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Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2004: Commentaires d'Octobre 2004: Archive jusqu'au 30/octobre/2004-1
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le vendredi 29 octobre 2004 - 19h51:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Ceux qui s’intéressent à l’islamisme,


Trouvé sur le site :

http://www.lexpress.presse.fr/info/societe/dossier/mosquees/dossier.asp?ida=429896

Caroline Fourest, auteur de Frère Tariq (Grasset), décrypte la stratégie politique du prédicateur

«Ramadan est un chef de guerre»

propos recueillis par Claire Chartier

Caroline Fourest, auteur de Frère Tariq (Grasset), décrypte la stratégie politique du prédicateur

Vous avez disséqué les discours, fouillé la pensée de Tariq Ramadan. Représente-t-il une réelle
menace pour la démocratie?

Tariq Ramadan est non pas un poseur de bombes, mais un poseur d'idées particulièrement nocives
pour les libertés publiques. Sa plus grande force est de ne pas être un intégriste caricatural,
immédiatement repérable. On ressent une sorte de malaise en lisant ses livres, mais on en a le cœur
net après avoir écouté ses cassettes, dans lesquelles Tariq Ramadan s'adresse à son public - souvent de
jeunes diplômés sensibles aux thèses islamistes. On y découvre le Ramadan chef de guerre, qui donne
ses consignes et livre ses objectifs politiques: modifier la laïcité et faire évoluer les choses vers «plus
d'islam». Malheureusement, il s'agit de diffuser non pas un islam éclairé et moderne, mais, tout au
contraire, un islam fondamentaliste et réactionnaire, intégriste, que Tariq Ramadan souhaite voir
grandir au détriment de l'islam libéral grâce à la dawa (le prosélytisme). Il faut reconnaître qu'il sait
mieux que quiconque inciter les jeunes musulmans à agir et à en finir avec leur posture de victimes.
Malheureusement, c'est pour mieux les transformer en petits soldats de l'intégrisme.

«Il affaiblit la résistance laïque face à l'intégrisme en tissant des alliances avec des associations laïques
et antiracistes»

Ramadan veut «plus d'islam», dites-vous. Mais cela ne signifie pas qu'il veuille islamiser la société
tout entière, non-musulmans compris.

Je ne vois personne d'aussi efficace que Tariq Ramadan, aujourd'hui, pour faire avancer l'intégrisme en
France. Il radicalise les musulmans sous son influence en les initiant à la pensée de Hassan al-Banna
(c'est l'introduction de ses séminaires enregistrés sur cassette), puis il les met en contact avec les
idéologues actuels des Frères musulmans: Youssef al-Qaradhawi, l'un des rares théologiens
musulmans à approuver ouvertement les attentats des kamikazes, ou Fayçal Mawlawi, qui est non
seulement un Frère musulman, mais aussi le principal chef d'une organisation terroriste libanaise. Et
ce n'est pas tout. Il affaiblit la résistance laïque face à l'intégrisme en tissant des alliances avec des
associations laïques et antiracistes. Il a réussi un tour de force: rendre l'islamisme séduisant aux yeux
de certains militants de la gauche alter-mondialiste! Sa tactique est simple: envoyer des jeunes acquis
à sa cause s'inscrire dans des associations antiracistes et dans des partis de gauche. Ils proposent des
tables rondes, comme au Forum social européen de Saint-Denis, en novembre 2003, et il vient faire
son numéro.

Comment a-t-il pu pénétrer la gauche laïque?

En 1995, Tariq Ramadan est apparu comme un martyr lorsque Jean-Louis Debré [alors ministre de
l'Intérieur] l'a interdit de séjour pour «menace à l'ordre public» à cause de ses discours et de ses
fréquentations. En l'occurrence, on le soupçonnait de fréquenter des anciens du Fida, le groupe du GIA
chargé du meurtre des intellectuels en Algérie, à une époque où la France était visée par le GIA...
Honnêtement, il y avait de quoi être inquiet en voyant un prédicateur aussi sulfureux gagner du terrain
en France. Mais la droite pouvait légitimement être soupçonnée de faire du «délit de faciès». Sitôt
réautorisé à entrer en France, il a été sollicité par la Ligue de l'enseignement pour figurer, en vedette,
dans la commission Islam et laïcité, dont la Ligue des droits de l'homme a ensuite repris le flambeau.
Les musulmans libéraux membres de cette commission ont eu beau claquer la porte face aux prises de
position de Ramadan, certains intellectuels laïques, tel Michel Tubiana, président de la Ligue des
droits de l'homme, ont pris fait et cause pour Ramadan, persuadés qu'ils avaient affaire à un vrai
réformateur.

Comment expliquer un tel aveuglement?

L'un des boucliers qui protègent le plus Tariq Ramadan de la critique lucide, c'est le différentialisme
culturel. Par souci de tolérance, et surtout par peur d'être accusés de racisme antimusulman, voire d'
«islamophobie» - terme chéri des islamistes - ses interlocuteurs lui pardonnent des propos qu'ils ne
pardonneraient pas une seconde à un intégriste chrétien. Si un prédicateur chrétien venait vous dire:
«Je pense que l'homosexualité, l'adultère et la sexualité hors mariage sont des crimes devant Dieu»,
ou: «Je suis pour que les femmes se voilent, en signe de sujétion, comme saint Paul le demandait»,
personne ne croirait une seconde qu'il s'agit d'un chrétien libéral! Pourquoi s'obstine-t-on à présenter
Ramadan comme un musulman libéral alors qu'il tient des propos similaires? Nous sommes tellement
habitués à l'idée que l'islam est une religion archaïque que, lorsqu'un représentant musulman parle
gentiment ou propose un moratoire sur la lapidation, nous percevons cela comme une formidable
avancée! L'islam, qui est une religion beaucoup moins rigide qu'on ne le croit, laisse tout à fait la
place à l'ijtihad (l'interprétation) et à la choura (la délibération), donc à l'esprit critique. Pourquoi
n'entend-on pas les vrais musulmans libéraux, qui souhaitent réellement moderniser l'islam? Parce que
Tariq Ramadan parle à leur place sur les plateaux de télévision.

Que reproche-t-il aux musulmans laïques?

Aux yeux de Ramadan, les musulmans qui s'avisent de vouloir réformer leur religion dans le sens du
progrès et de la modernité, ou qui souhaitent tout simplement évoluer vers une foi individuelle, plus
culturelle que politique, sont de faux musulmans, accusés d'avoir vendu leur âme à l'Occident. Il les
méprise et les combat à partir du camp adverse: celui des fondamentalistes, plus exactement des
salafistes réformistes. Il ne faut pas se méprendre sur l'adjectif. Contrairement aux salafistes
littéralistes, les salafistes réformistes disent vouloir replacer les enseignements du Prophète dans leur
contexte. Mais, même chez eux, «contextualiser» ne veut jamais dire «actualiser». Pour Ramadan,
réexaminer un principe du Coran au nom des droits de l'homme, par exemple abandonner le port du
voile, revient à trahir l'islam. Ramadan a joué un rôle majeur dans l'éclosion des voiles dans les
banlieues. Il veut bien que les filles prennent leur temps pour se faire à l'idée de porter le foulard -
c'est ce qu'il appelle le temps du «cheminement». Mais son but est de leur faire comprendre qu'une
bonne musulmane est une musulmane pudique et discrète, donc voilée.

Tariq Ramadan est le petit-fils du fondateur des Frères musulmans, Hassan al-Banna, ce dont on peut
difficilement le tenir pour responsable. En revanche, vous affirmez qu'il est bien l'héritier politique de
son grand-père. Pourquoi en êtes-vous si sûre?

Pour avoir étudié ses propos et ses écrits, j'ai été frappée de constater à quel point le discours de Tariq
Ramadan n'est souvent qu'une répétition de celui que tenait Banna au début du XXe siècle en Egypte.
Il ne critique jamais son grand-père. Au contraire, il le présente comme le modèle à suivre, un homme
irréprochable, non violent et injustement critiqué à cause du «lobby sioniste»! Ce qui fait froid dans le
dos quand on sait à quel point Banna était fanatique, qu'il a accouché d'un mouvement dont sont issus
les pires jihadistes (comme Ayman al-Zawahiri, n° 2 d'Al-Qaeda) et qu'il voulait établir une théocratie
dans chaque pays comptant un musulman!


Tariq Ramadan soutient qu'il n'est pas un Frère musulman. Comme tous les Frères musulmans...
puisqu'il s'agit d'une confrérie aux trois quarts secrète, où il est permis de nier tout lien organique pour
éviter d'être repéré. Un Frère musulman est avant tout quelqu'un qui adopte la méthode et la pensée de
Banna. Or Ramadan est l'homme qui a le plus fait pour diffuser cette pensée et cette méthode. Qui
plus est, il ment lorsqu'il nie tout lien organique avec la confrérie: il occupe le poste d'administrateur
au QG de sa branche européenne, le Centre islamique de Genève!

Quel enseignement tirer de l'ascension d'un personnage comme Tariq Ramadan?

Il va bien falloir que l'on fasse le bilan de la complicité de tous ceux - intellectuels et politiques - qui
ont facilité l'emprise de prédicateurs tels que lui. Depuis dix ans, les pouvoirs publics ont abandonné
les quartiers populaires à des prêcheurs censés ramener les jeunes dans le droit chemin grâce à la
religion. Tariq Ramadan est le produit de cette démission.

Bonne digestion,

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Toufiq (Toufiq) le vendredi 29 octobre 2004 - 19h29:

ma chere nao,j'ai legerement tort et legerement raison.
plus de mille de nos boys sont legerement morts et des millers d'autres sont estropies pour la vie.
halliburton a tres legerement surfacture le departement de la defence et maintenent le fbi s'interesse legerement a leurs factures.la note est tres legernebt salee et toi et moi allons nous faire un plaisir d'y contribuer.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Haver (Haver) le vendredi 29 octobre 2004 - 18h23:

A votre avis qui va payer les frais d'hospitalisation d'Arafat.

Merci la Sécu.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le vendredi 29 octobre 2004 - 18h19:

Toufiq c'est un raccourci un peu leger que de dire que on envoit les boys pr enrichir Halliburton...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Pauline (Pauline) le vendredi 29 octobre 2004 - 18h07:

Question : Est-il permis de faire cuire des pâtes « neutres » dans une marmite «viande» avec l'intention de les consommer avec du fromage ?

Réponse :

Avant toute réponse, il serait bon d'expliquer aux lecteurs ce que l'on appelle « neutre »
ou « parvé ». Ce sont des aliments qui ne contiennent ni de la viande (Basari), ni du laitage (Halavi) et ce sous toutes ses formes même liquide comme du jus.

- Si cette marmite a été utilisée « viande » à chaud (+ 45°) dans les dernières 24 heures qui précèdent la cuisson des pâtes, ce sera interdit.
- Si la dernière utilisation « viande » de cette marmite date de plus de 24 heures, cela sera permis aux Séfarades, mais restera interdit aux Achkenazes.
Cette règle est bien sûr valable pour tous les aliments «neutres» tels que confitures, légumes ou autres.


Question : Des pâtes déjà cuites dans une marmite «viande», peuvent-elles être consommées avec du fromage ?

Réponse :
- Si la dernière utilisation « viande » de la marmite a moins de 24 heures :
- Pour les Séfarades : cela est permis.
- Pour les Achkenazes : cela est interdit.
- Si la dernière utilisation « viande » remonte à plus de 24 heures, cela sera permis à tous, aux Séfarades comme aux Achkenazes.

Ces deux questions peuvent sembler êtres similaires. Néanmoins, il y a une notion
qui est à mettre en avant et qui fait toute la différence : ce qui est fait à priori (lekhat'hila) ou à postériori (bedi'avad). Et selon le contexte, les réponses peuvent varier, comme vous l'avez constatés, entre Achkenazes et Séfarades. Ces deux questions en sont des exemples concrets.

Dans la première question, nous nous trouvons devant un cas d'à priori (lekhathhila). L¹utilisateur ou l¹utilisatrice sait à l¹avance
qu'il consommera ses pâtes avec du fromage et veut donc savoir s'il peut les cuire dans une marmite « viande ». Dans ce cas-là, la loi est plus stricte.

Pour la deuxième question, nous nous trouvons face à un utilisateur qui a déjà fait cuire ses pâtes dans une marmite viande, sans savoir
à l’avance ou à postériori (bediavad), qu’il les consommera avec du fromage. Là est la nuance.

Nous nous trouvons donc ici en présence d¹exemples précis où la halakha varie sensiblement entre une situation «a priori» où il faut considérer les choses avec rigueur, par rapport à une situation «a postériori »,
où les décisionnaire ont adoptés une position
plus souple par soucis d'éviter tout baal techehith (« gaspillage inutile »).

Sources : Choulhan Aroukh Yoré déa 95,
2 et Kaf ha-hayim au nom du Zivhei tsédek.

Techouvot.com

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le vendredi 29 octobre 2004 - 18h00:

Oz Lé-Israël,le Bné Akiva et le centre Fanny Kaplan

organise

un cours hébdomadaire en vidéo-conférence en direct de Jerusalem

avec
le Rav Chlomo AVINER Chlit"a.

à partir du 21 Héshvan 5764 - Jeudi 4 Novembre 04


En Israël : de 20h 45 à 22h 10 au centre Fanny Kaplan
Réhov Maguen Haéléf 1
Quartier Chmouël Hanavi
Jérusalem.

En France : de 19h 45 à 21h 10 au Bné Akiva
12 rue de Lorraine
métro Ourq - Paris 75019 Tel 01 42 40 13 44

Conférence + Questions / Réponses

Vous aurez la joie en plus, de voir de part et d'autre votre famille, vos
amis sur l'ecran geant.

(Merci d'arriver avant l'heure pour faciliter le bon deroulement de la
conférence et avoir une place assise).


www.alyah.org E-Mail: ozleisrael@alyah.org
www.bneakiva.net - shaliah@bneakiva.net
Harav Tsvi Yéhuda 1 Jérusalem 96103 12 rue
de lorraine 75019 Paris
Tel: 972-2-6518199 Fax: 972-2-6536813 - Tel :
01 42 40 13 44
Notre numéro de téléphone en France: 01-70367351 Fax : 01 42
40 81 31

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par A_Soued (A_Soued) le vendredi 29 octobre 2004 - 17h57:

DES PROGRÈS EN IRAK
Kerry se trompe. Les nouvelles de Fallujah sont bonnes.

Édito du Wall Street Journal du Jeudi 21 Octobre 2004 -
Traduit par Stéphane Teicher.

Avec des sondages prévoyant une course présidentielle serrée, il est possible que
John Kerry devienne bientôt notre commandant en chef. Il serait donc bon de penser
qu'il s'intéresse suffisamment à ce qui se passe en Irak pour comprendre que la
situation là-bas n'est pas, comme il l'a dit il y a quelques jours, " de pire en
pire chaque semaine ".
Les kidnappings, attaques de mortier et bombes sur les routes continuent - et ils
continueront jusqu'à la défaite de l'insurrection. Mais ces dernières semaines, les
forces Américaines et Irakiennes ont enregistré des progrès dans la reprise de
contrôle du vieux camp retranché de Saddam dans le Triangle Sunnite. Ce qui signifie
que des élections crédibles en Janvier dans tout le pays sont plus que jamais
probables.
La première des villes rebelles à retomber sous le contrôle du gouvernement Irakien
a été Samarra au début de ce mois. Ces derniers jours, les forces Américaines et
Irakiennes ont aussi mené avec succès des raids anti-terroristes dans plusieurs
villes juste au sud de Bagdad, peuplées d'anciens employés désoeuvrés du complexe
militaro-industriel de l'ancien régime. Des cellules d'insurgés installées à
Mahmudiya, Yusufiya et Latifiya sont la cause de l'extrême insécurité qui règne sur
la route de Baghdad à Najaf.
Plus important, les forces alliées semblent enfin résolues à prendre le contrôle de
Fallujah, qui est devenue zone interdite depuis l'accord d'Avril qui avait donné la
ville aux ex-Baathistes appelés la Brigade de Fallujah. Cette décision a été sans
conteste la plus grosse erreur de la guerre, car elle a amené amis et alliés à
douter de la détermination des Américains, et a procuré aux fanatiques un abri sûr
d'où ils ont pu préparer les attentats à la voiture piégée et autres attaques.
Pour le moment, les Marines ont établi un cordon autour de la ville et le
gouvernement Irakien négocie avec les chefs tribaux la reddition des quelque deux
mille combattants étrangers - y compris l'archi terroriste Abu Musab al
Zarqawi-qu'on pense être dans la ville. Dans le même temps, des habitants de la
ville fournissent des informations qui nous ont permis de tuer un grand nombre de
ces combattants étrangers par des frappes aériennes. Il est à parier que la Maison
Blanche et le Premier Ministre Irakien Ayad Allawi ne commettront pas deux fois la
même erreur, et qu'une fois déclenché l'assaut contre Fallujah, ils ne s'arrêteront
qu'avec une reddition sans conditions.
Une des causes de ces progrès est qu'en fin de compte, nous sommes aidés par un
nombre significatif de soldats Irakiens. La force qui a repris Samarra comprenait 3
000 Américains et 2 000 Irakiens, ces derniers apportant leur connaissance du
terrain et contribuant à sécuriser les sites sensibles comme les mosquées.
Plus récemment autour de Mahmudiya, les forces U.S. ont encerclé de nombreux
suspects, mais c'est seulement à l'arrivée Lundi du Colonel Mohamed Essa Baher de la
Garde Nationale Irakienne qu'il a été possible d'identifier parmi les captifs l'un
des principaux financiers de Zarqawi. Le Colonel Baher a été pris dans une
embuscade et a frôlé la mort Mardi- un de ses fils a déjà été tué-, mais il s'est
juré de poursuivre les terroristes " jusqu'à leur dernier souffle ".
Ce qui nous amène à un autre point digne d'attention : le courage des Irakiens. Des
jeunes gens continuent à faire la queue par milliers devant les bureaux de
recrutement de la police et de la Garde Nationale, qui ont si souvent été visés par
des attaques terroristes. Mardi dernier, un obus de mortier a frappé le Quartier
Général de la Garde Nationale à Mushahidah, tuant quatre personnes. Mais pour Qusay
Hassan, une jeune recrue " si je ne rejoins pas l'Armée, qui défendra le pays contre
les terroristes ? ".
Si nous avions une réserve à faire sur les progrès actuels en Irak, elle concerne la
trêve apparente avec Muqtada al-Sadr. La bonne nouvelle est que Sadr City à Baghdad
est pacifiée pour le moment, et que l'Armée du Mehdi de Sadr a déposé quelques armes
lourdes. La mauvaise nouvelle est que Sadr a du sang Américain et Irakien sur les
mains, et que notre échec à l'arrêter ou à le tuer peut constituer un nouveau
fâcheux précédent. Mais contrairement à l'accord de Fallujah en Avril, au moins nous
ne cédons pas de territoire aux méchants, mais nous en regagnons.
Le crédit d'être passé à l'offensive maintenant revient à Mr. Bush, car jouer la
résistance minimum aurait conduit à ne pas agiter le nid de guêpes du Triangle
Sunnite avant le 2 Novembre. En agissant maintenant et en urgence, nous disons aux
Irakiens que nous avons l'intention d'honorer notre engagement à tenir des élections
en Janvier. La violence n'aurait pas faibli en Irak, dans la course du 2 Novembre,
car les Baathistes et les Islamistes cherchaient à démoraliser les votants
Américains. Alors ne vaut-il pas mieux attaquer plutôt que d'attendre que les bombes
nous frappent? Gageons que nous ne serons pas les seuls à nous sentir plus à l'aise
vis à vis de la politique Irakienne de l'Administration le jour de l'Election, si la
libération de Fallujah est finalement en route.

Progress in Iraq
Kerry's wrong. There's good news in Fallujah.

Thursday, October 21, 2004 - Wall Street Journal

With polls showing a tight Presidential race, it's possible John Kerry could be our
commander-in-chief soon. So it would be nice to think he's paying enough attention
to what's going on in Iraq to know that conditions there aren't, as he said a few
days ago, "getting worse each week."
The kidnappings, mortar attacks and roadside bombs continue--and will until the
insurgency is defeated. But recent weeks have actually seen progress by American and
Iraqi forces toward reasserting control over Saddam's old stronghold in the Sunni
Triangle. That, in turn, means credible nationwide elections in January are more
likely than ever.
The first of the troublesome cities to return to Iraqi government control was
Samarra early this month. In recent days American and Iraqi forces have also carried
out successful anti-terrorist raids in several towns just south of Baghdad populated
by disgruntled ex-employees of the old regime's military-industrial complex.
Insurgent cells in Mahmudiya, Yusufiya and Latifiya are the reason the road between
Baghdad and Najaf has been so dangerous.
Most important, allied forces seem poised finally to take control of Fallujah, which
has been a no-go zone since the end-of-April deal that turned the town over to
ex-Baathists called the Fallujah Brigade. That decision was easily the biggest
mistake of the war, since it caused both friend and foe to question American resolve
and gave the thugs a safe haven from which to stage car bombings and other attacks.
At the moment, the Marines have established a cordon around the city and the Iraqi
government is negotiating with local tribal leaders to give up the couple thousand
foreign fighters--including arch-terrorist Abu Musab al Zarqawi--thought to be in
the city. Meanwhile, some locals are providing intelligence that has allowed us to
kill a lot of those foreign fighters via airstrikes. Presumably the White House and
Iraqi Prime Minister Ayad Allawi won't make the same mistake twice, and once they
begin a Fallujah assault they won't stop short of unconditional surrender.

One reason for this progress is that we're finally being helped by a substantial
number of Iraqi troops. The force that took Samarra included 3,000 Americans and
2,000 Iraqis, with the latter providing local knowledge and helping secure sensitive
sites like mosques.
More recently around Mahmudiya, U.S. forces rounded up a number of suspects, but it
was only the arrival Monday of Colonel Mohamed Essa Baher of the Iraqi National
Guard that allowed them to identify one captive as a top Zarqawi paymaster. Colonel
Baher was ambushed and almost killed on Tuesday--one of his sons has already been
killed--but he vows to pursue the terrorists "to the last breath."

Which brings us to another point that deserves more attention: the courage of the
Iraqis. Young men continue to line up by the thousands outside the police and
National Guard recruiting stations that have so often been targets of terrorist
attack. On Tuesday a mortar struck the ING headquarters in Mushahidah, killing four.
But recruit Qusay Hassan was quoted saying, "If I don't join the army, who is going
to defend the country from the terrorists?"

If we have one reservation about the current progress in Iraq, it's the apparent
truce with Muqtada al-Sadr. The good news here is that Sadr City in Baghdad has been
pacified for the moment, and that Sadr's Mehdi Army has handed over some heavy
weaponry. The bad news is that Sadr has American and Iraqi blood on his hands, and
our failure to arrest or kill him may set another bad precedent. But unlike the
April Fallujah deal, at least we're not ceding territory to the bad guys but gaining
it.
Mr. Bush deserves credit for going on offense now, since the path of least
resistance would be not to stir up the hornets' nest of the Sunni Triangle before
November 2. Acting now and with urgency tells Iraqis we intend to honor our pledge
to hold elections by January. There was always going to be violence in Iraq in the
run-up to November 2 as the Baathists and Islamists sought to demoralize American
voters. So why not attack instead of waiting for the bombs to hit? We're guessing
we're not the only ones who will feel better about the Administration's Iraq policy
on Election Day if the liberation of Fallujah is finally under way.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le vendredi 29 octobre 2004 - 17h35:

email envoye le 28 octobre 2004 par "Lapid" a Proche-orient.info
en reponse a la lecture de la chronique d'Elisabeth SCHEMLA publiee le 27 octobre 2004 dans POI .
Lire l'article au complet en cliquant sur le site suivant :

Chronique Elisabeth SCHEMLA du 27 octobre 2004

------------------------------------------------
"les Israéliens ont compris que le nationalisme palestinien n'est pas soluble dans le sang"
(POI (Proche-Orient info) : La chronique d'Elisabeth SCHEMLA le 27 octobre 2004)

Est-ce que Madame Elisabeth SCHEMLA a bien mesure la portee d'une telle phrase ?

Vraiment Madame Elisabeth SCHEMLA nous surprend par certaines de ses prises de position parfois
si incoherentes et si tendancieuses!!

Ce n'est pas parce qu'elle pretend etre une journaliste independante (!!) que Madame Schemla
pourra informer et convaincre ses lecteurs en utilisant des propos aussi odieux.
Elle ne fait qu'alimenter cette campagne de desinformation contre Israel dont de nombreux medias
(avec a leur tete l'AFP et France Television) se font les champions.

Sincerement, malgre toute la sympathie que j'ai pour POI, je pense que l'expression de tels propos
sur votre journal electronique ne peuvent que discrediter votre site.
J'espere que, pour une fois, Madame Schemla sera prete a repondre a tous ceux qui s'indignent
a la lecture de cette "phrase assassine".

Je conseille a Madame Schemla de ne pas permettre l'acces gratuit a de telles chroniques comme
elle le fait pour des articles bien plus interessants.

Cordial Chalom

Signature

===================================

Reponse d'Elisabeth Schemla a "Lapid" le 29/10/2004


At 12:09 29/10/2004, you wrote:

Monsieur,

Permettez-moi d'abord de vous remercier pour votre lettre et votre fidélité que je connais.

Laissez-moi vous dire aussi que je ne comprends absolument pas pourquoi cette phrase vous choque,
mais alors absolument pas.
Qu'est-ce d'autre que le réalisme de ce constat qui conduit Sharon à engager le retrait de Gaza?

Comment osez-vous dire par ailleurs que POI contribue à alimenter l'hostilité à Israël?
De quel droit de telles ignominies?
Pourquoi le dénigrement systématique semble-t-il être le lot de tant et tant d'Israéliens et de
juifs diasporiques, qui ne sont capables que de vitupérer,d'insulter mais pas d'agir?

Il faudra vous y faire: POI est absolument indépendant, le journalisme est un métier,
pas une posture d 'inconditionnalité béate, donc stupide.

Et comme vous-même, à moins que ne soyez un milliardaire bien sûr, l'équipe de POI et
POI ont besoin d'avoir une juste rémunération de leur travai. Que faites-vous de gratuit,
vous par exemple? Votre profession?

Vous me devez , je pense, des excuses et je les espère.

Elisabeth Schemla


================================
Reponse de "Lapid" a Elisabeth CHEMLA le 29 octobre 2004


Date: Fri, 29 Oct 2004 14:19:03 +0200
To: Eschemla@aol.com
From: xxxxxxxxxxxx
Subject: Re: Fwd: Chronique Elisabeth Schemla 27-10-04

Madame,

Je vous remercie d'avoir bien voulu repondre a mon email.

Quel rapport y-a-t-il entre cette phrase que j'ai jugee a juste titre "assassine" et "ce constat
qui conduit Sharon a engager le retrait de Gaza".
Je crois que vous nous devez quelques explications afin de justifier votre phrase.
Peut-etre que vous seriez bien inspiree en interrogeant directement Monsieur Sharon
sur ce qui le conduit vraiment au retrait de Gaza ?

Madame, je ne pense pas,apres plus de 36 ans en Israel ou sont nes mes enfants
et mes petits-enfants dans ce pays auquel j'ai apporte ma modeste contribution, que ,
de votre bureau de Paris, vous ayez le moindre droit de m'inclure ni d'inclure quiconque
dans ce que vous appelez d'une maniere meprisable le " lot de tant et tant d'Israéliens
et de juifs diasporiques, qui ne sont capables que de vitupérer, d'insulter mais pas d'agir? " .
Je regrette Madame de vous dire qu'une telle reaction de votre part est indigne d'une journaliste professionnelle.

J'avoue, en lisant votre phrase , avoir eu l'impression que vous diffamiez Israel comme le font,
jour apres jour, tant de medias .
J'aimerais, pourtant, considerer que ce ne fut qu'une phrase maladroite dont
vous n'avez pas suffisament evalue les consequences.

D'autre part, en tant que lecteur , j'insiste sur le fait que j'ai uniquement critique certains de
vos editoriaux et chroniques et non pas l'equipe de POI que j'apprecie dans leur ensemble
pour leur professionalisme .
Encore une fois, Madame, il ne s'agit en aucun cas de perdre votre independance
mais simplement d'accepter certaines critiques sans,pour cela, accuser certains de vos contradicteurs
de prendre " une posture d 'inconditionnalité béate, donc stupide".

Une des raisons pour lesquelles je refuse de m'abonner a POI est le fait que vous
continuez a utiliser les services de l'agence de desinformation l'AFP comme
je vous l'ai fait remarquer a plusieurs reprises.
A ce jour, je n'ai recu aucune reponse de votre part a ce sujet.

Aussi, je ne pense pas vous devoir la moindre excuse.
Par contre, je serais heureux d'avoir une reponse plus complete a mes differentes remarques.

Cordial Chalom,
Signature

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Davideden (Davideden) le vendredi 29 octobre 2004 - 17h07:

Dans la religion Islamaique recoit-on des vierges si on a tue des Juifs ou faut il mourrir en tuant des Juifs.Voila de dileme du rais.

Gerard

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Axelle (Axelle) le vendredi 29 octobre 2004 - 16h38:

Un gros clin d'oeil à Nao que je viens d'entendre sur RTL à 13h30 ( heure locale ) aujourd'hui.
J'ai trouvé cela très sympathique de vous entendre Nao ! J'ai bien écouté tout ce que vous avez dit. Je suis en France, mais, m'informe tous les jours de ce qui se passe aux Etats-unis car cela est très important pour la politique internationale future et surtout pour Israël.
Vraiment ravie de vous avoir écouté Nao ...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Davideden (Davideden) le vendredi 29 octobre 2004 - 13h26:

Arafat recevra-t-il des millions de vierges?
Il est responsable de la mort de tant d'infidels!!

Jacques

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bekhor (Bekhor) le vendredi 29 octobre 2004 - 14h00:

Les juifs de Tunisie et la THORA.

Les juifs de Tunisie, étaient venus s’établir en Tunisie juste après la destruction du premier temple de Jérusalem.
Beaucoup de juifs de Tunisie sont descendants des Cohens et des lévy.

Les autres juifs, qui se sont installés dans le reste du bassin méditerranéen y sont venus s’établir à des époques beaucoup plus tardives.

Les juifs de Tunisie étaient restés avec les lois de la « Mikra » et n’obéissaient qu’en elle, Mikra est égal à, lois de la "THORA écrite" (le pentateuque ou les cinq premiers livres de la bible)

Contrairement aux juifs de Tunisie, les autres juifs établis ailleurs croyaient en "la Thora", et aussi en "la Halakha", cette dernière fut aussi appelé « Thora orale ».

Ces juifs installés tardivement dans les régions du bassin méditerranéens ne s’étaient pas isolés des juifs de Eretz Israël, ils avaient eu le temps d’êtres influencés par "la Halakha", cette dernière créée par des rabbins de l’époque des Tannaims.

A l’époque des romains, qui fut aussi l’époque des Tannaims, les romains voulaient détruire la race juive, pour ce, il fallait abolir le culte juif, pour le faire, ils condamnèrent a mort tous les COHANIMS considérés comme les garants de la perpétuation du culte juif.

Beaucoup de COHANIMS furent tués et les autres se cachaient.

A l’époque, Shimon bar Yohai, en secret, créa un courant qui se voulait indépendant des Cohanim, il créa le premier mouvement qui destitua les Cohanim du pouvoir sacerdotale.
Ce pouvoir que les Cohanims détiennent à perpétuité suivants les lois de Moise et de la Thora écrite reçu sur le mont Sinaï.

Un véritable « Putsch » contre les Cohanims fut instauré par les Tannaims, et ce, sans aucune réaction ou objection de la part des Cohanim, ces derniers se sachant condamnés à mort, ne pouvait pas se dévoiler pour faire valoir leurs droits, ils risquaient leurs vie, et certainement avaient peur des dénonciations.

Le Putsch des tannaims réussis à merveille, de nouvelles lois furent instaurés, dont la fameuse loi matriarcale, qui avait abolie la loi patriarcale de la Thora écrite

C’est à cause de cette loi instaurée par les tannaims et qui à été perpétuées par les rabbins, que aujourd’hui un bon nombre de juifs, ayant des noms juifs tel que, Cohen, Lévy et autres se trouve ne pas être considérés comme juifs par les rabbins, car ils sont de mère non juive. (Le matriarcat ayant pris le dessus sur le patriarcat.)

Pourtant cette loi imposant le matriarcat ne fut pas imposée pour les conversions, mais par pur intérêt rabbinique.

En effet, d’après la nouvelle loi orale, « la Halakha » toute personne ayant acquis un certain savoir peut être considéré comme un guide spirituel donc peut devenir rabbin ou pretre.

Et, pour que cette loi s’instaure, il fallait abolir le patriarcat, car d’après la Thora écrite, ne pouvait être prêtre, qu’un fils de prêtre de la descendance de Aaron Ha Cohen (le frère du prophète Moise), donc uniquement un Cohen pouvait être prêtre ou guide spirituel. Cette loi de la « Thora écrite » était patriarcale et était contraire à la nouvelle loi rabbinique.

Les juifs de Tunisie n’ont pas été mis au courant du PUTSCH fait par les Tannaims en terre sainte, dont Shimon bar Yohai était le leader.

Pendant longtemps, les rabbins successeurs des putschistes s’abstenaient de porter la nouvelle à la communauté juive de Tunisie, et de les informer de leurs prises de pouvoir sacerdotale, car leurs pouvoir rabbinique étant encore fragile.

Mais beaucoup plus tard, le pouvoir rabbinique ayant réussis à dominer tout le peuple juif, et ayant réussis à imposer les nouvelles lois halakhiques, décidèrent certainement de s’occuper de la communauté juive de Tunisie.

C’est peut être pour cette raison que Maimonide s’est rendu sur place, et c’est peut être aussi par rapport a ses conclusions que les rabbins menacèrent les juifs de Tunisie d’excommunication.

Cette situation des juifs de Tunisie qui était purement thoranique, ne plaisait aux rabbins étrangers, qui eux étaient les successeurs des « Putschistes », ils considéraient la communauté juive de Tunisie comme étant une menace à l’encontre de leurs intérêts.

Une menace d’excommunication de la part des rabbins étrangers ne tarda pas à planer sur les juifs de Tunisie.

Ils furent menacés d'êtres considérés comme les KARAIMS, qui eux ne croient qu'en la « MIKRA ».

Les juifs tunisiens étant une communauté passive, et tranquille se laissa emporter par la vague puissante des pressions rabbiniques venant de l’extérieur, plusieurs rabbins étrangers et pour la plupart du Maroc furent dépêchés en Tunisie pour enseigner la halakha (Thora orale) Ces lois que les rabbins avaient crées de toutes piéces et avaient modelés par rapport à leurs propres intérêts.

La fameuse yeshiva de Kairouan fut créée en Tunisie, et avait le rôle important d’enseigner la Halakha aux juifs de Tunisie.

Contrairement aux Karaims les juifs de Tunisie se plièrent aux lois rabbiniques et pratiquèrent à leurs tours le matriarcat et les lois rabbiniques.

Par contre les Juifs Karaïm sont restés fidèles jusqu'a nos jours aux lois patriarcales.

Les Rabbins poussèrent le bouchon encore plus loin à l’encontre des Karaims, Ils les considèrent, comme étant des "Mamzérim" (bâtards), car ils ne pratiquent pas les lois halakhique (rabbiniques) du mariage.

Les Karaims sont totalement excommuniés par les rabbins, c'est avec un abus de pouvoir flagrant de la part des rabbins qu'ils sont traités de la sorte.
Car leur seul péché, c’est qu’ils ne croient pas aux lois rabbiniques, et cela justement parce qu’ils n’ont pas acceptés le « PUTSH » exercés par les rabbins contre les COHANIMS, ils ne reconnaissent pas du tout l’autorité rabbinique.

D’ailleurs il est très intéressant, pour comprendre, de consulter le site Internet de la communauté juive Karaïte dont je joins le lien :

http://www.karaite-korner.org/

Remarquez bien les Karaïtes n’appellent pas « Rabbin » leurs guides spirituels mais ils le nomme « KHAKHAM » c'est-à-dire « érudit ».

Victor Cohen.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le vendredi 29 octobre 2004 - 09h28:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Rectification Bébert !

La phrase c’est : “ Ched el beb hata chrah i ji “

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le vendredi 29 octobre 2004 - 08h49:

EN ACCORD AVEC SLIM C'EST POURQUOI AVEC LA LAICITE ET DES REGIONS CULTURELLES COMME EN FRANCE
ON FERA LES ETATS UNIS D'ORIENT ET LA FRANCE DEVIENDRA MALHEURESEMENT AVEC SARKOSY COMMUNAUTARISTE