DRUN.....ET SES TEXTES....

Discus: Commentaires divers: DRUN.....ET SES TEXTES....
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 18 mars 2003 - 15h34:

L'arbre à soucis.

Un jour, j'ai retenu les services d'un menuisier pour m'aider à restaurer ma vieille grange. Après avoir terminé une dure journée au cours de laquelle une crevaison lui avait fait perdre une heure de travail, sa scie électrique avait rendu l'âme, et pour finir, au moment de rentrer chez lui, son vieux pick-up refusait de démarrer.

Je le reconduisis chez lui et il demeura froid et silencieux tout au long du trajet. Arrivé chez lui, il m'invita à rencontrer sa famille. Comme nous marchions le long de l'allée qui conduisait à la maison, il s'arrêta brièvement à un petit arbre, touchant le bout des branches de celui-ci de ses mains.

Lorsqu'il ouvrit la porte pour entrer chez lui, une étonnante transformation se produisit. Son visage devint rayonnant, il caressa ses deux enfants et embrassa sa femme.

Lorsqu'il me raccompagna à ma voiture, en passant près de l'arbre, la curiosité s'empara de moi et je lui demandai pourquoi il avait touché le bout des branches de cet arbre un peu plus tôt.

"C'est mon arbre à soucis," me répondit-il. "Je sais que je ne peux éviter les problèmes, les soucis et les embûches qui traversent mes journées, mais il y a une chose dont je suis certain, ceux-ci n'ont aucune place dans la maison avec ma femme et mes enfants. Alors, je les accroche à mon arbre à soucis tous les soirs lorsque je rentre à la maison. Et puis, je les reprends le matin".

"Ce qu'il y a de plus drôle", il sourit, "c'est que lorsque je sors de la maison le matin pour les reprendre, il y en a beaucoup moins que la veille lorsque je les avais accrochés.

Comme il sent bon ton arbre à soucis...Sans soucis
la vie serait Paradis...Mon cher...! Alors,si dés fois on en porte chez soi, et que l'on pas de jardin ni arbre à soucis comptons au moins sur nos femmes pour nous débarraser de leurs 'de sous si' elles le veulent bien et noyer ainsi un peu nos soucis..LOLLL): ): ):

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 19 mars 2003 - 20h44:

À la dernière minute...

A la dernière minute, je me suis dépêchée de me rendre au magasin à rayons pour faire mes emplettes de Noël. Quand j'ai vu tout le monde qu'il y avait, je me suis mise à maugréer. "Je vais passer un temps interminable ici et j'ai encore tant de choses à faire, Noël commence vraiment à devenir une corvée. Ce serait tellement bien de me coucher et de me réveiller seulement après... Mais je me suis fait un chemin jusqu'au département des jouets et là, j'ai commencé à maugréer contre le prix des jouets en me demandant si les enfants joueraient vraiment avec. Je me suis retrouvée dans l'allée des jouets.

Du coin de l'oeil, j'ai remarqué un petit bonhomme d'environ 5 ans qui tenait une jolie petite poupée contre lui... Il n'arrêtait pas de lui caresser les cheveux et de la serrer doucement contre lui. Je me demandais à qui était destinée la poupée. Puis le petit garçon se retourna vers la dame près de lui : Ma tante, es-tu certaine que je n'ai pas assez de sous? La dame lui répondit avec un peu d'impatience: "Tu le sais que tu n'as pas assez de sous pour l'acheter". Puis sa tante lui demanda de rester là et de l'attendre quelques minutes. Puis elle partit rapidement.

Le petit garçon tenait toujours la poupée dans ses mains. Finalement, je me suis dirigée vers lui et lui ai demandé à qui il voulait donner la poupée. "C'est la poupée que ma petite soeur désirait plus que tout pour Noël. Elle était sûre que le Père Noël lui apporterait. Je lui dis alors qu'il allait peut-être lui apporter. Il me répondit tristement: "Non, le Père Noël ne peut pas aller là où ma petite soeur se trouve maintenant. Il faut que je donne la poupée à ma maman pour qu'elle lui apporte", Il avait les yeux tellement tristes en disant cela. "Elle est partie rejoindre Jésus. Papa dit que maman va aller retrouver Jésus bientôt elle aussi, alors j'ai pensé qu elle pourrait prendre la poupée avec elle et la donner à ma petite soeur. Mon coeur s'est presque arrêté de battre. Le petit garçon a levé les yeux vers moi et m'a dit: "J'ai dit à papa de dire à maman de ne pas partir tout de suite. Je lui ai demandé d'attendre que je revienne du magasin. "Puis il m'a montré une photo de lui prise dans le magasin, sur laquelle il tenait la poupée en me disant : "Je veux que maman apporte aussi cette photo avec elle, comme ça, elle ne m'oubliera pas. J'aime ma maman et j'aimerais qu'elle ne me quitte pas mais papa dit qu'il faut qu'elle aille avec ma petite soeur" Puis il baissa la tête et resta silencieux.

Je fouillai dans mon sac à mains, sortis une liasse de billets et demandai au petit garçon: "Et si on recomptait tes sous une dernière fois pour voir ?" "Ok" dit-il "Il faut que j'en aie assez" Je glissai mon argent avec la sienne et nous avons commencé à compter. Il y en avait amplement pour la poupée et même plus. Doucement, le petit garçon murmura: "Merci Jésus pour m'avoir donné assez de sous. Puis il me regarda et dit: "J'avais demandé à Jésus de s'arranger pour que j'aie assez de sous pour acheter cette poupée afin que ma maman puisse l'apporter à ma soeur. Il a entendu ma prière. Je voulais aussi avoir assez de sous pour acheter une rose blanche à ma maman mais je n'osais pas lui demander. Mais il m'a donné assez de sous pour acheter la poupée et la rose blanche. Vous savez, ma maman aime
tellement les roses blanches..."

Quelques minutes plus tard, sa tante revint et je m'éloignai en poussant mon panier. Je terminai mon magasinage dans un état d'esprit complètement différent de celui dans lequel je l'avais commencé. Je n'arrivais pas à oublier le petit garçon. Puis, je me suis rappelée un article paru dans le journal, quelques jours auparavant et qui parlait d'un conducteur en état d'ivresse qui avait frappé une voiture dans laquelle se trouvait une jeune femme et sa fille. La petite fille était morte sur le coup et la mère gravement blessée. La famille devait décider s'ils allaient la faire débrancher du respirateur. Est-ce que c'était la famille de ce petit garçon?

Deux jours plus tard, je lus dans le journal que la jeune femme était morte. Je ne pus m'empêcher d'aller acheter un bouquet de roses blanches et me rendre au salon mortuaire où était exposée la jeune dame. Elle était là, tenant une jolie rose blanche dans sa main, avec la poupée et la photo du petit garçon dans le magasin. J'ai sorti du salon en pleurant, sentant que ma vie changerait pour toujours. L'amour que ce petit garçon avait pour sa maman et sa soeur était tellement incroyable. Et en une fraction de seconde,
un conducteur ivre lui a tout enlevé.

Espérant que ce message puisse rejoindre quelqu'un dans son coeur et son esprit,
juste assez pour l'empêcher de conduire après avoir pris de l'alcool

Les amis sont des anges qui nous soulèvent quand
nos ailes n'arrivent plus à se rappeler comment voler


L' AMI DRUN QUI VOLE HAUT...): ): ):

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le samedi 22 mars 2003 - 21h19:

L'ENFER EST-IL ENDO OU EXOTHERMIQUE


Un professeur de physique bientôt à la retraite était en train de préparer son dernier examen pour ses élèves. Il s'agissait de thermodynamique. L'humeur joyeuse, il décida que le sujet de l'examen serait « L'enfer est-il endo ou exothermique ? »

Le professeur n'avait aucune idée de la façon dont ses élèves allaient réagir, il ne savait comment il noterait les copies non plus, mais il était prêt à récompenser tout travail dont la logique tenait debout. La copie la plus originale fut celle-ci :

D'abord, nous supposons que si l'âme existe, alors la masse d'une âme n'est pas nulle. Si c'est le cas, alors, une mole d'âmes doit elle aussi avoir une certaine masse. Trouvons donc quelle est la proportion d'âmes sortant de l'enfer, et quelle est la proportion d'âmes y entrant. On postule que lorsqu'une âme entre en Enfer, elle n'en sortira pas. Cela implique que le pourcentage d'âmes sortant de l'enfer est nul.

Pour ce qui concerne les âmes qui vont en enfer, considérons ce qui se passe en fonction de différentes religions: La plupart des religions prêchent que si vous n'adhérez pas à leurs principes, vous êtes condamnés à aller en enfer à votre mort; comme ces religions sont celles qui représentent le plus d'humains sur terre, et que si un humain est d'une certaine religion, il n'est forcément PAS des autres religions, on peut en conclure que TOUTES les âmes vont en enfer.

Avec les taux de natalité et de mortalité actuels, il est possible d'en déduire le fait que le nombre d'âmes en enfer suit un accroissement exponentiel.

Maintenant, regardons les variations de volume de l'enfer. La loi de Boyle stipule que pour que la température et la pression reste constante en enfer, le produit de la masse de l'enfer par le volume de l'enfer doit rester constant. A ce stade, nous avons deux possibilités :

- Si l'enfer est en expansion à une vitesse inférieure à celle à laquelle les âmes entrent en enfer, alors la température et la pression en enfer vont s'accroître de façon exponentielle jusqu'à ce que l'enfer explose.
- A l'inverse, si l'enfer est en expansion à une vitesse supérieure à laquelle les âmes entrent en enfer, alors la température et la pression en enfer vont chuter jusqu'à ce qu'il congèle.

Il est possible de résoudre le problème en utilisant le postulat de Thérésa Leclair de 1990 (c'est la fille qui était ma voisine de résidence universitaire quand j'étais en première année).

En effet, puisqu'il m'a été impossible d'obtenir d'elle qu'elle veuille bien coucher avec moi, la deuxième possibilité citée plus haut n'a pas été rencontrée.

En conclusion, la première possibilité est la bonne, et l'enfer est bien exothermique.

Et le Paradis serait quoi DRUN....AFRO DISIAQUE..??

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 23 mars 2003 - 20h46:

LES RELIGIONS ET LES ENNUIS


Taoïsme :
« Il se peut que les ennuis arrivent. »

Hindouisme :
« Ces ennuis se sont déjà produits auparavant. »

Islam :
« S'il t'arrive des ennuis, prends un otage. »

Athéisme :
« Il n'y a pas d'ennuis. »

Bouddhisme :
« Quand des ennuis t'arrivent, s'agit-il vraiment d'ennuis ? »

Catholicisme :
« Si j'ai des ennuis, c'est que je les ai mérités. »

Témoins de Jéhovah :
« Toc, toc, voilà les ennuis. »

Judaïsme :
« Pourquoi les ennuis m'arrivent ils toujours à moi ? »

La meilleure c'est celle qui associe tout ca..loll

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Fernand (Fernand) le lundi 24 mars 2003 - 19h12:

PENSEE DE BALTIMORE

« Allez sereinement, au milieu du bruit comme de l'agitation, et souvenez-vous de la paix qui peut exister dans le silence. Sans soumission, vivez autant que possible en bon termes avec toutes personnes.

Dites doucement et clairement ce que vous tenez pour vrai et écoutez les autres, même le simple d'esprit et l'ignorant ; ils ont, eux aussi, quelque chose à dire.

Evitez les personnes bruyantes et agressives, elles sont une vexation pour l'esprit. Ne vous comparez pas aux autres, vous risques de devenir amer ou vaniteux. Il y aura toujours plus grand ou plus petit que vous. Jouissez de vos projets aussi bien que de vos accomplissements.

Suivez avec intérêt votre propre carrière, si modeste soit-elle, c'est une véritable richesse dans les fortunes diverses du temps.

Soyez prudent dans vos affaires car le monde est plein de fourberies. Ne soyez pas aveugle de la vertu qui existe : nombreux sont les hommes qui recherchent les grands idéaux et partout la vie est remplie d'héroïsme.

Soyez vous-même, sincère dans vos sentiments. Ne soyez pas non plus cynique avec l'amour car, en face de toute stérilité et de tout désenchantement, il est aussi vivace et éternel que l'herbe.

Prenez avec bonté le conseil des années, en renonçant avec grâce aux choses de la jeunesse. Fortifiez votre puissance d'esprit pour vous protéger en cas de malheur soudain. Ne vous chagrinez pas avec vos chimères. De nombreuses peurs naissent de la fatigue, et de la solitude. Au-delà d'une saine discipline, soyez doux envers vous-même.

Vous êtes un enfant de l'univers pas moins que les arbres et les étoiles ; vous avez le droit d'être ici. Et que cela vous soit clair ou non, ne doutez pas que l'univers se déroule comme il le devrait. Soyez en paix avec Dieu, quelle que soit la conception que vous en ayez.

Gardez dans le désarroi bruyant de la vie, la paix dans votre âme. Avec toutes ses hypocrisie, ses besognes fastidieuses et ses rêves brisés, le monde est pourtant beau.

Soyez vigilant. Tachez d'être heureux.»

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 24 mars 2003 - 21h01:

Fernand alors...??? Tu m'as pris de vitesse, c'est ça les amis, je croyais avoir le monopole des textes...?
Bon, ne recommence plus et toi DRUN envoie tes textes qu'à moi OK?? MERCI

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Printania (Printania) le lundi 24 mars 2003 - 21h40:

Albert.
Tu as déjà le monopole du monopole.
Tu ne trouves pas que tu exagères?
Il faut tout de même nous laisser quelques miettes.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 24 mars 2003 - 22h51:

Ah jit ICI Toi, vous avez tous trouvè la voie que je vous trace...Tant mieux..:) ): ):

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Printania (Printania) le mardi 25 mars 2003 - 09h40:

Fernand, vous remarquerez que notre Albert inter(national) manque de dextérité.
Non seulement il rate souvent l'insertion d'images, mais en plus il foire dans l'ajout des "homos p'tit cons", pardon, des "émoticons."
Jobanane, viens à son secours!
Albert, si nous sommes là, c'est pour te venir en aide, tout simplement, dans le cas où tu en aurais besoin.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 25 mars 2003 - 13h27:

SIX JOURS

Mon frère se mit à dicter dans son meilleur style oratoire, celui qui tient les tribus suspendues à ses lèvres.

« Au commencement », dit-il, « il y a exactement quinze milliards deux cents millions d'années, un grand boum se produisit et l'univers... »


Mais je m'étais arrêté d'écrire.

« Il y a quinze milliards d'années ? », m'écriai-je, incrédule.

« Eh ! bien, oui. Tu sais que je suis inspiré. »

« Je ne mets pas en doute le fait que tu sois inspiré. » (Il vaut mieux pas. Il a trois ans de moins que moi, mais je n'essaierais jamais de mettre son inspiration en doute. Personne d'autre non plus d'ailleurs, car ça chaufferait drôlement.) « Mais as-tu l'intention de raconter l'histoire de la Création sur une période de quinze milliards d'années ? »

« Il le faut », répondit mon frère. « C'est le temps que ça a pris. Tout est là-dedans », il se tapa le front, « et cela vient de la plus haute autorité. »

Alors la, je posai mon stylet.

« Sais-tu combien coûte le papyrus ? », lui demandai-je.

« Pardon ? » (Il est peut-être inspiré, mais j'ai souvent remarqué que l'inspiration ne couvre pas des sujets aussi sordides que le prix du papyrus.)

« Suppose que tu décrives les événements d'un million d'années sur chaque rouleau de papyrus. Il te faudrait quinze mille rouleaux. Tu devrais parler longtemps et tu sais que tu te mets à bégayer au bout d'un moment. Il faudrait que j'écrive longtemps pour les remplir et mes doigts ne tiendraient pas le coup. Et même si nous pouvions nous offrir tout ce papyrus et si tu avais assez de voix et moi assez de force, qui accepterait d'en copier une telle quantité ? Nous devons assurer une centaine de copies avant d'être publiés, et sans cela, pas de droits d'auteur, hein ? »

Mon frère réfléchit un moment.

« Tu crois vraiment qu'il faut que je coupe ? »

« Coupe, si tu veux toucher le public. »

« Que penses-tu de cent ans ? »

« Que penses-tu de six jours ? »

« On ne peut pas résumer la création en six jours », s'écria-t-il, horrifié.

« C'est tout ce que j'ai comme papyrus. Alors, que décides-tu ? »

« Oh ! bon », dit-il. Et il se remit à dicter. « Au commencement... Il faut vraiment que ce soit en six jours, Aaron ? »

« En six jours, Moïse », répondis-je fermement.

Et dire que le PAPIER RUSSE COUTE MOINS CHER...
Printania, décidemment....!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le vendredi 28 mars 2003 - 22h59:

HEUREUSEMENT YA VAN DAMM QUI NOUS ECLAIRE. QU'EST CE QU'ON SERAIT SANS LUI !!!

Pré-scriptum:
Bac + 9 (spé. existentialismo-comportementalisme) et moins s'abstenir !!!! Bébert, wallah c'est pas de toi que je parle :):):)

-Je ne voudrais pas rentrer dans des choses trop dimensionnelles mais, j'ai vraiment une grande mission, tu sais ? pour l'oxygène, peut-être que une seconde c'est une micro-seconde car l'aboutissement de l'instinct, c'est l'amour ! Je ne suis pas plus spécial, ni que toi, ni que moi.
(TU VEUX QUE JE FACHE DE TES CONNERIES…..! C'est toi le texteur moi je ne suis que facteur.
Yè blid…) =:) :) :) :)

-Tu vois, après il faut intégrer tout ça dans les environnements et c'est un très, très gros travail et et cela même si les gens ne le savent pas, les pauvres ! Et tu as envie de le dire au monde entier, including yourself : be aware !

-Ah non attention, si vraiment tu veux te rappeler des souvenirs de ton perroquet : on est tous capables de donner des informations à chacun si y'a plus d'air, tu vois, et l'air est composé d'oxygène et de CO2, sans l'air les avions ils tombent, et si ils tombent, c'est grave. Air is life, et la... la, la, la, la, la... life, c'est l'Amour ! Ça respire le meuble de Provence, hein ?

-That sounds good, premièrement, je voudrais parler de choses un peu plus spirituelles que le karaté il faut se recréer... pour recréer... a better you et cela même si les gens ne le savent pas, les pauvres ! Tout cela, alors qu'il y a un an, je t'aurais parlé de mes muscles.

-Tu vois, meme si on «frime» comme on appelle ça en France entre penser et dire, il y a un monde de différence et parfois c'est bon parfois c'est pas bon, and that's life. Et j'ai toujours grandi parmi les chiens, parceque eux, ils sont aware, ils sont à l'intention de savoir qu'ils existent, et ça, c'est beau.

-Oui alors, ecoute-moi, on est tous capables de donner des informations à chacun car si je tue l'oxygène comme sur la lune, tu meurs. Pour te dire comme on a beaucoup à apprendre sur la vie !

-Ah non attention, tu vois au passage qu'il n'y a rien de concret car il faut se recréer... pour recréer... a better you et c'est une sensation réelle qui se produit si on veut ! Pour te dire comme on a beaucoup à apprendre sur la vie !

-Si je t'emmerde, tu me le dis, j'ai vraiment une grande mission, tu sais ? il y a de bonnes règles, de bonnes rules toutes les species du monde entier sont aware, et c'est beau. Et c'est pas moi qui parle, c'est nous qui parlons !

-Ah non attention, je suis mon meilleur modèle car il faut se recréer... pour recréer... a better you et je ne cherche pas ici à mettre un point ! Mais ca, c'est uniquement lié au spirit.


Drun le LAUREAT HONORUS DE LA COSA NOSTRA.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 02 avril 2003 - 21h27:

Mon ami DRUN Tu devrais relire ton arbre à soucis
Je sais que tu en as...:) :) :)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Fernand (Fernand) le mercredi 23 avril 2003 - 16h21:

RECETTE DE LA DINDE AU WHISKY


ETAPE 1 :
Acheter une dinde d'environ 5 kg pour 6 personnes et une bouteille de whisky, du sel, du poivre, de l'huile d'olive, des bardes de lard.

ETAPE 2 :
La barder de lard, la ficeler, la saler, la poivrer et ajouter un filet d'huile d'olive.

ETAPE 3 :
Faire préchauffer le four thermostat 7 pendant dix minutes.

ETAPE 4 :
Se verser un verre de whisky pendant ce temps-là.

ETAPE 5 :
Mettre la dinde au four dans un plat à cuisson.

ETAPE 6 :
Se verser ensuite 2 verres de whisky et les boire.

ETAPE 7 :
Mettre le therpostat à 8 après 20 binutes pour la saisir.

ETAPE 8 :
Se bercer 3 berres de whisky.

ETAPE 9 :
Après une debi beurre, fourrer l'ouvrir et surveiller la buisson de la pinde.

ETAPE 10 :
Brendre la vouteille de biscuit et s'enfiler une bonne rasade derrière la bravate - non - la cravate.

ETAPE 11 :
Après une demi-heure de blus, tituber jusqu'au bour. Oubrir la putain de borde du bour et reburner - non - revourner - non - recourner non - enfin, mettre la guinde dans l'autre sens.

ETAPE 12 :
Se pruler la main avec la putain de borte du bour en la refermant - bordel de merde.

ETAPE 13 :
Essayer de s'asseoir sur une putain de chaise et se reverdir 5 ou 6 whisky de verres ou le gontraire, je sais blus.

ETAPE 14 :
Buire - non - luire - non - cuire - non - ah ben si - cuire la bringue bandant 4 heures.

ETAPE 15 :
Et hop, 5 beurres de plus. Ça fait du bien par ou que ça passe.

ETAPE 15 :
R'tirer le four de la dinde.

ETAPE 16 :
Se rebercer une bonne goulee de whisky.

ETAPE 17 :
Essayer de sortir le bour de la saloperie de pinde de nouveau parce que ça a raté la bremière fois.

ETAPE 18 :
Rabasser la dinde qui est tombée bar terre. L'ettuyer avec une saleté de chiffon et la foutre sur un blat, ou sur un clat, ou sur une assiette. Enfin, on s'en fout...

ETAPE 19 :
Se péter la gueule à cause du gras sur le barrelage, ou le carrelage, de la buisine et essayer de se relever.

ETAPE 20 :
Décider que l'on est aussi bien par terre et binir la mouteille de rhisky.

ETAPE 21 :
Ramper jusqu'au lit, dorbir toute la nuit.

ETAPE 22 :
Manger la dinde froide avec une bonne mayonnaise le lendemain matin, et nettoyer le bordel que tu as mis dans la cuisine la veille, pendant le reste de la journée.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 05 mai 2003 - 21h25:

SELECTION NATURELLE


Une horde de buffles va en fait aussi vite que le peut le plus lent de la troupe, et quand la horde est chassée, ce sont les plus lents et les plus faibles qui sont tués en premier.

Cette sélection naturelle est bonne pour le troupeau en général, car elle permet d'améliorer la vitesse et la santé de l'ensemble par l'élimination régulière de ses membres les plus faibles.

A peu près de la même manière, le cerveau humain n'est pas plus rapide que sa cellule la plus lente. Des ingurgitations excessives d'alcool - nous le savons tous - détruisent des neurones, mais cela attaque naturellement les neurones les plus lents et les plus faibles en premier. Ainsi, une prise régulière de bière permet, par l'élimination des cellules cérébrales les plus faibles, de faire du cerveau une machine plus rapide et efficiente.

Les résultats de cette très sérieuse étude épidémiologique vérifient et valident le lien de causalité entre les beuveries du week-end et l'efficience au travail. Cela explique également pourquoi, quelques années après avoir quitté l'école ou l'université et s'être marié, la plupart des ingénieurs ou des chefs de projet ne peuvent plus concurrencer en terme de performances les nouveaux diplômés.

Seuls ceux qui s'astreignent un régime strict de consommation d'alcool en quantité indécente peuvent maintenir le niveau intellectuel qui fut le leur lors de leurs études.

Soyons braves, mes frères ! Cul-Sec ! Notre société et notre nation ont besoin de nous à notre meilleur niveau. Il ne faut pas s'empêcher d'avoir la carrière que l'on mérite...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 05 mai 2003 - 22h14:

RECETTE DE LA DINDE AU WHISKY


ETAPE 1 :
Acheter une dinde d'environ 5 kg pour 6 personnes et une bouteille de whisky, du sel, du poivre, de l'huile d'olive, des bardes de lard.

ETAPE 2 :
La barder de lard, la ficeler, la saler, la poivrer et ajouter un filet d'huile d'olive.

ETAPE 3 :
Faire préchauffer le four thermostat 7 pendant dix minutes.

ETAPE 4 :
Se verser un verre de whisky pendant ce temps-là.

ETAPE 5 :
Mettre la dinde au four dans un plat à cuisson.

ETAPE 6 :
Se verser ensuite 2 verres de whisky et les boire.

ETAPE 7 :
Mettre le therpostat à 8 après 20 binutes pour la saisir.

ETAPE 8 :
Se bercer 3 berres de whisky.

ETAPE 9 :
Après une debi beurre, fourrer l'ouvrir et surveiller la buisson de la pinde.

ETAPE 10 :
Brendre la vouteille de biscuit et s'enfiler une bonne rasade derrière la bravate - non - la cravate.

ETAPE 11 :
Après une demi-heure de blus, tituber jusqu'au bour. Oubrir la putain de borde du bour et reburner - non - revourner - non - recourner non - enfin, mettre la guinde dans l'autre sens.

ETAPE 12 :
Se pruler la main avec la putain de borte du bour en la refermant - bordel de merde.

ETAPE 13 :
Essayer de s'asseoir sur une putain de chaise et se reverdir 5 ou 6 whisky de verres ou le gontraire, je sais blus.

ETAPE 14 :
Buire - non - luire - non - cuire - non - ah ben si - cuire la bringue bandant 4 heures.

ETAPE 15 :
Et hop, 5 beurres de plus. Ça fait du bien par ou que ça passe.

ETAPE 15 :
R'tirer le four de la dinde.

ETAPE 16 :
Se rebercer une bonne goulee de whisky.

ETAPE 17 :
Essayer de sortir le bour de la saloperie de pinde de nouveau parce que ça a raté la bremière fois.

ETAPE 18 :
Rabasser la dinde qui est tombée bar terre. L'ettuyer avec une saleté de chiffon et la foutre sur un blat, ou sur un clat, ou sur une assiette. Enfin, on s'en fout...

ETAPE 19 :
Se péter la gueule à cause du gras sur le barrelage, ou le carrelage, de la buisine et essayer de se relever.

ETAPE 20 :
Décider que l'on est aussi bien par terre et binir la mouteille de rhisky.

ETAPE 21 :
Ramper jusqu'au lit, dorbir toute la nuit.

ETAPE 22 :
Manger la dinde froide avec une bonne mayonnaise le lendemain matin, et nettoyer le bordel que tu as mis dans la cuisine la veille, pendant le reste de la journée.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le vendredi 09 mai 2003 - 21h15:

L'AMITIE

C'est l'histoire de deux amis qui marchaient dans le desert.
A un moment, ils se disputerent et l'un des deux donna une gifle a l'autre.
Ce dernier, endolori mais sans rien dire, ecrivit dans le sable:

AUJOURD'HUI MON MEILLEUR AMI M'A DONNE UNE GIFLE.

Ils continuérent a marcher puis trouvérent un oasis, dans lequelle
ils décidérent de se baigner. Mais celui qui avait été giflé manqua
de se noyer et son ami le sauva.
Quand il se fut repris, il écrivit sur une pierre:

AUJOURD'HUI MON MEILLEUR AMI M'A SAUVE LA VIE.

Celui qui avait donné la gifle et avait sauvé son ami lui demanda alors :
quand je t'ai blessé tu as écrit sur le sable, et maintenant tu as écrit
sur la pierre. Pourquoi?"
L'autre ami répondit: "quand quelqu'un nous blesse, nous devons l'écrire dans le sable, la, les vents du pardon peuvent l'effacer.
Mais quand quelqu' un fait quelque chose de bien pour nous,
nous devons le graver dans la pierre, la, alors, aucun vent ne peut l'effacer ".

APPRENDS A ECRIRE TES BLESSURES DANS LE SABLE ET A GRAVER TES JOIES DANS LA PIERRE.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 12 mai 2003 - 22h00:

L'AMOUR DE SIX EN SIX


Six semaines :
« Je t'aime. »
Six mois :
« Mais oui je t'aime. »
Six ans :
« Si je ne t'aimais pas, il y a longtemps que je me serais tiré ! »

Six semaines :
« Bonsoir mon amour. »
Six mois :
« Coucou, bonne journée ? »
Six ans :
« Salut, y'a du courrier ? »

Six semaines :
« Ne te dérange pas, j'y vais. »
Six mois
« Tu veux que j'y aille ? »
Six ans :
« Ca vient ? »

Six semaines :
« Chérie, Ingrid au téléphone. »
Six mois :
« C'est pour toi. »
Six ans :
« Téléphone ! »

Six semaines
« Tu n'as pas eu une enfance très drôle. »
Six mois :
« C'est vrai qu'ils sont chiants tes parents. »
Six ans
« Tu as de qui tenir ! »

Six semaines :
« Je t'emmène au Népal ! »
Six mois :
« Tu veux vraiment aller a Londres ? »
Six ans :
« On est pas bien ici ? »

Six semaines :
« J'ai pensé qu'une bague te ferait plaisir. »
Six mois :
« Un vase, c'est toujours utile ! »
Six ans :
« Tiens, tu t'achèteras ce que tu veux ! »

Six semaines :
« Ce n'est pas grave, ça ne tache pas. »
Six mois :
« Fais attention, voyons ! »
Six ans :
« Ce que tu es maladroite ! »

Six semaines :
« Je ne suis pas tout a fait d'accord. »
Six mois :
« La, tu as tort »
Six ans :
« C'est toujours con ce que tu dis ! »

Six semaines :
« Et en plus tu fais bien les spaghettis ! »
Six mois :
« Il y a des pâtes pour le dîner ? »
Six ans :
« Putain, encore des nouilles ! »

Six semaines :
« Qu'est-ce que tu veux boire ? »
Six mois :
« Je prendrais bien un Martini. »
Six ans :
« Et les glaçons, ça vient ? »

Six semaines :
« Ca te va bien cette robe. »
Six mois :
« Encore une nouvelle robe ? »
Six ans :
« Combien la robe

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 16 juin 2003 - 21h03:

Voici une sélection de questions "réellement" posées à des témoins par
des
avocats durant des procès aux Etats-Unis et, dans certains cas, il y a
la
réponse donnée par des témoins qui ont le sens de la répartie.
Ces phrases sont extraites d'un livre appelé "Disorder in the Court."


AVOCAT: Docteur, avant de faire votre autopsie, avez-vous vérifié le
pouls?
TÉMOIN: Non.
AVOCAT: Avez- vous vérifié la pression sanguine ?
TÉMOIN: Non.
AVOCAT: Avez-vous vérifié s'il respirait ?
TÉMOIN: Non.
AVOCAT: Alors, il est possible que le patient ait été vivant quand
vous
avez commencé l'autopsie
TÉMOIN: Non.
AVOCAT: Comment pouvez-vous en être certain, Docteur?
TÉMOIN: Parce que son cerveau était sur mon bureau dans un bocal.
AVOCAT: Mais le patient ne pouvait-il quand même pas être encore en
vie?
TÉMOIN: Maintenant que j'y pense, il est possible qu'il soit encore en
vie
en train d'exercer le métier d'avocat quelque part.