Archive jusqu'au 27/août/2004

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2004: Commentaires d'Aout 2004: Archive jusqu'au 27/août/2004
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le jeudi 26 août 2004 - 22h28:

La Douda adore s'en prendre aux galeres que rencontre l'administration americaine (ex la prison d'Abou Ghraib) mais n'a pas encore utilise son talent artistique pour nous pondre un gentil dessin sur le succes de notre Olympiste Israelien Prefere Gal Friedman. On attends donc...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 26 août 2004 - 22h46:

 LE DRAPEAU

L’AGENCE SHARON/BREITOUNA TRIC TRAC….

Il est permit de rêver.

Contre toute attente, j’avais eu le pressentiment que quelque chose de grandiose allait arriver à Athènes et mon intuition ne pas trahit. J’ai donc envoyé en dernière minute mon envoyé spécial GIDEON SHIMON, suivre la joute sportive de planche à voile.

Sous un soleil resplendissant, mon envoyé spécial a pu trouver en dernière minute une chambre chez l’occupant et sans tarder, après avoir posé sa valise, il s’est rendu au lieu de la compétition. Il y avait là beaucoup de fans israéliens qui se sont déplacés pour voir le jeune homme monter sur une planche à voile. Du nom de GAL FRIDMAN. Un jeune homme élancé aux yeux bleus, un play -boy en maillot qui attendait.


Laissons le narrer cette journée extraordinaire.

‘…J’étais sur une barque qui pliait sous le poids des caméramans venus de partout.

Un ami me signalait que le départ était donné. En attendant, j’allumais une clope, la barque s’enfonça un peu plus.

Nous en étions à palabrer quand un quart d’hure plus tard, des cris de joie s’élevèrent vers le ciel. Un grand drapeau bleu et blanc s’est déployé sous les yeux des caméras, je ne comprenais pas et là je sautais de joie, tellement haut, que la barque allait chavirer.

Nous tanguions de joie et plus d’une dizaine de drapeaux se déployaient sous nos yeux. Mes fans étaient si excités que certains d’entre eux plongèrent carrément avec leurs habits pour aller toucher le véliplanchiste debout sur sa planche. Il rentrait à ce moment là dans l’histoire des jeux de son pays, qui pour la première fois décrochait une médaille d’or.


Bref, je descendais de la barque pour poser pieds sur le ciment voulant être aux premiers loges pour la cérémonie des médailles. J’étais à une dizaine de mètres.

J’attendais le moment crucial, la horde de journalistes suivit.

Nous étions au coude à coude. Au bout d’un quart d’heure le jeune héros, les cheveux encore mouillés mais vêtu d’un haut de survêtement faisait son apparition avec un sourire d ‘or accroché aux lèvres. Les crépitements des flashs semblaient ne plus finir.

Il monta humblement, presque timidement sur le podium. Et là une jeune fille lui accrocha la médaille tant convoitée, en lui ajustant une couronne de lauriers.

L’hymne résonna sous une émotion à couper au couteau.

Certains pleuraient. Une dame que je devinais anglaise me prit par le bras et me dit…

‘…I AM JEWISH… ! I AM JEWISH…! Elle me répétait ça comme si en ce moment elle voulait se rassurer, se rappeller qu elle était juive, je me penchais vers son oreille pour lui souffler…

‘..All world is jewish in this time… !’

Puis en français cassé, elle me dit…

‘…May alors, sir, si le MACHIAH ARRIVAIY… ? Que se pachera t’il… ?

‘…Nous serons tous médailles d’or… !’

Elle me regarda et me bisa la joue. J’ai ressenti à ce moment là, mes larmes monter comme on monte dans un ascenseur qui vous mène au septième ciel.

Nous étions fiers et heureux de partager un moment d ESPOIR…CAR LA HATIKVA se faisait entendre sous le ciel grec. Nous avions nos mains posées sur le CŒUR.

A vous ISRAEL. KOL TOV ET MAZELTOV.

 LA MEDAILLE

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le jeudi 26 août 2004 - 21h25:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Revue de presse BouleItik HebdRomadaire.

c:/


Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 26 août 2004 - 21h46:

BAZOOKA t es medaillèe d'or au lancè du marteau au PTB.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le jeudi 26 août 2004 - 20h23:

De l’expression YE BAHLE…

Bien souvent entre amis, nous usions du mot….’ Ye bahla’….

Bahla était un prénom assez courant autrefois. Aujourd’hui il n ‘a plus court comme d’ailleurs LES Kiki, Chwilem et autres Joueïgè…..

Il est devenu, actuellement, synonyme d’un caractère….Dire à quelqu’un ou à quelqu’une ‘Euchket yè Bahlè’ revient à dire ‘Tais toi naïve…’

Car Bahlè était le prototype d’une femme assez courte, à la limite avec de l’embonpoint vêtue d’une robe ample démodée et surtout avec une combinaison qui dépassait sa robe allant même jusqu’à caresser ses mollets. Ajoutons à cela un air de béatitude toute les fois que vous lui posez une question et qu’elle vous répondez toujours par un ‘ AHHHHH…. !’ Comme si elle sortait d’un voyage lunaire.

Donc si on vous lance ce fameux ‘ Yè Bahlè’ comprenez donc par là de quoi on veut parler.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Claudia (Claudia) le jeudi 26 août 2004 - 19h14:

298 actes antisémites recensés par la justice en 2004

PARIS (Reuters) - Le ministère de la Justice a annoncé jeudi avoir recensé 298 actes antisémites en France entre le 1er janvier et le 20 août et a réaffirmé sa volonté de sévérité répressive en la matière.


Sur ce total de 298 dossiers, 67 constituent des "atteintes aux personnes", comme par exemple des agressions, 162 des "atteintes aux biens", comme des profanations, et 69 des infractions aux lois sur la presse, c'est-à-dire des écrits jugés antisémites.


Si 80,2% de ces affaires n'ont pas été résolues pour l'instant, 103 personnes ont été interpellées pour les autres enquêtes, dont 47 majeurs et 56 mineurs.


Treize dossiers résolus ont finalement été classés par les parquets après un simple rappel à la loi (quatre cas), mesure de réparation (trois cas), ou encore parce que l'infraction n'était pas assez caractérisée, parce que le suspect a été déclaré irresponsable ou après retrait de la plainte.


Le cabinet de Dominique Perben a publié ces chiffres après une rencontre jeudi entre le ministre et le grand rabbin de France Joseph Sitruk.


Le garde des Sceaux a rappelé que la loi "Lellouche" de février 2003 et une autre sur la procédure pénale de mars 2004 avaient introduit la possibilité d'aggraver les peines en cas d'infractions racistes ou antisémites.


Il a expliqué avoir ordonné aux procureurs de faire appel des jugements qui sont considérés comme trop cléments.


Cette démarche de Dominique Perben fait suite à l'incendie d'un centre culturel juif à Paris le week-end dernier.


Cette action apparemment criminelle, intervenant après une série de profanations de cimetières juifs, a suscité la colère des associations juives qui ont mis en cause l'action de la justice, trop laxiste à leurs yeux.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le jeudi 26 août 2004 - 18h49:

L’Etat c’est lui. Mais plus pour très longtemps. (info # 012608/4) [analyse]
par Sami el-Soudi © Metula News Agency



La semaine dernière, le Vieux a eu cette formule révélatrice, en pleine réunion publique du parlement palestinien : "Démocratie… il y une limite à ce qu’on peut m’imposer de faire à cause de la démocratie !"



Si j’étais un journaliste vraiment courageux, je m’en tiendrais là et je clôturerais mon article sur cette unique citation, laissant au lecteur le soin d’imaginer ce que peut être la vie d’un peuple sous un énergumène professant une proto culture politique de ce genre.



Ce que les membres du Conseil Législatif Palestinien (CLP) réclamaient du vieil ogre, c’est qu’il émette un décret présidentiel provisionnant deux mesures d’urgence : Un remaniement ministériel et le transfert de deux des trois services de sécurité de l’Autorité au ministre de l’intérieur, soumis lui-même à la tutelle exclusive du premier ministre.



Faut-il préciser que la signature réclamée par les députés correspond précisément à l’engagement pris par Yasser Arafat envers la présidence égyptienne ? Convaincre le reclus de déplacer la botte qu’il maintient sur la tête de tous les Palestiniens avait déjà nécessité d’immenses pressions internationales, le renforcement du statut de Mohamed Dahlan ainsi que des palabres infinies, ponctuées d’envolées hystériques fréquentes de la part d’Abou Ammar.



Volte-face numéro 317 - je vous avais prévenus que ça allait se passer de cette manière, souvenez-vous ! – Arafat refuse de signer. Il a dit "que l’Autorité Palestinienne avait fait certaines erreurs", ajoutant rapidement que "tout le monde faisait parfois des erreurs" et il prétend que cela suffit. Le parlement n’a qu’à endosser son discours et le gouvernement "faire ce qu’il se sent en droit de faire".



Les députés sont revenus à la charge, la semaine dernière, en nommant un comité de quatorze de leurs membres, censé négocier avec Arafat la rédaction d’un décret utilisable afin de permettre au gouvernement et aux tribunaux de prendre les mesures pratiques, urgentissimes, pour mettre en place les réformes et tenter d’endiguer la gangrène de la corruption.



L’un de mes amis, faisant partie de ce comité des quatorze, m’a confié que lors d’une rencontre avec le Vieux, celui-ci a été pris soudain d’une sorte de transe, qu’il les a expulsés de son bureau tout en les insultant, en les menaçant de les pendre, en leur crachant dessus et en les molestant.



"Il nous a appelés ‘agents de Sharon et envoyés de Moubarak et de Bush’", m’a assuré mon ami. "Ses yeux sortaient de leurs orbites, il jouait au fou !"



Mais cette fois, personne ne lâche de mou : Réunis hier à nouveau en séance plénière, le CLP a approuvé les recommandations du comité des quatorze, par 31 voix contre 12. "Si Arafat ne paraphe pas le décret, nous allons tous démissionner", m’a dit un autre député. Et un troisième a affirmé publiquement "qu’on ne combattait pas la corruption avec des mots et des discours mais avec des lois et des décrets".



Le général Omar Suleiman, le chef des renseignements égyptiens, jugeant que le reclus lui avait menti, a coupé tous les ponts avec lui, engageant les Européens et les Américains à suivre son exemple, "jusqu’à ce qu’Arafat respecte les engagements qu’il lui a faits".



Le Premier ministre Ahmed Qoreï a "gelé toutes ses activités".



Pendant ce temps, pour ne rien arranger aux affaires d’Arafat, sa campagne de diversion visant à mettre la pression sur les Israéliens, par le déclenchement de la grève de la faim des prisonniers sécuritaires détenus par les Hébreux, a déjà fait long feu. Les manifestations de soutien organisées dans les territoires par l’OLP n’ont pas déplacé les foules et les images diffusées par Jérusalem des détenus – dont Marwan Barghouti – en train de manger, ou de dissimuler des vivres, ont fait capoter l’affaire. Ce qui préoccupe réellement la rue palestinienne, aujourd’hui, c’est le rétablissement de l’ordre et de la loi, la possibilité de se nourrir et la fin des privilèges démesurés dont disposent les ministres et les proches du raïs.



Par contre, Arafat a rencontré par trois fois, ces derniers jours, son pire ennemi, l’option à sa succession des coalisés, Mohamed Dahlan. Le résidant forcé de la Moukata avait, dans un premier temps, tout fait pour repousser chaque entretien prévu aux Calendes grecques et chaque fois à la dernière minute."Il lui a fait le coup au moins cinq fois, de façon très humiliant pour Dahlan" m’a rapporté un employé de la Moukata, "puis il nous a dit qu’il valait mieux rencontrer le diable que ses émissaires et il a ouvert sa porte à Dahlan". La première rencontre fut glaciale, l’ex chef de la Sécurité Préventive, licencié par Arafat, se contentant de répéter à son hôte les conditions de l’ultimatum international ainsi que son intention de prendre le contrôle absolu de Gaza, si le Vieux ne s’exécutait pas.



Maintenant, il est question de nommer Dahlan au poste de ministre de l’intérieur, d’où il contrôlerait les appareils de sécurité. Dahlan consulte Suleiman et les advisers de la CIA. On craint une nouvelle entourloupe, de nouveaux délais. Et c’est pour cela que le Vieux ne signe pas le décret, "sinon il n’aurait plus rien à vendre", m’éclaire un camarade de l’entourage de Dahlan.



Les discussions s’étant mises à traîner, à l’initiative d’Arafat, un commando de Dahlan a agressé hier (mercredi) – et volontairement laissé en vie – le numéro 1 par intérim des forces du raïs à Gaza, le général Tarek Abou Rajab. Ils ont tué ses deux gardes du corps et sérieusement abîmé le familier d’Arafat, au point qu’il se trouve toujours aux soins intensifs de l’hôpital d’Ashkalon en Israël. Histoire de faire comprendre à l’ogre qu’on a besoin de lui uniquement à titre symbolique et qu’on fait déjà ce qu’on veut sur le terrain.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 26 août 2004 - 16h55:

 LE DRAPEAU

Enfin, notre HIRONDELLE BAZOOKA nous offre les prémices d'un PRINTEMPS ISRAELIEN...Nous attendons nos sentiments.

AU NOM DE TOUS LES NOTRES.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 26 août 2004 - 16h51:

AGENCE SHARON/BREITOUNA...DE MON CORRESPONDANT PARTICULIER...


JO: PMédaille d'or historique pour le véliplanchiste Gal Friedman
[2004-08-25 15:16]


ATHENES (Reuters) - Le véliplanchiste Gal Friedman est devenu à Athènes
le premier Israélien à remporter une médaille d'or olympique.

Friedman a remporté le titre en Mistral en prenant la deuxième place de
la 11e et dernière régate.

La médaille d'argent revient au Grec Nikolaos Kaklamanakis, qui avait
allumé la torche olympique lors de la cérémonie d'ouverture.

Le Britannique Nick Dempsey monte sur la troisième marche du podium
grâce à sa victoire dans la dernière manche.

Israël a participé pour la première fois aux Jeux olympiques en 1952 à
Helsinki et a du attendre 40 ans et les Jeux de Barcelone pour gagner
une première médaille, en judo.

Friedman avait pour sa part déjà remporté une médaille de bronze à
Atlanta en 1996. Il a également été champion du monde en 2002.

"Pour nous, c'est un rêve qui devient réalité, quelque chose dont nous
rêvions depuis nos premiers Jeux olympiques en 1952", a déclaré Gilad
Lustig, responsable de l'équipe israélienne, dans un communiqué.

"Gal Friedman est notre plus grand athlète. Voir notre drapeau hissé et
entendre notre hymne national lors de la cérémonie de remise des
médailles est quelque chose que nous attendions depuis longtemps",
a-t-il ajouté.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le jeudi 26 août 2004 - 16h51:

Albert, hummm, y'a pas que des gars ici, merci pour elles ...

Oui en effet, beaucoup de supporters israeliens avaient fait le deplacement pour la medaille d'or, ils etaient tous tres emus au moment de la remise, nombreux avaient les larmes aux yeux sur place (y compris Limor Livnat la Ministre de l'Education et des Sports qui a fait le deplacement), ou devant leur poste de TV.

D'apres les commentaires des presents, l'HaTikva a ete entonee en coeur tellement fort par tous,
-- surtout le couplet final que vous connaissez, tellement il est significatif : "Lihiot am rofshi beeeeeartzeeenuu, Eretz Tsyiiion Yerushalaaaayiiiim !" --, que les supporters Grecs et Britanniques venus pour les medailles d'argent et de bronze en sont restes ebahis.

Pour la petite histoire, la coutume de "l'enveloppement dans le drapeau national" a ete lancee par Arik Zeevi aux Championnats du Monde de Judo en Allemagne, elle correspondait a un geste symbolique voulu par le sportif, sur le sol Allemand.
Depuis qu'il a repris cette coutume a Athenes, de nombreux autres medailles l'ont adoptee sur le podium.

Ah, ces Israeliens, toujours les premiers a montrer le mauvais exemple !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 26 août 2004 - 16h46:

Excusez moi si je vous coupe la parole à l'heure du déjeuner ou de la sieste...L HARISSA EN VAUT LA CHANDELLE...

LE VENDEUR D’ HARISSA.

Il n’a pas d’échoppe, son fond de commerce se trouve sur lui, oui , il le trimballe sans que nous le voyons. En fait, ce nabeulin très aisé ne paye pas de mine. Une figure ingrate, la soixante, les mêmes vêtements mal repassés et une voix ‘ rocarde’ qui n’attire pas de sympathie.
Autant le dire.

Il est fabricant d’harissa à domicile, ou si vous voulez, il prépare son HARISSA MAISON qu’il vient proposer soit aux dames dans les cafés et restaurants de BELLEVILLE ou carrément chez les commerçants juifs du quartier.

Il ne rate pas l’occasion de venir me proposer sa matière en faisant l’éloge sur son condiment…

‘…HERICHE DIARI OU HARA… ! Je ne connais vraiment pas d’harissa qui ne soit pas piquante. Toujours le même leitmotive…

‘..MAR’TEQ CHRET MEN YANDI JOMAA LEKHRA…( Ta femme vient de m’en acheter la semaine dernière ) or si ma femme en a achetè un kilo, je ne vois pas comment une semaine après, nous en manquerions, l’harissa n’étant pas un ragoût que l’on lèche comme la BSAL OU LOUBIA et en plus il ment parce que ma femme achète son harissa de NABEUL en boite dans les super marché, donc il veut m’emboîter. Je lui réponds invariablement ‘…LOUKEN MARTI CHRET, ET TAADELE JOMMA JEYE….( Si ma femme en a acheté passe la voir la semaine suivante).

Il insiste du regard et las d’attendre une commande qui ne viendra pas, il continue son chemin tout en me toisant par du regard.

Il doit être en ce moment un peu déçu, car j’ai change de quartier depuis et il a perdu un bon client HARISSIEN.

Dans qq jours je quitte ADRA, à mon grand regret.
MERCI DE M'AVOIR SUIVI ICI.

RM.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le jeudi 26 août 2004 - 16h28:

LE BOUSSADIA Ou le saltimbanque de rue.

Dans la rubrique spectacle et afin de satisfaire la curiosité de notre BABA EMILE, voilà pour vous le BOUSSADIA, ce personnage d’autrefois disparu, danseur de rue, haut et en couleur….Pour ceux qui l’ont connu. En Tunisie.

Son visage était inconnu, il aurait pu être un voisin sans que nous le sachions, en tout cas son agilité et sa façon de tournoyer comme les derviches tourneurs turcs, nous donnait plutôt l’impression qu’il était un homme rurale, à un campagnard qu’à un citadin.

Un homme du Sud, certainement.

Ma première rencontre avec lui et je me rappelle très bien de cela, était empreinte de peur, je me suis caché derrière mon père, qui me caressait la tête en signe d’apaisement.

Voir pour la première fois, un homme ainsi accoutré de la sorte, effrayait les enfants.

Il portait un masque d’où apparaissait ses yeux, un peu comme ses masques chinois que ces derniers portent lors de leur fête du TET. Jour de l’an chinois. Moins imposant et surtout pas aussi colorié. Il portait une tenue en haillons, je dirais des ‘ frebèl’, une sorte de robe de couleur hétéroclite, coupée en lanière par dessous un pantalon de toile très légère. Il était ceint aussi d’un grand ceinturon clouté. Ses habits étaient amples, ainsi il pouvait évoluer dans ses danses, sans musique, sauf qu’il était accompagnés par ses cymbales en fer ou en cuivre…

Il tournoyait donc au rythme de son TCHIC TCHI CA…Qui ne semblait pas s’arrêter. Je dirais un rythme indigène qui n’était pas loin de ressembler à ces danseurs africains..

Elles étaient par paire, ces claquettes, qui ressemblaient à de petites pagaies, retenues par un cordon de cuir ou ficelle, qu’il maniait adroitement.

Il les pinçait d’une façon très rapide et habile afin de créer des notes tantôt graves tantôt aiguës. Donc, quand il estimait que le laps de temps de danse et de musique étaient suffisant, il stoppait net sa danse et ses sons pour recevoir le fruit de ses efforts; là tout le monde reculait en élargissant le cercle puis, tout en nous toisant toujours en arrêt et sur place, pieds nus, il s’avançait vers nous d’un pas lent pour recevoir une obole que les grands mettaient dans une de ces cymbales décalée par rapport à l’autre, et comme par enchantement, il la soulevait à hauteur de ses lèvres et avalait carrément la pièce. Du moins c’est ce que nous croyons.

Nous pensions vraiment qu’il l’avalait alors , que par un tour de magie dont il était le seul à connaître le secret, il l’introduisait à notre insu dans une petite pochette placée sous son menton, mais caché à nos yeux de gamins.

Son masque faisait office de paravent. Nous étions enchantés par son tour de passe -passe.

Ses pas de danse ressemblent étrangement aujourd’hui, à ceux des jeunes danseurs de rue que je vois à Paris, et dont j’ignore le nom . Peut être de la CAPOUERA, danse brésilienne branchée des boites de nuits latinos.

LE BOUSSADIA dansait un peu comme eux, ou plutôt ces jeunes dansent comme lui, avec de larges cercles , des arrêts lents parfois brutaux, des petits sauts sur place, et des trépignements ; parfois LE BOUSSADIA se mettait à genoux pour faire tournoyer sa tête , tout en remuant ses épaules, un peu comme nos femmes juives prises par les ‘jnouns’, lors d’un RBAYBIYA.

Et s’il était jnoun…LE BOUSSADIA…. ??? TCHIC TCHI CA…TCHIC TCHI CA…§§§§§§§§….STAMBOULI……§§§§§§§…TCH…..TC…..tc…. :) :) :)

Voila Emile as tu une autre version des faits qui compléterait la mienne….?

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 26 août 2004 - 15h28:

 GAL MEDAILLED OR

 GAL

Piquèes chez ma cousine HAJKLOU FETE...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 26 août 2004 - 15h20:

Mon envoyé spécial, me rapporte que lors de la levée du drapeau ISRAELIEN en même temps qu'était chanté l'hymne d'Israël, une foule de fan israéliens était présente et accompagnait le chant; des personnes non juives qui assistaient à ce moment solennelle et unique ont été très émues.

Pourriez vous nous en dire plus, merci…Les gars..