Par Email (Email) le jeudi 23 septembre 2004 - 07h16:

Venez soutenir les parties civiles :
"Avocats sans frontières".....
Demain Jeudi 23 Novembre à 13 h30 au
Tribunal de Grande Instance de Créteil,
10e Chambre correctionnelle
Procès des auteurs de la tentative d'incendie de la synagogue du 94 ( Alforville ou Maisons Alfort)

Faites suivre et venez nombreux !

Merci

Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le jeudi 23 septembre 2004 - 04h10:

Beber, "Oualah" aujourd'hui j'ai fait un kif a te lire. Et Douda,tu as vu,il a fait sa mea culpa et tous lui ont mis des piqures la ou il ne faut pas surtout pas avant Kobour.

Y a atik Esaha Ya Douda,tu as reussi a enerver nos meilleurs amis. Brabi dit-leur que tu es un Zwuif et que tu aimes Israel. Dis leur que ton ami Peres vient te visiter de temps en temps, il faut tout leur dire, sinon ils te prennent pour un "Tounsi sans Din Ouela Mela"

Par Douda (Douda) le mercredi 22 septembre 2004 - 23h49:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Revue de presse BouleItik HebdRomadaire.

Par Albert (Albert) le mercredi 22 septembre 2004 - 21h45:

Puisque nous sommes en plein dans les psy et les maisons d’arrêt de la voye et de la b…se,
Laissez moi vous narrer une histoire que me rapporte mon psy. J’en ai un comme tous les AMERS LOQUES….

Je souffre et je n’ai pas honte de vous le confier, de disfonctionnement hormonale due à une insuffisance prostatique du côté de mes attributs, je vous explique, ma libido se réveille quand je sommeille. Un cas particulier bien rare que je traîne depuis belle luette.

Donc mon ami psy, le docteur COHEN, au sortir de sa cliente juive, s’entend souhaiter..
‘….Bonne année Docteur… !’ Par celle là…. Après une heure et demi de consultation.

Le médecin lui répond comme il se doit…

Rentre juste un peu avant, un autre client Monsieur Christian Jacques, bon catholique, 76 ans, qui vient faire son état des lieux. Sa consultation terminée au bout de deux …Le docteur se réentend dire….par son patient..

‘…Visiblement la dame de tout à l’heure est dérangée , vous souhaiter bonne année en plein mois de septembre est un comble, et vous ne manquez pas de lui rendre la pareille… !’

‘…Elle souffre de tempologie, monsieur… !’
‘…Ah… ! Je comprends… !’

Par Albert (Albert) le mercredi 22 septembre 2004 - 21h11:

LA MORT DU ROI...AU PTB....L INTRIGANTE V...

Par Albert (Albert) le mercredi 22 septembre 2004 - 20h45:

'...Faisons l'amour et pas la guerre...!'

Je suis bien aise que nos participants après quelques remous soient revenus à de meilleurs sentiments. Il le faut.

Bon pour le chabanais, je vais vous raconter une autre histoire...l'an prochain...

Par Claudia (Claudia) le mercredi 22 septembre 2004 - 18h04:

Poignée de main remarquée entre les ministres israélien et irakien à l'ONU

NATIONS UNIES (AP) - Il y a eu plusieurs centaines de poignées de main échangées entre les chefs d'Etat présents mardi au siège de l'ONU à New York lors de l'Assemblée générale annuelle de l'organisation mais une seule a été particulièrement remarquée, celle du ministre israélien des Affaires étrangères Silvan Shalom avec le Premier ministre par intérim irakien Ayad Allaoui.

Shalom et Allaoui se sont serrés la main et ont échangé des civilités lors de l'Assemblée générale alors que les deux pays étaient placés l'un à côté de l'autre, selon l'ordre alphabétique, a expliqué Silvan Shalom à l'Associated Press.

Le ministre israélien à dit au Premier ministre irakien qu'il espérait que la paix l'emporterait au Moyen-Orient.

A son arrivée au siège des Nations unies, Silvan Shalom avait été interrogé sur la question de l'Irak: "Nous aimerions ne plus être la seule démocratie du Moyen-Orient", avait-il dit. "Nous serions très contents si l'Irak nous rejoignait, et ensuite le reste des Etats. Cela apporterait une plus grande stabilité à la région et une plus grande stabilité dans le monde entier." AP

Par Douda (Douda) le mercredi 22 septembre 2004 - 14h02:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Rue Abdalah Guech.

Qui parmi nous n’a pas connu cette rue perpendiculaire à la rue Zarkoun, non loin du fameux Sphinx,établissement d’une classe supérieure.

A l’âge de douze ans déjà, gosses des rues que nous étions, il nous prenait de temps en temps la lubie d’y aller traîner, en claironnant sur l’air des lampions : “ On va au boxon “ !

En fait les jours de perm de l’armée française, le quartier était plein de soldats, en mal de bastringue, des soûlots, des bagarreurs, et des jeunes puceaux, du tous poils quoi. La Feria boxon de basse classe était plein à craquer, mais c’était pour les bidasse, bien mieux que le B.M.C. de Tataouine, ou Biribi...

Nous avions rebaptisé le quartier “La Cour des Miracles” tant les Belles de Jour avaient une
ressemblance avec un certain Quasimodo, on s’était même fait jeter du quartier à coups de nerf de boeuf, nous y avions répondu par une volée de cailloux, et égaillés comme une volée de moineaux.

Abdalah Gueche, fortune faite : Rue de la verrerie vivait avec sa mère, le jeune André A. (Famille Grana trés pauvre, volontairement nous avons caviardé son nom de famille), mais ceux qui l’ont connu savent de qui je parle, pour aller en ville la maman du jeune André, devait passer par la fameuse rue, où tronaient les belles de ce quartier lépreux.

Une vieille femme qui semblait être la matrone de toutes les matrones, demandait chaque fois à la
maman si elle pouvait caresser et embrasser le marmot, ce que Maman acceptait volontiers. Ainsi tout au long des années, une certaine affection s’était développée entre les trois personnes, et qui persista tout au long de l’adolescence du jeune homme.

En 1943, lorsque la Tunisie fut libérée du Joug des TeuTons, le jeune André avec trois copains,
s’engagèrent dans l’armée de la France Libre, participèrent au débarquement en Sicile, aux combats du Monte Cassino, et aux campagnes qui suivirent.

En 1945 survivant et démobilisé, il s’en retourna vivre à Tunis, où quelle ne fût pas sa surprise, de recevoir d’un notaire la convocation pour l’ouverture du testament, de la Dame en question.

Elle en avait fait son légataire universel unique, lui léguant toutes les chambres de la fameuse rue, avec tous les loyers, également une immense villa à Montfleuri, un yacht ancré à La Goulette, une grande quantité d’objets immobiliers en France et ailleurs, et des comptes en banque bien garnis, Fortune faite pour de simples caresses acceptées de bon coeur, dans ce quartier lépreux !

Mais ne nous arrêtons pas à ces lieux, car plus tard au sortir de l’adolescence, las des pratiques
onanistes, nous nous sommes mis cette fois à fréquenter des endroits bien plus classe, histoire de mettre en pratique des jeux autrement plus initiatiques, citons pour mémoire : Le Chabannais, la Grande Maison, et la Villa des Palmiers, tous trois situés à la rue El Mektar, mais Le Chabannais était celui qui ralliait le mieux nos goûts de luxe, on pouvait s’y déniaiser avec de Belles Françaises, vraiment très Pro, qui y faisaient Salon !

Finalement nous avions découvert le “ Coucou Bar “, situé dans le hall du cinéma Colysé, pas
exactement un boxon, mais un bar dit Américain, où les filles étaient officiellement payées au
bouchon de “Champagne”, mais elles avaient aussi quelques carrées, où elles amélioraient l’ordinaire, et où quand on “Chtratait” le Lycée Carnot, on allait s’y payer une sieste améliorée.

Sans parler de toutes les bonnes qui passèrent à la casserole.

Voilà pour ceux qui réclament des souvenirs salaces !

Wnessou El Douda

Par Nectar (Nectar) le mercredi 22 septembre 2004 - 13h28:

Cher BRAHAM,

Bravo pour vos paroles, geste provenant de votre grand cœur plein d'amour et d’humilité.
Je vous suis dans vos actes, car à travers votre message, ainsi que celui de nos frères harissiens, je me sens très animé par la chaleur de l'amour que nous devons tous avoir les uns pour les autres.

Loin de moi l’idée de nuire à quelqu'un de ce forum, si une personne s’est sentie offusquée, je ne peux que me soumettre et lui demander le pardon.

Je pense quand même, que la personne en question est assez intelligente pour comprendre qu’elle provoque incontestablement la majorité des harissiens par ses caricatures qui prêtent à confusion par l’incohérence qui les caractérisent.

Avouez quand même, qu’il y a de quoi de se poser des questions sur la personne et sur ce qu’elle essaye d’insinuer, quand dans un de ses dessins on aperçoit le premier ministre d’Israël, monsieur Sharon l’air goguenard, une rose à la main s’écrier :
« Laissez donc venir à moi les petits enfants ».

L’antisionisme, l’antipolitique Israélienne et l’anti-américanisme se reflètent malheureusement continuellement dans ses écrits ou dans ses dessins ; on n’est quasiment pas loin de l’antisémitisme caractérisé, qui est devenue une maladie qui se propage trop de nos jours.

Je pense que la période actuelle est trop dramatique pour essayer de caricaturer ou de rigoler sur un sujet aussi grave.
Pourquoi laissez faire un de nos frères, un juif tunisien déverser sur un site juif tunisien, au fil des semaines, de l’eau au moulin des ennemis des juifs ? Ceux qui font l’amalgame de « sionisme, judaïsme etc. etc. »

Si cette personne essaie de nous convertir à une politique anti-Israël, sa place n’est pas avec nous, elle se trompe de site, elle doit aller déverser ses toxines ailleurs.

Mais comme vous le dites mon cher Braham, c’est les « YAMIM NORAIM » chacun doit faire son « mea culpa » et surtout se remettre en question afin de corriger ses erreurs à l’avenir.
J’espère que ce sera le cas de notre cher frère harissien.

Gmar khatima tova à tous nos frères et a vous chers harissiens et a la Douda en particulier ; et sans rancune.

Par Leblanc (Leblanc) le mercredi 22 septembre 2004 - 12h10:

nectar

et en plus on ne tire pas sur une ambulance

hatima tova

Par Braham (Braham) le mercredi 22 septembre 2004 - 09h19:

Résumons

Résumons, au bout d’une journée, les réactions aux messages de Nectar et au mien.

Tous nos interlocuteurs n’ont aucunement dénié les critiques exacerbées de la personne-qu’on-ne-nomme-pas. Ils ont seulement réclamé un peu de compréhension et de clémence pour un rigolo. Et que même s’il s’égare, il fallait l’ignorer et faire preuve de bonté et de charité Juive.

Je ne peux que me plier aux demandes de ces sages, surtout en cette semaine de ‘Yamim-Noraiim’ ; semaine durant laquelle notre peuple offre à chaque Juif l’occasion de faire son auto-critique et de se promettre de faire mieux dans le futur.

Aussi je demande pardon à tous nos amis, à qui j’ai déjà humblement pardonné.

HATIMA TOVA

Par Douda (Douda) le mercredi 22 septembre 2004 - 08h13:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Revue de presse BouleItik HebdRomadaire.

Au fait, le toubib en question a parfaitement le droit de nous envoyer sa note d'honoraires, histoire de nous faire bien rigoler une fois de plus.

On la présentera à la Sécu, pour ne pas les priver eux aussi, d'une bonne rigolade !

Wnessou El Douda

Par Douda (Douda) le mercredi 22 septembre 2004 - 07h54:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Revue de presse BouleItik HebdRomadaire.

L’hypothèse qu’un Tune que nous sommes, puisse exhiber une croix gammée au revers de sa veste, ne
peut germer que dans un esprit pervers, aliéné et mal faisant, et contre ce mal, il n’existe
malheureusement que des soins palliatifs, du genre : camisole de force, électrochocs, douches
glacées,...et autres chimie fine !

Wnessou El Douda

Par Roger_Chemouni (Roger_Chemouni) le mercredi 22 septembre 2004 - 07h47:

FILMS

POUPEES D’ARGILE de Nouri Bouzid Tunisie France Maroc 2OO4


Ce nouveau film tunisien proposé dans les écrans parisiens est une nouvel hommage aux femmes au travers de la peinture de leur condition comme le furent précédemment des œuvres comme « Les silences du palais » « La saison des hommes » « Halfaouine » (1) dont le réalisateur fut le scénariste commun .et le superbe « Satin rouge » (2)
L’ histoire conte le combat de Rebeh (Hend Sabri) (3) pour échapper à son sort scellé par Omrane qui se charge de placer les jeunes filles de son village à Tunis. Cet homme vénal rémunère les familles et leur assure de garder intacte la virginité de ses protégées. Seulement Rebeh rebelle refuse son destin , et tente d’influencer Fedhah , huit ans en lui apprenant révolte et liberté
Témoin d’une société où la place de la femme est guère enviable, l’auteur (4) dénonce l’exploitation des enfants et des femmes dans une Tunisie précaire et archaïque où la vie misérable oblige à des choix que les deux héroïnes refusent et qui pousseront Omrane à prendre conscience de ses actions, à le sensibiliser voire à le changer. Ces poupées fragiles dont les prénoms prédestinées sont déjà une usurpation (5) ne veulent se laisser façonner ; d’ailleurs Fedhah s’amuse à modeler et à remodeler des jouets en argile comme pour mieux souligner le choix de sa destinée


(1) respectivement de Moufida Tlati pour les deux premiers et Ferid Boughedir
(2) de Raja Amri, film déjà traité dans nos colonnes
(3) excellente interprète vu dans les é films précités et dans « El Ktobia « sorti l’année dernière et analysé dans notre rubrique « Cinéma »
(4) dont c’est le quatrième film comme cinéaste, et qui fut emprisonné en Tunisie de 1973 à 1979 pour délit d’opinion
(5) Rebeh signifie le gain et Fedhah l’argent