Archive jusqu'au 22/décembre/2006

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2006: Commentaires de Decembre 2006: Archive jusqu'au 22/décembre/2006
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Victor (Victor) le mercredi 20 décembre 2006 - 20h05:

Rebonds

En 1973 Sadate, en 2006 la Syrie : deux mains tendues refusées.

Israël n'a-t-il rien appris ?
Par Amos OZ

QUOTIDIEN : mercredi 20 décembre 2006

Amos Oz écrivain israélien. Dernier ouvrage paru en français: Soudain dans la forêt profonde, traduit de l'hébreu par Cécile Cohen, Gallimard.
Le président syrien Bachar al-Assad a proposé récemment, et à plusieurs reprises, à Israël des négociations de paix. Il y a peu, il a précisé qu'il n'avait pas de conditions préalables à ces négociations ­ et n'a même pas exigé qu'Israël promette à l'avance de restituer le plateau du Golan. La réponse du Premier ministre Ehud Olmert a été étonnante. A en croire ce dernier, nous ne pouvons agir contre notre ami, le président George W. Bush, qui n'a aucun intérêt à quelque accommodement entre Israël et la Syrie. C'est pourquoi Israël refuse de saisir la main tendue par la Syrie...

Jadis, lorsqu'Israël se conduisait encore comme un pays indépendant plutôt que comme un client des Etats-Unis, l'exigence de négociations directes et inconditionnelles avec les pays arabes était au coeur de sa politique au Proche-Orient. Des Premiers ministres comme David Ben Gourion, Moshe Sharett, Levi Eshkol, Yitzhak Rabin et Menahem Begin ont tous exigé que les dirigeants arabes s'asseyent à la table de négociation sans conditions préalables d'un côté ou de l'autre. Les demandes de chaque partie devraient être examinées au cours des pourparlers ­ c'est la position qu'Israël a défendue pendant des décennies.

Ce n'est donc plus le cas.

Désormais, en réponse à l'ouverture syrienne, Israël présente une liste de conditions: la Syrie doit expulser la direction du Hamas. La Syrie doit couper ses liens avec le Hezbollah. La Syrie doit cesser de harceler nos alliés américains en Irak. La Syrie doit mettre fin à son alliance avec l'Iran. La Syrie doit abandonner tout préparatif militaire sur le front du Golan. Et elle doit accomplir tout cela avant tout début de négociation.

Si la Syrie répondait à toutes ces exigences, Israël n'aurait plus, du coup, de raison de négocier avec elle l'avenir du Golan. En fait, si la Syrie acceptait toutes les conditions d'Israël, la paix deviendrait superflue.

En 1967, en réponse à une attaque syrienne, Israël a occupé le plateau du Golan. Depuis lors, la Syrie a demandé la restitution de son territoire alors que, dans le même temps, Israël a demandé que le régime de Damas reconnaisse Israël, mette fin aux hostilités et vive en paix avec l'Etat juif. Désormais, Israël exige de manière préalable que la Syrie abandonne tout ce qu'elle a à donner avant même de s'asseoir à la même table que nous. Il s'agit là d'une demande déraisonnable. Et le plus déraisonnable est la justification que donne Israël à ce dédain de la main tendue de la Syrie: nous ne pouvons pas négocier avec la Syrie parce que cela mettrait le président Bush en mauvaise posture en Amérique à propos de sa politique au Moyen-Orient.

Pourquoi Israël s'implique-t-il dans la controverse entre faucons et colombes aux Etats-Unis? Pourquoi Israël doit-il sacrifier son intérêt national suprême ­ la paix avec tous ses voisins ­ au profit des aménités dans ses relations avec un gouvernement étranger? Et en particulier ceci: c'est la première fois qu'un Premier ministre israélien a reconnu, et a même tiré fierté de ce fait, qu'une décision nationale israélienne d'une énorme importance a été abandonnée aux mains d'étrangers.

Nous avons déjà connu cela: à la veille de la guerre de Kippour en 1973, le président égyptien Anouar al-Sadate avait proposé la paix à Israël en échange de la restitution du Sinaï. Le gouvernement incompétent de Golda Meir ignora cette offre pour des raisons très similaires à celles avancées par le gouvernement Olmert aujourd'hui. Après cette guerre-là, Israël reçut la même offre faite à la veille des combats: la paix en échange de territoires. Avons-nous appris quelque chose depuis ?

http://www.liberation.fr/rebonds/224315.FR.php
© Libération

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le mercredi 20 décembre 2006 - 19h40:

Cacouboulou la difference entre Les Juifs et les Berberes il y a bien la revendication Sarhaoui et surtout la Kabyles et la Kurdes mais la colonisation Arabe des etats du proche Orient et du Maghreb a été plus forte et plus longue que celle des Europeens car ils ont imposé la langue et surtout la religion Musulmane qui est en meme temps Charia , lois et culture.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le mercredi 20 décembre 2006 - 19h25:

Hanoukia Virtuelle, 6eme Lumiere

6eme Lumiere

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emma (Emma) le mercredi 20 décembre 2006 - 18h27:

Attentat de Djerba: la condamnation de Belgacem Naouar confirmée en appel

TUNIS (AP) - La cour d'appel de Tunis a confirmé lundi le jugement rendu en première instance à l'encontre de Belgacem Naouar, condamné en juin dernier à 20 ans de prison assortis de cinq ans de surveillance administrative pour complicité dans l'attentat de Djerba, a-t-on appris de source judiciaire.

Revendiqué par l'organisation terroriste Al-Qaïda d'Oussama ben Laden, l'attentat avait fait 21 morts, dont 14 Allemands, cinq Tunisiens et deux Français en avril 2002.

Selon les autorités, le kamikaze, Nizar Naouar, neveu de Belgacem, avait trouvé la mort carbonisé lors de l'explosion du camion-citerne chargé de gaz qu'il avait fait exploser devant la synagogue de La Ghriba, construite sur cette île du Sud tunisien il y a plus de 2.500 ans, d'après la légende.

Belgacem Naouar, 44 ans, avait été reconnu coupable de "complicité d'assassinat avec préméditation", "participation à une association de malfaiteurs en vue de commettre une agression sur les personnes et les biens" et "participation à la détention et la fabrication de matières explosives sans autorisation légale".

Lors de son interrogatoire lundi par le président de la Cour, Chédli Boukhris, l'accusé a de nouveau clamé son innocence, niant avoir été au courant des desseins criminels de son neveu.

Il a, en revanche, admis avoir aidé Nizar dans l'acquisition du camion et d'un entrepôt que ce dernier lui avait confié vouloir utiliser pour des activités commerciales.

Il est, en outre, revenu sur les déclarations qui lui sont attribuées dans les procès-verbaux de l'instruction selon lesquels son neveu lui aurait avoué qu'il faisait partie d'Al-Qaïda et qu'il projetait de commettre l'attentat contre la synagogue pour se venger contre les souffrances qu'enduraient les Palestiniens.

Selon lui, ces aveux lui ont été "imposés" par les enquêteurs de la police judiciaire, alors qu'il était "dans un état psychique déplorable" pour avoir été laissé "trois jours et trois nuits sans nourriture et sans sommeil".

Dans une longue plaidoirie, l'avocat de la défense, Me Samir Ben Amor, a décrié les "nombreuses atteintes et autres abus" qui, selon lui, ont entaché toutes les procédures de l'enquête qu'il a jugées "nulles et non avenues".

Me Ben Amor a cité notamment la période de détention préventive de son client qui a duré plus de quatre ans, alors que la loi la limite à 6 mois, pouvant être prolongée de deux fois trois mois.

Il a, par ailleurs, dénoncé "les tortures de toutes sortes" et "les conditions carcérales insoutenables" auxquelles son client aurait été soumis et qui, a-t-il fait valoir, ont provoqué des séquelles, demandant à la cour d'ordonner une expertise médicale de l'accusé.

L'avocat s'est étonné que le juge d'instruction n'ait pas jugé utile d'interroger des victimes et témoins étrangers de l'attentat, dont Khalid Cheikh Mohammed, présenté comme un haut responsable d'Al-Qaïda que l'auteur de l'attentat avait joint par téléphone satellite avant de lancer son action kamikaze contre la synagogue.

Considéré comme le cerveau présumé des attentats du 11 septembre, Cheikh Mohammed a été arrêté en 2003 au Pakistan et transféré depuis sur la base américaine de Guantanamo.

Selon la défense, "aucun document ne figure dans le dossier de Belgacem Naouar prouvant la revendication de l'opération par Al-Qaïda et beaucoup de zones d'ombres persistent dans cette affaire".

"Les preuves présentées sont faibles et illusoires et ne peuvent être retenues par la Cour pour condamner l'accusé dans une affaire aussi grave", a-t-il plaidé en demandant l'acquittement de son client.

En novembre dernier, le juge d'instruction antiterroriste français Jean-Louis Bruguière avait ordonné le renvoi devant la cour d'assises de Paris de trois autres complices présumés dans l'opération de Djerba: Khalid Cheikh Mohammed, Walid Naouar, frère du kamikaze de Djerba et Christian Ganczarski, un Allemand converti à l'islam que Nizar avait appelé quelques instants avant de perpétrer l'attentat.

En Espagne où l'affaire a également des ramifications, la justice avait condamné en mai dernier l'homme d'affaires Enrique Cerda et un Pakistanais, Ahmed Rukhsar, à cinq ans de prison pour participation au financement de l'attentat de Djerba. AP

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le mercredi 20 décembre 2006 - 15h43:

Dans un entretien à Libération, Jean-Yves Camus, chercheur à l'Institut de relations internationales et stratégiques, analyse le rapprochement entre Dieudonné et le Front national. Il explique cette nouvelle alliance par le fait que ces deux mouvances se rejoignent « sur l'antisionisme à travers les formulations ambiguës de Dieudonné, qui trouvent un écho dans l'encadrement du FN et parmi une minorité des gens issus de l'immigration, ou de couleur ». Le spécialiste rappelle en premier lieu que l’antisémitisme « reste au coeur de l'idéologie de l'extrême droite radicale, celle qu'on appelle l'extrême droite extraparlementaire ». Jean-Yves Camus constate « que, quand l'antisionisme radical et la théorie du complot servent de boussole idéologique, on a de fait quitté la gauche » et ajoute que « la volonté de transgression très forte. Vouloir éradiquer Israël, démoniser les Juifs, c'est s'attaquer à l'idée même d'une loi et d'une morale communes ».

«Une volonté de transgression très forte» (Libération

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Cacouboulou (Cacouboulou) le mercredi 20 décembre 2006 - 15h42:

Si comme il est dit : “ La decolonisation apres la phase de decadence de l'Empire othoman a obligé de retrouver à chaque Nation de l'Empire de refaire la Nation l'Origine puisque les Nations Musulmanes se constitaient en Etat Nation . ”, Les nations du Maghreb auraient du se réconstituer en nations Berbères Pré-Carthaginoises, et non en nations dites arabes à cause de la religion dominante.

Pour ce qui est du Proche Orient, le malheur c’est qu’ Abraham a fait un enfant à la Bonne !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le mercredi 20 décembre 2006 - 10h59:

Je me permets d'ajouter au bon article de A SOUED
c'est que l'orient JUDEO CHRETIENS et musulmans étaient dans une logique d'Empire qui permet de garder sa specificité Nationale dans l'Empire La domination de cette Empire a varié et le dernier etant l'Empire Othoman qui etait organisé en Milleyet c'est à dire en Nation ,la Nation Youdi se perpertuant en entité Juridique dans l'Empire en reference à la Judée La decolonisation apres la phase de decadence de l'Empire othoman a obligé de retrouver à chaque Nation de l'Empire de refaire la Nation l'Origine puisque les Nations Musulmanes se constitaient en Etat Nation .Ainsi c'est une logique devenant obligatoire pour toutes les Nations Orientales ex-Othomanes ce n'est pas uniquement la Shoa qui est source de l'Independance des Juifs en Judée -Israel cela s'inscrivait dans l'Histoire .Le malheur fait que chacun des peuples Orientaux en a subi le contre coup et l'Intelligence est de le comprendre pour faire une Paix source de progres et non comme une spoliation ces peuples etant tous de cette region

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par A_Soued (A_Soued) le mercredi 20 décembre 2006 - 09h49:

DANGER ! L'IMAGINATION DEPASSE LA RAISON

Par Albert Soued, www.chez.com/soued pour www.nuitdorient.com

Le 20 décembre 2006

Ahmed Sheikh est le rédacteur en chef de la télévision par satellite Al Jazeera qui émet de Doha à Qatar (émirat arabe) dans le monde entier. Il est d'origine palestinienne et il a été interviewé récemment par Pierre Heumann, un journaliste de l'hebdomadaire suisse Die Weltwoche.

En substance, il affirmait que la création de l'état d'Israël était à l'origine du non développement économique du monde arabe, de la disparition de ses classes moyennes, de son manque d'écoles et d'hôpitaux, de sa non évolution démocratique etc…bref de tous les maux qui affectent ce monde. Et la raison qu'il a invoquée n'a rien de rationnel. "L'existence d'un état juif prospère et fort heurte l'ego arabe et le paralyse dans son élan vers le développement". (1)

Ce qui est inquiétant c'est que, prisonnier de sa culture et de l'éducation reçue, ce responsable d'un grand média arabe, au lieu de décrire objectivement la réalité du terrain, nous sert la rengaine du "bouc émissaire".

Depuis la déclaration Balfour en 1917, préconisant la création d'un état Juif en Palestine-Jordanie, les médias arabes locaux ont commencé petit à petit à se déchaîner contre leurs voisins juifs provoquant même des pogroms en 1927, 1929 et 1936. Depuis la renaissance de l'état d'Israël en 1948, le ton est monté progressivement jusqu'à des niveaux qui peuvent être considérés aujourd'hui comme intolérables en Occident. Il faut ajouter à cela l'avilissement du Juif dans l'éducation donnée dans les écoles arabes, sans parler des madrassas et des sermons du vendredi. Pour l'arabe de la rue, aujourd'hui, le Juif et, en particulier le Juif israélien, est un non-être, une vermine à écraser ou le Mal à éradiquer (2). Le summum est atteint par un non-arabe qui s'est érigé en défenseur de l'Islam, Mahmoud Ahmedinejad, président iranien qui vient de réunir un forum antisémite et antisioniste mettant en doute la réalité de l'Holocauste Hitlérien (3). Une façon de prendre le relais du monde arabe dans celui de l'Islam non arabe et y diffuser encore plus fort la haine antijuive. Dans le but d'assouvir de noirs desseins à terme.

Et cette propagande islamo-arabe à grande échelle a aussi des répercussions sur la mentalité occidentale qui s'en accommode et, pour partie l'accepte, une manière de se disculper de la Shoah. Il est grand temps de remettre les pendules à l'heure.

Le royaume d'Israël a été créé en – 1005, puis au bout de quelques dizaines d'années s'est scindé en 2 royaumes, Israël au Nord (en gros la Samarie) et la Judée au sud de Jérusalem. Le royaume d'Israël a disparu au début du 8ème siècle avant l'ère courante, provoquant la dispersion de dix tribus dans le monde et le royaume de Judée a perduré jusqu'en 70, lors de la destruction du 2ème Temple de Jérusalem par les légions romaines.

Le Royaume de Judée a ainsi duré plus de 11 siècles, plus ou moins indépendant. Et c'est la dispersion de ce Royaume qui a donné les Juifs de la Diaspora d'aujourd'hui. La dispersion du Royaume d'Israël a donné, elle, les "tribus perdues" dont certaines sont en train d'être retrouvées.

Depuis cette destruction de + 70, le pays a été occupé par de nombreux envahisseurs successifs. Ce pays a été appelé "Palestina" par les premiers envahisseurs, les Romains (4). Les Juifs-Judéens n'ont pourtant jamais cessé de résider dans ce pays. Et la majorité des résidents étaient Juifs jusqu'à l'invasion arabe en 636.

Les Juifs de la diaspora sont toujours revenus s'installer dans le pays appelé Palestine, mais en petit nombre. Le retour des dispersés de Judée s'est intensifié à partir du 19ème siècle et surtout après la première guerre mondiale.

Ainsi dès 1868, il y avait déjà une majorité juive à Jérusalem et selon Karl Raedeker, en 1906, il y avait à Jérusalem 40 000 Juifs, 13 000 Chrétiens et 7 000 Musulmans. Au moment de la déclaration Balfour en 1917, il y avait 250 000 arabes en Palestine et plus de 100 000 Juifs. La plupart des Juifs comme des Arabes étaient des immigrants, les uns d'Europe, les autres des pays environnants de l'empire ottoman.

Après l'effondrement de l'empire ottoman, la Palestine-Jordanie a été placée par la Société des Nations sous mandat britannique. Le territoire prévu pour le retour des Juifs dans la déclaration Balfour comprenait la Palestine et la Transjordanie (Jordanie actuelle et un morceau d'Irak). En 1923, pour compenser le roi hachémite Abdallah qui régnait sur le Hedjaz de la perte de l'Arabie, donnée à la tribu des al Saoud, Churchill lui accorde la Jordanie, soit 80% du territoire promis aux Juifs. Dans l'esprit de Churchill, c'était aussi la création d'un nouvel état qui devait recevoir tous les arabes de la Palestine-Ouest vers la Palestine-Est appelée Jordanie, par leur déplacement à l'Est du Jourdain. Si cette vision de Churchill avait été exaucée à l'époque, il n’y aurait pas eu de problème arabo-israélien.

Après la création d'Israël, entre 1948 et 1967, 650 000 arabes se sont réfugiés en Jordanie, au Liban ou en Syrie, ou se sont déplacés vers la région de Gaza, sous autorité égyptienne, ou vers la Judée-Samarie, envahie puis gouvernée par le roi de Jordanie. Parallèlement 900 000 juifs ont quitté les pays arabes, la plupart expulsés. La majorité d'entre eux a trouvé refuge en Israël, créé par l'Onu en 1948, sur un minuscule territoire, soit moins de 10% de celui prévu par Balfour en 1917.

Les fondateurs du nouvel Etat avaient le choix entre plusieurs désignations pour cet Etat, Palestine, Israël, Nouvelle Judée... Ils ont choisi le nom générique d'une nation et de celui du royaume du Nord dispersé, Israël. Les terminologies "Nouvel Israël" ou même "Nouvelle Judée" auraient été plus réalistes. Car il ne faut pas perdre de vue que peu de gens dans le monde savent qu'Israël était une nation d'il y a 3500 ans et un royaume d'il y a 3 000 ans qui a duré 3 siècles pour une partie et 11 siècles pour une autre.

Il s'agit donc bien d'une renaissance d'un état et non de sa création. Et c'est ce qui semble effrayer aujourd'hui d'éminents arabes comme Ahmed Sheikh…et beaucoup d'autres, vivant dans l'imaginaire de leur religion et de leur culture, et ne se rendant pas compte qu'Israël est une réalité pérenne qui peut les aider à s'émanciper.

Notes

(1) Die Weltwoche (pour l’original) et World Politics Watch (pour la version anglaise).

(2) Il suffit de lire les livres d'école d'Arabie ou d'ailleurs, les médias qui recensent les discours et les écrits enflammés contre les Juifs pour mesurer l'ampleur des dégâts causés par les Arabes dans le subconscient de 3 de leurs générations:

www.edume.org/reports/10/toc.htm

Une étude complète des livres scolaires, notamment en Arabie saoudite, où les enfants sont "endoctrinés" dans la haine de l'Occident, des Chrétiens et des Juifs.

www.memri.org/french - site politique de traduction des médias arabes

www.memri.org/french/video/ - vidéos des médias arabes

www.memritv.org/# - vidéos des médias arabes

www.pmw.org.il/tv.html - Archives vidéo
www.pmw.org.il/tv%20part6.html - les incitations à la haine
www.pmw.org.il/tv%20part1.html - les incitations au martyr
www.pmw.org.il/new/ - "ask for death"

www.pmw.org.il/tv%20part3.html - vidéos abus d'enfants

www.adl.org , lutte contre la haine, le racisme et l'antisémitisme
www.adl.org/main_Arab_World/default.htm, antisémitisme dans le monde arabe

(3) Lors de la semaine du 4 au 11 décembre s'est réunie à Téhéran, sous l'instigation d'Ahmedinejad, une conférence internationale négationniste regroupant tous les mouvements d'extrême droite niant l'Holocauste juif, dans le but de réécrire l'Histoire selon leurs fantasmes.

(4) Palestina est dérivé de "Philistins", peuplade égéenne venant de la mer. C'est le nom créé par les Romains pour désigner la Judée. Il a été repris par la société des Nations pour désigner le territoire accordé aux Juifs par la Déclaration Balfour, à l'Est comme à l'Ouest du Jourdain.

Aujourd'hui, il semble désigner les zones où les Arabes vivent à l'Ouest du Jourdain, en dehors d'Israël ou de la ligne verte définissant le territoire israélien.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mamili (Mamili) le mardi 19 décembre 2006 - 23h24:

Bonsoir à tous,,

Voici un lien qui permet d'allumer une bougie pour nos 3 soldats qui ne peuvent le faire. Si vous pouviez le faire circuler.

http://my.ynet.co.il/jewishagency/defaultFra.asp

Merci et Bonnes fêtes

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Cacouboulou (Cacouboulou) le mardi 19 décembre 2006 - 20h55:

"79% des jeunes ont une piètre image des hommes politiques"

Ca c'est certain, pour s'en rendre compte il suffit, d'aller sur le PTB, et de cliquer sur le film bande annonce du Cinoche REX,

Bonnes Fêtes à Tous