Archive jusqu'au 06/janvier/2007

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2007: Commentaires Janvier 2007: Archive jusqu'au 06/janvier/2007
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le vendredi 05 janvier 2007 - 12h35:

Shabbat Shalom 050107

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le jeudi 04 janvier 2007 - 22h45:

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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mounia (Mounia) le jeudi 04 janvier 2007 - 21h55:

Interdit aux chiens et aux Blondes
PAYS-BAS - 24 décembre 2006 -

par PAR FOUAD LAROUI

Quand même, on vit une époque assez dingue. Il fut un temps - disons, de la chute de Constantinople jusqu’à dimanche dernier - où les choses étaient simples : être blanc, c’était bien ; être noir, moins bien ; et être arabe, c’était l’abomination de la désolation. Tout cela était un peu injuste, certes, mais comme c’étaient les types les plus forts qui l’affirmaient, il fallait bien les croire. Il y a un demi-millénaire, ces costauds disposaient d’arbalètes ; aujourd’hui, ils alignent dix mille têtes nucléaires, mais c’est tout comme : techniquement, ils ont une longueur d’avance sur nous, pauvres métèques, et nous sommes réduits à quia.
Pardonnez-moi ce préambule philosophique après lequel on va, curieusement, parler de football. Hier, j’étais assis dans les tribunes d’un stade ouvert aux vents pour voir le Sparta de Rotterdam battre l’arrogant Ajax d’Amsterdam par 3 à 0. Intense jubilation, certes, mais on n’est pas là pour parler de ça. On est là pour parler d’un incident qui m’a sidéré. À un certain moment, exactement à la 17e minute du match, le meneur de jeu d’Ajax, l’international Wesley Snijder, énervé par un tacle un peu trop appuyé d’un joueur de Sparta, se retourne et hurle :

- Sale Blanc !

Soyons clair : Snijder est aussi blanc et blond que, disons, Le Pen, et l’autre joueur aussi blanc et blond que, disons, Hermann Goering. Vous voyez Le Pen traiter Goering de sale Blanc ? Jugez de mon désarroi.


Où va le monde, hein ? On ne s’y retrouve plus. Franchement, il y a de quoi se présenter spontanément au Tribunal de Nuremberg, la corde au cou, et laisser les juges démêler l’affaire.

En vérité, le pâle Snijder utilisa une expression plus compliquée (« vuile witte tyfushond ») qu’on pourrait traduire par « Sale Blanc atteint du typhus des chiens », mais, pour ne pas effrayer les petits, on s’en tiendra à « sale Blanc ». Il semble d’ailleurs que l’étonnante injure ait été inventée dans le feu de l’action par l’imaginatif avant-centre auquel on peut donc prédire un avenir de poète après que sa carrière de footballeur aura pris fin.

En tout cas, l’arbitre n’hésita pas à sortir le carton rouge et renvoya le poète à ses études de chromatologie. Or - l’affaire se corse - ledit Snijder refusa de sortir au motif que « sale Blanc » n’était pas une injure raciste. Sale Noir/Juif/ Arabe/Tchétchène, OK, tout ça c’est du racisme, mais Blanc ? Juristes, à vos Dalloz ! Voilà un cas que Me Vergès lui-même n’a pas prévu. En tout cas, depuis hier, le débat fait rage au pays de Rembrandt - le maître du clair-obscur. Est-il répréhensible de se traiter les uns les autres de Blancs ? Et, tant qu’on y est, de Roses ? Tout le monde sait en effet que les Blancs - j’en compte parmi mes meilleurs amis - sont en fait roses.

Je crois qu’on assiste à la fin d’une époque. L’intrusion du footballeur Snijder dans nos consciences signifie peut-être la fin du racisme tel qu’on le connaît depuis les Croisades. Désormais, on est tous, quelque part, victime potentielle. Va donc, eh, sale Blonde aux yeux bleus… La fin de l’Histoire, annonçait Fukuyama. La fin de la Couleur, répond Snijder. Affolant !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Claudia (Claudia) le jeudi 04 janvier 2007 - 19h23:

Les Israéliens possèdent 10% de la Lune


JERUSALEM (AFP) - Les Israéliens possèdent 10% des terrains mis en vente à titre privé sur la Lune, selon le porte-parole d'une société spécialisée dans ce type de transactions cité jeudi par le quotidien Jerusalem Post.

"Certains Israéliens pensent qu'un terrain sur la Lune est un cadeau original et un bon investissement, dont leurs petits enfants pourront tirer profit", a affirmé au journal Tom Wegner de la société Crasyshop.

Selon lui, quelque 10.000 Israéliens se sont portés acquéreurs de terrains sur la Lune depuis que c'est devenu possible en 2000 et possèdent environ 10% des quelque 40 millions de km2 déjà vendus à travers le monde. Toujours selon la même source, les prix, actuellement relativement accessibles (60 dollars le demi hectare), risquent de s'envoler parallèlement aux progrès du programme spatial des Etats-Unis.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 04 janvier 2007 - 14h42:

Ma chronique matinale.
Par M. Théou Klean.

Parler lentement avec dem berred.

Mr_Germain...

‘…Allo…. ! Maître… ?

‘…....................… !’

‘…Ah, nous avons des problèmes de communications… !’

Cinq minutes plus tard…

‘..Bonjour…… ! Je vous prie de m’excuser pour ce retard dû aux mauvaises fréquentations, pardon fréquences…. !
Ce matin….......... ! Je vais vous parler de la Lune…. ! Oui…. ! Et bien figurez vous qu’un bon nombre d’israéliens se sont portés acquéreurs pour l’achat de quelques arpents de terrains sur la Lune, au prix de 70 dollars l’hectare. On peut passer commande par un site qui fait le nécessaire pour les transactions lunaires. L’Agence Lunas Propriétés a acquis auprès des lunaires l’exclusivité pour la commercialisation de terrains situés autour du LAC DE LA TRANQUILLITE….. ! Environ pour CENT MILLE hectares. Je trouve….

L’idée géniale, il faut assurer…… l’avenir des générations Israéliennes futures, puisque les générations précédentes et celle d’aujourd’hui, n’ont pas eu la chance de vivre dans LA TRANQUILLITE et surtout dans la paix qui se fait désirer.

Là bas au moins, ils pourront vivre dans le calme, sans mur de PROTECTION, libres et sans la crainte d’être attaqués.
Ils auront pour tache majeure de faire fleurir les déserts blancs sans être inquiétés outre mesure….Par des voisins belliqueux…. ! Peut être aussi découvriront-ils la JERUSALEM CELESTE …Qui sait…. ? En tout état de cause….. La colonisation de la LUNE par les israéliens serait une bonne chose … ! Leur expérience terrienne parle pour eux…. !’

La journaliste…

‘…Monsieur Klean, on vient d’apprendre par une dépêche spéciale que le HAMAS a envoyé un vaisseau rempli de terroristes sur la LUNE… !’
‘….Décidemment ……Ces gens nous aiment trop pour nous laisser TRANQUILLE…. !’

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le jeudi 04 janvier 2007 - 14h00:

Meyer
j'ai vecu dans le monde de Danielle habitant 2 rue de provence et en vacances au Kram
j'ai rejoint la France en 1953 a 20ans
Deux cousins sont maries avec des Maltaises et je connais le clochemerle de l'interreligieux local
C'etait plus simple a Paris
Merci Danielle pour ce travail

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le jeudi 04 janvier 2007 - 08h49:

Il faut dissoudre le people américain (suite et fin) (info # 010301/7) [Analyse]

Par Laurent Murawiec, à Washington © Metula News Agency

Réflexions sur le complot juif

Ce qui me frappe encore plus, c’est l’aveuglement délibéré de nos professeurs devant le fait patent : les préférences du peuple américain. Mais, quand on tient précisément le peuple pour quantité négligeable, seul un complot juif peut tout expliquer. Et s’il y a trois Juifs et demi dans les cabinets ministériels washingtoniens, c’est la preuve – accablante, définitive – que Le Lobby Juif, la main cachée, dirige la Maison Blanche. Souvenez-vous : Wolfowitz (J), Richard Perle (J), John Bolton (pas J, mais pro-J), hahaha, nous le savions ! C’étaient d’ailleurs tous des Likoudniks ! Ce qui expliquait tout. J’eus même la surprise peinée d’entendre un vieil ami, grand intellectuel catholique français, utiliser le terme comme s’il avait eu la moindre vertu explicative. De même, le doyen d’âge (travailliste) de la Chambre des Communes, à Londres, de s’appesantir lourdement sur le fait que Jack Straw, alors ministre des Affaires Etrangères de Tony Blair, avait un grand-père juif. Un "Mischling" dans la terminologie nazie, plus précisément, d’après les lois raciales de Nuremberg, un "Vierteljude", quart-de-juif, ce qui, admettons-le, my dear boy, était fort alarmant ! Les positions dudit Straw étaient, au reste, strictement en conformité avec la politique de son gouvernement et de son ministère : pro-arabes et anti-israéliennes.

Ajoutons, qu’en 2004, les juifs américains ont voté démocrate (Kerry) à 76 pour cent, et qu’une grande partie des juifs américains qui enseignent à l’université et oeuvrent dans les media sont, à l’unisson de leurs corporations, des gens de gauche. Ils partagent les préjugés de leur caste et sont souvent hostiles à Israël et au sionisme ; il faut ainsi conclure que, premièrement, les Juifs américains, censément principaux soutiens du Lobby juif américain, sont caractérisés par leur opposition à la politique israélienne (celle des « Likoudniks »). Et, d’autre part, que le peuple américain, contre l’avis martelé par une grande partie de ses élites culturelles, Juifs y compris, est israélophile, et le manifeste de multiples façons. Il est évident que cela empêche bien des gens de "pogromer" en rond, et, en tout cas, de flanquer Israël à la fosse aux hyènes. La communauté juive américaine s’oppose largement à George Bush, mais la politique de ce dernier est le fruit d’une conspiration juive… Allez y comprendre quelque chose ! On est vraiment au royaume de l’invisible. Mais le propre des « causalités diaboliques », comme le disait mon regretté maître Léon Poliakov, c’est d’exister hors des causalités réelles, hors des faits et des réalités.

J’assistais, il y a quelques jours, à la remise du Prix « de la Nation reconnaissante » qui porte le nom du grand sénateur démocrate que fut Henry Jackson : élu par l’Etat de Washington, une population à l’époque fortement marquée par les cols bleus syndiqués de l’industrie high-tech. Jackson était un démocrate faucon, un peu comme les sociaux-démocrates atlantistes en Europe, partisan d’une défense forte et d’une politique « reaganienne ». Henry Jackson, surnommé « Scoop », fut co-auteur du fameux amendement qui pénalisait lourdement l’URSS brejnévienne tant que l’émigration des Juifs russes était entravée. Il joua aussi un rôle de premier plan dans le grand mouvement de revers qui, alliant l’Amérique à la Chine, contribua à casser l’URSS. Le prix qui porte son nom est décerné chaque année par le JINSA, le Jewish Institute for National Security Affairs, une organisation qui organise systématiquement des contacts entre militaires américains et israéliens, et qui plaide, depuis trente ans, en faveur d’une vigoureuse politique de défense. On y trouve un grand nombre de généraux et d’amiraux très passionnés. Evidemment, JINSA - j’en suis - a mauvaise réputation à gauche ; qui s’en étonnera ?

Donc, on décernait le prix Henry Jackson. Mais avant de parler du récipiendaire, parlons un instant d’une cérémonie connexe qui se déroula quelques minutes avant son discours. Avant d’honorer un homme politique, JINSA honore des soldats du rang : en l’occurrence, six jeunes soldats et sous-officiers des forces armées américaines, choisis par leurs armes (Marine, Terre, Air, Marine Corps, etc…) reçurent leur Grateful Nation Award pour héroïsme exceptionnel au combat, en Afghanistan, en Irak ou ailleurs. Devant un parterre de près d’un millier de participants, émus aux larmes, un ancien commandant en chef des forces armées lut leurs citations militaires : on reste pantois devant les récits de bravoure et d’intrépidité de ces jeunes gens et jeunes femmes, avec leurs frimousses de bébés et leur calme un peu interloqué qu’on les distingue et qu’on les récompense. Ils furent ovationnés debout par l’assistance.

Puis, pour présenter le récipiendaire du prix, on avait invité son ami, le sénateur Joe Lieberman, ex-Démocrate, réélu comme indépendant, juif orthodoxe, et le général des Marines (CR) Mark Ryan, qui parla des cinq ans et demi de tortures subies au Vietnam par l’heureux élu, le sénateur John McCain. Lequel tient la rampe dans la course à l’investiture républicaine pour les élections présidentielles de 2008.

La profession de foi du sénateur McCain fut vigoureuse, pleine de punch et de foi, et sans équivoque : les Etats-Unis et Israël partagent des valeurs communes au moins autant que des intérêts géopolitiques ; la bataille d’Irak doit être gagnée ; la guerre contre l’Islam radical doit être accentuée. Ce soir-là, McCain gagna la voix d’une majorité des présents. Mais franchement, ce n’est pas ou pas seulement l’ambition de pêcher les voix des électeurs juifs conservateurs qui meut McCain. L’homme, certes, est un habile politicien – nul ne peut prétendre au poste suprême qui ne l’est pas ou ne veut pas l’être – qui sait caresser son public dans le sens du poil. Mais il y a chez lui un véritable engagement, qui lui permet d’aller, quand il le faut, à contre-courant. En l’occurrence, cependant, il est en phase avec l’opinion publique. Le soutien à Israël est dans les mœurs, il est dans le cœur d’une très grande partie du peuple américain. C’est ce qu’il dit quand on veut bien le lui demander.

Ce qui nous laisse avec le vif dissentiment manifesté par les élites politico-intellectuelles : faute de pouvoir se choisir un autre peuple, puisque celui-ci est récalcitrant, elles essaient de manipuler les élus du peuple grâce à des opérations purement médiatiques, telle que la remise du rapport de la récente « Commission Baker-Hamilton ». Qui donc a élu ces gens-là ? Personne, évidemment, mais ils se considèrent de droit sinon divin du moins aristo-surhumain, comme les seuls Elus, seuls habilités à dire et à faire. C’est quand on dérange les manigances feutrées de ces messieurs – « qui s’est permis de marcher sur mes escarpins ? » qu’ils se fâchent – et crient au complot juif. Le travail de la commission, qui n’était pas clandestin mais n’était soumis à aucune obligation de publicité, était celui d’un aréopage aux qualifications peu évidentes. Le frénétique battement médiatique qui précéda et accompagna la sortie de son rapport visait à lui permettre de passer en force, de créer l’événement : l’union des professionnels de la bureaucratie, des média et de la diplomatie devait violenter les élus du peuple, à commencer par le président.

Il est certes tout à fait normal, et même souhaitable, que le débat politique soit enrichi par des comités, des lobbies, des commissions et des groupes d’études ; c’est ainsi que fonctionne la démocratie américaine. Mais cette grossière manipulation allait bien au-delà. Elle voulait se substituer aux organes élus. C’est là, hélas ! pratique courante. N’avons-nous pas entendu rabâcher jusqu’à plus soif cette idée que la plupart des Américains sont trop stupides, ignorants et incurieux du monde extérieur pour pouvoir juger de la politique étrangère ? Je m’amuse toujours d’entendre la gauche bisser et trisser le morceau, puisqu’elle reprend en l’occurrence le vieil argument aristocratique : comment ces rustauds de paysans et ces illettrés de travailleurs manuels pourraient-ils saisir ces questions-là ? Comme si le jugement politique ne relevait pas, fondamentalement, de l’ordre de la moralité avant d’être d’ordre intellectuel ! Comme l’a dit si cruellement George Orwell : « Pour croire des choses comme ça, il faut être un intellectuel : nul homme normal ne pourrait être aussi stupide. ».

Ce déni de la notion même de citoyen, c’est la gauche contre la démocratie ; mais la gauche n’est-elle pas, depuis longtemps, majoritairement, favorable aux tyrans "confiscateurs" de pouvoir, pourvu qu’ils respectent ses propres surexcitations idéologiques ? Malgré ses affligeantes compromissions avec le communisme stalinien, l’écrivain Bertold Brecht avait saisi la balle au bond lorsqu’il conseilla, en 1953, au politburo est-allemand d’ « élire un autre peuple » puisque le peuple réel ne plaisait plus au politburo. La Gauche a besoin d’un peuple mythique ou mythifié, elle honnit le regrettable peuple américain, qui rejette la lutte des classes, va à l’église le dimanche, vote souvent républicain. Le peuple tel qu’on le vénère chez Michelet, bravo ! Le peuple réel, pouah !

Et ce fichu peuple américain, forfait pendable, est plutôt pro-israélien ! Pour citer M. Joseph Prud’homme, « quand les bornes sont franchies, il n’y a plus de limites. » Pis, la « droite évangélique » ou « droite chrétienne », têtes de Turc (si l’on peut dire) favorites de la gauche laïcarde et de la droite mollassonne et comme il faut, sont le plus passionnément favorables à l’Etat hébreu. C’est le comble ! Il faudrait décidément dissoudre le peuple américain afin de le remplacer par la Commission Baker, appuyée par le corps professoral de Harvard, les journalistes de CNN et du New York Times, et les histrions engagés d’Hollywood, sous la houlette nobiliaire de John Kerry sans doute. A la bonne heure, ce serait un peuple américain "tel qu’on l’aime", et qui pense comme nous ! Il ne manquera plus à l’idylle que de recycler tous les Israéliens en copie conforme de Yossi Beilin, et ce jour-là, le monde, purgé des commanditaires du Lobby et des va-t’en-guerre néo-conservateurs, connaîtra enfin le bonheur, à commencer par un Moyen Orient pacifié, épanoui et prospère.

FIN

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le jeudi 04 janvier 2007 - 07h25:

Le jour de la prière

Savez-vous ce que c'est le jour de la prière ?
J'aimerais écrire ce qui pourrait vous plaire,
Mais, loin de notre pays et de notre terre
Qui nous a donné les premières lumières.

Chrétiens, juifs, bouddhistes et musulmans,
Semblent tous perdre l'espoir en ce moment.
Si la Russie bouge ou les USA soupirent,
On se demande si le monde ne va pas finir.

On oublie toujours que rien ne dure sur terre,
Ni les grands faits, ni les discours, ni les misères,
Seules les mémoires pour ceux qui aiment écrire,
Afin de mettre sur papier ce qu'ils désirent.

Nous nous basons trop sur les écrits du passé‚
En oubliant que nous devons aussi changer
Notre perception, le présent et l'humanité.
C'est peut-être tôt ou tard pour y penser.

C'est ainsi que les peuples avaient hérité‚
Moise, Buddha, Jésus, et Mahomet.
Tous leurs écrits et toutes leurs vérités
Ont sûrement bien réussi à nous diviser

En oubliant que nous sommes tous frères.
Ce n’est pas à cause de leurs écrits, leurs prières,
Mais on divise les pays des uns et des autres
En oubliant que tout ce monde est bien le nôtre.

Certains me disent: "tu dors, réveille-toi!"
Je me demande qui est réveillé, eux ou moi ?
Ce n'est pas notre tâche de secouer les endormis
Ou de savoir qui sur cette terre est déjà en vie.


Emile Tubiana

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le jeudi 04 janvier 2007 - 06h27:

Un Beau Jour

Par une paisible matinée
Le ciel tout bleu, ensoleillé . . .
Ceux qui buvaient leur café
Et ceux qui venaient d'arriver.

Certains au téléphone,
D'autres au microphone,
Innocents et non chaland,
Papas, mamans et enfants

Commençaient avec espoir
Leur journée, et leurs devoirs
Sans savoir ce qui allait arriver
De l'intérieur ou de l'étranger

Le mal ronge l'humanité
De la vie dans l'éternité
Nous vivons avec nos rêves
Depuis Adam et Eve

En un clin d'oeil peut être
Il coupe la vie de tant d'êtres
Installe la croyance de la peur
A ceux qui ont encore du coeur

Mais dans sa fureur il oublie
Que rien n'est plus fort que la vie
Que les hommes vont se forger
Pour ne pas se plier aux drogués.

C'est une ancienne histoire
De convertir au désespoir
Mais nous savons surtout
Que la lumière est en nous

Avançons vers l'avenir
Gardons bien notre sourire
Le mal va bientôt finir
Car il va seul se détruire

Faisons nos devoirs du jour
Avec les forces de l'amour

Prions debout ou sur les bancs
La fin du mal et des méchants

Emile Tubiana

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le jeudi 04 janvier 2007 - 06h25:

Un Beau Jour

Par une paisible matinée
Le ciel tout bleu, ensoleillé . . .
Ceux qui buvaient leur café
Et ceux qui venaient d'arriver.

Certains au téléphone,
D'autres au microphone,
Innocents et non chaland,
Papas, mamans et enfants

Commençaient avec espoir
Leur journée, et leurs devoirs
Sans savoir ce qui allait arriver
De l'intérieur ou de l'étranger

Le mal ronge l'humanité
De la vie dans l'éternité
Nous vivons avec nos rêves
Depuis Adam et Eve

En un clin d'oeil peut être
Il coupe la vie de tant d'êtres
Installe la croyance de la peur
A ceux qui ont encore du coeur

Mais dans sa fureur il oublie
Que rien n'est plus fort que la vie
Que les hommes vont se forger
Pour ne pas se plier aux drogués.

C'est une ancienne histoire
De convertir au désespoir
Mais nous savons surtout
Que la lumière est en nous

Avançons vers l'avenir
Gardons bien notre sourire
Le mal va bientôt finir
Car il va seul se détruire

Faisons nos devoirs du jour
Avec les forces de l'amour

Prions debout ou sur les bancs
La fin du mal et des méchants

Emile Tubiana