Archive jusqu'au 17/juillet/2004

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2004: Commentaires de Juillet 2004: Archive jusqu'au 17/juillet/2004
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Pauline (Pauline) le vendredi 16 juillet 2004 - 19h22:

A l'approche de Ticha Beav, conserver le souvenir du temple detruit. Croire en sa proche recontruction!



Une nouvelle et importante initiative dans le cadre des enregistrements du Rav Zecharia Zermati et de l'institut Torat Emet a Jerusalem:



L'enregistrement integrale et inedit des Kinot du 9 av et celui de la Meguila de Ek'ha.



Plus de 50 kinot re-enregistrees de facon didactique selon l'ordre du fameux livre " Kol Te'hina" et selon les precisions des Sages d'Afrique du nord.



Ce disque de qualite d'une duree de 64 minutes comprend aussi les lois et coutumes de ce jour.



Disponible en librairies francaises (Galia; Mazel Tov) au prix de 60 shekels ou bien en France a Paris (Colbo, Ness Musique, Diasporama, la librairie du Temple) au prix de 20 Euros.



Ou bien (d'Israel uniquement, directement a l'Institut Torat Emet par voie postale, plus 5 Shekels de port); existe aussi avec la version des lois et coutumes en hebreu (a la Sifria Sefaradite).



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Merveilleuse et originale idee de cadeau pour les amoureux de la liturgie ou pour un Bar Mitsva !



Le coffret au complet de la liturgie nord Africaine comprenant les 4 disques deja edites:

les Seli'hot du mois de Eloul, la Meguila d'Esther, la Haggada de Pessa'h et le chant du Hallel, les Kinot de Ticha Beav; chaque enregistrement de qualite presente aussi les lois et coutumes de circonstance selon les Decisionnaires d'Afrique du nord.



Offre spéciale !! Le coffret des 4 disques

En Israel: 190 shekels (quantite tres limitee)

En France: 65 Euros (y compris livre Torat Emet)



Cliquez ici pour entendre un extrait : http://www.francophones.org.il/emet/kinot.mp3



Institut Torat Emet-Rav Zermati, rue Naftali 9/6 Jerusalem

Tel/fax : 972 2 6732919èì\ô÷ñ RAVZERMATI_TORATEMET@hotmail.com

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le vendredi 16 juillet 2004 - 18h48:

Très à l’Ouest d’Eden, 2ème partie (info # 011607/4) [analyse]
Par Ilan Tsadik © Metula News Agency



Coucou les rugbymen, j’imagine que vous m’attendiez avec au moins la même impatience que mes groupies du bord de mer. Halte à la pause d’auto pâmoison sans objet, on reprend la position accroupie et on descend son short sur le genou pour la suite de la séance de pan pan cul-cul aux orties de Galilée.



Avouez que vous l’avez cherché, les Tartarins bravaches, en vous hâtant de publier d’autres balivernes pendant que j’avais laissé ma plume à sécher. Tkssss…



J’avais voulu jouer avec vous au ballon ovale à hauteur de luzerne mais je m’aperçois en lisant la suite de votre chef d’œuvre homérique que c’est encore trop haut. Vous me contraignez ainsi à choisir l’option "demi hauteur de pâquerette" afin d’être à peu près sûr que vous m’entendiez bien. Excusez-moi de ne pas boire avec vous le thé des sportifs; il était déjà suffisant pour m’en dissuader d’affirmer que vous n’entendiez pas polémiquer avec le monde laïc mais étonnez-vous maintenant de ce que certains laïcs disposent de leur propre ontologie. La mienne m’autorise bien à dialoguer avec les diseurs de menteries spasmodiques, même avec les insulteurs chroniques mais pas avec les ceux dont la prestance littéraire tient des caractéristiques de la savonnette.



Pour mériter la dignité éthique à laquelle vous prétendez, il faut impérativement honorer son encre, le papier sur lequel il coule et les gens qui risquent de vous lire mais surtout, il faut "être". Par "être", dans une polémique, je dis qu’il ne faut aligner que les attaques que l’on sait pouvoir tenir. Quant aux savonnettes, elles abandonnent au pied levé les positions que leur détracteur a déconstruites pour se ruer à poser de nouvelles banderilles sur le dos d’autres cochons de manèges.



Comprenez pas ? Je vais de suite vous rafraîchir la mémoire : Vous commenciez par nous dire que Juffa avait sorti un rabbin sans importance d’une poubelle de Méa Shéharim dans le seul but de tancer des juifs vertueux et vous moquiez de l’influence que "l’obscur rabbin" pouvait avoir sur des assassins potentiels. Les sentences de mort que le rabbin Leventhal avait prononcées n’étaient à vous lire que des "tartes à la crème" relevées par un esprit antisémite.



Lorsque je vous fis savoir qu’un grand rabbin de l’Etat d’Israël considérait Leventhal comme un homme écouté, qui ne gîtait pas dans une voirie et que Meïr Lau avait sur les dangers de ses sentences une perception hilkhatique différente de la votre, sans attendre, vous vous mîtes en devoir de dénigrer son autorité judaïque. Assis sur la tranche de votre orgueil sans limites, vous ne laissiez à Lau que le mérite de sa déportation à Buchenwald.



C’est intellectuellement peu de chose, il faut en convenir, encore que, parfaisant votre jugement tout juste sorti de la cuisine de Jupiter, vous affirmiez sans frémir que la position de grand rabbin d’Israël, responsable du rabbinat du pays des juifs, choisi parmi tous ses pairs et par ceux-ci et par toutes les obédiences du judaïsme orthodoxe et hilkhatique, n’avait rempli "qu’une position honorifique et sans incidence sur le destin du peuple juif". Non contents d’avoir réduit ce pauvre homme à l’état de quasi profane, vous déduisiez que Lau tenait – lui aussi – des propos irresponsables et incitiez au schisme juif en affirmant que les Israéliens possédant leur raison n’avaient pas à reconnaître l’autorité du grand rabbin d’Israël ("depuis quand ceux qui sont bien dans leur tête doivent-ils revêtir son chapeau ?").



Et de conclure par une algarade ahurissante contre ce grand rabbin, mais aussi – et c’est plus préoccupant - contre l’autorité religieuse suprême proclamée par l’Etat juif et partant – et c’est infiniment plus grave encore – contre la capacité d’Israël à se choisir un rabbin ayant une incidence sur le destin du peuple juif… Vous appelez l’usage de ce droit "une blague"



C’est en dire beaucoup sur la disposition de la communauté juive d’Israël à constituer l’avenir de l’Histoire d’Israël. C’est beaucoup dire sur votre vision du sionisme, messieurs les rugbymen Bensoussan et Brodowicz, ainsi que les bayards terrés du collectif que vous prétendez avoir constitué.



Comprenne qui sait lire, vous prenne au sérieux celui qui le peut encore.



Voilà Meïr Lau puni – désintégré serait plus juste à dire – pour s’être mis en travers du sens que vous donnez aux choses, vous les phares encore inconnus de la conscience d’Israël.



Et lorsque je cite notre ministre de la police affirmant, dans la droite ligne de la sonnette d’alarme que tirait Juffa et dont vous riiez si fort, que des gens avaient déjà décidé d’assassiner un ministre, le Premier ministre, des officiers des services de sécurité "en imitation de l’assassin de Rabin, Ygal Amir", telle la savonnette, vous glissez sans remords – mais sans conscience aussi – sur votre précédente tentative de lynchage contre la personne de notre rédacteur en chef.



Soudain on vous prend à dire - avec ce sens de l’humour digne d’un bar accueillant une troisième mi-temps de votre sport favori – que "si Tsachi Hanegbi croit bon de s’inquiéter de ces passions mortifères que ruminent certains justiciers, nous le faisons avec lui".



Dans l’entourage d’Arik Sharon et dans les familles des serviteurs de la sécurité d’Israël, sachez que l’on se marre en se tapant sur les cuisses à l’idée du choix de vos mots quant au risque qu’ils encourent. Décidément, votre esprit est impayable.



Dommage qu’en glissant si vite le long de la baignoire, vous n’ayez pas vu s’évanouir l’argument principal de votre critique de l’article de Juffa. C’est qu’effectivement, vous venez d’être contraints de reconnaître que son interrogation sur les dangers que feraient courir les sentences hilkhatiques décrétées par certains rabbins sur la démocratie israélienne n’était pas seulement à sa place, mais que son traitement, vu le sérieux extraordinaire de la menace, ne souffrait pas le moindre retard.



Au temps pour l’imputation selon laquelle Stéphane Juffa, alias Céline, alias Faurisson construisait un prétexte inconsistant pour servir sa prétendue haine des religieux ! Il faut maintenant chausser vos godillots et aller courir dans la pelouse.



Il faudrait aussi que nos super rabbins, qui se prennent au moins pour le tétragramme (du grec Tetra = 4 et gramma = lettre) à juger le monde entier, fassent enfin bon usage de leur savon et se lavent la langue. Il ne suffit pas, en effet, que l’on affirme des choses – même eux – pour qu’instantanément elles deviennent parole d’Evan… de Halakha et qu’un miracle se produise qui effacerait toutes les incongruités qu’ils ont déjà écrites.



Ainsi ne suffit-il pas qu’ils écrivent "Il n’y a aucune insulte, ni première, ni directe, ni personnelle dans notre texte envers le rédacteur en chef de la Ména" pour qu’aussitôt la description "du vide absolu des connaissances de Juffa", "plumitif", "escroc", "ignorant", "Philippiste infantile", "bave", "vilain" – j’arrête là le flot des non-insultes de ces hommes dignes et éthiques, persuadé que tout le monde à compris l’affaire – s’évapore dans les airs tel le prophète Elie sur son char de feu.



Offenseurs et mythomanes, écrivais-je, mais aussi inventeurs de fables, toutes destinées à créer de toutes pièces le personnage d’un Juffa diabolique qui n’a jamais existé, afin de posséder quelques bonnes raisons d’essuyer sur son image la cambronne qui leur colle si fort aux pieds. Ainsi, hors le Protocole des Sages de France, notre rédac chef n’a bien évidemment jamais conçu l’idée d’une "Fatwa juive".



Il n’a jamais affirmé que "le néo-judaïsme ne s’enracinait nulle part dans la tradition mosaïque", pas plus n’a-t-il contesté que "le déclin des générations était un phénomène qui n’affectait pas l’humanité entière" et surtout pas que "ce déclin n’existait que dans l’esprit des néo-juifs".



Juffa n’a jamais pensé que "les crasseux piliers de ghettos de Lodz et de Lublin étaient à vomir" mais on ne peut en dire autant de ceux qui s’octroient le droit de concevoir une pareille tournure à partir du néant et de l’attribuer à notre ami, lors d’un exercice de haute voltige encore jamais osé par aucun diffamateur avant nos frères rugbymen.



Et puis, dans quel delirium tremens étaient-ils donc pris, lorsqu’ils ont affirmé que Juffa ignorait l’origine de l’expression "Pulsa de Nura" et de consacrer derechef, dans un dialogue de schizophrènes entre eux et eux, deux paragraphes à s’auto expliquer ce qu’ils ont convenu que notre directeur ignorait, pour finir ce morceau anthologique de folie écrite sur un triomphal : "Voilà l’origine !"



Somme époustouflante d’une malhonnêteté aux dimensions du stade de France ?



- Certes. Mais tous ces effets de manche et ces indignités à la petite semaine ne sont rien comparés à l’insulte suprême de leur espèce de feuille de match : A les en croire, Stéphane Juffa serait antisémite !



Celui sans l’obstination duquel la mise en scène de l’assassinat de Mohamed Al-Dura, la plus grande imposture jamais construite contre la moralité du peuple d’Israël, serait depuis longtemps tombée aux oubliettes de l’Histoire ? Celui sous l’impulsion duquel les journalistes de la Ména ont identifié puis déconstruit l’accusation des soldats juifs violeurs de Sara Daniel, du peuple méprisant et sadique d’Edgar Morin, peuple d’espions de Sylvain Cypel, de saccageurs et de pilleurs d’églises de la RTBF. Celui sous la direction duquel la Ména soutient à bout de bras l’honneur volé des juifs français, que voilà accusé d’antisémitisme par des coupeurs de citrons aux mi-temps des matchs des 6 Nations. Faut-il vraiment que nos oreilles entendent pareille démesure et que nos yeux la voient ? Que ne faut-il pas que les brutes exprimant de pareilles insalubrités ne connaissent les limites de l’autodérision, du sens des mots et de leur dangerosité. Que faut-il encore qu’ils aient cessé de craindre les effets de l’injustice !



Et quand Bensoussan, Brodowicz et leurs porteurs anonymes de haine gratuite voudraient en plus faire croire à leurs lecteurs que leurs comparaisons entre Juffa et Céline et entre Juffa et Faurisson ne veulent pas dire ce qu’elles veulent dire, persillant leur bavardage de quelque association ignoble a posteriori avec des malheureuses victimes d’Auschwitz et de Chelmno, histoire d’essayer de faire le poids, c’est comme si nous les comparions à Adolf Hitler en prétendant que ça n’est que pour faire comprendre que Bensoussan et Brodowicz portent la moustache…



A la fin de cette seconde partie de Très à l’Ouest d’Eden, je veux croire que même les incrédules ont au moins compris que Juffa n’a en rien agressé les juifs religieux, pas plus qu’il n’y a de guerre entre l’agence de presse de Métula et Guysen Israël News.



Quant à mon compte avec les joueurs du RC Lâche-moi-les-baskets, permettez-moi de vous dire qu’il est loin d’être soldé, tant il me reste de choses importantes à leur dire pour la qualité du débat public et celle de l’atmosphère que les enfants respirent.





Coup de pied à suivre…

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Suggest1 (Suggest1) le vendredi 16 juillet 2004 - 17h24:

Ist europa ‘YUDDEN’ rhein ??

BUDAPEST CASSE SON PATRIMOINE ;L’Express du18/07/2004

Malgré son architecture exceptionnelle, le quartier juif de la vieille ville est la proie des promoteurs.
Epargné par la Seconde Guerre mondiale, le quartier juif de Budapest se meurt sous les bulldozers au service des promoteurs. Témoin intact de l’Art nouveau, avec ses balcons aux ferronneries en forme de losange et ses huisseries, l’ancienne demeure d’un orfèvre vient ainsi d’être rasée. Une vingtaine d’édifices seraient menacés.
Dans les rues étroites se pressaient naguère artisans et banquiers, qui construisirent à tour de bras au tournant du xxème siècle. D’où la richesse d’une architecture qui mêle le néo classique et l’Art nouveau. Seuls quelques édifices sont classés. « C’est tout le district, unique, qui mériterait de l’être», insiste l’architecte Anna Perczel, qui, dès 1996, avait répertorié 97 bâtiments à protéger. Les Monuments historiques avaient commencé à les recenser, mais cette tâche reste inachevée, faute de moyens.
Adhésion à l’Union oblige, le prix du mètre carré flambe, atteignant 1400 euros. Souvent propriétaires, les municipalités préfèrent vendre plutôt que de restaurer.
«Après 1989, pour rompre avec le communisme centralisateur, on a doté les mairies d’arrondissement de tous les pouvoirs », explique l’écrivain Gyôrgy Konrad, enfant du quartier.
Ne supportant plus de voir Budapest mutilé, le cinéaste Istvan Javor vient de créer l’association Ovas pour sauver ce patrimoine, dont 30% pourrait disparaître. Alerté, l’Office des monuments historiques a décrété un moratoire d’un an. Trop tard pour les permis de détruire déjà délivrés.

Florence Labruyêre
HONGRIE
Budapest casse son patrimoine

Suggest1


Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le vendredi 16 juillet 2004 - 17h21:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Revue de presse HebdRomadaire & BouleItik

c:/


Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le vendredi 16 juillet 2004 - 09h20:

Pour ceux/celles qui se bercent d'illusions en pensant que les Socialos ou les Cocos sont pour l'emancipation de la Femme ...

Le Parlement autorise l'expulsion d'étrangers ayant appelé à la discrimination des femmes
LEMONDE.FR | 15.07.04 | 21h01
La proposition de loi qui complète la réforme de la "double peine" en autorisant l'expulsion d'étrangers ayant appelé à la discrimination contre les femmes a été définitivement adopté jeudi 15 juillet, après un ultime vote à main levée des sénateurs.
Le texte adopté à l'Assemblée nationale le 17 juin à l'initiative du président de la commission des lois, Pascal Clément (UMP), et du président du groupe UMP, Bernard Accoyer, a été voté dans les mêmes termes par les sénateurs jeudi, ce qui vaut adoption définitive par le Parlement.

En modifiant l'article 26 de l'ordonnance du 2 novembre 1945, il doit permettre d'expulser un étranger en cas d'"actes de provocation explicite et délibérée à la discrimination, à la haine ou à la violence contre une personne déterminée ou un groupe de personnes", notamment les femmes.

Un amendement socialiste qui tendait à incriminer également l'homophobie a été repoussé par 199 voix contre 112. Le PS et le PCF, dont une motion de procédure a été rejetée à main levée, avaient annoncé qu'il voteraient contre le texte proposé.

UN TEXTE SUR MESURE

Cette proposition de loi fait suite à l'affaire de l'imam de Vénissieux, Abdelkader Bouziane, dont l'arrêté ministériel d'expulsion, pour ses liens avec la mouvance intégriste islamiste, avait été suspendu deux mois plus tard par le tribunal administratif.

Le ministre de l'intérieur, Dominique de Villepin, qui la défendait au Sénat, a affirmé qu'il s'agissait d'"une véritable continuité du terrorisme, depuis les inspirateurs jusqu'aux poseurs de bombes". Il a fait valoir que, face à une telle situation, l'Etat ne disposait pas des "moyens de réponse appropriés", la voie judiciaire ne pouvant déboucher sur une sanction "qu'une fois que les violences ont été établies et donc ont été commises".

Pour M. de Villepin, face à une personne tenant des propos appelant à la violence sexiste, c'est au ministre de l'intérieur qu'il "appartient,(...) de mettre en oeuvre les moyens nécessaires pour l'éloigner de ses auditeurs habituels, afin de les protéger de son influence et d'empêcher que les doctrines intolérables et contraires à nos valeurs se diffusent et se banalisent".

Pour le Parti socialiste, Charles Gautier a jugé "inacceptable pour la République d'inventer une loi pour se débarrasser d'un seul individu gênant". La présidente du groupe communiste, Nicole Borvo (Paris), a dénoncé un texte "totalement inopportun".

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le vendredi 16 juillet 2004 - 08h38:

Deux articles sur les Juifs de France dans Haaretz du 16 juillet (en anglais)

Wondering Jews par Daniel Ben Simon
http://www.haaretz.com/hasen/spages/452160.html

French Leave par Lily Galili
http://www.haaretz.com/hasen/spages/452163.html

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le vendredi 16 juillet 2004 - 05h51:

Bescoutou


Recette d'Edmond Zeitoun

Préparation 15 minutes
Cuisson 30 minutes
Pour 6 personnes

Ingrédients:

6 oeufs
150 grammes de farine
150 grammes de sucre
2 cuillères à soupe d'eau de fleur d'orange
Huile


Allumer le four position 7
Casser les oeufs un à un, mettre les blancs dans une cuvette et les jaunes dans une autre.
Battre avec un batteur électrique les blancs en neige très ferme.
Mettre le sucre sur les jaunes et les battre pendant 3 minutes. Ajouter l'eau de fleurs d'oranger et battre encore trente secondes. Incorporer peu à peu la farine en continuant à battre encore deux minutes.
Mettre alors progressivent les blancs montés en neige sur les jaunes battus et melanger délicatement avec une fourchette afin de ne pas aplatir la mousse des blancs. Huiler l'interieur d'un moule à soufflé.
Saupoudrer l'huile de farine et y verser la préparation.
Mettre au four très chaud: au bout de deux minutes, mettre à feu modéré (Position 5). Faire cuire vingt-cinq minutes. Le gâteau est cuit quand il sent bon ou quand une lame de couteau glissée en son milieu resort sèche. Retirer du four, laisser reposer cinq minutes et démouler. Pésentrer dans un plat à gâteau.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le vendredi 16 juillet 2004 - 02h21:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Bescoutou !

C'est une recette Tune qui remonte à la nuit des temps ! Oubliez donc fécule et maïzéna, car c'est pas Tune ! C'est Transgénique, et ça sert à engraisser les multinationales, genre... Qui vous savez !

Pas de PUB sur ADRA !

Bon Kif avec le Bescoutou trempé dans le Kaoua !

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le vendredi 16 juillet 2004 - 02h14:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Revue de presse HebdRomadaire & BouleItik

c:/


Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Victoria (Victoria) le vendredi 16 juillet 2004 - 00h56:

Merci Mr. Douda.
Elle vient d'où votre recette ? Je ne connaissais pas le bescoutou aux amandes...
Dans mon émission, ils disaient aussi qu'on pouvait utiliser de la maïzana ou de la fécule de pommes de terre (peut-être pour le bescoutou de Pâques ?)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le vendredi 16 juillet 2004 - 00h36:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Bescoutou Recette ésotérique

bescoutou aux amandes (maghreb) Ingrédients pour 6 personnes :

80 g de farine
125 g d'amandes
6 amandes amères
2 càs de fleur d'oranger
8 oeufs
180 g de sucre en poudre
huile
Préparation :

Mettre les amandes dans une casserole avec un verre d'eau. Poser sur feu vif et, dès
ébullition, retirer du feu. Rafraîchir à l'eau froide et monder les amandes. Les essuyer.
Allumer le four th 7. Y mettre les amandes 6 mn afin de les griller légèrement. Les retirer et
les laisser refroidir. Casser les oeufs un à un. Mettre les blancs dans un saladier et les
jaunes dans un autre. Battre avec un batteur électrique les blancs en neige très ferme.
Mettre le sucre sur les jaunes et les battre 3 mn. Ajouter l'eau de fleur d'oranger et battre
encore 30 secondes. Incorporer peu à peu la farine en continuant à battre 2 mn. Hacher très
fin dans la moulinette électrique les amandes. Mettre ce hachis sur les jaunes battus et bien
mélanger. Verser alors progressivement les blancs battus sur les jaunes et mélanger
délicatement avec une fourchette afin de ne pas casser la mousse des blancs. Huiler
l'intérieur d'un moule à soufflé. Saupoudrer de farine l'huile et y verser la préparation. Mettre
à four très chaud. Après 2 mn, réduire à feu modéré. Faire cuire 30 mn. Retirer du four et
laisser reposer 5 mn et démouler. Dresser dans un plat à gâteau.
Préparation : 25 mn
Cuisson : 40 mn

Bon Appétit Victoire !

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mounia (Mounia) le vendredi 16 juillet 2004 - 00h43:

Amertume de jeunes Noirs et Arabes d'Aubervilliers après le mensonge de Marie L.
LE MONDE | 15.07.04 | 13h45

La jeune femme qui disait avoir subi une agression antisémite habitait le quartier."Il y en a marre de s'attaquer à nous", dit Rachid, 15 ans. Plus loin, un tag : "Nique les juifs !".
Cette habitante de l'allée des Châteaux, à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), a laissé ses fenêtres ouvertes. Musique zouk à fond, on la voit danser. Un peu plus loin, deux jeunes tiennent le mur.

Rien à faire en ce 14 Juillet, "comme d'hab'". Nouar, 21 ans, tee-shirt floqué au drapeau algérien, souffle : "Quel soulagement !" Il marmonne : "Et dire qu'elle habite le quartier." Il reprend, serrant les poings : "Quand j'ai su que cette femme dans le RER avait menti, ça m'a enlevé ma haine. Franchement, elle a pas honte." Son copain, "black", casquette de travers, enchaîne : "Chaque fois qu'il y a une agression, on dit "ce sont les Arabes et les Noirs". Pourquoi ? Parce que, pour eux, on reflète la délinquance."

Un peu plus loin, quatre garçons s'amusent à se lancer des pétards. Rachid, 15 ans, lâche : "Tout à l'heure, j'ai vu une vieille nous montrer du doigt. Elle discutait avec des policiers, elle se plaignait parce qu'on joue avec des pétards. Voilà, on va encore dire, "C'est les Arabes et les Noirs qui foutent le bordel." On a le droit aujourd'hui. Il y en a marre de s'attaquer à nous." Son camarade de jeu, Souleman, 14 ans, semble plus réfléchi. Il donne sa théorie : "On nous considère plus faibles que les autres. Comme on est pauvres et qu'on vit dans des HLM, les autres pensent qu'on ne pourra pas se défendre comme un mec qui vit dans le 16e. Alors, on nous attaque."

Un autre, à la voix à peine audible, casquette blanche, ajoute : "T'as raison, mais ça nous choque plus. C'est banal : ce sera toujours les Noirs et les Arabes. L'année dernière, le supermarché a été braqué par quatre individus encagoulés. Wallah, je te jure, la patronne a dit que c'était des Maghrébins. Oh ! Explique-moi comment tu peux reconnaître quelqu'un quand il porte une cagoule ?" Le quatrième de la bande, dix ans de plus que les autres, surenchérit : "On ne joue pas avec le sentiment des gens. Une meuf comme ça mérite d'aller en prison. Ça la fera réfléchir." Ils reprennent leur jeu.

Une fille les croise. Peau chocolat, Adeline, 20 ans, en BTS action commerciale, se rend chez sa cousine pour garder sa fille. Cette histoire de RER l'a confortée dans son sentiment de résignation : "On est fiché. On est grillé. Franchement, même moi j'ai cru que c'était des Arabes et des Noirs qui avaient agressé cette fille. Je ne sais plus quoi en penser."

Sonia, adolescente ressent la même chose mais va plus loin. Près du commissariat d'Aubervilliers, elle explique, avec son léger accent "racaille", pourquoi Marie L. a accusé les "Noirs et Maghrébins". "Je comprends pourquoi les gens parlent des Arabes. La plupart des détenus dans les prisons sont des Arabes, ceux qui foutent le bordel dans les cités et en ville sont des Arabes, ceux qui braquent sont des Arabes. Je dis la vérité." Elle assène : "Et puis, c'est les Arabes qui agressent les juifs. Moi, j'ai vu mes potes le faire. Dès qu'ils voient un juif, ils lui crachent dessus sans explication. Comme ça, soi-disant parce qu'ils nous ont fait du mal il y a bien longtemps. C'est une bêtise, c'est n'importe quoi."

"ON NE VEUT PAS DE NOUS"

En face de l'hôtel de ville dans une allée, trois filles rient aux histoires étonnantes de leur ami Rachid. Extraverti, BEP électrotechnicien en poche, le jeune homme estime que Marie L. a fait preuve "de racisme". "Les Arabes, ici, les Arabes par-là. On ne veut pas de nous en France", assène-t-il. Il donne un exemple : "Il y avait une annonce pour un poste dans un hôtel de luxe à Roissy. Je me suis présenté. La Mecque, la femme m'a dit : "Je peux pas prendre votre CV, mon patron, c'est un gros facho." J'ai plein de potes, diplôme en poche, bac + 4, qui se retrouvent à livrer des pizzas et à mendier 50 centimes d'euros. Le çai-fran qui a arrêté l'école en cinquième, sans expérience, on va le prendre direct." Fatma, 18 ans, ajoute : "C'est vrai, ça fout les morts. Faut pas s'étonner après si les Arabes vendent du shit ou volent. Faut de la caillasse."

Derrière Rachid, dans cette allée assez glauque, un énorme tag : "Nique les juifs !" Fatma le lit et se marre : "Ah ! Nique les juifs. C'est vrai, ils sont partout avec leur look de fashion. Quand j'allume la télé, on dirait qu'il y a que des chaînes de feujs." Rachid : "On livre une guerre souterraine contre eux. T'as vu ce qu'ils font en Palestine. Personne ne bouge. Franchement, ils ont trop de chance. Ils vont dans les écoles privées et on les refuse pas, sinon antisémitisme. Moi aussi, si j'étais allé dans un privé, je serais pas parti en couille."Le groupe se sépare.

Devant l'entrée, un homme promène son rottweiler. Le chien renifle un tract sur le sol, c'est une déclaration du maire de la ville qui appelait à un rassemblement de soutien à Marie L., fille de la commune. L'homme jette un coup d'œil et crache dessus.

Mustapha Kessous

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Francois (Francois) le jeudi 15 juillet 2004 - 23h11:

Une autre réalité

Les médias gallo-arabes se complaisent à parler régulièrement des discriminations dont seraient victimes les arabes israéliens.

C'est un des chevaux de bataille favoris du torchon l'Immonde, plus récemment, le torchoniste Tarik Thuillier en avait fait ses choux gras dans son reportage "Israël, questions interdites".

Le Jerusalem Post publie un certains nombre de faits qui remettent les pendules de la discrimination à l'heure.

Bien que représentant 11,6% de la population, les arabes israéliens reçoivent:

25,4% du budget de développement du Ministère de l'Intérieur,
70,7% du budget de réhabililation des logements anciens du Ministère du Logement,
72% des budgets de constructions des institutions publiques,
48% du budget des égoûts du Ministère des Infrastructures
63% des fonds de construction de classes du Ministère de l'Education.
Source: http://www.jpost.com/servlet/Satellite?pagename=JPost/JPArticle/ShowFull&cid=1089774944152

Francois Medioni

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Victoria (Victoria) le jeudi 15 juillet 2004 - 20h02:

J'ai entendu hier la recette du "Bescoutou" sur Judaïques FM, et çà ne m'a pas eu l'air trop difficile. Comme je suis tombée dessus en cours d'émission, je n'ai pas pu prendre la recette.

Est-ce que quelqu'un l'aurait ? (je ne l'ai pas trouvée sur le site)
Merci d'avance