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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mounia (Mounia) le mercredi 25 août 2004 - 18h41:

Annulation du Visa de travail de Tariq Ramadam dans une université américaine
mercredi 25 août 2004, par Abou Sofiane (Naros News)

L’intellectuel musulman suisse Tariq Ramadan ne pourra pas prendre ses fonctions de professeur dans une université catholique aux Etats-Unis après une décision de l’administration américaine de révoquer le visa qu’elle lui avait accordé, ont indiqué mardi des responsables de l’université.

Tariq Ramadan avait annoncé fin janvier qu’il avait été nommé professeur à l’université catholique Notre Dame située près de la ville de South Bend (Indiana, nord), où il comptait se rendre pour un an à partir de cette semaine.

Il devait donner des cours sur les rapports entre religion, conflit et promotion de la paix, à l’université située non loin de Chicago, dans l’Etat voisin de l’Illinois.

M. Ramadan, 41 ans, a obtenu en février un visa de travail américain et son déménagement était déjà parti pour les Etats-Unis lorsqu’il a été prévenu que le département d’Etat américain avait annulé son permis de travail le 28 juillet, selon des responsables de l’université.

Les services de l’immigration et des douanes (ICE), qui avaient recommandé au département d’Etat de retirer le permis de travail, ont refusé de préciser les raisons de ce revirement brutal.

"D’une manière générale, le critère pour une révocation est lié à la sécurité du public ou de la nation", a dit Russ Knocke, un porte-parole de l’ICE, dépendant du département américain de la sécurité nationale.

M. Ramadan, joint chez lui en Suisse par le journal Chicago Tribune, s’est refusé à commenter la décision de l’administration américaine.

"Le professeur Ramadan est un universitaire brillant et un partisan de la modération dans le monde musulman", a dit un porte-parole de Notre Dame, Matthew Storin.

"Nous ne voyons aucune raison de ne pas le laisser entrer" aux Etats-Unis, a-t-il ajouté, en se montrant inquiet pour les conséquences sur "la liberté et l’indépendance universitaires".

La décision "envoie un mauvais message au monde musulman sur la volonté de l’Amérique d’écouter ce que les musulmans ont à dire", a déclaré dans un communiqué le Conseil sur les relations américano-islamiques (CAIR), une importante organisation musulmane américaine.

La nomination de M. Ramadan, petit-fils du fondateur des Frères musulmans, Hassan al-Banna, avait provoqué des remous dans les milieux juifs aux Etats-Unis.

Tariq Ramadan enseignait l’islamologie à l’université de Fribourg en Suisse. Il est considéré comme l’un des porte-drapeaux de l’islam en France, où il avait débattu à la télévision en novembre dernier avec le ministre français de l’Intérieur de l’époque, Nicolas Sarkozy.

Il avait suscité une polémique en octobre dernier, en France, en publiant une tribune libre où il accusait des intellectuels "chéris des médias" de défendre Israël par réflexe communautaire.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Cacouboulou (Cacouboulou) le mercredi 25 août 2004 - 17h33:

Cacouboulou :

Mcha Lel Matmata Oujabli Kilou Batata
Kilou Batata Bach Entayeb El A'Chi Yamma Ala Elhouli .

Chnouada Tawa T’rahni
Kin Al Rahni M’tal Dari
Kharjou Galbi
Mcha Fel Bledi...

Signe : Cacouboulou Premier.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 25 août 2004 - 16h17:

3855154921

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le mercredi 25 août 2004 - 15h52:

Lire les ACCENTS, en dehors de la France

J’avais remarqué, chez moi ainsi que chez mes amis en Israël, que dans un texte français les lettres qui prenaient des accents étaient reproduites, par l’ordinateur, par des signes bizarres. Avec le temps, il m’a fallu trouver une méthode de décodage pour pouvoir ‘retraduire’ ces signes.

Le problème est double quand on veut lire un article qui contient des mots en Judéo-arabe, là notre cerveau a besoin d’un double système de transformation. Des fois, le travail devient pénible, on perd le plaisir de la lecture et on renonce.
Je crois que ce problème existe dans tous les pays non francophones.

L’écriture avec ‘accents’ n’est pas simple non plus. ‘Windows’ nous offre un ‘clavier français’ mais il faut vraiment être champion pour pouvoir maîtriser les 3 genres de claviers, Anglais, Hébreu et Français.
Personnellement j’écris tout avec ’l’anglais’, je passe ensuite au ‘français’ pour corriger la plupart des accents, puis je passe au correcteur d’orthographe pour les autres signes (les trémas, accent circonflexe etc..). Je préfère cela à l’écriture sans accents ou en lettres majuscules.

Depuis quelques temps j’ai pu résoudre le problème de la lecture et j’ai beaucoup plus de plaisir à lire les articles sur Harissa. Je voudrai partager cette méthode avec nos amis lecteurs :

1- Ouvrez Harissa à la page ‘accueil’, ‘sommaire’ ou autre pour lire le titre de votre article choisi, ne l’ouvrez pas !.
2- Cliquez sur le titre choisi avec le coté droit de la souris
3- Sélectionnez (dans la ‘fenêtre’ qui s’est ouverte la commande « Save target as »
4- Choisissez dans la grande fenêtre qui s’ouvre l’endroit où vous voulez placer votre texte … et attention !!
5- Dans la fenêtre qui contient le nom de l’article, effacez le suffixe « .htm » et tapez « .doc ».
6- Cliquez « Save »
7- Maintenant ouvrez le document où vous avez placé le texte et cliquez sur son titre.
8- Bonne lecture, mais pour les photos il faut retourner au texte original sur ‘accueil’
9- Vous pouvez le garder, l’imprimer, ou bien l’effacer après lecture.

Je suis sur qu’une méthode semblable doit exister, mais je l’ai vainement cherchée. Celle la répond bien aux besoins et a été vérifiée sur des dizaines de cas.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Shira (Shira) le mercredi 25 août 2004 - 13h42:

L'israelien Gal Fridman: medaille d'or en competition Mistral. Mabrouk!!!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 25 août 2004 - 14h38:

plancheC:\Documents and Settings\Corinne\My Documents\My Pictures

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 25 août 2004 - 14h08:

YESH LANU MEDALIAT ZAHAV !!!!!

Preparez-vous a entendre l'HaTikva ce soir a 19h20 (heure de Paris), Gal Fridman a remporte la medaille d'or de Planche a Voile aux J.O. d'Athenes !
Historique, la premiere medaille d'or jamais remportee par Israel !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le mercredi 25 août 2004 - 09h59:

Une explication… 4ème partie (info # 012308/4) [analyse]
par Stéphane Juffa © Metula News Agency



Hallucinatoires et hallucinantes ! Ce sont les termes que j’ai employés plus haut dans cet article, afin de qualifier les postulats psalmodiés par Yasser Arafat, et qui sont censés établir le caractère colonialiste des méthodes de combat des uns et des autres lors du présent conflit. Conditions en l’absence desquelles l’Intifada n’est pas une guerre de décolonisation, selon les critères établis par Fanon.



Impossible, en tous cas, pour tout journaliste et pour n’importe qui d’autre, d’ailleurs, d’établir la véracité de la moindre des affirmations du reclus de la Moukata de Ramallah sur ce sujet. On va, du reste, faire l’économie de se livrer à une nouvelle analyse circonstanciée de ces allégations, puisque la Ména a déjà pris la peine de les disséquer, de long en large et par le détail, lors de précédentes interventions.



Lors, si l’armée d’Israël n’utilise pas de stripteaseuses-flingueuses pour assassiner les jeunes combattants palestiniens (in Al-Hayyat Al-Jedida, l’organe de presse officiel de l’Autorité Palestinienne), qu’elle n’empoisonne pas les puits de Gaza ni de Jéricho, que l’artillerie de Tsahal n’est JAMAIS intervenue lors des deux Intifadas, les critères théoriques d’une guerre de décolonisation ne sont pas réunis.



Reste à se pencher sur le pan palestinien des actes de ce conflit. Tandis qu’il diabolisait les actes de guerre des militaires de l’Etat hébreu, Yasser Arafat créait de toutes pièces les "sauvages" et les "ruines humaines" décrits dans "Damnés de la terre", lorsqu’il prit la décision d’instrumenter le terrorisme à l’extrême, afin de faire progresser ses finalités. Il est, à ce titre, le premier responsable politique musulman des temps modernes, avant même les attentats de New York, à avoir mis à l’œuvre les activistes palestiniens sujets au désespoir, dans leur rage privée de logique, pour commettre des assassinats-suicides contre des non musulmans. En vérité, et c’est là un choix assurément singulier, Arafat a décidé d’exclure artificiellement les comportements logiques de la cause palestinienne, tant au niveau des Brigades des Martyrs d’Al-Aksa, qu’il a façonnées et des autres terroristes kamikazes d’Ezzedine el-Qassam, dont il a instrumenté les interventions, que de son discours politique. Pour s’en tenir aux thèses du philosophe antillais, Arafat a sciemment, par choix stratégique, rendu la Palestine "incontrôlable". Disposant d’une entité politique sur le chemin de l’indépendance, au début des années quatre-vingt-dix, disposant de services de police, d’un embryon de système judiciaire mais aussi d’un aéroport international et d’une représentation officielle aux frontières de la Palestine, il a opté pour le sabordement général, au moment où la communauté internationale lui offrait un partage sensé de la Palestine, des frontières sûres et reconnues, l’indépendance et la paix.



Il a opté pour la "rébellion", en s’activant, largement plus que de raison, à lui donner une coloration fanonienne. Et c’est là qu’intervient, n’en déplaise aux "ex" et à leur nostalgie algérienne, la prépondérance de la factualité d’une situation, de l’identification authentique des actes d’un conflit ainsi que la nécessité de la crédibilité du discours révolutionnaire sur le discours délirant. C’est là que la réalité du meurtre de Mohamed A-Dura aurait caractérisé le comportement inhumain des Israéliens "colonialistes", alors que l’étalement de sa mise en scène dévoile la volonté de victimisation de la part de révolutionnaires fantoches. En d’autres termes, n’est pas fanonien qui veut ; n’est pas un chef anticolonialiste celui qui prétend l’être. Il ne suffit donc pas de crier au génocide permanent, à l’éradication factice de Jénine et d’affirmer que le Temple de Salomon n’a jamais existé pour transformer les Israéliens en colonisateurs aux pratiques inhumaines et pour devenir opprimé.



Le petit raïs a ainsi joué le banco, avec pour mise l’avenir du peuple palestinien en guise de jetons, afin de faire identifier sa lutte à une guerre de décolonisation typique. Il a voulu, et il veut toujours, même au prix de la perte totale de crédibilité de la cause palestinienne, imposer la relation "oppresseur-opprimé" entre lui et ses adversaires israéliens. La tentative arafatienne peut convaincre les très crédules, les antijuifs pathologiques, les kapos et la plupart des "ex" (certains individus pouvant appartenir à plusieurs de ces catégories à la fois). Elle est cependant le fruit d’un choix anthropophage, comme l’a exposé Sami el-Soudi, qui participe à restreindre le champ des aspirations territoriales raisonnablement accessibles pour un futur Etat palestinien. Le temps passant, comme à son habitude, crée de nouvelles réalités géopolitiques qui avalent les chimères sans même les mâcher : La misère croissante de la population palestinienne, la chute de l’allié Saddam Hussein, la Syrie et l’Iran sur la défensive, la lassitude des grands pays arabes face aux élucubrations du faux "révolutionnaire de la Moukata", leur soutien à l’opposition armée à Arafat ont généré une nouvelle réalité stratégique sur le terrain. Elle n’est pas à l’avantage des Palestiniens, elle marque une régression sensible relativement à l’offre de Camp David.



Si, en 2000, Arafat avait accepté le plan Clinton-Barak, un Etat palestinien existerait aujourd’hui sur 97% du territoire jordanien d’avant 67. Cet Etat contrôlerait les quartiers arabes de Jérusalem et l’esplanade des mosquées. Suite au choix stratégique d’Arafat, nombre d’observateurs s’accordent pour constater, qu’à l’heure actuelle, les Palestiniens ont perdu pied dans la ville trois fois sainte et qu’ils peuvent également faire leur deuil des "trois grosses concentrations d’implantations juives en Cisjordanie".



Le choix d’Arafat, de s’identifier aux thèses de Fanon, plutôt que de s’occuper du devenir de son peuple, pour dramatique qu’il est, n’est pas à proprement parler surprenant. Le vieux leader palestinien est en effet un disciple de l’école soviétique, et avec lui toute la vieille garde de Tunis au grand complet, y compris Mahmoud Abbas. Ils ont été nourris des préceptes inculqués à l’université de la décolonisation Patrice Lumumba à Moscou, ceux-là mêmes qui instauraient les théories de Frantz Fanon en véritables dogmes opérationnels.



Certes, les "ex" des principes de la décolonisation, façon soviétique, ne sont pas les "ex" français, dont nous parlons tout au long de cet article, tenter de les confondre serait faire acte de propagande. Reste qu’ils suivaient souvent les mêmes chemins et pendant qu’en Afrique ces dogmes soulevaient les peuples, à Paris, ils formaient les esprits. Pour ceux qui s’imaginent, malgré cela, que Frantz Fanon serait un penseur marginal de la décolonisation, j’aimerais citer quelques lignes, tirées de la préface de Jean-Paul Sartre pour "Damnés de la terre". J’aimerais les citer sans ajouter mon commentaire :



"(…) Terrifiées, oui: en ce nouveau moment, l’agression coloniale s’intériorise en Terreur chez les colonisés. Par là, je n’entends pas seulement la crainte qu’ils éprouvent devant nos inépuisables moyens de répression mais aussi celle que leur inspire leur propre fureur. Ils sont coincés entre nos larmes qui les visent et ces effrayantes pulsions, ces désirs de meurtre qui montent du fond des cœurs et qu’ils ne reconnaissent pas toujours: car ce n’est pas d’abord leur violence, c’est la nôtre, retournée, qui grandit et les déchire; et le premier mouvement de ces opprimés est d’enfouir profondément cette inavouable colère que leur morale et la nôtre réprouvent et qui n’est pourtant que le dernier réduit de leur humanité. Lisez Fanon: vous saurez que, dans le temps de leur impuissance, la folie meurtrière est l’inconscient collectif des colonisés.



(…) Cette violence irrépressible, [Fanon] le montre parfaitement, n’est pas une absurde tempête ni la résurrection d’instincts sauvages ni même un effet du ressentiment: c’est l’homme lui-même se recomposant. Cette vérité nous l’avons sue je crois, et nous l’avons oubliée: les marques de la violence, nulle douceur ne les effacera: c’est la violence qui peut seule les détruire. Et le colonisé se guérit de la névrose coloniale en chassant le colon par les armes. Quand sa rage éclate, il retrouve sa transparence perdue, il se connaît dans la mesure même où il se fait; de loin nous tenons sa guerre comme le triomphe de la barbarie; mais elle procède par elle-même à l’émancipation progressive du combattant, elle liquide en lui et hors de lui, progressivement, les ténèbres coloniales. Dès qu’elle commence, elle est sans merci. Il faut rester terrifié ou devenir terrible; cela veut dire: s’abandonner aux dissociations d’une vie truquée ou conquérir l’unité natale."



On a vu que les péripéties de l’Intifada n’étaient pas celles d’une guerre de décolonisation, que les rôles définis par Fanon n’étaient pas tenus. Cela n’exclut cependant aucunement qu’Israël fût elle-même une colonie ou, à tout le moins, que les implantations fussent les colonies de l’Israël d’avant 1967. De ces deux questions, et des confusions entretenues entre elles, il nous faudra parler, entre autre, dans la suite de cette série d’articles.





A suivre…

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 25 août 2004 - 09h29:

Tawfiq,

Il doit d'abord à mon humble avis convaincre sa CUISSE LATERALE avant celle de son aile libérale.

Quand à la YAWADIYE, j'ai quatre noirs mta baba rabi, que je vais accoutrer en BOUSSA DIYA avec BENDIR ou SAKSSAKA.

Pour les statues moi j'ai celle de la MADONNE apporte la tienne et chacun défilera au pas, tout en SOLIDARITE....
TAWFIK...Si tu as une bande toi aussi...IMPLANTE .......LES IMPLANTS SONT A LA MODE EN CE MOMENT......

QUE CEUX QUI NOUS AIMENT NOUS SUIVENT...NOUS VAINCRONS....

Bon laissons à présent la politique prendre ses quartiers d'automne, ici, sinon on va tous se faire renvoyer et on se retrouvera à L ANPE...


BANDE DE DELURES.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Toufiq (Toufiq) le mercredi 25 août 2004 - 06h12:

bien entendu je viens tout juste d'avoir ben ali sur son portable personel et il a accepte toutes mes propositions,et en plus il a offert de retirer
toutes les implantations non seulement de la goulette et de sfax mais de la tunisie toute entiere.
le roi d'arabie a en effet offert tout le quart vide de la peninsule a gomme arabique pour heberger les populations retirees dans ce nouveau pays baptise ( a l'eau benite de tataouine les bains )"ismael",
d'ailleurs on croit savoir de source non autorisee
que des cuisinieres solaires ont deja ete installees pour la cuisson des briks et dea braks
(briks sans oeufs pour les vegetaliens)
un tres tres grand bac a sable a ete prevu pour les tout petits,ainsi que des sables pour leur goute.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bekhor (Bekhor) le mercredi 25 août 2004 - 02h19:

TOUFIK TU DOIS ETRE BIEN PLACE POUR LUI DEMANDER

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Toufiq (Toufiq) le mercredi 25 août 2004 - 01h53:

le bandes de la goulette et de sfax sont de tres bonnes idees,cepandant que faudrat il faire des implantations tunisiennes?
ben ali parviendra t il a convaicre l'aile droite de son parti pour un retrait unilateral?

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bekhor (Bekhor) le mercredi 25 août 2004 - 01h14:

BRAVO BEBERT,
dis moi chacun fait ses statuts? ou des statuts communs a nos deux bandes?

BRASS BOUK, METENSECHE EL AWADIYA DANS LA MARCHE AVEC LE ALLOUCHE

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 24 août 2004 - 23h55:

EMILE YE BABA,

Je suis entrain de statuer....Suite à l'appel de notre PATRIOTE MR RICHARD...YERHAM OUELDIK YE BABA...BREITOU VA BIEN ....


Mon cher Hai Bekhor,

A la lecture de votre appel solennel, laissez moi vous dire combien mon émotion est grande.

Je souscris à cette idée géniale, O combien généreuse et pleine de charité juive. Qui mieux que vous et nous pouvons donner un tel élan, à tous ces récalcitrants qui piétinent d’impatience à voir enfin ce vœu se concrétiser.

J’entends déjà leur roucoulement qui deviendront plus tard des cris de victoire.

J’ai pris mes dispositions en ce jour de l’an de grâce à D ieu pour mettre en marche une petite armée pacifique avec tambours et trompettes pour conquérir LES TERRITOIRES PERDUS DE NOTRE PAYS…

Nous marcherons avec un ALLOUCHE par devant recouvert par au drapeau SFAXIEN,GOULETTOIS et BEJAOI….Du moins en partageant équitablement les couleurs ; a droite les armoiries de ma cité, à gauche les vôtres et sur la tête de notre chère mascotte UNE POULE MDARDRA…dodue afin que nos droits nous soient restitués. Nous fermerons la marche par une fanfare BLED OU ZOUKRAH…

RIEN N EST IMPOSSIBLE AUX VALEUREUX QUI COMME NOUS SAVONS BRAVER
LES STIGMATES DE NOTRE DOULEUR.

ALBERT alias JANO, BELEBOU, BREITOU…FILS DE DEIDOU ET HAYE PETITS FILS DE BREITOU ET JOULIE z’al.

R.M. CHALOM OU BRAKHA.

LA BANDE DES LIBERTES.