Archive jusqu'au 11/octobre/2004-2

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2004: Commentaires d'Octobre 2004: Archive jusqu'au 11/octobre/2004-2
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le lundi 11 octobre 2004 - 18h59:

Shalom à Shalom

D'abord bienvenue sur Adra.

Non mon ami, Douda est pire qu'une manie en Judéo-Arabe, douda a toujours eu un sens négatif, douda c'est un vice. On dit que quelqu'un a la douda du Kmarr (les jeux) ou du Shcarr (l'alcool) mais pas la douda de bien s'habiller ou d'aimer les voyages ou autre chose de positif.
C'est aussi le nom de la larve qu'on trouve dans la farine ou dans les grains du blé, ou bien celui du ver qui se terre dans une bonne pomme, à vous enlever l'envie d'en gouter.
On dit aussi que l'oeil humain ne se rassasie jamais et que "Ma yia'bé al a'in, cane e-doud outrab" (que seuls les vers et la terre sont capables de remplir l'oeil) en sous enrtendant sous-terre.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Shalom (Shalom) le lundi 11 octobre 2004 - 18h25:

Deux petites nouvelles.

1) Le 13 Octobre prochain ARTE va diffuser un film documentaire, cette fois ci sur Israël.

Le titre : « Ils ont tué Rabin. » Heure de diffusion : 20 :40 h. Le journal, « Télé-7Jours » lui accorde : 7777 (c’est-à-dire : film à ne pas manquer, excellent).
Lorsque ARTE diffuse un film ou un programme Israélien, c’est que celui-ci est contre le gouvernement, ou réaliser par des gauchistes, ou des pacifistes Israéliens.

Voici l’avis de la rédaction : « Une analyse implacable et dérangeante pour beaucoup des forces politiques israéliennes de l’époque. ».

Comme toujours, ARTE veut soit disant faire équilibre, et programme, quelques réalisations Israéliennes mais dérangeantes.

2) Il y a quelques semaines, 2 ou3 , je crois, j’avais lu sur Internet, une nouvelle un peu bizarre, comme : « Le tourisme Israélien en Egypte, et en particulier au Sinaï, est un néo colonialisme financier exercé par Israël, mais que par contre, cela nous procure, des devises. »

Quelque temps après, l’attentat de Taba !

C’est à méditer n’est-ce pas ?

Shalom.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le lundi 11 octobre 2004 - 18h09:

Reponse a Nicole Martin Le Chef des interventions pour Le Premier Ministre


Date: Mon, 11 Oct 2004 17:18:58 +0200
To: PM COURRIER Pm <premier-ministre@cab.pm.gouv.fr>
From: xxxxxxxxxx
Subject: RE : La Porte du Soleil

Madame,

Je vous remercie de votre reponse a ma reaction a la programmation du film de fiction "La Porte du Soleil" sur la chaine de Television Arte le 7 et 8 octobre 2004.

Je reconnais les tres fermes positions de principe du Gouvernement et du President de la Republique contre l'antisemitisme.

Je n'ai aucun doute sur la mise en place d'un dispositif operationel tres complet par le Gouvernement.

Mais il m'est difficile d'accepter cette position du Gouvernement qui declare ne pas etre en droit d'intervenir dans la programmation des unites de fiction des chaines publiques. Il est trop facile d'utiliser la couverture de "film de fiction" pour falsifier l'histoire et avancer des contre-verites.

Les personnes, responsables de cette diffusion, n'ont pas pris en consideration les consequences et l’impact nefaste, sinon desastreux, sur bon nombre des telespectateurs. Ce documentaire ne fera qu’ alimenter leurs fantasmes anti-israeliens et meme anti-juifs.

Il est certain qu’un tel documentaire n’est en fait qu’un film de propagande, digne de ceux diffuses a une periode peu glorieuse de la France, avec tous ses arguments negationnistes et ses contre-verites (massacres fictifs, « barbarie des juifs soulignee avec la volonte evidente d’effectuer un parallele avec celle des nazis », falsification historique, tentative d’inverser les roles entre bourreaux et victimes, utilisation sans vergogne de la Shoa ( « Kibboutz entoure de barbeles et de miradors ,sorte de camps de concentration ou des femmes palestiniennes sont contraintes de travailler sous la menace de soldats israeliens », « Younes, le heros palestinien, porte un numero tatoue sur le bras « 15 mai 1948 » qu’il s’est grave lui-meme le jour de son expulsion » pour ne citer qu’une partie des ignominies et stratagemes utilises dans cette co-production franco-egyptienne).

Notre indignation est d'autant plus grande que nous savons fort bien que ce film a « ete largement subventionne par le Ministere de la Culture ainsi que le Ministere des Affaires Etrangeres qui en a assure de maniere tres officielle la promotion sur son site internet » .

Ce film fiction ne fera que rejouir certains milieux et ne pourra que les encourager dans leurs actions nefastes, non seulement a l’encontre d’Israel et des juifs, mais aussi de la France et du peuple francais.

Nous avons ete tres nombreux a protester aupres de la chaine franco-allemande Arte, a avertir les medias et de nombreux deputes de la gravite des problemes que poseraient cette diffusion mais nous n'avons recu que de rares reactions. Nous avons aussi proteste aupres du CSA mais nous n'avons recu aucune reponse.

Pour M. Clément, interrogé par Le Monde, cette polémique "n'a pas lieu d'être". "Je suis extrêmement sensible et vigilant face à l'antisémitisme, dit-il. Le conflit israélo-palestinien est un conflit central dans l'histoire de l'humanité et c'est un devoir pour une chaîne comme Arte d'informer en toute honnêteté sur les conflits de notre époque."
M. Clément ajoute que la chaîne"ne choisit pas de diffuser un film ou un documentaire en fonction du nombre de morts dans un conflit". Selon lui, Arte "joue un rôle clé" dans l'explication des informations internationales.

A vous de juger ces declarations qui, pour ma part, sont le reflet de la plus grande hypocrisie.

Je peux vous affirmer , que la diffusion de ce ce film ne contribuera pas a rassurer la communaute juive de France et bien entendu ne pourra qu' aider a compromettre encore plus les relations franco-israeliennes deja si fragiles.

Je voudrais terminer sur une note d'espoir : celle de votre intervention aupres de Monsieur Dominique Baudis, President du Conseil Superieur de l'Audiovisuel afin qu'il procede au visionnage attentif de ce "film fiction !" ; et apres formulation de ses observations, d'envisager, s'il le faut, les suites judiciaires qui s'imposeraient.

Je vous prie de croire, Madame, a l'assurance de mes sentiments les plus distingues.

Signature

====================================================================================================

Email envoye par Nicole Martin Le Chef des interventions pour Le Premier Ministre


At 14:57 11/10/2004, you wrote:


Monsieur,


Vous avez fait part au Premier Ministre de votre réaction à la programmation d'un téléfilm intitulé "La Porte du soleil" sur la chaîne de télévision Arte les 7 et 8 octobre.

Le Président de la République et le Premier Ministre ont, à de nombreuses reprises, souligné combien l'antisémitisme était contraire aux valeurs républicaines et affirmé leur volonté de combattre ce fléau sans faiblesse.

Au-delà de ces très fermes positions de principe, le Gouvernement a mis en place un dispositif opérationnel très complet.

Dès le printemps 2002, des forces de police importantes ont été déployées afin d'assurer la sécurité des établissements de la communauté juive. La création en décembre 2003 du comité interministériel de lutte contre le racisme et l'antisémitisme a amélioré la coordination de l'action des différents ministères.

La loi du 3 février 2003, adoptée avec le soutien du Gouvernement, a permis d'aggraver les incriminations pour les actes de nature raciste au antisémite. La législation concernant la diffusion d'images de nature antisémite a également été durcie afin de permettre au Conseil Supérieur de l'Audiovisuel d'intenter des actions contre la diffusion d'images par voie satellitaire.

Le ministre de l'éducation nationale a été particulière sensibilisé afin que tout acte de nature antisémite fasse l'objet d'un traitement circonstancié. Enfin, le ministre de la justice a désigné, dans chaque ressort de cour d'appel, un membre du parquet général responsable du suivi de tous les dossiers d'agressions de nature raciste ou antisémite.

Le Gouvernement a pris des initiatives également sur le plan international, notamment afin de freiner la diffusion d'idées racistes sur internet. La législation française en la matière est extrêmement restrictive mais les principes de liberté régissant internet font que dans un certain nombre de pays la diffusion d'idées racistes ou antisémites peut se faire librement. C'est pourquoi, la France a suscité une conférence internationale afin de responsabiliser les acteurs de l'internet.

S'agissant de la production que vous incriminez, le Gouvernement n'est pas en droit d'intervenir dans la programmation des unités de fiction des chaînes publiques.

Compte tenu de l'indignation que vous exprimez et de la gravité des faits que vous dénoncez, j'ai demandé à Monsieur Dominique BAUDIS, Président du Conseil Supérieur de l'Audiovisuel, de faire procéder au visionnage attentif de ce document et de formuler les observations voire de donner les suites judiciaires qui s'imposeraient.

Je vous prie de croire, Monsieur, à l'assurance de ma considération distinguée.


Pour le Premier Ministre
La Chef du Service des Interventions
Nicole MARTIN

-----Message d'origine-----
De : xxxxxxxxxx
Envoyé : mardi 5 octobre 2004 15:15
À : premier-ministre@premier-ministre.gouv.fr
Objet : La Porte du Soleil


Message adressé au Premier Ministre
Nom : xxxxxx
Prénom : xxxxxx
E-mail : xxxxxxxxxxx
Adresse postale : xxxxxxxxx
Titre du message : La Porte du Soleil
Objet du message : opinion
Message :
Ci-joint la Copie du email adresse a M. Jerome Clement President de Arte TV.

To: j-clement@arte-tv.com
From: xxxxxxxxxx
Subject: La porte du soleil

Je vous prie de bien vouloir prendre connaissance de cet article sur la porte du soleil programmee sur votre antenne le 7 et 8 joctobre 2004 .
En vous remerciant de votre attention
Signature


Pour lire le contenu de l'article, cliquer sur l'url suivant :


Vers la Republique Antisemite

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le lundi 11 octobre 2004 - 17h48:

Le Premier ministre israélien Ariel Sharon a critiqué les "réactions
enflammées" auxquelles se seraient livrés des responsables palestiniens en réaction aux attentats dans le Sinaï.

"Les attentats ont eu lieu en Egypte et ont frappé ce pays. Ils étaient dirigés contre des citoyens de l'Etat d'Israël. Les réactions enflammées au sein de la direction palestinienne ont permis de faire ressortir encore plus ce fait", a affirmé M. Sharon durant le conseil des ministres hebdomadaire.

Nabil Abou Roudeina, le conseiller du dirigeant palestinien Yasser Arafat, avait affirmé vendredi à propos des attentats que "la poursuite de l'occupation et des agressions israéliennes génèrent la violence dans le monde entier".

Sur le plan politique, le parlement israélien (Knesset) ouvre lundi sa session d'hiver avec à l'agenda le plan de retrait de Gaza de M. Sharon qui doit être voté au cours de cette session qui s'annonce comme la plus houleuse que la chambre ait jamais connue, selon la télévision publique israélienne.

Le plan de M. Sharon rencontre une forte opposition au sein du Likoud, sa propre formation, et de l'extrême droite, alors que la majorité des 200.000 colons juifs installés dans les territoires palestiniens se sont jurés d'y faire échec, accentuant le climat passionnel autour de cette question.

Aux Etats-Unis, le candidat démocrate John Kerry a averti samedi à Davie, en Floride (sud-est) que, s'il gagnait l'élection présidentielle le 2 novembre, il n'aurait de cesse de mettre au pas Yasser Arafat.

"M. Arafat a prouvé son manque de volonté et son incapacité à agir comme un partenaire légitime dans le processus de paix", a déclaré le candidat démocrate.

M. Kerry a aussi prévenu qu'il s'emploierait en tant que président, s'il est élu, "à ce que les pays arabes qui soutiennent encore des terroristes tels que le Hamas (le principal mouvement islamique palestinien) le Hezbollah (une milice chiite libanaise), les Brigades des martyrs d'Al-Aqsa (un groupe armé lié au Fatah de Yasser Arafat) ou autres, répondent de leurs actes". EMILE meme SI KERRY est elu la desorganisation des etats Arabes par une demographie galopante sans avenir economique à proposer à leur peuple sera le meme .Seul leur agressivité contre les pays ayant fait leur modernisation et l'immigration sauvage seront un moyen de repondre a la faim et au chomage des populations arabes KERRY aura donc le meme probleme à resoudre. Esperons que des cadres arabes se reveillent pour faire le bon diagnostic de la Paix et de l'intelligence pour aider leur peuple et que le miroir leur dise que leur vrai ennemi c'est eux meme et qu'ils ont tout à gagner de faire la paix
avec Israel qui contient 60% de leurs anciens cadres juifs d'Orient et qui ont toujours participer à leur prosperité Ils ne doivent pas se tromper d'ennemis.Le malheur est qu'ils prennent le peuple palestinien en otage de leur erreur stategique et de la luxure des dirigents

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mounia (Mounia) le lundi 11 octobre 2004 - 17h52:

Un professeur d‘université tunisien : la charia ne doit pas être appliquée aujourd‘hui

Dans un article intitulé «La charia ne doit pas être appliquée aujourd'hui», affiché sur le site «libéral» www.metransparent.com, le Dr Ikbal Al-Gharbi, maître de conférences en psychologie à l'université Al-Zaytouna en Tunisie, explique qu'aux premiers temps de l'islam, le Prophète Mahomet et les quatre vertueux califes plaçaient les intérêts de la nation musulmane devant l'adhésion à la lettre du Coran et l'imitation aveugle du mode de vie du Prophète [Sunna]. Elle estime que le monde musulman d'aujourd'hui devrait de même accorder la priorité aux intérêts supérieurs de la nation musulmane et suivre les raisons de la logique. Voici quelques extraits de l'article: [1]

L'application de la charia à notre époque nuit à la charia et à la nation islamique

«La charia [loi religieuse islamique] ne doit pas être appliquée dans le monde arabe d'aujourd'hui parce que son application menace l'équilibre culturel qui existe dans la région depuis des centaines d'années. A titre d'exemple, elle a provoqué une émigration des Arabes chrétiens vers l'Occident, ce qui constitue une marque de honte sur le front de la nation [musulmane].

Les statistiques montrent que le nombre d'Arabes chrétiens, qui est actuellement de 12 millions, décroît, et que leur présence dans la région arabe décline. En Syrie, il se trouve actuellement deux fois moins de chrétiens que dans les années 50, et à Jérusalem, ils ne sont plus que quelques milliers, alors qu'en 1948 leur nombre atteignait les 50 000 (…)

En outre, l'application de la charia à notre époque nuit à la charia elle-même, ainsi qu'à la nation islamique; elle est en passe de devenir dans le monde synonyme d'amputation de la main d'une personne pour le larcin d'un quart de dinar, de lapidation des amants, d'administration publique de 1000 coups de fouet à qui boit un verre de vin, de rupture du cou [des musulmans] ayant adopté une autre religion ou de ceux ne suivant aucune religion.

Qui plus est, le jour viendra où les Etats-Unis désigneront nos violations de la Convention des droits de l'Homme pour justifier l'occupation de [nos terres] et faire de nous les nouveaux Indiens. C'est évident dans la mesure où aujourd'hui, à l'ère de la mondialisation, tout problème interne qui n'est pas pris à la racine devient un problème international (…)»


La volonté d'appliquer la charia aujourd'hui est absurde et mal intentionnée
«La volonté d'appliquer la charia aujourd'hui est absurde et mal intentionnée. Elle révèle l'ignorance de ses partisans aussi bien quant à l'histoire islamique qu'aux objectifs de la charia. Le Prophète Mahomet n'appliquait pas la charia à la lettre car celle-ci ne lui a pas été révélée en une seule fois mais petit à petit, sur une période s'étalant sur plus de vingt ans, face aux problèmes nés de l'organisation d'une nouvelle nation et des défis posés par les Enfants d'Israël à Médine (…)

[De même], une grande partie du Coran a été abrogée [2] car avec l'évolution sociale, économique et sécuritaire de la nation islamique, certains anciens versets n'étaient plus adaptés et étaient [donc] abrogés (…)

L'islam nous enjoint à faire preuve de logique et de sagesse. Le rôle du Prophète n'était pas uniquement de divulguer la Révélation et d'interpréter le texte coranique, mais aussi d'habituer le peuple à l'usage de la logique (…) C'est pourquoi l'abrogation de versets coraniques n'a pas conduit à la mort du Prophète – parce que la situation sociale n'a pas cessé d'évoluer et de se complexifier.»

Les quatre vertueux califes ont suivi la voie du Prophète, abrogeant et amendant [la loi]

«Les quatre vertueux califes ont suivi la voie du Prophète, abrogeant et amendant les versets relatifs aux commandements portant sur les rapports de l'Homme à son prochain, conformément au principe de la charia qui est d'encourager les bonnes actions et d'éviter les mauvaises.

Ainsi, [le premier calife] Abou Bakr a abrogé le verset 'l'aumône est réservée aux pauvres et aux nécessiteux, à ceux qui en font la collecte, et à ceux dont le cœur s'est [dernièrement] réconcilié [à l'islam]' [le Coran 9: 60]: [Abou Bakr a supprimé l'octroi de l'aumône] aux nouveaux convertis, alors que le Prophète a continué d'accorder ce Zakat [don de charité] jusqu'à la fin de ses jours. Il est intéressant de constater qu'aucun des compagnons du Prophète n'a contesté sa décision,ni ne l'a accusé de dévier du véritable islam – alors qu'aujourd'hui on se hâte d'accuser autrui de trahison et d'apostasie.

En abrogeant ce verset, Abou Bakr se fondait sur la logique, non sur la tradition: 'L'islam s'est renforcé et nous n'avons plus besoin d'eux [les nouveaux convertis à l'islam].' Pourquoi cela? Parce que l'équilibre des pouvoirs entre musulmans et polythéistes n'était plus le même qu'à l'époque de la révélation du verset. Auparavant, la nation [islamique] était faible et devait recourir à la tentation matérielle pour attirer du monde. Mais une fois renforcée, aussi bien en nombre qu'en potentiel [militaire], elle n'a plus eu besoin de cela (…)

En suivant cette logique, qui laisse laporte ouverte aux innovations de la vie et qui place [le bien être] publique au-dessus du texte du Coran et de la Sunna, [le second calife] Omar Ben Al-Hattab a annulé en l'an Al-Ramada - année où la famine sévissait sur la Péninsule arabique - le châtiment coranique relatif au vol. [Il a agi ainsi] alors même que le verset ordonne de façon formelle l'amputation de la main: 'Au voleur, qu'il soit homme ou femme, vous lui couperez la main. Telest le salaire de son action.' [le Coran 5: 38]

La raison de [l'abrogation de ce châtiment] est une modification de la situation stratégique de la nation musulmane aux temps d'Omar, différente de celle existant à l'époque du Prophète. C'était devenu une nation conquérante, avec un projet militaire d'envergure – celui de renverser les empires perse et byzantin. Il n'est pas possible d'atteindre de tels objectifs avec une armée de manchots. Or en l'année Al-Ramada, la Mecque et Médine à elles seules comptaient 15 000 voleurs. A n'en pas douter, le nombre de voleurs dans le reste de la Péninsule arabique était bien supérieur.

[Le troisième calife] Uthman Ben Affan est allé encore plus loin que ses prédécesseurs en abrogeant des textes de la Sunna et du Coran – même parmi ceux relatifs au rituel entre l'Homme et Dieu. Il priait à Mina [3] alors que le Prophète et [les précédents califes] Abou Bakr et Omar avaient abandonné cette prière. Il a en outre introduit de nombreux changements relatifs au rapport entre l'Homme et son prochain, qui ont suscité des éruptions de violence contre lui et provoqué sa mort cruelle.

Il a par exemple introduit de nouveaux impôts [à la manière] perse, alors que le Coran et la Sunna ne reconnaissent que le Zakat et le Kharaj [impôt foncier], et il a préféré accorder à sa famille des postes étatiques et des fonds du trésor musulman (…)

D'autre part, le 4ème calife Ali Ben Abou Taleb a agi comme ses trois prédécesseurs, plaçant ce qu'il considérait comme l'intérêt supérieur de la nation au-dessus du Coran et de la Sunna (…) Il a établi le châtiment pour [la consommation de] vin (…) Celle-ci est interdite dans le Coran (…): 'Le vin, les jeux de hasard, les pierres dressées, les flèches de divination ne sont qu'une abomination, œuvre du Diable. Ecartez-vous en, afin que vous réussissiez.'. Le Coran n'a toutefois pas institué de châtiment pour quiconque enfreindrait ces interdictions (…) Le Prophète n'a puni personne pour avoir bu du vin, pas plus qu'Abou Bakr, ni même Omar, apparemment (…)

Mais l'imam Ali si, parce qu'il a été horrifié par l'augmentation de la consommation d'alcool ainsi que par la gravité des péchés entraînés par celle-ci après l'extension de l'occupation [musulmane], à une époque où le butin coulait à flots vers la Mecque et Médine et où la corruption et l'ivresse s'étendaient.

S'efforçant de se débarrasser de la corruption, il n'a pas hésité à dévier de ce qui était dit dans le Coran et la Sunna, créant un châtiment à l'intention des buveurs de vin (…)»


Le problème réside dans la lecture littérale du Coran et de la Sunna
«Le défaut [de compréhension de la charia] provient de la lecture littérale qui est faite du Coran et de la Sunna, remplaçant la lecture allégorique et rationnelle qui place les intérêts supérieurs de la nation avant les textes de son héritage, lecture qui était celle de nos plus grands et plus vertueux patriarches. Ces derniers ont fait de nous une nation développée faisant prévaloir la logique sur la tradition, plaçant les intérêts supérieurs des hommes de chair et de sang avant les rituels de leurs ancêtres.

Si nous ne nous hâtons pas de suivre leur voie avec la plus grande des déterminations, nous demeurerons une nation agraire qui n'a pas sa place à l'ère des révolutions industrielles s'enchaînant les unes à la suite des autres.»


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[1] http://www.metransparent.com/texts/ikbal_algharbi_application_of_sharia_today.htm, le 9 septembre 2004.

[2] L'abrogation est qualifiée en islam des noms techniques de Nasekh etmansoukh, méthode qui vise à résoudre les contradictions entre versets coraniques. D'après cette méthode, le Coran comporte des versets abrogés par d'autres versets, révélés plus tardivement. Or seuls ces derniers doivent obligatoirement être suivis par les musulmans.

[3] Une vallée près de la Mecque, étape ultime des pèlerins de la Mecque, où ils offraient un sacrifice.

MEMRI.ORG

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Shalom (Shalom) le lundi 11 octobre 2004 - 17h25:

Pour Douda,

Douda en judéo n'est il pas une manie ?
Il y a très longtemps, mon père avait une calèche, et un cheval qui s'appelait "Douda".

Bon, vous avez raison.Depuis au moins cinq ans que je n'achète plus de journaux nationaux Francais.Par contre je les lis, par Internet pour m'informer.Car je le répète, il faut savoir ce que disent les autres.

Salut.

Shalom

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le lundi 11 octobre 2004 - 17h15:

Subject: A. Adler : L'antiamericanisme francais est une version
politiquement correcte de l'antisemitisme


http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=27760&provenance=newsletter&bloc=02


ÉCLAIRAGE - "L'antiaméricanisme français est une version politiquement
correcte de l'antisémitisme"

Dans un entretien qu'il a accordé au correspondant du quotidien israélien
Yediot Aharonot, l'ancien éditorialiste de Courrier international Alexandre
Adler ne mâche pas ses mots.

Avec une chronique hebdomadaire dans Le Figaro, un bulletin radio par
semaine, des interviews à répétition accordées aux télévisions et deux
best-sellers en deux ans, il est devenu impossible de rater Alexandre
Adler, une véritable encyclopédie vivante, un Juif fier de l'être et, Dieu
nous garde, un intellectuel français proaméricain. Après des conflits avec
Le Monde, un quotidien de gauche [et propriétaire de Courrier
international], il a décidé de rejoindre Le Figaro, un quotidien de droite,
en qualité de commentateur stratégique. Parmi ses anciens camarades de
gauche devenus ses adversaires, peu osent se frotter à lui dans des débats
en direct.

Ce qui préoccupe le plus aujourd'hui Alexandre Adler, c'est le simplisme
dont font preuve les Français dès qu'il s'agit de parler des Américains.
"Au XIXe siècle, un intellectuel français du nom d'Alexis de Tocqueville
écrivait son célèbre 'De la démocratie en Amérique'. En pleine guerre
froide, la France de gauche, la France communiste, éprouvait encore une
réelle fascination pour les Etats-Unis, et Paris accueillait à bras ouverts
la peinture expressionniste de Rothko et de Pollock. Mais aujourd'hui, nous
sommes en pleine régression. Peut-être est-ce trop demander aux
intellectuels et aux artistes français que de soutenir la guerre de George
Bush en Irak, mais ils pourraient au moins reconnaître la complexité de la
situation et faire montre de plus de subtilité. J'ai écrit dans un de mes
éditoriaux que, même si la victoire de John Kerry était souhaitable, la
première raison pour laquelle j'éprouvais de la sympathie pour Bush, c'est
qu'il était un antiraciste convaincu et bénéficiait d'un énorme capital de
sympathie chez les Noirs et les Hispaniques. Dans certains milieux, cela
été pris comme si j'avais dit qu'Hitler aimait la musique et adorait
écouter Wagner."

"La France se trouve dans une situation de régression morale et
intellectuelle d'une rare gravité. Nous sommes un pays convaincu que si
nous travaillons 35 heures par semaine et mettons les gens à la retraite à
55 ans, nous pourrons continuer à préserver notre prospérité. Nous sommes
un pays qui détruit son système éducatif. Nous sommes un pays qui continue
à porter un regard fasciné sur l'islam extrémiste. Nous sommes un Etat dans
lequel les Juifs vivent très bien mais où les médias charrient les clichés
antijuifs les plus éculés et les plus violents. Si Engels disait que
l'antisémitisme était le socialisme des imbéciles, l'antiaméricanisme
français est une version politiquement correcte de l'antisémitisme. Après
la Seconde Guerre mondiale, il n'est plus possible en France de dire contre
les Juifs tout ce que les gens aimeraient pouvoir dire, mais contre les
Américains, on peut presque tout dire."

Et la politique française à l'égard d'Israël ? "Je partage largement
l'exaspération des Israéliens. Mais il faut rester attentif à la complexité
des rapports entre la France et l'Afrique du Nord. Le pragmatisme de la
politique française à l'égard du Maghreb est aux antipodes de son
unilatéralisme proarabe au Moyen-Orient. Alors, dès l'instant où l'un des
régimes du Maghreb succombera aux assauts de l'extrémisme musulman, il se
développera dans les banlieues françaises une situation tellement
insupportable et intenable qu'une réconciliation entre Paris et Jérusalem
deviendra alors inévitable."

N'est-il pas seul dans son combat ? Loin de là. "Même si je pense et
exprime pratiquement le contraire de presque tous mes confrères sur presque
tous les sujets, je reste extrêmement populaire. C'est également le cas
d'autres intellectuels, juifs pour la plupart, qui défendent des idées
politiquement incorrectes comme Bernard-Henri Lévy et Alain Finkielkraut.
Derrière une presse qui se montre presque unanimement hostile aux
Etats-Unis et à Israël, il existe des gens qui se posent des questions,
désirent des réponses et veulent nous écouter. Nous n'avons pas encore
gagné le combat, mais nous ne l'avons pas perdu non plus."

Sefy Hendler, Yediot Aharonot (extraits), Tel-Aviv

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le lundi 11 octobre 2004 - 15h50:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Mr. Shalom, bonjour...,

Le but (non avoué) de tout média qui se respecte, n’est pas d’informer mais de vendre de la paperasse, ou du ballout, en partant de là on sait à quoi s’en tenir, la première des libertés étant de ne pas se laisser gruger, et surtout de ne pas y mettre un sou, car c’est là que ça leur fait le plus mal !

Salut,

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le lundi 11 octobre 2004 - 16h11:

Isabelle,
Mon coeur s'est rempli de joie et satisfaction. Enfin une harissienne tune a compris pourquoi Bush doit gagner la bataille, ceux qui ne comprenne pas aujourd'hui le comprendrons plus tard pour le moment l'essentiel est de sauver les masses arabes de leurs despotes et de leurs dictateur.Bravo pour ton article dans Guysen.


“En France, G. W. Bush est la bête à abattre”
Par Isabelle Miller pour Guysen Israël News
8 octobre 2004 00:47

Alors que les Americains ignorent avec une quasi indifference les medias francais et ne font pas cas dans la presse quotidienne du sort languissant des journalistes otages retenus en Irak, les Francais eux sont atteints d’une nouvelle obsession maladive. Cette maladie a trois initiales: GWB: George W. Bush.


Je m’attendais à une marée de voiles (l’affaire des otages francais les a calmé semble t’il?) mais ça a été plutot la deferlante anti-Bush qui m’a saisie.

Voila l’impression désagréable et assez surprenante que j’ai eu lors de mon recent séjour à Paris. Apres presque deux ans d’absence, je suis repartie sur le constat amer que la France, mon pays natal a une dent féroce contre l’Amerique, mon pays d’adoption.

Oui George W. Bush, ce monstre sanguinaire, cette bête à abattre.. la comparaison avec Hitler n’est pas loin et Ben Laden à côté fait déja figure de Saint!!! On croit rêver..

Il suffit de faire un saut à la FNAC pour voir que tous les best sellers du moment parlent de Bush.
Contemplez les vitrines et vous y trouverez pêle-mêle des pavés de 300 pages plus ambitieux les uns que les autres sur le duel électoral Bush-Kerry qui tient le monde en haleine (sauf les Americains eux même qui s’attendent à une réélection massive de George). Kerry ce héros (né de mère Française ne l’oublions pas- cocorico!) qui va nous sauver du chaos créé par Bush avec ”sa” guerre odieuse contre le terrorisme arabe…

Alors que Bush caracole dans les sondages et que l’Amérique profonde forte d’une bonne centaine de millions d’electeurs (rien que ça) soutient à fond le programme Bush, de l’autre côté de l’Atlantique et encore avec un train de retard, on vit visiblement à l’heure dépassée et has been des Démocrates! L’autobiographie de Bill Clinton “Ma Vie” figure d’ailleurs elle aussi en bonne place dans les rayons des librairies!

La couverture du dernier numéro du Nouvel Obs est pour le moins éloquente “Pourquoi Bush doit être battu?” avec en sous-titre “Ou le chaos qui nous attend en cas de réélection”.

Occasionnellement, on entend des voix s’élever et je salue ici mon ami Guy MIllière pour oser afficher sans honte le titre plein d’espoir de son dernier livre: “Pourquoi Bush sera réélu”. Inutile de vous dire que son livre hélas, je ne l’ai pas trouvé à la FNAC…

Tout est fait donc pour conditionner l’esprit buvard du Francais moyen à la nouvelle guerre à laquelle il fait face: detrompez-vous la nouvelle guerre n’est pas celle de l’islamisme qui suffoque et gangrène lentement nos sociétés européennes mais bien la guerre que Bush a lancé (comme si il avait fait ça pour faire passer le temps ou pour jouer au petit soldat) contre l’islamisme et le terrorisme arabe international qui en découle….

Haine de Bush-Haine de Sharon: la connection est facilement faite. Et pour cause! Les deux se battent contre le terrorisme islamique sans mettre de gants!

Les chiens aboient, la caravane passe… dit le dicton.

Tétanisée par la bataille à mener contre les Axes du Mal et déja vaincue et resignée face à la prochaine religion d’état que sera l’Islam, la France encore une fois se trompe de camp. Elle ne tire décidément aucune lecon de Son Histoire..

On le voit d’ailleurs dans le sort des otages francais, qui à defaut d’avoir été libérés comme l’annoncait De Villepin et le gouvernement à grand renfort de pub, seraient devenus des petits “soldats de propagande” à la solde de leurs ravisseurs . Ah pour sauver sa peau, la collaboration il n’y a que ça qui marche..

De nos jours, il est de bon ton de faire dans l’alter-mondialisme. Les gauchistes de tous bords se croient être les détenteurs exclusifs du pacifisme et des “human rights”!!! Ils ont le monopole du coeur vous comprenez…

Seulement regardez y de plus prés: Qui a cassé les dictatures qui sevissaient en Afghanistan et en Irak? Qui a bouté Saddam hors du Koweit lors de la premiere guerre du Golfe? Bill Clinton ou ses amis peut être?

Plus j’y reflechis, plus je suis choquée par le peu de conscience morale des idéologies dites de gauche (et pourtant j’y ai cru dans ma jeunesse..). Ici les Démocrates critiquent violemment la guerre en Irak, la guerre de Bush selon eux. Visiblement ils semblent préférer savoir les Irakiens sous la botte de Saddam le sanguinaire, que libres avec des élections à venir… Saisissant d’hypocrisie, non?

Je ne le répèterais jamais assez: C'est bien grâce à Bush et aux Republicains que des élections libres et démocratiques ont lieu maintenant dans ces pays!


Commentaire:


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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Shalom (Shalom) le lundi 11 octobre 2004 - 10h11:

M.Tubiana

Votre avis sur la polémique du film diffusé par ARTE est sage. Je ne sais pas ou vous résidez, mais il me semble que ce n’est pas en France.

La question de la confiance des Israéliens envers les Palestiniens, n’est pas de notre ressort, elle ne concerne qu’eux, je veux dire les Israéliens.

Croyez moi depuis, 4 années, maintenant, tous les médias Français, se sont rangés du coté des Palestiniens, et "M. Sharon est le grand responsable de tous les maux Palestiniens".
Qu’il s’agisse de medias privés, comme les journaux, ou télévisions publiques, nous ne pouvons rien faire, à part boycotter ces derniers. Mais, se limité seulement aux medias Juifs, je pense que ce n’est pas la meilleure solution.

Je vais souvent à Londres, je lis les journaux, et regarde, la télé anglaise. Croyez moi, c’est KIF KIF. Alors que faire ?

Amicalement.

Shalom

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le lundi 11 octobre 2004 - 09h04:

galaFr01.jpg

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Henri (Henri) le lundi 11 octobre 2004 - 08h29:

Emile chalom,

Je suis d'accord sur ce que tu dis dans ton dernier message, mais pas lorsque tu dis

"Ce qui manque au Moyen Orient c'est la confiance entre les uns et les autres et sans elle on n'arrivera jamain à rien. Certains me diront: "Oui, mais le risque est grand". Je ne connais pas d'accord sans un risque"

Je te repondrais que les accords d'Oslo ont bien ete un risque a prendre, et malheureusement, ce risque nous a coute plus d'un millier de morts et cinq mille blesses.
Prendrais tu toi de nouveau le risque et la RESPONSABILITE,avec ces memes partenaires?

Le peuple d'Israel est assoife de paix, mais n'a pas confiance, car le passe est trop marque de cette haine destructrice qui nous entoure.

Le temps fera les choses, et la paix viendra.
Nous avons fait la paix avec l'Egypte ainsi qu'avec la Jordanie, nous ferons aussi la paix avec le reste de nos voisin.
Chouia sbar, un peu de patience et cela viendra avec l'aide de D....
Chalom et brakha.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le lundi 11 octobre 2004 - 09h12:

"Article diffusé avec l'accord express de la Metula News Agency, selon autorisation ref. JASJ11041004IT. Toute reproduction, entière ou partielle de cet article sans l'accord écrit de la Ména est absolument illicite"


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Plus Jamais 1 !

Plus jamais ! (1ère de 2 parties) (info # 010610/4)
Par Stéphane Juffa
Wednesday 06 October [15:28:00 BST]


© Metula News Agency


Le capitaine Alfred Dreyfus. Un sacrifice et un legs que nous n’oublions pas


Discerner, discerner et s’employer à faire la part des choses. Tous les actes de racisme et d’antisémitisme ne se ressemblent pas, ils diffèrent à la fois par leur violence et par la représentativité de leurs auteurs. Discerner encore, pour ne pas sombrer dans la banalisation du dol racial, dans l’accoutumance, qui accorderait la victoire aux racistes. Ne pas tomber dans l’amalgame, je veux dire, en aucun cas, ne répondre à la haine dirigée contre un groupe d’individus, en vertu de ses origines, de sa nationalité ou de sa foi – le racisme – par une contre haine dirigée contre un groupe d’individus pour les mêmes raisons.

Information : Témoigner, d’abord, avec rigueur puis essayer de comprendre pour aider les autres à pénétrer ce qui leur semble inaccessible. Et pour nous aider, nous les informateurs, se rappeler qu’il n’est aucun événement qui se produise sans raison.

Observer l’écrivain Alain Soral, demandant à cinq millions de juifs gazés de faire leur autocritique, c’est préoccupant. Sylvain Cypel, qui psychanalyse son complexe de Portnoy en imputant, imaginairement, au peuple dont il est issu la manie d’espionner ses amis. Préoccupant. Tout comme Edgar Nahum, dit Morin, attribuant, globalement, à ce même peuple des caractères ataviques démoniaques. Et l’Obs, qui montre les cadavres ensanglantés de Palestiniens, en affirmant, tout en sachant parfaitement qu’il transgresse la vérité, qu’ils ont été tués "par un obus tiré d’un char israélien". Cet "Israel bashing", comme l’appelle Rosenzweig, est hautement dommageable, en cela qu’il conditionne pour les siècles des siècles la haine du public, construite de toutes pièces sur un tissu de mensonges, absolus et dirigés, contre la nation d’Israël.

Mais les réactions internes de journalistes du Monde à la dernière folie de Plenel. Mais l’éditorial éclairé "Mystification" de Denis Jeambar, dans la dernière livraison de l’Express et la révolte de journalistes sans grades de RFI face aux égarements d’Alain Ménargues. Mais cette réaction d’intelligence, peut-être un peu encouragée par notre travail, de confrères français, qui ne sont ni antisémites ni anti-israéliens, et qui ne veulent plus cautionner d’aucune manière le vertige antijuif. La résolution de ces gens est remarquable ; leur insoumission à la marée brune déferlante constitue les exceptions qui entretiennent l’espoir.

Puis il y a ce qu’il faut commencer d’appeler le dysfonctionnement de la justice tricolore et du Ministère de la justice. On entre, avec le verdict de Nanterre – ne tenant aucun compte du libellé de la plainte – blanchissant Morin et Plenel d’un acte public d’antisémitisme caractérisé et mettant les plaignants à l’amende, de plein pied dans le domaine de l’inacceptable. Ca n’est plus ici l’affaire de particuliers, fussent-ils connus du public, c’est le début de l’effritement du mur de séparation républicain, censé protéger la société contre les excès qui la menacent. C’est aussi le cas, impliquant directement le garde des sceaux, décrit par les juristes Calvo et Calvo dans leur ouvrage "Le dossier Arafat" ; cas dans lequel la justice, multipliant les mesures arbitraires et discriminatoires, tarde à entendre les plaintes de Français juifs et décharge, a priori, Yasser Arafat des crimes de sang dont les victimes l’accusent. Qu’y faire, ces dysfonctionnements nous rappellent, à chacune de leurs manifestations, que pour la justice française, le capitaine juif Alfred Dreyfus est toujours, cent ans après les faits, coupable du crime de trahison au profit de l’Allemagne ? Bénéficiaire d’une grâce présidentielle, réhabilité mais judiciairement coupable.

Ensuite, il y a les actes d’antisémitisme officiels et semi-officiels. Ceux qui explicitent, comme la Ména l’a toujours soutenu, le rôle prépondérant de l’Etat français dans l’actuelle épidémie de peste antisémite. Là, il faut bien parler d’une chaîne de mesures, d’une dynamique homogène de la haine. Ainsi, l’agence de presse officielle AFP, qui édicte, dans une circulaire interne [1], que "le terme de colon peut ainsi être utilisé lors d’une attaque palestinienne contre une colonie." Qu’"il n’y en a pas d’autre qui soit satisfaisant, tant en français qu’en anglais". Quid "d’habitant d’implantation" et de "settler", demande la Ména ? La directive de l’AFP proscrit toutefois, avec un certain retard lourd de sens, l’emploi du terme "bébé colon", ajoutant, presque mot pour mot, l’explication fournie à l’époque par notre agence.

Un kamikaze palestinien ne tue pas "18 personnes dans un bus bondé". La formule aussi "est à proscrire", définit le commissariat politique dans ses directives. "Il faut lui préférer" - la formule passive, ça n’est pas le Palestinien qui tue, c’est l’attentat - "un attentat suicide a tué 18 personnes (…)".

Et qu’est-ce qui fait que les Français n’entendent parler que de la mort d’activistes palestiniens, autrement dit de civils palestiniens partisans d’une doctrine politique ? Que les chefs activistes appartiennent à la branche militaire [2] d’un mouvement radical palestinien, autant de violations de la langue française et des règles élémentaires de notre métier – lancer des Quassam à l’aveugle, sur une population civile procède-t-il d’une action militaire ? - au seul profit de la sauvegarde de l’image de personnes armées s’attaquant systématiquement à des civils juifs ? Bien, c’est que les dépêches de l’officine de propagande du Quai d’Orsay – après ces révélations, on ne peut décemment dénommer l’AFP une agence de presse et ses fonctionnaires aux ordres, des journalistes – proscrit également l’usage des termes "terrorisme, terroristes" et même "extrémistes" pour définir des actes de Palestiniens. Curiosité de la circulaire, ses auteurs mentionnent que "Yasser Arafat a lui-même utilisé le qualificatif de "terroriste" (même sur la note, c’est entre guillemets, on n’est jamais trop précautionneux, Ndlr.) pour les attaques menées contre des populations civiles à l’intérieur d’Israël".

Arafat peut dire terroriste, parlant de Palestiniens mais pas l’AFP.

Suite des aveux en forme de contradictions contenus sur ce document à usage, en principe, interne, l’AFP admet explicitement que : "(…) les organisations palestiniennes à l’origine de ces attentats (le Hamas et les brigades Al-Aqsa) [3] ont été ajoutées par l’Union européenne à sa liste des organisations terroristes et qu’elles figurent aussi sur la liste américaine". Si, pour l’Union Européenne, ces organisations sont bel et bien terroristes, pour l’agence officielle d’un Etat qui en fait partie, elles demeurent des "mouvements radicaux [4] palestiniens" et ses membres, des activistes, des activistes armés (c’est une nouveauté, ce sont des gardiens d’immeubles munis de Kalachnikov, en quelque sorte !) et des militants, quelle que soit l’action terroriste à laquelle elles se livrent. Pour couper court à toute interprétation confuse, l’agence d’information française a pré-établi par cette directive que le Hamas, les Tanzim, le Jihad ne peuvent en aucun cas, jamais donc, être qualifiés par elle d’organisations terroristes, dussent-ils faire s’écraser un 747 rempli de matières radioactives au cœur de Tel Aviv.

Les dépêches, issues de ces directives pour le moins scabreuses, sont tenues pour paroles d’évangile dans toutes les rédactions de France. Elles sont reportées sans susciter le moindre regard critique. Elles sont défendues par toute une caste de ramassent-crottes, comme si c’était au pays français lui-même, que des "Américano-sionistes" imaginaires voulaient s’en prendre.


Notes :
[1] Il s’agit d’une circulaire interne de l’AFP, dont le texte intégral sera publié et commenté dans un ouvrage écrit par des journalistes de la Ména. Sortie prévue : Printemps-été 2005.

[2] Militaire : Qui concerne l’armée, la guerre (Larousse).

[3] du Fatah de Yasser Arafat, ainsi que les Tanzim, le FPLP et bien entendu, le Jihad islamique, oublie de mentionner l’Agence France Presse, même lorsqu’elle ne parle qu’à elle-même.

[4] Mouvements radicaux palestiniens : Mouvements concernant la nature profonde des Palestiniens (Larousse).


A suivre…

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Plus jamais 2 !

Plus jamais ! (2ème partie et fin) (info # 010710/4)
Par Stéphane Juffa
Thursday 07 October [13:35:00 BST]


© Metula News Agency


Plenel : Ariel Sharon, négationniste ?


Et il y a l’affaire A-Dura. D’aucuns se sont interrogés devant notre obstination, longtemps solitaire, à dévoiler toute l’imposture d’Abou-Rahma, d’Enderlin et de France 2. Cet entêtement est-il bien nécessaire ? Ne va-t-il pas nous fâcher inutilement avec nos voisins de palier ?

Ce que les institutionnels juifs de l’Hexagone n’avaient pas saisi, c’était la double dangerosité contenue dans ce reportage : La première, consistant à laisser diaboliser les soldats d’Israël, en les présentant comme des assassins sadiques d’enfants. La seconde, à permettre à un média d’Etat de diffuser une fiction sur le dos des juifs, en la faisant passer pour de l’information.

Cette double propension compose l’ossature même de la fable traditionnelle de l’antisémitisme radical. Toujours grossièrement construite, toujours fondée sur une fausse accusation, toujours dénonçant une attitude monstrueuse (extrahumaine) de la part des juifs. Comme dans les procès de la justice tsariste – lorsqu’elle accusait des ouvriers juifs d’avoir préparé des pains azymes avec le sang d’enfants chrétiens – dans le procès Dreyfus – de vendre la France à l’Allemagne – dans la propagande nazie – d’affamer le peuple et de pousser la planète vers la guerre – Talal Abou-Rahma, l’unique témoin de l’assassinat de Mohamed A-Dura, accuse les soldats israéliens d’avoir choisi un enfant parmi une foule d’adultes et d’avoir tiré dans sa direction durant quarante-cinq minutes avec l’intention de le tuer.

Il faut au justicier d’un procès antisémite de s’abêtir pour considérer sérieusement le contenu des accusations ; deux minutes de consultation objective des "preuves" suffisant, dans chaque cas, à un esprit moyennement doué pour comprendre qu’il s’agit d’une imposture à caractère racial. L’antisémitisme, sentiment stupide et extrême par excellence, a un besoin impérieux de se nourrir de crimes juifs excessifs. Un besoin à ce point jupitérien, que, faute de trouver de ces crimes parmi les actes des juifs, il finit toujours par les mettre en scène. A ce titre, l’imposture A-Dura était un pont vers le subventionnement et la diffusion de "La porte du soleil" par le Ministère de la Culture ainsi que le ministère des Affaires Etrangères français. Sans disposer d’un exemple d’atrocité commise par les Israéliens, tiré de la pseudo réalité du conflit armé, le 22 août 2002, la commission de répartition des aides (Fonds sud cinéma) de l’Etat français aurait sans doute hésité à allouer 152'000 Euros au film de Yousry Nasrallah, Elias Khoury et Mohamed Soueid.

Sauf l’épisode du "meurtre de l’enfant sur les genoux de son père", je doute que la fondation helvétique MonteCinemaVerità, que France 2, la télévision publique tessinoise TSI, la chaîne nationale belge RTBF, les Danois de DR TV, la chaîne de propagande du Ministère français des Affaires Etrangères TV5 etc. auraient trouvé l’audace de contribuer à la mise en scène des crimes nazis, imputés désormais au mouvement national juif, dans "Bab el-Chams".

Ce soir et demain, sur Arte, l’incitation étatique de l’Etat français à la haine raciste des juifs va assurément franchir une nouvelle étape. Et accordez-moi de refuser de m’intéresser à la critique filmique de cette œuvre : Lorsqu’un cinéaste transforme les soldats du Palmach en Waffen SS, le Kibboutz – fleuron occidental de l’expérience socialiste librement consentie - en Auschwitz, le démocrate, soucieux des enseignements de l’histoire, a autre chose à faire que de commenter le jeu des acteurs !

D’autant que rien ne manque à l’abjection de la comparaison, financée par les ministères français précités, par le Centre National français de la Cinématographie, par l’Agence Intergouvernementale et par le CIRTEF [1]. Ni les uniformes allemands sur le dos des militaires juifs (souvent rescapés des camps d’extermination allemands, juste trois ans avant les événements contés), ni le tatouage sur l’avant-bras du héros palestinien, ni le travail forcé dans les "Arbeitslager" sionistes, ni même les monticules de vêtements que les nazis arrachaient aux déportés juifs juste avant de les gazer et que Nasrallah transporte à l’entrée du Kibboutz.

S’abêtir à déconstruire ces impostures historiques, simplement parce qu’elles ont vu le jour dans le cerveau d’un antisémite égyptien, financé dans l’expression de sa haine par de hauts fonctionnaires de l’Etat français ? Non.
Juste dire aux lecteurs qui pourraient être désorientés par les moyens engagés dans ce film et par le fait qu’il est diffusé par une chaîne semi-publique appartenant à la France et à l’Allemagne – à l’Allemagne ! -, que cette fresque historique est absolument sans fondements factuels et que jamais la Haganah n’a massacré de villageois arabes. D’ailleurs, quelle meilleure dénégation apporter à cette fiction controuvée, que de relever qu’en Galilée, la région d’où je suis et où je vis, il existe encore aujourd’hui une majorité démographique en faveur des Israéliens arabes sur leurs compatriotes d’origine israélite. Etrange résultat du transfert-génocide présenté dans La Porte du soleil…

A-Dura était une fiction d’atrocité juive que le service public français de télévision s’applique à faire passer pour de l’information ; Bab el-Chams est une prétention d’information que le site du ministère des affaires étrangères [ici], s’efforce de présenter comme une fiction. Mais à résultat semblable : Dans une période troublée par une guerre sans fin au Moyen Orient, importée en France au niveau des communautés respectives, les pouvoirs publics soufflent sur la flamme de l’antisémitisme à s’en faire éclater les poumons.

Ce soir et demain, des millions de téléspectateurs musulmans consommeront les images de cette nouvelle imposture. Et croyez-moi, parce que j’ai regardé les critiques de ce film parues sur les médias musulmans et pro arabes, une infime minorité d’entre eux disposera des moyens de différencier entre le scénario du film et l’Histoire. S’en suivra une exacerbation supplémentaire de la haine intercommunautaire, financée cette fois par le contribuable tricolore.

Et ne comptons pas sur le réalisateur pour signaler le danger de l’effacement de cette frontière. Dans une interview que Nasrallah a concédée à l’Humanité [lire], il fait exactement la démarche contraire, il suit en fait les mises en scène de son film. "Il peut venir si les Israéliens comprennent que ce qu’ils ont fait en 1948 est un crime contre l’humanité et qu’ils sont prêts à le reconnaître. C’est le prix à payer pour une solution. Les Palestiniens ont le droit de voir leurs souffrances reconnues", assène le cinéaste et encore "Cette histoire terrible n’est pas seulement palestinienne. (…). On voit aussi comment l’histoire moderne est aveugle, comment le XXe siècle fut celui des grandes guerres et des massacres".[2]

De fait, Arte propose un genre nouveau de déviance intellectuelle, que j’appellerai "l’hypernégationnisme". Il ne s’agit plus de nier l’existence des camps d’extermination nazis, les hypernégationnistes affirment maintenant que les juifs étaient des nazis et qu’ils ont employé les méthodes d’extermination allemandes contre les populations palestiniennes.


Pantalons bouffants à la prussienne, casquette de l’armée allemande… le soldat de la Haganah


Le Quai d’Orsay nage d’ailleurs dans ce délire antijuif. Lui qui finance RFI à 100%, n’a pas encore trouvé le temps de botter en touche Alain Ménargues, le directeur de l’info, qui a qualifié Israël "d’Etat raciste". A Métula, on comprend chaque jour un peu mieux l’importance du témoignage de notre confrère Jérôme Coursade au sujet de l’incompatibilité qu’il y a, entre haïr Israël de façon maladive et en parler publiquement. Et autant qu’on le sache, Ménargues et Edwy Plenel, qui titre en une, sur un papier de Freddy Raphaël, qu’Ariel Sharon est négationniste, ne sont les otages de personne.

Certes, mais l’évènement cinématographique de ce soir change la donne de l’équation : La France et les juifs. D’abord, parce que le gouvernement français vient d’enlever toute crédibilité à sa prétention de lutter contre l’antisémitisme. Sa participation au film de ce soir, au niveau du financement et de la diffusion, montre au contraire qu’il a fait le choix de participer à la guerre à Israël et donc aux juifs. Ensuite, parce qu’il met l’appel de Sharon à l’alya des israélites de France en pleine actualité : Un juif français peut-il voir son avenir dans un pays qui paie pour grimer son frère d’Israël en tortionnaire nazi et qui contribue à dresser ses concitoyens musulmans contre lui, par voie de diffusion de contrevérités audiovisuelles sommaires ? Et enfin, parce que les temps ont changé et que justement, depuis la création d’Israël, les juifs ne sont plus un troupeau d’êtres sans patrie et sans défenses que l’on mène à l’abattoir.

Mais si ce film est diffusé sur Arte, comme cela est programmé, toutes les personnes physiques qui auront collaboré à cette imposture antisémite, des fabricants du film à ses financiers, en passant par ses coproducteurs, ses soutiens, ses contributeurs et ses diffuseurs se seront eux-mêmes définis comme les ennemis pathologiques de la nation d’Israël. Il ne s’agit plus d’adversaires, en cela que ces individus prennent sciemment la décision d’inciter à la haine ethnique par voie de diffusion d’une imposture historique. Ennemis, signifie pour moi, des personnes qui ont rompu le cadre du dialogue et dont il importe, par toutes les façons civiles [3], de combattre les initiatives. Prétendre à la liberté artistique pour montrer La porte des ténèbres, équivaut à faire la même démarche pour le film nazi : "Le juif Süss" de Veit Hartan, en 1940. Tout ce qui tient sur une pellicule n’est décidément pas du cinéma. Et s’opposer à la diffusion de la haine n’est pas de la censure, c’est au contraire de la résistance humaniste à la haine et à la violence.

Plus jamais !


Notes :
[1] Conseil International des Radios-Télévisions d'Expression Française [accéder au site de cette organisation]

[2] En fait de guerres, de massacres et d’histoire, dès le lendemain de la création de l’Etat d’Israël (14 mai 1948), dont la légitimité internationale fut l’objet d’un vote par l’assemblée générale de l’ONU (29 novembre 47), les armées régulières du Mufti de Jérusalem, installée en Syrie et encadrée par des officiers SS en fuite – et ça ce n’est pas une fable – du Liban, de Transjordanie, d’Irak et d’Egypte envahissaient le minuscule Etat nouveau-né, dans le dessein déclaré de noyer ses habitants dans la Méditerranée. Israël avait reconnu la résolution des Nations Unies et se satisfaisait du territoire qu’elle lui octroyait.

[2] Il ne s’agit certainement pas de tenter de leur remettre les idées en place à coup de battes de baseball. Que les choses soient claires comme le cristal.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le lundi 11 octobre 2004 - 06h01:

Bonjour,

Nous sommes des tunes de Toronto et nous apprecions beaucoup votre site.
C`est la saison des olives, qui nous viennent de Cafifornie, et nous sommes a la recherche des recettes de conservation.
Pourriez-vous svp , si cela vous est possible de nous en adresser quelques unes.

Pourriez-vous ègalement nous indiquer un substitut de l'anti-amer qui serait sain a la consommation.

Merci d'avance et encore bravo

Nicole et Aldo