Archive jusqu'au 18/septembre/2004

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2004: Commentaires de Septembre 2004: Commentaires de Septembre 2004: Archive jusqu'au 18/septembre/2004
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Soleil (Soleil) le jeudi 16 septembre 2004 - 05h51:

Date: Tue, 14 Sep 2004 10:58:15 +0200 (CEST)
De: Elalouf Maguy
Objet: Conf GRF - Lundi 20 Septembre 2004 - La
Victoire - 20h30
À: \
mail{michel_o@netvision.net.il,michel_o@netvision.net
.il}

Objet : Conf. du Grand Rabbin de France J.H. Sitruk -
Lundi 20 Septembre 2004.

L'association Mayane vous invite nombreux à la
conférence de "La rentrée" de Monsieur le Grand
Rabbin de France Joseph Haïm Sitruk, qu'il donnera
avec l'aide de D'., entre Roch Hachana et Kippour
5765, le lundi 20 Septembre 2004 à 20h30 à la Grande
Synagogue de la Victoire.

Vous souhaitant de bonnes fêtes de Tichri 5765, et,
comptant sur votre présence et sur votre fidélité.

SYNAGOGUE DE LA VICTOIRE - 44, rue Victoire -
75009 Paris.

M° : ND de Lorette. Entrée libre. Info 06 15 10 30 16.

(Message à diffuser très largement. Merci)

PS : Possibilité de se procurer les CD des cours du
Grand Rabbin de France au cours ou par
correspondance en contactant le 06 10 25 54 02.

N° 1 " Une alliance éternelle "

N°2 " Israël : sa spiritualité "

N°3 " Faut-il faire son aliya ".

N°4 " Hommage au Rav Shakh : Un siècle de Torah ".

N°5 " " (sortie le 17 Mai 2004).

N°6 " Le vrai et le beau " (Yavane Ve Tsione) (sortie le
20 Septembre 2004)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Sibylle (Sibylle) le jeudi 16 septembre 2004 - 10h42:

CHANA TOVA OUMETOKA
Bonne et douce année à toute notre belle famille Harissienne, que l’éternel guide nos pas vers la lumière de Sa bénédiction divine »
Comme il est dit « Aujourd’hui si vous écoutez sa voix, le meilleur jour pour commencer c’est aujourd’hui »
Alors FISSA……

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Citron (Citron) le jeudi 16 septembre 2004 - 00h57:

Que cette année soit meilleure que celles passées, pour vous, vos familles, vos proches , vos amours.
santé, joie et prospérité a toutes et a tous.

Citron (doux :) )
celtia.1@laposte.net

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hajkloufette (Hajkloufette) le jeudi 16 septembre 2004 - 00h18:

Chana tova ou metouka , Hatima tova a tous les harissiens et harissiennes .
Voici une image : mon image

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le mercredi 15 septembre 2004 - 21h13:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Revue de presse BouleItik HebdRomadaire.

c:/


Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le mercredi 15 septembre 2004 - 21h38:

Fermer les yeux. Nous ? (info # 011509/4) [Analyse]
par Stéphane Juffa © Metula News Agency



Certes, Yasser Arafat est l’une des personnalités politiques les plus corrompues parmi les leaders de ce bas monde. Il n’est que de lire les témoignages circonstanciés de Sami al-Soudi, jamais mis en doute par personne et même repris par des sites arabes et islamistes, pour s’en persuader. Certes, aussi, tous les régimes du globe, qu’ils soient d’ailleurs démocratiques ou totalitaires, subissent, à des degrés différents bien sûr, le fléau de la corruption. Mais ne parler que de la poutre qui se trouve dans l’œil du voisin, en omettant de mentionner ce qui se passe dans le nôtre, tiendrait d’un travail de propagande et pas d’information. Ca n’est assurément pas de cette manière que notre agence de presse conçoit sa mission, n’en déplaise à ceux que cela dérange.



A en juger par ce qui se passe ces temps dans les ministères israéliens, ça n’est pas à une paille volage, échappée fortuitement de quelque fenaison lointaine, que nous avons à faire. Ne pas parler de ce mal profond, qui mine l’homogénéité du peuple d’Israël, autant que sa confiance en ceux qui le dirigent, serait faire preuve d’irresponsabilité. D’autant plus qu’aucun problème n’a jamais été résolu du fait qu’on avait choisi de l’ignorer.



On rapporte dans la presse européenne beaucoup de sornettes relativement à l’œuvre du présent Premier ministre, Monsieur Ariel Sharon. Les mesures qu’il a prises, en construisant le mur de sécurité, par exemple, enlèvent l’assentiment de l’immense majorité des Israéliens ; certains, comme nous, lui reprochent d’avoir trop attendu et d’avoir perdu du temps sur le tracé du mur, en tentant de contenter trop d’opinions inconciliables. Mais tous, ici, savent reconnaître que, sans déroger aux règles élémentaires de la démocratie et en adoptant des tactiques sécuritaires économes en vies humaines, Sharon a réussi le tour de force de faire tomber le nombre des assassinats collectifs palestiniens de un et demi par semaine à quasiment zéro. Il a rendu aux Israéliens la possibilité de vivre sans avoir à compter leurs victimes de la terreur plusieurs fois par mois.



La politiques est une chose assez simple, somme toute, et pour ce que je viens de vous dire, lors de n’importe quelle consultation électorale globale, Ariel Sharon est assuré de l’emporter haut la main. Les Israéliens sont sensibles au comptage de leur sang. Pour eux, et on devrait pouvoir les comprendre, ce succès à mâter le terrorisme l’emporte, hors mesures, sur toutes leurs autres préoccupations.



Le prix politique qu’ils paient contre le retour relatif de leur sécurité, toutefois, commence à être salé ; la machine de l’Etat, soumise à un parti composé principalement de cadres dévoyés, ne remplit plus son œuvre. Tandis que le budget de la santé consacré au remboursement des médicaments, qu’on appelle ici le "panier des médicaments", fond comme neige au soleil, vouant précisément des malades indigents traitables à une mort certaine, le ministre de la Santé, Dan Naveh, avait pris la décision de créer cinquante postes de "surveillants contre la cigarette dans les hôpitaux". Ce qui a fait écrire à Akiva Eldar dans Haaretz "qu’il fallait un esprit juif spécialement inventif afin de créer cinquante jobs pour les membres du Comité Central du Likoud en qualité d’inspecteurs de fumée dans les hôpitaux publics". Et le Professeur Barabash, directeur du complexe hospitalier Ichilov à Tel Aviv, complétait, assurant "que ses employés savaient parfaitement gérer tout seuls les contrevenants aux dispositions contre la fumée".



Autre ministre, autre cas de corruption pour cause de clientélisme. Le ministre de l’Environnement, Tzakhi Hanegbi, anciennement ministre de la Justice, vient être mis en examen et provisoirement destitué de ses fonctions pour nomination illégales d’employés (du Likoud) dans son ministère.



Le problème a traversé les considérations politiciennes, puisque, même le très sérieux Président de la Commission pour la Constitution, la Loi et la Justice à la Knesset, membre de l’aile conservatrice du Likoud, le député Michaël Eytan, a récemment affirmé que "sous certains aspects, le régime de Sharon au Likoud est pire que le régime de Ceausescu". Eytan de préciser : "que sous le règne du tyran roumain, il y avait au moins une façade de procédures ordonnées dans les prises de décisions du parti au pouvoir, alors qu’ici, tout est décidé dans la ferme des Sharon entre lui et son fils Omri" et le député de prédire "qu’un jour, les historiens auront des difficultés à croire que l’Etat d’Israël avait accepté des pratiques de ce genre".



Ce qui nous paraît le plus tragique, dans les révélation de Michaël Eytan, c’est ce qu’il dit de ce qui se passe au Comité Central du Likoud et qui rejoint notre propre observation : Il fait état de "mercenaires" et de "chefs de gangs" s’employant à former des clans parmi les membres dudit Comité.



L’un de ces chefs de bandes principal est, sans conteste, un certain Uzi Cohen, qui occupe accessoirement les fonctions d’adjoint au maire de Ra’anana. Dans les faits, inutile pour un membre du Likoud d’essayer de briguer n’importe quelle fonction aux mains du parti, s’il ne s’est pas préalablement arrangé avec Uzi Cohen. C’est ce même Cohen, à propos duquel le ministre de la Justice actuel ne mâche pas ses mots : "Il est répugnant. Le populisme à droite, spécialement au Comité Central du Likoud, met la démocratie en danger et met en danger le Likoud lui-même. Uzi Cohen est le pire exemple de ce phénomène" (in Jerusalem Post, livraison du 15 juillet).


Mais d’autre part, lorsqu’on s’est arrangé avec Cohen, que l’on a payé le prix fort, en deniers du peuple ainsi qu’au détriment de l’efficacité de la gestion des tâches publiques, on peut nourrir les plus grandes ambitions. Il suffit de s’engager à employer des parasites suggérés par le macher [1] à des postes de hauts fonctionnaires. Et comme charité bien ordonnée commence par soi-même, Uzi Cohen a placé deux de ses frères à des postes pour lesquels ils ne sont assurément pas qualifiés. Le premier, Yoël, a été nommé par Dan Naveh au poste clé de chef du bureau du Ministre. Au moment où le système hospitalier israélien est menacé d’implosion, voilà une désignation qui promet des jours meilleurs.



Ce d’autant plus que pour engager Yoël Cohen, il a fallu déplacer l’ancien chef de cabinet, un fonctionnaire de carrière répondant au nom de David Laniado, qui sera transféré à "un poste de confiance au sein du bureau du directeur général". Et si ce poste n’existe pas, eh bien on le créera, pardi !



Quant au second, Ilan Cohen, il a été embauché par Sylvan Shalom au poste de Conseiller politique auprès du Ministre. Un coiffeur pour participer à formuler notre politique étrangère ? Ceci dit, bien que nous n’ayons strictement rien contre les coiffeurs. Précisons que le ministre des Affaires Etrangères avait le droit théorique de procéder à la nomination d’Ilan Cohen. Il lui suffisait d’inclure, par décision personnelle, ce personnage parmi les huit postes de confiance qu’il peut pourvoir à sa guise, sans devoir en référer à la Commission du Service Civil.



Le droit, peut-être, mais cela fournit à qui a les yeux en face des trous une solide explication quant à l’indigence insigne des performances de ce ministère, à la fonction ô combien nécessaire par temps de conflit.



Il faut préciser que le chef du clan Cohen est une véritablement une brute, ne nourrissant aucun égard pour les institutions démocratique censées faire fonctionner son pays. Ainsi, le macher n’a-t-il pas hésité à fustiger publiquement Monsieur Shmouel Hollander, le Commissaire au Service Civil pour avoir, je cite "gonflé exagérément son rapport sur les nominations politiques".



Mais il y a pire encore. Ce système de clientélisme exacerbé a permis aux dévoués, frères d’Uzi Cohen, de faire entrer dans les ministères des adeptes de ses théories simplistes, incultes, populistes et fascisantes. Uzi Cohen est en effet l’un des seuls Israéliens qui soit partisan d’un "nettoyage ethnique massif" des non juifs de Palestine-Israël, qu’il considère comme la "solution finale" (il faut le dire, pour un juif !) du conflit israélo-palestinien. Ce stratège des pissotières allant jusqu’à préciser son idée : "Il faut donner aux Palestiniens vingt ans pour s’en aller volontairement et s’ils ne partent pas volontairement, il faudra élaborer des plans pour les expulser de force".



Bien, la pensée profonde qu’a fait entrer Sylvan Shalom aux Affaires Etrangères… Cela ajoute du lustre à notre blason… et de l’intelligence dans nos prises de décisions. Il paraîtrait, d’après ceux qui avaient invité le co-fondateur de la légende du meurtre de Mohamed A-Dura à les aider à formuler une meilleure image d’Israël, qu’Ilan Tsadik aurait eu tort de stigmatiser – dans son style fleuri mais ô combien lisible – ce ministre ? Il y en a donc pour s’accommoder de nous voir vivre dans un système dirigé par la corruption, le clientélisme, la médiocrité, le racisme et les Uzi Cohen ?



Pas nous. Nous traitons de choses riantes chaque fois que nous en trouvons et des choses nécessaires, à l’orée des "dix jours terribles" [1]. Ce qui ne me prive pas, au nom des rédacteurs de la Ména, où qu’ils se trouvent et quelles que soient leur origine et leur nationalité, ainsi que du personnel technique et administratif de l’agence, de souhaiter à tous nos lecteurs un Rosh ha-Shana de santé et de qualité. Puisse le bon sens, le goût de la justice et l’humanisme prévaloir. Partout.







Notes

[1] "Macher", du Yddish et de l’allemand "machen", faire. Un "Macher", dans l’hébreu moderne, est un arrangeur, une personne qui vit de ses bonnes combines, qu’il vend à ceux qui en ont besoin.



[2] Les Yamim norahim, les dix jours terribles, séparant Rosh ha-Shana de Yom Kippour, durant lesquels, les juifs passent en jugement pour l’année écoulée et se purifient de leurs actes. A la suite des Yamim norahim, à l’époque du Temple, le Grand Prêtre pénétrait dans le Saint des Saints et prononçait les lettres du Tétragramme. S’il était pur et que le peuple s’était purifié de ses pêchés, l’alliance était reconduite ; si ça n’était pas le cas, le Grand Prêtre était consumé vif.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maxiton (Maxiton) le mercredi 15 septembre 2004 - 20h38:

chana tova à tous

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le mercredi 15 septembre 2004 - 19h59:

c:/
CHANA TOVA..
FREDDY GALULA.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emma (Emma) le mercredi 15 septembre 2004 - 19h54:

Madonna en Israël: tenue blanche obligatoire, photographes juifs interdits

JERUSALEM (AFP) - Les organisateurs de la retraite spirituelle que Madonna doit observer en Israël ont demandé mardi aux photographes juifs de ne pas couvrir cette visite et aux journalistes de s'habiller en blanc, pour des "raisons religieuses".

La superstar, une adepte de la Kabbale, la mystique juive, doit arriver mercredi en Israël pour une retraite de trois jours qui commencera par une cérémonie traditionnelle à l'occasion du Nouvel An juif, qui commence ce jour-là.

Mais un porte-parole des organisateurs, le Centre de la Kabbale, a affirmé que les photographes juifs ne pourraient couvrir cette cérémonie, afin de ne pas les encourager à violer une loi religieuse interdisant tout travail lors de cette fête.

"Le Centre de la Kabbale ne veut pas que (les photographes juifs) fassent quelque chose qui viole les lois religieuses", a dit Lior Horev à l'AFP.

Les journalistes pourront, eux, être présents à la synagogue qui sera mise en place dans l'hôtel de Madonna, à Tel-Aviv, mais ne pourront pas écrire.

Ils devront tous invariablement être habillés en blanc pour ne pas jurer avec les membres du Centre de la Kabbale qui seront aussi en blanc "pour des raisons religieuses traditionnelles", selon M. Horev.

Le directeur du Centre de la Kabbale, le rabbin Shaoul Youtkewitch, a de son côté indiqué à la première chaîne de la télévision publique que "Madonna va effectuer une visite privée, mais sera accompagnée par une délégation de 1.300 personnes venues de 23 pays ainsi que par un millier d'Israéliens".

Il a précisé que la star "n'est pas venue pour un tour de chants, mais participera sans doute aux chansons habituelles de Rosh Hachana", le Nouvel An juif.

Le rabbin Youtkewitch a aussi indiqué que "Madonna se produira peut-être en duo avec la chanteuse (israélienne) Noah lors d'un évènement au profit d'institutions se vouant à l'éducation des enfants".

Les "femmes en noir", une organisation israélienne qui milite pour le respect des droits des Palestiniens et organise régulièrement des manifestations, ont de leur côté appelé leurs sympathisantes à venir vêtues de blanc à l'occasion de la visite de Madonna pour une manifestation aux abords du Tombeau de Rachel, près de Bethléem en Cisjordanie.

Madonna, 45 ans, qui fut longtemps un symbole sexuel, a changé il y a deux mois son nom en Esther et observe le shabbat, jour sacré de la religion juive. La star, dont le dernier concert en Israël remonte à 1993 à Tel-Aviv, n'est pas censée chanter à l'occasion de cette visite.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Admin (Admin) le mercredi 15 septembre 2004 - 19h53:

Au nom d'Harissa et en mon nom propre, je voudrais souhaiter a tous les harissiens et harissiennes une annee remplie d'amour, de miel, de joie, de sante et de paix.

SHANA TOVA 5765

Jaco

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Richard_S (Richard_S) le mercredi 15 septembre 2004 - 18h52:

SEULEMENT 40% DES FEUJS EN ISRAEL IRONT DANS UNE SYNA POUR ROCH HACHANA ET KIPPOUR

Survey: 40 percent will attend synagogue on holidays

By Amiram Barkat, Haaretz Correspondent



Some 40 percent of the Jews living in Israel intend to visit a synagogue on Rosh Hashanah and Yom Kippur, according to a survey conducted by the Center for Jewish Pluralism of the Reform Movement in Israel.




The survey says that 64 percent of those who define themselves as secular said they would not visit a synagogue at all on both holidays. Twenty-two percent of all those interviewed said they would go to a synagogue on only one of the two holidays, and 37 percent said they would not go to synagogue at all.

The survey also indicates that 13 percent of those who intend to visit a synagogue will pray in one of the 60 non-Orthodox synagogues of the Reform or Conservative movements.

The Community Center association recently proposed holding a Seder night on the eve of Rosh Hashanah, consisting of parts of Jewish tradition and commentary and explanations of the holiday foods and what they symbolize.

The Absorption Ministry has recently distributed calendars with vowel-pointed Hebrew to some 15,000 new immigrants who are studying Hebrew in ulpans throughout the country.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Henri (Henri) le mercredi 15 septembre 2004 - 08h08:

CHANA TOVA

Chana Tova, Chana de lumiere, de bonte, de charite, de verite et d'amour pour tous.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par A_Soued (A_Soued) le mercredi 15 septembre 2004 - 07h00:

Chers amis
Ci-joint le contenu du discours d'un opposant syrien au régime d'Assad, digne d'intérêt.

Avec nos vœux de bonheur et de santé pour l'année qui vient. Renée et albert Soued

APPEL POUR L'INSTAURATION DE LA DÉMOCRATIE EN SYRIE

Par Farid Ghadry, président du parti de la réforme de Syrie

À l'Assemblée Nationale le 13 septembre 2004

Merci d'être venus si nombreux ce soir pour nous écouter. Merci à Claude Goasguen et à l'Institut Jean jacques Rousseau (Michel Gurfinkiel) de nous avoir invités. Merci à tous les Syriens qui nous honorent ce soir de leur attention. Et permettez moi, sur un plan personnel de me féliciter de la présence de ma femme à mes côtés. Je trouve force et persévérance dans son soutien et dans ses encouragements.


Un humoriste syrien avait l'habitude de raconter la blague suivante: "Mettez 3 Syriens ensemble dans une salle et ils formeront 4 partis politiques. Chacun voudra créer son propre parti pour exprimer ses propres convictions. Mais comme c'est dangereux, ils préféreront adhérer à un 4ème parti."

Avant de commencer à parler de notre vision du changement en Syrie, je voudrais d'abord vous parler brièvement du Parti de la Réforme de Syrie.

Le Parti de la Réforme de Syrie

Le Parti de la Réforme de Syrie a été fondé après les événements du 11 septembre par des Syriens vivant dans la diaspora. Il est une expression de l'alternative au Parti Baa'th et aux Islamistes. Nous sommes un groupe politique oeuvrant pour la démocratie et qui appelle avec force au renversement de l'actuel régime syrien.

Pourquoi? Parce que le régime des Assad à Damas ne peut être amendé et nous devons arrêter l'hémorragie qui dure depuis 41 ans, sous la férule baa'thiste.

Notre parti se développe rapidement. Radio Syrie libre a commencé à diffuser cet été et nous envisageons le démarrage d'une Télévision Syrie libre l'an prochain. Nous sommes ouverts à toute véritable opposition au régime d'Assad et nous souhaitons œuvrer au sein de "la Coalition Démocratique Syrienne", avec tous ceux qui veulent mettre en plkace une démocratie pluraliste et pluripartis dans notre pays, un régime où la loi ets au dessus du pouvoir et où toutes les opinions puissent s'exprimer. Nous sommes prêts à rejoindre toute coalition ayant les mêmes buts.

Il suffit de visiter les Châteaux de la Loire, ou les vignobles de la région bordelaise, ou les industries du Clermontois par exemple, pour comprendre pourquoi la France est devenue une grande nation. La France jouit dans le monde entier d'une plus grande réputation que toute autre nation de sa dimension. Nous Syriens nous vous envions! Alors que vous avez eu des femmes telles que Marie Curie, nous, en Syrie, nos femmes sont illettrées et souffrent des oppressions d'un d'une société malade sous un régime totalitaire. Alors que votre jeunesse s'exprime librement, la nôtre sont est muselée. Alors que vos médecins et vos chercheurs excellent chez eux, les nôtres émigrent pour trouver ailleurs une vie meilleure. La grandeur de la France vient d'une démocratie solide qui a permis à la nation de prospérer et de devenir une puissance dans le monde d'aujourd'hui.

Nous le Parti de la Réforme de Syrie, "la Coalition Démocratique Syrienne" et tous les Syriens de la diaspora, nous demandons à la France et au Président Jacques Chirac à se tenir à nos côtés et à nous aider à instaurer la démocratie en Syrie.

À un moment où certains s'interrogent sur les limites de la politique américaine au Moyen Orient, la France a un rôle historique à jouer. Elle doit saisir cette opportunité. Il est grand temps que la France ait au Moyen Orient une politique réaliste, une vision globale et qu'elle le fasse savoir

Lettre ouverte à Jacques Chirac

Le Parti de la Réforme de Syrie vient d'envoyer une lettre au Président Chirac pour lui demander de mettre en place une politique nouvelle à l'égard du gouvernement syrien actuel, compte tenu de son comportement international et de son attitude à l'égard de sa propre population. Nous avons aussi demandé que la France prenne des initiatives en vue d'instaurer la liberté et la démocratie, dans l'ensemble du Moyen Orient. Le Parti de la Réforme de Syrie espère rester en contact avec l'Elysée sur ce sujet.

Qu'est ce qui se passe aujourd'hui à l'intérieur de la Syrie?

Nous avons une nation de 18 millions d'habitants qui, pour la majeure partie, vit dans la pauvreté. La Syrie est classée comme la 106ème nation sur l'Index de développement humain de l'Onu; c'est à dire dans le dernier tiers; si on met de côté l'Afrique, la Syrie se retrouverait dans les derniers 8%. Pour vivre et parce qu'ils ne trouvent pas d'emplois en Syrie, un million de Syriens s'expatrient au Liban pour y occuper des emplis non qualifiés. Le secteur privé est littéralement "privé", puisqu'il est détenu par une coterie proche des Assad.

De telles conditions économiques engendrent la violence, comme un marécage génère des moustiques. La politique du parti Baa'th provoque la violence et l'extrémisme, y compris l'islamisme. Le régime baa'thiste prétend combattre l'islamisme, mais en fait il s'en sert pour justifier son maintien.

Les Syriens de moins de 40 ans, soit 70% de la population, ont été conditionnés par l'idéologie baa'thiste, née dois-je le rappeler dans l'esprit de Michel Aflaq, qui a vécu à Paris dans les années 30, mais dont le véritable modèle était l'Allemegne nazie. Résultat: Un nationalisme exacerbé, la haine de quiconque n'est pas baa'thiste, une éducation de troisième zone, voilà les marques de qualité laissées par ce parti dans notre génération perdue.

Les plus riches, les intellectuels, et la vieille génération de syriens échappent, il es vrai à cette malédiction. Les uns veulent construire une vraie démocratie. Les veulent renouer avec un passé arabe glorieux. Cette mosaïque peut paraître un peu déprimante, mais néanmoins le Parti de la Réforme de Syrie veut travailler avec eux et les premiers résultats encourageants.

Je voudrais parler à ce niveau d'une doctrine qui est chère au cœur de tout Syrien démocrate.

La doctrine du tueur à gages

Les démocrates syriens évoquent souvent la théorie "du tueur à gages". Je veux essayer de la résumer ici. À chaque fois que les Américains ou les Européens s'appuient sur un tyran arabe, jugé plus fiable qu'un dirigeant démocratique, celui-ci finit par se retourner contre eux.

Les exemples ne manquent pas, Oussama Ben Laden utilisé contre l'Union soviétique, Saddam Hussein, utilisé contre l'Iran, le H'amas utilisé contre le Fatah', Assad utilisé contre Arafat…..

À chaque fois cette stratégie a échoué. Nous, nous disons que sacrifier la sécurité à long terme pour des intérêts à court terme est une vision dangereuse du monde et malheureusement nous subissons aujourd'hui les conséquences de cette doctrine. Nos ennemis communs se sont renforcés, ils sont passés d'un discours incendiaire à l'attentat-suicide.

La solution, c'est la démocratie. Les droits de l'homme conduisent à la prospérité économique. La prospérité économique conduit à la paix civile et à la paix internationale. La paix au sein des sociétés et entre les nations conduit à la "paix des esprits". Nombreux sont ceux, parmi vous qui peuvent contribuer à la formulation de la politique étrangère de la France et de l'Europe. Prenez bien en considération cette idée d'une "paix des esprits". C'est la clé du Moyen Orient actuel. Avec la "paix des esprits", tout sera possible. Sans elle rien ne sera possible.

Que voulons nous ?

D'abord et avant tout nous voulons la démocratie. Nous avons traversé tant d'années de tourments pour ne pas nous assurer qu'une véritable démocratie s'installe dans notre pays, après le départ des Assad. C'est la pierre angulaire de notre existence. Nous voulons aussi la paix et la prospérité, pour que les Syriens ait un avenir meilleur. Nous voulons aussi la coexistence avec tous nos voisins, sur une base d'égalité, avec des frontières ouvertes, et des accords commerciaux bénéficiant à tous.

Nous pensons que le plateau du Golan est un territoire syrien et qu'il doit être rendus à la Syrie. Cependant nous sommes réalistes et nous savons que la Syrie doit d'abord devenir une démocratie avant que ces territoires ne soient rendus. Un ami américain m'a dit un jour "comment peut-on faire confiance à la Syrie sur le Golan, quand ce pays a envahi et a occupé le Liban pendant plus de 27 ans" ?

C'est là une question sérieuse. Le monde fera confiance à une Syrie démocratique. Avec la démocratie, les Syriens sauront où se situe leur véritable intérêt national. Et les Israéliens obtiendront la garantie de leur sécurité.

Les droits de l'homme doivent être respectés dans le pays tout entier. Il va de soi, par exemple, que la population kurde syrienne doive bénéficier de la plénitude de ses droits et être associée sur un pied d'égalité à la reconstruction politique, économique et sociale de la nation. De même pour toutes les minorités, y compris la minorité chrétienne, marginalisée par le pouvoir totalitaire, en dépit de son niveau socio-éducatif.

Comment libérer notre pays ?

L'invasion de l'Irak, nous le constatons aujourd'hui, se solde par un échec. L'objectif était bon, mais la méthode était erronée. Pour vaincre un régime totalitaire, ce n'est pas son armée qu'il faut briser, mais la chape de peur qu'il fait peser sur son peuple. 5% de la population ne peut pas éternellement terroriser 95% de la population. Notre devoir en tant que Syriens est de mettre foin à la paralysie mentale et morale imposée par le pouvoir actuel. Plus nous travaillerons dans ce sens, plus nous obtiendrons des résultats. Sans vous, nous ne pourrons pas libéere la Syrie, instaurer la liberté, vivre dans un pays dont nous serons fiers.

Comme tous vous le savez, aujourd'hui le Parti de la Réforme de Syrie travaille avec le Congrès Américain en vue de la promulgation de "la loi de Libération de la Syrie" et nous enjoignons la communauté syrienne de France d'en comprendre la portée et de la soutenir. Nous avons demandé au Congrès Américain de geler les avoirs de la famille Assad, afin qu'un jour la Syrie puisse récupérer ces capitaux. Nous travaillons aussi avec un cabinet d'avocats pour poursuivre les Baa'thistes syriens qui ont torturé ou tué des Syriens innocents.

Parlant à la communauté syrienne de France, je suis très honoré d'apercevoir dans cet auditoire des visages familiers. Certains des esprits les plus brillants sont parmi nous et ceci est la preuve que vous tous, vous voulez une Syrie meilleure. Permettez-moi de vous dire que "Vous êtes l'avenir de la Syrie et nous partageons avec vous, vos points de vue et vos sentiments. Vous êtes ceux que nous appellerons pour mener notre pays à la démocratie et moi le premier, je serai honoré ce jour là de travailler à vos côtés.

Mais aujourd'hui, je vous conjure de trouver le courage de vous lever publiquement contre le régime de Damas! Parce que c'est seulement à travers des protestations publiques que nous pourrons nous frayer le chemin de l'unité contre les oppresseurs. Un pays entier est à sauver et notre avenir, celui de la Syrie, dépend de notre courage!"

Je voudrais conclure sur une note optimiste.

Un ami Syrien, par ailleurs fort ouvert, avait quelque difficulté à accepter le point de vue d'un voisin Juif sur la question du conflit israélo-palestinien. Dès qu'il abordait la question avec lui, il se mettait en colère. Ainsi un jour, je lui ai donné le conseil de ne plus parler politique avec son voisin. Il a suivi mon conseil et quand nous nous sommes rencontrés quelques mois plus tard, il m'a confié combien il était devenu agréable de converser avec son voisin Juif. Il m'a dit qu'il avait appris qu'ils avaient les mêmes problèmes. Il m'a dit "mot pour mot": "je n'avais pas réalisé combien il était facile d'aimer ce voisin, en dehors de la politique!"

Mesdames et messieurs, la démocratie en Syrie ce sont des voisins qui cherchent à se connaître, lentement mais sûrement. C'est trouver ce qui nous unit et non pas ce qui nous sépare. C'est une paix basée sur l'équité et la justice, une paix basée sur le respect de l'autre. C'est retrouver notre dignité et l'estime de soi, c'est avoir la force d'accepter la paix et de travailler avec confiance pour un Moyen Orient meilleur.

Pour nous tous l'enjeu vaut la peine, nous n'offrons pas de solution miracle et nous ne faisons pas des promesses grandioses. Le chemin de la démocratie pour la Syrie ne sera facile, et nous sommes les premiers à l'admettre. Mais nous n'avons pas le choix, nous sommes le dernier espoir de l'espoir pour la Syrie, et si vous avez la foi comme nous, que nos enfants méritent de vivre dans un monde où ils n'auront pas à faire un choix de vie et de mort à chaque fois qu'ils entrent dans un immeuble, une gare, un dancing ou une pizzeria; où ils pourront naviguer sur Internet librement, jouissant des bienfaits de la liberté; et où ils ne seront pas réveillés en pleine nuit par les sbires illettrés des services secrets pour être torturé dans un quelconque cachot, alors nous sommes sûrs que vous apprécierez la gravité de ce qui nous attend. La démocratie approche en Syrie et quand elle sera là, la paix et la coexistence suivront.

Le grand poète syrien Adonis disait autrefois "aujourd'hui il n'est plus temps pour nous de comprendre le monde, nous devons le changer"

Merci pour votre attention!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 15 septembre 2004 - 08h20:

H.S


HAG SAMEAH...


-Emile, la chanson n'est pas finie, reste encore des strophes et ensuite tu comprendras.