Archive jusqu'au 17/janvier/2007

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2007: Commentaires Janvier 2007: Archive jusqu'au 17/janvier/2007
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 16 janvier 2007 - 08h29:

Le billet du lundi.
Par le Div_Boulakia.


Après la gauche caviar et la droite saumon voici arrivé le temps ‘De la France travailleuse..’ de Sarkokacher et ‘…La France respirante… !’ De la Ségoaltitude.

Pour la France Béatitude’ j’aviserai en temps voulu.

Après une ‘annus horribilis’ 2005 ( piqué dans le Figaro- j’ignorais que les années avaient un anus horrible’) Notre Sarko a enfin trouvé ce qu’il voulait, l’investiture par sa famille pour se présenter à l’élection présidentielle. 98¨% de voix, un dépouillement digne des états démocratiques de l’autre coté de la Mer Méditerrané.

La Ségo par contre a fait dans le vert, elle est partie en CAMPAGNE admirer une presse à huile et serrer quelques mains cagneuses.
Elle doit certainement connaître la fable de la Fontaine, le lièvre et la tortue.
‘Piano piano arriva sano.’ Et puis avoir la paysannerie dans sa main c’est comme faire du JACOU SIE.

Elle prend son temps et elle ne compte pas brûler les étapes avant d’avoir épuisé l’autre qui se fend le gosier, meeting après meeting, devant les caméras nationales.
Elle prépare sa riposte.

Moi, qui suit français depuis cinq ans, j’hésite entre la ‘fracture sociale’, la France de la rupture’ celle ‘ De l’immigration positive ’du ‘Rassemblement’ bref par tous ces slogans
pré-électoraux dont le dernier en date, lu de derrière la tribune ce dimanche de Sarko ‘…Ensemble tout devient possible.. !’ S’il était élu.

Ce qui revient à dire que pour ces prédécesseurs tout était impossible. On s’en est rendu compte.

Je me perds dans toute cette phraséologie qui n’est que poudre de perlimpinpin.

J’en ai le vertige et je ne sais plus pour qui je dois voter le moment venu.
Sarko ou Ségo ??? Tout cela me donne le vertige.

J’ai donc consulté mon pendule et depuis déjà trois mois il ne fait que tourner en rond au point qu’il ne veut plus se balancer au bout de mon index.

Mes méninges sont en capote pardon en compote à tel point que je prends trois EFFETS A RAS LE BOL par jour sans compter la friction d’eau de Cologne VINAIGRE DES 4 VOLEURS ( elle existe en magie) que je passe par-dessus ma tête chauve.

Je vais voter blanc parce que blanc bonnet ou bonnet blanc c’est kif kif.

Après mon devoir citoyen, j’irais visiter mes HARAS….Harrissiens.
J’aime bichonner mes pouliches. Faire galoper mes juments sur le PREVERT.
Un bréviaire sous les aisselles. (Le couvent des Charmelites souffre d’une fin, il se pourrait que …. )
Je vais aussi sabler le champagne avec mes écuyers sur le lac Majeur (Rendre visite à la Douda) Me ressourcer devant le joli lac LEMAN, compter les oiseaux migrateurs en prenant soin de ne pas laisser les BUSES étrangères s’installer sans visa. Si ma migraine persiste
je prendrais quatre cachets de DOLY LA BREBIS. Histoire de me cloner une nouvelle cervelle.

J’ai aussi pensé à inviter mes actrices et acteurs à la retraite faute d’imagination ( elles ont déserté le PTB, moi aussi, un vrai coup bas) à un BAL….Car s’il y a BALLOTAGE entre les deux heureux prétendants, j’irais nager en eaux troubles du coté du MARAIS….Histoire de prendre le pouls de mes chers compatriotes.

Je vais lancer mes invitations à la Comtesse Elsa de la Voyagerie, à l’Archi-Duchesse Mamili de la VISON, à Madame la Baronne Michka de la Tranchefettu, à l’Infante Poupée du Domaine à Poils (c’est une ville de France), à Monsieur le Marquis de Meyer de la Brimade, au Comte Braham de la ville d’ESSEIN, à Monseigneur Tsadiq de la MENA, à Sire Emile de GLASS-GO ON THE HOME, à Madame La NAO de RICHE MOND héritière d’une fortune colossale grâce à ses productions, au Saint PERE JACULUS FILMUS XXX ( elle n’est pas de moi cette proposition).

C’est tout, comme cela ‘l’annus 2007 sera JOYOBILUS’.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bekhor (Bekhor) le mardi 16 janvier 2007 - 10h35:

Monsieur Joseph Guetz,

C’est avec grand plaisir que j’ai pu vous lire sur la rubrique acceuil du site HARISSA, et que vous avez pu réveillé en moi un souvenir enfui au fond de ma mémoire.

Oui j’ai bien connu le fameux Rabbin Meir Yehuda GUETZ, ZAL au début des années 1990, ainsi que son secrétaire d’origine sfaxienne Monsieur Hertzel.

Effectivement Le Rabbin Guetz ZAL, faisait partie intégrante du Kotel, des sous sols du mont du temple ainsi que de la yeshiva des Kabbalistes du KOTEL.

C’est lui-même en personne qui m’avait fait visité dans les sous sol la fameuse gigantesque pierre, d’ou s’écoule continuellement et perpétuellement un filet d’eau sans qu’il n’y ai aucune source d’eau a proximité. (Voici le miracle qui prouve que Dieu existe disait il, et j’étais émerveillé devant ce miracle perpétuel de la nature), j’avais passé presque une semaine entière avec cette figure emblématique du mont du temple.

Le Rabbin GUETZ ZAL, m’avait expliqué alors que cette pierre était un miracle appartenant au temple de Jérusalem, et qu’il l’avait recherché pendant longtemps, avant de retrouver, cette fameuse et gigantesque pierre au miracle qui se trouve dans les sous sols du mont du temple.

J’ai cru aussi comprendre que le Rabbin Guetz, ZAL avait subi une ou plusieurs tentatives d’assassinat dans les sous sols du mont du temple, et c’est pour cette raison qu’il se déplaçait tout le temps armé d’un pistolet a sa ceinture.

C’était aussi ce fameux Rabbin multifonction, qui supervisait les fouilles sous le mont du temple, j’ai pu savoir aussi que ce fameux rabbin était une source et un puit de connaissances
Incommensurable du judaïsme.

Oui, Le Rabbin Guetz Zal, était d’origine JUIVE TUNISIENNE, il mérite une grande place d’honneur chez les Tunes célèbres du site Harissa.com, et si il ne figure pas, Cher Monsieur Joseph Guetz, ce n’est qu’un oubli.

Je suis certain que Monsieur Jack Halfon s’empressera, si ce n’est déjà fait, d’ajouter sur cette fameuse liste des TUNES CELEBRES, LE RABBIN MEIR YEHUDA GUETZ, ZAL.
Bien qu’ayant connu un peu Le Rabbin Guetz, ZAL, je suis certain que de par sa modestie, il aurait refusé de figurer sur cette fameuse liste.

Victor Cohen.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par A_Soued (A_Soued) le lundi 15 janvier 2007 - 21h55:

LES PALESTINIENS ET LA SECONDE GUERRE DU LIBAN



Par Dr Hillel Frisch, enseignant en sciences politiques à l’Université Bar Ilan et chercheur au BESA Center for Strategic Studies.

Paru dans Perspectives No 24, Begin Sadate Center for strategic Studies 4 janvier 2007

Titre original : The Palestinians and the Second Lebanese War

Traduction: Objectif-info



Introduction

De nombreux observateurs ont suggéré que la performance militaire aléatoire d’Israël dans la seconde guerre du Liban, et l’accroissement de la puissance et du prestige du Hezbollah qui a suivi, avaient réduit la capacité d’Israël d’affronter les Palestiniens. Le présent article démontre que ce point de vue est erroné et expose que l’effet de la guerre du Liban sur la politique de sécurité d’Israël vis-à-vis des palestiniens a été négligeable.

La guerre qui vient de s’achever a montré que la tendance à considérer de façon extensive le conflit, assimilé à un choc de civilisations, est tout à fait excessive. Les adversaires d’Israël agissent pour l’essentiel indépendamment, et il en résulte des conflits bilatéraux. On a pu le voir dans la passivité des Palestiniens au moment où le Hezbollah lançait la guerre du Liban et réciproquement. Bien qu’il ne soit pas facile pour Israël d’affronter deux conflits de basse intensité simultanément, l’impact sur son potentiel est limité.



L’impact de la guerre sur les Palestiniens

Dans la dernière période les Palestiniens ont reculé de quelques places dans l’échelle des priorités internationales. Situés au second rang des priorités de sécurité israéliennes, les Palestiniens sont repoussés à l'arrière-plan par des conflits régionaux qui font les grands titres à leur place, en particulier ceux où ils ne sont impliqués. Il s’agit des ambitions nucléaires de l’Iran et de leurs conséquences sur la nucléarisation de la région, de l’Irak, du Darfour et plus récemment de la Somalie. C’est ainsi que les Palestiniens font l’amère expérience d’avoir à combattre Israël presque seuls. On a pu en avoir une illustration lors de la conférence du président Bush du 1° décembre 2006 sur l’Irak et la Jordanie, où la question palestinienne a été à peine évoquée.

Pendant les combats de l’été, s’il n’a pas été relégué à la dernière place, le problème palestinien a du moins perdu sa position de question numéro 1 de la politique internationale. La guerre entre Israël et le Hezbollah pourrait être pour les Palestiniens ce qu’a été la première guerre du Liban pour le pan-arabisme. Tout comme la première guerre du Liban a confirmé la déclaration de Fouad Ajami sur la fin du pan-arabisme comme projet politique, la seconde guerre du Liban pourrait signer la fin de l’éventualité d’un État palestinien.

Il faut se souvenir que les Palestiniens étaient au centre de la première guerre du Liban. Les Palestiniens affirmaient alors avec beaucoup d’autorité qu’il ne pourrait pas y avoir de paix au Moyen Orient sans résolution du problème palestinien. Dans la seconde guerre du Liban, les Palestiniens n’ont joué aucun rôle. La vérité a été mise en lumière. La stabilité du Liban n’a rien à voir avec les Palestiniens. Elle tient à la conjugaison de la faiblesse de l’État central libanais et de la puissance relative d’acteurs extérieurs – la Syrie, le Liban et Israël – qui exploitent cette vulnérabilité pour faire aboutir leurs intérêts d’État.



Les relations intérieures palestiniennes

Non seulement les Palestiniens ne focalisent plus l’attention du monde, mais leurs efforts propres pour bâtir un État palestinien ont été affectés par la guerre. Bien qu’il n’y ait pas de lien entre les conflits palestinien et libanais, les uns et les autres se trouvent dans des situations politiques similaires. Les deux peuples ne parviennent pas à édifier un État central après quatre vingt ans d’efforts. Leurs perspectives se sont même assombries du fait des interférences internationales et régionales.

Les alignements politiques internationaux renforcent la dissociation du Liban : les forces du 14 mars se sont alignées sur l’Occident, le parti Amal de Nabih Berri et les fidèles de Michel Aoun sur l’Iran et le Hezbollah. De la même façon, la scène palestinienne est de plus en plus déchirée : les forces de sécurité de Abbas se sont alliées aux États arabes modérés et aux États-Unis, et elles s’opposent à la coalition du Hamas avec l’Iran et la Syrie. Ces divisions ont un impact négatif sur les Palestiniens, parce que la domination du Hamas à Gaza et celle du Fatah de Abbas en Cisjordanie ont des conséquences innombrables.



Les relations régionales palestiniennes

Les relations entre le Hezbollah et les Palestiniens sont problématiques principalement à cause de leurs sources de financement. Le Hamas et le Hezbollah se disputent le porte-monnaie iranien. Ils réalisent l’un et l’autre que les intérêts de l’Iran ne coïncident pas toujours avec les leurs, et cet écart est encore plus grand pour le Hamas que pour le Hezbollah.

Dans sa relation avec l’Iran, le principal problème du Hamas vient de l’Égypte. Pour les Palestiniens, l’Égypte est l’État arabe le plus important. C’est ainsi que l’Égypte, acteur pragmatique s’il en est, a fermé les yeux sur la coopération entre le Hamas et l’Iran, en faisant l’hypothèse que voir couler le sang en Israël est plus important du point de vue de ses intérêts que la pénétration de l’influence iranienne sur la scène palestinienne à travers le Hamas ; elle comptait même, en politique intérieure, sur le poids du Hamas pour contenir les islamistes locaux, principalement les Frères musulmans. Le Hamas sait qu’il y a des limites à cette relation qu’il ne peut transgresser qu’à ses risques et périls. L’Égypte est la condition d’existence de l’aide iranienne. A partir du moment où l’Égypte se sentirait menacée par cette relation, elle pourrait se retourner contre le Hamas avec une grande violence.

Depuis l’établissement du nouveau gouvernement palestinien, la Jordanie a pris une position intransigeante avec le Hamas, en partie parce que sa relation avec l’Iran a probablement renforcé sa crainte d’un arc chiite hérétique au Moyen Orient.

Les États du Golfe qui abritent des populations chiites – Bahreïn, Koweït et Qatar – se sont lassés du Hamas après la guerre du Liban. Pour eux, la guerre a renforcé le Hezbollah chiite. Ce scepticisme est manifeste depuis le début du gouvernement Hamas. Une étude du Fonds monétaire international sur l’aide et les transferts en faveur de l’Autorité palestinienne des dernières années montre que les financements des États arabes sont allés au président Abbas. L’Arabie Saoudite qui est engagée dans une guerre froide avec l’Iran en Irak, au Pakistan, et en Afghanistan, est de ce point de vue un acteur incontournable. Il faut observer que son influence prévisible sur les relations entre le Hamas et le Golfe n’est que le résultat de la montée du principal parti chiite lors des récentes élections au Bahreïn.

Un expert israélien a judicieusement noté que les États du Golfe ont passé une alliance tacite avec Israël dans le but « d’équilibrer » les menaces iranienne et irakienne. Cette alliance implicite trouvera probablement des raisons de se renforcer avec la montée de la menace nucléaire iranienne, l’aggravation des clivages intérieurs entre sunnites et chiites, et la pénétration de l’influence iranienne sur la scène palestinienne, au grand détriment des Palestiniens.



Appui moral aux Palestiniens

Les effets positifs sur le moral des Palestiniens de la résistance du Hezbollah aux attaques israéliennes pendant plus d’un mois compensent les effets négatifs de la guerre. Cette petite victoire spirituelle et morale a été largement saluée par la presse palestinienne, bien que des voix moins bien relayées aient mis en garde contre la mise en parallèle des deux conflits différents. En dépit de ses effets psychologiques positifs, la victoire du Hezbollah a été compensée par les suites politiques de la guerre, en particulier par l’éventualité de prochaines guerres civiles libanaises et palestiniennes.

La différence la plus décisive entre les deux conflits est que le Hezbollah bénéficie du soutien politique et logistique de deux États alors que les Palestiniens ne tireraient leur épingle du jeu que si une révolution islamiste triomphait en Égypte. Les responsables politiques israéliens disent que Gaza est en train de devenir un nouveau Liban et que le Hamas se transforme militairement en un nouveau Hezbollah. Les experts ont exagéré la menace. De ce point de vue, l’incapacité de l’Iran à fournir une aide logistique aux Palestiniens est déterminante.



Les succès israéliens

La vérité, c’est qu’Israël a trouvé des parades significatives contre les lancers de Kassam par une combinaison de moyens militaires ; barrages d’artillerie pour réduire leur précision, incursions aléatoires pour minimiser le nombre de lancers, et élimination ciblée des techniciens susceptibles d’améliorer les performances de ces missiles rudimentaires. Avant le cessez-le-feu, les incursions israéliennes ont été si efficaces que l’armée était en mesure d’effectuer des arrestations préventives. C’était un début de reproduction du succès majeur des israéliens dans le combat contre le soulèvement palestinien en Judée et en Samarie à la suite de l’opération Bouclier de Défense qui permit des arrestations préventives massives. On ne pas accuser les Palestiniens d’être à l’origine de la mauvaise décision du gouvernement israélien qui a proposé un cessez-le-feu au moment où la campagne contre les Kassam commençait à enregistrer des succès.



Conclusion

Le terrorisme palestinien n’est pas un phénomène nouveau. La violence des Palestiniens et du Hezbollah est indiscutablement un défi pour les responsables de la politique de sécurité et pour les services qui la mettent en œuvre, mais le résultat est à peu près le même. Tout comme le terrorisme n’est pas parvenu dans le passé à empêcher les Juifs sionistes de créer un État et de multiplier par 10 la population juive, elle n’empêchera pas Israël de poursuivre sa marche vers la prospérité. Pour les Palestiniens, c’est la pire des nouvelles. Le fait que leur société soit perpétuellement au bord de la guerre civile – incapable aussi bien de lancer une guerre efficace que se s’installer dans la paix – est une seconde mauvaise nouvelle. Les conséquences de la seconde guerre du Liban font que la situation ne s’est pas améliorée pour les Palestiniens.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Viviane (Viviane) le lundi 15 janvier 2007 - 19h30:

A propos du "dictateur" qui fut tourné en 1940, Charlie Chaplin, en découvrant la monstruosité d'Hitler, n'avait plus envie de plaisanter à ce sujet. Il fit la reflexion suivante: "si j'étais au courant de ce qui s'est passé, je n'aurai jamais réalisé ce film" A bon entendeur, salut. Viviane

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le lundi 15 janvier 2007 - 18h49:

THE CONTRIBUTIONS OF SEPHARDIC JEWS TO THE ECONOMIC AND INDUSTRIAL DEVELOPMENT OF EGYPT

By VIctor D. Sanua, PhD.

For almost 400 years, Egypt was a province of the Ottoman Empire. Mohammed Zli Pasha, who was a former officer of the Turkish Army, became Viceroy of Egypt early in the 19th. Century (1805-1848) and established a dynasty of kings, the last one being King Farouk.

In his efforts to modernise the country, Mohammed Ali Pasha invited foreigners to settle in Egypt in order to contribute to its development. The opening of the Suez Canal in 1869 increased the influx of foreigners, and especially Jews who lived in other areas of the Ottoman Empire, particularly Turkey, and Syria. By the end of the 19th .Century, there were scores of rich Jewish families, a phenomenon, which did not exist in other Middle East countries. The earliest known rich family was that of the Cattauis who are believed to have come from Holland. They were the first Jews to leave the Harer el Yahoud ( Jewish quarter) and to live in Shubra which at that time was a new suburb of Cairo. Other areas where Jews built and moved include Maadi, Zamalek, Heliopolis, and Garden City, Roda, Giza, etc..

The oldest established families functioned as "Sarafim", moneychangers, coin testers, and collectors of taxes. The transition to regular banking made it possible for them to reach high positions in the Egyptian Government. Jews contributed to the development of the Egyptian National Bank, Egypt Crédit Foncier, Misr Bank, and the Mosseris established their own bank, J.N. Mosseri et Compagnie. These banks assisted in international trade, land development, building of industrial plants, infrastructure, etc.

Sephardi Jews coming to Egypt during the latter part of the 19th Century and early 20th Century went into commerce and started opening department stores. It is to be noted that marriages among the wealthy Jews tented to be frequent. While many of these Sephardi Jews, were sophisticated in high finance, they included a respectable number of scholars, many having attended European universities.

Besides focusing on the development of the economy of the country, the major families presided over Jewish communal affairs, in Cairo and Alexandria and were involved in philanthropic activities. Because of close relationships with European businessmen, they were able to persuade them to invest in Egyptian enterprises. In spite of their small number, Jews dominated the financial and economic life of Egypt. Other nationalities were involved in this development; the French, Belgian, British, Greeks, Italian, Armenians, etc. also participated in this development. Each group had a speciality, but Jews dominated banking. During World War I and World II, Jews developed local industries, which contributed to the national income and created jobs for Egyptians? As recognition for their efforts, many members of these Jewish families were given the title of "Bey" or "Pasha" by the sovereigns of Egypt.


The Cattaui Family
One of the first known Cattaui was Youssef ( Joseph) who wrote two volumes on the history of the world and a history o Egypt in Hebrew. The family was involved in the financing of the railway system in Upper Egypt and public transportation? Joseph Aslan Cattaui (1861-1942) who studied engineering in France contributed to the development of the sugar industry. He was a member of the Egyptian delegation to London to negotiate the independence of Egypt. He published in French a book defending the economic policy of Khedive Ismail who, because of his extravagance, almost ruined the country. He was made finance Minister of Egypt in 1924, and later appointed as a Senator and presided over the Jewish community in Cairo. His son Rene Cattaui took over the management of the sugar refinery of Hawandiah, 25 kilometres from Cairo. I had the opportunity o visit this huge and massive plant which refined the molasses arriving mostly from plants in Upper Egypt. René Cattaui, who wrote a 3- volume history of Egypt under Mohammed Ali, tried to re-establish with Rabbi Haim Nahum Effendi the Société d'Etudes Historiques des Juifs d'Egypte. In June 14, 1944, he wrote a letter to the Hebrew University asking for assistance in their efforts:
Dear Sir,
I have the honour to inform you that the Historical Society of Jews from Egypt has been re-established. In the course of our recent discussion, it was decided that among other activities, to have an annual scientific review dedicated to the history of Jews in Egypt...
(translated from the French).

Unfortunately, a few years later with the political situation deteriorating for the Jews, this dream was never accomplished in Egypt. This task of writing a yearly history of Jews of Egypt was never realised. Documenting the history of Egypt was recently undertaken by The International Association of Jews from Egypt which had a very successful conference at The Middle East Institute of Columbia University in December 4th ,1997, where scholars from around the world gave papers on Egyptian Jewry. The proceedings of the Conference will be available in the fall. René Cattaui Bey was the last of the Cattauis to preside over the Jewish Community. Members of the Cattaui family had presided over Jewish communal affairs for almost 100 years.


The Cicurel Family
Moreno Cicurel a Ladino- speaking Jew from Izmir, Turkey came to Egypt in the latter part of the 19th Century. After working in a store owned by a Jew, Hannaux called, " Au Petit Bazar", he established Les Grands Magasins Cicurel near La Place de l' Opera, which was in the heart of the city. In time with the assistance of his three sons, it became the largest department store in Cairo and other cities. They opened another chain of stores, Oreco, where the prices were moderate. Salvator is better known since he took over the presidency of the Jewish Community of Cairo in 1946 from René Cattaui. Salvator Cicurel was the last president of the Jewish community. He was the head of the Egyptian Chamber of Commerce and was involved in other economic activities. He was also a distinguished sportsman. He was a champion fencer and golfer, and was selected to be the captain of the Egyptian fencing team at the Olympic games of 1928 in Amsterdam where they reached the finals. His niece married Mendes-France who became prime- Minister of France. Other major rich Jews in commerce include Douek, Haim, Mizrahi, Najar, de Picciotto, Romano, Aghion, etc. It is to be noted that the name of the department store, Cicurel is still in use today. Other well-known department stores with Jewish ownership include Chemla, David Ades, Benzion, Gattegno, Simon Artz (Port-Said), Chalons, Morums, Pontremoli, etc..


The Mosseri Family
They came from Livorno, Italy and established the well-known Bank Mosseri. One member of the family, Victor Moise Mosseri, an agronomist by training, contributed a great deal to the development of cotton by saving the crops from parasites. Eli N. Mosseri reorganised the Egyptian Cement Company Joseph Vita Mosseri Bey founded the Josy Film Company in 1915, which developed onto the largest company in the Egyptian film industry.
Other rich families include the ####Suares####, which had an important square in Cairo named Suares Square; the ####Menasce#### family established the Menasce Free Schools, one member of family was elected president of the Alexandria Jewish community; the ####Rollo#### family were involved in the Helwan railway, Robert Rollo was director of the National Bank of Egypt.


Joseph de Picciotto Bey#### - contributed periodically to al-Muqattam, where his economic and financial studies were well received; Eli Politi founded and directed L'INFORMATEUR FINANCIER ET COMMERCIAL and played a part in the establishment of the daily al Lisr which became one of the most important Arabic-language papers; ####Joseph Smouha
If any of the readers know the whereabouts of the descendants of these families, please contact the writer.
Dr. Victor Sanua is Research Professor at St. John's University.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Claudia (Claudia) le lundi 15 janvier 2007 - 18h48:

Cinéma : Une comédie hilarante sur Hitler, réalisée par un juif, prend l'affiche en Allemagne ...

Un Hitler drôle ?

Mon Führer, première comédie allemande grand public sur Adolf Hitler, réalisée par un juif, sortait jeudi en Allemagne. Elle y a déjà été assez mal accueillie par la presse et le Conseil central des juifs, mais plutôt appréciée par les spectateurs.

Un réalisateur juif d'origine suisse a en effet osé défier les tabous en réalisant une comédie sur Adolf Hitler intitulée Mon Führer - La vérité vraiment la plus vraie sur Adolf Hitler.


L'histoire nous raconte comment un acteur juif est réquisitionné dans un camp de concentration dans le but d'entraîner Hitler à prononcer le discours du Nouvel An 1945 où il doit préparer les Allemands à l'ultime offensive.

L'acteur fouille dans la psychologie de Hitler et dans son enfance malheureuse, dans le but de relancer ses talents oratoires, éteints par les nombreuses défaites militaires.

Le réalisateur Dani Levy nous y montre un Hitler impuissant, incontinent et pleurnichard, un toxicomane que son père n'a pas assez aimé.

Plusieurs scènes ont déclenché les rires lors de l'avant-première à Berlin:

Hitler sort de la drogue d'un globe terrestre géant;
il joue avec un navire de guerre en plastique dans son bain;
il lutte avec sa chienne vêtue d'un uniforme SS;
la chienne fait le salut nazi.

Dani Levy, 49 ans, n'apprécie pas les films qui essaient d'expliquer le phénomène Hitler, comme La liste de Schindler, réalisé par Steven Spielberg, ou encore La chute, qu'il accuse d'ennoblir les nazis. Il préfère Le dictateur de Charlie Chaplin.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le lundi 15 janvier 2007 - 06h27:

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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le dimanche 14 janvier 2007 - 20h26:

c:/

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Pauline (Pauline) le dimanche 14 janvier 2007 - 20h14:

Voici une partie de l’interview du Rédacteur en chef de Al-Jezira, Ahmed Sheikh [2], à Doha (Qatar).

Elle a été réalisée, par Pierre Heumann, correspondant au Moyen-Orient de l’hebdomadaire suisse, Die Weltwoche, et est parue en allemand, dans l’édition du 23 novembre 2006.

Pierre Heumann : Vous voulez dire que si Israël n’existait pas, la démocratie fleurirait soudain en Egypte, les écoles du Maroc seraient meilleures, et les cliniques publiques jordaniennes fonctionneraient mieux ? [3].

Ahmed Sheikh : Je le pense.

Pierre Heumann : Pouvez-vous, je vous prie, m’expliquer ce que le conflit israélo-palestinien a à voir avec ces problèmes ?

Ahmed Sheikh : La cause palestinienne est au cœur de la pensée arabe.

Pierre Heumann : Finalement, n’est-ce pas une question de sentiments d’amour-propre ?

Ahmed Sheikh : Exactement. C’est parce que nous perdons toujours face à Israël. Les gens, au Moyen-Orient, se rongent de voir qu’un petit pays comme Israël, qui n’est peuplé que de 7 millions d’habitants, peut vaincre la nation arabe, qui en compte 350 millions. Cela blesse notre ego collectif. Le problème palestinien est dans les gènes de chaque Arabe. Le problème de l’Occident, c’est qu’il ne comprend pas cela.

Eloquent non ?


[www.a7fr.com]

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emma (Emma) le dimanche 14 janvier 2007 - 19h09:

Retrait des membres d'une ONG de Jimmy Carter en protestation contre son ouvrage sur la Palestine


WASHINGTON (MAP) - Quatorze membres d'un comité de conseil juridique d'une organisation des droits de l'homme de Jimmy Carter ont annoncé jeudi leur retrait de ce comité en protestation contre le nouvel ouvrage de l'ex-président américain ""Palestine : Paix et non apartheid"" soupçonné de ""critiquer injustement Israël"".
Le livre publié à la fin de l'année 2006 est qualifié de ""stimulant, de provocateur et de courageux"", offre une évaluation de ce qui devrait être fait pour garantir une paix durable à Israël et de la dignité et justice aux Palestiniens ""sans système d'apartheid ou une constante peur du terrorisme"".


L'ouvrage (247 pages) qui relate le processus de paix israélo-palestinien engagé lors du mandat de Carter entre 1977 et 1980, stigmatise aussi vigoureusement Israël et les Etats-Unis pour leurs réels blocages d'initiatives de paix et leur exacerbation de la violence au Moyen Orient.

Le livre fut attaqué le mois dernier par les organisations juives et par certains amis démocrates de l'ex-président et a causé le retrait de Kenneth Stein, ancien conseiller du Centre de Carter. Le comité des conseillers juridiques constitué de 200 membres, est responsable de la promotion et de l'apport d'un appui public au Centre de Carter, mais ne le dirige pas.

Steve Berman, bailleur de fonds à Atlanta et l'un des membres réfractaires a dit que les membres ""considèrent avec une profonde consternation"" la manière dont le titulaire en 2002 du prix Nobel de la Paix a défendu son ouvrage, particulièrement lorsqu'il a insinué que les Américains auraient peur de parler du conflit israélo-palestinien par crainte du puissant lobby juif.

Il a assuré que l'affiliation religieuse des démissionnaires, dont des dirigeants juifs éminents de la région d'Atlanta, n'a pas eu d'influence sur sa décision.""Vous avez clairement délaissé votre rôle historique de médiateur en devenant le défenseur de l'une des parties"", ont écrit les membres réfractaires dans la lettre de retrait.

""J'ai écrit ce livre parce que j'ai voulu stimuler le débat aux USA sur ce qui se passe actuellement au Moyen Orient"", a déclaré Carter. ""Ce sujet, à mon sens, a rarement été débattu ou discuté honnêtement aux Etats-Unis"", a-t-il ajouté. ""C'est quasiment le silence universel envers toute chose pouvant être critiquée à l'égard des politiques actuelles du gouvernement d'Israël"", a dit Carter estimant que ""c'est pire que l'apartheid"".

Il a précisé qu'il a utilisé le mot ""apartheid"" et cité la muraille, les détecteurs électriques et les dalles qu'Israël a construits dans la Cisjordanie (occupée en 1967) en tant qu'exemple de séparation et de division. ""Je crois que c'est plus pire, à mes yeux, que l'apartheid qui fut pratiqué en Afrique du Sud"", a-t-il assuré.