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'....A Laréyè Ö
LaréyèEEEEEEÖ.
EeEEEEEEEEÖ.
Wali et Adam sont arrivés
A la rivière enchantéeÖ.§§§§§§§§§§§§§§§
EEeeeeEEEEEEEEEEEEEEÖ
La légende racontait
Quíelle est née sous un rayon de clartéÖ
EeeeeEEEEEEEÖ.§§§§§§
Le reflet de son visage
A fait frissonner
LíOndéÖ..
EeeeeEEEEEEEEEEEEEÖ
Wali..IIIIIÖ.Toute émerveilléEEEeÖ
EeeeEEEEEEEEEEEEEEEEEEÖÖ§§§§§
Ecoutait Adam qui commence à líaimerÖ
Qui commence à líaimerÖ
EeeeeEEEÖ.
Par-dessus la source de la rivière
LaréyèEEEEEEEEEEEEEEEEEÖ..
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Par dessus les arbres séculaires...
Un long cri d'amour....
ëÖ..DegílouUUUliiiiiIIIIIIIII
Ö ! Samia yaAAAAyeEEEEÖííííííííííííííííííííííí
Ö.YeyèEEEE .....YaYeeeeeeeeeEEE.... OumIIIIiÖ. ! ëíííííííííííííííííííííííííí
Ki saAAAAAAAAA dome la WaliIIIIIiiiiiiÖííííííííííííííííííííííí
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Boulíguene ëbagaAAAAgeí Ö.. !
Gayítou baíkhoOOOOOOOOOOOOOOOul
Yayè YAYEEEEEÖOUMIIIIIIÖ. ! ëíííííííí
iiIIIIIIIIIIIiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii\-2\IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII}
Moye EubeEEEEeÖ !
Diouíromy Niety weEEEEre Doug DOUGÖ..DOUGÖ..
Fouíkelíbe khatíouè ka gaAAAAAAígneÖ.§§§§
ëÖ..DegílouUUUliiiiiIIIIIIIII
DEGGGGGGGGGGGGGGGíLOUTIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIÖ§§§§§§
Ö ! Samia yaAAAAyeEEEEÖíííííííííííííííííííííííMamaAAAAÖ..
Ö.YeyèEEEE OumIIIIiÖ. ! ëíííííííííííííííííííííííííí
Ki sa dome la WaliIIIIIiiiiiiÖííííííííííííííííííííííí
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
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ëÖSous les séquoias díAfrique.
Une végétation active vit.
Au rythme du tam tam qui síeffrite
Dans la brousseÖ
Les mangeurs díhommes épient.
Tapis dans les vertes couvertures
De la prairie.
Líéléphant barrie.
Le croco baille.
Le zèbre paît.
Le taon pique.
Le temps síécoule.
Lentement au rythme
Des saisonsÖ..
La girafe dresse líoreille.
Líantilope craint.
Le serpent repu dort.
Le cormoran prend son envol.
Au dessus de la plaine paisible où il ne se passe jamais rien.
DOUGÖ.DOUGÖ.DOUGGGGÖ.DOUGGGGÖ§§§§§§§Ö.§§§§
Waraba la lionne síest enfouie,
Le jour de ses noces, un matin
Elle a prit le maquis, vers son destin.
La révolte gronde dans son âme
Et son corps meurtri saigne à blanc.
La peur au ventre, et le cúur lourd
Ses yeux rougis par ses larmes de sang.
Les cris des ouistitis líaccompagnent
Les serpents arrimés aux branches des arbres
La regardent.
Perdue dans ses idées noires,
Líesprit embrouillé, elle síenfonce
Dans la foret.
Sur son chemin, une cabane.
Un vieux sage assis líattend.
Paroles de marabout sans désespoir
Il lui indique au loin un horizon díespoir.
La route est bien longue au loin.
Mais à qui sait attendre,
Nul sacrifice níest vain.
La patience est synonyme de triomphe
Le bonheur níest pas illusion pour ceux
Qui ont la rage au coeur.
Il níest point de conteur qui ne sache conter
Il níest point díhistorien qui ne sache relater.
Il níest point de troubadour qui ne sache chanter.
Il níest point de danseur qui ne sache danser.
Un ciel sans nuages níest pas un ciel.
Une mer sans vagues est stérile.
Un volcan qui ne souffle plus, se meurt.
Une montagne qui accouche níexiste pas.
Le solitaire trouve pour compagne le silence.
Alors quíest-ce qui a changéÖ ????
Le guerrier níest pas forcément un va tíen en guerre.
Il peut síagir aussi díun esprit guerrier, díun battant.
Díun homme ou díune femme qui se bat pour son avenir,
Pour son couple, sa famille, son travail.
Pour ses convictions, pour ses idées, pour sa religion, sa foi.
Sur la routeÖ///
De CasamaAAAAAnce.
Roulent de jours comme de nuits
De grosses remorques, des camiIIIIIons
Chargés de tout et de semencEEEes
Et des poussièEEEEres charriants.
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Sur le bas coté Ö/// Díla route..///
Qui mène à CasaÖ////ÖMAAAance
Une jeune fille de couleur noire, éplorée
Vêtue de sa robe blanche déchirée,
Et debout apeurée sur le bord de la route qui mène
Ö////// A CasaAAA..///ÖMance.
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Un gros camion síestÖ///Ö ArrêtéÖ/////
Est-ce la provideEEEEnce §§§§§
Qui síest faite invitéeÖ..§§§§§§
En partance pour CasaAAAmance.
Naïve et pleine de confiIIIIIance
Elle raconte son errAAAAance
Son enfaAAAAnceÖ§§§§§
Au chauffeur ému par sa confidence.
Arrivée au Pays de CasaMAAAAAAceÖ§§§§§
WaliIIIII perduUUUe et pleEEEine de méfianceÖ////
Est accueillit par un jeune surveillant
Une sentinelle, peut être sa chance
Qui lui parle avec convenAAAAAance.
DougÖ//
DougÖ//
DOUGÖDOUGÖDOUGÖDOUDOUGDOUGDOUGÖ.§§§
DougÖ.DougÖ.dougÖ.dougÖdouÖ.doÖ.dÖ
Breitou chante avec la choeur de la ëBreïtos Band Africa.í
ëÖ..DegílouUUUliiiiiIIIIIIIII
Ö ! Samia yaAAAAyeEEEEÖííííííííííííííííííííííí
Ö.YeyèEEEE OumIIIIiÖ. ! ëíííííííííííííííííííííííííí
Ki sa dome la WaliIIIIIiiiiiiÖííííííííííííííííííííííí
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Boulíguene ëbagageí Ö.. !
Gayítou baíkhoOOOOul
Yayè YAYEEEEEÖOUMIIIIIIÖ. ! ëíííííííí
iiIIIIIIIIIIIiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii\IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII
Moye EubeEEEEeÖ !
Diouíromy Niety weEEEEre Doug DOUGÖ..DOUGÖ..
Fouíkelíbe khatíouè ka gaAAAAAAígneÖ.§§§§
ëÖ..DegílouUUUliiiiiIIIIIIIII
DEGGGGGGGGGGGGGGGíLOUTIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIÖ§§§§§§
Ö ! Samia yaAAAAyeEEEEÖíííííííííííííííííííííííMamaAAAAÖ..
Ö.YeyèEEEE OumIIIIiÖ. ! ëíííííííííííííííííííííííííí
Ki sa dome la WaliIIIIIiiiiiiÖííííííííííííííííííííííí
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Doug DOUG DOUG DOUGÖÖ
Paroles de Karim Abdoukarim. Mon employé.
Traduction et musique de Albert
ëÖEntends MamAAAAanÖ.Ma voiIIIxÖ !
Je suis ton enfant WaliIII Ö. ! Ne me renie pas
Ne jettes pas mes bagages dans la rueÖ§§§§§
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Rappelles toi ÔÔÔÔÔÖ..MamanÖ.
Ma naissance, jíallais y passerÖ.§§§§§§§§§§§§§§§§
Après neuf mois, tu mías fais naître
Presque morte au début du dixième mois,
La peur au ventre et avec bcp díangoisseÖ !
Tu as pleuréÖ.. !
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doug...doug...ddddoug...doug..
dougdougdoud...
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Mais Girelle voyons, vous n'y pensez pas !
Moi me disputer avec Albert c'est pas possible, si je lui dis qu'il est marabouté par tous les trafics de Barbes, il va répondre que je suis un pitre, alors qu'en fait je ne suis que le bouffon du Roi de Barbes.
Et, si je lui demande qui élève des barrages sur le cour du Fleuve Harissa, il est capable de m'en vouloir, en me disant que je l'ai traité de castor, alors le bouffon doit faire la grève du zèle, puisque le Roi ne comprend plus la plaisanterie,,, Tant pis,,,
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La B.T.A a repondu.
Mamili a réagi sur mon mail privè.
Npus réglerons nos comptes ce soir aux Dattes en présence de Elsa.
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Ma chére Girelle,
Je suis curieux de savoir quand est passe votre dernier post ici, en sachant qu'il reste 24 heures pile poil avant de rejopindre les archives...?
Je lis tout et rien n'échappe à ma vue.
Dites le moi merci.
Albert.
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Vous voyez bien, Albert, quand je viens vous n'avez pas le temps de me remarquer, mes textes passent en fin de journée et on tourne la page !!
Trop pertinentes mes interventions !!
Bravo et Mazel Tov pour le bébé de la soeur de Nao.
Quand Tawfiq vient, il est court certes, mais excellent et drôle, drôle et encore drôle.
Les filles, venez, Albert se languit, comme on dit dans mon midi.
Cacouboulou et Breitou arrêtez de vous disputer pour des queues de cerises (Breitou, attention, là je ne te traite pas de queue de cerise...je ne me permettrais pas)
Meyer, après vos hurlement, Albert, concernant ce très modeste emprunt sur votre carte de crédit, je comprends qu'il vous boude.
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Babba Sââdani, héro du livre de EMILE TUBIANA son petit-fils qui nía pas oublié ëÖSES TRESORS CACHESÖ !í A lire absolument.
Page 235 . Chapitre ëÖBABBA SAADANI, Que son âme repose en paixÖ !í
Las et fatigué, notre héro rentre au bercail, après avoir écumé les villages avoisinants pour écouler ses diverses marchandises portées sur le dos de son cheval ZABOUNA.
Sa femme Mcheïda, toute heureuse de voir son mari pousser la porte de son logis, se propose de lui faire chauffer une bassine díeau.
Babba Sââdani se dévêt et va síécrouler sur le ëbankí. Harassé. Sa femme lui ôte ses bottes poussiéreuses, ses socquettes. Lui masse légèrement les orteils durant quelques minutes le temps que la bassine remplie díeau chauffe. Son cheval est dans la cour, repu de fatigue.
Quinze minutes plus tard, les pieds de Babba Sââdani sont plongés dans cette bienfaisante ëkinkaí . Sa femme y ajoute un peu de ëzafraní (safran). Le safran étant connu à líépoque pour soulager les fatigues des pieds et des cors.
Babba Sââdani sous líeffet bienfaiteur de la chaleur se laisse aller et síendort tandis que son épouse, profitant du sommeil de son mari vêt un sef sari pour aller au marché faire ses courses. Demain cíest Chabath.
Les heures passent et notre Babba Sââdani ouvre enfin les yeux.
Il retire ses pieds de líeau colorée et là surprise, ses premiers sont rouges, le zafran ayant coloré sa peau, jusquíau mollet
Entre temps, durant son sommeil, ZABOURA, prit par une soif soudaine avait franchi le seuil du logis pour síabreuver.
Fou de rage, il hurla le prénom de son épouse qui níétait pas là.£Et la de constater que le museau de son cheval avait prit la même couleur que ses ëfeetsí.
Rentre la maîtresse de maison.
Babba Sââdani, contrôlant sa fureur.
ëÖQolli, YE MRAAAAAÖ ! Rit chaímelítliÖ ?í
(ÖTu as vu FEEEEEMMMMEÖ ! Ce que tu as faitÖ ?í
Líépouse sans se démonter lui répond.
ëÖEchítèna, naímélíèq stal aíkhor bel mée chroun oun hat chouiíyè KORKOBÖ !í
( Attends, je te refais un autre sceau díeau chaude et jíy ajoutes un peu de CUMIN.. !í
ëÖOu hssaíniÖ ?í
ë..Et pour mon chevalÖ ?í
ëÖEn hatlou, chouiíyè FEL FEL EKHALÖ !í)
ëÖJe lui mets par contre un peu de POIVRE.Ö
Voilà, ceci termine Babba Sââdani.
Merci Emile de míavoir autorisé à raconter mes délires.
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Babba Sââdani, héro du livre de EMILE TUBIANA son petit-fils qui nía pas oublié ëÖSES TRESORS CACHESÖ !í A lire absolument.
Page 145 . Chapitre ëÖBABBA SAADANI, Que son âme repose en paixÖ !í
Babba Sââdani, de retour díune affaire juteuse, gambade sur le chemin du retour.
Il fait beau en ce jour de Mai 1908. Il trottine sur son cheval Zabouna.
De son monticule, il peut voir la plaine de Beja síétalait devant lui.
Les jeunes pousses de blé courber líéchine sous un frais et léger vent díest.
Au loin, les cigognes commençaient leur migration. De temps à autre un bourdon venait titiller le museau de son cheval quíil balayait par un coup de queue tout en broutant líherbe verte et humide.
Babba Sââdani hume cet air embaumé par líodeur des fagots de foin, celui de son creux pays. Aux milles vallons.
Il descend de son cheval, allume un feu tout en attachant sa belle bête à la branche díun arbre séculaire. Il pose son antique théière sur la braise. Y ajoute un peu díeau. Líeau ne tarde pas à bouillir dans un remous étourdissant. Il y jette une bonne cuillérée de thé du pays.
Il sirote son breuvage tout en admirant ce paysage magnifique endormit à ces pieds.
Il en était le maître.
Au loin, il pouvait apercevoir, la ferme de Sidi Mansour, un terrien, dont il connaissait tous les membres de sa famille. Il pouvait même reconnaître de là où il était le fils aîné HATAB de feu son ami SIDI MANSOUR penché sur sa charrue.
ëÖAh, ye HATTAB, ye hassra, netífequar ââla Sidi Mansour, bouq, rajel si el rejelè él nâr elli jelli béch yechíri sberíqa mta mèchíhaÖ !í
(ëÖ.Ah HATTAB, je me souviens de feu ton père, un homme, un vrai, qui était venu, bien jeune, un jour míacheter une queue de PELLEÖ !í ( Et oui CACOUBOULOU Ca sert les queues de pelle dés foisÖ !)
Il parle tout seul le BABBA SAADANI.
Midi sonne à sa vielle montre à cadran quíil tire de sa ëcachabiyeí de laine.
Il y fait encore frais dans ses montagnes verdoyantes.
Il tire de sa sacoche quelques lames de saucissons quíil assaisonne avec un jus díharissa et díhuile du pays de Sfax. Le tout intercalè entre les deux fines mies de son pain tabouna déjà fendu.
Après sa légère collation, il pli en quatre un vieux sac quíil pose au pied du vieil arbre.
Un coussin de fortune.
Il ferme les yeux pour goûter à un sommeil réparateur.
Soudain, quatre silhouettes enveloppent le corps allongé de Babba Sââdani prit dans son demi-sommeil.
Des ombres masquées.
Babba Sââdani síen se démonter et sans peur se leva.
ëÖ Goum, ou ââtina morchaíntèq floussÖOu laqenÖ !í Intime le jeune chef des brigands.
(Lèves-toi et donnes nous ta bourse, sinonÖ !í) Il tira un grand coutelas prêt à égorger le BABBA SAADANI au cas oùÖ.
Des bandits de grands chemins.
Babba Sââdani reconnu la voix de son interlocuteur.
ëÖ.Enti ye chi Sbèb Ö ! Babaq essmou Aâm Gandour ha... ??í
Le bandit senti comme un bourdonnement dans ses oreilles.
En effet, il était le fils díun de ses fournisseurs.
ëÖEnti Babba Sââdani, AHHHÖ. ? Ye rassoul allahÖ ! Samahni, si Sââdani... !í
(Ö Mais tu es ÖÖÖÖÖ. ! Ô mon D ieuÖ. ! Pardon ÖÖÖ)
ë..En semheq.. ? KhoudÖ !í
(Que je te pardonne..? Tiens...!í
Et de lui flanquer deux belles claques, devant le situation incongrue et présente à leurs yeux, les autres fuient devant ce qui allait apparaître, être une grande punition collective.
Le jeune bandit se confond en mille excuses, promettant de retrouver le droit chemin à la condition que Babba Sââdani ne rapporte pas líincident à son papa qui était aussi le Cheikh du bled.
Note aux lecteurs.
Mes petites histoires sur Babba Sââdani zíal ne sont pas tirées du livre de Emile Tubiana, elles sont le fait de mon imagination.
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Tu rentres rarement mon cher Tawfiq, selon ton expression sur ADRA.
Un constat qui ne met pas en doute ta dernière formule.
Tu es rentré 8 fois en Décembre sur Adra, trois fois au PTB.
Novembre cíest pire.
Janvier presque rien.
Oui, tu deviens rare, donc pas la peine de le dire.
Et même si tu rentres dans Adra ou au PTB cíest juste pour dire exactement trois mots.
Je reconnais là un effort certain qui doit te fatiguer au plus haut point.
Bref. Je souhaite que tu sois plus disert.
-Quant à toi mon cher CACOUBOULOU laisse moi te dire, que tu joues contre moi, donc contre le PTB. Il parait que tu as donné des directives pour empêcher certains díécrire ici.
Jíai les preuves en main. Tu es un ASSASSIN de la culture et tu préfères pavoiser en haut quíen bas, dommage, on ne tía pas dis que le bas vaut mieux que le haut parfoisÖ ?
Tu veux quoi exactement ??? La Douda à líépoque était plus intelligent surtout lorsquíil nous envoyait ces photos merdiques.
Madame Girelle se plaint. Cíest vrai, cíest son droit de se plaindre mais au fait où est tíelleÖ.PasséÖ ?? Encore un blocage díun modérateur qui síacharne sur elleÖ ?
Son dernier passage ici, remonte, pardonnez-moi du peu, je ne me rappelle plus. Vous boudez le PTB níest ce pas MadameÖ ? Le PTB en prend note.
AHHHHÖ. ! Ce cher MEYERÖ.. ! Mais que diable, où donc est tíil passéÖ ??
Lui qui nous a gratifié díune image pastoraleÖ.Papale, mais il y a bien longtemps.
Hier une certaine fleur sans épines, me disait quíelle suivait rarement le PTB faute de temps.
Balivernes, elle a lu mes JOUETS mais pas LA LIONNEÖ ! Elle fait la mule et tu crois que je vais gober ton histoireÖ.Ma chère que tu lises ou pas le PTB me fait ni chaud ni froid.
Ne perds pas ton temps, continue à chercher où se trouve líavenue HOCHE et le café des NEGRESÖ.Ils ne sont plus 10, mais plus rien, ce café níexiste que dans les vieux souvenirs.
Toi qui habites Israël, tu me parles de HOUACHÖ ? Quel ouache heinÖ. ? Tu crois quíils eux líOUACHE de ne plus te voirÖ ? Que dois-je dire moi qui ai vécu là bas 45 ans. Je ne ressens plus rien aujourdíhui, tellement, ils míont gonflé les couilles par leur hypocrisie.
Ta remarque ëÖTu te fous du livre díEmileÖ ? Montre à quel point tu ignores líesprit je baigne. Saches que parler de Babba Sââdani est un hommage que je rends à ce genre de personne díavant. Ignorants, sans grandes instructions, ils avaient le mérite díêtre de bons pères de famille, courageux et intelligents lorsquíils traitent des affaires verbales sans écrits.
ëÖYE MESMARÖ?? ALLAISH TEJRIÖ ? Ô CLOU Ö ? POURQUOI TE PRESSEÖTUÖ!í
Essaye díen comprendre ma chère le sens et tu verras plus clair.
-Elsa, je la comprends, elle ne sait pas lire ni écrire. Elle ne fréquente que la faune du soir au DATTES. Là bas, elle est dans son élèment comme un petit goujon qui barbotte dans une tasse vide de sauce tomate sans eau.
-Mamili par contre est plus entreprenant ici, elle fait ce quíelle peut, c'est-à-dire rien. Elle est B.T.A. Bacouchè, Tarcha ouÖ.Aâmiè.
-Je níai rien à dire sur mon amie Michka.
Bon, je voulais vous annoncer que dans quelques jours, je ne serai plus disponible pour vous.
Je dois passer un examenÖÖ..Jíai beaucoup perdu deÖÖ..
Jíaurai juste le temps de finir la LIONNE et le film ëÖAU COUVENT DES CHARMELITESÖ !í Ensuite D ieu y pourvoira.
Je vous demande de me supporter encore un peu, juste un peu.
Merci à monsieur Le WEBMASTER qui m'a ouvert une libre fenêtre ici mais laissè la porte fermèe en haut.
Soyez DES BIENHEUREUX.
LE PTB vous est reconnaissant pour toute líéternité.
Si je me suis permis d'écrire en petits caractères c'est parce que je ne vois plus très grand.