passé historique presque trois fois millénaire, n’avait aucun musée ni aucun centre culturel relatant l’histoire de synagogue de la GRIBA.
Pourtant cette histoire, est incontestablement reliée à l’histoire des juifs de Tunisie, elle est aussi la fondation historique de cette histoire.

Dans notre naïveté nous pensions, que ce n’était qu’une simple négligence de la part des autorités de Tunisie, et que nous allions immédiatement la combler.
Nous n’avons vu que le beau côté de la chose, c'est-à-dire l’aspect historique et culturel de cette histoire mystérieuse qu’est la GRIBA.

Nous avons pris l’initiative de vouloir faire construire un musée dans l’île de Djerba, prés de la synagogue de la GRIBA, qui devait avoir pour fonction de relater l’histoire de ce fameux lieu saint.

A partir de la, des recherches de documents historiques furent faites a notre initiative en Tunisie, en France et en Israël.

Aussi surprenant qu’il soit, en Tunisie, dans nos différentes recherches dans des musées ou dans des centres culturels nous n’avons trouvé aucune archive ou document qui parle de l’histoire ou de l’historique de la GRIBA ainsi que des juifs de ce pays.
Seulement quelques brochures éditées récemment à l’attention des touristes sur l’île de Djerba furent trouvées.

Pourtant on sait que les juifs de Tunisie étaient établis depuis environ 2700 ans, et ce, bien avant l’invasion arabe.

Nous avons alors contacté les Ministres du tourisme et de la culture de Tunisie, qui verbalement et par téléphone avaient faits plusieurs promesses de nous aider, mais qui n’ont jamais répondu a nos lettres officielles, afin d’avoir les autorisations et de pouvoir commencer a construire sur un terrain mitoyen de la synagogue de la GRIBA qui était à vendre.

Nous avons aussi, réussi à trouver des généreux sponsors, qui avaient promis de financer une grande partie du projet, ces derniers attendent toujours, malheureusement.

Nos recherches furent vaines et l’absence de documents ou d’objets relatifs a cette fameuse et ancienne histoire faisait défaut, nous avons alors fait un concours d’artistes peintres afin de réaliser uns série de toile qui devrait relater en images cette histoire à partir de la destruction de premier temple de Jérusalem jusqu’au pèlerinage de la GRIBA de nos jours.

Plusieurs artistes peintres ont participé à ce concours, puis un comité a été nommé pour désigner l’artiste qui devrait illustrer et réaliser cette production artistique.

C’est l’artiste « LISELION » de son vrai nom Lise Aélion, Juive d’origine de Rhodes, qui a remporté le concours, et qui a réussi a relevé ce défi par une série de quatorze huiles sur toile.

A notre connaissance aucune production artistique de cette ampleur n’a été réalisée sur ce thème à ce jour.

Quelques temps après le début de notre initiative, nous avons compris que nous étions naïfs, et que la Tunisie ne veut pas, pour des raisons certainement politiques, que le monde sache quoi que se soit du passage des juifs en Tunisie, pire, la Tunisie essaie par tous les moyens d’occulter ce passage en détruisant les cimetières juifs, en interdisant de photographier les synagogues de Tunisie, d’occulter les mosaïques a caractères symboliques juifs trouvées dans les recherches archéologiques etc. etc.

Récemment grâce au site Harissa nous avons peut être trouvé un futur musée en Israël, d’obédience judéo tunisienne, qui est actuellement en construction et qui abritera cette merveilleuse œuvre artistique qui illustre et relate l’histoire de la GRIBA.

Nous avions édité en 1997 un triptyque pour sensibiliser nos sponsors que je me permets d’éditer pour la première fois.
Cohen Victor.


Ce triptyque qui est édité sur ce site de Harissa et en public pour la première fois, il est illustré par trois reproductions de photos d’entre les quatorze huiles sur toiles qui sont encore inédites :

1/ Les juifs déportés aux portes de Babylone.

2/Le premier temple de Jérusalem.

2/Prières à la synagogue de la Griba.

Et voici le triptyque qui correspond à six pages, dans l’ordre croissant :


Triptyque1


Triptyque2


Triptyque3


Triptyque4


Triptyque5


Triptyque6

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le mercredi 29 décembre 2004 - 12h07:

A voir sur le site de Beth Hatefutsoth, le musée de la Diaspora à Tel Aviv, un article sur la Ghriba de Djerba

http://www.bh.org.il/Communities/Synagogue/Djerba.asp

avec des liens vers d'autres sites sur le même sujet, dont Harissa

http://www.harissa.com/D_Communautes/Tunisie/djerba.htm

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Claudia (Claudia) le mercredi 29 décembre 2004 - 08h46:

Des Israéliens de retour de l’enfer


Des dizaines de familles émues attendaient avec impatience ce matin leurs proches dans le terminal 3 de l’aéroport Ben Gourion. Un premier vol en partance de Bangkok a atterri avec à son bord les premiers rescapés de la catastrophe naturelle qui s’est abattue sur plusieurs pays d’Asie du Sud et du Sud-Est.

Aharon et Dana, un jeune couple, sont rentrés avec leurs seuls biens : les vêtements qu’ils portaient le jour de la catastrophe. «Nous étions dans notre hôtel à Kofipi. Lorsque nous avons entendu des cris et distingué les vagues qui s’approchaient, c’était trop tard, nous avons été emportés et nous avons cherché à nous agripper aux toits de petites maisons, qui à chaque fois finissaient par céder sous la violence du courant», confie Aharon. « Nous avons eu de la chance car la vague qui nous a recouverts nous a projetés au final plus loin, nous permettant de fuir», ajoute Dana.

Yossi et Inbar étaient à Phuket au moment où le tsunami s’est abattu sur le site. Eux aussi reconnaissent avoir eu beaucoup de chance en échappant par miracle aux flots déchaînés. «Nous avons réussi à fuir avec un couple palestinien. Nous sommes montés sur une jeep qui nous a conduits dans les montagnes».

Un autre couple a trouvé lui aussi refuge dans les montagnes après avoir été emporté par la vague alors qu'il se trouvait dans la piscine de son hôtel.

Beaucoup de ces jeunes reprochent la lenteur des secours israéliens alors que des équipes de secouristes occidentaux étaient déjà sur place. Selon eux, le représentant israélien à Bangkok s’est vite trouvé dépassé par la situation, d'autant que la plupart avait perdu ses papiers et ses effets personnels lors du drame.

Pour le ministère des Affaires étrangères, 820 Israéliens n’ont pas encore donné signe de vie dans les différents lieux de la catastrophe. Des craintes subsistent pour la vie de 12 d’entre eux portés disparus. Les 107 touristes israéliens qui se trouvaient sur les îles Andaman ont tous été retrouvés vivants et en bonne santé. 33 Israéliens sont blessés dont quatre grièvement.


Arutz Sheva

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 29 décembre 2004 - 07h28:

Pour ceux/celles d'entre vous qui vivent en Israel, ou qui y ont des proches, voici une annonce importante du Ministere de la Justice Israelien:

LE MINISTERE DE LA JUSTICE ISRAELIEN SE MOBILISE POUR LE RECENSEMENT…
Me Jean-Claude Niddam, responsable du service des droits des Juifs originaires des pays arabes et Yael Yaacoky vous font savoir:
Si vous souhaitez etablir le recensement des biens ou autres droits spolies dans votre pays d'origine (Afrique du Nord, Egypte, Libye, Irak, Iran, Liban, Syrie et Yemen), vous pouvez telecharger le formulaire ou bien prendre contact avec le departement pour de plus amples informations.
Le formulaire existe en plusieurs langues dont le francais.
Ce service est a votre entiere disposition pour toute collaboration qui permettrait de faire entendre les voix de communautes juives entieres oubliees.
Sauvegarder le formulaire:
http://www.justice.gov.il/NR/rdonlyres/C84DCE1F-86BF-4ED7-8BE0-201B7D713809/0/FormulaireenfrancaisRTF.doc

Si vous n'arrivez pas a telecharger sur ce lien, contactez-moi a mon e-mail perso: cbazooka@hotmail.com et je vous l'enverrai en piece jointe.

Site Internet: www.justice.gov.il
Tel: 972-2-569 39 15
Fax: 972-622 28 99
E-mail: yaely@justice.gov.il

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 29 décembre 2004 - 07h15:

On ne peut que s'incliner devant tant de malheur, comme le dit Nao et prier pour que les familles retrouvent leurs proches sains et saufs.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le mercredi 29 décembre 2004 - 01h39:

La tragedie du tsunami en Asie du sud est une tragedie mondiale. Les images sont atroces! Toutes les nationalites sont touchees.
En plus de tous ces touristes emportes par la folie de l'eau, c'est affreux de voir ces peuples deja pauvres avoir tout perdu! Il faut prier pour eux. Que Dieu les aide!
Je suis bouleversee.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emma (Emma) le mardi 28 décembre 2004 - 19h51:

Le rabbin qui pardonne


RABBIN de l'Essonne, Michel Serfaty s'est retrouvé cette année sous les feux d'une double actualité. A 61 ans, ce colosse coiffé d'un chapeau de feutre noir n'est pas rancunier. Un an après l'agression antisémite dont il a été victime, il a créé le 21 novembre dernier l'Association pour l'amitié judéo-musulmane en France lors d'un grand raout à la Cité des sciences de la Villette, à Paris.
Ancien basketteur, cet universitaire né à Marrakech milite depuis longtemps pour la paix entre les deux communautés. Mais l'homme prône aussi sans réserve la fermeté contre les actes antisémites. Il est venu réclamer justice devant le tribunal correctionnel d'Evry après son agression du 17 octobre 2003, à deux pas de sa synagogue de Ris-Orangis. Abdelrahim, 22 ans, originaire d'une cité de Grigny, avait menacé le rabbin, lui avait craché dessus, avant de le frapper au visage. Le jeune homme a été condamné à huit mois de prison dont deux avec sursis. « Il m'a identifié avec mon chapeau et ma barbe, a rétorqué à l'audience Michel Serfaty. Il voulait bouffer du juif. Il faut porter ce jugement à la connaissance des jeunes pour mettre fin à la montée de l'antisémitisme. » Seule ombre au portrait de Michel Serfaty : l'homme n'adresse plus la parole à son homologue musulman, Khalil Meroun, recteur de la mosquée de Courcouronnes.


Stéphanie Auguy
Le Parisien