Archive jusqu'au 24/octobre/2004-2

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2004: Commentaires d'Octobre 2004: Archive jusqu'au 24/octobre/2004-2
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Edmond (Edmond) le dimanche 24 octobre 2004 - 06h39:

Le livre " Le dossier Arafat " est volontairement ignoré par l'ensemble des médias
Malgré l'information et les exemplaires de livres diffusés à la majorité des journalistes aucun des grands médias ne parlent de ce livre, C'est le silence complet, pourquoi ?


présentation:
" Le dossier Arafat " de Karin Calvo-Goller et Michel Calvo.(publié chez Albin Michel)
" Le conflit du Proche-Orient est au cœur de tous les conflits " a déclaré Michel Barnier le 14 octobre dernier lors d’une table ronde qui réunissait journalistes français et israéliens. Le ministre des Affaires étrangères réitérait ainsi ce qu’il avait dit à la tribune des Nations unies au nom de la France.

Il préconisait ensuite " le traitement des racines " de ce conflit, tout en réaffirmant que " Yasser Arafat est le chef légitime de l’Autorité Palestinienne et reconnu comme tel. "

Pourtant, " Le dossier Arafat, " écrit par deux juristes démontre point par point que Yasser Arafat a planifié l’Intifada actuelle, l’a mise en œuvre, la contrôle. Ils rappellent le bilan terroriste de Yasser Arafat à la tête d’une Autorité Palestinienne qui pratique " crime contre l’humanité " et " crime de génocide. "

Deux plaintes ont d’ailleurs été déposées contre Yasser Arafat en France par les familles de Français victimes d’attentats terroristes en Israël.

Or, le livre a été ignoré par la presse dans sa grande majorité. Il est " le livre dont personne ne parle. "

Un silence révélateur.

Pour en savoir plus sur ce livre, consultez son site :

http://www.ledossierarafat.com

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le dimanche 24 octobre 2004 - 06h29:

Bonjour,

je dis bravo aux editeurs du site harissa.com

je m`appelle Marouen bouziri, je suis tunisien et je voulais vous dire que vous faites honneur a la tunisie, je fais un appel aux juifs tunisiens et a tout les juifs de bonne foi que meme si vous avez quitte votre pays originaire vous etes toujours les bienvenus chez vous.
Et pour MADONNA bravo je ne savais pas qu`elle avait des origines tunisiennes cela dit je soupconnais sa visite a djerba.

encore une fois 1000 bravo

MAROUEN BOUZIRI

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Admin (Admin) le dimanche 24 octobre 2004 - 05h54:

c:/

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 24 octobre 2004 - 05h48:

Le Saf-Saf de l’Ariana : Le Cinéma


Qui ne se souvient pas du Saf-Saf de l’Ariana et de son cinéma ? Initialement, le Saf-Saf était un café en plein air, qui concurrençait le fameux Saf-Saf de La Marsa. Il avait sa noria, son chameau muni d’œillères, qui tournait sans cesse pour puiser une eau, dit on, bénéfique pour la santé.C’est la seul comparesant avec celui de La Marsa, qui était plus célèbre.
Le Saf-Saf de l’Ariana lui, avait, dans les années 50, un cinéma. On y programmait des séances en plein air l’été, et des séances en salles, l’hiver.
Il s’organisait de temps à autre des soirées de spectacle, dites « Haflâa ».
A cette époque le propriétaire était Deidâa Haddad (oncle de notre amie Mimi Sitbon, née Haddad).

Revenons à notre cinéma ! En été, et surtout les vendredis et samedis soir, la
partie la plus grande de la terrasse du café était transformé en salle. On y posait des chaises métalliques en rangés. L’écran lui, était permanant, c’était un grand mur blanc, encadré de noir, comme les écrans de salles. Les hauts- parleurs étaient posés à même le sol.C’etait le « Drive-in » à l’Arianaise.
Après le couscous du vendredi soir, les gens arrivaient en petits groupes, pour voir soit un film Egyptien, de Farid el Atrache ou Abdelwab, soit le dernier film biblique d’hollywood.

Je me souviens entre autres, du Film : Samson et Dalila, en version Française avec Victor Mature.

Au fur et à mesure que la salle se remplissait, un brouhaha, envahissait l’endroit. Les rangés de chaises n’étaient plus qu’un souvenir.Dés que le film commençait, on entendait des Ah.Ah.Ah…et les gens, applaudissaient.
D’après le film que l’on projetait, on entendait des rires, des commentaires et même des conseils que l’on donnait aux acteurs, quand ceux-ci se trouvaient en mauvaises postures, et tout cela à haute voie. Parfois c’était les chansons que l’on reprenait, quand c’était Farid L’Atrache, qui susurrait une chanson interminable.Les personnes qui ne pouvaient pas entrées voir le film, restaient à l’extérieur, et pouvaient entendre les chansons. Voila pour les séances en plein air.

En hiver c’était beaucoup plus « Clochemerldesque ». L’arrière salle du café était transformée en salle de projection. Il y avait toujours ces chaises métalliques alignées en rangs, mais en nombre inférieur. Les films que l’on projetait étaient des films, de Tarzan, Charlie Chaplin, Laurel & Hardy, l’Homme invisible et surtout des Westerns (On disait à l’époque des films de Cow-boys).Il n’y avait que deux séances, le samedi et dimanche après midi.
Les jeunes de10-14 ans fréquentaient le plus souvent ces séances .Ils réagissaient toujours aux scènes du film, avec beaucoup d’émotions.
Comme leurs aînés, ils faisaient des commentaires, pendant la projection, et voulaient même changer le scénario du film. Le plus drôle de tout ça, c’est les interruptions de séance, soit parce que la pellicule se déchirait, soit qu’une mère qui venait dire à sont fils où elle sera après la fin du film.
La meilleur des situations c’était lorsque on apportait à un jeune spectateur, un goûter que lui a préparé sa mère : c’était une « Carmouda », avec du thon etc.…. ou une tranche de pain avec une barre de chocolat « Allal ».

Ce n’est pas un peu « Cinéma Paradisio » ? L’excellent film Italien avec Philippe Noiret

Ce souvenir a jailli de ma mémoire, cette semaine. Je rendais visite à Freddy Gallula, quand je fis la connaissance d’une personne. Il se trouvait que cette personne, à cette époque, distribuait des films au cinéma du Saf-Saf .C’est comme cela que l’idée m’est venue d’écrire ce récit.

Voila encore un souvenir de ma jeunesse à l’Ariana.

Charly Sarfati

Sarfatics@free.fr

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mounia (Mounia) le dimanche 24 octobre 2004 - 05h25:

La Tunisie aux deux visages vote ce dimanche
Par Paul de Bendern et Lamine Ghanmi


TUNIS (Reuters) - 4,6 millions d'électeurs tunisiens sont appelés aux urnes dimanche pour désigner leur président mais personne ne doute que ce scrutin sera une nouvelle formalité pour Zine al-Abidine Ben Ali.


L'ancien ministre de l'Intérieur, qui est âgé de 68 ans, gouverne la Tunisie depuis la destitution en 1987 du père de l'indépendance, Habib Bourguiba, officiellement écarté pour "sénilité".


Jamais au cours des trois précédents scrutins il n'a obtenu moins de 99% des voix et l'élection de dimanche ne modifiera sans doute rien. "Personne ne retient son souffle, nous nous attendons à la même chose", note un diplomate occidental.


Sous son règne, la Tunisie s'est redressée sur le plan économique et présente des statistiques à faire pâlir ses voisins du Maghreb. Mais cet essor a un prix, dénoncent les associations de défense de l'homme qui évoquent la mise en place parallèle d'un véritable Etat policier.


Dans la médina de Tunis, la vieille ville, les conversations roulent sur le football ou sur la guerre en Irak. L'élection de dimanche ? Personne n'en parle. "On garde la bouche cousue. On sait qui écoute. On ne discute pas de politique en public, ce serait imprudent", explique un tailleur sous le couvert de l'anonymat.


Trois candidats affronteront le président Ben Ali dans les urnes. Investi par le Mouvement de la rénovation-Ettajdid, Mohamed Ali Halouani, reconnaît qu'il n'a aucune chance de battre Ben Ali mais espère que sa candidature apportera un peu d'espoir aux Tunisiens qui rêvent de démocratie.


Mohamed Bouchiha porte lui les couleurs du Parti de l'Unité populaire et Mounir Begi est le candidat du Parti social libéral.


Sept formations d'opposition ont été autorisées, mais nombre d'entre elles ne seraient que des paravents destinés à masquer la réalité, affirme-t-on dans les cercles d'opposition.


ESSOR ÉCONOMIQUE, STATUT DE LA FEMME ET SCOLARISATION


Les autorités sont accusées de contrôler les médias, de n'accorder qu'un temps de parole infime à l'opposition pendant la seule campagne officielle, de harceler physiquement les opposants, de réprimer toute dissidence. Le Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD, au pouvoir) revendique lui deux millions d'adhérents: plus de 40% de l'électorat.


Le gouvernement rejette ces critiques, met en avant la stabilité politique, économique et sociale du pays dans une région troublée de la planète et s'appuie sur une comparaison avec les dernières années de règne de Bourguiba.


"Ben Ali a agi rapidement pour renverser la situation. Il a progressivement libéré l'économie des fers de la domination étatique et rétabli un Etat de droit sauvegardant les libertés fondamentales des Tunisiens", assurait Ali Chaouch, secrétaire général du Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD) au pouvoir, lors d'un entretien accordé au début du mois à Reuters.


Les droits des femmes en Tunisie sont parmi les plus élevés du monde arabe, l'alphabétisation est importante et les classes moyennes se développent, énumérait-il encore.


D'après les statistiques officielles, le Produit intérieur brut tunisien a été multiplié par cinq depuis la chute de Bourguiba, à 28,13 milliards de dollars en 2004. Le PNB/habitant a été lui multiplié par 3,7. Sur la même période, l'espérance de vie à la naissance est passée de 67 à 73,2 ans.


Dans un rapport publié cette année, l'Organisation pour la coopération et le développement économique (OCDE) souligne "le recul significatif de la pauvreté et l'amélioration des conditions de vie, la qualité des infrastructures, l'environnement, la santé et la scolarisation".


"ILLUSION ÉCONOMIQUE SAVAMMENT ENTRETENUE"


La plupart des Tunisiens, même parmi les cercles d'opposition, ne contestent pas cette amélioration économique. L'argument de la stabilité politique porte également auprès de nombreux Tunisiens qui voient dans l'histoire récente de l'Algérie un contre-modèle à fuir.


Mais à quel prix ? Dans une tribune publiée cette semaine par le quotidien français Libération, Moncef Marzouki, qui dirige le Congrès pour le parti de la république, non-autorisé, parle de "l'illusion savamment entretenue d'une économie performante" derrière laquelle on trouve "le démenti tragique du détroit de Sicile, véritable cimetière où s'accumulent les cadavres de jeunes cherchant à fuir par tous les moyens le chômage et la répression".


"Un Etat violent, gangrené par la corruption, continuera à régner par la peur et l'arbitraire sur des sujets appelés citoyens jusqu'à l'explosion finale", poursuit-il.


Le dissident, qui a appelé au boycottage des urnes, a été brièvement détenu à l'aéroport international de Tunis. Le signal, pour son parti, qu'"aucune once de liberté ne sera accordée à l'opposition et qu'aucune voix discordante ne sera tolérée durant ces élections".


"En Tunisie, résume avec ironie un diplomate occidental, les trains partent à l'heure, mais le wagon de la liberté n'a jamais quitté la gare."

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le dimanche 24 octobre 2004 - 04h59:

Axelle, je suis d'accord avec ce que vous dites là: "Je suis quand même inquiète de la réaction que va provoquer cette campagne." Si celle-ci sera lancée elle provoquera, sans aucun doute une chaîne de réactions néfastes, non seulement parmi les chrétiens de France, mais aussi parmi les chrétiens américains et autres. Avons nous besoin d'unir les chrétiens américains avec ceux d'Europe? Avons-nous besoins de nouveaux ennemis?

S'attaquer aux symboles religieux sacrés de n'importe quelle religion n'est pas digne d'une personne qui se respecte. Voulons-nous être comme les autres? A part cela, ni Jésus, ni Marie ne sont responsables pour les actes bornés de certains "chrétiens".

Je trouve que cette action est aussi irresponsable et ne peut que faire du tort aux juifs d'autres pays y compris Israel.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le dimanche 24 octobre 2004 - 01h17:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Beauté du jour.

c:/


Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le dimanche 24 octobre 2004 - 04h06:

Enfin les démocrates américains sortent de leur silence. Pour calmer les Juifs qui prétendent que Kerry ne sera pas un bon ami avec Israël, dans les cercles juifs à New York ils sortent ces rumeurs: " L'ancien président Clinton va remplacer Kofi Annan si Kerry gagnera les élections et sera élu président". J'avais téléphoné à une amie de ma maman et je lui ai raconté ces rumeurs. Voici sa réponse en arabe tunisien: "BEL AFYA ALIHOUM" Je lui ai demandé d'interpréter ça elle me répondit: "Ça veut dire: CHED ELBAB HATA IJIK CHHA"

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Djlachem (Djlachem) le samedi 23 octobre 2004 - 22h29:

Chère Axelle,

Justement, le but de cette campagne de l’UEJF étant de provoquer, l’objectif sera en quelque sorte atteint si se développent des réactions hostiles.
Si des organisations chrétiennes sortent de leur réserve pour fustiger l’utilisation – supposée choquante – d’images divines taguées, il sera facile alors de leur demander des explications : « comment se fait-il que vous soyez plus offusqués par de simples affiches que par les actes antisémites eux-mêmes ? On ne vous voit poindre le bout de votre nez que lorsqu’on touche à vos représentations divines alors que les attaques physiques envers vos prochains, les Juifs, ne vous procurent pas autant d’indignation. Pour votre morale religieuse, une affiche supposée injurieuse compterait donc davantage que de s’attaquer à l’intégrité physique et aux biens de vos frères Juifs ? »
Malheureusement, il est à craindre que les vrais torpilleurs de cette campagne seront les organisations juives elles-mêmes, civiles (CRIF) comme religieuses (Consistoire). Les évènements récents prouvent à quel point nos « officiels » juifs ont sacrifié la lutte contre l’antisémitisme aux compromissions avec le pouvoir chiraco-villepinesque ou aux comportements de contrition par souci mal placé de ne pas se montrer trop « communautaristes ». L’exemple du Grand Rabbin Sitruk exhortant ses coreligionnaires à substituer la casquette à la kippa en est l’exemple le plus misérable.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le samedi 23 octobre 2004 - 22h20:

Israel cultivates Nobel laureates, Arabs cultivate suicide bombers


By Farid Ghadry
israelinsider
October 17, 2004

Farid Ghadry?is President of the Reform Party of Syria -
http://reformsyria.org/.

The news this week that two Israeli scientists, in addition to an
American, won the Nobel Prize in chemistry, should be read with
interest in the Arab world.

This win says a lot about the state of affairs of the Middle East.

While Israel builds its future with Nobel laureates, the Arab world
fills its future with suicide bombers.

Ever since the inception of the State of Israel, Arabs have had this
romantic notion that through wars and revenge we can return to our
past glory.

Of course, they don't tell us which past they are referring to.

Was it when we were governed by the Ottoman Empire or by England and
France?

Or was it more like 1,300 years ago when spears ruled the
battleground?

Ever since 1967, Arabs from all countries -- but especially Syria,
Jordan, Lebanon, and Egypt -- have lived this fantasy that we can
throw the Israelis to the sea.

With the 1973 near-win against Israel, Arabs concluded that one more
loss is not reason enough to stop and think.

One more loss, with so many lives lost on both sides, is not enough
for us to understand that the continued struggle is destroying us
from within.

Even after Anwar Sadat came to understand the value of peace and co-
existence, it seemed that more and more of our energies were
diverted toward destruction.

The downfall of the Soviet Union, the longtime ally of the Arab
world, seemed to spur us to seek justice with the barrel of a gun
rather than through pragmatic understanding.

The Oslo Accords produced a willing Israel and exposed fraudulent
Palestinians. Again, we watched as Arab leaders mounted a campaign
of deceit to divert our attention away from our own oppression. We,
the obedient Arab sheep, followed. We carried banners, objected,
revolted and in the end, we created a new cadre of school children
with strong arms to throw stones but without the education and
discipline no brains to produce Nobel prizes.

Ever since the Intifada, a term that truly spurns our sense of
justice, we have achieved the lowest point of our self-esteem. Arab
children that throw stones seem to feel an invisible power that is
not available to the children of the State of Israel.

That power to revolt consequently pre-disposes to a low self-esteem,
which inevitably helps to build the mentality of a suicide bomber.

Suicide bombers feel nothing, understand little, and cannot see the
future.

They go on automatic pilot with the brain functioning as a guiding
tool to self-destruct literally, as a person and against the society
that developed them. Suicide bombers represent the lowest of our
self-esteem as people of Arab descent.

We are in an Intifada, but it is one that is seen through the eyes
of the Israeli Nobel laureates.

We, as people of the Middle East, are dying and we cannot even feel
it. We have reached the bottom and we do not even know it.

Because of oppressive regimes that give us no chance to think for
ourselves, we have no hope, no future, and certainly no Nobel prizes
in science awaiting us.

What very few people know is that an Intifada is also attributed to
the last movement by a human body upon death.

Could that be this understanding of Intifada that is the true
symbol of a struggle that should have ended long ago? All Arabs are
in an Intifada, still moving yet not truly alive as citizens of the
world.

Every time the Syrian Ba'athists call for armed resistance, secretly
support groups like Hezbollah and Hamas, and propagandize Arab
unity, we fall further and further into oblivion. The funny thing is
that very few Arabs care to understand why we do not have Nobel
laureates.

They blame it on Imperialism and Zionism. In their minds, absent
these two forces, we could be raking in those Nobel prizes.

So while Israel survives Intifadas, wars, hate, and oppressive Arab
rulers, we, the Arab people, must wake-up.

If we pursue the same policies that drove us to the lowest point in
our history (Asr al-Inhitat or Era of Despair as opposed to Asr al-
Jahyliah or Era of Ignorance that preceded Prophet Mohammed), only
we lose.

If we listen to our rulers, we will always be kneeling on the
sideline watching Nobel prize winners produced by the Middle East --
but not by us or for us.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le samedi 23 octobre 2004 - 20h12:

Divorcer ou conduire, il faut choisir

Le risque de subir un accident de voiture est multiplié par quatre juste après un divorce ou une séparation.

France

21/10/2004 - Le risque de subir un accident de voiture est multiplié par quatre pendant les périodes de divorce ou de séparation. Environ 3% des accidents de la route seraient imputables à une séparation, selon une étude dirigée par Emmanuel Lagarde, chercheur à l'Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM) et parue dans la dernière revue Epidemiology.

Emmanuel Lagarde et son équipe ont bénéficié d'une cohorte de 20 000 personnes, tous employés des entreprises françaises EdF et GdF. Depuis 1989, ces volontaires recrutés par l'INSERM remplissent chaque année un questionnaire sur leur santé et les événements de leur vie durant les douze derniers mois (hospitalisation, naissance, décès d'un proche ou déménagement, par exemple). Ces informations ont été utilisées dans plusieurs études épidémiologiques depuis quinze ans.

En étudiant ces questionnaires, les chercheurs ont pu vérifier l'existence d'un lien entre le risque de subir un accident de la route et le fait d'avoir subi un événement de vie stressant dans l'année précédente. Le chercheur avance comme explication le fait qu'un gros stress modifie les comportements de la conduite automobile, soit en inhibant la faculté à se conformer à une conduite sûre, soit en diminuant l'attention du conducteur. La prise de produits psychotropes pourrait elle aussi être en cause.

Catégorie(s) de cet article : Médecine et santé

Isabelle Cuchet

http://www.cybersciences.com/Cyber/3.0/N3552.asp

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Citron (Citron) le samedi 23 octobre 2004 - 19h12:

Israël autorise des médecins tunisiens à examiner Yasser Arafat (responsable)
AFP | 23.10.04 | 11h40


Israël a autorisé la venue à Ramallah, en Cisjordanie, de trois médecins tunisiens qui vont examiner le dirigeant palestinien Yasser Arafat, a confirmé samedi à l'AFP un haut responsable israélien du ministère des Affaires étrangères.Cette décision, annoncée précédemment par la radio publique, a été prise par le Premier ministre Ariel Sharon et le chef de la diplomatie Sylvan Shalom à la demande du gouvernement tunisien par l'intermédiaire de son représentant diplomatique dans la bande de Gaza, a précisé ce responsable, qui a requis l'anonymat."Il s'agit d'une demande humanitaire qui nous a été transmise par un pays (la Tunisie) avec lequel nous sommes en contacts réguliers et à laquelle nous avons accédé", a poursuivi ce responsable.La Tunisie avait fermé son bureau de représentation à Tel-Aviv peu après le début de l'Intifada à la fin septembre de l'an 2000.Ce responsable n'a pas été en mesure de fournir la moindre indication sur l'état de santé de Yasser Arafat et sur le moment où les trois médecins qui disposent d'un laisser-passer arriveront à Ramallah.Le député arabe israélien Ahmad Tibi, un médecin et un proche de Yasser Arafat, a pour sa part affirmé à la radio publique israélienne que l'état de santé du dirigeant palestinien était "normal". "Il a été atteint récemment d'une grippe, dont il s'est remis", a ajouté M. Tibi.Des médias israéliens ont en revanche fait état ces derniers jours d'ennuis de santé de Yasser Arafat, qui aurait été contraint de limiter ses activités.Depuis décembre 2001, Yasser Arafat est confiné dans son quartier général de Ramallah par l'armée israélienne.L'an dernier, le président de l'Autorité palestinienne âgé de 75 ans avait souffert d'un calcul biliaire qui n'avait pas nécessité une intervention chirurgicale.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Axelle (Axelle) le samedi 23 octobre 2004 - 17h40:

CONCERNANT LA PUBLICITE DE L'UEJF.

Je viens de voir l'image de cette publicité sur Adra et je la trouve très forte ! Du côté des catholiques, je pense que ça va remuer très très fort ! Mais, j'espère que cela ne va pas se retourner contre eux. Car, vous pensez bien qu'ils ne vont pas apprécier ...
Mais, je partage totalement leur initiative de vouloir faire prendre conscience ( si cela est encore possible ) à toutes ces personnes antisémites, que CELA SUFFIT !
L'image va choquer, mais, ce qui est particulièrement choquant, par contre, c'est de laisser propager dans notre pays et dans le monde, cet antisémitisme.
Je pensais, mais ne suis-je pas utopique, que les horreurs de la dernière guerre auraient fait réfléchir et prendre conscience que vouloir anéantir un peuple parcequ'il n'est pas comme on voudrait qu'il soit ou par ce qu'il dérange les consciences n'est pas une fin en soi !
Je ne le redirais jamais assez :
Ce n'est pas dans l'ignorance des autres que l'on obtient la supériorité.
Je comprends leur démarche, leur point de vue et je suis totalement avec eux. Mais, j'espère que cela ne va déclencher une violence verbale ou autre encore.
J'aurais peut-être attiré l'attention des gens d'une autre manière un peu moins provoquante, je pense, mais tout aussi éfficace.
Par exemple, en montrant l'image de Marie et de Jésus et en disant : En insultant les juifs vous les insultez aussi car n'oubliez pas que Jésus était juif, donc vous l'êtes aussi !
Bon, ce n'est que mon opinion bien entendu.
Je suis quand même inquiète de la réaction que va provoquer cette campagne. Espérons qu'elle ne va pas être interprétée comme une provocation de la part des juifs.
Mais, encore une fois, ils ont raison et je suis de tout coeur avec eux.

Axelle.