Archive jusqu'au 14/janvier/2007

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2007: Commentaires Janvier 2007: Archive jusqu'au 14/janvier/2007
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Sarel (Sarel) le samedi 13 janvier 2007 - 12h34:

Mr Tsadik je suis ETONNE que vous soyez ETONNE de ce qui se passe en Israel.
Les gens sont occupes a chercher une place sur la route pour leur voiture {et aussi le stationnement}
Cela a pris d'autres dimensions mais rien n'est nouveau .Avant on declarait que c'etait pour le "parti".
Bien a vous sarel

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le vendredi 12 janvier 2007 - 22h59:

'...Tout va bien, on va bien, je vais bien, ma sœur va bien, ah non, je n’ai pas de sœur… La cata, quoi ? Le peuple qui s’autogère, plutôt pas mal, même. La bourse ne cesse de monter, l’anarchie, ça fonctionne, Bébert, j’te disais !' La MENA.


Enfin une reconnaissance de mon point Bourse.
Merci Mr Tsadiq...! Bébert c'est moi n'est ce pas, l'allusion tape à mon oeil..
En plus Germaine....C'est le féminin de Germain.....AHAHAHAAH.....Quelle finesse d'esprit les autres ne voient que du feu ...!
Ne me dites pas que c'est du hasard????

Alors dites nous qui est clean dans ce petit pays de voleurs hauts placès dont j'ai honte à nommer...????

Mr Germain Alias Bébert, Albert, Jano, Belebou etc....
Mr_Germain

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Richard_S (Richard_S) le vendredi 12 janvier 2007 - 22h20:

Merci a Pauline d'avoir affiche l'article sur le cauchemar des Juifs d'Italie sous le regime de Mussolini.

Quand je lis ca, je me rappelle notre voisine Madame A. a Tunis qui etait Juive Grana et qui repetait avec fierte a tout va, qu'elle avait donne volontairement tous ses bijoux en or au gouvernement Italien en guerre.

"Ahna fachistes",("nous etions fascistes") disait-elle en parlant de sa famille, comme si c'etait une denomination qui portait en soi des lettres de noblesse.

Richard

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le vendredi 12 janvier 2007 - 21h52:

La Corrup et le Shnorglu (info # 011101/7) [Analyse]

Par Ilan Tsadik © Metula News Agency

Un seul remède possible face à la gigantesque crise de confiance en ses élites officielles qui foudroie Israël : Dany Boon ! Dany Boon et sa fameuse devise de positivisation : " Je vais bien, tout va bien, on va bien … ".

Sans cela, on est cuit. Voyez plutôt : 25 % des parlementaires à la Knesset sont actuellement impliqués dans des affaires de justice criminelle : Tout va bien, je vais bien, etc. Encore est-ce probablement, parce que la police ne dispose pas des effectifs nécessaires à contrôler tout le monde…

Il faut dire que les exemples viennent d’en haut. Le président coupe-rubans de l’Etat, M. Moshé Katzav, est accusé, à l’issue d’une enquête longue et détaillée des services de police, de viols et de harassement sexuel avec violences sur les personnes de plusieurs - une dizaine environ, M. Katzav est un satyre gourmand – plaignantes du sexe opposé. Ces actes auraient été commis durant de longues années de service public (de sévices publics ?), dès l’époque où ce baron du Likoud officiait en qualité de ministre des Transports. Au procès, il pourrait arguer que le 1er ministre de l’époque ne lui avait pas explicitement indiqué de quels "transports" il s’agissait.

Toujours est-il que les plaignantes, d’anciennes collaboratrices du cyclope, attendent impatiemment que le Conseiller juridique du gouvernement, M. Menahem (Méni pour les dames) Mazouz décide d’engager la procédure contre Katzav. Circonstance aggravante pour le président, les viols qu’il commettait étaient assortis d’un chantage à l’emploi : celles qui refusaient de passer sous ses fourches caudines étaient automatiquement critiquées dans leur travail, puis licenciées à ces motifs.

Cela fait déjà six mois que l’enquête est terminée et tout le monde, victimes en tête, et nous aussi, se demande ce que Mazouz peut bien attendre. Pendant ce temps, le violeur supposé continue de recevoir en grande pompe les diplomates étrangers à sa résidence officielle et d’y donner des fêtes fastueuses.

En fait, la gangrène qui ronge les ministres et hauts fonctionnaires de notre petit pays en guerre est constituée de trois microbes principaux : a) la corruption financière, soit le fait de vendre des décisions participant de leurs privilèges à des demandeurs moyennant compensation, b) la distribution de jobs, dans des ministères ou des institutions officielles à des personnes ne possédant pas les capacités de remplir ces charges et issues d’accointances politiques voire familiales, et c) la distribution à des industriels et des hommes d’affaires de dispenses ou de rabais sur les sommes qu’ils ont à payer au trésor public.

Bref, une vraie bananeraie, ma pauvre Germaine…

L’une des grandes sorcières de ces micmacs ne serait autre que Shoula Zaken, la directrice de cabinet du déjà très contesté Ehoud Olmert. Zaken, qui, après avoir été arrêtée par la police, est maintenant placée en résidence surveillée. Elle est soupçonnée d’avoir commis l’exploit de concourir dans les trois disciplines : elle a fait usage de son poste et de ses relations pour faire nommer des hauts fonctionnaire aux impôts, puis elle leur a enjoint d’accorder des allègements à divers personnages, dont son frère, Yoram Karshi, un businessman, subsidiairement membre du comité central du Likoud. Le beau sens de la famille, Olé !

D’autres proches d’Olmert se trouvent également dans le collimateur des pandores, s’agissant, entre autres, de son haut collaborateur Oved Yékhezkel et du représentant de l’administration fiscale israélienne aux USA, Igal Saar. Ce dernier a eu la mauvaise surprise de se voir passer les menottes dès sa descente d’avion, lundi, à l’aéroport Ben Gourion.

En fait, c’est toute l’autorité fiscale d’Israël qui est la proie au Shnorglu. On compte ainsi pas moins d’une vingtaine de hauts fonctionnaires du fisc, dont son directeur, Jacky Matza, à se trouver soit en prison, soit en résidence surveillée.

Vous imaginez l’état d’esprit de la population, déjà asservie à l’un des barèmes fiscaux les plus lourds du monde occidental, en apprenant, qu’en plus, ceux qui lèvent l’impôt, souvent de façon assez rugueuse, s’en mettent plein les poches ! Autre préoccupation, républicaine, celle-ci : si tous ceux qui sont responsables de la récolte de l’impôt sont sous les verrous, qui donc va faire leur boulot, qui va remplir les coffres de l’Etat, qui, dans le public, aura la confiance nécessaire indispensable pour leur transférer son argent ? Que de questions que pose Germaine et dont les réponses ne peuvent manquer de rendre inquiet.

Maiiiiis : je suis bien, tout va bien, je positive !

Je sais bien que certains grands supporters de l’Etat d’Israël sont, à ce stade de la lecture de mon article, au bord de la crise de nerfs, et pourtant, mon énumération est loin d’être terminée… L’abonnement à la Ména ne comprend pas la distribution gratuite de Valium, c’est l’endroit de le rappeler. Car tenez, dans une affaire supplémentaire, M. Avraham Hirshson, le Grand Argentier, au ministère duquel est inféodée l’administration fiscale, est soupçonné par la police de vol et de fraude avec circonstances aggravantes. Si ! Et il n’existe pas la plus petite éventualité qu’il évite à ce sujet le questionnement serré de la brigade financière.

Quant au 1er ministre Olmert, il fait du tourisme en Chine… Mais pendant ce temps, ici, on prépare son retour. Je ne sais pas si on lui passera aussi les menottes, mais Maître Michaël Karshan, du ministère de la Justice, a réclamé l’ouverture d’une enquête criminelle contre le président du Conseil, suspecté de fraude, d’abus de confiance et "d’autres crimes", dans l’affaire dite de la Banque Leumi. Il s’agit des conditions de la vente à des privés d’actions que détenait l’Etat dans cette grande banque israélienne et mondiale. Il est reproché à Ehoud Olmert d’avoir favorisé, facilité, l’acquisition de certains de ces titres à des proches.

Mais le 1er ministre traîne deux autres affaires distinctes parmi ses innombrables casseroles : la première concerne l’époque durant laquelle Olmert était ministre de l’Industrie, ainsi que l’associé qu’il avait eu dans une étude d’avocats, préalablement à son entrée en politique, un certain Maître Messer. Or des rapports indiquent que M. Olmert traitait personnellement les dossiers des clients de Messer et leur accorda des aides financières au développement industriel valant des millions de dollars. L’actuel premier ministre avait coutume de recevoir les clients de Messer, et de discuter leurs demandes, en présence de son ex-associé.

L’autre affaire, la troisième à laquelle Ehoud Olmert va avoir à répondre, concerne des attributions de postes (jobs), au demeurant illégales, effectuées par le 1er ministre au sein de l’Autorité des Petits Commerces. Il s’agit d’un organisme faisant partie du ministère de l’Industrie, dont la fonction consiste à encourager les promoteurs de petites entreprises et à soutenir celles qui existent déjà.

On garde le sourire, Germaine, au moins fais un effort, ma belle ! Positive ! D’après nos confrères de la Chaîne 10 de la télévision, la police attend, à l’extrémité de la Muraille de Chine, le retour du grand voyageur, pour lui annoncer l’ouverture des enquêtes officielles contre sa personne.

Un Etat, pris dans un tourbillon international et sécuritaire aussi furieux que celui qui fait rage au Moyen-Orient, et qui doit lui faire face avec un 1er ministre – déjà pas étincelant habituellement – mais de plus, très mal engagé dans trois ou quatre affaires criminelles + un président qui utilise la violence physique pour parvenir à ses fins avec les femmes + un ministre des finances également poursuivi pour des charges criminelles + les têtes de l’administration fiscale privées de leur liberté pour corruption, ce me semble une situation assez délicate, Germaine, Marie, Joseph ! (J’ai appelé la famille en renfort, au vu de la gravité de la situation. Ils sont juifs, après tout, c’est le moment qu’ils nous donnent un coup de main).

La Ména n’assure pas non plus de service de réanimation. Ne prenez pas de risques, mes chéries, que j’ai déjà tant éprouvées : CESSEZ ICI DE LIRE CET ARTICLE INDECENT !

Aux têtus, aux islamistes, aux chiraquiens, aux journalistes français l’épilogue de ce roman policier, sauce hyper-fiction :

Le ministre de la Justice, M. Haïm Ramon (Kadima), aurait bien voulu prêter main forte à ses collègues, mais il peut pas… il a renoncé à son portefeuille afin de se défendre dans un procès où l’une de ses collaboratrices l’accuse d’avoir "tenté de l’embrasser de manière agressive". Dénuement, je veux dire dénouement et verdict vers la fin du mois.

Mais avec un chef d’état-major comme Dan Haloutz, nous n’avons rien à craindre, au moins du point de vue de la sécurité. N’a-t-il pas récemment avoué à une commission d’enquête le questionnant sur les ordres qu’il avait donnés durant la dernière guerre du Liban ne pas avoir saisi l’urgence qu’il y avait à faire cesser les tirs de Katiouchas contre les civils du nord d’Israël ?

Et pour le seconder : le syndicaliste Amir Péretz, qui vient de reconnaître, ce matin, que le portefeuille de la Défense n’était pas vraiment fait pour lui…

Aucune crainte, tout de même, Germaaaîne : on peut compter sur Tzakhi Hanegbi, le président de la Commission des Affaires Etrangères et de la Défense à la Knesset. Oui, Jésus, Marie, Joseph… sauf qu’il est… heuh… poursuivi pour fraude, abus de confiance, nominations politiques illégales, et prévarication, pour la période durant laquelle il était ministre de l’environnement !

Tout va bien, on va bien, je vais bien, ma sœur va bien, ah non, je n’ai pas de sœur… La cata, quoi ? Le peuple qui s’autogère, plutôt pas mal, même. La bourse ne cesse de monter, l’anarchie, ça fonctionne, Bébert, j’te disais !

Derrière le mur de l’apartheid, de la honte, de l’usine et de chez mon voisin Andromède Cyclopède, je vois déjà pointer les visages des prochains leaders de ce pays de fous : Tzipi Livni et Ehoud Barak. Plus que quelques mois à attendre, pour eux, car le château de cartes des actuels Ribouldingues va s’écrouler rapidement, générant, bien entendu, quelques séquelles plus ou moins néfastes dans notre société. Ils vont partir, car, comme me l’a soufflé un confrère : dans notre jungle à nous, personne ne se situe au-dessus de la justice, ni le président – Bonsoir M. Chirac, on boucle ses cartons ? – pas plus que le 1er ministre – mes hommages à Madame de Villepin et salutations aux gentlemen de chez Clearstream -.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le vendredi 12 janvier 2007 - 17h03:

The Silk Route; A Judaic Odyssey
Fact Paper 3
© Samuel Kurinsky, all rights reserved

THE SYNAGOGUE OF KAIFENG, drawn by a French Jesuit priest, Jean Demenge, in 1722. The "Silk Route" was pioneered by Babylonian Jews in the fifth century BCE. The synagogue complex was erected in 1163 to serve a community of three thousand worshipers, and to accommodate Jewish trader-travelers who came across Asia with their caravans. From Jews in Old China by courtesy of the author, Sidney Shapiro, and of Hippocrene books, publisher.
For further details on Jewish silk making and dyeing see FP 15, Silk-making and the Jews; FP 21, Dyemaking, A Jewish Tradition; For other Jewish industries, crafts, and technologies see FP 4-I Iron-working, A Judaic Tradition; FP 6-I, Glassmaking, A Judaic Tradition, The Early Years; FP 6-II, Glassmaking, A Judaic Tradition, The Common Era, The Roman Period, FP 13-I, Craftsmanship a Jewish Tradition - The Archaic Period, FP13-II, Craftsmanship, a Jewish Tradition - The Biblical Period, and FP 13-III, Craftsmanship, a Jewish Tradition, The Roman Period.

One thousand seven hundred years before Marco Polo set out on his journey from Venice to China, Persian/Jewish traders pioneered the route from the Near East to Kaifeng, then the Capitol of Imperial China.

The first evidence of this significant historical milestone was recovered from the fifth century BCE grave at Lo-yang. Glass beads to wear in the next world were among the artifacts buried with the deceased. The Chinese had no knowledge of glassmaking at that time.1

The beads were typical of those made in Eretz Israel, the Land of Israel. They were overlaid with concentric rings of colored glass, and are termed "eye-beads." They were distributed around the Mediterranean by Canaanite seafarers (commonly referred to as "Phoenicians")


Late BCE eye-beads found in Europe and the near East compared with those found in China. The similarity in the technique and of the composition of eye-beads traded across Eurasia is due to their common Near-Eastern origin. By courtesy of C.G. Seligman and H.C. Beck, "Far Eastern Glass; Some Western Origins," The Bulletin of the Museum of Far Eastern Antiquities, No. 10, Stockholm, 1838.
For the next thousand years, Jewish glassware and linens were the principal goods exchanged for the silk and spices of China and India.

Cinnamon, Cassia (the bark from which cinnamon is made), jade, camphor, and many other Chinese products were greatly in demand in the West. The earliest reference in any literature to the oriental products, cinnamon and cassia, occurs in Exodus 30:23: Moses is instructed to take "principal spices, of pure myrrh five hundred shekels, and of sweet cinnamon (kinamon besem) half so much." In 30:24 he is likewise instructed to take "of cassia (kiddah) five hundred shekels."

Herodotus (485-425 BCE) stated that the Greek word Kinnamomon came from Canaan (3.111). Likewise, the word in Exodus for cassia, kiddah, appears in Greek as Kitto. Another Biblical word, kes’iah (Psalms 45.9), became the Greek Kasia.2 The transcription of Aramaic words into the Greek language identifies the merchants who first brought these spices in the fifth century BCE from the Orient to the Mediterranean to be traded around that great sea.

Linen fabrics (Byssus) were as marketable in China as were silk fabrics in the west. One of the earliest centers of industrial weaving of fine linen fabrics was the city of Beth Shean. The Bible informs us that Beth Shean (called "Scythopolis" by the Greeks), was a Canaanite town which fell to the forces of David. By the third century BCE, the Jews of Beth Shean had achieved world fame as producers of fine fabrics. The Jerusalem Talmud refers to "the fine linen vestments which come from Beth Shean (Qiddushin ii, 5062c)."

The halachic sage, Rabbi Chiyya bar Abba, is among those mentioned in the Mishnah as involved with trade in the Near East. R’Chiyya dealt with three of the basic goods traded along the route into China: glassware, flax, and linen.

In a Latin work of the fourth century, Descriptus Orbis, Beth Shean is described as a city which supplies textiles to the whole world. The superiority of textiles and clothes made by Jews in Beth Shean was affirmed by the Roman Emperor Diocletian. In 296 CE, Diocletian decreed fixed ceilings on prices and wages throughout the Empire. The woven products of Beth Shean were listed in the top class.

The edict lists only two types of glassware. One was designated vitri Ijudaici (Judaic glassware, i.e., glassware made by the Jews of Judah), and vitri Alessandrini (glassware made in Alexandria). Another Roman emperor, Hadrian, asserts that Jews are the glassmakers of Alexandria. Thus the testimony of two Roman emperors designate the Jews as the world’s glassmakers in Roman times.3

R.Chiyya followed in the footsteps of his mentor, the great Rabbi Judah Ha-Nasi (135-219 CE). The involvement of other sages and Jews in pan-Asian trade, as reflected in the Mishnah, burgeoned as centuries passed by. The tradition of travel and trade expanded into a world-girdling network of Jewish trade under the Persian/Jews called the Rhadanites. Ibn Khurdadhibih, an Arab chronicler of the ninth century, wrote that "these merchants speak Arabic, Persian, Roman, Frankish, Spanish and Slavonic. They travel from East to West, and from West to East by land as well as by sea."4 Ibn might well have added Hebrew and Aramaic to the list of languages spoken by these intrepid travelers!


Jewish centers at the hub of Pan-Eurasian trade. The routes radiated out from the Jewish centers of population in the agricultural and industrial heart of Babylonia to Europe, North Africa, India, and China.
Augustus, the first Roman emperor, is said to have commissioned "the original travel guide" from Isadore of Charax, who obliged by writing The Parthian Stations. Charax was a port at the head of the Persian Gulf. The authoratiative historian, A. T. Olmstead remarks that "By this time we realize how incomplete was our knowledge of the (Persian] Empire when observed through the eyes of the Greek writers only... Rescripts from Persian kings were cited in Ezra."5

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le vendredi 12 janvier 2007 - 14h57:

Un bourgeon qui deviendra une Rose.

Shabbat Shalom 12 01 07

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Moshébé (Moshébé) le vendredi 12 janvier 2007 - 14h30:

bShaCha 070112
Bonjour à tous.
Ravi de vous retrouver.
Malgré un temps venu d’ailleurs, la mer, les jolies dames en tenues de bains de mer, paresseusement étendues sur la plage, les palmiers et les feux d’artifice, je le répète, ravi de vous retrouver.
Un petit clin d’œil respectueux au Shabbat, suivi d’un poème à l’attention de mes petits enfants, écrit il y a quelques années.
A très vite.
Moshébé

Shabbat, Après Dîner

Si on leur demandait, Shabbat après dîner,
Ce qu’ils souhaitent faire, avant de se lever,
Ils vous rétorqueront, c’est maintenant admis,
Qu’ils veulent se reposer, sur le lit de Mamie
_____

Alors promptement, il faut faire de la place,
Et vite débarrasser, pour éviter la casse.
Le lit, pour l’occasion, chargé de vêtements,
Devient en un instant, un vrai jardin d’enfants.
_____

Les plus grands, bien sur, prennent les traversins.
D’autres préfèrent s’asseoir, délaissant les coussins,
Que les plus fatigués, s’approprient sans vergogne.
Tout cela en criant, mais bien sur, sans grogne.
_____

Alors, de temps en temps, soit Papy, soit Mamie
Viennent d’un air sévère observer la curie,
Lancer de graves menaces…, qu’ils n’entendent même pas !
Alors, on s’en retourne, le cœur rempli de joie.
_____

Et lorsqu’ils sont partis, comme tous les vendredi,
Déjà mélancoliques, nous observons ce lit,
Rayonnant de leurs rires, baigné de leur présence,
Et dommage trop vite, c’est déjà le silence.
_____

Baroukh Achem. A Shabbat prochain. Amen !


Moshébé

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Teava93 (Teava93) le vendredi 12 janvier 2007 - 12h46:

Je suis nouvelle sur ce forum.

Je m'aperçois que c’est toujours les mêmes personnes qui interviennent sur ADRA, et que les relations entres les différents protagonistes sont mauvaises.

Certains veulent avoir toujours le monopole de la raison. Certains sujets, commentaires, blagues ou théâtre virtuel ne peuvent pas toujours plaire. La critique doit être acceptée sans insultes.

Shabbat Shalom.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emma (Emma) le vendredi 12 janvier 2007 - 18h31:

Un leader juif critique durement une comédie allemande sur Hitler

Par David Rising

BERLIN (PC) - Une nouvelle comédie allemande sur Adolf Hitler s'engage sur une pente glissante et pourrait par inadvertance susciter davantage d'antisémitisme, selon un haut diriger de la communauté juive.


Le secrétaire général du conseil central des juifs d'Allemagne, Stephan Kramer, a affirmé que le film "Mein Führer" pourrait susciter la sympathie, car il dépeint le dictateur nazi sous les traits d'un personnage comique à l'enfance malheureuse. La production a pris l'affiche jeudi dans ce pays.


"Il (le film) amène les gens à souffrir avec lui, à dire:'le pauvre homme"', a expliqué M. Kramer mercredi, après avoir vu de larges extraits de l'oeuvre.


Le réalisateur Dani Levy, lui-même juif, montre un Hitler dépendant des médicaments, qui joue à la bataille navale dans sa baignoire, qui fait porter un uniforme nazi à son chien et qui reçoit des conseils en jeu d'acteur d'un détenu juif d'un camp de concentration.


Au dire du réalisateur d'origine suisse mais établi à Berlin, l'oeuvre est sa façon toute personnelle d'expliquer comment les Allemands ont pu suivre Hitler, ultimement dans la guerre et la Shoah.


"Je ressentais que je devais le faire par le biais d'un autre genre (cinématographique), en exagérant grâce à la comédie", a-t-il dit à l'Associated Press.


Mais les gens plus influençables, particulièrement la jeune génération allemande, peuvent trop facilement tirer leur propre interprétation du film, en raison du traitement de ce portrait de Hitler, a dénoncé M. Kramer.


"Monsieur ou Madame-tout-le-monde peuvent en tirer la fausse opinion que Hitler était seulement un personnage risible", a évoqué M. Kramer en entrevue téléphonique.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Toufiq (Toufiq) le vendredi 12 janvier 2007 - 16h25:

la these proposee par la celebre archeologue britanique lady nozohr va dans le sens de lintervention de victoria.
en effet,vu la taille enorme de ces animaux prehistoriques,un peut imaginer la quantite impressionante des gaz a effet de serreproduits durant des millions d'annees.
une these semblable aurait ete formulees au sujet des mamouths et auters mastodontes.
trop de laisser faire l'effet de serre.