Archive jusqu'au 07/décembre/2006

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2006: Commentaires de Decembre 2006: Archive jusqu'au 07/décembre/2006
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le jeudi 07 décembre 2006 - 08h20:

Deux astronautes arrivent sur Mars. Leur mission : vérifier si il y a de l'oxygène sur la planète...
- Passes moi la boîte d’allumettes, dit l'un
- ?
- Soit ça brûle et il y a de l'oxygène ; soit il ne se passe rien....ou tout explose.

Il prend la boîte, s'apprête à gratter l'allumette, quand tout à coup un martien apparaît en agitant les bras....Non, Non, Non...il ne faut pas !!!
Les deux hommes se regardent, inquiets.....Y a t-il sur Mars un gaz explosif inconnu ?
- On va pas se laisser impressionner....C'est le but de notre mission....dit-il en reprenant une allumette....
Et là, 10 martiens hystériques arrivent en agitant les bras....Non, Non, Non...il ne faut pas !!!
- Ça a l'air sérieux !....Que redoutent-ils ? Après tout, on est là pour la science, pour savoir si l'homme peut respirer sur Mars !
Sur ce, il gratte une allumette qui s'enflamme.......et il ne se passe rien.
Mais enfin, dit-il en s'adressant aux martiens, pourquoi vous vouliez nous empêcher d'allumer une allumette.
- Aujourd’hui, c'est Shabbat !!!!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le jeudi 07 décembre 2006 - 02h11:

Pour compléter la réponse de Henri relative à la cacherout du thon, on peut rappeler les trois conditions pour qu’un poisson soit cacher : il doit posséder à la fois des arêtes, des nageoires et des écailles.

Les poissons comme le requin, la raie et l’esturgeon (d’où on extrait le caviar) ne sont pas cacher car ils n’ont pas d’écailles.
Le doute sur le thon provient du fait qu’il possède peu d’écailles et qu’il en perd la plus grande partie lorsqu’il est pêché.

A ma connaissance tous les bureaux de certification de produits cacher reconnaissent le thon comme poisson cacher. Cependant ils exigent une surveillance dans les conserveries pour vérifier que d’autres types de poissons ne sont pas conditionnés sous le nom de thon : espadons, requins ou autres.

Personnellement j’ai souvent trouvé une ou plusieurs écailles sur les tranches de thon frais que j’achète.

On peut trouver des explications plus détaillées sur la cacherout du thon dans les sites suivants :
http://www.cheela.org/ et surtout
http://www.mk.ca/page6_10.php

Dans le site http://www.sididaoud.com/infothonrouge.htm on lit «Les écailles du thon sont toutes petites.»

http://www.chazallet.com/web_patchaz/appli/view_content.asp?cid=201
« Le thon est un poisson pélagique de grande taille, il appartient à la famille des scombridés espèces des thunidés, caractérisés par de vives couleurs, un corps fuselé recouvert de petites écailles.»

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Cacouboulou (Cacouboulou) le jeudi 07 décembre 2006 - 00h23:

Gueule de bois chez les inconditionnels de la doctrine buschiste.

Une fois de plus l'idéologie doit faire place à la réalité du terrain, Robert Gates le remplaçant de Rumsfeld, déclare que l'Irak fut une Guerre pour rien, que le retrait des troupes US, pourrait conduire à une conflagration généralisée à tout le Proche Orient, que pour tenter de l'éviter, il faudrait commencer à discuter avec la Syrie et l'Iran,,, et qu'en s'attaquant à Sadam ( l'écran de fumée du Big Boss ) on a laissé filer le Oussama, avec comme corollaire les dizaines de milliers de morts, les centaines de milliards partis en fumée ( sauf pour certains ), la chute du billet vert,,,

,,,et le désastre pour toute la région, qui a fait de l'Iran et du chiisme, les seuls vainqueurs de l'affaire.

On attend la suite,

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Toufiq (Toufiq) le jeudi 07 décembre 2006 - 00h24:

chalom henri,biber et tous,athonssion chers amis, pour la continuation sur le meme thon rendez- vous en bas au pitibi.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par A_Soued (A_Soued) le jeudi 07 décembre 2006 - 00h16:

Comment mettre fin au terrorisme


par Daniel Pipes - New York Sun
5 décembre 2006

Version originale anglaise: How to End Terrorism

Adaptation française: Alain Jean-Mairet



Pour être efficace, une stratégie de contre-terrorisme doit se concentrer sur le fait que le terrorisme perpétré par des Musulmans au nom de l'Islam constitue la menace stratégique pesant sur les populations civilisées, musulmanes ou non musulmanes, de notre époque.

Au niveau le plus élémentaire, cette menace fait intervenir des individus isolés atteints par le syndrome du djihad subit et qui lancent des actions meurtrières totalement imprévisibles. Au plus haut niveau, elle revêt la forme d'une organisation criminelle telle que le Hamas, qui dirige le quasi-gouvernement de l'Autorité palestinienne, ou même les efforts d'Al-Qaïda visant à acquérir des armes de destruction massive. Ainsi, si le terrorisme des Musulmans était stoppé, ce serait un progrès majeur vers la victoire dans ce que certains appellent la Quatrième Guerre mondiale.

Est-ce possible?

Oui, et en partie aussi grâce à un contre-terrorisme conventionnel efficace. Les individus doivent être traqués, les organisations fermées, les réseaux détruits, les frontières surveillées, les transferts de fonds empêchés, les ADM interdites. Mais ces mesures ne combattent que les symptômes du problème, pas le problème lui-même. «Le problème lui-même» consiste en la motivation qui alimente les flambées de violence commises par des Musulmans au nom de l'Islam. Cette violence ne peut être contrée qu'en isolant la raison pour laquelle le terrorisme est devenu un aspect si marquant de la vie musulmane.

Cette agressivité ne résulte pas d'impulsions perverses dictant la destruction par elle-même; et elle n'est pas issue de la religion de l'Islam, laquelle n'inspirait nullement une telle rage meurtrière il y a encore une génération. Non, elle provient d'idées politiques.

Les idées ne jouent aucun rôle dans la criminalité ordinaire, qui ne poursuit que des objectifs purement égoïstes. Mais les idées, généralement de celles qui tendent à changer le monde de manière radicale, sont au cœur même du terrorisme et notamment de sa variante suicidaire. Contrairement à la plupart d'entre nous, qui acceptons généralement l'existence telle qu'elle est, les utopistes tiennent à édifier un ordre nouveau et supérieur. Pour y parvenir, ils s'approprient tous les pouvoirs, affichent un mépris glacial pour la vie humaine et nourrissent l'ambition de réaliser leur vision à l'échelle mondiale. Il existe plusieurs schémas utopiques de ce type, avec à leur tête le fascisme et le communisme qui ont tous deux fait des dizaines de millions de victimes.

Ces deux totalitarismes ont été vaincus en 1945 et en 1991, respectivement, l'un par la guerre (au cours de la Deuxième Guerre mondiale) et l'autre plus subtilement (par la guerre froide). Leur quasi-disparition incita certains optimistes à imaginer que l'ère de l'utopie et du totalitarisme était arrivée à son terme et qu'un ordre libéral l'avait définitivement remplacée.

Hélas, c'était sans compter avec un troisième totalitarisme en progression depuis les années 1920, celui de l'islamisme, que l'on peut résumer par la conviction selon laquelle «l'Islam est la solution» à tout, de l'éducation des enfants à la manière de faire la guerre. À la suite de la convergence de plusieurs facteurs – une rivalité historique avec les Juifs et les Chrétiens, une natalité effrénée, la capture de l'État iranien en 1979, le soutien des États pétroliers –, les islamistes en sont arrivés à dominer le discours idéologique des Musulmans intéressés par leur identité ou leur foi islamique.

C'est ainsi que la loi islamique, en repli depuis deux siècles, fait son grand retour et avec elle le djihad, la guerre sacrée. Le califat, en fait éteint depuis plus d'un millénaire, est redevenu un rêve ardent. Les idées prônées par des penseurs et des organisateurs tels que Muhammad ibn Abd al-Wahhab, Shah Waliullah, Sayyid Abu'l-A'la al-Mawdudi, Hasan al-Banna, Sayyid Qutb et Rouhollah Khomeini se sont imposées contre les approches traditionnelles, modernistes et centristes de l'Islam. Les adeptes de ces utopistes recourent à la violence, y compris au terrorisme, pour promouvoir leur vision malveillante.

Ainsi, la forme la plus efficace de contre-terrorisme consiste à combattre non pas les terroristes, mais les idées qui les motivent. Cette stratégie implique deux étapes principales. D'abord, il faut vaincre le mouvement islamiste comme l'ont été les mouvements fasciste et communiste – à tous les niveaux et de toutes les manières, en usant de toutes les institutions, publiques et privées. Cette tâche incombe essentiellement aux non-Musulmans, car les communautés musulmanes n'ont généralement pas la capacité ou la volonté de purger leurs éléments islamistes.

En revanche, seuls des Musulmans sont en mesure d'accomplir la deuxième étape, la formulation et la propagation d'un Islam moderne, modéré, démocratique, libéral, convivial, humain et respectueux de la femme. Ici, les non-Musulmans peuvent apporter leur aide en se distançant des islamistes et en soutenant les Musulmans modérés.

Bien qu'il soit théoriquement réalisable, la faiblesse de ses avocats actuels fait paraître l'avènement d'un Islam modéré totalement hors de portée. Mais, malgré toute la fragilité de ses perspectives actuelles, le succès de l'Islam modéré est la seule forme efficace de contre-terrorisme. Le terrorisme, allumé par de mauvaises idées, ne peut être éteint que par de bonnes idées.





How to End Terrorism

By Daniel Pipes - FrontPageMagazine.com | December 6, 2006



An effective counterterrorism strategy must focus on the fact that terrorism by Muslims in the name of Islam presents the strategic threat today to civilized peoples, whether Muslim or non-Muslim.

On the low end, this threat involves lone individuals seized by the Sudden Jihad Syndrome who unpredictably set off on a murder spree. At the high end, it involves an outlaw organization like Hamas running the quasi-governmental Palestinian Authority, or even Al-Qaeda's efforts to acquire weapons of mass destruction. In all, were terrorism by Muslims halted, this would be a major advance toward winning what some call World War IV.

Can this be achieved?

Yes, and partially via effective conventional counterterrorism. Individuals must be hunted down, organizations closed, networks smashed, borders monitored, money denied, WMD restricted. These steps, however, address only the symptoms of the problem, not the problem itself. "The problem itself" consists of the motivating forces that lie behind the surge of violence by Muslims in the name of Islam. Only by isolating why terrorism has emerged as so prominent a feature of Muslim life can the violence be countered.

This aggression results not from some perverse impulse to inflict damage for its own sake; nor does it flow from the religion of Islam, which just a generation ago did not inspire such murderousness. Rather, it results from political ideas.

Ideas have no role in common criminality, which has purely selfish ends. But ideas, usually ones about radically changing the world, are central to terrorism. and especially to its suicidal variety. Unlike the rest of us, who generally accept life as it is, utopians insist on building a new and better order. To achieve this, they demand all powers for themselves, display a chilling contempt for human life, and harbor ambitions to spread their vision globally. Several utopian schemas exist, with fascism and communism historically the most consequential and each of them claiming tens of millions of casualties.

By 1945 and 1991, respectively, these two totalitarianisms had been vanquished through defeat in war, one violently (in World War II), the other subtly (in the cold war). Their near demise emboldened some optimists to imagine that the era of utopianism and totalitarianism had come to end and that a liberal order had permanently replaced them.

Alas, this view ignored a third totalitarianism, growing since the 1920s, that of Islamism, most briefly defined as the belief that whatever the question, from child-rearing to war-making, "Islam is the solution." As the result of several factors – an historic rivalry with Jews and Christians, a boisterous birth rate, the capture of the Iranian sate in 1979, support from oil-rich states – Islamists have come to dominate the ideological discourse of Muslims interested in their Islamic identity or faith.

Islamic law, in retreat over the previous two centuries, came roaring back, and with it jihad, or sacred war. The caliphate, defunct in real terms for over a millennium, became a vibrant dream. Ideas proffered by such thinkers and organizers as Muhammad ibn Abd al-Wahhab, Shah Waliullah, Sayyid Abu'l-A'la al-Mawdudi, Hasan al-Banna, Sayyid Qutb, and Rouhollah Khomeini aggressed successfully against traditional, modernist, and centrist approaches to Islam. To advance the poisoned vision of these utopians, their followers adopted violent means, including terrorism.

The most effective form of counterterrorism fights not the terrorists but the ideas that motivate them. This strategy involves two main steps. First, defeat the Islamist movement just as the fascist and communist movements were defeated – on every level and in every way, making use of every institution, public and private. This task falls mainly on non-Muslims, Muslim communities being generally incapable or unwilling to purge their own.

In contrast, only Muslims can undertake the second step, the formulation and spread of an Islam that is modern, moderate, democratic, liberal, good-neighborly, humane, and respectful of women. Here, non-Muslims can help by distancing themselves from Islamists and supporting moderate Muslims.

Although theoretically possible, the weakness of its advocates at present makes moderate Islam appear impossibly remote. But however dim its current prospects, the success of moderate Islam ultimately represents the only effective form of counterterrorism. Terrorism, begun by bad ideas, can only be ended by good ones.

[Dr. Pipes presented a longer version of this analysis last week in Brazil, at a conference hosted by the country's intelligence agency, the Agência Brasileira de Inteligência (ABIN)]

Mr. Pipes (www.DanielPipes.org) is director of the Middle East Forum and author of Miniatures (Transaction Publishers).

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mounia (Mounia) le mercredi 06 décembre 2006 - 23h54:

APPEL
« Pour les femmes violées du Darfour, rompons le silence »

Aziza a dix-sept ans. Elle ne sait pas encore si elle est enceinte mais elle sait qu’elle ne se mariera sans doute jamais. Il y a un mois, alors qu’elle ramassait du bois avec six femmes, elle a été pourchassée par des cavaliers Janjaweed. L’un d’eux l’a attrapée et l’a violée, après l’avoir mordue au bras et au cou pour la « marquer ».
Des histoires comme celle d’Aziza, il y en a des centaines, des milliers au Darfour où se déroule, en silence, le premier génocide du 21ème siècle. Femmes de tous âges et aussi fillettes, au Darfour et à présent au Tchad où se poursuit l’épuration ethnique des tribus noires africaines.
Dans les environs du camp de Kalma, le plus grand camp de réfugiés du monde, le nombre des agressions sexuelles est passé de 10 par mois à 10 par jour. Chiffres horribles, chiffres froids, chiffres qui réifient les victimes.
Ici encore les femmes sont devenues des objets et le viol, l’instrument du nettoyage ethnique. « Tu portes un enfant Janjaweed », lance le violeur à sa victime. En même temps qu’on viole les femmes, on massacre leurs enfants. « Si je te laisse partir, tu vas grandir » lance, avant de l’abattre, l’assassin Janjaweed à l’enfant qui implore sa pitié.

Parce que nous savons, nous ne voulons pas nous taire.
Parce que nous devons exiger l’envoi l’immédiat de casques bleus au Darfour, en nombre suffisant, pour protéger les populations civiles, accord du Soudan ou non.
Parce que chaque minute compte,
Parce que la force des bourreaux leur vient de l’indifférence de l’opinion.
Parce que les femmes violées ne doivent pas être les victimes invisibles du 1er génocide du 21ème siècle.
Parce que se taire c’est être complice de non-assistance à personne massacrée.
Nous devons manifester notre horreur, notre indignation. Désignons les bourreaux, exigeons la justice. Le 10 décembre, dans le monde entier, des femmes forgeront une chaîne de solidarité avec les femmes du Darfour.

A Paris, dimanche 10 décembre - 15h00
Place Simone De Beauvoir (devant le café de Flore – Paris 6ème)
Journée Internationale de solidarité avec les femmes violées du Darfour
De nombreuses personnalités feront la lecture publique des témoignages de ces victimes.



www.urgencedarfour.com
Maison des Associations 54, rue JB Pigalle 75009 Paris

APPEL
« Pour les femmes violées du Darfour, rompons le silence »

Premières signataires de l’appel :

Laurence AKKACHE, Ligue du Droit des Femmes- Mahlagha ALIZADEH, Association Ligue des femmes iraniennes pour la démocratie- Fadela AMARA, Présidente de Ni Putes ni Soumises - Fanny ARDANT, comédienne – Florence AUBENAS, journaliste- Elisabeth BADINTER, écrivain- Céline BALITRAN, présentatrice TV – Marie-Christine BARRAULT, comédienne – Claude BEAU, Présidente de l’Association Mission Possible – Prunelle BLOCH, trésorière de SOS Racisme- Surya BONALY, Vice Championne du Monde, Championne de France et Championne d'Europe de patinage artistique - Monique BOUAZIZ, Déléguée au Conseil de l’Europe – Denise BRIAL, présidente de l'association Atalante vidéos féministes- Christine BOUTIN, députée- Marie-George BUFFET, ancienne ministre, députée - Françoise CASTRO, Chef d’entreprise– Brigitte CASSIGNEUL, Annuaire Au Féminin- Olivia CATTAN, journaliste et Présidente de Paroles de Femmes - Diagne CHANEL, Présidente du Comité Soudan – Sophie CHAUVEAU,écrivain-Huguette CHOMSKI MAGNIS, Présidente du Mouvement Pour la Paix et Contre le Terrorisme – Catherine COQUIO, présidente d'AIRCRIGE - Annick COUPE, syndicaliste- Edith CRESSON, ancienne Premier Ministre - Josiane CRISTOFOLI, Chef d’entreprise – Michèle DAYRAS, Présidente de SOS Sexisme - Arielle DENIS, Présidente du Mouvement de la Paix- Monique DENTAL, Fondatrice du Collectif de Pratiques et de Réflexions Féministes « Ruptures »- Catherine DEUDON, photographe - Dominique DORE, déléguée générale CSI France – Bernice DUBOIS, Première fondatrice du Conseil Européen des Fédérations WIZO – Simone DUMOULIN, Présidente de Vigilance Soudan- Aurélie FILIPPETTI, conseillère du 5eme arrondissement de Paris- Geneviève FRAISSE, CNRS, ancienne députée européenne- Edwige ELKAIM, Ancienne Présidente du B’Nai B’rith- Sarah FORESTIER, comédienne- Esther FOUCHIER, Forum Femmes Méditerranée- Caroline FOUREST, essayiste et journaliste à Charlie Hebdo- Emilie FRECHE, écrivain - Hafid GAFAITI, universitaire et poète – Dafroza GAUTHIER, Femmes de la Communauté Rwandaise de France - Maguy GIRERD, Présidente de Talents de Femmes – Isabelle GIORDANO, journaliste- Francine GIROND, éditrice et journaliste - Françoise GLUCKSMANN, peintre - Elisabeth GUIGOU, ancienne ministre, députée- Corinne HALIMI, peintre- Monique HALPERN, Présidente de la CLEF(Coordianation pour le Lobby Européen des Femmes) - Claudine HELFT, poète et journaliste littéraire – Sabine HEROLD, Porte Parole d’Alternative Libérale- Irène JACOB, comédienne- Françoise KAYSER, Femmes contre l’Intégrisme - Nacéra KAÏNOU, peintre-sculpteur - Laura KOFFLER, cinéaste- Sophie KUNO, représentante d’Etudes Sans Frontières – LAAM, chanteuse- Samia LABIDI, Présidente de l'association AIME-Michèle LE DOEUF, philosophe- Renée LE MIGNOT,Vice-présidente du MRAP- Noëlle LENOIR, ancienne ministre- Corinne LEPAGE, ancienne ministre, avocate et présidente du Cap21 – Michèle LEVY-TAÏEB, journaliste- Marie-Noëlle LIENEMANN, ancienne ministre – Valérie LUCAS, Directrice de l'Espace Simone de Beauvoir- Daniela LUMBROSO, présentatrice TV – Malka MARCOVICH, Historienne, Présidente du MAPP- Nelly MARTIN, Coordinatrice de la Marche Mondiale des Femmes -Dulce MATTHIAS- chanteuse du Cap Vert- Brice MONNOU, présidente de FECODEV- Geneviève MNICH, comédienne - Yasmine MODESTINE , chanteuse et comédienne – Anne-Elisabeth MOUTET, journaliste – Isabelle MURAT, professeur en médecine- Françoise NEAU,Maître de Conférences -Safia OTOKORÉ, Secrétaire Nationale Adjointe aux Sports du Parti socialiste- Gina OUM-SCALOZOLARO, Rédactrice en chef de Afroplurielles- Seta PAPAZIAN, présidente de Vigilance arménienne contre le négationnisme- Michelle PERROT, Professeur des Universités- Isabelle QUENTIN LEVY, Secrétaire Générale adjointe de la LICRA - Evelyne ROCHEDEREUX, Trésorière de la Coordination Française pour le Lobby Européen des Femmes- Simone RODAN, secrétaire général de MedBridge Strategy Center- Anne ROTEMBERG, metteur en scène Nathalie ROUSSEL, comédienne – Michèle SABBAN, Vice-présidente du Conseil Régional d'Ile de France - Brigitte SABRAN, artiste-sculpteur -Sabine SALMON, présidente nationale de Femmes Solidaires – Nelly SAYAGH, Présidente de l’Institut pour la Défense de la Démocratie- Annie SEGURA-DAUDE, Présidente du Mouvement Jeunes Femmes - Luce SIRKIS, féministe du GAMS - Hedva SER, artiste-sculpteur - SHEILA, chanteuse – Ilana SOSKIN, secrétaire national du Centre Simon Wiesenthal France – Amanda STHERS, auteur – Florence TAUBMAN, pasteur - Milana TORLOEVA - écrivain tchétchène - Karine TUIL, écrivain – Françoise VERGES, historienne - Aline VERGNON-BONDARNAUD, présidente du Graif (Alliance Internationale des Femmes) Marseille - Odile VERNHET-PARRIMOND, gérante de PME - Michèle VIANES, présidente de Regards de Femmes France

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 06 décembre 2006 - 21h21:

Y' a aussi le THON THON flingeur...!
On en trouve pas mal ici...!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Cacouboulou (Cacouboulou) le mercredi 06 décembre 2006 - 20h42:

Salut Henri et merci de ta réponse, mais pourrais tu me donner les noms des espèces de thons dont tu as de visu constaté, qu'ils avaient des écailles ?

As tu demandé une fois au poissonnier de te présenter, une écaille de thon ?

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Victor (Victor) le mercredi 06 décembre 2006 - 19h08:

http://www.crif.org/?page=articles_display/detail&aid=8008&artyd=5&stinfo=413.$$id_send.$$id_user

Prodi pour le maintien du caractère juif de l’Etat d’Israël
06/12/06

- - Thème: Proche-Orient

Israël a besoin de garantie pour maintenir son caractère d’Etat juif, a déclaré ainsi le premier ministre italien Romano Prodi acceptant ainsi le rejet du droit au retour des réfugiés palestiniens et de leurs descendants, signale le Jerusalem Post.
Le chef du gouvernement italien a tenu ses propos dans une réunion privée où chaque participant pouvait parler sans que les déclarations soient rendues publiques, précise le quotidien.
Evoquant les moyens de résoudre le conflit israélo-palestinien, Romano Prodi a indiqué devoir fournir des assurances de sécurité aux Israéliens, mais que plus important encore, il avait un besoin de donner la garantie à Israël qu'il "serait capable de maintenir son caractère juif."

L'article en anglais

http://www.jpost.com/servlet/Satellite?cid=1164881826861&pagename=JPost%2FJPArticle%2FShowFull

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Henri (Henri) le mercredi 06 décembre 2006 - 15h59:

Chalom Toufik,

Tu es le plus serieux des harissiens, tu as toujours le mot pour rire,cela nous change un peu de la morosite des specialiste en bolitik.
N'est ce pas Thonfik?