Apprendre a parler

Discus: Judaisme: Apprendre a parler
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par eliaou (Eliaou) le jeudi 27 mars 2003 - 17h33:

Vous savez tous qu’il existe une mitsva de remontrance vers autrui
Afin d’éveiller les consciences spirituelles endormies
Eh oui la tora veut que l’on fasse preuve d’altruisme
La guemara vient nous compliquer les choses et dis
de même qu’il existe Une mitsva de dire des choses qui vont être entendues
ainsi il y a une mitsva de ne pas dire des choses qui ne pas être écoutées
le roi chlomo dans les proverbes dit ne réprimande pas le sot de peur qu’il ne te haïsse réprimande le sage et il t’aimera
le sot est-il donc condamné à le rester ?
en fait les choses sont subtiles le verset s’adresse a une seule personne
il faut s’adresser au coté sage du sot c’est de cette façon qu’il va s’ouvrir au dialogue
voila pourquoi s’il y a prédisposition d’esprit oui on s’avance au discours
sinon mieux vaut garder le silence et briller par sa propre conduite
le talmud va jusqu'à dire qu’il faut répéter même 100 fois les choses
Alors faut t-il buriner les gens ??? Surtout pas vous risquez le pire
le talmud vient nous dire par la que pour obtenir l’impact maximum
il faut décomposer l’élément a dire par petites touches pour un effet garanti
comme cette goutte d’eau qui va finir par percer la roche
une des raisons pour lesquelles le temple a été détruit est que
les gens se sont abstenues de se faire des remontrances l’un a l’autre
pourtant a l’époque nul n’était prés a entendre son voisin de quoi étaient-ils fautif alors?
La réponse est de ne pas avoir été affecté d’avoir pu le faire
Après l’épisode du veau d’or MOISE à souffert terriblement.
de quoi ???
du fait que les gens ne se soit pas amender mutuellement pour éviter la faute
N’oublions pas que chaque juif est un garant pour l’autre

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anne Levy MIMOUNI (Deutéronome) le samedi 15 juillet 2006 - 18h35:

oui, mais alors les dire gentillement : comme on aime son prochain comme soi-même