Archive jusqu'au 28/octobre/2004-3

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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le jeudi 28 octobre 2004 - 16h50:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Rectification Emile !

Il l'Est, car ses Frères le reconnaissent comme Tel !

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le jeudi 28 octobre 2004 - 16h45:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Salut Bébert.

Ya Baabous, le verbe Ftiler, et le mot Ftileur ( Celui qui Ftile ) est selon les Linguistes Adrassiens dérivé du mot Goulettois Fteïl, et si tu comprends bien ce mot, tu peux illico te naturaliser Goulettois!

Avec comme corollaire : “L’Académie Tune reconnaissante !”

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le jeudi 28 octobre 2004 - 16h43:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Maurice Salut.

Si l’on suit le raisonnement de SHLOMO AVINERI qui fait une comparaison, entre la réaction des
réfugiés Chypriotes Grecs et les réfugiés Palestiniens, suite à l’invasion de la Turquie qui envahit Chypre en 1974, où plus de 250 000 Chypriotes grecs furent délogés de leurs terres, s'enfuirent, terrorisés, face à l'armée de l'envahisseur, et que d'autres furent expulsés.

Cela laisserait il sous entendre que le même scénario se serait produit, vis à vis des réfugiés
Palestinien ?

Maurice, ton point de vue en la matière nous intéresse.

Merci d’avance et bien à Toi,

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le jeudi 28 octobre 2004 - 16h39:

Il est juif, celui qui veut l'etre.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le jeudi 28 octobre 2004 - 16h36:

Douda,

Tu as raison, les tunes font, parmi les juifs, bande a part. Du reste lorsque Maimouni visita une communaute juive, a son retour, il avait bien decrit que les juifs de Tunisie ne pratiquaient pas le judaisme selon la halakha. Ils croient aux fetiches, a la sorcellerie " ESHOER" et qu'il considerent l'enfant juif si le pere est juif. Donc, mon cher Douda, nous sommes un peuple tunisien tres special. Alors si tu te mari je t'apporterai " Le Qadi Yeftilek Ou el Aachra Ntaa El Kor'aan. Tu vois d'ou vient le nom Ftilleur.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 28 octobre 2004 - 16h06:

Pardon SUGGEST, on ne NAIT PAS JUIF, on le devient HUIT JOURS après, lors de la circoncision.
Bon puisque vous vous y êtes tous mis, je vais rattraper le temps perdu.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 28 octobre 2004 - 16h00:

HENRI,

C'est bizarre, pourtant je suis sur d'avoir toujours étè à la maison.

J'ai cherche dans le dictionnaire le MOT FTILEUR.
Niet, j'ai doncdécidè d'en donner la signification to ut à l'heure si on ne l'a pas fait avant moi.

Bravo la DOUDA, nous avons étè tous servi.
En tant que digne reprèsentant de mon pays la GOULETTE, je peux vous assurer que nous avons pris en OTAGE le site et on ne compte pas le lâcher de si tôt . Foi de ADAM HOUT.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 28 octobre 2004 - 15h56:

Ben alors cherchons la MALLE c'est un moindre mal.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le jeudi 28 octobre 2004 - 15h38:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Demi Juive.

Merci de ta réponse Cher Emile :

- Il existerait donc selon Toi deux Halakah, une pour les Tunes, et une pour le reste de la Judéité ?

Remarques que cette contradiction ne nous gène nullement, car elle fait du même coup des Tunes, un Peuple à part, un peu comme les Martiens, à l’origine de tant de scénarios d’anticipation.

Remarques que chez nous il y a le Djebel Ahmar, qui selon toutes vraisemblances nous est tombé du Ciel, et de la Planète Rouge en particulier.

- Non Cher Emile, l’Europe n’éternue que quand l’Asie attrape la grippe de la volaille, quand à la campagne présidentielle US, ici à la Goulette tout le monde s’en fout et ne s’occupe que de son train train quotidien. D’ailleurs demande à Jaco, son site a été capturé, transporté à la Goulette, et pris en otage par les Goulettois qui à présent ftilent toutes les ficelles, Zekch !

- Quand aux élections US, un certain Racine n’a t il pas dit : “Tel qui rie Vendredi, Dimanche
pleurera“, ce ne sont certainement pas les Tunes qui vont pleurer, alors devines Qui ?

Te’sbah la hir ya BaBa

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le jeudi 28 octobre 2004 - 15h36:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Maurice Salut.

Le mot Palestine est une déformation romaine qui découle de Philistin.

Pour ceux que cela interresse voici le lien :
http://perso.wanadoo.fr/spqr/peuples_mer.htm

Extrait du site :

“Il semble qu'une partie des Peuples de la mer se répartirent ainsi le long du littoral par tribus : échut aux Shekalesh ; aux Philistins, Gaza, Ashdod, Éqrôn et Gat, soit la côte méridionale de la Palestine (à laquelle ils ont donné leur nom).

Il est probable qu'à l'origine les Philistins furent établis dans cette région par Ramsès III pour garder sa frontière. Dans leur tentative de pénétration à l'intérieur du pays, les Philistins se heurtèrent aux tribus qui s'installaient alors en Terre promise.

Dans un premier temps l'avantage appartint aux Philistins qui remportèrent des victoires (prise de Silo, victoire de Guilboa), mais David réussit à stopper définitivement leur avance.“

Les Philistins survivant de la civilisation de Minos, auraient quitté la Crète après la destruction de cette civilisation, par le raz de marée qui balaya cette île, suite à l’explosion volcanique de l’île de Santorin.

Question : Qui sont donc les Palestiniens d'aujourd'hui ?

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le jeudi 28 octobre 2004 - 15h33:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Meyer Salut.

Merci de reconnaitre que le texte que vous citiez n’est pas de vous, et de préciser que Douda n’a pas les mêmes idées que ceux que vous citez, tels que Ramadan et autres Tartuffes, ce qui nous réjouit au plus haut point.

Nous ne nous appuyons pas sur sur les travaux de léxicologues, mais sur les travaux de toxicologues
émérites, pour déclarer que le racisme est la mère de toutes les crimes contre l’humanité.

En tant que linguiste émérite, Académicien potentiel, ce qui nous ferait grand honneur, et cela sans flateries aucune soyez en assuré, nous pensons que vous devriez savoir, que la linguistique s’occupe également de l’évolution et du vécu du langage, ce qui fait qu’en linguistique il n’est pas interdit à un terme quelconque d’évoluer, voire même de changer de signification au cours des ages, cherchez donc,
vous en trouverez beaucoup d’exemples.

Bien à Vous

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le jeudi 28 octobre 2004 - 15h31:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Salut Bébert.

Le pourcentage d’explosif volé, n’est effectivement pas grand chose comparé à tout le stock que détenait l’Irak, mais il s’agit là d’explosif un peu spécial classifié par l’IAEA, le HMX ou nitramines (cyclotétraméthylène-tétranitramine (HMX), avec une vitesse de combustion de 8.000m/sec, c’est une substance qui peut être utilisée "comme détonateur dans un engin explosif nucléaire".

L’IAEA avait prévenu les USA du stock découvert, mais ce stock de prés de 400 tonnes s’est fait la
malle ?!?!

Il n’en faut qu’une dizaine de kilo pour fabriquer l’amorce d’une bombe A, heureusement il doit manquer aux voleurs, beaucoup d’autre ingrédients indispensables, pour se faire.

Remarques aussi que quelques tonnes utilisés sous la forme classique peuvent faire déjà, beaucoup de dégâts.

Alors l’armée d’occupation devrait se débrouiller pour le récupérer.

Wenessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le jeudi 28 octobre 2004 - 14h22:

Débats & OpinionsDEUX POIDS DEUX MESURES Chypre : le dilemme des réfugiés

PAR SHLOMO AVINERI*

Le Figaro

[24 août 2004]

Une des raisons pour lesquelles les Chypriotes grecs ont, en avril dernier, rejeté le plan du secrétaire général des Nations unies, Kofi Annan, pour la réunification de Chypre tient à ce qu'une grande majorité d'entre eux pensaient qu'il ne rendait pas justice aux exigences des réfugiés déplacés lors de l'invasion turque de 1974. Ce fut aussi l'une des rares occasions au cours de laquelle l'opinion publique internationale put prendre connaissance de la question des réfugiés sur l'île, parce que peu sont ceux qui savent qu'il existe encore des réfugiés de cette guerre.

Quand la Turquie envahit Chypre en 1974, après la tentative avortée de la junte militaire grecque pour faire aboutir l'Enosis (l'unification avec la Grèce), plus de 250 000 Chypriotes grecs furent délogés de leurs terres. Certains s'enfuirent, terrorisés, face à l'armée de l'envahisseur, d'autres furent expulsés : il s'agit là de la situation habituelle dans ces cas de figure, situation complexe et moralement difficile à vivre.

Bien que dépassée, la communauté chypriote grecque a réagi avec humanité, a fait preuve de solidarité et de prudence.

Dans un premier temps, des camps de réfugiés furent installés, mais le gouvernement chypriote grec décida de ne pas laisser ces populations réfugiées végéter dans des camps de réfugiés sordides, même si, entre-temps, il n'était nullement question d'abandonner les exigences des réfugiés pour leur éventuel retour sur leurs terres, au nord.

Aucune subvention des Nations unies ne fut dégagée pour créer une agence destinée à aider ces réfugiés. Au lieu de cela, c'est la République de Chypre, avec des aides internationales, qui mit en oeuvre les ressources nécessaires, celles d'un petit pays peu prospère et dévasté par la guerre, pour lancer un programme d'installation et de réhabilitation sous forme de projet national.
Des prêts d'Etat furent offerts pour la construction de logements. Dans de nombreux cas, les réfugiés construisirent leurs propres maisons.

Les entreprises furent encouragées à l'aide de prêts d'Etat et de subventions, des écoles et des centres de formation furent créés. En quelques années, les réfugiés furent absorbés dans l'économie et la société du secteur sud de la partie chypriote grecque de l'île. Comme pour l'Allemagne de l'après-guerre, la prospérité de Chypre aujourd'hui est due, en grande partie, aux résultats de cette poussée que l'économie reçut alors pour absorber les réfugiés.

Quiconque visite la partie grecque de l'île aujourd'hui n'y verra pas de camps de réfugiés : la majeure partie des millions de touristes sont tout à fait inconscients du fait que plus d'un tiers des Chypriotes grecs qu'ils rencontrent sont à l'origine des réfugiés ou des descendants de réfugiés. La communauté grecque chypriote peut à juste raison être fière de la manière dont elle a géré les problèmes sociaux et humanitaires posés par les réfugiés, sans jamais à aucun moment laisser tomber ses exigences vis-à-vis des terres perdues.

Tout aussi louable fut la décision stratégique des Chypriotes grecs de s'en tenir à une politique de non-violence à la Gandhi : alors que l'amertume envers l'occupation turque était profonde, et malgré le fait que les colons turcs se soient implantés au nord, la communauté chypriote grecque décida de ne pas utiliser la violence contre l'occupant. Il ne s'est produit aucun incident terroriste ou violent contre l'occupation turque de la part des
Chypriotes grecs en plus d'un quart de siècle d'occupation. C'est aussi une des raisons pour lesquelles on entend peu parler des réfugiés chypriotes grecs.

Il pourrait,bien sûr, en être tout autrement : si les Chypriotes grecs avaient suivi l'exemple palestinien depuis 1948 - autrement dit, entretenir les camps de réfugiés et maintenir les réfugiés dans leur état, sans les intégrer à la société en place, tout en nourrissant leurs enfants d'une doctrine militaire et terroriste de haine et de revanche - une atmosphère totalement différente
imprégnerait l'île aujourd'hui. L'exemple chypriote grec montre qu'il n'est simplement pas vrai que la population occupée n'a d'autre recours que la violence et le terrorisme. Le recours à la violence et à la terreur est un choix moral et stratégique. Les Chypriotes grecs ont choisi le chemin de la non-violence, les Palestiniens ont choisi le chemin opposé. Le choix existe
toujours, et il a toujours des conséquences précises.

Si l'on examine ce que la communauté chypriote grecque a accompli - une économie florissante où personne ne vit dans la misère et l'humiliation des camps de réfugiés, son entrée dans l'Union européenne - par rapport aux résultats catastrophiques des choix des dirigeants palestiniens qui ont sacrifié leur propre peuple sur l'autel de la propagande, on mesure la différence... Même si, en termes médiatiques, elle n'apparaît pas forcément.

Les dirigeants de l'Autorité palestinienne feraient bien mieux d'examiner la situation de Chypre, de l'autre côté de la Méditerranée, afin de voir combien - sans rien abandonner de leurs exigences sur les territoires contestés - les réfugiés peuvent vivre dans la dignité et l'honneur. Mais bien sûr, la République chypriote est une démocratie alors que les Palestiniens n'ont pas pu s'émanciper des options militaires violentes qui leur ont valu tant de misère.

* Professeur de sciences politiques à l'Université hébraïque de Jérusalem.

Project Syndicate, août 2004. Traduit par Catherine Mer.
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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Henri (Henri) le jeudi 28 octobre 2004 - 14h17:

Qui est juif ?

Un autre point de vue logique a cette question.

En generale le pere est hors de la maison, et c'est la mere qui "eduque" l'enfant losqu'il est en bas age. il sera donc inpregne PLUS pas sa mere que par son pere.