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Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2004: Commentaires de Novembre 2004: Archive jusqu'au 03/novembre/2004-1
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le mardi 02 novembre 2004 - 21h51:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Tes arguments sont les arguments de Kerry qui viennent d'Europe.

Non ce ne sont pas des arguments dictés par Kerry qui viennent d'Europe, ce sont les déductions du Bey qui viennent de la Goulette, et qui souhaite : “Que le meilleur gagne !”

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le mardi 02 novembre 2004 - 21h50:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Privé ou publique ?

Sujet de réflexion : “Si à La Goulette tout ce qui est privé devient obligatoirement publique ?“, “ Comment sur ADRA tout ce qui est publique ne serait il pas confisqué par les Goulettois pour devenir Privé !”

D’ailleurs ils ont déjà Ftilé le serveur d'Harissa, n'est ce pas Jaco?

Salut à Toi ya houia.

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Shafi (Shafi) le mardi 02 novembre 2004 - 21h49:

Vous évoquez, à tout bout de champ, la Goulette.
Jamais je n'ai lu la moindre ligne sur ma ville natale Salambô, merveilleuse station flanquée entre Douar-Chott et Carthage.

Pas loin de chez moi, au cours de mes promenades, depuis mon enfance, il me plaisait de me rendre près des ports puniques, par lesquels les envahisseurs avaient débarqué.
Les Autorités tunisiennes par souci historique, ont gardé intact ce site qui mérite le détour.

La Goulette, ville de "bouffe" par excellence, n'a jamais montré le moindre visage culturel.
Ses habitants, quasiment illétrés, sauf une minorité dont la nouvelle génération a excellé, n'ont pas laissé de souvenir impérissable dans les milieux rapatriés.

Voici donc, pour ceux que cela intéresse, en plusieurs parties, l'histoire des ports puniques.

1- LA CONSTRUCTION

Il est admis de faire remonter la fondation de Carthage à 814 av JC bien que les premiers vestiges connus datent en fait de 750 av JC.
À cette époque, Carthage est un comptoir dépendant de la ville de Tyr.
Dès 540 av JC les Carthaginois s'implantent le long des côtes d'Afrique du Nord et d'Afrique du sud de l'Espagne, aux Baléares, en Sardaigne et à l'ouest de la Sicile.
Les guerres puniques ont lieu respectivement en 264 av JC, 218 av JC et 149 av jC.
Les ports puniques comprennent un port marchand et un port militaire.

Il est remarquable de constater que le port marchand semble avoir été construit aux environs du début du 3è siècle av JC et le port militaire vers la première moitié du second siècle av JC, donc très tardivement, après les grands combats navals, et postérieurement aux deux premières guerres puniques.

Ces deux ports ont été creusés à l'intérieur des terres, donnant lieu à des terrassements très importants.
Celui, nécessaire à la construction du port de commerce, est évalué à 120 000 mètres cubes de déblais.
Le port militaire a un diamètre de 325 mètres. Au centre est située une île, elle-même circulaire et de 120 mètres de diamètre.
L'ensemble permettait de disposer d'un plan d'eau de quatre hectares.
Le port marchand, situé au sud du précédent, fut d'abord rectangulaire puis hexagonal.
Aujourd'hui encore, cette forme apparaît bien dans celle de la lagune existante.
Dans sa plus grande diagonale, elle mesure 600 mètres de long.
Les fonds des bassins des deux ports étaient dallés. Ils communiquaient par un chenal de 20 mètres de large et il semble que seul le port de commerce disposait d'un accès à la mer. Cependant de hauts murs séparaient les deux ports, une double enceinte dissimulait le port militaire aux regards des marins de commerce comme à ceux des gens de la ville, et un mur de défense s'étendait à l'est des deux ports pour les protéger des agressions venant de la mer.
Il semble que ces deux ports aient été complétés par un terre-plein artificiel, dont il ne reste que des vestiges submergés, et sur lequel étaient aménagés des quais destinés aux navires de passage pour qu'ils puissent décharger leurs marchandises.

L'infrastructure et les équipements de ces ports étaient particulièrement complets. Les chercheurs britanniques, s'appuyant sur les travaux de l'historien grec Appien (né à Alexandrie vers 95 après JC), ont pu reconstituer, de façon tout à fait précise, la description du port militaire. Par contre, le port marchand est moins connu, ce qui explique que l'évocation ci-dessous se limite au premier.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Admin (Admin) le mardi 02 novembre 2004 - 20h25:

AVIS AUX INTERVENANTS

Les discussions privees ne sont pas autorisees sur ADRA.

Merci de respecter cette consigne.

Jaco

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Benzarti (Benzarti) le mardi 02 novembre 2004 - 19h36:

Maurice,

vous etes gentil wallah mais pourquoi sortir votre discours sur les juifs d'antan en tunisie ou algérie? MENI FEHEM HATCHEY. vous etes hors sujet lol

Shalom,
oui Sharon ne respecte pas les resolutions de l'ONU quant a la colonisation des territoires palestiniens depuis 1967. son projet de retrait de GAZA N'EST QUE DE LA POUDRE AUX YEUX, pour faire oublier la Cisjordanie. Que font des colons a Gaza?.
on sait aussi que les américains ne votent jamais contre leur "protégé"...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 02 novembre 2004 - 19h45:

L'arrivée D'Arafat en France est un coup bien monté par les européens, puisqu’ils sont associés à la feuille de route avec les américains. La France aura son mot à dire. Je ne pense pas qu'elle voudra voir la lutte entre Israël et les Palestiniens se terminer. C’était bien la France qui avait aidé à l’échec durant la conférence de paix entre Israel et les palestiniens, en présence d’ Arafat, Barak. Madame Madeleine Albright la secrétaire d’état américaine et Chirac.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mardi 02 novembre 2004 - 19h06:

Nous recevons un petit mot de BREITOU de son box des accusès. Je m'ennuie les amis.


'...ALLAISH ..OUHE OULD OULLE BENT GOUTIRECHHHHH.....?'
'Pourquoi tu es la fille GUTERREZ?????...'

Qui n'a pas entendu cette expréssion dans sa vie..

Je laisse aux anciens d'en déterminer la provenance historique.
Cette famille devait certainement être noble.
Peut être livournaise ou portugaise...!!!!..
Surement riche, bien élevèe et cultivèe.
De très bonne classe surement.

Cette expression s'adressait bien souvent à l'époque à celle de famille qui montrait de trop grandes prétentions lors de tractations pour marier le fils ou la fille.

Quand la dot était trop élevèe pour un jeune homme sans trop grande prétention ou éspèrances la SEMSSARA rapliquait par un '..Allaish..... etc...Sous entendu que je ne lui céde pas mon fils à ce prix là parce qu'elle n'est pas aussi noble, cultivè ou instruit comme UN MEMBRE...DE KLA FAMILLE....GUTERREZ....:) :) :)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Primo (Primo) le mardi 02 novembre 2004 - 19h18:

De la judéité comme d'un phénomène naturel

Pourquoi l'antisémitisme? Pourquoi cette autodestruction des communautés qui, en chassant, en isolant, en éliminant les Juifs parmi elles, se condamnent au déclin, à l'indignité, à la déchéance?

En effet, l'histoire et le bon sens concourent à montrer que lorsqu'une société agresse ses Juifs, elle entre, selon les termes de Jean-Pierre Chemla, «inexorablement dans une phase de chaos et de décadence, moins à cause du départ des Juifs lui-même qu’en raison du désarroi sociétal que cette expulsion signifie».

Car, au-delà de la perte de forces vives et créatives qu'une telle attitude suppose, elle révèle un profond dysfonctionnement social et humain. Comme le souligne Daniel Pipes (dans une correspondance privée), le phénomène n'est pas limité aux Juifs: «Le fait, pour une communauté quelconque, d'imposer d'importants mouvements d'émigration est un signe clair de maladie, de même que l'attirance d'immigrants indique la bonne santé d'une société.»

Mais il revêt une signification particulière, et se répète avec insistance, depuis très longtemps et selon des schémas similaires, dans le cas des Juifs. Tant et si bien que la maltraitance des Juifs peut être considérée comme un baromètre de la santé morale d'une société.


En fait, les Juifs incarnent à tel point ce phénomène qu'on est tenté de lui chercher une explication universelle. Un comportement aussi paradoxal – persécuter les Juifs quand tout indique que cela est injustifié et nuisible à toutes les parties – et qui se répète avec tant de régularité n'est certainement pas la conséquence du hasard ou de la volonté de quelques-uns. Il résulte donc peut-être d'une loi naturelle, d'un processus participant à la nature humaine?

J'avance l'hypothèse selon laquelle ce phénomène repose, d'une part, sur la matérialisation au niveau social du tourment de l'être face à la vie, à lui-même, à l'univers, à ses limites: la foi; et, d'autre part, sur l'instinct le plus puissant de tous: la survie.

Ces deux notions, la foi et la survie, partagent volontiers le même creuset. Ainsi, lorsque la vie s'approche de ses limites, que l'individu est confronté à l'imminence de sa propre fin, à des questions fondamentales auxquelles il ne trouve pas de réponses, qu'une menace se précise, l'être vivant, celui qui a encore un avenir en ce monde, veut croire, son instinct prend le dessus et l'oblige à espérer. Il se forme alors en lui un élan de vigueur, pouvant s'exercer hors de toute base réfléchie, faisant appel à toutes ses facultés, conscientes ou pas, et qui sera dirigé vers un seul but: survivre.

C'est ce mariage instinctif – croire, c'est vivre; vivre, c'est croire – qui donne toute sa force physique, charnelle, au message de la foi. Et celui-ci, ainsi solidement fondé, se développe plus fort et plus haut que tout autre: grâce à son ancrage dans le lien le plus tangible entre l'être et le réel – la survie –, il persuade aisément l'esprit que la vie, et jusqu'à ses pires souffrances, a un sens, qu'elle mène à quelque chose de vrai, de grand, de beau. Telle la vie, justement, aux yeux de celui qui se sent la perdre.

Ainsi la foi, dans cette part de demi-conscience que partagent tous les êtres, est un bien inestimable, qui doit absolument être préservé.

Être juif, c'est témoigner de l'importance centrale de la foi. Par l'imprégnation de ses attributs dans le plus grand nombre possible d'éléments de la vie personnelle, sociale et religieuse, le Juif se fait le gardien, le préservateur de la foi.

Cette mission comporte un risque. Lorsque, dans une communauté, les valeurs les plus apparentes de la foi – piété, loyauté, honnêteté, rectitude, éthique, morale – commencent à être déconsidérées, pour une raison ou une autre – le plus souvent l'apparition d'idéologies dont l'essor requiert l'abandon de certaines de ces valeurs au profit d'une conviction utopique –, le Juif devient l'intrus, celui qui, par sa présence, révèle douloureusement à la communauté le mal profond qui l'affecte. Alors intervient l'antisémitisme. Les Juifs, autres, sont stigmatisés, isolés, chassés, voire pire.

Or, au-delà de l'aspect abject de cette réaction, nous pouvons y voir à l'œuvre le même phénomène qui, comme je le suppose ici, donne naissance à la judéité: la préservation de la foi. Car chasser les Juifs, c'est donner une chance à la foi, c'est projeter hors d'une société malade et contagieuse un vaisseau messager vers l'avenir. Car accabler des gens pour leur foi, c'est les obliger à la maintenir pure et vivante, à la renforcer.

Ainsi, le phénomène de la judéité serait un réflexe humain tendant à préserver la foi, et l'antisémitisme une phase de ce réflexe. Lorsque les valeurs de la foi périclitent, la communauté affectée désigne des gardiens de ces valeurs et les expulse, protégeant ainsi la communauté globale de ce mal plus grave que tout autre: la perte de l'instinct de survie.

De cette hypothèse découle une implication majeure, en même temps grave et enthousiasmante.

La solution à l'antisémitisme, aux persécutions des Juifs comme à la dégénérescence morale de leurs auteurs, consiste à vivifier la foi.

Il faut pour cela acquérir et répandre la compréhension des éléments qui la fondent et la nourrissent, soit la survie – la survie de l'humanité nécessite et mérite qu'on y consacre le meilleur de nos efforts, mondialement, religieusement – et les valeurs morales – une société dont les valeurs morales s'étiolent ne croit plus en elle, et cesse de survivre.

Aujourd'hui, le danger est plus sérieux que jamais. Le mal est généralisé, dispersé, et souvent acharné. Ses cibles dépassent le cadre des Juifs – il s'attaque à tous ceux qui défendent une pureté, une morale, des principes plus élevés ou plus profonds que les idéologies (post)modernes. Et ses manifestations sont souvent plus attrayantes que la foi, dont il se pare volontiers des valeurs.

En outre, la communauté Humanité n'a plus les moyens d'isoler un corps préservé. Aujourd'hui, tout est mêlé, lié. Si nous laissons le processus de réflexe se dérouler jusqu'à son terme, l'action autodestructrice pourrait fort bien se révéler plus forte que l'instinct de survie. Que notre survie.

En même temps, aujourd'hui, notre communauté n'a jamais été aussi bien équipée pour réussir à sortir de son adolescence, prendre conscience de ses responsabilités, atteindre enfin l'âge adulte. Choisir la vie. Choisir la foi.

La foi en la vie.

Alain Jean-Mairet. 1/11/2004

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 02 novembre 2004 - 19h06:

Albert, mais le droua est connu chez nous aux Etats Unis, ma femme qui est europeenne le fait ainsi que Laasida.
Mon grand pere qui n'avait pas de dents apres ses 75 annees il disait souvent;
"YA FOMI YAATIK ASIDA" Maman lui en faisait souvent sachant qu'il avait du mal sans les dents.

De temps en temps je me fais un kif avec de Laasida et parfois le Droua

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mardi 02 novembre 2004 - 18h49:

Ici BREITOU du box des accusès, j'ai votè BUSH...!'

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 02 novembre 2004 - 18h42:

VOTEZ L UTILE BUSH CONTRE L INUTILE KERRY.
GSA.God Save America.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 02 novembre 2004 - 18h41:

Douda. Une reponse pour te faire plaisir et pour ne pas t'ignorer. L'attentat 9/11 a ete planifie et prepare depuis 2 ans et durant l'administration Clinton. Le reste est irrelevant. Nous le savons, l'Europe n'aime pas Bush et c'est pourquoi il va gagner. En tunisien on dit "ELI YEKRAH EL KOSBOR MA YETLA OUCAN FIKHACHMOU" Tes arguments sont les arguments de Kerry qui viennent d'Europe.

Laissons les electeurs americains decider. N'importe quelle decision ets respectee par les Tubiana

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Francois (Francois) le mardi 02 novembre 2004 - 18h29:

Arafat en France: silence de la communauté juive de France

LETTRE OUVERTE A LA COMMUNAUTE JUIVE DE FRANCE ET A SES DIRIGEANTS
APRES L'ARRIVEE DE YASSER ARAFAT EN FRANCE

Paris, le 31 octobre 2004

L'hospitalisation de Yasser Arafat en France n'a, à ce jour, suscité aucune réaction officielle de désapprobation de la part de la Communauté juive de France et de ses institutions représentatives. Ni communiqué, ni déclaration, ni manifestation. Ce silence assourdissant est aussi difficile à comprendre qu'à accepter.

Indépendamment des raisons médicales de son transfert en France et de son état de santé réel, à propos duquel les informations demeurent jusqu'ici assez floues :


Il est indispensable de rappeler aux dirigeants politiques français qui ont accepté cette venue, ainsi qu'à une opinion publique compatissante devant le vieillard au keffieh usé, qui est réellement Yasser Arafat. C'est un chef de guerre qui, tout au long de son règne despotique sur les institutions palestiniennes, n'a jamais cessé de combattre Israël, de torpiller les initiatives de paix, d'accepter et d'encourager le recours au terrorisme aveugle contre des civils israéliens innocents, d'alimenter un système mafieux de corruption massive et totale au sein des organisations palestiniennes, d'y interdire toute opposition interne et tout fonctionnement démocratique, de plonger et de maintenir, par ces pratiques criminelles à tous égards, le peuple palestinien dans la misère et la terreur, sans espoir et sans avenir.


Il est urgent d'exprimer avec force et conviction la désapprobation face à cette venue en France du principal ennemi d'Israël et du peuple juif, mais également de son propre peuple palestinien. L'âge et la maladie de ce dictateur n'excusent rien. La nécessaire mémoire de ce qu'a fait, et laissé faire, cet homme depuis plus de trente ans doit l'emporter sur tout effet sournois de la pitié, de l'érosion du temps, ou de pressions extérieures diverses. Un tel sujet ne mérite ni compromis, ni compromission.
Le sens politique de cet accueil, par les autorités françaises, d'un des hérauts anti-israéliens du monde arabe, dans la grande tradition du Quai d'Orsay, est évident. La réponse à ce geste, de la part de la Communauté juive de France, doit être proportionnelle. C'était le cas, il y a douze ans, lors de l'hospitalisation - déjà à Paris - du chef du FPLP, Georges Habache. Ce ne l'est malheureusement pas aujourd'hui. Une réaction, qui allie force et dignité, est pourtant nécessaire.

Estimerait-on, comme certains, que l'un est plus «incontournable» que l'autre ? Ce n'est évidemment pas le cas. Il faut rappeler, en outre, que, contrairement à Habache en son temps, une procédure judiciaire est engagée contre Arafat, à la demande des familles des victimes françaises d'attentats commandités par le Fatah.

Que des drapeaux palestiniens soient agités, depuis trois jours, par des partisans français de Yasser Arafat, sous les fenêtres de sa chambre d'hôpital et devant les caméras du monde entier, est une chose. Que des drapeaux israéliens soient totalement absents en est une autre. Le soutien à une cause politique, quelle qu'elle soit, dans une démocratie comme la France, ne peut pas - et ne doit pas - être remis en cause.

Serait-il si choquant pour les juifs de France de manifester leur désaccord, d'une manière ou d'une autre, avec la présence, sur leur sol, d'un homme comme Arafat ? Il est grand temps, pour la Communauté juive de France, de se lever et de réagir. Qui le fera pour elle, sinon ?

© Philippe Meyer *
Source: http://www.upjf.org/documents/showthread.php?threadid=8432


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La meilleure réponse à la présence d'Arafat en France serait d'organiser une manifestation contre la politique antisémite de la France et l'antisémitisme le 7 novembre, jour où est organisée la manifestation prétendument contre le racisme de l'UOIF, du MRAP, ...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le mardi 02 novembre 2004 - 18h26:

La Mena convie les journalistes à une conférence de presse exceptionnelle rendue nécessaire par



les derniers rebondissements de l'Affaire A-Dura

ainsi que

les nouvelles manipulations de France 2



avec la participation de



Stéphane Juffa

rédacteur en chef de la Metula News Agency



(des documents audiovisuels inédits seront présentés à la presse)



qui se tiendra vendredi 5 novembre à 11 heures à

la Maison France-Israël

salon Chagall



64, Avenue Marceau, Paris 8ème



Réservations conseillées, par téléphone, au 01 47 20 79 50 (10h-13h et 14h-16h 30)

cartes de presse ou pré accréditations obligatoires



Avec l'aimable coopération de l'Association France-Israël