Archive jusqu'au 06/décembre/2006

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2006: Commentaires de Decembre 2006: Archive jusqu'au 06/décembre/2006
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Toufiq (Toufiq) le mercredi 06 décembre 2006 - 15h39:

beaucoup de rumeurs circulent sur le thon,bref,un cas de qu'en dira-thon.
pas de quoi hausser le thon.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Henri (Henri) le mercredi 06 décembre 2006 - 11h45:

Le thon.

Il existe differentes sortes de thons, et la plupart sont cacher.
Mais il existe une sorte de thon qui ne possede pas d'ecailles et ce qui fait que ce thon specifique n'est pas cacher.
Yom tov.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 06 décembre 2006 - 08h13:

'...En effet Cacouboulou à cause du Télè-Thon...!'
Bien à vous...!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Cacouboulou (Cacouboulou) le mercredi 06 décembre 2006 - 00h48:

L'autopsie d'un thon pratiquée par divers poissonniers, tendrait à prouver que ce poisson ne serait pas cacher !

Qui serait suffisamment informé pour démontrer le contraire ?

Merci d'avance pour l'info,

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le mardi 05 décembre 2006 - 20h10:

c:/

David Charvet, fils de Paul Guez au Kotel

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Victor (Victor) le mardi 05 décembre 2006 - 19h29:

Lu dans

http://www.crif.org/?page=articles_display/detail&aid=8004&artyd=5&stinfo=412.502.25873

Les autres victimes d'une négation
05/12/06

Thème: Négationnisme

Le Monde publie une lettre d’un ancien membre du Front Populaire de Libération de la Palestine, Mahmoud Al-Safadi. Ce dernier s’adresse au président iranien Ahmadinejad, qui ne cesse de nier l’existence de la Shoah et affirme qu’il ne connaît pas ce sujet qu’il nomme « l'industrie de mort nazie ». Incarcéré en Israël pendant 18 ans pour sa participation active au sein de son groupe terroriste, il a pris le temps de s’intéresser et de se documenter sur ce qu’était la Shoah. Il s’est ainsi rendu compte qu’il s’agissait d’ « un crime monumental » et que « Toute tentative de le nier prive le négateur de sa propre humanité et le renvoie directement du côté des bourreaux ».
« Vous pensez peut-être que le fait de nier l'Holocauste vous place à la pointe du monde musulman, et que ce déni constitue un outil valable dans le combat contre l'impérialisme américain et l'hégémonie occidentale. Ce faisant, vous rendez en réalité un bien mauvais service aux luttes populaires de par le monde », écrit t-il estimant que le président iranien se couvre de ridicule ainsi que son peuple.
Enfin, il est persuadé que ce n’est pas par la négation de l’Holocauste que l’on puisse soutenir le peuple palestinien. « Nous n'obtiendrons pas notre victoire et notre indépendance en niant le génocide perpétré contre le peuple juif, même si les forces qui occupent aujourd'hui notre pays et nous en dépossèdent font partie de ce peuple », insiste t-il.

Lire l'article dans

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-841660,0.html

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le mardi 05 décembre 2006 - 18h43:

Les lettres percées d’un périple inutile (info # 010512/6) [Analyse]

Par Viviane Miles © Metula News Agency

A quelques mois des élections présidentielles françaises, les candidats tentent de se présenter sous leur jour le plus favorable afin de récolter le maximum de voix. Certains le font de façon réfléchie, d’autres, en revanche, s’essaient à des coups d’éclats qui sonnent plutôt comme des coups d’épée dans l’eau.

Ainsi en est-il de la candidate socialiste Ségolène Royal. Après avoir, dans un premier temps, snobé les invitations à rencontrer les dirigeants du Conseil Représentatif des Institutions juives de France et évité de se rendre en Israël, voici qu’elle décide soudainement d’effectuer son premier voyage de campagne au Proche-Orient. Il est vrai qu’elle n’a pas choisi l’itinéraire le plus simple et on peut décemment s’interroger sur ses motivations. L’Europe ne l’intéresse-t-elle donc pas assez pour y faire ses premiers pas de candidate en politique internationale ?

Quoi qu’il en soit, un voyage de cette importance, dans une zone géographique plus que délicate, méritait une préparation extrêmement minutieuse, notamment au niveau du carnet de rendez-vous. Ce ne pouvait pas être, n’en déplaise à Ségolène, une visite touristique ou mondaine.

Or, lors de sa visite au Liban, la candidate du parti socialiste, arborant son sourire figé et ô combien irritant, a fait preuve d’un manque de professionnalisme patent en ne réagissant pas aux propos tenus par Ali Ammar, député du Hezbollah, qui comparait Israël aux nazis, puis critiquait la folie politique des Etats-Unis. Deux sujets sensibles, sur lesquels Royal a piteusement trébuché.

En amont, le principe même d’accepter la rencontre avec un membre du Hezbollah en dit long sur la conception qu’a la présidentiable de son potentiel futur rôle de chef d’Etat. Aurait-elle oublié que le Hezbollah est classé sur la liste des organisations terroristes établie par l’Union Européenne ? Que c’est un mouvement putschiste, qui pousse aujourd’hui à la guerre civile contre le courant démocratique et indépendantiste au Liban ? Qu’il a provoqué une guerre contre Israël, il y a moins de six mois, dont les conséquences sont catastrophiques pour la région ? C’est aussi faire bien peu de cas des intérêts d’un Etat indépendant et ami qui vient de subir une atteinte gravissime à sa souveraineté avec l’assassinat de son ministre de l’industrie Pierre Gemayel. Le moment est on ne peut plus mal choisi pour faire le joli cœur face aux représentants hezbollanis.

Mais lorsque l’on accepte déjà le principe d’une rencontre avec les représentants d’une organisation aussi vénéneuse, il est fortement conseillé de prendre toutes les précautions indispensables pour ne pas se faire piéger. En premier lieu de s’assurer les services d’un traducteur compétent, car, c’est bien connu, en diplomatie chaque parole a son importance et les Fous d’Allah sont passés maîtres dans l’instrumentalisation des rencontres avec des interlocuteurs occidentaux non avisés.

En ce qui concerne l’assimilation de l’Etat d’Israël au régime nazi, il est fort surprenant que seuls, parmi un parterre de journalistes copieusement garni, Mme Royal et l’ambassadeur de France au Liban n’aient pas capté les termes scandaleux du parlementaire chiite. La politique est un art difficile ; elle demande une grande concentration et une vivacité d’esprit qui ont de toute évidence fait défaut à la candidate. Décidément, au concours des gaffes, Douste, qui – comble de l’ironie – a l’impudence de lui faire la leçon, a trouvé en Ségo une rivale redoutable.

Au surplus, lorsque l’on commet une « bourde » lourde de conséquences, cela rajoute à la faute que d’attendre 24 heures avant de réagir. Ainsi, de tergiversations en dérobades, Ségolène Royal a failli avouer qu’elle était malentendante, ce qui ne constitue pas forcément une qualité avantageuse pour un président de la République, avant de mettre en doute l’existence même des propos incriminés d’Ali Ammar : « Je n'ai pas entendu cette comparaison et si cette comparaison avait été faite, que ce soit moi ou que ce soit l'ambassadeur de France qui était à mes côtés et qui n'a pas non plus entendu ces propos, nous aurions quitté la salle. ». Puis d’ajouter, au conditionnel : « ces propos qui auraient été inadmissibles, abominables, odieux, auraient entraîné de notre part un départ de la salle. ». Ce fut ensuite au tour de son compagnon, François Hollande, de tenter de la sortir de ce mauvais pas, en arguant de la mauvaise qualité de la traduction.

Pour ce qui est de l’attaque de la politique américaine par le député terroriste, je ne sais si la candidate socialiste est atteinte de surdité ou d’impéritie. En tous cas, lorsqu’on répond que l’on partage avec le Hezbollah « beaucoup de choses, notamment l'analyse du rôle des Etats-Unis », on est assez clair pour gommer tout danger d’ambiguïté quant à l’interprétation de ses propos. Que la France ait des divergences de vues sporadiques avec les Etats-Unis ou Israël est concevable ; mais une personnalité politique occidentale en visite officielle ne peut se permettre de critiquer des Etats démocratiques alliés devant des terroristes ; et toute mise au point a posteriori n’est à cet effet qu’emplâtre sur une jambe de bois.

Ségolène Royal a peu de temps pour apprendre que la politique ne s’improvise pas lorsqu’on la pratique dans une zone géographique à haut risque et que ce genre de navigation à vue ne s’accorde que fort peu avec la carrière de président. Elle qui n’a déjà pas de programme clair en matière de politique intérieure, prouve, avec ce voyage, qu’elle n’a pas non plus de plan cohérent en matière de politique internationale. Il serait grand temps pour elle qu’elle commence à s’intéresser réellement à la question et à se documenter, car avec si peu d’atouts dans sa manche, elle réserverait à la France, en cas de victoire aux élections présidentielles, des lendemains encore plus difficiles que ceux qui nous réveillent en période chiraquienne.

Mais peut-être ses faux-pas et ses lacunes n’effraient-ils pas les électeurs français ? Je suis presque amenée à le croire, à la lecture de certaines réactions sur des forums, et à redoubler de craintes pour l’avenir de la République. Ainsi le message d’un internaute, Charly, qui écrivait, le 3 décembre, sur le forum du Monde : « Je ne vois pas pourquoi tout le monde est si remonté sur la soi-disant incapacité de Mme Royal en politique étrangère ? Nous allons l'élire présidente de la France et non présidente du monde... ».

Bien sûr, le peuple élira le représentant qui correspondra le mieux à ses attentes ; toutefois, une telle indigence intellectuelle et l’autarcie qu’elle revendique se passe de commentaire... Si Ségolène ne veut présider qu’en France, qu’est-elle donc allée chercher au Proche-Orient hormis un peu de pub à bon compte ? Une autre question que je me pose et sur laquelle je terminerai : que pouvait-elle possiblement amener de positif aux Libanais au bord de la guerre civile ? Aux Israéliens et aux Palestiniens en recherche désespérée de valeurs communes ? Ses lumières ou son expérience ?

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le mardi 05 décembre 2006 - 18h36:

Merci Braham pour les references et les insertions.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Pauline (Pauline) le mardi 05 décembre 2006 - 18h31:

Lapsus d'Ehoud Olmert sur Ségolène Royal


JERUSALEM (AP) - Le Premier ministre israélien Ehoud Olmert a fait un lapsus lundi lors d'une rencontre avec des lycéens, présentant Ségolène Royal comme "quelqu'un qui devrait être présidente de la France".

Alors que des jeunes lui demandaient s'ils pourraient prendre une photo avec lui, Ehoud Olmert, qui s'apprêtait à rencontrer la candidate socialiste à la présidentielle française, a répondu: "bien sûr", mais "vite, je dois me presser pour une rencontre avec quelqu'un qui devrait être président de la France". Ses propos ont été enregistrés.

Le bureau du Premier ministre israélien s'est ensuite empressé d'apporter une correction, assurant que M. Olmert voulait en fait dire "qui veut être présidente" et non "qui devrait être présidente". AP

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Viviane (Viviane) le lundi 04 décembre 2006 - 23h23:

Les illustrations d'accueil sont toutes très belles et originales.
Notre ami Jaco m'a fait la confidence que ces images étaient renouvellées tous les lundis. C'est vrai, mais je ne m'y habitue pas du tout.
Pour nous orientaux, Juifs et Arabes, le premier jour de la semaine est soit: "Yom Richone" , soit: "naar el had".
En cette veille de présidentielles qui se passeront "là ou vous savez" ne peut-on pas déjà anticiper sur l'alternance ? Partager le calendrier, six mois pour chacun, nous faire plaisir, en oubliant de temps en temps que pour nous, dimanche n'est pas spécialement "le jour du seigneur" et que lundi est le deuxième jour de la semaine. A bon entendeur, salut. Viviane.