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La plus belle chose au monde c'est lorsque deux corps parallèles se rejoignent.
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Laisse ton amertume hypocrite de cotè et regardes ailleurs.
C'est pas de ton âge vieille pendule.
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JE CONSTATE AVEC AMERTUME QUE LES "VIOCS" SE DEFOULENT ICI MAINTENANT......
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P_Nina,
Tu rigoles j'espère, tes images sont nazes, moi j'ai des images movies, pas des dessins d'enfants...!
Si tu veux je te placarde une ici.
Mais ne tu cries pas au scandale.
Après tout on ne voit pas l'essentiel, rien que des vas et viens.
J'attends ta permission.
-Tawfiq p'tit chinois pour golo golo i bon pour africains zobo zobo.
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li sahib fouchik y en a pas pitit chinois pour eviter kama FOUTRA.
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Biber Fils,
Ti voir comment qui Sahib Fouchik c'it oune Fakir di Kama Soutra ?
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Prélude au Kama Soutra,
Il ni manque qui Sahib Fouchik, tout li monde il l'attend !
Alors ti viens man Fils !
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51°.
ëÖTu croyais sans doute filer à la française, manantÖ !í Mère Supérieure.
ë ...Je míen doutais, jamais elle me lâchera même en Belebou le fouÖ !í
ëÖCesses de tergiverser, je veux ma part de diamantsÖ ! MécréantÖ!í
Une autre ombre se profile derrière Súur Michka.
ëÖToi aussi tu es làÖ. ? Súur ELSAÖ ! Je suppose que Mamili est derrière toi ???í
ëÖTu parles de MOI LAAAA ????í
ëÖMeyer aussi avec son appareil sous sa soutaneÖ ?í Belebou.
ëÖCíest ma soutane qui te gênesÖ ?í Père Meyer.
ëÖLe jardinier aussi alors ???í Brahamos II.
ëÖOui, aussi comme tu le disÖ !í Brahamos.
ëÖEt bien sur le Pape suitÖ !í
ëÖOui, je vous suis comme tu peux le voir, mon filsÖ ! LíEglise attend toujours les oboles de ses pêcheursÖ!í Jaculus.
ëÖVous avez crû que jíallais me défiler et garder tout pour moiÖ ? Belebou.
ëÖNon, jamais, on tía fais confiance jusquíau boutÖí Père Breitou.
ëÖBon, dans ce cas, nous allons partager avant la nuitÖ !í
ëÖTOUT DE SUITEÖ.. !í Mère Supérieure.
ëÖAh la confiance règneÖ ! Bon, asseyez vous alorsÖ. ! En tailleurÖ !í
Belebou étale la verrerie.
Il compte.
ëÖJe ne veux que les pierres précieusesÖ !í Mamili.
ëÖSoit plus modeste toiÖ !í Belebou.
Une heure après frères, súur, Cardinal et Monseigneur repart avec chacun sa part sous les aisselles.
Nos amis se séparent en se serrant la main.
ëÖBon, a un de ces jours, BelebouÖ !í Mère Michka.
ëÖIls nous ont tous prisÖ !í Súur Poupillette.
Belebou attend que les autres retournent sur leurs pas. Pour dire une fois rassurèÖ
ëÖJamaisÖ ! Ils níont pris que du toc, du faux, rien que du faux, líautre coffre, le vrai est en dessous du premier.Une ruse du Père BreïtanÖ !í
Il sort le vrai coffre.
ëÖIl était malin le Père BreïtanÖ !í Poupillette.
Une ombre se dresse devant Belebou.
ëÖSi tu crois que je vais me contenter de fausses perlesÖ !í Elsa.
ëÖJAMAIS ON NE Sí ENSORTIRA AVEC ELLESSSSÖ. CA ÖÖJAMAIIIIIIISÖ?í
ëÖMERDALIQÖ Mon chériÖ!
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50°.
Nos deux fuyards rentrent dans la forêt de Monbelliard.
ëÖOù míemmènes- tu Belebou ???í
ëÖDans une cabane abandonnéeÖ !í
ëÖPourquoi faireÖ !í
ëÖNe tíangoisses pas enfinÖ ! Tu verrasÖ ! On ira violer le coffreÖ.í
Ils marchent pendant une heure díentre les arbres et les fourrés verts. Enfin un cabanon délabré se présente sous leurs yeux.
ëÖNous y sommes, rentronsÖ !í
Nos deux amis rentrent.
Belebou tombe sur une lampe à pétrole.
ëÖTiens la moiÖ !í
Une pioche est là adossée sur un mur dans un piteux état.
Il calcule et après quelques coudées, selon le plan, il pioche à un endroit bien précis.
Un bruit de ferraille se fait entendre.
Il se penche et débarrasse la terre qui recouvre ce qui síapparente à une cassette.
Elle semble grande. Une fois débarrassée de sa terre superflue, il la remonte à la surface
Il force la serrure, relève le couvercle et devant leurs yeux ébahis un trésor apparaît.
Des colliers, des bracelets, des pierres précieuses tout rutilants.
Poupilette risque de síévanouir. Elle níen croit pas ses yeux.
ëÖComment a tíil pu amasser une telle fortuneÖ ?í Dit tíelle.
ëÖIl líexplique dans cette missive, ce sont des bandits de grands chemins qui líont enterré ici. Líun deux avant de mourir est venu se confesser et il a voulu avant de regagner le ciel faire acte de charité sachant que tous ces compagnons étaient morts. Il a pensé quíen faisant cela, D ieu pardonnerait ses péchésÖ !í
ëÖMais ces autres compagnons, auraient pu le prendreÖ !í
ëÖIl le dit au Père Breïtan aussiÖ ! Le comateux líexplique ainsi Ö
ë Jíai déplacé le trésor et je me suis enfoui avec le cassette sur mon dosÖ !í
ëÖSes amis níont jamais pu le retrouver pour la bonne raison que le bandit en question ATHOR fut logé dans le couvent tout le restant de sa vie. Il a fait acte de pénitence sous le nom de Frère ATHOR DE TRAVERS, tout le restant de sa vieÖ ! VoilàÖ ! Il a été protège de ses autres compagnonsÖ !í
Ils se lèvent prêts à partir lorsquíune ombre se dresse devant eux.
A suivreÖ