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Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2004: Commentaires de Novembre 2004: Archive jusqu'au 15/novembre/2004-2
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le lundi 15 novembre 2004 - 19h59:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Tiens donc revoila Le Millière nouveau qui nous revient avec le Beaujolais .

Il se fait comme l’ouvreuse du cinoche, colporteuse de son dernier bouquin, citant pour le bon exemple Madelin et Sarkozy, Madelin l’ex manieur de barres de fer dans les manif du mouvement Occident, hautement facho, et dans lequel il ne faut surtout pas chercher des Philosémites, et Sarko qui voudrait que les lieux de Kulte ! soient financés par la dîme des contribuables français, faisant de ceux ci des
Dhimis d’église de village.

Ce petit môssieur a oublié de citer comme le plus gros perdant de la farce, le contribuable US de quel bord qu’il soit, à qui va être présenté l’addition fiscale du Grand Fourbi irakien, sans compter les Boys et les Civils qui y laissent leur peau sur le carreaux, et le Dollar qui n’en finit pas d’essayer l’ouverture de son parachute.

On ne peut souhaiter à Millière, que de s’engager dans le Corps Franc, pour aller y goûter du pruneau, ceci pour quelques arpents de sables qui puent l’huile rance.

Quand à Soros il rigole de son chèque, déductible de la déclaration de revenus, qui ne représentent pour le personnage, pas plus qu’un vent sur une toile cirée (Euf Reïkha ! Hata Deben Tmout !, comme on dit chez nous !)

Dans le discours de Millière, on découvre même le mot “ploutocraties”, qui était fort apprécié des
fascistes qui désignaient par ce sobriquet les régimes démocrates, quel beau projet ! ce type caresserait donc des rêves de dictateur, d’ouailles qui nagent dans le bonheur de la naïveté.

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Shafi (Shafi) le lundi 15 novembre 2004 - 19h04:

Je pense que la démission de Collin Powell, va laisser la place à des hommes et des femmes à poigne.
Les Américains vont combattre le terrorisme et les pays qui le soutienne, avec plus de force.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le lundi 15 novembre 2004 - 19h01:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Liberté d’expression...

Commentaire sur : "Le ballet incessant des declarations Shafi-La douda qui occupent ttes les pagesd'Adra est penible et ininteressant." :

Mieux vaut ce ballet, que des commentaires grossiers et insipides agrémentés d’une ponctuation à la mode de Cambronne, qui ne grandissent nullement leur auteur, ni par la stature et ni par l’intellect. Et, une fois de plus merci de nous tendre la perche.

On fait remarquer que nos déclarations publiques ont au moins ce mérite, d'apporter une petite pincée de piment, qui nous change d'une rasra que certains voudraient nous ftiler, avec le désire non contenu de nous formater à leur image.

Pour nous qui nous prenons facilement au jeu des ombres et des lumières, qui caressent notre site de reflets changeants, cette caresse représente l'essence même de la vie, car nous autres Tunes sommes ainsi faits, et que ceux ou celles qui formuleraient le projet de nous réinventer, ne sont pas encore nés.

Les commentaires sont faits pour être analyser, en fonction des aspirations de chacun, la liberté
d'expression étant à ce prix, si on ne peut supporter ce concept, c'est que soi-même on n'est pas libre, et donc intellectuellement emprisonné dans une gangue de préjugés, ce qui est loin d'être notre cas.

Dire que nous nous occupons toutes les pages est un stratagème dérisoirement grossier, facile de
vérifier que très souvent, nous laissons couler plusieurs pages, quand nous n'avons rien à commenter, ce qui est loin d'être le cas de Tous, mais ceci ne nous dérange nullement.

Quand au “Futile”, nous sommes persuadés tant nous nous sentons innocents, que l’ ”Utile” n’est rien sans le Futile, et encore moins que rien sans le “Ftile”, car tel est notre bon plaisir, et que nous sommes comme les figues de barbarie (Hendi), doux en dedans mais piquants à l’extérieur.

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le lundi 15 novembre 2004 - 18h53:

L’homme qui rit dans les cimetières (info # 011511/4) [Réinformation]
par Stéphane Juffa © Metula News Agency


Ce qu’il faut bien commencer par appeler de son nom, soit la nouvelle affaire de construction par la principale chaîne publique de télévision française du prétendu sourire d’Ariel Sharon "réagissant à l’agonie du président de l’Autorité Palestinienne" a eu un précédent. C’était en 1922, le Président de la république française d’alors, Raymond Poincaré, avait été photographié le soleil dans les yeux au cimetière militaire de Verdun. Son rictus, lié à l'éblouissement, avait été interprété par ses adversaires politiques comme un rire insultant envers les morts de la guerre 14-18. Ses adversaires, c’étaient les calomniateurs proto fascistes de l’Action Française, dont Charles Maurras était le chef. Il y a, dans la construction d’un lien, au JT de France 2, entre l’agonie de Yasser Arafat et le sourire du Premier ministre israélien, et dans l’atmosphère ambiante qui a encouragé cette construction, une odeur néo-maurassienne nauséabonde.



Encore que les contempteurs de Poincaré n’avaient pas étendu leur calomnie à une nation, en affirmant, comme l’a fait FR2, que des dizaines de personnes s’étaient répandues dans les rues d’Israël en chantant et dansant "sans attendre l’annonce officielle de la mort de Yasser Arafat". Que peuvent générer de tels propos sur de telles images, dans un tel amalgame, sinon un sentiment de dégoût envers un peuple et un Président du Conseil qui insultent les morts ?



Monsieur Pujadas s’est ému auprès de nous de [l’article] d’Ilan Tsadik, se défendant qu’il s’agirait d’une manipulation de sa part et imputant les images d'un groupe fêtant dans la rue la mort annoncée de Yasser Arafat à l’agence Reuters et à sa dépêche numéro 264 du dix novembre. Pujadas affirmait à notre intention que Reuters indiquait clairement qu’il s’agissait d’une réaction à l’agonie de Yasser Arafat. J’ajoute que notre confrère a eu ce que je prends pour de l'audace, en reprochant à la Ména de ne pas vérifier ses sources, de lui faire un procès d’intention d’incitation à la haine raciste, d’être désobligeante et presque insultante à son endroit, ce pour aboutir à nous demander, dans une démarche appuyée, de rectifier notre information.



Après avoir dûment considéré la dépêche no. 264, sur laquelle je reviendrai dans quelques lignes, j’ai appelé le bureau de Reuters à Jérusalem. Quoi de plus simple ? Et j’ai obtenu la déclaration suivante, que j’ai évidemment transmise à David Pujadas : "Aucun des éléments contenus dans la dépêche et sur les images en question des danses et de l’interview de monsieur Sharon ne fait, directement ou indirectement, allusion à l’agonie du président Arafat", suivi, à ma propre surprise, de "nous avons tourné la scène des danses des hassidim il y a environ deux semaines".



Voyons : J’ai parlé à Reuters jeudi. Les deux semaines dont a fait état mon interlocutrice autorisée nous ramènent dix-huit jours plus tôt, soit avant même la déclaration officielle de la grippe intestinale dont est mort Abou Ammar. Ces hassidim de Braslav ont décidément de vrais tuyaux dans l’éther : Non seulement fêtent-ils le décès de quelqu’un avant l’annonce de sa mort mais encore avant celle de sa maladie…



Quant au contenu de la 264, il n’est que de citer Jean-Claude Allanic, le médiateur de la chaîne de monsieur Pujadas, lors de son émission de samedi, afin d’apprendre, à notre tour et à bon escient cette fois, à notre confrère à lire correctement une dépêche :



"A propos du sourire de monsieur Sharon dont on a parlé", commente fort honnêtement Allanic, "j’ai recherché le document d’origine qui avait été reçu par une agence d’images [1] qui est l’agence Reuters. Alors on voit donc ce que nous avons reçu intégralement (pendant que les images et le son de l’interview d’Ariel Sharon défilaient à l’écran). Monsieur Sharon parle et en fait, dans ce document, on ne sait pas quelle est la question qui a été posée au Premier ministre israélien [2], la seule phrase audible est « quand la terreur s’arrête, on va plus vite vers la paix et l’amélioration de la situation, ici, en Israël et dans la région ». Alors, pas question apparemment directement d’agonie (…)". Ostensiblement et indirectement non plus, Jean-Claude, dites juste – pas question d’agonie – il faut parfois prendre le risque de parler sans ambages, "clairement", pour reprendre l’adjectif employé par David Pujadas.



Il n’y a certes pas qu’au 20 heures de France 2 que flottent les relents néo-maurassiens et apparemment antisémites. Il se pourrait que la rédaction du JT ait été influencée par la tache commise par Dominique Dhombres dans le Monde, quelques heures plus tôt de ce 10 novembre d’infortune. Dhombres y faisait lui-même allusion à un reportage de LCI et terminait sa partition de L’homme qui rit dans les cimetières sur le paragraphe suivant : "Ariel Sharon était interrogé sur les conséquences du décès, alors annoncé à tort, d'Arafat. "C'est la fin du terrorisme [3] et je pense qu'on va pouvoir avancer beaucoup plus vite vers la paix, améliorer la situation ici, en Israël, et dans la région", déclarait le Premier ministre israélien avec un petit sourire satisfait. Le sourire était aussi déplacé que le propos."



Les lecteurs, curieux, de la Ména compareront la nouvelle création du Monde avec la phrase correctement rapportée par J-C Allanic ; seulement alors, pourront-ils saisir en plein le sens des mots manipulation malveillante. Il y a aussi fort à parier que l’équipe de Pujadas ait voulu participer à ce mouvement de l’oratorio à la démonisation d’Israël. Même qu’elle a fait du zèle, en associant des danseurs hassidiques à l’accusation portée contre Sharon, dans le but de stigmatiser le comportement prétendument dévoyé d’une nation entière. La mienne, pour son malheur. Dans ce sens, il ne s’agit pas d’une erreur d’interprétation, puisqu’il y a manifestement amalgame artificiel et construction. C’est effectivement terriblement grave, on ne construit pas par erreur.



Et dans le même souffle des amalgames dangereux, nous, d’attirer l’attention sur une autre forme de prétexte, avancée par Pujadas dans ses mails, par Charles Enderlin, cité comme témoin à l’Hebdo du médiateur, et par d’autres, pour tenter d’expliquer la dernière incitation à la haine raciste de France 2. Cela consiste à justifier l’injustifiable par référence aux sentiments prêtés au Premier ministre israélien ou à la population d’Israël. Ainsi, David Pujadas me demande-t-il : Tout le monde sait qu'Arafat est globalement peu aimé et parfois détesté en Israël. Est ce un crime ? Et est ce un crime de le montrer ?



Ca n’en est pas un, David, non. Par contre c’en est un de danser sur un cadavre et un encore plus grand d’inventer des gens dansant sur un cadavre.



Sur la même gamme, l’assertion d’Enderlin selon laquelle "monsieur Sharon n’est pas mécontent de la disparition de celui qu’il considère comme un terroriste et comme un criminel" et qui justifierait que l’on interprète son sourire n’est plus du journalisme. C’est de la psychanalyse, du sondage d’âmes. Les sentiments d’Ariel Sharon et ceux des Israéliens sont leur affaire personnelle et ils n’autorisent en aucune manière qu’on invente ses propos ou que l’on interprète leurs danses. Si on montre un événement, il faut impérativement qu’il se soit produit et toute autre approche est effectivement constitutive d’un crime. C’est en énumérant cette règle, face à la nécessité de redire une lapalissade effectivement première à des confrères assurément chevronnés, que je conçois l’étendue de l’épidémie de peste. Tout ce qui touche Israël et les Juifs est à redémontrer, sinon cela échappe aux lois et à la déontologie. C’est cependant la conduite des gens que nous autres journalistes avons le privilège de commenter et pas, ni ce qu’ils ressentent, ni ce qu’ils pensent. Et si on changeait de métier, si on jouait un instant aux psychanalystes, il faudrait aussi sonder le fond de la conscience de messieurs Moubarak, Omar Suleiman, le chef des renseignements égyptiens, l’un des plus grands experts en Yasser Arafat, de Tony Blair, Bush, Fischer, Tenet, Morantinos, du roi Abdallah de Jordanie, des souverains du Golfe, du despote syrien et de milliers de personnes avant de juger Ariel Sharon. Croyez bien que personne d’informé ne doute sérieusement du résultat d’un tel sondage.



A l’émission du médiateur, on avait donc choisi de faire appel au témoignage professionnel de Charles Enderlin, l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’ours qui détient les images de l’agonie de Mohamed A-Dura. Quelle idée saugrenue ou serait-ce plutôt une forfanterie, comme le choix de la direction de la chaîne de repasser son "Rêve brisé" en supplément de programme ? Histoire de montrer qu’on est fort aux centaines de milliers de téléspectateurs et à quelques députés courageux, qui ne comprennent pas ce que l’auteur d’une aussi conséquente et réitérée fausse déclaration fait encore au service public ? Et qu’importe si, à l’exception des participants arafatiens à Camp David II, les autres, je veux dire Bill Clinton, Ehud Barak et le ministre des affaires étrangères d’alors, le professeur Shlomo Ben-Ami, ont jugé que l’interprétation enderlinienne des raisons de l’échec de la paix tenait de l’élucubration ? A eux, aux téléspectateurs et à la minorité française juive, horrifiée par un pareil manque de sensibilité, que leur sensibilité, justement, non seulement on s’en fout mais "qu’on fait ce qu’on veut sur notre chaîne". Pourtant Enderlin a été semblable à lui-même, c'est-à-dire libéré du poids des contingences de la réalité et du devoir de réserve, malgré les lourdes perches successives que lui tendait Allanic.



Ainsi a-t-il fait un parallèle étourdissant entre l’obligation de montrer les images que je viens de commenter et celles, très authentiques celles-là, "montrant la joie de Palestiniens, après un attentat ayant fait de nombreuses victimes en Israël". C’est vrai que tout rassemble ceux qui se réjouissent de la mort d’innocents [voir l’article de Jean Tsadik "Café Jénin-Jénin"] et ceux qui dansent quotidiennement dans les rues… Utiliser l’opportunité de cette nouvelle imposture afin de constituer un parallèle frelaté entre ceux qui encensent le terrorisme et ceux qui en sont les victimes, voici qui me paraît digne du personnage. Tout comme le fait de se lancer dans un long plaidoyer, en réponse aux téléspectateurs qui se demandaient pourquoi FR2 avait montré ces images, arguant que si on les avait cachées, on aurait donné dans la censure et porté atteinte à la liberté des correspondants en poste dans la région. La censure serait donc, à l’en croire, le fait de ne pas montrer des images que l’on a mises en scène. Là, on cauchemarde. Enderlin de nous rappeler aussi "qu’au moins une chaîne israélienne a souligné le sourire de monsieur Ariel Sharon à ce moment précis". Lisez, au moment où Sharon a affirmé que sans le terrorisme, la paix et la situation dans la région se porteraient mieux. Le monstre !



J’ai proposé, à mon tour, à David Pujadas de diffuser un rectificatif dans son journal de ce soir. Cela ne réparerait pas les dégâts de la désinformation, sans doute, mais cela permettrait aux Français de connaître la vérité et à notre confrère, de repasser du bon côté du mur de la décence et du journalisme. J’ai fait cela sans grande illusion, parce que c’est ce qui me semblait juste, tout simplement, tant le torrent déchaîné des néo-maurrassiens qui inonde la France emporte tout sur son passage, décourageant ceux qui voudraient bien l’endiguer. Mais il y a malheureusement des hommes qui rient effectivement dans les cimetières. Et ce n’est certes pas ceux qu’ils disent !







Notes :



[1] Chez Reuters, l’une des plus grandes agences de presse du monde, ils n’ont guère apprécié d’être réduits au rôle d’"agence d’images", ni que la télévision française d’Etat mette en doute leur crédibilité. Surtout que ceux qui nous ont parlé avaient déjà exprimé pour les manipes de France 2 un sentiment convulsé.



[2] Le script de la dépêche 264, livré avec les images, mentionne la question : "asked about unconfirmed death of president Arafat" (questionné à propos du décès non confirmé du président Arafat). Rien à voir avec une "réaction à l’agonie" du leader palestinien.



[3] Vive protestation du Hamas, du Jihad islamique, du FPLP et des Brigades des Martyres d’Al-Aksa, récemment rebaptisées "Les Brigades Yasser Arafat".

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par A_Soued (A_Soued) le lundi 15 novembre 2004 - 18h47:

CENTRE SIMON WIESENTHAL - SIMON WIESENTHAL CENTRE - CENTRO SIMON WIESENTHAL
64, avenue Marceau - 75008 Paris - Tel. +33 (0) 1 47 23 76 37 - Fax: +33 (0) 1 47 20 84 01
E-mail: csweurope@compuserve.com


Pour diffusion immédiate

Le Centre Wiesenthal à Monsieur le Garde des Sceaux : " Pour décourager toute spéculation, rectifiez le certificat de décès d'Arafat concernant les indications erronées sur son lieu de naissance et ajoutez les causes de décès. "

Paris le 15 novembre 2004

Le Centre Simon Wiesenthal a appelé la France à : " enquêter sur ce certificat de décès erroné et incomplet et faire rectifier les indications fallacieuses concernant son lieu de naissance ainsi que préciser sa parenté et les causes de son décès. "

Dans une lettre a Monsieur le Ministre de la Justice, le Directeur du Centre pour les relations internationales, M. Shimon Samuels, et le secrétaire général pour la France M. Richard Odier, ont fait part de leur étonnement en apprenant que : " le certificat de décès délivré par la Mairie de Clamart le 11 novembre indique que le défunt Yasser Arafat "est né à Al-Qods/Jérusalem le 3/8/1929" de père et de mère inconnus. Par ailleurs il ne précise pas les causes du décès."

M. Samuels précise que : " Alan Hart ainsi que les autorités égyptiennes reconnaissent le Caire comme son lieu de naissance et l'équivoque entretenue par l'hôpital dans le diagnostic de sa maladie a déclanché des accusations d'assassinat qui ne peuvent qu'exacerber des violences futures au Proche Orient. "

M. Odier attire l'attention que " la jurisprudence française et les valeurs de la République s'appuient et sur la rigueur et sur la transparence. En violation évidente de ces principes, toute demande ou question sur des précisions concernant l'acte de décès d'Arafat et adressée à l'Etat civil de Clamart est aujourd'hui renvoyée au Parquet."

Le Centre informe le ministre de la Justice que : " Toute ambiguïté ou dissimulation ne peut qu'encourager des spéculations ou une mythologie qui desserviraient la tradition légale française ainsi que les espoirs de paix de l'ère post Arafat. "


Pour plus d'informations, merci de contacter Shimon Samuels au +33 6 09 77 01 58 ou Richard Odier au +33 6 95 38 20 01

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Shafi (Shafi) le lundi 15 novembre 2004 - 18h41:

Le secrétaire d'Etat américain Colin Powell a présenté sa démission au président George W. Bush, a-t-on appris lundi auprès du département d'Etat.
AFP.15/11/2004 16:33

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le lundi 15 novembre 2004 - 17h32:

14 :22 - Zaka : au nord du camp de Kalendia, il y a eu un échange de tirs entre des Palestiniens de Hébron venus en pélérinage sur la tombe d'Arafat et des hommes armés locaux, il y a plusieurs blessés

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Soleil (Soleil) le lundi 15 novembre 2004 - 16h39:

(..........)

by David Wilder

The Jewish Community of Hebron

November 15, 2004

Now I can breathe a sigh of relief.

A couple of days ago I met with journalists who came to interview one of the 'fanatic extremists' whose views and opinions are on the very fringe of Israeli society. Of course, many of their questions focused on 'what's next,' following the demise of 'terrorist number one.'

"He's dead, so what will be now?"

My first response was that I am truly sorry – I'm sorry that he didn't die at least thirty five years ago – so many lives would have been saved. I added, 'not only Jewish lives, but Arab lives too' but I'm sure my interviewers didn't take me seriously.

As to 'what's next,' I answered without hesitation. "There is going to be a blood bath. The Arabs don't know any other way. They live lives of violence, that's the way they make decisions, and that's not about to change now. They will inevitably start killing each other as part of a war of inheritance. There's much to gain: power, prestige, and money – lots and lots of money. Maybe a free trip to Washington, a picture with George W., with luck a ceremony on the White House lawn, and if history should replay itself, a Nobel Peace Prize and a big slot in the history books. So, what's a few dead people on the road to such goodies? "

The interviewers looked skeptical. So I continued. "Look, they have absolutely no respect for human life. Look how many of their own they've sacrificed over the years. A couple of weeks ago a 16-year old genocide bomber blew himself up, killing some more Israeli Jews. Fifteen year olds have been apprehended on their way to perpetrate such horrible crimes. Any leadership that sees 15 and 16 year olds as expendables, clearly don't care about life. As far as they are concerned, life is a means to an end, and if it helps them meet their goals, is worthless."

"But," they continued to ask, "maybe something has changed – new leadership, free elections, etc.?"

"Do me a favor," I responded. "There are twenty two Arab states in the Middle East. Find me one democracy. Show me one Arab state which has 'free elections.' Of course, some states, like Egypt, do conduct elections every so often, but there is only one candidate. In other countries, if you vote for the wrong person or party, you simply disappear. And many others, don't even attempt to play the game. The leadership is sold, inherited, or taken by force. That's simply the way it is."

"Now, please explain to me why the so-called 'palestinians' should be any different. These people live by the sword and the gun. This is the way they've lived for centuries. How can anyone expect them to suddenly put down their weapons and start living like Americans in the United States. Their culture does not understand the meaning of 'free democratic elections.'"

"Remember," I told them, "the Islamic fundamentalist culture that they espouse is diametrically opposed to the western culture you are trying to force down their throats. Not only don't they believe in it, they vehemently reject it. The attacks on the World Trade Center and Pentagon, the terror in Spain, there is no end to it. Years ago, in July of 1997, I wrote an article called "Uncle Muhammad" [http://www.freeman.org/m_online/aug97/wilder1.htm], warning of impending fundamental Islamic terror against the United States and the entire Western world."

"A few months ago I interviewed the director of the Norwegian chapter of the International Christian Embassy, Leif Wellerop, while he was visiting Hebron, and asked him his thoughts about the huge influx of Islam into Europe. His response was instant and still resounds in my ears. 'World War Three has already started,!' he exclaimed. The Muslims are attacking western, Christian values, traditions and culture, and their way is, of course, the way of the sword."

Imagination. I don't think so. Our Islamic friends have long memories that are saturated with revenge. The Spanish al-Qaeda attacks are a perfect example. The Middle East Info web site reports the following:

In the debris, police found a damaged videotape they said was likely recorded on March 27. Investigators salvaged images from the tape that they said showed militants, their faces covered and brandishing an assault weapon, warning of more attacks unless Spain pulled its troops out of "the land of the Muslims," an apparent reference to Iraq and Afghanistan.

Evoking the history of Christian wars that drove Muslims from Europe, the speaker on the video said, "We all know about the Spanish crusades against the Muslims, the expulsions from Al Andalus and the tribunals of the inquisition," according to a transcript of the recording released by authorities.

The statement echoed aspirations of other Islamic militants, including al Qaeda's leader, Osama bin Laden, who in a taped message evoked "Al Andalus" the ancient name for the area. In 1492, the Spanish monarchs Ferdinand and Isabella ended eight centuries of Muslim rule after a long siege of the city of Granada. [http://www.middleeastinfo.org/article4250.html]

And in Time magazine:

"For Spanish investigators, it was a chilling message from beyond. As they searched a bombed-out apartment building in the Madrid suburb of Leganés last week — trying to determine from the body parts exactly how many members of the March 11 train-bombing cell had made their last stand there — the investigators found a videotape in the rubble. On it, an intense man, flanked by two others brandishing Sterling submachine guns, warned of massacres to come. "The Brigades of al-Mufti and Ansar al-Qaeda" — or supporters of al-Qaeda — were in Spain, said Sarhane Ben Abdelmajid Fakhet, 35, to demand that "its troops pull out immediately from the land of the Muslims." Linking Iraq and Afghanistan to the 15th century expulsion of Muslims from Spain and the Inquisition, he demanded "blood for blood!" and "destruction for destruction!" [http://www.time.com/time/europe/magazine/article/0,13005,901040419-610023,00.html]

In other words, Islamic warriors are presently avenging the deaths of their comrades, almost 600 years ago.

These are the people that the State of Israel are expected to 'make peace' with. These are our 'partners.' The departure of the 20th century's second-ranking terrorist is, according to western leaders, media, and everyone else, an historic changing of the guard, the opening of a 'new chapter,' a 'fresh chance' for peace.

Right, tell me all about it.

So, why do I now sigh a breath of relief?

Yesterday I heard that the 'great Palestinian hope,' Abu Mazen, had been chosen by the Fatah terror organization in Ramallah, to replace Hitler's successor. He was then, according to news accounts, to visit the 'mourner's tent' in Gaza. "Aha," I said to myself, "if he is now an official candidate, undoubtedly someone will try to kill him." And you know what – so it was. As soon as Abu Mazen arrived at the appointed place, gunmen invaded the 'tent' and started shooting. Abu Mazen wasn't hurt, and today is trying to downplay the attack, claiming that it was not an assassination attempt.

He is, of course, playing on Arab intelligence to believe him. Forget the fact that two of his bodyguards were killed. Of course it wasn't an attempt to kill him. They just 'lost control of themselves, and Abu Mazen, by chance, happened to be in the way.

Right.

That's the way they live, and that's the way they're going to continue to live – whether we like it or not. Forget about western democracy, forget about free elections. The name of the game is violence, money and corruption. And, of course, the primary element: the desire to wipe the State of Israel, and all it's Jewish inhabitants, off the map. As a first course. This was exactly what I told the journalists, just a few days ago, and it already came true. Not because I'm a prophet, rather because when you know who you're dealing with, it's just common sense.

You remember the story about the guy who said he could train a cat to be just like a human waiter. He found a tame cat, and for an entire year worked very hard, teaching the cat how to walk on two legs, how to carry a tray, how to bow, how to act with proper manners in front of important people.

Finally the day came. The cat entered the hall, wearing a tux and bow tie, spruced-up, looking great. In his 'hands' the cat held a tray filled with exotic delicacies. He started serving table by table, and all the participants laughed with delight. Tray after tray, until finally, he appeared with glasses filled to the brim with an exquisite brew.

As the cat approached the main table, a little boy ran into the room, pulled a mouse from his pocket, and threw it in front of the cat. The tray suddenly crashed on the floor, the drink drenching the important guests. The cat tore off, chasing the mouse, forgetting his manners, forgetting his tuxedo, forgetting his 'human' attributes.

Once a cat, always a cat. Learn how to deal with them, as they are, like it or not.

(...........)

Because the alternative isn't a tray full of drink crashing to the floor. The alternative is a replay of September 11th, again and again and again. G-d forbid.

With blessings from Hebron.

The Jewish Community of Hebron
POB 105 , Kiryat Arba-Hebron 90100 hebron@hebron.org.il
Tour Hebron: Tel 972-64-371257 or write: simcha@hebron.

Texte modifié le 15 novembre 2004

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Benzarti (Benzarti) le lundi 15 novembre 2004 - 15h31:

Shafi et les autres,
iberek fikom!!!kol 3am wal mouselmine hayin bkhir,snin deyma!!
Shafi,lè èdri low enti muslmi ow lè!mais je te souhaite un bon aid

bonne journée

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Shafi (Shafi) le lundi 15 novembre 2004 - 15h21:

Ah'mad Qoreï a échappé à un attentat.
On crie haut et fort que ce n'était pas un attentat, mais des tirs de joie, à l'idée qu'il sera bientôt l'héritier d'Arafat.
Par contre, les deux victimes se sont auto-suicidées d'une balle dans le dos.
Les règlements de comptes sont en cours.
C'est comme chez les truands, on élimine le chef et on laisse les seconds couteaux s'entretuer.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le lundi 15 novembre 2004 - 15h17:

Accord de cooperation scinetifique entre l'Universite Hebraique et le CNRS, dans le domaine de la Neurophysiologie et de la Neurophysique.

Hebrew U, CNRS to sign cooperation agreement

The agreement between Hebrew University of Jerusalem and the French National Scientific Research Organization (Le Centre National de la Recherche Scientifique) is for a joint neurophysiology / neurophysics research laboratory.

Globes correspondent 14 Nov 04 15:26

An agreement of cooperation between the Hebrew University of Jerusalem and the French National Scientific Research Organization (Le Centre National de la Recherche Scientifique, or CNRS) will be signed on November 16, in the framework of a Jerusalem-Paris scientific video conference.
CNRS is a large, basic research organization operating throughout France. Over 1200 CNRS units are functioning in conjunction or association with institutes of higher education and other French research bodies.

The agreement will provide for the establishment of a joint laboratory for research in neurophysiology and neurophysics. The agreement, it was said by the participants, represents a further effort by the governments and scientific communities of France and Israel to further scientific cooperation between the two countries.

Signing in Jerusalem will be Hebrew University President Prof. Menachem Magidor, while in Paris the signatories on behalf of the CNRS will be its director-general Dr. Bernard Larrouturou, plus University of Bordeaux president Prof. Bernard Begaud and University of Paris president Prof. Jean-Francoise Dhainaut.

Among those who will be present for the ceremony on the Israeli side will be members of the Hebrew University administration as well as French Ambassador to Israel Gerard Araud, French Cultural Attache Dr. Tobie Nathan and French Scientific Attache Jean Christopher Auffray, and the director of the French Research Organization in Jerusalem Prof. Pierre de Miroschedji. In Paris, Israeli Ambassador to France Nissim Zvilli will be among those present at the signing.

Also this week, a bilateral French-Israeli conference, “High Brain Functions: Multidisciplinary Approach for Distributed Neural Systems,” will be held from Nov. 15-18 at the Maale Hahamisha guest house. The conference, the largest French-Israeli conference on this subject yet held, will involve more than 70 scientists from Israeli and French research institutions.

The conference is being held under the sponsorship of the Hebrew University, the university’s Interdisciplinary Center for Neural Computation, the Weizmann Institute of Science, the CNRS, the French Foreign Ministry and AFIRN, the French-Israeli organization for research in neuroscience.

Published by Globes [online] - www.globes.co.il - on Sunday, November 14, 2004

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le lundi 15 novembre 2004 - 14h44:

Bonjour a tous et a Albert en particulier.

Suite a votre excellent post de Samedi 23h22 au sujet des Corses, je ne resiste pas a la tentation de vous communiquer ce mail qui m'a ete forwarde aujourd'hui.
Comme l'aurait dit Boris: "Monsieur le President, je vous fais une lettre, que vous lirez peut-etre si vous avez le temps ..."

Bonne journee.


Monsieur le Président,

Je tenais, par la présente, à vous présenter toutes mes condoléances pour la mort de votre ami, Yasser ARAFAT.

Votre émotion d'hier nous aurait presque touchés, si nous avions pu oublier que cet homme est un assassin ! Assassin d'enfants, de femmes, de familles innocentes ; assassin aussi des enfants et des femmes de son propre peuple, qu'il envoyait se faire sauter pour tuer ou estropier d'autres gamins de leur âge, ou d'autres mamans.

Honte à vous de choisir ainsi vos amis. Honte à nous d'avoir choisi un tel Président, qui dilapide notre argent comme nous l'avons encore vu en cette circonstance, et qui humilie notre nation, faisant porter à nos soldats le cercueil de ce monstre, et faisant jouer l'hymne national pour rendre les honneurs à ce tueur sanguinaire.

D'ailleurs, pour ce qui est de territoires « occupés », nous avons encore vu ces derniers jours que la France, au passé (et...au présent !) colonial notoire, n'a guère de leçons à donner au monde sur le sujet.

D'ailleurs, en quoi, aujourd'hui, notre pays peut-il encore donner des leçons à quiconque ? Les Français sont bien les seuls à penser que notre pays pèse encore quelque chose dans le monde.

La seule chose qui me console en tout cela est que chacun devra rendre compte, à la fin, pour tout ce qu'il aura dit et fait. Et... que dira votre ami, et que direz-vous lorsque vous comparaîtrez devant le Juge Suprême qui
est..... le D.ieu d'Israël...

Veuillez agréer, Monsieur le Président, l'expression de ma considération distinguée.

Anne-Marie ANTONIETTI
20090 Ajaccio (Corse du Sud)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maxiton (Maxiton) le lundi 15 novembre 2004 - 11h21:

le lien direct pour voir ou revoir l'émission " le journal du
mediateur " du samedi 13/11/04.
cliquez sur la date du 13/11

http://relations.france2.fr/mediateur_emissions.php

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le lundi 15 novembre 2004 - 08h21:

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WHISTLEBLOWER MAGAZINE
Muhammad's Monsters: Ultimate guide to radical Islam
FREE today, along with Joseph Farah's blockbuster 'Taking America Back'!

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Posted: November 15, 2004
1:00 a.m. Eastern


© 2004 WorldNetDaily.com




The ultimate terrorism primer, "Muhammad's Monsters: A comprehensive Guide to Radical Islam for Western Audiences," is available from WorldNetDaily FREE, today only, along with "Taking America Back," Joseph Farah's acclaimed blueprint for reclaiming the nation.

Until the offer ends tonight at 10 p.m. Pacific, readers who subscribe to WND's acclaimed monthly Whistleblower magazine, or who renew their subscription or give a gift subscription will receive both blockbuster books at no charge – including shipping.


Since 9/11, the rush to learn about Islam has been a common goal for a broad spectrum of Americans – from politicians, to clergy, to soccer moms.

Indeed, a lack of knowledge of this religion has publishers scrambling for titles. "Muhammad's Monsters: A comprehensive Guide to Radical Islam for Western Audiences" represents that rare project – scholarly in tone, yet highly readable – that sets it apart from the rest.

Essays from leading experts, including David Bukay and Louis Rene Beres, outline the broad dimensions of Islam, while filling in important details. Careful to distinguish between moderate Muslims and radicals who have adopted monstrous methods of dealing with the West, this is a work of utmost importance.

Reclaiming America

"Taking America Back" is a blueprint for "reclaiming" America, piece by piece, one day at a time, one battle at a time. Full of practical steps every American can take, "Taking America Back" not only sounds the alarm, but actually shows how to win the war.




"The choice is simple," says Farah. "The world of standards and morality, of marriage, order, the rule of law, and accountability to God? Or the world of anything-goes, aberrant sexual behavior, doing-your-own-thing lifestyles, and moral codes that change with the speed of the latest public-opinion poll?"

But how can we take America back? That's the real question.

And that's where "Taking America Back" excels. Not only does it brilliantly expose the weaknesses in America's current system. But it offers practical solutions – solutions that are real and doable. Solutions that can revive freedom, morality, and justice in America.

"Joseph Farah has written a thought-provoking recipe for reclaiming America's heritage of liberty and self-governance." –Rush Limbaugh.

"Every American who shares our convictions should read this book." –Dr. Laura Schlessinger.

"It's a must-read for anyone who wonders how we