Archive jusqu'au 20/septembre/2004

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2004: Commentaires de Septembre 2004: Archive jusqu'au 20/septembre/2004
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hajkloufette (Hajkloufette) le lundi 20 septembre 2004 - 18h29:

Le ministre des Affaires étrangères Sylvain Shalom s'est entretenu à New York avec son homologue tunisien Habib Ben Yahya, à la résidence de l'ambassadeur de Tunisie auprès des Nations unies.


Les deux hommes, dont c'était la troisième rencontre, ont discuté de l'amélioration des relations entre leurs deux pays, gelées depuis le début de la seconde Intifada en 2000

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hajkloufette (Hajkloufette) le lundi 20 septembre 2004 - 18h20:

Y aaurait il un desamour entre la France et la Syrie ???La résolution de l'ONU soutenue par Paris est ressentie comme une

déclaration de guerre.

Par Jean-Pierre PERRIN

Libération

Citation:
En juin 2000, Jacques Chirac est l'un des rares chefs d'Etat européens à
se rendre à Damas aux obsèques de Hafez el-Assad [en fait le seul chef
d'Etat occidental NDCID]. Il aurait dit alors à son fils et héritier Bachar :
«J'aitendu une main amicale à votre père, je vous la tends aujourd'hui.» En juillet 1998, la France avait déjà accueilli en grande pompe le
dictateur syrien. Et, le 26 juin 2001, le président français recevait à son tour Bachar à Paris. On le voit : la Syrie a toujours été choyée par Paris,
qui a largement ignoré les accusations de terrorisme portées par Washington à l'encontre du régime baasiste.

Pour ces raisons, le régime syrien ne s'attendait pas à ce qui est ressenti comme une déclaration de guerre :le fait que la France a rejoint les Etats-Unis pour initier, le 2 septembre, la résolution 1559 exhortant la Syrie à respecter la souveraineté du Liban et à ne pas s'ingérer dans l'élection présidentielle libanaise.


C'est la décision de Damas de faire amender la Constitution par le
Parlement libanais -­ pour prolonger de trois ans le mandat de son protégé, le président Emile Lahoud -­ qui a mis le feu aux poudres et provoqué la réaction de Paris. L'affaire n'est pas finie puisqu'une résolution plus contraignante, attendue le 3 octobre, devrait suivre à l'issue du délai probatoire d'un mois donné à la Syrie et au gouvernement libanais pour se conformer aux injonctions onusiennes. D'ores et déjà, le Parlement libanais a enfreint la résolution onusienne en prolongeant le mandat d'Emile Lahoud.


GIFLE


A Damas, l'initiative française a été ressentie comme «un tir de Scud»,
selon l'expression d'un homme d'affaires libanais.Il semble même que ses
dirigeants, pourtant avertis de la préparation de cette résolution,
n'aient pas imaginé que la France puisse aller jusqu'au bout. D'où la question posée à Beyrouth comme à Paris : qu'est-ce qui a poussé brutalement la diplomatie française à s'allier aux Etats-Unis ? Certes, s'il y a eu lune de miel entre Paris et Damas après la prise du pouvoir par Bachar el-Assad, et, naguère encore, coïncidence de vues entre les deux gouvernements pour refuser l'invasion américaine de l'Irak, les relations n'étaient plus au beau fixe ces derniers mois.


A preuve, la gifle reçue par Total, qui, après avoir prospecté un
important gisement gazier et reçu l'assurance de Damas que l'exploitation lui reviendrait, a vu in fine le contrat d'un montant de 700 millions de
dollarstomber dans l'escarcelle de la compagnie américaine Occidental
Petroleum.

Pareil au Liban où France Télécom a perdu sa place sur le marché du
téléphone portable, sa filiale libanaise ayant été victime des conflits
d'intérêts entre le général Lahoud et le Premier ministre, Rafic Hariri.
La nouvelle campagne d'adjudication promettait d'être favorable à Orange. Mais le contrat est revenu aux Allemands et aux Koweïtiens. C'est pourtant Paris qui avait organisé, il y a deux ans, un sauvetage financier exceptionnel du Liban, en mobilisant sur une garantie publique française quelque 500 millions de dollars contre l'avis de Bercy. Cela n'explique pas pour autant le brusque revirement de Paris.


«Les Français ont cru que les choses allaient changer en Syrie avec
Bachar.

Plus maintenant. Ils jugent qu'ils lui ont donné assez de temps. Ils ont
vu aussi que les Américains commençaient à les devancer au Liban», estime Simon Abiramia, un proche du général Michel Aoun (en exil à Paris). Un homme d'affaires libanais ajoute : «Les Français ont fini par découvrir qu'il ne peut y avoir de relations un tant soit peu équilibrées avec la Syrie. Il n'y a plus qu'un dernier carré d'irréductibles qui croient pouvoir négocier avec les Syriens.»

Mais il y a aussi une autre raison, moins avouable : le rôle du Premier ministre, Rafic Hariri. Ce grand ami de Chirac est un adversaire
déterminé de Lahoud, avec lequel il a des relations exécrables. «Ne
cherchez pas plus loin : c'est lui qui a poussé Chirac à s'engager contre les
Syriens», souligne un ancien ministre français des Affaires étrangères.
Un diplomate français, fin connaisseur de la région, renchérit : «Avant, tout ce qu'on faisait pour la Syrie, c'était pour Hariri. Maintenant, tout ce qu'on fait contre la Syrie, c'est encore pour Hariri.»


«Se couper la main».


Là où le bât blesse, c'est que Harari avait promis aux Français de tout
faire pour contrecarrer l'amendement constitutionnel voulu par Damas, ce
qui légitimait d'autant la position franco-américaine. Selon des sources
diplomatiques, il avait même promis de «se couper la main» plutôt que de
reculer. Or une convocation à Damas par le président syrien, suivie par
une seconde de Rostom Ghazalé, le chef des services de renseignements
syriens au Liban, l'ont ramené à la raison. Selon une source proche du Premier ministre, celui-ci «a subi une pression inimaginable des Syriens, qui lui ont mis un pistolet sur la tempe». Les députés de son Bloc ont donc voté l'amendement et aucun de ses ministres n'a démissionné' contrairement à ceux du leader druze Walid Joumblatt.


Depuis, Paris est furieux. D'autant que le désamour franco-syrien tombe
au pire moment: l'enlèvement des deux journalistes français. Or, Damas, fin connaisseur des réseaux au Proche-Orient, est sans doute la capitale la
mieux informée sur l'Irak. Et le ministre des Affaires étrangères Michel
Barnier ne s'y est pas rendu.


http://www.liberation.fr/page.php?Article=#9506

La politique etrangere de la FRANCE semble etre fonction des amis perso de celui ci ou celui la , pas tres clair tout ca !!! ce qui est sur c est que nous ne devons pas avoir beaucoup d amis au QDB

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Gouletteman (Gouletteman) le lundi 20 septembre 2004 - 12h31:

Bonjour!
Qui pourrait me donner une adresse où acheter le livre de Mustapha Chelbi : Ya Hasra La Goulette, je le cherche vainement.
Merci pour votre réponse.
GouletteMan

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le lundi 20 septembre 2004 - 11h01:

M.S. : Message d'aujourd'hui 5h08
Veuillez laisser un e-mail ou vous contacter (directement sur ce forum ou via notre Webmaster), je voudrais vous aider a trouver un emploi en Israel.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le lundi 20 septembre 2004 - 09h31:

Ci-joint un article de Monsieur Albert Bensoussan :

Le syndrome de Klein



Rien à voir avec les syndromes bien connus d’Aspergen, de Marfan ou de Schnitzler, bien que le racisme aussi soit une maladie grave, entre l’autisme et l’urticaire géant. Rien à voir non plus avec le syndrome de fatigue chronique, encore qu’on soit souvent bien las ou excédés par tant de blessures quotidiennes, les incivilités particulières et les rejets collectifs. L’objet de cette réflexion a pour base le film emblématique de Joseph Losey produit et interprété (magistralement) par Alain Delon : Monsieur Klein. Emblématique parce que cet admirable film, donné en 1976, est toujours d’actualité et se présente comme une parabole riche d’enseignement. Tout est parabolique dans ce film : l’ultime image renvoie à la première - la rencontre de deux hommes dont l’un (Juif pris à la gorge, interprété par Jean Bouise) vend à l’autre (antiquaire sans scrupules), à vil prix, le portrait d’un Hollandais. La peinture est parabolique puisque le protagoniste, cherchant à savoir s’il n’y a jamais eu de Klein juifs dans sa famille entend son père évoquer : « ah ! oui, peut-être, la branche hollandaise »… ». Parabolique enfin est l’étoile jaune que porte au Vel d’Hiv le Juif primordial : Monsieur Klein, qui ne l’affiche pas, s’en trouve affublé par contagion et, du même coup, expédié à Drancy et Auschwitz.
La question posée est toujours d’actualité : qu’est-ce qu’un Juif ? Monsieur Klein est-il juif ? Tout le monde sait qu’il y a Klein et Klein, et qu’ils furent nombreux dans les wagons de la mort recensés par Serge Klarsfeld, mais que d’autres sont d’« innocents » Alsaciens. J’emploie « innocent » dans le sens que lui a donné un jour le Premier ministre, au lendemain de l’attentat de la rue Copernic, voulant dire, par un fâcheux lapsus, qu’innocent est celui qui n’est pas juif. Et donc le film de Losey tourne autour du thème identitaire et de la culpabilité. Une culpabilité kafkaïenne, moins dans le sens du cauchemar vécu par le protagoniste du Château, de Kafka, Monsieur K . - qui peut apparaître comme la graphie abrégée de Monsieur Klein - , que dans la logique de la non-raison ou de la déraison, ce dernier étant accusé sans savoir pourquoi et condamné en parfaite hébétude, ou disons absurdité. Il est poussé dans le wagon presque malgré lui, hagard, égaré, tandis qu’on brandit, de l’autre côté des grilles, le certificat de baptême salvateur. Car rien ne peut le sauver. Mais aussi à qui la faute, sinon à lui-même ? Toute l’astuce du film consiste à montrer que Klein est le propre artisan de sa perte. Dès la première séquence, lorsqu’il trouve, glissé sous sa porte avec une étiquette à son nom, ce journal « Informations Juives » (qui circulait en 1942, moment historique du film), au lieu de le jeter au panier comme il l’aurait fait d’une réclame importune, il se rend au siège de la publication, se croyant victime d’une plaisanterie de mauvais goût, et demande à être rayé de la liste d’abonnés ; hélas ! lui répond-on, c’est la préfecture de police qui la détient ; et lui, au lieu de laisser tomber en faisant le dos rond, il s’entête et court voir le commissaire qui, une fois éconduit le plaignant, a vite fait de dépêcher deux inspecteurs à ses trousses, et d’enquêter pour de bon sur ses origines. L’engrenage est enclenché, lancée la machine, et rien ne pourra plus empêcher Monsieur Klein d’être suspecté, arrêté, spolié, déporté. Ni sa bonne foi, ni son légalisme, ni ses protestations. Et plus il veut savoir qui se cache derrière cet autre Robert Klein qui est le seul visé par la police de Vichy, plus il s’identifie à lui - il est clair que ce personnage initial ne paraîtra jamais, si ce n’est dans le flou d’une photo souvenir, ou dans cette voix au bout du fil où, pour une seule et unique fois, les deux Klein se trouvent, si l’on peut dire, face à face. La scène du chien (policier) à cet égard est des plus signifiantes.- ; ce chien appartient au « vrai » Robert Klein, mais errant dans la rue, voilà qu’il s’attache à l’autre Klein, le nôtre, et là encore, malgré les protestations, voire les coups de pied, de ce dernier, il ne le lâchera plus, jusqu’à ce que son « maître » (lequel ?) soit pris dans la rafle. La démonstration est claire et la leçon antiraciste du film tient en cet axiome : L’Autre est le Même.


Rien, ou presque rien, ne sépare l’Autre de Moi. Il est significatif que le générique s’inscrive sur une scène d’anthropométrie où l’on s’attache à prouver si Un tel ou Une Telle a des traits physiques judaïques (comme il est dit ou pas), et heureux celui dont l’examen aboutit à ce verdict : « cas douteux », car il échappera alors à la stigmatisation. D’ailleurs l’avocat de Monsieur Klein dit à son client et ami qu’il devrait, au lieu de quérir les lointaines fiches d’état civil de ses grands-parents, tout bonnement se faire examiner - comme un vétérinaire examine un cheval ! - et exciper d’un certificat de physique plus ou moins aryen pour échapper à toute poursuite. Mais Monsieur Klein ne le fera pas. Il ne fera rien qui contrarie son destin. Parce que l’autre leçon du film, c’est que si la société veut poursuivre cet Autre qui est le Même, si l’homme cherche à détruire sa propre image au miroir (ce qui pourrait être le sens de toute persécution raciste) - un miroir emblématique dont Losey joue savamment dans son film - , alors la vie ne vaut pas la peine d’être vécue. Tout simplement parce que la démarche raciste est suicidaire, comme suicidaire fut la stratégie du Reich nazi pourchassant ses savants, persécutant ses cerveaux, qui eurent tôt fait de trouver refuge aux États-Unis où ils aidèrent à fabriquer cette fameuse arme atomique qui allait précipiter la fin de la guerre et la défaite de l’Axe.

Il y a sinon une jubilation - et on peut lire, sans doute, dans les beaux yeux vert ashkénaze de Monsieur Klein la satisfaction progressive de voir aboutir son enquête identitaire - , du moins l’acceptation d’un destin fatal, inscrit, disons même « écrit ». C’est ce qu’on pourrait appeler le syndrome de Klein. Si l’on veut à tout prix que je sois cet Autre détestable et destructible, alors c’est du pareil au même, l’un vaut l’autre, et je monterai gaillardement dans le wagon de ce destin-là et ne ferai rien pour contrarier le flot de la foule m’emportant inexorablement. Sans doute aussi faut-il comprendre que la démarche rigoureusement logique de Monsieur Klein, initialement motivée par le seul souci de son salut personnel, est dictée par l’émergence progressive de sa conscience morale qui lui fait peu à peu comprendre que l’injustice dépasse sa petite personne et qu’en cette affaire, qui culmine dans l’ignominieuse « rafle du Vel d’Hiv », tout ce qui atteint l’homme dans son essence atteint tous les hommes : significative à cet égard est la superposition finale d’Alain Delon et de Jean Bouise, le Juif primordial et condamnable, et le « Juif » terminal et condamné.

À partir de là, l’application peut prendre de multiples aspects que chacun développera pour sa propre part : ce qu’on appelle actuellement le « communautarisme » est assurément, dans sa manifestation la plus bénigne, une forme de syndrome de Klein. Mais je ne suis pas loin de penser que l’illustration de ce syndrome, dans sa phase la plus extrême, nous est donnée actuellement par la séduction de l’alya vers Israël au sein de la communauté juive de France, consécutive à la progression mathématique des actes antisémites - et quelle logique dans l’attitude de ceux qui croient défendre les Palestiniens en agressant la communauté juive de France, et poussent ainsi à l’accroissement du peuplement juif de la terre d’Israël ? Non que les olim - ceux qui « montent » - cherchent à aller à la mort, c’est tout le contraire, n’est-ce pas ?, eux vont vers la vie, la vraie vie, celle qui, à leurs yeux, est ressentie comme authentique et sans fards. Le syndrome de Klein, au cœur du débat identitaire, c’est le retour à soi, aux siens, à cette communauté qu’on ressentait initialement comme lointaine (par exemple, les Klein hollandais du XVIIe siècle), voire inexistante (« nous, on est français et catholiques depuis Louis XIV », dit fièrement le père de Monsieur Klein). Il ne s’agit plus alors de monter dans le wagon, mais de se hisser sur l’Exodus, une fois de plus, une ultime fois…

Albert Bensoussan

PS: Albert Bensoussan est né à Alger en 1935, il y a passé plus d'un quart de siècle. Professeur agrégé d'espagnol au lycée Bugeaud d'Alger jusqu'en 1961, puis assistant en Sorbonne en 1963, avant d'échouer en Bretagne où il a enseigné à l'Université de Rennes 2 de 1978 à 1995.

Pour plus de details se referer a :

\link (http://sir.univ-lyon2.fr/limag/Volumes/BensoussanBiblioAyoun.htm,Bibliographie d'Albert Bensoussan}

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Francois (Francois) le lundi 20 septembre 2004 - 05h05:

Nous sommes venus en amis, nous sommes repartis en ennemis

Le journaliste Khaled Abu Toameh1 du Jerusalem Post a effectué un excellent reportage sur une initiative de "paix" européenne.

L'Union Européenne organise régulièrement des rencontres entre de jeunes israéliens et de jeunes arabes des territoires afin de soi-disant promouvoir la paix.

Lors d'une telle rencontre, organisée au Danemark, les jeunes qui sympathisaient dans l'avion lors du voyage aller sont revenus totalement brouillés. Un jeune arabe a d'ailleurs déclaré: "Nous sommes venus en amis, nous sommes repartis en ennemis".

La rencontre s'est déroulée comme un traditionnel match Israël-Arabes des territoires. Certains de ces arabes ont utilisé le forum pour présenter les islamikazes comme des combattants de la liberté et pour dénoncer les "atrocités" de Tsahal. De plus, ces braves arabes ont minimisé la Shoa et ont comparé Tsahal à l'action des nazis.

Et bien entendu, cerise sur le gâteau, le public danois a pris fait et cause pour les arabes et a manifesté son hostilité à Israël.

Du coup tout le monde s'est fâché et ils sont repartis brouillés.

Ce genre d'évènement est typique des évènements show-business prisés par la bien-pensance europédaloïde. On fait comme si tout le monde il était beau et gentil et on s'abstrait des réalités.

Les jeunes arabes n'ont fait que répéter le résultat du lavage de cerveau que leur fait subir un système "éducatif" financé par l'UE. Et donc, le "dialogue" ne pouvait pas avoir lieu faute de matière à débat. De plus, comme l'assistance a conforté les arabes dans leurs mensonges, il n'y avait aucun espoir d'aboutir à quoi que ce soit de constructif.

Si l'Europe veut vraiment faire oeuvre utile dans la région, il faudrait qu'elle renonce à sa bien-pensance ridicule et à son relativisme moral. Il faudrait aussi qu'elle renonce à son parti-pris idéologique et il faudrait surtout qu'elle s'attelle à traiter le problème réel, à savoir la dénazification des arabes du coin. Après on pourra penser à imaginer des solutions pacifiques et s'affranchir de la dénazification héliportée.

Il est clair qu'un certain nombre de connards utiles pensent que le pacifisme est la solution et qu'en contruisant des passerelles, on aboutira à quelque chose. Il est aussi certains qu'un certains nombre de cyniques, surtout français, savent très bien à quoi s'en tenir et qu'ils utilisent le "dialogue" et le pacifisme comme instrument de subversion pour essayer d'affaiblir Israël tout en se donnant une posture morale.



François Medioni

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le lundi 20 septembre 2004 - 05h08:

Bonjour,

Je suis Tunisien, marie avec 7 enfants. Je viens de faire Aliyah et j'habite Jerusalem.
Je me sent un peu perdu, je n'arrive pas a trouver un travail.
Est-ce que vous connaissez une personne qui peut m'aider a trouver un travail?
Je suis un Rabin qualifie et je parle 4 langues (Francais, Anglais, Hebrew, Arabe).

Je vous remercie d'avance.

M. S.
Jerusalem, Israel.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Toufiq (Toufiq) le lundi 20 septembre 2004 - 03h17:

tres bonne etude sur les graines de l'in.
nous attendons les resultats sur l'enquete de graines de l'autre.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nectar (Nectar) le lundi 20 septembre 2004 - 01h28:

glané sur internet une info interessante:


Les bienfaits du chanvre pour la santé
Une étude intéressante menée dernièrement par l’Université de Kuopio, en Finlande, a comparé la valeur nutritive et d’autres bienfaits sur la santé de l’huile de chanvre et de l’huile de lin. Elle démontre que « l’huile de chanvre augmente de façon nette le niveau d’AGL (acide gamma-linoléique) sanguin » - alors que l’huile de lin diminue en fait le niveau d’AGL sanguin. (Pour de plus amples renseignements sur l’AGL, voir Nutrition et pour de plus amples renseignements sur l’étude, voir le site Web de l'Ontario Hemp Alliance.)

Les graines de chanvre regorgent d’acides gras essentiels (AGE). Les AGE, qui manquent dans la plupart des régimes alimentaires nord-américains, peuvent éliminer le cholestérol des artères, ralentir les symptômes de la sclérose en plaques, améliorer le système immunitaire et les fonctions hormonales, et nourrir les cellules cérébrales. Une déficience en AGE peut d’ailleurs se manifester par l’arthrite, le syndrome prémenstruel, l’ostéoporose, la dépression, etc. Les études récentes démontrent que les graines de chanvre peuvent aussi aider à certains types de diabète.

La culture de chanvre produit, par acre, des protéines complètes plus faciles à digérer que toute autre culture. Les fèves de soya doivent être cuites pour être comestibles, alors que les éléments nutritifs du chanvre sont accessibles crus ou légèrement cuits. On les mange d’ailleurs depuis des milliers d’années.

Les graines de chanvre transformées en « lait », dans le cadre d’un régime alimentaire bon pour le foie, se sont avérées efficaces contre la tuberculose. À cet effet, il a été démontré que la protéine édestine du chanvre en est l’élément actif.

À cause de sa concentration élevée d’AGE, l’huile de chanvre utilisée dans la composition de cosmétiques peut aider dans le traitement de plusieurs problèmes cutanés, y compris l’eczéma, le psoriasis, la névrodermite et la sécheresse de la peau. Nous avons constaté que le beurre corporel à base de chanvre soulage les mains après une journée de jardinage ou une corvée de vaisselle et qu’il convient parfaitement pour les massages.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bekhor (Bekhor) le lundi 20 septembre 2004 - 00h01:

Le premier lien semble avoir un bug, je le renvoi une deuxieme fois.

http://www.reseauproteus.net/fr/Solutions/PlantesSupplements/Fiche.aspx?doc=acides_gras_essentiels_ps

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bekhor (Bekhor) le dimanche 19 septembre 2004 - 23h58:

Chere Eve Lauzier,

Les graines de LIN, on été pendant longtemps une friandise enfantine qu'on appellait "MELKHA OUBNINA" c'est a dire salée et délicieuse.

Les marchands prenaient un petit verre a thé pas plus haut que trois centimetres et les vendaient surtout aux enfants et meme aux adultes qui en raffolaient.

En fait ces graines de lin sont surtout une nourriture pour les oiseaux.

Recemment une étude approfondie révéle que ces graines de lin sont bourrée d'OMEGA3 d'origine végétale et non pas d'origine marine, ce qui est pour moi et la meme chose.

Certains specialiste font une difference entre les OMEGA3 d'origine marine et d'origine vegetale.

En tous cas quand on etaient petits on ne manquaient pas d'OMEGA3.

Deux cuilleres a café de graines de lin bien machés avant d'etre avalés sont beaucoup plus efficaces et surtout beaucoup moins chéres que les pilules du docteur Servan Shreiber à 25 euros la boite.

En tous cas voici un site qui peut vous eclairer en la matiere.

{http://www.reseauproteus.net/fr/Solutions/PlantesSupplements/Fiche.aspx?doc=acides_gras_essentiels_ps,http://www.reseauproteus.net/fr/Solutions/PlantesSupplements/Fiche.aspx?doc=acides_gras_essentiels_ps}

Victor Cohen

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Primo (Primo) le dimanche 19 septembre 2004 - 18h30:

Le Dossier Arafat*



De 1978 aux accords d’Oslo de 1993, soit en 25 ans, 254 personnes ont été tuées dans des attentats commis par des palestiniens. Depuis les accords d’Oslo, du 13 septembre 1993 au 24 septembre 2000, soit en 7 ans, 256 personnes ont été tuées.



Du 29 septembre 2000 et au 13 février 2003, 727 personnes dont 506 civils ont été tuées et 5.071 personnes dont 3.595 civils ont été blessées dans des attentats.



Aujourd’hui, en septembre 2004, Israël pleure près de 1000 morts, victimes de la seconde Intifada.



Un livre, écrit par Karin Calvo-Goller et Michel Calvo, apporte les preuves de la responsabilité personnelle d’un homme en particulier : Yasser Arafat.



Au-delà de ces révélations, ces deux avocats sont allés encore plus loin en entamant une procédure judiciaire à l’encontre du Raïs palestinien.



Curieusement, leur livre, annoncé à 175 journalistes de la presse française écrite et audio-visuelle, n’a pas fait l’objet de la moindre communication médiatique. Quels sont les blocages qui empêchent que la vérité éclate enfin? Qui a imposé de tels tabous? Qu'est-ce qui fait que la Télévision Française n'hésite pas à montrer un Yasser Arafat appelant à la libération de nos deux otages, alors qu'elle n'a jamais montré le même homme appelant son peuple au "Jihad" jusqu'à la libération de la Palestine toute entière, le processus d'Oslo n'étant qu'une étape intermédiaire?



Il est de notre devoir d’aider à la diffusion de cet ouvrage. Il existe un site Internet qui lui est consacré.



Ouvrons les yeux et, surtout, faites les ouvrir à d’autres pour la modique somme de 18,53 euros !



Primo-Europe



* « Le dossier Arafat » par Karin Calvo-Goller et Michel Calvo.

Ed. Albin Michel.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le dimanche 19 septembre 2004 - 18h17:

Bonjour
J'ai une question en ce qui concerne les graines de lin. J'ai entendue dire que ces graines sont très bénéfiques pour la santé d'une personne atteinte de sclérose en plaques. Est-ce vrai ou simplement une rumeur. Si vous connaissez la réponse pourriez vous me la faire parvenir

Merci à l'avance

Eve Lauzier

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 19 septembre 2004 - 16h51:

Rien qui ne soit surprenant...En tout cas...
Nous y sommes presque...Nous allons compter trés prochainement les cul jattes et les moignons...

Voleurs de la nation française prenez garde...NE CHARIEZ PAS AVEC LA CHARIA...